Tout lire >>La malhonnêteté intellectuelle du fiscaliste universitaire Luc Godbout : Tout pour défendre ses riches 
Léo-Paul Lauzon
Un autre hypocrite qui feint de défendre la classe moyenne
Luc Godbout, professeur à l’université de Sherbrooke, est aimé du patronat, des journalistes et des politiciens. Pourquoi les affairistes l’adorent que vous me demandez ? Eh bien, c’est simple, c’est parce qu’il prône toujours les mêmes politiques fiscales et économiques que les patrons, comme celles de taxer la consommation et de tarifier les services publics et de diminuer les impôts sur le revenu, les taxes, les redevances, les droits, etc. des compagnies et des nantis. Voilà la façon de taxer «intelligemment» qu’il a dit (Le Devoir, 30 janvier 2012). C’est donc dire que le patronat itou tient à nous taxer «intelligemment» en bons lucides qu’ils sont.
Au moins, ce que j’apprécie de certains universitaires et chercheurs, c’est qu’ils affichent clairement leurs couleurs idéologiques. Mais je ne peux pas blairer des hypocrites comme les universitaires Luc Godbout et Pierre Fortin, qui travaillent souvent ensemble (Fortin a été le professeur de Godbout à l’UQAM), et qui, sous une apparence progressiste et un certain vernis scientifique, font semblant de prendre la partie du monde ordinaire ainsi que d’être neutre idéologiquement.

Léo-Paul Lauzon
Un autre hypocrite qui feint de défendre la classe moyenne
Luc Godbout, professeur à l’université de Sherbrooke, est aimé du patronat, des journalistes et des politiciens. Pourquoi les affairistes l’adorent que vous me demandez ? Eh bien, c’est simple, c’est parce qu’il prône toujours les mêmes politiques fiscales et économiques que les patrons, comme celles de taxer la consommation et de tarifier les services publics et de diminuer les impôts sur le revenu, les taxes, les redevances, les droits, etc. des compagnies et des nantis. Voilà la façon de taxer «intelligemment» qu’il a dit (Le Devoir, 30 janvier 2012). C’est donc dire que le patronat itou tient à nous taxer «intelligemment» en bons lucides qu’ils sont.
Au moins, ce que j’apprécie de certains universitaires et chercheurs, c’est qu’ils affichent clairement leurs couleurs idéologiques. Mais je ne peux pas blairer des hypocrites comme les universitaires Luc Godbout et Pierre Fortin, qui travaillent souvent ensemble (Fortin a été le professeur de Godbout à l’UQAM), et qui, sous une apparence progressiste et un certain vernis scientifique, font semblant de prendre la partie du monde ordinaire ainsi que d’être neutre idéologiquement.