Unité 9 à Radio-Canada
Modérateur : Elise-Gisèle
- little_miss
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Re: Unité 9 à Radio-Canada
je ne sais pas pourquoi j'ai un peu decrochee apres les fetes, les emissions viennent mois me chercher...
Re: Unité 9 à Radio-Canada
C'était donc ben plate de platitude hier soir!!!! 

Re: Unité 9 à Radio-Canada
J'aime bien ça moi cette saison-ci!
C'est sûr que le rythme a un peu changé et que les intrigues s'étirent mais il fallait s'y attendre... Et je ne trouve pas ça + matante qu'à l'automne...
Je suis bien contente que Marie soit présidente du comité des détenues! Elle ne l'aura pas facile par contre! Y'a juste l'histoire du grand-père qui m'énerve. Et je n'arrive pas à trouver Émilie Bibeau crédible dans son rôle. En fait, je n'aime vraiment pas cette comédienne alors chaque fois que je la vois dans une scène, j'ai juste envie de faire "avance-rapide"!!

Je suis bien contente que Marie soit présidente du comité des détenues! Elle ne l'aura pas facile par contre! Y'a juste l'histoire du grand-père qui m'énerve. Et je n'arrive pas à trouver Émilie Bibeau crédible dans son rôle. En fait, je n'aime vraiment pas cette comédienne alors chaque fois que je la vois dans une scène, j'ai juste envie de faire "avance-rapide"!!
- little_miss
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Moi je continue à aimer ce téléroman. Je trouve que la plupart des comédiennes sont vraiment très bonnes. Par contre c'est vrai que c'est rendu un peu soft... Sans nécessairement avoir l’ambiance de Fox River dans Prison Break, ça serait bien d'avoir quelques détenues un peu plus coriaces et méchantes, afin d'ajouter un peu d'action...
Je demeure toujours intéressée.
Un téléroman suppose une action un peu plus au ralenti.
Je trouve que ça fait du bien de pouvoir entrer dans des univers sans que tout roule
à la vitesse de l'éclair tout le temps.
Dans l'épisode d'hier, juste la rencontre entre Marie et Jeanne valait l'heure.
Et que dire du dernier 30 seconde... un direct au coeur...
Cette Ève Landry est en train de chambouler un tas de stéréotypes et c'est tant mieux
Un téléroman suppose une action un peu plus au ralenti.
Je trouve que ça fait du bien de pouvoir entrer dans des univers sans que tout roule
à la vitesse de l'éclair tout le temps.
Dans l'épisode d'hier, juste la rencontre entre Marie et Jeanne valait l'heure.
Et que dire du dernier 30 seconde... un direct au coeur...

Cette Ève Landry est en train de chambouler un tas de stéréotypes et c'est tant mieux

Moi, c'est le contraire... je la trouve vraiment bonne cette comédienne... j'ai l'impression qu'elle est vraiment très différentes dans ses rôles (je parle surtout de ses rôles dans Annie et ses hommes, Tranches de vie et Unité 9 car je ne connais pas vraiment ses autres rôles)little_miss a écrit : [...]
moi je pense toujours a Rosalie dans Annie et ses hommes
Et pour ce qui est d'Unité 9 en général, je pense comme plusieurs autres ici... Avant les fêtes, j'étais accrochée mais là, je ne sais pas pourquoi, mais je décroche. J'aime encore et je vais continuer de suivre cette série mais j'ai l'impression qu'il ne se passe plus grand chose !
Re: Unité 9 à Radio-Canada
J'embarque toujours de semaines en semaines
Re: Unité 9 à Radio-Canada
Moi j'ai arrêté de l'écouter depuis le début de la nouvelle saison, et ça me dérange même pas 

Re: Unité 9 à Radio-Canada
J'aime toujours autant. Et la dernière scène de Jeanne qui crie après sa rencontre avec Marie, c'est venu me chercher dans les tripes. Eve Landry est vraiment excellente actrice. 

moi surtout quand elle joue des scènes où elle doit être saoule!!little_miss a écrit : [...]
moi je pense toujours a Rosalie dans Annie et ses hommes

''Renaaaaaaaud tes où Renauuuud''
Ceci dit j'aime tjrs autant sa, juste sur FB que sa me turn-off raide le pitch des intrigues signer -danielle Bleh!
Dernière modification par May West le mer. janv. 23, 2013 10:32 pm, modifié 1 fois.
Rien n'est plus dangereux que lorsque l'ignorance et l'intolérance sont armées de pouvoir. Voltaire
Unité 9, de télésérie à téléroman
Hugo Dumas - La Presse
Avant Noël, Unité 9 avait clairement adopté le look, le ton et (surtout) le rythme haletant d'une télésérie dramatique. Chacun des épisodes remuait le téléspectateur, le brassait émotivement, et les intrigues progressaient rondement.
Conséquence? Tous les mardis, nous piaffions d'impatience dans nos salons: que va-t-il se passer à Lietteville ce soir? C'était clair qu'il allait y avoir une émeute dans la prison. Ou presque.
Depuis le retour des Fêtes, Unité 9 est revenu à l'essence de ce qu'il devait être au départ: un téléroman. Ce n'est pas un jugement de valeur que de l'écrire, c'est un fait. Les histoires des détenues ont beaucoup ralenti, les grands frissons se font plus rares (pensez à Élise qui pleure sur la tombe de ses parents) et certains personnages, dont Agathe, Jeanne et Caroline, ont pratiquement disparu du scénario. Oui, les actrices nous éblouissent toujours autant, mais le récit n'avance presque plus depuis trois semaines, je trouve.
C'est peut-être une erreur de la part de l'auteure Danielle Trottier que de prendre plus de temps pour déployer sa saga carcérale et de revenir à la forme téléromanesque classique.
Une des grandes forces d'Unité 9 l'automne dernier, c'était justement cette cadence rapide, qui comblait autant les amateurs de téléromans que de téléséries.
Actuellement, les fans de téléséries (j'en suis) connectent moins avec Unité 9. J'ai l'impression que je pourrais sauter une ou deux semaines de diffusion et ne pas du tout perdre le fil. Ce qui n'était pas le cas avant Noël: chacun des épisodes d'Unité 9, écrit de façon très compacte, était essentiel à la compréhension de l'histoire.
Les auteurs de téléroman (Yamaska, Mémoires vives), qui pondent plus de 20 épisodes par saison pendant plusieurs années, peuvent s'étendre ainsi, ce qui crée une familiarité et une proximité avec le public. C'est le propre du téléroman. Les auteurs de téléséries (19-2, Trauma) ne disposent souvent que d'une dizaine d'heures pour installer leurs péripéties et les boucler. Ils accélèrent donc le tempo.
Si Unité 9 avait gardé le rythme de la télésérie en 2013, Jeanne serait déjà en libération conditionnelle, Marie briguerait un deuxième mandat à la tête du comité des détenues et Shandy aurait fait l'amour à tout le personnel masculin de la prison. J'exagère, mais à peine.
Le ralentissement scénaristique d'Unité 9 n'a pas eu d'effet sur ses cotes d'écoute, qui ont même franchi la barre des 2 millions la semaine dernière. N'empêche. J'aime beaucoup cette série et j'espère qu'elle reprendra la belle vitesse de croisière qui a forgé son identité et redéfini la conception que nous avions du téléroman.
http://www.lapresse.ca/debats/chronique ... eroman.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Hugo Dumas - La Presse
Avant Noël, Unité 9 avait clairement adopté le look, le ton et (surtout) le rythme haletant d'une télésérie dramatique. Chacun des épisodes remuait le téléspectateur, le brassait émotivement, et les intrigues progressaient rondement.
Conséquence? Tous les mardis, nous piaffions d'impatience dans nos salons: que va-t-il se passer à Lietteville ce soir? C'était clair qu'il allait y avoir une émeute dans la prison. Ou presque.
Depuis le retour des Fêtes, Unité 9 est revenu à l'essence de ce qu'il devait être au départ: un téléroman. Ce n'est pas un jugement de valeur que de l'écrire, c'est un fait. Les histoires des détenues ont beaucoup ralenti, les grands frissons se font plus rares (pensez à Élise qui pleure sur la tombe de ses parents) et certains personnages, dont Agathe, Jeanne et Caroline, ont pratiquement disparu du scénario. Oui, les actrices nous éblouissent toujours autant, mais le récit n'avance presque plus depuis trois semaines, je trouve.
C'est peut-être une erreur de la part de l'auteure Danielle Trottier que de prendre plus de temps pour déployer sa saga carcérale et de revenir à la forme téléromanesque classique.
Une des grandes forces d'Unité 9 l'automne dernier, c'était justement cette cadence rapide, qui comblait autant les amateurs de téléromans que de téléséries.
Actuellement, les fans de téléséries (j'en suis) connectent moins avec Unité 9. J'ai l'impression que je pourrais sauter une ou deux semaines de diffusion et ne pas du tout perdre le fil. Ce qui n'était pas le cas avant Noël: chacun des épisodes d'Unité 9, écrit de façon très compacte, était essentiel à la compréhension de l'histoire.
Les auteurs de téléroman (Yamaska, Mémoires vives), qui pondent plus de 20 épisodes par saison pendant plusieurs années, peuvent s'étendre ainsi, ce qui crée une familiarité et une proximité avec le public. C'est le propre du téléroman. Les auteurs de téléséries (19-2, Trauma) ne disposent souvent que d'une dizaine d'heures pour installer leurs péripéties et les boucler. Ils accélèrent donc le tempo.
Si Unité 9 avait gardé le rythme de la télésérie en 2013, Jeanne serait déjà en libération conditionnelle, Marie briguerait un deuxième mandat à la tête du comité des détenues et Shandy aurait fait l'amour à tout le personnel masculin de la prison. J'exagère, mais à peine.
Le ralentissement scénaristique d'Unité 9 n'a pas eu d'effet sur ses cotes d'écoute, qui ont même franchi la barre des 2 millions la semaine dernière. N'empêche. J'aime beaucoup cette série et j'espère qu'elle reprendra la belle vitesse de croisière qui a forgé son identité et redéfini la conception que nous avions du téléroman.
http://www.lapresse.ca/debats/chronique ... eroman.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Stara a écrit : [...]
Merci! Mais je ne le trouve pas. C'est dans quel sujet?

http://www.domainebleu.ca/le-kiosque-f4 ... 48320.html" onclick="window.open(this.href);return false;
On dirait ça...bouquet a écrit : Hugo Dumas lit le Domaine bleu
Pour ma part, quand je m'attache à un téléroman ou une série, j'aime tous les épisodes, je trouve ça bon chaque semaine. Faut croire que je ne suis pas exigeante. Ben coudonc! je ne me suis pas rendu compte du changement en 2013. Si les intrigues se déroulent trop vite, ça va durer moins longtemps non?
J'écoute l'Auberge du chien noir depuis le début et j'aime toujours ça autant, je ne veux pas en manquer.
- Elise-Gisèle
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Je suis comme toi, je ne suis pas difficile.joanna a écrit : [...]
On dirait ça...
Pour ma part, quand je m'attache à un téléroman ou une série, j'aime tous les épisodes, je trouve ça bon chaque semaine. Faut croire que je ne suis pas exigeante. Ben coudonc! je ne me suis pas rendu compte du changement en 2013. Si les intrigues se déroulent trop vite, ça va durer moins longtemps non?
J'écoute l'Auberge du chien noir depuis le début et j'aime toujours ça autant, je ne veux pas en manquer.

