LE DOMAINE BLEU

Entrevue avec la demi soeur du petit Nicolas qui explique qu'elle ne croit pas vraiment a l'hypothese de l'enlèvement..

http://videos.lcn.canoe.ca/video/766610 ... -pas-a-un/" onclick="window.open(this.href);return false;

J'ai édité car le lien n'était pas le bon....

L'an dernier, une fillette de 13 ans s'est suicidée par chez moi en se tirant d'un pont dans une rivière. Cela a pris plus d'un mois avant qu'elle ne remonte à la surface.

Et encore, dans une rivière ou il y a du courant, certains courant entrainent vers le fond ou il peut y avoir des roches, des choses qui font que tout coince au fond de l'eau et ne refont jamais surface.

Malike a écrit : [...]


Autant j'abonde dans le sens de ne pas critiquer le jugement des parents dans cette affaire, autant je pense que d'autres parents qui sont plus "parents poules" n'ont pas à être critiqués sur leur facon d'élever leurs petits. Je suis plus maman poule que d'autres ici j'en suis consciente, mais qu'on ne vienne pas me dire que j'étouffe ma fille, que je manque de confiance, que j'hypothèque son futur, bref qu'on ne vienne pas me servir une petite lecon parent 101, j'ai ma facon à moi et je considère qu'elle vaut autant que celle des autres.

Je pense aussi qu'il faut tenir compte du contexte de chacun.
Perso, j'ai passé presque toute ma vie à Montréal et il était impensable pour mes parents que je rende à la maternelle toute seule. J'ai commencé à y aller seule en deuxième année, parce que j'ai changé d'école et de quartier et que nous restions à deux rues de l'école, même pas 2 minutes de marche.

Maintenant, j'habite en banlieue, et ma fille ne fréquente pas l'école du quartier, alors la question ne se posait même pas. Par contre, Vincent fréquentera l'école du quartier, mais pas question qu'il y aille tout seul en marchant. Pas à 5 ans. Je ne veux pas, je trouve ça dangereux, c'est quand même à environ 10 minutes de marche, et de toute manière ce n'est pas permis. À 5 ans, ici, ils doivent prendre l'autobus ou le parent doit assurer le transport.

Bref, je ne crois pas que c'est une question de mère poule ou de mère indigne... mais bien de contexte. Nous ne vivons pas tous dans le même milieu

Pour en revenir au topic, perso, je compatis avec les parents et je ne peux vraiment pas les juger. Je pense qu'on a tous à un moment ou un autre, slaqué sur la surveillance un petit deux minutes... La seule différence c'est qu'on a eu de la chance que rien de malheureux ne se produise.

Et je me souviens de mes étés quand j'avais 4-5 ans. Nous allions au chalet de ma grand-mère et je jouais librement sur le grand terrain... sur le bord d'une rivière. Je savais que je ne devais pas aller sur le bord de l'eau, pourtant, j'y suis allée à quelques reprises lorsque mes parents ne me surveillaient pas. J'ai seulement eu la chance de ne pas y tomber.

Strophe a écrit : [...]



Je pense aussi qu'il faut tenir compte du contexte de chacun.
Perso, j'ai passé presque toute ma vie à Montréal et il était impensable pour mes parents que je rende à la maternelle toute seule. J'ai commencé à y aller seule en deuxième année, parce que j'ai changé d'école et de quartier et que nous restions à deux rues de l'école, même pas 2 minutes de marche.

Maintenant, j'habite en banlieue, et ma fille ne fréquente pas l'école du quartier, alors la question ne se posait même pas. Par contre, Vincent fréquentera l'école du quartier, mais pas question qu'il y aille tout seul en marchant. Pas à 5 ans. Je ne veux pas, je trouve ça dangereux, c'est quand même à environ 10 minutes de marche, et de toute manière ce n'est pas permis. À 5 ans, ici, ils doivent prendre l'autobus ou le parent doit assurer le transport.

Bref, je ne crois pas que c'est une question de mère poule ou de mère indigne... mais bien de contexte. Nous ne vivons pas tous dans le même milieu

Pour en revenir au topic, perso, je compatis avec les parents et je ne peux vraiment pas les juger. Je pense qu'on a tous à un moment ou un autre, slaqué sur la surveillance un petit deux minutes... La seule différence c'est qu'on a eu de la chance que rien de malheureux ne se produise.

Et je me souviens de mes étés quand j'avais 4-5 ans. Nous allions au chalet de ma grand-mère et je jouais librement sur le grand terrain... sur le bord d'une rivière. Je savais que je ne devais pas aller sur le bord de l'eau, pourtant, j'y suis allée à quelques reprises lorsque mes parents ne me surveillaient pas. J'ai seulement eu la chance de ne pas y tomber.

Je suis d'accord avec ta façon d'exposer les choses

Je trouve ça épouvantable pour les parents À 18 mois, j'ai moi-même profité d'un moment de "négligence" de mon père et risqué ma vie : mon frère lui a crié d'aller le voir et pendant ce temps là j'ai pris un long clou (mon père réparait l'escalier) et j'ai entrepris de descendre les marches en le suçotant. Le clou m'est rentré dans le palais après que j'ai déboulé les marches... J'ai passé à quelques millimètres de mourir (le bout le plus dangereux ayant été celui où, à l'hôpital, je tournais la tête de tous bords tous côtés pour éviter le médecin ). Bref, j'ai été extrêmement chanceuse. Depuis ce temps, mon père a beaucoup de difficulté à en parler, et s'il le fait c'est avec un sanglot dans la voix Il s'est senti terriblement coupable, mais jamais je ne lui en aurais voulu, jamais je n'ai pu penser qu'il avait été négligent quand il est accouru vers mon frère en m'oubliant un peu.

Je n'ose tout simplement pas imaginer le calvaire intérieur de la maman

J'ajouterais que j'ai été la plus couvée de la famille (après un incident comme celui-là, c'est bien normal ) mais que je suis malgré tout la plus indépendante et autonome des trois Ya une différence entre protéger et étouffer son enfant! Et à cause de cas comme ceux-ci, je crois qu'on ne peut jamais être trop prudents...

kolem a écrit : [...]

Je suis d'accord avec ta façon d'exposer les choses

Je trouve ça épouvantable pour les parents À 18 mois, j'ai moi-même profité d'un moment de "négligence" de mon père et risqué ma vie : mon frère lui a crié d'aller le voir et pendant ce temps là j'ai pris un long clou (mon père réparait l'escalier) et j'ai entrepris de descendre les marches en le suçotant. Le clou m'est rentré dans le palais après que j'ai déboulé les marches... J'ai passé à quelques millimètres de mourir (le bout le plus dangereux ayant été celui où, à l'hôpital, je tournais la tête de tous bords tous côtés pour éviter le médecin ). Bref, j'ai été extrêmement chanceuse. Depuis ce temps, mon père a beaucoup de difficulté à en parler, et s'il le fait c'est avec un sanglot dans la voix Il s'est senti terriblement coupable, mais jamais je ne lui en aurais voulu, jamais je n'ai pu penser qu'il avait été négligent quand il est accouru vers mon frère en m'oubliant un peu.

Je n'ose tout simplement pas imaginer le calvaire intérieur de la maman

J'ajouterais que j'ai été la plus couvée de la famille (après un incident comme celui-là, c'est bien normal ) mais que je suis malgré tout la plus indépendante et autonome des trois Ya une différence entre protéger et étouffer son enfant! Et à cause de cas comme ceux-ci, je crois qu'on ne peut jamais être trop prudents...

Et même quand on surveille étroitement... un enfant c'est tellement imprévisible et vite parfois...
J'ai raconté sur le forum la chute de Vincent dans les escaliers qui mènent au sous-sol lors d'un souper chez la cousine de NetRoll. En entrant dans la maison, NetRoll a spotté cet escalier comme dangereux. Il a passé presque tout son temps devant la porte. Profitant du fait que j'étais assise à la table juste en face de l'escalier, il est allé se dégourdir un peu les jambes. J'ai vu mon fils arrivé dans la cuisine, ouvrir la porte et tomber, et j'ai même pas eu le temps de réagir. Même si j'étais là et que je surveillais. Il a déboulé une trentaine de marches en se cognant le tête sur les murs de ciment... Il aurait pu se briser le cou, ne jamais se remettre de ça. Heureusement, il n'a rien eu, même pas une légère commotion.

C'est tellement vite un enfant...

Strophe a écrit : [...]



Et même quand on surveille étroitement... un enfant c'est tellement imprévisible et vite parfois...
J'ai raconté sur le forum la chute de Vincent dans les escaliers qui mènent au sous-sol lors d'un souper chez la cousine de NetRoll. En entrant dans la maison, NetRoll a spotté cet escalier comme dangereux. Il a passé presque tout son temps devant la porte. Profitant du fait que j'étais assise à la table juste en face de l'escalier, il est allé se dégourdir un peu les jambes. J'ai vu mon fils arrivé dans la cuisine, ouvrir la porte et tomber, et j'ai même pas eu le temps de réagir. Même si j'étais là et que je surveillais. Il a déboulé une trentaine de marches en se cognant le tête sur les murs de ciment... Il aurait pu se briser le cou, ne jamais se remettre de ça. Heureusement, il n'a rien eu, même pas une légère commotion.

C'est tellement vite un enfant...

Ben là Strophe, fallait que tu l'attaches

C'est fou comment l'irréparable peut se commettre en quelques secondes On ne peut pas tout empêcher non plus!

kolem a écrit : [...]

Je suis d'accord avec ta façon d'exposer les choses

Je trouve ça épouvantable pour les parents À 18 mois, j'ai moi-même profité d'un moment de "négligence" de mon père et risqué ma vie : mon frère lui a crié d'aller le voir et pendant ce temps là j'ai pris un long clou (mon père réparait l'escalier) et j'ai entrepris de descendre les marches en le suçotant. Le clou m'est rentré dans le palais après que j'ai déboulé les marches... J'ai passé à quelques millimètres de mourir (le bout le plus dangereux ayant été celui où, à l'hôpital, je tournais la tête de tous bords tous côtés pour éviter le médecin ). Bref, j'ai été extrêmement chanceuse. Depuis ce temps, mon père a beaucoup de difficulté à en parler, et s'il le fait c'est avec un sanglot dans la voix Il s'est senti terriblement coupable, mais jamais je ne lui en aurais voulu, jamais je n'ai pu penser qu'il avait été négligent quand il est accouru vers mon frère en m'oubliant un peu.

Je n'ose tout simplement pas imaginer le calvaire intérieur de la maman

J'ajouterais que j'ai été la plus couvée de la famille (après un incident comme celui-là, c'est bien normal ) mais que je suis malgré tout la plus indépendante et autonome des trois Ya une différence entre protéger et étouffer son enfant! Et à cause de cas comme ceux-ci, je crois qu'on ne peut jamais être trop prudents...

Voilà ca dit tout..

Bravo les filles... c'est le fun de vous lire et j'abonde dans le même sens que Strophe et Kolem.....

kapucine a écrit : http://www.journalexpress.ca/article-i4 ... rches.html" onclick="window.open(this.href);return false;

20100406-220450-g.jpg

Disparition de Nicolas Pineault : Les pompiers de Drummondville participent aux recherches
par Ghyslain Bergeron

Article mis en ligne le 8 avril 2010 à 15:24

Une douzaine de pompiers, de l’association de bienfaisance des pompiers de la ville de Drummondville, participent présentement aux recherches visant à retrouver le bambin disparu la semaine dernière, à Sainte-Clothilde-de-Horton.
De sa propre initiative, l’équipe de bénévoles du service incendie de Drummondville a donc quitté mercredi matin, pour une première fois, afin d’aider la SQ dans les recherches. À nouveau, jeudi matin, l’équipe était en route pour continuer d’épauler les effectifs déjà sur place. Avec l’aide d’une embarcation de type Zodiac et des combinaisons imperméables, les pompiers bénévoles scrutent les berges et le fond de la rivière Nicolet.

Rappelons que la semaine dernière, un bambin de 4 ans, Nicolas Pineault, a été porté disparu après avoir échappé à l’attention de ses parents derrière le domicile familial.

_PER4022.jpg

617F20434D77AAA5F2C39323AA36A5.jpg

Kapucine, l'image de ta signature après toutes ses photos me donne froid dans le dos, comme une prémonition......

Annouk a écrit : L'an dernier, une fillette de 13 ans s'est suicidée par chez moi en se tirant d'un pont dans une rivière. Cela a pris plus d'un mois avant qu'elle ne remonte à la surface.

Et encore, dans une rivière ou il y a du courant, certains courant entrainent vers le fond ou il peut y avoir des roches, des choses qui font que tout coince au fond de l'eau et ne refont jamais surface.

C'est justement ce que mon mari me précisait cette semaine: cela peut prendre un certain temps avant que le corps remonte à la surface, et cela, serait fort possible que le corps puisse être coincé au fond de l'eau entre les roches.

La tuque du petit bambin a tout de même été trouvé à 4 KM de la résidence, si je me souviens bien, cela nous donne un bon aperçu du courant qui devait être très fort cette journée là.

Et justement, à certaines époques de l'année, on peut voir les roches à certains endroits parce que le débit est très bas, pi c'est pas des petites roches.

Notre copain nous a raconté cette semaine qu'il a déjà traversé la rivière une journée pour aller sur l'île l'autre côté y voir quelqu'un et il l'a fait à pieds pour l'aller, il a trouvé cela pénible à cause des nombreuses roches, assez qu'il n'est pas revenu par la rivière, de plus, il ne l'a jamais refait par la suite.

Disons que l'hypothèse que j'émets personnellement:

Le petit bambin a eu peur du chien, il voulait s'en sauver et a tombé dans la rivière, je ne verrais pas du tout de négligence ou quoi que ce soit de la part des parents, cela peut nous arriver à nous, comme à n'importe qui.

Quant aux parents qui laissent aller leurs enfants à l'école seuls à l'âge de 5 ou 6 ans, cela dépend du trajet, où tu demeures, et si, pour des parents, c'est impensable de les laisser aller seuls, so what??? Y a t'il vraiment un problème??? Moi, je n'en vois pas.

Rester en ville et en campagne, c'est très différent, et en campagne, y a des rangs de campagne qui sont tout aussi dangereux qu'en ville et dans certains rangs, cela l'est moins.

Et comme je l'ai déjà dit, ce n'est pas une question de surprotection et que cela nuira aux enfants plus tard, il y a un juste milieu et personne n'a à se sentir coupables ou mauvais parent.

kapucine a écrit : http://www.journalexpress.ca/article-i4 ... rches.html" onclick="window.open(this.href);return false;

20100406-220450-g.jpg

Disparition de Nicolas Pineault : Les pompiers de Drummondville participent aux recherches
par Ghyslain Bergeron

Article mis en ligne le 8 avril 2010 à 15:24

Une douzaine de pompiers, de l’association de bienfaisance des pompiers de la ville de Drummondville, participent présentement aux recherches visant à retrouver le bambin disparu la semaine dernière, à Sainte-Clothilde-de-Horton.
De sa propre initiative, l’équipe de bénévoles du service incendie de Drummondville a donc quitté mercredi matin, pour une première fois, afin d’aider la SQ dans les recherches. À nouveau, jeudi matin, l’équipe était en route pour continuer d’épauler les effectifs déjà sur place. Avec l’aide d’une embarcation de type Zodiac et des combinaisons imperméables, les pompiers bénévoles scrutent les berges et le fond de la rivière Nicolet.

Rappelons que la semaine dernière, un bambin de 4 ans, Nicolas Pineault, a été porté disparu après avoir échappé à l’attention de ses parents derrière le domicile familial.

_PER4022.jpg

617F20434D77AAA5F2C39323AA36A5.jpg

ouff j'aurais pas été capable le lac juste en arriere de la maison

Strophe a écrit : [...]



Et même quand on surveille étroitement... un enfant c'est tellement imprévisible et vite parfois...
J'ai raconté sur le forum la chute de Vincent dans les escaliers qui mènent au sous-sol lors d'un souper chez la cousine de NetRoll. En entrant dans la maison, NetRoll a spotté cet escalier comme dangereux. Il a passé presque tout son temps devant la porte. Profitant du fait que j'étais assise à la table juste en face de l'escalier, il est allé se dégourdir un peu les jambes. J'ai vu mon fils arrivé dans la cuisine, ouvrir la porte et tomber, et j'ai même pas eu le temps de réagir. Même si j'étais là et que je surveillais. Il a déboulé une trentaine de marches en se cognant le tête sur les murs de ciment... Il aurait pu se briser le cou, ne jamais se remettre de ça. Heureusement, il n'a rien eu, même pas une légère commotion.

C'est tellement vite un enfant...

je me souviens tres bien quand tu l'avais racontée

kali a écrit : [...]


Kapucine, l'image de ta signature après toutes ses photos me donne froid dans le dos, comme une prémonition......

OUps..j'avais pas remarqué ... tu as bien raison... ca fait bizarre cette photo apres les autres ..

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/faitsdive ... 05808.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Disparition de Nicolas
Sa soeur ne croit pas à un enlèvement


La demi-sœur de Nicolas Pineault, ce bambin de quatre ans porté disparu depuis maintenant huit jours dans le Centre-du-Québec, ne croit pas à la thèse de l’enlèvement.
En entrevue avec Claude Poirier, Caroline Pineault a déclaré que les circonstances de la disparition de son frère laissaient peu de place à cette possibilité.

La jeune femme rappelle que les parents de Nicolas habitent sur une île: «Pour aller chez mon père, il y a une seule voie d’accès et il faut passer devant des maisons. Nicolas est resté tout seul dehors seulement cinq minutes. Les chances qu’un étranger soit entré sur l’île à ce moment-là, sans se faire voir, sont très minces...»

«L’île a été fouillée de fond en comble par les enquêteurs. Ils ont presque enlevé les murs des maisons...»
Caroline Pineault pense que les probabilités que son demi-frère soit tombé dans la rivière Nicolet sont beaucoup plus grandes. Elle comprend que les gens préfèrent penser que Nicolas ait été enlevé, mais personnellement elle n’y croit pas. Elle ajoute que cette croyance a un effet pernicieux parce que les résidants de l’île fouillent moins les bords de leur terrain à la recherche du corps du bambin depuis qu'ils pensent qu'il a été enlevé...

«C’est sûr qu’on a espoir que Nicolas soit encore en vie, mais à moins que ce soit quelqu’un qui réside sur l’île, c’est tellement mince.... L’île a été fouillée de fond en comble par les enquêteurs, explique-t-elle. Ils ont presque enlevé les murs des maisons...»

Nicolas Pineault a disparu le 31 mars à Sainte-Clothilde-de-Horton. La Sûreté du Québec et de nombreux bénévoles ont ratissé le secteur, mais sans succès. Des plongeurs ont aussi fouillé le fond de la rivière Nicolet, mais le débit et le niveau de l'eau compliquent les recherches.


Plus tôt cette semaine, la mère du bambin a évoqué la possibilité qu'un chien ait fait peur au petit Nicolas. L'enfant n'avait pas le droit de s'approcher de la rivière à moins de 15 pieds et Chantal Jobin ne s'explique pas qu'il se soit éloigné de la maison familiale sans une bonne raison.

Je viens de lire les dernières pages de ce topic car je voulais avoir des nouvelles du petit , pourquoi comparer les situations, on relaxe un peu

Pour ma part, il n'y avait pas plus mère poule que moi et je vivais quand même dans une petite ville au Saguenay, à l'époque Jonquière. Je ne lâchais pas mes jumeaux d'une semelle et dans l'espace de 2 minutes d'inattention, ils sont disparus de la cour à 3 ans, je vais m'en souvenir toute ma vie comment je paniquais, ben les p'tits moussus, ils avaient décidés d'aller acheter des bonbons au dépanneur mais il était loin le dépanneur mais dans leur tête c'était proche parce qu'on y allait en voiture, on les a retrouvé sur le coin de la rue main dans la main , heureusement c'était un petit quartier tranquille.

Les enfants sont imprévisibles, il faudrait les attacher continuellement pour être certain qu'il n'arrive rien. Et là, je ne parle pas de toutes les fois que j'ai trouvé mon fils grimpé partout, et sa sœurs le suivait évidemment, vive les jumeaux malcommodes

Je suis déménagé à Laval lorsqu'ils avaient 4 ans et j'ai trouvé une autre réalité, je suis devenu encore plus mère-poule. Pour être brève, dans la ville où nous avons déménagé lorsque nos enfants avaient 7 ans, il y a eu une série de meurtre d'enfant enlevé, donc ça joue sur le système des parents, on devient de plus en plus protecteur

Je pense qu'on ne peut pas comparer les contextes, on s'entend que les enlèvements d'enfants sont plus fréquents dans une ville cosmopolitaine que dans les régions, un n'empêche pas l'autre mais le stress est beaucoup plus grand pour avoir connu les deux hémisphères.

On ne peux pas juger, je pense qu'on aime tous nos enfants plus que nous et on fait ce qu'on peut dans chaque contexte de la vie en espérant à chaque jour qu'il n'arrive pas de malheur.

Publié le 13 avril 2010 à 15h13 | Mis à jour à 15h15
Les bénévoles trouvent une botte du petit Nicolas
Yanick Poisson
La Tribune

(Sainte-Clotilde-de-Horton) Près de deux semaines après que l'enfant de quatre ans ait été porté disparu par ses parents, les bénévoles, encore nombreux à participer aux recherches, ont mis la main sur ce qui serait l'une des bottes que portaient le petit Nicolas Pineault, lors de sa disparition, le 31 mars dernier.

Un proche du jeune garçon aurait aperçu la botte jaune dans la rivière Nicolet, à 150 mètres en aval de la résidence familiale située sur l'Île Lemire, à Sainte-Clotilde-de-Horton.

Il s'agit de la deuxième pièce de vêtement appartenant au disparu à être retrouvée dans le cours d'eau à fort débit. La tuque de Nicolas avait été localisée à quatre kilomètres de son point de départ potentiel, dans les jours suivant le drame.

Les plongeurs de la Sûreté du Québec ont procédé à une patrouille à bord d'un hélicoptère au cours de la journée de lundi afin de cibler de nouvelles zones de recherche.

Ils seront dans les Bois-Francs à compter de mercredi et cette nouvelle découverte devrait dicter leurs recherches.

http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/bo ... icolas.php" onclick="window.open(this.href);return false;

mon dieu j'espere qui trouverons pas des morceaux comme ca un par un, a chaque fois on doit avoir l'impression que le coeur nous dériche en deux, je fais juste le lire et je suis boulversé .

Quelle douleur pour les parents.... Je leur souhaite des tonnes de courage, car ça doit être cauchemardesque, que de vivre un tel drame.

c'est le papa qui a retrouvé la botte de son enfant. ouffffffffff qu'elle douleur