En ce qui concerne les dictats d'un appel d'offre......dans le secteur d'aller chercher une équipe d'hockey, aucune cie ne peut garantir d'en obtenir une, pas plus Québécor d'ailleurs que les autres. le domaine semble assez volatile et le dirigeant de la ligue d'hockey semble être une diva capricieuse comme c'est pas possible faque quand même tu l'exiges dans l'appel d'offre, cela semble t-il peut demeurer hypothétique à cause de facteurs qui n'appartiennent pas juste au bon vouloir de qui a obtenu le contrat. Pour Québécor c'est clair qu'il va tout faire pour en obtenir une, vu son nouveau canal sportif et sa concurrence avec Bell donc c'est fournir le meilleur outil pour ravoir les Nordiques comme une majorité de la population le veut, comme l'indique toujours les nombreux sondages à ce sujet. Moi perso, je me fous pas mal du hockey en soit mais si c'est pour se faire avoir par Bell que personnellement j'aime encore bien moins que Québécor......ben là je dis go mon Régis....Placeress a écrit : [...]
C'est sur qu'entre Bell et Québécor, le choix dans ce cas-ci est facile à faire.... je ne connais pas bien le processus d'appel d'offre dans un cas comme ça, mais il me semble qu'un appel d'offre, oui tu le fais en fonction du prix, mais tu demandes aussi des critères précis et indéniables.
Donc, tu peux faire un appel d'offre généralement en ayant des critères si précis, que finalement tu en reviens à travailler avec la compagnie que tu voulais au départ.
Quand on parle de changement face à des réalités municipales dans nos conseils de ville, certainement que ça se produit souvent.... mais là, on parle de modifier une lois provinciale, pour un projet privé de 500 000 $..... je ne sais pas trop quoi en penser.... en plus qu'il faut quand même réfléchir et élaborer l'élément sur lequel le privé ramasse tous les profits et les québécois les risques.
Faudrait pouvoir retrouver des extraits de la commission pendant le témoignage de Labaume et du conseiller juridique de la ville, car selon ce que j'ai entendu c'est faux le truc de courir tous les risques et je ne voudrais pas courir le risque de citer de mémoire tous les chiffres, la ville retire 4-5 $ du billet de spectacles vendus, plus un loyer de 4 millions quelques avec équipe d'hockey, et 2 millions et quelques sans équipe, etc...le truc qui échoppe pour plusieurs c'est qu'il n'y a pas d'Indexation au coup de la vie pour le loyer dans le temps. C'est une proposition de gré à gré, ce n'est pas le promoteur qui vient quêter à la ville qu'elle lui donne la permission de faire de quoi mais bien 2 partenaires qui discutent un contrat avec des concessions chacun de leur côté comme partout ailleurs. Québécor apporte tout son pouvoir pour obtenir une équipe, plus son désir de se servir d'une bâtisse la plus technologiquement avancée possible pour développer le marché du tournage de films qui présentement ne se fait qu'à Montréal, plus le tournage de ses trucs de Star Académie et divers projets qu'ils monteront dans le futur, plus la possibilité de régénérer un quartier oublié depuis longtemps. Un peu comme le cirque du Soleil voulait faire un moment donné dans une partie de la ville de Montréal. Le gouvernement garantie 200 millions, pas 400 ou 500......et 2 cents millions aujourd'hui pour un projet......
Il y a un projet de 175 millions à Laval qui traine en quelque part pour exactement la même affaire et ce malgré tous les accusations de corruption, etc......et pourtant personne lève les baguettes en l'air. La mairesse Boucher avait engagé des sommes gigantesques pour rénover le palais Montcalm pour le rendre propre à recevoir des orchestres symphoniques ( pour un tout petit nombre d'intéressés ) et mes taxes de ville ont servis là-dedans ainsi que vos taxes provinciales., si on remettait ce projet aux prix actuels, la somme serait multipliée par 3 ou 4 fois même si c'était relativement récent. Dans le meilleur des mondes, tu ramasses ton argent, tu bâtis ton Colisée, tu régénères le quartier et après tu pars à la recherche du équipe qui devient à ce moment là la cerise sur le sunday comme on dit mais l'ouverture pour avoir une équipe n'est pas permanente, soit les équipes en difficultés financières verront leur franchise abandonnée ou seront délocalisées ailleurs comme cela a été le cas pour Winnipeg cette semaine.
