Le père de René et Nathalie Simard lance une autobiographie-choc
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9394
- Inscription : lun. nov. 14, 2005 1:00 am
Mettons que Nathalie Simard aurait été une femme dans les années 70 je ne crois pas qu'elle aurait pu aller sur la place publique et dénoncer la pédophilie, c'était hyper tabou ces choses-là. On murmurait fait attention à un tel "il est aux petits gars" etc. Alors pour certaines choses oui heureusement la société a évolué même si il a encore du chemins à faire. Pour d'autres la société a régressé, je ne me serais pas imaginé dans les années 70 revenir chez-moi pieds nus parce qu'un groupe de jeunes m'auraient volé mes bottes. On évolu d'un bord et on régresse d'un autre. Bien compliqué les êtres humains comme disait mon père...
Max80
Max80
Le mercredi 28 février 2007
Le père des Simard règle ses comptes
Mario Cloutier
La Presse
Jean-Roch Simard en a gros sur le coeur. Longtemps silencieux, le père de Nathalie et de René passe aux aveux dans sa biographie, Au-delà du silence, publiée par Les Intouchables et distribuée hier aux médias. Il s'attaque à celui qui, soutient-il, a causé la rupture de sa famille, Guy Cloutier.
«Le seul véritable méchant de cette histoire a été incarcéré, écrit-il à ses enfants dans ce qu'il appelle son testament. Tous les autres, même s'ils ont parfois une part de responsabilité - moi le premier - ou s'ils ont commis des maladresses, ne sont pas des criminels, mais des êtres humains que cet homme a blessés au cours de son odieux parcours de vie.»
L'autobiographie, à laquelle ont collaboré Danielle Simard et Louise-Marie Lacombe, sortira en kiosque le 7 mars prochain. Elle relate la vie d'un bûcheron, journalier, puis cuisinier, qui a sombré tôt dans l'alcool, maladie dont se serait servi Guy Cloutier, soutient M. Simard, pour prendre le contrôle de la vie et de la carrière de ses enfants.
«Un père sobre n'aurait pas accepté aveuglément de confier à des étrangers la destinée de ses enfants. Mon alcoolisme m'a conduit à poser des gestes que je regretterai toute ma vie. Certaines personnes ont brisé ma famille, mais je leur ai bien involontairement facilité les choses», souligne-t-il.
Le père des p'tits Simard ne s'épargne pas. Il prend sa place «au banc des accusés. Si je me confie aujourd'hui c'est par respect pour tous ceux qui ont tant aimé mes enfants», écrit-il en remerciant le public québécois. Notons que l'ami de Guy Cloutier, l'avocat Léopold Fournier, n'a pas rappelé La Presse hier pour commenter la sortie du livre de Jean-Roch Simard.
Confrontations
Le livre s'ouvre avec les confessions de Nathalie au sujet de Guy Cloutier, geste qui a amené son père à écrire lui aussi sa biographie. C'est tout de même l'histoire de René qui prend toute la place.
«Cloutier a, dès le départ, abusé de la naïveté de René», soutient M. Simard. «Il l'a manipulé sans aucun scrupule. La suite des événements nous a démontré qu'on ne savait pas encore à quel point cet homme était retors», insiste-t-il.
M. Simard décrit un climat de confrontations constantes où il consommait à outrance et était particulièrement irascible. Il sentait qu'il était en train de perdre la bataille, notamment aux yeux de René. Mais le gérant, selon Jean-Roch Simard, s'en serait pris à lui. «J'ai plusieurs fois été victime d'intimidation et de menaces de mort», soutient-il. «Cloutier m'a lui-même menacé ouvertement», ajoute M. Simard.
En 1974, René remporte au Japon un concours international. Jean-Roch Simard constate sur place qu'il est de plus en plus écarté des décisions. Un jour d'octobre 1975, René aurait, à 14 ans, remercié son père de ses services. Celui-ci se dit trop épuisé pour se battre : «C'est correct, je m'en vais. Cloutier a gagné», aurait déclaré le père à l'époque.
Il s'agit de l'épisode le plus difficile de sa vie, écrit-il. Il sombre dans l'alcool, mais trois ans plus tard, la lumière s'allume au bout du tunnel. Son fils Alexis, 13 ans seulement, décide de venir vivre avec lui. Jean-Roch Simard n'aurait plus jamais touché à l'alcool, soit depuis 28 ans, soutenu notamment par un mouvement spirituel qu'il ne nomme pas.
M. Simard termine son livre en s'adressant aussi à la deuxième victime de Guy Cloutier. «Mais si j'oserais, écrit-il, je te demanderais tout de même de sortir de l'ombre et de crier haut et fort que ce n'est nullement ta faute. [...] Cela doit être insoutenable. S'il faut vraiment que quelqu'un aide l'infâme personnage à porter son boulet, laisse-moi le faire à ta place.»
http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... 017/CPARTS --Message edité par Beppo le 2007-02-28 09:09:40--
Le père des Simard règle ses comptes
Mario Cloutier
La Presse
Jean-Roch Simard en a gros sur le coeur. Longtemps silencieux, le père de Nathalie et de René passe aux aveux dans sa biographie, Au-delà du silence, publiée par Les Intouchables et distribuée hier aux médias. Il s'attaque à celui qui, soutient-il, a causé la rupture de sa famille, Guy Cloutier.
«Le seul véritable méchant de cette histoire a été incarcéré, écrit-il à ses enfants dans ce qu'il appelle son testament. Tous les autres, même s'ils ont parfois une part de responsabilité - moi le premier - ou s'ils ont commis des maladresses, ne sont pas des criminels, mais des êtres humains que cet homme a blessés au cours de son odieux parcours de vie.»
L'autobiographie, à laquelle ont collaboré Danielle Simard et Louise-Marie Lacombe, sortira en kiosque le 7 mars prochain. Elle relate la vie d'un bûcheron, journalier, puis cuisinier, qui a sombré tôt dans l'alcool, maladie dont se serait servi Guy Cloutier, soutient M. Simard, pour prendre le contrôle de la vie et de la carrière de ses enfants.
«Un père sobre n'aurait pas accepté aveuglément de confier à des étrangers la destinée de ses enfants. Mon alcoolisme m'a conduit à poser des gestes que je regretterai toute ma vie. Certaines personnes ont brisé ma famille, mais je leur ai bien involontairement facilité les choses», souligne-t-il.
Le père des p'tits Simard ne s'épargne pas. Il prend sa place «au banc des accusés. Si je me confie aujourd'hui c'est par respect pour tous ceux qui ont tant aimé mes enfants», écrit-il en remerciant le public québécois. Notons que l'ami de Guy Cloutier, l'avocat Léopold Fournier, n'a pas rappelé La Presse hier pour commenter la sortie du livre de Jean-Roch Simard.
Confrontations
Le livre s'ouvre avec les confessions de Nathalie au sujet de Guy Cloutier, geste qui a amené son père à écrire lui aussi sa biographie. C'est tout de même l'histoire de René qui prend toute la place.
«Cloutier a, dès le départ, abusé de la naïveté de René», soutient M. Simard. «Il l'a manipulé sans aucun scrupule. La suite des événements nous a démontré qu'on ne savait pas encore à quel point cet homme était retors», insiste-t-il.
M. Simard décrit un climat de confrontations constantes où il consommait à outrance et était particulièrement irascible. Il sentait qu'il était en train de perdre la bataille, notamment aux yeux de René. Mais le gérant, selon Jean-Roch Simard, s'en serait pris à lui. «J'ai plusieurs fois été victime d'intimidation et de menaces de mort», soutient-il. «Cloutier m'a lui-même menacé ouvertement», ajoute M. Simard.
En 1974, René remporte au Japon un concours international. Jean-Roch Simard constate sur place qu'il est de plus en plus écarté des décisions. Un jour d'octobre 1975, René aurait, à 14 ans, remercié son père de ses services. Celui-ci se dit trop épuisé pour se battre : «C'est correct, je m'en vais. Cloutier a gagné», aurait déclaré le père à l'époque.
Il s'agit de l'épisode le plus difficile de sa vie, écrit-il. Il sombre dans l'alcool, mais trois ans plus tard, la lumière s'allume au bout du tunnel. Son fils Alexis, 13 ans seulement, décide de venir vivre avec lui. Jean-Roch Simard n'aurait plus jamais touché à l'alcool, soit depuis 28 ans, soutenu notamment par un mouvement spirituel qu'il ne nomme pas.
M. Simard termine son livre en s'adressant aussi à la deuxième victime de Guy Cloutier. «Mais si j'oserais, écrit-il, je te demanderais tout de même de sortir de l'ombre et de crier haut et fort que ce n'est nullement ta faute. [...] Cela doit être insoutenable. S'il faut vraiment que quelqu'un aide l'infâme personnage à porter son boulet, laisse-moi le faire à ta place.»
http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... 017/CPARTS --Message edité par Beppo le 2007-02-28 09:09:40--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritLe mercredi 28 février 2007
Le père des Simard règle ses comptes
Mario Cloutier
La Presse
Jean-Roch Simard en a gros sur le coeur. Longtemps silencieux, le père de Nathalie et de René passe aux aveux dans sa biographie, Au-delà du silence, publiée par Les Intouchables et distribuée hier aux médias. Il s'attaque à celui qui, soutient-il, a causé la rupture de sa famille, Guy Cloutier.
«Le seul véritable méchant de cette histoire a été incarcéré, écrit-il à ses enfants dans ce qu'il appelle son testament. Tous les autres, même s'ils ont parfois une part de responsabilité - moi le premier - ou s'ils ont commis des maladresses, ne sont pas des criminels, mais des êtres humains que cet homme a blessés au cours de son odieux parcours de vie.»
L'autobiographie, à laquelle ont collaboré Danielle Simard et Louise-Marie Lacombe, sortira en kiosque le 7 mars prochain. Elle relate la vie d'un bûcheron, journalier, puis cuisinier, qui a sombré tôt dans l'alcool, maladie dont se serait servi Guy Cloutier, soutient M. Simard, pour prendre le contrôle de la vie et de la carrière de ses enfants.
«Un père sobre n'aurait pas accepté aveuglément de confier à des étrangers la destinée de ses enfants. Mon alcoolisme m'a conduit à poser des gestes que je regretterai toute ma vie. Certaines personnes ont brisé ma famille, mais je leur ai bien involontairement facilité les choses», souligne-t-il.
Le père des p'tits Simard ne s'épargne pas. Il prend sa place «au banc des accusés. Si je me confie aujourd'hui c'est par respect pour tous ceux qui ont tant aimé mes enfants», écrit-il en remerciant le public québécois. Notons que l'ami de Guy Cloutier, l'avocat Léopold Fournier, n'a pas rappelé La Presse hier pour commenter la sortie du livre de Jean-Roch Simard.
Confrontations
Le livre s'ouvre avec les confessions de Nathalie au sujet de Guy Cloutier, geste qui a amené son père à écrire lui aussi sa biographie. C'est tout de même l'histoire de René qui prend toute la place.
«Cloutier a, dès le départ, abusé de la naïveté de René», soutient M. Simard. «Il l'a manipulé sans aucun scrupule. La suite des événements nous a démontré qu'on ne savait pas encore à quel point cet homme était retors», insiste-t-il.
M. Simard décrit un climat de confrontations constantes où il consommait à outrance et était particulièrement irascible. Il sentait qu'il était en train de perdre la bataille, notamment aux yeux de René. Mais le gérant, selon Jean-Roch Simard, s'en serait pris à lui. «J'ai plusieurs fois été victime d'intimidation et de menaces de mort», soutient-il. «Cloutier m'a lui-même menacé ouvertement», ajoute M. Simard.
En 1974, René remporte au Japon un concours international. Jean-Roch Simard constate sur place qu'il est de plus en plus écarté des décisions. Un jour d'octobre 1975, René aurait, à 14 ans, remercié son père de ses services. Celui-ci se dit trop épuisé pour se battre : «C'est correct, je m'en vais. Cloutier a gagné», aurait déclaré le père à l'époque.
Il s'agit de l'épisode le plus difficile de sa vie, écrit-il. Il sombre dans l'alcool, mais trois ans plus tard, la lumière s'allume au bout du tunnel. Son fils Alexis, 13 ans seulement, décide de venir vivre avec lui. Jean-Roch Simard n'aurait plus jamais touché à l'alcool, soit depuis 28 ans, soutenu notamment par un mouvement spirituel qu'il ne nomme pas.
M. Simard termine son livre en s'adressant aussi à la deuxième victime de Guy Cloutier. «Mais si j'oserais, écrit-il, je te demanderais tout de même de sortir de l'ombre et de crier haut et fort que ce n'est nullement ta faute. [...] Cela doit être insoutenable. S'il faut vraiment que quelqu'un aide l'infâme personnage à porter son boulet, laisse-moi le faire à ta place.»
http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... 017/CPARTS
Je suis extrêmement touchée par cet article, sensiblement, peut-être a cause de ce que je viens de savoir concernant mon propre père. L'argent, l'argent... Il n'y a plus que ca en 2007...
Le père des Simard règle ses comptes
Mario Cloutier
La Presse
Jean-Roch Simard en a gros sur le coeur. Longtemps silencieux, le père de Nathalie et de René passe aux aveux dans sa biographie, Au-delà du silence, publiée par Les Intouchables et distribuée hier aux médias. Il s'attaque à celui qui, soutient-il, a causé la rupture de sa famille, Guy Cloutier.
«Le seul véritable méchant de cette histoire a été incarcéré, écrit-il à ses enfants dans ce qu'il appelle son testament. Tous les autres, même s'ils ont parfois une part de responsabilité - moi le premier - ou s'ils ont commis des maladresses, ne sont pas des criminels, mais des êtres humains que cet homme a blessés au cours de son odieux parcours de vie.»
L'autobiographie, à laquelle ont collaboré Danielle Simard et Louise-Marie Lacombe, sortira en kiosque le 7 mars prochain. Elle relate la vie d'un bûcheron, journalier, puis cuisinier, qui a sombré tôt dans l'alcool, maladie dont se serait servi Guy Cloutier, soutient M. Simard, pour prendre le contrôle de la vie et de la carrière de ses enfants.
«Un père sobre n'aurait pas accepté aveuglément de confier à des étrangers la destinée de ses enfants. Mon alcoolisme m'a conduit à poser des gestes que je regretterai toute ma vie. Certaines personnes ont brisé ma famille, mais je leur ai bien involontairement facilité les choses», souligne-t-il.
Le père des p'tits Simard ne s'épargne pas. Il prend sa place «au banc des accusés. Si je me confie aujourd'hui c'est par respect pour tous ceux qui ont tant aimé mes enfants», écrit-il en remerciant le public québécois. Notons que l'ami de Guy Cloutier, l'avocat Léopold Fournier, n'a pas rappelé La Presse hier pour commenter la sortie du livre de Jean-Roch Simard.
Confrontations
Le livre s'ouvre avec les confessions de Nathalie au sujet de Guy Cloutier, geste qui a amené son père à écrire lui aussi sa biographie. C'est tout de même l'histoire de René qui prend toute la place.
«Cloutier a, dès le départ, abusé de la naïveté de René», soutient M. Simard. «Il l'a manipulé sans aucun scrupule. La suite des événements nous a démontré qu'on ne savait pas encore à quel point cet homme était retors», insiste-t-il.
M. Simard décrit un climat de confrontations constantes où il consommait à outrance et était particulièrement irascible. Il sentait qu'il était en train de perdre la bataille, notamment aux yeux de René. Mais le gérant, selon Jean-Roch Simard, s'en serait pris à lui. «J'ai plusieurs fois été victime d'intimidation et de menaces de mort», soutient-il. «Cloutier m'a lui-même menacé ouvertement», ajoute M. Simard.
En 1974, René remporte au Japon un concours international. Jean-Roch Simard constate sur place qu'il est de plus en plus écarté des décisions. Un jour d'octobre 1975, René aurait, à 14 ans, remercié son père de ses services. Celui-ci se dit trop épuisé pour se battre : «C'est correct, je m'en vais. Cloutier a gagné», aurait déclaré le père à l'époque.
Il s'agit de l'épisode le plus difficile de sa vie, écrit-il. Il sombre dans l'alcool, mais trois ans plus tard, la lumière s'allume au bout du tunnel. Son fils Alexis, 13 ans seulement, décide de venir vivre avec lui. Jean-Roch Simard n'aurait plus jamais touché à l'alcool, soit depuis 28 ans, soutenu notamment par un mouvement spirituel qu'il ne nomme pas.
M. Simard termine son livre en s'adressant aussi à la deuxième victime de Guy Cloutier. «Mais si j'oserais, écrit-il, je te demanderais tout de même de sortir de l'ombre et de crier haut et fort que ce n'est nullement ta faute. [...] Cela doit être insoutenable. S'il faut vraiment que quelqu'un aide l'infâme personnage à porter son boulet, laisse-moi le faire à ta place.»
http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... 017/CPARTS
Je suis extrêmement touchée par cet article, sensiblement, peut-être a cause de ce que je viens de savoir concernant mon propre père. L'argent, l'argent... Il n'y a plus que ca en 2007...
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 7402
- Inscription : jeu. nov. 09, 2006 1:00 am
max80 a écrit il a l'air d'un homme extrêmement honnête, bon et juste, alors moi c'est sur que je veux lire son témoignage. Dommage qu'il ait eu ce problème d'alcool car Guy Cloutier a eu le champs libre. Platte des fois la vie.....
Max80
Ca ferait quand même 28 ans qu'il serait "abstinent"
Est-ce que l'alcool a entrainé sa dépression et ensuite sa séparation ou si c'est sa séparation qui a entrainé une dépression qui a entrainé une surconsommation d'alcool ?
Je reste persuadée que la consommation d'alcool n'est bien souvent que le symptome d'un problème... et non l'inverse...
Max80
Ca ferait quand même 28 ans qu'il serait "abstinent"
Est-ce que l'alcool a entrainé sa dépression et ensuite sa séparation ou si c'est sa séparation qui a entrainé une dépression qui a entrainé une surconsommation d'alcool ?
Je reste persuadée que la consommation d'alcool n'est bien souvent que le symptome d'un problème... et non l'inverse...
Un "projet" est un rêve qu'on décide un jour de réaliser en y mettant la persévérance et le courage qu'il faut... quitte à se donner des coups de pieds au cul tous les matins !!!
[
Si ça fait 28 ans qu'il est abstinent, sa fille avait quoi il y a 28 ans? 11 ou 12 ans? Peut-être même 10....Faut croire que son abstinence ne l'a pas aidé à reprendre le controle de sa vie ni de ses enfants...
Cet homme aime se complaire dans son rôle de victime... C'était déjà visible lors des lettres très personnelles qu'il a adressé à Nathalie via les revues...Si il avait vraiment voulu remettre les pendules à l'heure avec elle, il n'avait pas besoin d'un tel sensationnalisme...Surtout pas pour lui demander un ragout en tout cas
Cet homme aime se complaire dans son rôle de victime... C'était déjà visible lors des lettres très personnelles qu'il a adressé à Nathalie via les revues...Si il avait vraiment voulu remettre les pendules à l'heure avec elle, il n'avait pas besoin d'un tel sensationnalisme...Surtout pas pour lui demander un ragout en tout cas
Annouk a écritSi ça fait 28 ans qu'il est abstinent, sa fille avait quoi il y a 28 ans? 11 ou 12 ans? Peut-être même 10....Faut croire que son abstinence ne l'a pas aidé à reprendre le controle de sa vie ni de ses enfants...
Cet homme aime se complaire dans son rôle de victime... C'était déjà visible lors des lettres très personnelles qu'il a adressé à Nathalie via les revues...Si il avait vraiment voulu remettre les pendules à l'heure avec elle, il n'avait pas besoin d'un tel sensationnalisme...Surtout pas pour lui demander un ragout en tout cas
Faut tout de même savoir ce qu'est un alcoolique. Même sobre ce ne sont pas tous les alcooliques qui peuvent reprendre le contrôle de leur vie.
Cet homme aime se complaire dans son rôle de victime... C'était déjà visible lors des lettres très personnelles qu'il a adressé à Nathalie via les revues...Si il avait vraiment voulu remettre les pendules à l'heure avec elle, il n'avait pas besoin d'un tel sensationnalisme...Surtout pas pour lui demander un ragout en tout cas
Faut tout de même savoir ce qu'est un alcoolique. Même sobre ce ne sont pas tous les alcooliques qui peuvent reprendre le contrôle de leur vie.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
- Fleur de Jasmin
- Intronisé au Panthéon
- Messages : 26283
- Inscription : ven. avr. 09, 2004 12:00 am
Jumbo a écrit
Faut tout de même savoir ce qu'est un alcoolique. Même sobre ce ne sont pas tous les alcooliques qui peuvent reprendre le contrôle de leur vie.
Surtout lorsque ceux qui ont dû le rejeter, ne veulent pas lui redonner de chance. :/
Faut tout de même savoir ce qu'est un alcoolique. Même sobre ce ne sont pas tous les alcooliques qui peuvent reprendre le contrôle de leur vie.
Surtout lorsque ceux qui ont dû le rejeter, ne veulent pas lui redonner de chance. :/


La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
- Fleur de Jasmin
- Intronisé au Panthéon
- Messages : 26283
- Inscription : ven. avr. 09, 2004 12:00 am
linus611 a écritSurtout quand c'est tes propres enfants. Ouf! C'est toute une claque.
Finalement que l'on s'appelle Pierre, Jean ou Jacques on a tous nos préjugés a travailler.
Toute une claque oui, mais dans certains cas, ce n'est pas tant une question de préjugés que de pardon et de confiance à rebâtir.
Finalement que l'on s'appelle Pierre, Jean ou Jacques on a tous nos préjugés a travailler.
Toute une claque oui, mais dans certains cas, ce n'est pas tant une question de préjugés que de pardon et de confiance à rebâtir.


La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)