Choix d'un chef PQ Prise 3
Raven a écrit
Moi ce qui me fait rire, c'est que personne ne comprend vraiment le fonctionnement du vote, moi aussi je suis mêlé. Ceux qui l'expliquent se contredisent tous
Hier un chum qui est pas mal impliqué dans la course ma encore sortie une nouvelle interprétation :
Selon lui, on fait nos 4 choix. Par exemple :
1. Bernard
2. St-André
3. Legendre
4. Boisclair
Pour le premier tour, c'est le premier vote de tout le monde qui compte. Tous les candidats qui n'ont pas obtenu 5% ou un certain pourcentage, sont éliminés. Alors, pour ceux qui avaient ces candidats éliminés, on va chercher leur 2e vote ou prochain vote qui possède un candidat toujours dans la course... Pour ceux que leur premier est toujours là, on reste avec lui.
Pour continuer avec l'exemple, disons qu'après le premier tour, Bernard et St-André n'ont pas eu leur 5%, alors mon vote devient alors pour Legendre qui est mon #3. Disons que 2 autres tours plus tard, il est éliminé lui aussi, et reste uniquement Boisclair/Marois, mon vote devient alors un vote pour Boisclair.
Le pourcentage à obtenir serait par rapport aux nombres de candidats dans le tour. Et il y a des tours jusqu'à un candidat obtienne 50% des votes
C'est de cette façon dont des gens aussi très impliqués dans la campagne me l'ont expliqué. Ce qui m'a donné le raisonnement suivant: ce sera donc les "purs et durs" ou les marginaux qui détiendront la balance du vote pour faire élire le prochain chef du PQ. C'est grâce aux votes des gens qui auront choisi Lebel (ou St-André s'il arrive à obtenir ses 100 signatures) qui feront pencher la balance en faveur d'un des favoris. --Message edité par Skarhet le 2005-08-24 10:52:47--
Moi ce qui me fait rire, c'est que personne ne comprend vraiment le fonctionnement du vote, moi aussi je suis mêlé. Ceux qui l'expliquent se contredisent tous
Hier un chum qui est pas mal impliqué dans la course ma encore sortie une nouvelle interprétation :
Selon lui, on fait nos 4 choix. Par exemple :
1. Bernard
2. St-André
3. Legendre
4. Boisclair
Pour le premier tour, c'est le premier vote de tout le monde qui compte. Tous les candidats qui n'ont pas obtenu 5% ou un certain pourcentage, sont éliminés. Alors, pour ceux qui avaient ces candidats éliminés, on va chercher leur 2e vote ou prochain vote qui possède un candidat toujours dans la course... Pour ceux que leur premier est toujours là, on reste avec lui.
Pour continuer avec l'exemple, disons qu'après le premier tour, Bernard et St-André n'ont pas eu leur 5%, alors mon vote devient alors pour Legendre qui est mon #3. Disons que 2 autres tours plus tard, il est éliminé lui aussi, et reste uniquement Boisclair/Marois, mon vote devient alors un vote pour Boisclair.
Le pourcentage à obtenir serait par rapport aux nombres de candidats dans le tour. Et il y a des tours jusqu'à un candidat obtienne 50% des votes
C'est de cette façon dont des gens aussi très impliqués dans la campagne me l'ont expliqué. Ce qui m'a donné le raisonnement suivant: ce sera donc les "purs et durs" ou les marginaux qui détiendront la balance du vote pour faire élire le prochain chef du PQ. C'est grâce aux votes des gens qui auront choisi Lebel (ou St-André s'il arrive à obtenir ses 100 signatures) qui feront pencher la balance en faveur d'un des favoris. --Message edité par Skarhet le 2005-08-24 10:52:47--
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Pour un peu mieux connaitre le candidat Louis Bernard. Un commentaire d'une personne l'ayant côtoyé et, semble-t-il, apprécié.
Lise Payette
Louis qui?
Louis Bernard
Le grand public ne le connait pas. Par contre, ceux qui ont touché à la politique québécoise depuis les années 70 savent très bien quel rôle a été le sien.
Il a pris tout le monde par surprise. moi la première. Je ne comprenais pas ce qu'il faisait à la télévision, dans un bulletin de nouvelles, jusqu'à ce que je réalise qu'il parlait de son programme comme candidat au leadershwip du Parti québécois. Personne ne l'attendait dans la course. Cet homme discret et calme, dont on avait toujours dit qu'il était un grand serviteur de l'État, a décidé de plonger. Cet homme remarquable, qui a longtemps vécu dans l'ombre, vient d'entre dans la lumière. Librement. Sans que persone ne lui demande d'être candidat, dans organisation, et sans prétention.
Je me suis arrêtée pour l'écouter. Je me suis demandé ce qu'il allait faire dans cete galère, lui qui sait à quel point la vie politique est dure et ingrate. Lui qui a vu des ministres rager ou pleurer sur des dossiers, qui a vu des gesn de pouvoir se briser sous ses yeux, pouquoi quittait-il sa retraite confortable pour s'exposer aux critiques et aux mesquineries d'une course au leadership? Quel démon s'était emparé de cet homme connu pour être raisonnable et super intelligent?
Louis Bernard aurait pu choisir de rester chez lui. Il avait déjà tant fait pour le Québec. Il a plutôt choisi de se retrousser les manchers et de s'embarquer pour "un peu plus haut, un peu plus loin" en espérant mener jusqu'au bout le projet qui l'anime depuis si longtemps : la souveraineté du Québec.
Rien dans les mains, rien dans les poches. Tout dans le coeur et dans la tête.
Personne ne peut contester à Louis Bernard le r^^ole qu'il a joué come secrétaire général du Québec. Il a côtoyé tous les premiers ministres. Il les a conseillés. Il a aidé à corriger le tir chaque fois que les élus pataugeaient dans des dossiers ou à trouver des solutions quand les solutions n'étaient pas évidentes. Je sais. Je l'ai vu faire. Il a souvent tenu le Québec à bout de bras. Brillant, intelligent comme 100, disponible et ouvert, il aborde la politique active avec un autre ton que tous les autres candidats. Ça surprend. Il parle vrai. Il n'a pas d'imgae à protéger parce qu'il n'a pas d'image. Il n'a pas de message préfabriqué par des spécialistes des messages. La langue de bois? Il ne connaît pas.
Louis Bernard a été le bras droit de René Lévesque, Il a aussi été le bras gauche, chaque fois que c'était nécessaire. D'une loyauté sans équivoque, il a participé à tellement d'événement qu'il est un véritable livre d'histoire à lui tout seul.
Que fera-t-il en politique? Ce qu'il dit. Ni plus ni moins. Parce qu'il n'a aucun programme caché, parce qu'il ne joue à rien. Parce qu'il est authentiquement libre. Et parce qu'il connaît le dossiers du Québec sur le bout de ses doigts.
En plus, il est né dans Saint-Henri comme moi. Un petit gars de la rue Saint-Philippe. Le vie dans Saint-Henri dans les années 40-50, ça vous plantait les pieds dans le sol solidement. Ça ne produisait pas de girouettes.
J'ai donc décidé de l'écouter attentivement. Il y en a qui disent qu'il n'a aucune chance d'être élu. Allez donc savoir. Une course à la direction, ça peut être si étonnant.
De toute façon, celui ou celle qui sera élu(e) aura besoin de Louis Bernard pour remplir son mandat. Aussi bien l'écouter, lui aussi. Surtout qu'il chante un air nouveau, Et puis, en plus, dans l'état actuel de la course, tous les candidats ont leur chance.
Lise Payette
Louis qui?
Louis Bernard
Le grand public ne le connait pas. Par contre, ceux qui ont touché à la politique québécoise depuis les années 70 savent très bien quel rôle a été le sien.
Il a pris tout le monde par surprise. moi la première. Je ne comprenais pas ce qu'il faisait à la télévision, dans un bulletin de nouvelles, jusqu'à ce que je réalise qu'il parlait de son programme comme candidat au leadershwip du Parti québécois. Personne ne l'attendait dans la course. Cet homme discret et calme, dont on avait toujours dit qu'il était un grand serviteur de l'État, a décidé de plonger. Cet homme remarquable, qui a longtemps vécu dans l'ombre, vient d'entre dans la lumière. Librement. Sans que persone ne lui demande d'être candidat, dans organisation, et sans prétention.
Je me suis arrêtée pour l'écouter. Je me suis demandé ce qu'il allait faire dans cete galère, lui qui sait à quel point la vie politique est dure et ingrate. Lui qui a vu des ministres rager ou pleurer sur des dossiers, qui a vu des gesn de pouvoir se briser sous ses yeux, pouquoi quittait-il sa retraite confortable pour s'exposer aux critiques et aux mesquineries d'une course au leadership? Quel démon s'était emparé de cet homme connu pour être raisonnable et super intelligent?
Louis Bernard aurait pu choisir de rester chez lui. Il avait déjà tant fait pour le Québec. Il a plutôt choisi de se retrousser les manchers et de s'embarquer pour "un peu plus haut, un peu plus loin" en espérant mener jusqu'au bout le projet qui l'anime depuis si longtemps : la souveraineté du Québec.
Rien dans les mains, rien dans les poches. Tout dans le coeur et dans la tête.
Personne ne peut contester à Louis Bernard le r^^ole qu'il a joué come secrétaire général du Québec. Il a côtoyé tous les premiers ministres. Il les a conseillés. Il a aidé à corriger le tir chaque fois que les élus pataugeaient dans des dossiers ou à trouver des solutions quand les solutions n'étaient pas évidentes. Je sais. Je l'ai vu faire. Il a souvent tenu le Québec à bout de bras. Brillant, intelligent comme 100, disponible et ouvert, il aborde la politique active avec un autre ton que tous les autres candidats. Ça surprend. Il parle vrai. Il n'a pas d'imgae à protéger parce qu'il n'a pas d'image. Il n'a pas de message préfabriqué par des spécialistes des messages. La langue de bois? Il ne connaît pas.
Louis Bernard a été le bras droit de René Lévesque, Il a aussi été le bras gauche, chaque fois que c'était nécessaire. D'une loyauté sans équivoque, il a participé à tellement d'événement qu'il est un véritable livre d'histoire à lui tout seul.
Que fera-t-il en politique? Ce qu'il dit. Ni plus ni moins. Parce qu'il n'a aucun programme caché, parce qu'il ne joue à rien. Parce qu'il est authentiquement libre. Et parce qu'il connaît le dossiers du Québec sur le bout de ses doigts.
En plus, il est né dans Saint-Henri comme moi. Un petit gars de la rue Saint-Philippe. Le vie dans Saint-Henri dans les années 40-50, ça vous plantait les pieds dans le sol solidement. Ça ne produisait pas de girouettes.
J'ai donc décidé de l'écouter attentivement. Il y en a qui disent qu'il n'a aucune chance d'être élu. Allez donc savoir. Une course à la direction, ça peut être si étonnant.
De toute façon, celui ou celle qui sera élu(e) aura besoin de Louis Bernard pour remplir son mandat. Aussi bien l'écouter, lui aussi. Surtout qu'il chante un air nouveau, Et puis, en plus, dans l'état actuel de la course, tous les candidats ont leur chance.
lolilou a écritMoi je comprends toujours pas comment ça va fonctionner le vote...
J'ai lu plus haut un message sur les % de votes des 1ers 2e 3e et 4e choix... et ça me mêle encore plus...
Si j'ai bien compris, pour être élu il faut obtenir 50% des votes au 1er tour.
Il est évident que les pro Boiclair voteront pas pour Marois en 2e et les pro Marois voteront pas pour Boiclair en 2e. Par contre Mr Legendre semble faire l'unanimité des 2e clan en 2e choix.
Alors ce que je me demande, cé si le 2e choix est pris en compte? Si les 36% (chiffre en exemple) de Boiclair et 28% (chiffre d'exemple)sont 36% et 28 % à Legendre (en 2e choix), est-ce qu'il sera élu parce qu'il aura obtenu au dessus de 50%
Je trouve ça ben bizarre ce système de votes... pas logique du tout.
Sa semble être de cette facon Mais c'est difficile d'avoir une confirmation, car lorsqu'ils ont expliqués au début ils ont dit cela de facon différente
Citation :Selon lui, on fait nos 4 choix. Par exemple :
1. Bernard
2. St-André
3. Legendre
4. Boisclair
Pour le premier tour, c'est le premier vote de tout le monde qui compte. Tous les candidats qui n'ont pas obtenu 5% ou un certain pourcentage, sont éliminés. Alors, pour ceux qui avaient ces candidats éliminés, on va chercher leur 2e vote ou prochain vote qui possède un candidat toujours dans la course... Pour ceux que leur premier est toujours là, on reste avec lui.
Pour continuer avec l'exemple, disons qu'après le premier tour, Bernard et St-André n'ont pas eu leur 5%, alors mon vote devient alors pour Legendre qui est mon #3. Disons que 2 autres tours plus tard, il est éliminé lui aussi, et reste uniquement Boisclair/Marois, mon vote devient alors un vote pour Boisclair.
Le pourcentage à obtenir serait par rapport aux nombres de candidats dans le tour. Et il y a des tours jusqu'à un candidat obtienne 50% des votes
J'ai lu plus haut un message sur les % de votes des 1ers 2e 3e et 4e choix... et ça me mêle encore plus...
Si j'ai bien compris, pour être élu il faut obtenir 50% des votes au 1er tour.
Il est évident que les pro Boiclair voteront pas pour Marois en 2e et les pro Marois voteront pas pour Boiclair en 2e. Par contre Mr Legendre semble faire l'unanimité des 2e clan en 2e choix.
Alors ce que je me demande, cé si le 2e choix est pris en compte? Si les 36% (chiffre en exemple) de Boiclair et 28% (chiffre d'exemple)sont 36% et 28 % à Legendre (en 2e choix), est-ce qu'il sera élu parce qu'il aura obtenu au dessus de 50%
Je trouve ça ben bizarre ce système de votes... pas logique du tout.
Sa semble être de cette facon Mais c'est difficile d'avoir une confirmation, car lorsqu'ils ont expliqués au début ils ont dit cela de facon différente
Citation :Selon lui, on fait nos 4 choix. Par exemple :
1. Bernard
2. St-André
3. Legendre
4. Boisclair
Pour le premier tour, c'est le premier vote de tout le monde qui compte. Tous les candidats qui n'ont pas obtenu 5% ou un certain pourcentage, sont éliminés. Alors, pour ceux qui avaient ces candidats éliminés, on va chercher leur 2e vote ou prochain vote qui possède un candidat toujours dans la course... Pour ceux que leur premier est toujours là, on reste avec lui.
Pour continuer avec l'exemple, disons qu'après le premier tour, Bernard et St-André n'ont pas eu leur 5%, alors mon vote devient alors pour Legendre qui est mon #3. Disons que 2 autres tours plus tard, il est éliminé lui aussi, et reste uniquement Boisclair/Marois, mon vote devient alors un vote pour Boisclair.
Le pourcentage à obtenir serait par rapport aux nombres de candidats dans le tour. Et il y a des tours jusqu'à un candidat obtienne 50% des votes
En passant, Jean-Claude Saint-André est maintenant lui aussi candidat officiel, il a déposé 1250 signatures lundi après-midi à 14h. La source de l'information vient d'une membre de son exécutif. J'imagine que les signatures se font présentement vérifier. Les purs et durs du PQ ont maintenant leur candidat
Son site officiel devrait également devenir en ligne bientôt, je viendrais vous copier l'adresse
En attendant :
http://www.assnat.qc.ca/fra/Membres/not ... taj1.shtml
--Message edité par Raven le 2005-08-24 12:50:50--
Son site officiel devrait également devenir en ligne bientôt, je viendrais vous copier l'adresse
En attendant :
http://www.assnat.qc.ca/fra/Membres/not ... taj1.shtml
--Message edité par Raven le 2005-08-24 12:50:50--
Raven a écritEn passant, Jean-Claude Saint-André est maintenant lui aussi candidat officiel, il a déposé 1250 signatures lundi après-midi à 14h. La source de l'information vient d'une membre de son exécutif. J'imagine que les signatures se font présentement vérifier. Les purs et durs du PQ ont maintenant leur candidat
Son site officiel devrait également devenir en ligne bientôt, je viendrais vous copier l'adresse
En attendant :
http://www.assnat.qc.ca/fra/Membres/not ... taj1.shtml
Le site est déjà en ligne mais pas encore dévoilé, il reste quelques trucs à corriger.
Son site officiel devrait également devenir en ligne bientôt, je viendrais vous copier l'adresse
En attendant :
http://www.assnat.qc.ca/fra/Membres/not ... taj1.shtml
Le site est déjà en ligne mais pas encore dévoilé, il reste quelques trucs à corriger.
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- Manitou de la Parlotte
- Messages : 2013
- Inscription : lun. oct. 20, 2003 12:00 am
Louis Bernard promet un référendum rapide. Mais si la population ne donne pas la bonne réponse, comme ce fut le cas les deux premières fois, le PQ, bon prince comme toujours, nous donnera-t-il une autre chance, en tenant un quatrième référendum?
Ma question devrait etre assez claire pour qu'on ne me demande pas encore un fois ou je veux en venir.
Ma question devrait etre assez claire pour qu'on ne me demande pas encore un fois ou je veux en venir.
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
praeteritum a écritLouis Bernard promet un référendum rapide. Mais si la population ne donne pas la bonne réponse, comme ce fut le cas les deux premières fois, le PQ, bon prince comme toujours, nous donnera-t-il une autre chance, en tenant un quatrième référendum?
Ma question devrait etre assez claire pour qu'on ne me demande pas encore un fois ou je veux en venir.
J'ai bon espoir que le troisième sera le bon Nous sommes présentement à 54%, et lors des deux campagnes référendaires précédentes, le camp du oui augmentait de 10%.
En 1980, avant la campagne le Québec était à 30% pour le oui, à la suite des arguments apporter par le camp du oui, ça augmenter à 40%.
En 1995 c'est la même histoire, nous avons passé de 40% à 50%. Cette fois nous pouvons peut-être espérer les 65%
Et si par malheur on perdait encore, ça peu arriver. Le Fédéral va possiblement encore essayer de nous f*****, mais au moins cette fois nous aurons des observateurs internationaux. Donc des trucs comme en 1995 de faire voter du monde 2 fois et plusieurs résidents non Québécois serait dénoncer par l'ONU Mais bon, mettons que nous perdons. Ce sera la fin selon moi du PQ, qui n'aura pas réussi à remplir son rôle.
Mais ce ne sera pas pour autant la fin du mouvement indépendantiste, loin de là D'autres groupes rempliront le trou en emportant de nouvelles solutions. Par exemple l'élection référendaire, certains pourraient même se tourner vers l'autonomiste de l'ADQ, pour accéder à la souveraineté plus graduellement. Et malheureusement, les plus radicaux se tourneraient possiblement vers la lutte armée... Nous avons donc tout intérêt à bien préparer ce troisième référendum, pour bien le gagner dans la paix et démocratiquement, avec l'aide d'observateurs étrangers pour réglementer le tout
Ma question devrait etre assez claire pour qu'on ne me demande pas encore un fois ou je veux en venir.
J'ai bon espoir que le troisième sera le bon Nous sommes présentement à 54%, et lors des deux campagnes référendaires précédentes, le camp du oui augmentait de 10%.
En 1980, avant la campagne le Québec était à 30% pour le oui, à la suite des arguments apporter par le camp du oui, ça augmenter à 40%.
En 1995 c'est la même histoire, nous avons passé de 40% à 50%. Cette fois nous pouvons peut-être espérer les 65%
Et si par malheur on perdait encore, ça peu arriver. Le Fédéral va possiblement encore essayer de nous f*****, mais au moins cette fois nous aurons des observateurs internationaux. Donc des trucs comme en 1995 de faire voter du monde 2 fois et plusieurs résidents non Québécois serait dénoncer par l'ONU Mais bon, mettons que nous perdons. Ce sera la fin selon moi du PQ, qui n'aura pas réussi à remplir son rôle.
Mais ce ne sera pas pour autant la fin du mouvement indépendantiste, loin de là D'autres groupes rempliront le trou en emportant de nouvelles solutions. Par exemple l'élection référendaire, certains pourraient même se tourner vers l'autonomiste de l'ADQ, pour accéder à la souveraineté plus graduellement. Et malheureusement, les plus radicaux se tourneraient possiblement vers la lutte armée... Nous avons donc tout intérêt à bien préparer ce troisième référendum, pour bien le gagner dans la paix et démocratiquement, avec l'aide d'observateurs étrangers pour réglementer le tout
Voila c'est maintenant annoncé
QUEBEC (PC) - Le député de L'Assomption Jean-Claude Saint-André devient le 6e candidat officiel à la succession de Bernard Landry.
La direction du parti a confirmé jeudi que M. Saint-André avait déposé son bulletin de candidature en bonne et due forme. Il rejoint ainsi les André Boisclair, Louis Bernard, Pauline Marois, Richard Legendre et Ghislain Lebel sur la ligne de départ de la course à la direction du Parti québécois.
Le député a expliqué qu'il avait obtenu 1200 signatures d'appui à sa candidature, provenant d'une centaine de circonscrïptions à travers le Québec, dont 200 provenait du comté de L'Assomption qu'il représente à l'Assemblée nationale depuis l'élection complémentaire du 10 juin 1996 .
M. Saint-André entend mettre "des propositions claires sur la table", notamment en ce qui a trait à l'accession du Québec à la souveraineté.
Ces propositions seront rendues publiques au cours des prochaines semaines.
Mais elles ressembleront à celles que le député a mises de l'avant le 16 mars dernier dans une lettre qu'il adressait à son chef de ce temps-là, Bernard Landry.
"Il est primordial d'effectuer des gestes de rupture irréversibles avant même la tenue d'une consultation sur la souveraineté du Québec", écrivait alors le député Saint-André.
Dès son élection un éventuel gouvernement du Parti québécois devrait donc poser des gestes comme instaurer un système d'imposition unique, créer un organisme de réglementation de la radio et de la télévision pour remplacer le CRTC et créer une citoyenneté québécoise, tout cela avant la tenue du référendum sur l'accession à la souveraineté.
"Faire l'indépendance, c'est sortir le Québec du Canada. Cela signifie que la Constitution canadienne ne s'applique plus sur le territoire du Québec. Le peuple du Québec devra décider de sa propre Constitution", soutenait le député Saint-André dans sa lettre.
Ce point de vue du député Saint-André est partagé notamment par des jeunes militants du parti, qui ont adopté une résolution en ce sens lors d'une réunion tenue à Saguenay en mars 2005.
Elle est aussi défendue par le directeur du mensuel L'Action nationale, Robert Laplante, dont la revue défend la création d'un Québec indépendant et progressiste.
Selon ces intervenants, le Parti québécois doit "demander à la population un mandat clair pour réaliser l'indépendance. Aussitôt élus, nous pourrons ainsi enclencher un processus menant à l'indépendance".
C'est le 15 novembre prochain que les 100 000 membres en règle du Parti québécois éliront au vote universel le successeur de Bernard Landry lors d'un scrutin qui sera tenu par téléphone.
Entretemps, le parti met la dernière main à une tournée qui permettra aux candidats de faire connaître leur point de vue lors d'assemblées régionales d'information.
QUEBEC (PC) - Le député de L'Assomption Jean-Claude Saint-André devient le 6e candidat officiel à la succession de Bernard Landry.
La direction du parti a confirmé jeudi que M. Saint-André avait déposé son bulletin de candidature en bonne et due forme. Il rejoint ainsi les André Boisclair, Louis Bernard, Pauline Marois, Richard Legendre et Ghislain Lebel sur la ligne de départ de la course à la direction du Parti québécois.
Le député a expliqué qu'il avait obtenu 1200 signatures d'appui à sa candidature, provenant d'une centaine de circonscrïptions à travers le Québec, dont 200 provenait du comté de L'Assomption qu'il représente à l'Assemblée nationale depuis l'élection complémentaire du 10 juin 1996 .
M. Saint-André entend mettre "des propositions claires sur la table", notamment en ce qui a trait à l'accession du Québec à la souveraineté.
Ces propositions seront rendues publiques au cours des prochaines semaines.
Mais elles ressembleront à celles que le député a mises de l'avant le 16 mars dernier dans une lettre qu'il adressait à son chef de ce temps-là, Bernard Landry.
"Il est primordial d'effectuer des gestes de rupture irréversibles avant même la tenue d'une consultation sur la souveraineté du Québec", écrivait alors le député Saint-André.
Dès son élection un éventuel gouvernement du Parti québécois devrait donc poser des gestes comme instaurer un système d'imposition unique, créer un organisme de réglementation de la radio et de la télévision pour remplacer le CRTC et créer une citoyenneté québécoise, tout cela avant la tenue du référendum sur l'accession à la souveraineté.
"Faire l'indépendance, c'est sortir le Québec du Canada. Cela signifie que la Constitution canadienne ne s'applique plus sur le territoire du Québec. Le peuple du Québec devra décider de sa propre Constitution", soutenait le député Saint-André dans sa lettre.
Ce point de vue du député Saint-André est partagé notamment par des jeunes militants du parti, qui ont adopté une résolution en ce sens lors d'une réunion tenue à Saguenay en mars 2005.
Elle est aussi défendue par le directeur du mensuel L'Action nationale, Robert Laplante, dont la revue défend la création d'un Québec indépendant et progressiste.
Selon ces intervenants, le Parti québécois doit "demander à la population un mandat clair pour réaliser l'indépendance. Aussitôt élus, nous pourrons ainsi enclencher un processus menant à l'indépendance".
C'est le 15 novembre prochain que les 100 000 membres en règle du Parti québécois éliront au vote universel le successeur de Bernard Landry lors d'un scrutin qui sera tenu par téléphone.
Entretemps, le parti met la dernière main à une tournée qui permettra aux candidats de faire connaître leur point de vue lors d'assemblées régionales d'information.
Abysse a écrit
Le site est déjà en ligne mais pas encore dévoilé, il reste quelques trucs à corriger.
http://www.standrepq.org/
Le site est déjà en ligne mais pas encore dévoilé, il reste quelques trucs à corriger.
http://www.standrepq.org/
Plédoyer de Félix Pinel en faveur de J-C St-André
Plusieurs souverainistes croient que le débat sur la stratégie nuit à la
mobilisation autour de notre option, je m'oppose à cette croyance. Croyez-vous
vraiment qu'il soit impossible de concevoir un cadre stratégique qui permette à la
fois au projet d'aboutir à son objectif ultime tout en amenant de nouveaux adhérents
au mouvement?
Lors de la révolution tranquille, les gouvernements de Jean Lesage et de Daniel
Johnson père ont agit en gouvernements nationaux et c'est grâce à une telle gestion
que les Québécois ont commencé à croire en leurs possibilités et à rêver d'un pays
qui serait le leur. Le problème avec le PQ depuis que la stratégie étapiste est
ancrée, c'est que la mobilisation se fait autour d'un référendum, croyez-vous qu'il
s'agisse là de quelque chose qui convaincra les gens d'adhérer au mouvement?
Permettez-moi d'en douter.
Si vous observez les sondages, vous constaterez que l'indépendance est beaucoup plus
populaire que la tenue éventuelle d'un référendum. Lors de la prochaine campagne
électorale, il y aura Mario Dumont et Jean Charest (ou son remplaçant(e)) qui se
feront un malin plaisir d'exploiter cette réalité.
Ce que les gens veulent, c'est un gouvernement qui agira dans l'intérêt national. Si
les Québécois sont si insatisfaits du gouvernement Charest, ce n'est pas tant parce
qu'il est fédéraliste, c'est parce qu'il ne gouverne pas selon les intérêts du
peuple Québecois. Certains péquistes veulent présenter un projet de pays, mais une
fois arrivés au pouvoir ils ne pourraient même pas lui donner suite, l'élection ne
leur suffirait pas. Il leur faudrait attendre un référendum gagnant et d'ici là, ils
gouverneraient en provincialistes avec les moyens que Ottawa leur concède, se
contentant de sauver les meubles dans une gestion à la petite semaine. Voyez, Ottawa
s'immisce de plus en plus en éducation avec l'assentiment de la FEUQ et de la FECQ
et dans le financement des municipalités au grand plaisir des mairies. Dans cette
gestion provinciale où Ottawa prendra de plus en plus de place, croyez-vous qu'il
soit possible de percer la muraille de ceux qui n'adhèrent pas à notre option?
Sincèrement, j'ai de sérieuses réserves.
Pour ma part, ce à quoi je crois et rêve, c'est un gouvernement qui dès son
élection, se comporterait comme celui d'une NATION. Il siégerait à l'Assemblée
Nationale, après tout. Un gouvernement qui répondrait coup pour coup à celui qui
tente de bâtir une autre nation coast to coast en passant sur notre territoire. Un
gouvernement qui par ses actions et sa gestion nationale prouverait aux citoyens
qu'il est le meilleur défenseur du bien commun de ce peuple. Selon moi, c'est la
seule façon réaliste d'amener de nouveaux adhérents à notre projet. Une fois que ce
gouvernement eût fait progresser les intérêts nationaux de notre peuple
suffisamment, alors là il serait temps de tenir un référendum, sur la sécession si
le faut vraiment, mais encore mieux sur une constitution par le peuple et pour le
peuple. Une constitution qui supplanterait celle du Canada à plate couture. Une
offre que personne ne pourrait refuser. Pas une constitution néolibérale rédigée par
des technocrates comme celle refusée par les français, avec raison. Une constitution
qui donnerait aux Québécois des garanties sociales qu'ils n'ont pas présentement,
qui assurerait la survivance de notre nation en cette terre d'Amérique et plus
encore...
Je ne crois vraiment pas qu'un projet de pays conditionnel à une victoire
référendaire sera très convaincant lors de la prochaine campagne électorale, car les
gens qui se foutent de la politique ne veulent rien savoir d'un gouvernement qui n'a
pas confiance en lui et qui a besoin de deux victoires par scrutin
(élection+référendum) pour agir. Les Québécois veulent un gouvernement qui agira
dans leur intérêt et ce, dès l'élection.
Seul Jean-Claude St-André, député de l'Assomption, offrira aux Québécois un
gouvernement national qui agira dès son élection afin d'en arriver à faire du Québec
un pays libre, souverain et indépendant.
Plusieurs souverainistes croient que le débat sur la stratégie nuit à la
mobilisation autour de notre option, je m'oppose à cette croyance. Croyez-vous
vraiment qu'il soit impossible de concevoir un cadre stratégique qui permette à la
fois au projet d'aboutir à son objectif ultime tout en amenant de nouveaux adhérents
au mouvement?
Lors de la révolution tranquille, les gouvernements de Jean Lesage et de Daniel
Johnson père ont agit en gouvernements nationaux et c'est grâce à une telle gestion
que les Québécois ont commencé à croire en leurs possibilités et à rêver d'un pays
qui serait le leur. Le problème avec le PQ depuis que la stratégie étapiste est
ancrée, c'est que la mobilisation se fait autour d'un référendum, croyez-vous qu'il
s'agisse là de quelque chose qui convaincra les gens d'adhérer au mouvement?
Permettez-moi d'en douter.
Si vous observez les sondages, vous constaterez que l'indépendance est beaucoup plus
populaire que la tenue éventuelle d'un référendum. Lors de la prochaine campagne
électorale, il y aura Mario Dumont et Jean Charest (ou son remplaçant(e)) qui se
feront un malin plaisir d'exploiter cette réalité.
Ce que les gens veulent, c'est un gouvernement qui agira dans l'intérêt national. Si
les Québécois sont si insatisfaits du gouvernement Charest, ce n'est pas tant parce
qu'il est fédéraliste, c'est parce qu'il ne gouverne pas selon les intérêts du
peuple Québecois. Certains péquistes veulent présenter un projet de pays, mais une
fois arrivés au pouvoir ils ne pourraient même pas lui donner suite, l'élection ne
leur suffirait pas. Il leur faudrait attendre un référendum gagnant et d'ici là, ils
gouverneraient en provincialistes avec les moyens que Ottawa leur concède, se
contentant de sauver les meubles dans une gestion à la petite semaine. Voyez, Ottawa
s'immisce de plus en plus en éducation avec l'assentiment de la FEUQ et de la FECQ
et dans le financement des municipalités au grand plaisir des mairies. Dans cette
gestion provinciale où Ottawa prendra de plus en plus de place, croyez-vous qu'il
soit possible de percer la muraille de ceux qui n'adhèrent pas à notre option?
Sincèrement, j'ai de sérieuses réserves.
Pour ma part, ce à quoi je crois et rêve, c'est un gouvernement qui dès son
élection, se comporterait comme celui d'une NATION. Il siégerait à l'Assemblée
Nationale, après tout. Un gouvernement qui répondrait coup pour coup à celui qui
tente de bâtir une autre nation coast to coast en passant sur notre territoire. Un
gouvernement qui par ses actions et sa gestion nationale prouverait aux citoyens
qu'il est le meilleur défenseur du bien commun de ce peuple. Selon moi, c'est la
seule façon réaliste d'amener de nouveaux adhérents à notre projet. Une fois que ce
gouvernement eût fait progresser les intérêts nationaux de notre peuple
suffisamment, alors là il serait temps de tenir un référendum, sur la sécession si
le faut vraiment, mais encore mieux sur une constitution par le peuple et pour le
peuple. Une constitution qui supplanterait celle du Canada à plate couture. Une
offre que personne ne pourrait refuser. Pas une constitution néolibérale rédigée par
des technocrates comme celle refusée par les français, avec raison. Une constitution
qui donnerait aux Québécois des garanties sociales qu'ils n'ont pas présentement,
qui assurerait la survivance de notre nation en cette terre d'Amérique et plus
encore...
Je ne crois vraiment pas qu'un projet de pays conditionnel à une victoire
référendaire sera très convaincant lors de la prochaine campagne électorale, car les
gens qui se foutent de la politique ne veulent rien savoir d'un gouvernement qui n'a
pas confiance en lui et qui a besoin de deux victoires par scrutin
(élection+référendum) pour agir. Les Québécois veulent un gouvernement qui agira
dans leur intérêt et ce, dès l'élection.
Seul Jean-Claude St-André, député de l'Assomption, offrira aux Québécois un
gouvernement national qui agira dès son élection afin d'en arriver à faire du Québec
un pays libre, souverain et indépendant.
Raven a écrit
http://www.standrepq.org/
bitchez pas trop sur la mise en page c'est mon chumqui l'a fait. mais oui sa face est un peu presque bcp trop grosse dessus.
http://www.standrepq.org/
bitchez pas trop sur la mise en page c'est mon chumqui l'a fait. mais oui sa face est un peu presque bcp trop grosse dessus.
