Personnellement le projet de l'indépendance n'est pas le projet d'un ou de quelques individus, mais un projet de peuple et pour le peuple....
Il ne faudrait pas en conclure pour autant que ceux qui votent NON sont contre le peuple.
Ça serait trop facile.
(Je ne fais que reprendre ton message: ma réponse est générale)
Il est justement là le problème, le peuple c'est beaucoup plus que les adeptes du PQ et je trouve que ça divise plus que ça rassemble de s'approprier ce mot lourd de sens quand on est minoritaire.
Jamais au grand jamais je ne perçois le peuple comme étant les adeptes du PQ... et c'est très mal me lire car ça n'a jamais été mon discours non plus.
Si le peuple vote non au prochain référendum... je respecte ça au plus haut point... j'ai toujours eu ce discours et je l'aurai toujours.
Il ne faudrait pas en conclure pour autant que ceux qui votent NON sont contre le peuple.
Ça serait trop facile.
(Je ne fais que reprendre ton message: ma réponse est générale)
Et je n'ai jamais eu ce discours non plus.... c'est un projet de peuple, que ce soit un oui ou un non.... le projet constitutionnel est un projet de société.... et non un projet d'individu.... le fédéralisme est aussi un projet de société.... c'est deux façons de voir qui sont différentes mais ce sont des projets de peuple.
Tu as bien raison. L'île d'Anticosti ça ne vous tente pas? Y'a du pétrole en plus ça l'air.
Si je déménage ce serait pas dans le reste du Canada, tant qu'à faire, je pense que j'irais dans un pays où il y a du bon vin et de la bonne bouffe... J'apprendrais l'italien
Ha mon dieu Danie... tu vas vraiment chercher des arguments de peur des années 1980 sur la clarté de la question .... ça ne parlait pas de la question.... bref... j'embarque pas dans ça... c'est réellement une perte de temps d'entrer dans ce genre d'argumentaire en ce qui me concerne.
Tu peux rester en dehors de ça pour ne pas perdre ton temps si tu veux mais c'était concernant le référendum de 95 et non celui de 1980. Et ça touchait directement les implications de la conséquences d'un OUI au référendum. Et les conséquences d'un OUI à un éventuel troisième référendum sont toujours d'actualité.
J'ajouterais aussi que de répondre uniquement que c'est un viel "argument pour faire peur au monde" n'est pas une réponse acceptable. Parce que ce n'est pas une réponse, justement.
Si je déménage ce serait pas dans le reste du Canada, tant qu'à faire, je pense que j'irais dans un pays où il y a du bon vin et de la bonne bouffe... J'apprendrais l'italien
Continueremo la discussione in lingua italiana. Sarete in grado di praticare la lingua.
Tu ne dois pas avoir vu mes au bout, mais juste au cas où je précise que c'est une joke.
Même si on rit, ça ne veut pas dire que c'est drôle pour autant. Ce n'est pas mon manque d'humour qui m'a empêchée de la rire, mais bien plus le côté divisible des québécois que le PQ promeut. Pis ça je trouve ça plus triste que risible.
Tu peux rester en dehors de ça pour ne pas perdre ton temps si tu veux mais c'était concernant le référendum de 95 et non celui de 1980. Et ça touchait directement les implications de la conséquences d'un OUI au référendum. Et les conséquences d'un OUI à un éventuel troisième référendum sont toujours d'actualité.
J'ajouterais aussi que de répondre uniquement que c'est un viel "argument pour faire peur au monde" n'est pas une réponse acceptable. Parce que ce n'est pas une réponse, justement.
Je sais que c'est en 1995.... mais le discours sur la clareté de la question référendaire est le même que celui qui mentionne que le PQ cache son plan souverainiste... c'est des discours de peur en ce qui me concerne. Les mêmes qui ont débuté en 1980.... j'aime discuter avec des fédéralistes sur des échanges d'idée.... mais pas sur ce genre d'arguments que je considères inutiles...
Surtout quand tu pousses ton discours à dire que 50 % des gens qui ont voté oui croyaient qu'ils votaient pour rester dans la fédération... tsé faut pousser mais pousser égal...
Donc oui, ma réponse restera la même réponse que tu évalue comme n'en étant pas une..... c'est ben correct pour moi
Au même titre que j'ai respecté le Non au dernier.... on peut ne pas être en accord, on peut s'être senti floué par certains comportements et action du fédéral.... mais je respecte les gens qui votent non... ce n'est pas parce qu'on argument et qu'on discute que le respect n'est pas là.....
Même si on rit, ça ne veut pas dire que c'est drôle pour autant. Ce n'est pas mon manque d'humour qui m'a empêchée de la rire, mais bien plus le côté divisible des québécois que le PQ promeut. Pis ça je trouve ça plus triste que risible.
Le PQ n'a pas demandé à personne de quitter le Québec, ce sont les anglophones et quelques francophones qui menacent de quitter le Québec si on fait la souveraineté. En ce sens, ils ne sont pas mieux que les étudiants et leur revendication, ils font du chantage pour qu'on laisse tomber le projet. Donc, s'ils veulent quitter et bien qu'ils quittent, mais qu'ils le fassent avant de prendre la décision pour nous qui voulons la souveraineté.
Je sais que c'est en 1995.... mais le discours sur la clareté de la question référendaire est le même que celui qui mentionne que le PQ cache son plan souverainiste... c'est des discours de peur en ce qui me concerne. Les mêmes qui ont débuté en 1980.... j'aime discuter avec des fédéralistes sur des échanges d'idée.... mais pas sur ce genre d'arguments que je considères inutiles...
Surtout quand tu pousses ton discours à dire que 50 % des gens qui ont voté oui croyaient qu'ils votaient pour rester dans la fédération... tsé faut pousser mais pousser égal...
Donc oui, ma réponse restera la même réponse que tu évalue comme n'en étant pas une..... c'est ben correct pour moi
Je sais que je suis plate dans mes réponses mais c'est vrai. Pourquoi je raconterais des histoires?
Quelques jours après le référendum de 1995, un sondage confirmait que 52 % des électeurs qui avaient voté « oui » à la question référendaire, pensaient que leur « oui » signifiait qu’ils allaient rester dans le Canada. 50,000 voix séparaient bien les deux camps, mais dans le camp du « oui », il y avait des « oui » qui ressemblaient drôlement à des « non ». Parizeau dit toujours que le Québec d’alors est passé à un cheveu de faire un pays. Je n’en suis pas convaincu. L’utilisation de la « cage à homard » n’aurait sans doute pas été acceptée par les Nations-Unies et le Québec aurait sans doute été obligé de recommencer l’exercice. La démarche péquiste de l’époque a engendré la loi sur la clarté venue d’Ottawa. Si le Québec avait été clair dans sa démarche avec la partie avec lequel il voulait s’associer, cette loi n’aurait jamais été votée.