Témoins de Jéhovah :
Ti-radis a écrit
Je n'ai pas seulement parlé de religion Dove* j'ai parlé que tout choix que tu fais dans l'éducation de tes enfants, tu le fais à partir de TES références, de TON système de valeur et tu l'imposes automatiquement à tes enfants.
On pointe toujours les gens croyants comme imposant LEURS valeurs à leurs enfants, mais tout le monde impose ces valeurs à ses enfants. Tu écoutes du classique à la maison ? tu viens de former l'oreille de ton enfant à la musique classique, plutot qu'au jazz, ou au country. Tu valorises le sport dans ta vie ? tu transmettras cette valeur à tes enfants. Tu lis beaucoup ? il y a de fortes probabilités que tes enfants soient ouverts à la lecture. Tu ne lis pas ? tu viens de transmettre un autre message, etc etc etc
Quand tu éleves des enfants, il n'y a pas de neutralité possible, tu les éleves avec ce que tu es, avec ce que tu crois, avec ce que tu dis, avec ce que tu ne dis pas, avec ce que tu fais, etc.
Tout à fait exact. On prône l'importance de l'environnement familial depuis des décennies. Invariablement, il déteint sur les membres qui composent la cellule-famille. Comme on entend souvent dire : « On ne retient pas des voisins. ».
Je n'ai pas seulement parlé de religion Dove* j'ai parlé que tout choix que tu fais dans l'éducation de tes enfants, tu le fais à partir de TES références, de TON système de valeur et tu l'imposes automatiquement à tes enfants.
On pointe toujours les gens croyants comme imposant LEURS valeurs à leurs enfants, mais tout le monde impose ces valeurs à ses enfants. Tu écoutes du classique à la maison ? tu viens de former l'oreille de ton enfant à la musique classique, plutot qu'au jazz, ou au country. Tu valorises le sport dans ta vie ? tu transmettras cette valeur à tes enfants. Tu lis beaucoup ? il y a de fortes probabilités que tes enfants soient ouverts à la lecture. Tu ne lis pas ? tu viens de transmettre un autre message, etc etc etc
Quand tu éleves des enfants, il n'y a pas de neutralité possible, tu les éleves avec ce que tu es, avec ce que tu crois, avec ce que tu dis, avec ce que tu ne dis pas, avec ce que tu fais, etc.
Tout à fait exact. On prône l'importance de l'environnement familial depuis des décennies. Invariablement, il déteint sur les membres qui composent la cellule-famille. Comme on entend souvent dire : « On ne retient pas des voisins. ».
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Tout à fait exact. On prône l'importance de l'environnement familial depuis des décennies. Invariablement, il déteint sur les membres qui composent la cellule-famille. Comme on entend souvent dire : « On ne retient pas des voisins. ».
en passant je voulais dire que je m'étais trompée, je ne voulais pas rayer une partie de mon texte mais le surligner, désolé, mais je suis contente de voir que tu saisis mon message
Tout à fait exact. On prône l'importance de l'environnement familial depuis des décennies. Invariablement, il déteint sur les membres qui composent la cellule-famille. Comme on entend souvent dire : « On ne retient pas des voisins. ».
en passant je voulais dire que je m'étais trompée, je ne voulais pas rayer une partie de mon texte mais le surligner, désolé, mais je suis contente de voir que tu saisis mon message
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Mysterylife a écritJe sais, j'ai écrit que je quittais et se topic et le dôme, mais j'ai une question qui me chatouille
Pour celles qui ont des enfants. Si ils seraient malades et ayant besoin de soin médicaux et qu'à l'âge de 15 ans les enfants feraient un refus de traitements, comment ces mêmes personnes qui prônent le libre choix réagiraient-elles? Elles feraient rien de rien? Je n'ai pas d'enfants, mais ce que je peux te dire, c'est que si ça m'arrivait, c'est bien possible que je ne le prenne pas bien. Ça dépend du problème de santé et du cas. Si tu as un enfant qui a déjà subi la greffe d'un organe, qui fait un rejet et qui rendu à 15 ou 16 ans ne veut plus passer par là encore, bien peut-être que même si j'aimerais qu'il se batte, probablement que je comprendrais son choix. Mais si j'avais un enfant qui avait vraiment besoin d'une transfusion et qui dirait non...? C'est sûr que ça ne serait pas évident.
C'est sûr que dans ce cas-ci, les parents et l'enfant ont visiblement le même point de vue, donc c'est un peu différent.
Pour celles qui ont des enfants. Si ils seraient malades et ayant besoin de soin médicaux et qu'à l'âge de 15 ans les enfants feraient un refus de traitements, comment ces mêmes personnes qui prônent le libre choix réagiraient-elles? Elles feraient rien de rien? Je n'ai pas d'enfants, mais ce que je peux te dire, c'est que si ça m'arrivait, c'est bien possible que je ne le prenne pas bien. Ça dépend du problème de santé et du cas. Si tu as un enfant qui a déjà subi la greffe d'un organe, qui fait un rejet et qui rendu à 15 ou 16 ans ne veut plus passer par là encore, bien peut-être que même si j'aimerais qu'il se batte, probablement que je comprendrais son choix. Mais si j'avais un enfant qui avait vraiment besoin d'une transfusion et qui dirait non...? C'est sûr que ça ne serait pas évident.
C'est sûr que dans ce cas-ci, les parents et l'enfant ont visiblement le même point de vue, donc c'est un peu différent.
Picasims a écritMais c'est la fille qui veut avoir le contrôle de ses transfusions, pas ses parents en effet, c'est simplement que certaines personnes ne croient pas que la jeune fille soit apte à prendre sa déision ayant pu être influencé par ses parents, or nous avons mis cela en parallèle avec la loi qui permet à des jeunes filles de 14 ans de consulter en privé un docteur et de faire des choix important et significatif d'ordre médicaux.
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Tant et aussi longtemps que l'enfant demeure sous le toit familial, il devrait être obligé de suivre les règles établies par ses parents.
Si un parent refuse que son enfant soit soigner et que celui-ci demeure avec des sequelles le reste de sa vie où en meurt, le parent devrait être pousuivi en justice.
ce n'est que mon avis et je ne m'obstinerai pas pour gagner mon point de vue.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Boule à mites a écrit Je n'ai pas d'enfants, mais ce que je peux te dire, c'est que si ça m'arrivait, c'est bien possible que je ne le prenne pas bien. Ça dépend du problème de santé et du cas. Si tu as un enfant qui a déjà subi la greffe d'un organe, qui fait un rejet et qui rendu à 15 ou 16 ans ne veut plus passer par là encore, bien peut-être que même si j'aimerais qu'il se batte, probablement que je comprendrais son choix. Mais si j'avais un enfant qui avait vraiment besoin d'une transfusion et qui dirait non...? C'est sûr que ça ne serait pas évident.
C'est sûr que dans ce cas-ci, les parents et l'enfant ont visiblement le même point de vue, donc c'est un peu différent. c'est jamais évident et j'espère ne jamais passer par là... mais ma belle-soeur est passée par-là, elle a fait interner de force son fils mineur, parce qu'il était drogué au max et faisait des délires psychotiques, il lui en veut à mort (il a été en isolement nu 3 jours sur un matelat de plastique), même si elle lui a dit qu'elle a fait ça pour son bien pour le sauver de la mort, mais là il y avait aussi la maladie mentale
Mais il y a aussi le cas d'une de mes amies d'enfance qui a eu le cancer à 15 ans, à sa deuxième récidive, vers 17 ans tout le monde en a eu assez, c'était très très dur, et ils ont pris la décision le papa, la maman et la fille, d'en finir en douceur, le personnel médical a respecté leur décision... que ce serait-il arrivé si un docteur avit opposé son véto et décidé qu'on repartait pour une ronde de chimio ou autre ?
C'est sûr que dans ce cas-ci, les parents et l'enfant ont visiblement le même point de vue, donc c'est un peu différent. c'est jamais évident et j'espère ne jamais passer par là... mais ma belle-soeur est passée par-là, elle a fait interner de force son fils mineur, parce qu'il était drogué au max et faisait des délires psychotiques, il lui en veut à mort (il a été en isolement nu 3 jours sur un matelat de plastique), même si elle lui a dit qu'elle a fait ça pour son bien pour le sauver de la mort, mais là il y avait aussi la maladie mentale
Mais il y a aussi le cas d'une de mes amies d'enfance qui a eu le cancer à 15 ans, à sa deuxième récidive, vers 17 ans tout le monde en a eu assez, c'était très très dur, et ils ont pris la décision le papa, la maman et la fille, d'en finir en douceur, le personnel médical a respecté leur décision... que ce serait-il arrivé si un docteur avit opposé son véto et décidé qu'on repartait pour une ronde de chimio ou autre ?
Ti-radis a écrit
Je n'ai pas seulement parlé de religion Dove* j'ai parlé que tout choix que tu fais dans l'éducation de tes enfants, tu le fais à partir de TES références, de TON système de valeur et tu l'imposes automatiquement à tes enfants.
On pointe toujours les gens croyants comme imposant LEURS valeurs à leurs enfants, mais tout le monde impose ces valeurs à ses enfants. Tu écoutes du classique à la maison ? tu viens de former l'oreille de ton enfant à la musique classique, plutot qu'au jazz, ou au country. Tu valorises le sport dans ta vie ? tu transmettras cette valeur à tes enfants. Tu lis beaucoup ? il y a de fortes probabilités que tes enfants soient ouverts à la lecture. Tu ne lis pas ? tu viens de transmettre un autre message, etc etc etc
Quand tu éleves des enfants, il n'y a pas de neutralité possible, tu les éleves avec ce que tu es, avec ce que tu crois, avec ce que tu dis, avec ce que tu ne dis pas, avec ce que tu fais, etc.
Et pour revenir à la religion, si tu décides de les élever dans la foi, c'est ton choix, mais si tu décides de ne pas les élever dans la foi c'est encore ton choix, et c,est encore par ton système de valeur que tu décides que l'un est meilleur que l'autre.
Je sais tout ça, ce que moi je veux dire c'est que tout en leur faisant découvrir ce que moi je considère important je suis prête à accepter que mes enfants n'y adhèrent pas... et par le fait même je suis prête aussi à aller avec eux à la découverte de ce que je connais moins... si ça peut les aider à faire le tri de leurs priorités moi je veux bien!
Je n'ai pas seulement parlé de religion Dove* j'ai parlé que tout choix que tu fais dans l'éducation de tes enfants, tu le fais à partir de TES références, de TON système de valeur et tu l'imposes automatiquement à tes enfants.
On pointe toujours les gens croyants comme imposant LEURS valeurs à leurs enfants, mais tout le monde impose ces valeurs à ses enfants. Tu écoutes du classique à la maison ? tu viens de former l'oreille de ton enfant à la musique classique, plutot qu'au jazz, ou au country. Tu valorises le sport dans ta vie ? tu transmettras cette valeur à tes enfants. Tu lis beaucoup ? il y a de fortes probabilités que tes enfants soient ouverts à la lecture. Tu ne lis pas ? tu viens de transmettre un autre message, etc etc etc
Quand tu éleves des enfants, il n'y a pas de neutralité possible, tu les éleves avec ce que tu es, avec ce que tu crois, avec ce que tu dis, avec ce que tu ne dis pas, avec ce que tu fais, etc.
Et pour revenir à la religion, si tu décides de les élever dans la foi, c'est ton choix, mais si tu décides de ne pas les élever dans la foi c'est encore ton choix, et c,est encore par ton système de valeur que tu décides que l'un est meilleur que l'autre.
Je sais tout ça, ce que moi je veux dire c'est que tout en leur faisant découvrir ce que moi je considère important je suis prête à accepter que mes enfants n'y adhèrent pas... et par le fait même je suis prête aussi à aller avec eux à la découverte de ce que je connais moins... si ça peut les aider à faire le tri de leurs priorités moi je veux bien!
Ti-radis a écrit c'est jamais évident et j'espère ne jamais passer par là... mais ma belle-soeur est passée par-là, elle a fait interner de force son fils mineur, parce qu'il était drogué au max et faisait des délires psychotiques, il lui en veut à mort (il a été en isolement nu 3 jours sur un matelat de plastique), même si elle lui a dit qu'elle a fait ça pour son bien pour le sauver de la mort, mais là il y avait aussi la maladie mentale
Mais il y a aussi le cas d'une de mes amies d'enfance qui a eu le cancer à 15 ans, à sa deuxième récidive, vers 17 ans tout le monde en a eu assez, c'était très très dur, et ils ont pris la décision le papa, la maman et la fille, d'en finir en douceur, le personnel médical a respecté leur décision... que ce serait-il arrivé si un docteur avit opposé son véto et décidé qu'on repartait pour une ronde de chimio ou autre ?
Si c'est le message que cette petite fille a reçu ben pas étonnant qu'elle refusait les traitements!
Mais il y a aussi le cas d'une de mes amies d'enfance qui a eu le cancer à 15 ans, à sa deuxième récidive, vers 17 ans tout le monde en a eu assez, c'était très très dur, et ils ont pris la décision le papa, la maman et la fille, d'en finir en douceur, le personnel médical a respecté leur décision... que ce serait-il arrivé si un docteur avit opposé son véto et décidé qu'on repartait pour une ronde de chimio ou autre ?
Si c'est le message que cette petite fille a reçu ben pas étonnant qu'elle refusait les traitements!
Dove* a écrit Si c'est le message que cette petite fille a reçu ben pas étonnant qu'elle refusait les traitements!
tout le monde, c'est elle même, en premier, et les autres membres de son entourage ensuite, en accord avec elle-même !!! Assez de la souffrance, des vomissements, des pertes de cheveux, de la plaie ouverte qui ne guérit pas. Et à 17 ans on ne parle plus d'une petite fille quand même. On parle d'un personne qui a déjà connu deux cancers, deux séries de traitements invasifs et qui sait que ces chances d'avoir une vie longue et heureuse sont nulles. --Message edité par Ti-Radis le 2006-09-05 09:17:18--
tout le monde, c'est elle même, en premier, et les autres membres de son entourage ensuite, en accord avec elle-même !!! Assez de la souffrance, des vomissements, des pertes de cheveux, de la plaie ouverte qui ne guérit pas. Et à 17 ans on ne parle plus d'une petite fille quand même. On parle d'un personne qui a déjà connu deux cancers, deux séries de traitements invasifs et qui sait que ces chances d'avoir une vie longue et heureuse sont nulles. --Message edité par Ti-Radis le 2006-09-05 09:17:18--
Thewinneris a écritJe trouves que les parents sont en droit de refuser des traitements à leur enfants si le traitement ne guérie pas et restrain la qualité de vie ou si les parents veulent tenter d'autres solutions qui sont moins drastiques comme pour le cas des enfants hyper-actif. Je trouves qu'ils sont en droit de choisir la façon de traiter.
Mais si le traitement à pour résultat de sauvé la vie ou guérir c'est à la médcine de tancher.
Ceci n'est que mon opinion. Je suis d'accord avec toi. La différence entre un enfant prématuré et une transfusion sanguine, c'est que le premier risque de voir sa vie hypothéquée ainsi que les parents puisqu'il y aura eu en quelque sorte acharnement thérapeutique...(exemple un enfant qui resterait dans un état végétatif) alors qu'avec le second, on ne parle que de sauver ou guérir. A-t-on le droit de laisser mourir son enfant au bout de son sang et que les médecins ne puissent rien faire à cause des croyances des parents? Si ça ne concernaient qu'eux-mêmes ça passerait peut-être et encore...mais là on parle d'enfants...
Mais si le traitement à pour résultat de sauvé la vie ou guérir c'est à la médcine de tancher.
Ceci n'est que mon opinion. Je suis d'accord avec toi. La différence entre un enfant prématuré et une transfusion sanguine, c'est que le premier risque de voir sa vie hypothéquée ainsi que les parents puisqu'il y aura eu en quelque sorte acharnement thérapeutique...(exemple un enfant qui resterait dans un état végétatif) alors qu'avec le second, on ne parle que de sauver ou guérir. A-t-on le droit de laisser mourir son enfant au bout de son sang et que les médecins ne puissent rien faire à cause des croyances des parents? Si ça ne concernaient qu'eux-mêmes ça passerait peut-être et encore...mais là on parle d'enfants...
"L'âme n'a point de secret que la conduite ne révèle."
puce28 a écrit Je suis d'accord avec toi. La différence entre un enfant prématuré et une transfusion sanguine, c'est que le premier risque de voir sa vie hypothéquée ainsi que les parents puisqu'il y aura eu en quelque sorte acharnement thérapeutique...(exemple un enfant qui resterait dans un état végétatif) alors qu'avec le second, on ne parle que de sauver ou guérir. A-t-on le droit de laisser mourir son enfant au bout de son sang et que les médecins ne puissent rien faire à cause des croyances des parents? Si ça ne concernaient qu'eux-mêmes ça passerait peut-être et encore...mais là on parle d'enfants...
On parle du cas de la jeune fille de 15 ans ici? Où s'est indiqué qu'elle est en train de mourir au bout de son sang
On parle du cas de la jeune fille de 15 ans ici? Où s'est indiqué qu'elle est en train de mourir au bout de son sang
tipet a écrit
On parle du cas de la jeune fille de 15 ans ici? Où s'est indiqué qu'elle est en train de mourir au bout de son sang
C'est un débat, on discute ;) Je donnais un cas hypotétique comme d'autres on donné l'exemple de l'avortement ou des enfants nés avant terme. Le fait d'empêcher un traitement à son enfant par croyance religieuse me fait croire que ma question est pertinente et en plein dans le sujet :-)
On parle du cas de la jeune fille de 15 ans ici? Où s'est indiqué qu'elle est en train de mourir au bout de son sang
C'est un débat, on discute ;) Je donnais un cas hypotétique comme d'autres on donné l'exemple de l'avortement ou des enfants nés avant terme. Le fait d'empêcher un traitement à son enfant par croyance religieuse me fait croire que ma question est pertinente et en plein dans le sujet :-)
"L'âme n'a point de secret que la conduite ne révèle."
J'étais certaine que quelqu'un allait me passer cette remarque quand j'ai écris mon post ;-) Mais que ce soit cette jeune fille de 15 ans qui refuse des transfusions ou une autre de 11 ans qui se fait frapper par une voiture et a besoin de transfusions sanguines pour survivre..qu'elle est la différence si le refus est basé sur la même croyance religieuse? --Message edité par puce28 le 2006-09-06 14:11:54--
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puce28 a écritJ'étais certaine que quelqu'un allait me passer cette remarque quand j'ai écris mon post ;-) Mais que ce soit cette jeune fille de 15 ans qui refuse des transfusions ou une autre de 11 ans qui se fait frapper par une voiture et a besoin de transfusions sanguines pour survivre..qu'elle est la différence si le refus est basé sur la même croyance religieuse? L'âge de l'enfant.
puce28 a écritJ'étais certaine que quelqu'un allait me passer cette remarque quand j'ai écris mon post ;-) Mais que ce soit cette jeune fille de 15 ans qui refuse des transfusions ou une autre de 11 ans qui se fait frapper par une voiture et a besoin de transfusions sanguines pour survivre..qu'elle est la différence si le refus est basé sur la même croyance religieuse?
C'était une vraie question, pas une remarque Je me demandais vraiment si cette jeune fille était en train de mourir ou si c'était juste un traitement parmi tant d'autre. Sans plus.
C'était une vraie question, pas une remarque Je me demandais vraiment si cette jeune fille était en train de mourir ou si c'était juste un traitement parmi tant d'autre. Sans plus.
tipet a écrit
C'était une vraie question, pas une remarque Je me demandais vraiment si cette jeune fille était en train de mourir ou si c'était juste un traitement parmi tant d'autre. Sans plus.
Désolée ;) De toute façon ça ne m'aurait pas offusquée. Seulement des fois si on bifurque un tant soit peu on se le fait dire.
C'était une vraie question, pas une remarque Je me demandais vraiment si cette jeune fille était en train de mourir ou si c'était juste un traitement parmi tant d'autre. Sans plus.
Désolée ;) De toute façon ça ne m'aurait pas offusquée. Seulement des fois si on bifurque un tant soit peu on se le fait dire.
"L'âme n'a point de secret que la conduite ne révèle."
Boule à mites a écrit L'âge de l'enfant. Ce que je voulais dire c'est puisque c'est la religion qui motive son refus à cette jeune fille de 15 ans, serait-ce aussi valable selon vous que les parents refusent un traitement dans un cas de survie puisque cette décision reposerait sur la même croyance?. Voilà une meilleure formulation
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puce28 a écrit Ce que je voulais dire c'est puisque c'est la religion qui motive son refus à cette jeune fille de 15 ans, serait-ce aussi valable selon vous que les parents refusent un traitement dans un cas de survie puisque cette décision reposerait sur la même croyance?. Voilà une meilleure formulation Je ne sais pas si je comprends le sens de ta question.
Je n'affirme pas que le choix de la jeune fille lui appartient parce qu'il est d'origine religieuse, mais tout simplement parce que c'est son choix à elle, peu importe sur quoi il se base. Elle a plus de 14 ans.
Je ne fais pas de distinction entre les raisons qui poussent les parents à prendre une décision plutôt qu'une autre. Pour certains c'est la religion, pour d'autres des croyances en des médecines alternatives, et pour d'autres encore ça peut être toute autre chose... --Message edité par Boule à mites le 2006-09-06 18:58:41--
Je n'affirme pas que le choix de la jeune fille lui appartient parce qu'il est d'origine religieuse, mais tout simplement parce que c'est son choix à elle, peu importe sur quoi il se base. Elle a plus de 14 ans.
Je ne fais pas de distinction entre les raisons qui poussent les parents à prendre une décision plutôt qu'une autre. Pour certains c'est la religion, pour d'autres des croyances en des médecines alternatives, et pour d'autres encore ça peut être toute autre chose... --Message edité par Boule à mites le 2006-09-06 18:58:41--