Legendre veut un plan menant en ligne droite à la souveraineté
Par Louise Bédard
Richard Legendre fait campagne à la chefferie du Parti québécois en plaidant en faveur de l'adoption d'un plan clair menant en droite ligne à la souveraineté du Québec.
En coureur de fond, Richard Legendre, 52 ans, sillonne le Québec depuis déjà deux mois. Mercredi dernier, il s'arrêtait à Saint-Jean-sur-Richelieu pour faire valoir sa candidature auprès des péquistes de la région.
L'ancien ministre responsable de la Jeunesse, du Tourisme, du Loisir et du Sport mise sur la grande participation des militants au vote et l'adhésion de plusieurs nouveaux membres pour l'emporter devant le favori, André Boisclair, et pour coiffer aussi à l'arrivée Pauline Marois.
Avec le président de l'association péquiste du comté de Saint-Jean, Dave Turcotte qui travaille à sa campagne, M. Legendre a rencontré des péquistes des comtés de Saint-Jean et de Chambly et a pris un bain de foule à l'International de montgolfières.
Premier à déposer officiellement sa candidature en juin dernier, le député de Blainville se définit comme un candidat représentant à la fois l'expérience et le renouveau. Ancien directeur de Tennis Canada à Montréal à qui on doit les Internationaux du Canada, il fait valoir un profil de gestionnaire différent des autres aspirants rappelant son passé d'organisateur et de «réalisateur de projets» comme il se décrit.
«Les militants sont en mode magasinage», analyse-t-il espérant les convaincre en se présentant comme l'homme ayant un plan d'action les menant en ligne droite vers la souveraineté.
L'adhésion de nouveaux militants au parti l'encourage, raconte-t-il tout en s'attendant à une forte participation grâce au vote téléphonique. Ce mode de scrutin serait de nature à favoriser le vote des militants, particulièrement ceux des régions, une clientèle qu'il tente de rallier. Une vraie décentralisation du gouvernement dans un Québec souverain constituera d'ailleurs un des thèmes principaux de sa plate-forme. Il considère que la récupération de nouvelles marges de manoeuvres d'Ottawa permettrait même de donner un nouveau pouvoir de taxation aux élus locaux.
Souveraineté
M. Legendre dit constater sur le terrain que les Québécois souhaitent du renouveau et veulent un leader qui saura parler clairement du projet d'un pays souverain.
En faisant référence à des sondages récents, il évalue que les citoyens sont prêts à faire un autre grand pas vers la souveraineté. Mais les Québécois veulent savoir comment se déroulera la première année de l'accession à l'indépendance. Richard Legendre juge nécessaire de proposer un plan de match clair et de donner un contenu étoffé au projet souverainiste.
Il entend répondre à la question posée par monsieur Tout-le-Monde: la souveraineté, qu'est ce que ça donne? «Il faut faire la démonstration financière que la souveraineté est nécessaire», dit-il. C'est dans cette optique que son collègue François Legault présentait un budget de l'an 1 en mai dernier et concluait qu'un Québec indépendant réaliserait un gain financier de 17,1 milliards sur cinq ans.
«Les gens sentent qu'ils sont actuellement dans un cul de sac», ajoute Richard Legendre en parlant du système fédéral actuel. Ça prend une nouvelle marge de manoeuvre pour le Québec, explique-t-il en s'engageant à démontrer qu'il y a urgence de faire la souveraineté. Pour lui, il est aberrant d'attendre Ottawa pour réaliser des projets en éducation, un domaine de juridiction provinciale. Il veut d'ailleurs faire de l'éducation sa grande priorité, la pierre d'assise du développement de la société québécoise.
Enfin, Richard Legendre n'est pas inquiet des lendemains de la course à la chefferie estimant que le projet de pays saura rallier tous les péquistes. Tout le monde est conscient de l'enjeu, conclut-il.
Choix d'un chef PQ Prise 3
"Ma candidature a beaucoup progressé"
Richard Legendre en campagne dans la région
Par Hugo de Grandpré
Canton De Granby - Au deuxième rang - à égalité avec Pauline Marois - dans plusieurs sondages, le candidat Richard Legendre se réjouit de l'allure que prend la course à direction du Parti québécois.
"Ma candidature a beaucoup progressé depuis le 21 juin dernier", a convenu hier le député de Blainville, de passage à Granby à l'occasion d'un souper organisé par l'exécutif du Parti québécois au restaurant Chez Plumet.
Celui qui a en quelque sorte joué les seconds violons à la suite du refus de son complice François Legault d'entrer dans la course explique cette popularité par le désir de renouveau qui anime les membres du parti.
Renouveau
"Les gens voient en moi le renouveau d'un point de vue politique - j'ai quatre ans de vie politique, alors je pense que l'on peut parler de renouveau. Mais surtout, ils aiment l'expérience, l'autre expérience que j'ai, c'est-à-dire d'avoir fait autre chose que de la politique, d'avoir été impliqué dans d'autres domaines, comme dirigeant d'entreprise et réalisateur de projets."
M. Legendre aurait visité près de 40 villes depuis le début de sa campagne. Et la tournée se poursuit jusqu'au 15 novembre, date à laquelle voteront les militants. Point central de sa campagne, la souveraineté occupe une bonne partie de ses discussions, avoue-t-il.
"Je dis toujours qu'il faut que l'enjeu de la prochaine élection soit très très clair. La vraie solution pour l'avenir du Québec est de contrôler 100 % de nos revenus, de nos dépenses et de nos décisions. Alors c'est clair qu'il faut mettre le cap sur le projet de pays, de façon à ce que les gens sachent qu'ils ne choisissent pas seulement le Parti québécois. Ils choisissent le Parti québécois et la solution qu'on propose."
Décentralisation
Cette souveraineté, selon lui, devra se faire "avant l'adoption d'un deuxième budget" par un gouvernement péquiste. "C'est quand on va contrôler 90 milliards de budget au lieu de 55 que l'on va être capables de décentraliser et de faire en sorte que cet argent-là soit géré au niveau local et régional au lieu de tout faire gérer par Québec."
En plus de plaider en faveur d'un pouvoir financier accru des régions, il préconise le développement de créneaux d'excellence, c'est-à-dire le développement de secteurs industriels spécifiques pour chaque région.
D'autres politiciens locaux étaient également présents hier, dont le député bloquiste de Shefford, Robert Vincent, et Léandre Dion, député du PQ dans St-Hyacinthe.
Richard Legendre en campagne dans la région
Par Hugo de Grandpré
Canton De Granby - Au deuxième rang - à égalité avec Pauline Marois - dans plusieurs sondages, le candidat Richard Legendre se réjouit de l'allure que prend la course à direction du Parti québécois.
"Ma candidature a beaucoup progressé depuis le 21 juin dernier", a convenu hier le député de Blainville, de passage à Granby à l'occasion d'un souper organisé par l'exécutif du Parti québécois au restaurant Chez Plumet.
Celui qui a en quelque sorte joué les seconds violons à la suite du refus de son complice François Legault d'entrer dans la course explique cette popularité par le désir de renouveau qui anime les membres du parti.
Renouveau
"Les gens voient en moi le renouveau d'un point de vue politique - j'ai quatre ans de vie politique, alors je pense que l'on peut parler de renouveau. Mais surtout, ils aiment l'expérience, l'autre expérience que j'ai, c'est-à-dire d'avoir fait autre chose que de la politique, d'avoir été impliqué dans d'autres domaines, comme dirigeant d'entreprise et réalisateur de projets."
M. Legendre aurait visité près de 40 villes depuis le début de sa campagne. Et la tournée se poursuit jusqu'au 15 novembre, date à laquelle voteront les militants. Point central de sa campagne, la souveraineté occupe une bonne partie de ses discussions, avoue-t-il.
"Je dis toujours qu'il faut que l'enjeu de la prochaine élection soit très très clair. La vraie solution pour l'avenir du Québec est de contrôler 100 % de nos revenus, de nos dépenses et de nos décisions. Alors c'est clair qu'il faut mettre le cap sur le projet de pays, de façon à ce que les gens sachent qu'ils ne choisissent pas seulement le Parti québécois. Ils choisissent le Parti québécois et la solution qu'on propose."
Décentralisation
Cette souveraineté, selon lui, devra se faire "avant l'adoption d'un deuxième budget" par un gouvernement péquiste. "C'est quand on va contrôler 90 milliards de budget au lieu de 55 que l'on va être capables de décentraliser et de faire en sorte que cet argent-là soit géré au niveau local et régional au lieu de tout faire gérer par Québec."
En plus de plaider en faveur d'un pouvoir financier accru des régions, il préconise le développement de créneaux d'excellence, c'est-à-dire le développement de secteurs industriels spécifiques pour chaque région.
D'autres politiciens locaux étaient également présents hier, dont le député bloquiste de Shefford, Robert Vincent, et Léandre Dion, député du PQ dans St-Hyacinthe.
Les candidats au leadership péquiste s'affronteront au cours de sept débats
QUEBEC (PC) - Les candidats à la succession de Bernard Landry s'affronteront à sept reprises lors de débats organisés par le Parti québécois.
Le premier de ces débats se tiendra à Sherbrooke le 21 septembre, dans la ville qui a élu le premier ministre Jean Charest, et le dernier sera tenu à Gatineau le 9 novembre, dans la ville qui fait face à la capitale fédérale.
"Il faut y voir un symbole. C'est un message très clair que l'on veut envoyer tant au chef du gouvernement québécois qu'au gouvernement fédéral", a expliqué vendredi la présidente du parti, Mme Monique Richard, en dévoilant les modalités de ces sept débats.
Les autres débats se tiendront à Montréal le 28 septembre, à Trois-Rivières le 12 octobre, à Québec le 19 octobre, à Rimouski le 26 octobre et à Saguenay le 2 novembre.
Chaque débat portera sur un thème précis. Les candidats parleront tour à tour des finances publiques, de développement durable, de culture, de souveraineté, de développement régional, d'éducation et de santé.
Les membres pourront poser des questions aux différents candidats. "On est le seul parti politique à soumettre le futur chef du parti à sept épreuves de ce genre", a dit Mme Richard.
Puis, du 13 au 15 novembre, les quelque 100 000 membres du Parti québécois seront appelés à élire leur chef par un vote électronique tenu au téléphone. Chaque membre devra formuler quatre choix dans un ordre de préférence.
Si aucun candidat n'obtient une majorité absolue au premier tour, les candidats n'ayant pas obtenu au moins 15 pour cent des suffrages seront éliminés de la liste et on recomptera les votes en tenant compte des deuxièmes choix de chaque voteur. On répétera le processus en retirant le dernier candidat de la liste jusqu'à ce qu'un candidat recueille la majorité absolue.
Selon la présidente de ce scrutin, Mme Lyne Marcoux, toutes les mesures de sécurité ont été prises pour éviter des fraudes ou le cafouillage technique. Chaque voteur recevra par la poste avant le scrutin un numéro confidentiel d'identification qui garantira qu'il sera le seul à pouvoir voter sous son nom.
Le parti évalue à 100 000 militants le nombre de ceux seront habilités à voter, soit les quelque 80 000 membres actuels et une vingtaine de milliers d'autres qui auront renouvelé leur membership d'ici le 14 octobre prochain, soit la date limite pour adhérer au parti et avoir le droit de vote.
Les résultats du scrutin seront dévoilés le mardi 15 novembre en soirée lors d'une assemblée publique au Centre de foires de Québec. Cette assemblée sera tenue le jour même du 29e anniversaire de l'élection du premier gouvernement du Parti québécois avec René Lévesque, le 15 novembre 1976.
Le Parti québécois est la seule formation politique québécoise d'importance à choisir son chef au scrutin universel des membres du parti.
Actuellement, six candidats sont officiellement inscrits pour succéder à Bernard Landry. Ce sont Louis Bernard, Pauline Marois, André Boisclair, Richard Legendre, Ghislain Lebel et Jean-Claude Saint-André. La date limite pour le dépôt d'autres candidatures est fixée au 15 septembre.
Daniel Turp appuie André Boisclair
Mise à jour le vendredi 26 août 2005 à 17 h 32
Daniel Turp a finalement décidé de ne pas joindre les rangs des candidats à la direction du PQ et de donner son appui à André Boisclair.
Dans une lettre au quotidien Le Devoir, M. Turp écrit en être venu à la conclusion « qu'il serait difficile pour lui d'être un candidat majeur dans cette course. »
Il estime par ailleurs que de tous les candidats, André Boisclair est celui qui « est le plus à même de mobiliser les membres du PQ et d'amener de nombreux nouveaux membres au parti. »
Six candidats sont actuellement officiellement candidats à la succession de Bernard Landry: Louis Bernard, André Boisclair, Ghislain Lebel, Pauline Marois, Jean-Claude Saint-André et Richard Legendre.
Le nouveau chef sera choisi le 15 novembre.
Mise à jour le vendredi 26 août 2005 à 17 h 32
Daniel Turp a finalement décidé de ne pas joindre les rangs des candidats à la direction du PQ et de donner son appui à André Boisclair.
Dans une lettre au quotidien Le Devoir, M. Turp écrit en être venu à la conclusion « qu'il serait difficile pour lui d'être un candidat majeur dans cette course. »
Il estime par ailleurs que de tous les candidats, André Boisclair est celui qui « est le plus à même de mobiliser les membres du PQ et d'amener de nombreux nouveaux membres au parti. »
Six candidats sont actuellement officiellement candidats à la succession de Bernard Landry: Louis Bernard, André Boisclair, Ghislain Lebel, Pauline Marois, Jean-Claude Saint-André et Richard Legendre.
Le nouveau chef sera choisi le 15 novembre.
La campagne à la direction du Parti Québécois doit nous permettre de nous rapprocher de la réalisation de notre objectif fondamental : l'indépendance du Québec. Pour que cette course à la direction du Parti Québécois soit vraiment utile, il est essentiel que non seulement les membres actuels, mais aussi les anciens membres de même que les citoyennes et les citoyens sensibles à la cause du Québec fassent le nécessaire pour pouvoir y participer. Cette fois-ci doit être la bonne. Comme prochain chef du Parti Québécois, je m'engage solennellement à tout mettre en oeuvre pour que le Québec prenne sa place à la table des nations. Cela ne sera pas seulement une affaire de crédibilité personnelle. La démarche aussi doit être crédible. Des gestes de souveraineté devront être posés dès la prise du pouvoir par le Parti Québécois.
Le peuple québécois est mûr pour se prendre en main et le Parti Québécois doit lui témoigner toute sa confiance. En conséquence, le Parti Québécois doit avoir la franchise et le courage de se présenter devant l'électorat en annonçant clairement ses couleurs. Celles d'un gouvernement national, le gouvernement national du peuple québécois.
Lors de la prochaine campagne électorale, le Parti Québécois doit demander à la population du Québec un mandat pour conduire une politique nationale. Pas un mandat pour gérer le Québec avec le peu de moyens que lui consent le Canada; pas un mandat pour gouverner une province ni, encore moins, un mandat pour parler d'indépendance en attendant les conditions gagnantes ou l'assurance morale de gagner un référendum.
L'indépendance presse! Et il est pressant de dire que de voter pour le Parti Québécois, c'est voter pour amorcer démocratiquement un processus d'abandon du statut provincial et pour poser les gestes et les actions qui permettront au peuple de se prononcer sur les institutions et le régime dans lequel il veut proclamer et vivre son indépendance!
Jean-Claude St-André
Député de L'Assomption
Candidat à la direction du Parti Québécois
Le peuple québécois est mûr pour se prendre en main et le Parti Québécois doit lui témoigner toute sa confiance. En conséquence, le Parti Québécois doit avoir la franchise et le courage de se présenter devant l'électorat en annonçant clairement ses couleurs. Celles d'un gouvernement national, le gouvernement national du peuple québécois.
Lors de la prochaine campagne électorale, le Parti Québécois doit demander à la population du Québec un mandat pour conduire une politique nationale. Pas un mandat pour gérer le Québec avec le peu de moyens que lui consent le Canada; pas un mandat pour gouverner une province ni, encore moins, un mandat pour parler d'indépendance en attendant les conditions gagnantes ou l'assurance morale de gagner un référendum.
L'indépendance presse! Et il est pressant de dire que de voter pour le Parti Québécois, c'est voter pour amorcer démocratiquement un processus d'abandon du statut provincial et pour poser les gestes et les actions qui permettront au peuple de se prononcer sur les institutions et le régime dans lequel il veut proclamer et vivre son indépendance!
Jean-Claude St-André
Député de L'Assomption
Candidat à la direction du Parti Québécois
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Scoubidoux
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Citation :Si aucun candidat n'obtient une majorité absolue au premier tour, les candidats n'ayant pas obtenu au moins 15 pour cent des suffrages seront éliminés de la liste et on recomptera les votes en tenant compte des deuxièmes choix de chaque voteur. On répétera le processus en retirant le dernier candidat de la liste jusqu'à ce qu'un candidat recueille la majorité absolue.
Euh....si je calcul bien, ça veut dire qu'une personne n'ayant pas la majorité peut être élue et ça risque justement d'être le cas.
Avec le nombre de candidats potentiels, ce ne serait pas du tout étonnant qu'une seule personne réussisse à avoir au dessus de 15% sans toutefois avec la majorité de 50%.
Euh....si je calcul bien, ça veut dire qu'une personne n'ayant pas la majorité peut être élue et ça risque justement d'être le cas.
Avec le nombre de candidats potentiels, ce ne serait pas du tout étonnant qu'une seule personne réussisse à avoir au dessus de 15% sans toutefois avec la majorité de 50%.
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Scoubidoux
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Boisclair, Marois et Legendre ne devrait pas avoir de problèmes à obtenir 15% Et si par un gros malheurs, moins de 2 candidats seulement passe au 2e tour, j'imagine que le pourcentage sera diminué... Car chose certaine, on ne peut pas avoir un chef qui n'a pas son 50% Imagine les débats lors de sprochaines élections, il ne ferait pas sérieux quand la majorité de son propre partie ne le veut pas comme chef
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Scoubidoux
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
On ne peut pas se fier à la popularité d'un, deux ou trois candidats pour dire qu'il n'y aura pas de problèmes. On ne sait jamais ce qui peut arriver. Boisclair peut bien perdre des plumes, d'autres candidats peuvent se faire avantageusement découvrir.
Toujours est-il que le mode d'élection, d'après ce que je viens de lire, n'a aucun sens et peut justement conduire à une impasse. Je ne sais pas si c'est décidé de cette façon définitivement mais, ça n'a aucun sens.
Ce mode de scrutin ne peut pas fonctionner au-delà de 6 candidats. Et ce, seulement pour être certain d'avoir un candidat ramassant plus de 15% sans pour autant qu'il atteigne le 50%.
Toujours est-il que le mode d'élection, d'après ce que je viens de lire, n'a aucun sens et peut justement conduire à une impasse. Je ne sais pas si c'est décidé de cette façon définitivement mais, ça n'a aucun sens.
Ce mode de scrutin ne peut pas fonctionner au-delà de 6 candidats. Et ce, seulement pour être certain d'avoir un candidat ramassant plus de 15% sans pour autant qu'il atteigne le 50%.
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Scoubidoux
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Scoubidoux a écritMe semble que ça fait un peu broche a fois d'ajuster le pourcentage d'admissibilité seulement après les résultats du premier tour.
Il serait plus simple, selon moi, de donner un nombre X de candidats passant au second tour. Exemple, les 4 plus hauts pourcentages du premier tour vont au deuxième.
C'est pas fou... Mais en même temps, le pourcentage n'est pas coulé dans le béton. J'imagine que le 15% a été choisi par rapport aux 6 candidats actuels. Si d'autres s'ajoutent, ce sera possiblement diminué Personnellement j'aimerais mieux 10% Car avec 15%, ça va finir en 2 ou 3 tours gros max. Le 4e est pratiquement impossible
Il serait plus simple, selon moi, de donner un nombre X de candidats passant au second tour. Exemple, les 4 plus hauts pourcentages du premier tour vont au deuxième.
C'est pas fou... Mais en même temps, le pourcentage n'est pas coulé dans le béton. J'imagine que le 15% a été choisi par rapport aux 6 candidats actuels. Si d'autres s'ajoutent, ce sera possiblement diminué Personnellement j'aimerais mieux 10% Car avec 15%, ça va finir en 2 ou 3 tours gros max. Le 4e est pratiquement impossible
Je viens de recevoir un téléphone du Parti Québécois ! Le 22 septembre je vais participer à un pré-vote formatif pour évaluer et tester le système de vote. On est 1000 membres de sélectionner, c'est en quelque sorte une répétition pour être certain que tout le système fonctionne.
Je vais donc être bon pour venir vous expliquer en détail comment ça se déroule
Va falloir voter pour une couleur, moi je prédis la victoire du bleu
Je vais donc être bon pour venir vous expliquer en détail comment ça se déroule
Va falloir voter pour une couleur, moi je prédis la victoire du bleu
Raven a écritJe viens de recevoir un téléphone du Parti Québécois ! Le 22 septembre je vais participer à un pré-vote formatif pour évaluer et tester le système de vote. On est 1000 membres de sélectionner, c'est en quelque sorte une répétition pour être certain que tout le système fonctionne.
Je vais donc être bon pour venir vous expliquer en détail comment ça se déroule
Va falloir voter pour une couleur, moi je prédis la victoire du bleu
Faudrait faire ds essais pour hacker le système pour s'assurer de sa sécurité aussi
Je vais donc être bon pour venir vous expliquer en détail comment ça se déroule
Va falloir voter pour une couleur, moi je prédis la victoire du bleu
Faudrait faire ds essais pour hacker le système pour s'assurer de sa sécurité aussi
NetRoll a écrit
Faudrait faire ds essais pour hacker le système pour s'assurer de sa sécurité aussi
Ouais.. De la façon que le gars m'a expliqué rapidement au téléphone. Nous allons tous recevoir un code secret par la poste quelques jours ou semaines avant le vote, et au téléphone il faudra l'indiquer avant de voter. Dans ma tête ça sonnait en quelque sorte "cd-key", je me suis donc dit qu'une sorte de generator pourrait risquer d'être conçu, afin de trouver la logique dans les codes attribués. Donc, j'espère qu'ils ont pensé à demander d'autres informations comme la date de fête...
Faudrait faire ds essais pour hacker le système pour s'assurer de sa sécurité aussi
Ouais.. De la façon que le gars m'a expliqué rapidement au téléphone. Nous allons tous recevoir un code secret par la poste quelques jours ou semaines avant le vote, et au téléphone il faudra l'indiquer avant de voter. Dans ma tête ça sonnait en quelque sorte "cd-key", je me suis donc dit qu'une sorte de generator pourrait risquer d'être conçu, afin de trouver la logique dans les codes attribués. Donc, j'espère qu'ils ont pensé à demander d'autres informations comme la date de fête...
Trois nouveaux députés du Bloc Québécois appuient André Boisclair
AgenceNews
Trois nouveaux députés du Bloc Québécois appuient André Boisclair dans la course à la direction du Parti Québécois.
L'appui de Bernard Cleary, député de la circonscrïption de Louis-Saint-
Laurent, de Christian Simard, député de Beauport-Limoilou et de Sébastien
Gagnon, député de la circonscrïption de Jonquière-Alma porte à treize le
nombre de députés bloquistes ayant choisi de se ranger derrière le candidat
Boisclair.
L'annonce de ces appuis s'est faite dans le cadre de l'ouverture du local
du Comité André Boisclair à Québec. Plusieurs personnalités appuyant André
Boisclair étaient présentes à cet événement dont Rosaire Bertrand, député de Charlevoix et responsable de l'organisation d'André Boisclair dans la capitale nationale, Richard Marceau, Réal Lapierre et Guy Côté, respectivement député du Bloc Québécois de Charlesbourg-Haute-Saint Charles, Lévis-Bellechasse et Portneuf-Jacques-Cartier de même que les anciens députés Diane Barbeau, Michel Côté, André Gaulin, Linda Goupil et Claude Lachance. José De Trinidad, porte-parole des jeunes de la région de la Capitale-Nationale et Jerry Beaudoin, président des jeunes de la région de Chaudière-Appalaches étaient également présents. Soulignons qu'André Boisclair est le seul candidat à la direction du Parti Québécois à avoir un local dans la capitale.
"André Boisclair combine la force de leadership et l'ouverture dont le
Parti Québécois a présentement besoin pour rallier les Québécois et
Québécoises de divers horizons à la souveraineté du Québec", a déclaré Bernard Cleary, député de Louis-Saint-Laurent.
"J'ai la profonde conviction qu'André Boisclair saura inspirer les
Québécois et réaliser le pays du Québec. Je suis également persuadé qu'il est celui qui conduira le Parti Québécois à la victoire électorale et référendaire dans la région", a déclaré pour sa part Christian Simard, député de la circonscrïption de Beauport-Limoilou.
Enfin, le député du Bloc Québécois de Jonquière-Alma, monsieur Sébastien
Gagnon, a déclaré que : "André Boisclair s'avère le meilleur candidat pour
faire le pont entre les générations. De plus, il souhaite que les régions
bénéficient de vrais pouvoirs afin qu'elles s'épanouissent et qu'elles soient en mesure de créer des emplois et de freiner l'exode des jeunes."
"Je suis très heureux de ces nouveaux appuis. Aux prochaines élections,
les gens de la région de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches vont faire la différence. Je vais tout mettre en oeuvre pour que le Parti Québécois regagne leur confiance. Il s'agit pour moi d'une priorité. L'ouverture d'un local de campagne à Québec aujourd'hui s'inscrit dans cette volonté", a déclaré André Boisclair.
AgenceNews
Trois nouveaux députés du Bloc Québécois appuient André Boisclair dans la course à la direction du Parti Québécois.
L'appui de Bernard Cleary, député de la circonscrïption de Louis-Saint-
Laurent, de Christian Simard, député de Beauport-Limoilou et de Sébastien
Gagnon, député de la circonscrïption de Jonquière-Alma porte à treize le
nombre de députés bloquistes ayant choisi de se ranger derrière le candidat
Boisclair.
L'annonce de ces appuis s'est faite dans le cadre de l'ouverture du local
du Comité André Boisclair à Québec. Plusieurs personnalités appuyant André
Boisclair étaient présentes à cet événement dont Rosaire Bertrand, député de Charlevoix et responsable de l'organisation d'André Boisclair dans la capitale nationale, Richard Marceau, Réal Lapierre et Guy Côté, respectivement député du Bloc Québécois de Charlesbourg-Haute-Saint Charles, Lévis-Bellechasse et Portneuf-Jacques-Cartier de même que les anciens députés Diane Barbeau, Michel Côté, André Gaulin, Linda Goupil et Claude Lachance. José De Trinidad, porte-parole des jeunes de la région de la Capitale-Nationale et Jerry Beaudoin, président des jeunes de la région de Chaudière-Appalaches étaient également présents. Soulignons qu'André Boisclair est le seul candidat à la direction du Parti Québécois à avoir un local dans la capitale.
"André Boisclair combine la force de leadership et l'ouverture dont le
Parti Québécois a présentement besoin pour rallier les Québécois et
Québécoises de divers horizons à la souveraineté du Québec", a déclaré Bernard Cleary, député de Louis-Saint-Laurent.
"J'ai la profonde conviction qu'André Boisclair saura inspirer les
Québécois et réaliser le pays du Québec. Je suis également persuadé qu'il est celui qui conduira le Parti Québécois à la victoire électorale et référendaire dans la région", a déclaré pour sa part Christian Simard, député de la circonscrïption de Beauport-Limoilou.
Enfin, le député du Bloc Québécois de Jonquière-Alma, monsieur Sébastien
Gagnon, a déclaré que : "André Boisclair s'avère le meilleur candidat pour
faire le pont entre les générations. De plus, il souhaite que les régions
bénéficient de vrais pouvoirs afin qu'elles s'épanouissent et qu'elles soient en mesure de créer des emplois et de freiner l'exode des jeunes."
"Je suis très heureux de ces nouveaux appuis. Aux prochaines élections,
les gens de la région de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches vont faire la différence. Je vais tout mettre en oeuvre pour que le Parti Québécois regagne leur confiance. Il s'agit pour moi d'une priorité. L'ouverture d'un local de campagne à Québec aujourd'hui s'inscrit dans cette volonté", a déclaré André Boisclair.