Selon un sondage de Cyberpresse, la course a la chefferie du PQ est sans intéret pour 37% des répondants et un autre 11% sont indifférents.
A peine un peu plus du tiers la considère intéressante.
Plus de 2300 personne on répondu, ce qui est plus du double des sondages habituels qui sont la plupart du temps limités a 1003 personnes.
29 août 2005
Selon vous, la course à la direction du PQ sera:
Intéressante
35% (829 votes)
Sans intérêt
37% (855 votes)
Sans surprise
14% (339 votes)
Je ne sais pas
2% (49 votes)
Ça m'indiffère
11% (266 votes)
Choix d'un chef PQ Prise 3
Un ex-militant libéral devient candidat officiel
Tommy Chouinard
La Presse
Québec
Le psychiatre Hugues Cormier, qui était donateur au Parti libéral du Canada et membre du Parti libéral du Québec jusqu'à tout récemment, est parvenu à recueillir la signature de 1250 militants péquistes et devient le septième candidat officiel à la direction du Parti québécois.
Hugues Cormier remettra en effet aujourd'hui son bulletin de mise en candidature à la présidente de l'élection, Lyne Marcoux.
Ce bulletin est, selon lui, conforme aux exigences fixées par le PQ, c'est-à-dire qu'il contient plus de 1000 signatures de membres en règle provenant d'au moins 40 circonscrïptions. À moins que les autorités du parti n'y décèlent une irrégularité, M. Cormier entre maintenant officiellement dans la course en compagnie des Richard Legendre, Louis Bernard, André Boisclair, Pauline Marois, Ghislain Lebel et Jean Claude St-André.
Le Dr Hugues Cormier, âgé de 51 ans, pratique à la clinique Honoré-Mercier de l'hôpital Louis-H. LaFontaine et enseigne à la faculté de médecine de l'Université de Montréal.
Son parcours politique surprend. Hugues Cormier est devenu membre du PQ en 1979 et a milité activement au sein d'associations de circonscrïption durant les années 80. Candidat défait dans Crémazie en 2003, il s'est tourné ensuite vers Option citoyenne, le mouvement politique mené par Françoise David, où il a milité pendant un an.
Puis, tout en restant membre du PQ, il a tenté de devenir candidat du PLQ à l'élection partielle dans Outremont qui doit avoir lieu cet automne en raison du départ d'Yves Séguin. Il a déchiré sa carte de membre du PLQ quelques jours avant d'annoncer son intention de succéder à Bernard Landry à la tête du PQ.
Qui plus est, Hugues Cormier a versé 500 $ au Parti libéral du Canada pour assister à un souper-bénéfice à Montréal. Il est même membre du Club Laurier réservé à ceux qui versent 1000 $ ou plus par année au PLC.
En entrevue à La Presse hier, Hugues Cormier a souligné que les membres péquistes qu'il a rencontrés font peu de cas de son engagement encore tout récent au PLC et au PLQ. « Peu de gens m'ont posé de questions à ce sujet », a-t-il affirmé, plaidant qu'il est important pour lui de faire la promotion de la souveraineté au sein de différentes formations politiques. M. Cormier compte faire campagne sur le thème du bien commun.
Deux autres candidats déclarés, Pierre Dubuc et Jean Ouimet, s'apprêtent à déposer leur bulletin, ce qui portera bientôt à neuf le nombre d'aspirants officiels.
Boisclair à Québec
De passage à Québec, André Boisclair a inauguré son local électoral et s'est vanté d'être le seul candidat en lice à en avoir un dans la capitale.
Il s'est réjoui de bénéficier de plusieurs appuis dans la région, comme ceux des députés bloquistes Christian Simard, Richard Marceau et Bernard Cleary. L'ancienne ministre Linda Goupil et les anciens députés péquistes Diane Barbeau, Claude Lachance et Michel Côté font également partie de son équipe.
M. Boisclair en a profité pour critiquer l'attitude du premier ministre Jean Charest dans les négociations avec les 500 000 employés de l'État. Selon lui, le déséquilibre fiscal «se transforme en déséquilibre social».
«M. Charest est en train de nous faire la démonstration que le Québec comme province n'est plus gérable et que la seule option que ce premier ministre semble vouloir nous proposer est de nous diviser les uns des autres», a-t-il expliqué.
André Boisclair s'est abstenu de répliquer à Ghislain Lebel qui, dimanche, l'a accusé de tenir un discours vide de contenu et de se contenter de projeter l'image du «beau garçon, jeune et tolérant». «Je mets de côté les attaques personnelles. Je veux faire une campagne positive», a expliqué M. Boisclair.
Tommy Chouinard
La Presse
Québec
Le psychiatre Hugues Cormier, qui était donateur au Parti libéral du Canada et membre du Parti libéral du Québec jusqu'à tout récemment, est parvenu à recueillir la signature de 1250 militants péquistes et devient le septième candidat officiel à la direction du Parti québécois.
Hugues Cormier remettra en effet aujourd'hui son bulletin de mise en candidature à la présidente de l'élection, Lyne Marcoux.
Ce bulletin est, selon lui, conforme aux exigences fixées par le PQ, c'est-à-dire qu'il contient plus de 1000 signatures de membres en règle provenant d'au moins 40 circonscrïptions. À moins que les autorités du parti n'y décèlent une irrégularité, M. Cormier entre maintenant officiellement dans la course en compagnie des Richard Legendre, Louis Bernard, André Boisclair, Pauline Marois, Ghislain Lebel et Jean Claude St-André.
Le Dr Hugues Cormier, âgé de 51 ans, pratique à la clinique Honoré-Mercier de l'hôpital Louis-H. LaFontaine et enseigne à la faculté de médecine de l'Université de Montréal.
Son parcours politique surprend. Hugues Cormier est devenu membre du PQ en 1979 et a milité activement au sein d'associations de circonscrïption durant les années 80. Candidat défait dans Crémazie en 2003, il s'est tourné ensuite vers Option citoyenne, le mouvement politique mené par Françoise David, où il a milité pendant un an.
Puis, tout en restant membre du PQ, il a tenté de devenir candidat du PLQ à l'élection partielle dans Outremont qui doit avoir lieu cet automne en raison du départ d'Yves Séguin. Il a déchiré sa carte de membre du PLQ quelques jours avant d'annoncer son intention de succéder à Bernard Landry à la tête du PQ.
Qui plus est, Hugues Cormier a versé 500 $ au Parti libéral du Canada pour assister à un souper-bénéfice à Montréal. Il est même membre du Club Laurier réservé à ceux qui versent 1000 $ ou plus par année au PLC.
En entrevue à La Presse hier, Hugues Cormier a souligné que les membres péquistes qu'il a rencontrés font peu de cas de son engagement encore tout récent au PLC et au PLQ. « Peu de gens m'ont posé de questions à ce sujet », a-t-il affirmé, plaidant qu'il est important pour lui de faire la promotion de la souveraineté au sein de différentes formations politiques. M. Cormier compte faire campagne sur le thème du bien commun.
Deux autres candidats déclarés, Pierre Dubuc et Jean Ouimet, s'apprêtent à déposer leur bulletin, ce qui portera bientôt à neuf le nombre d'aspirants officiels.
Boisclair à Québec
De passage à Québec, André Boisclair a inauguré son local électoral et s'est vanté d'être le seul candidat en lice à en avoir un dans la capitale.
Il s'est réjoui de bénéficier de plusieurs appuis dans la région, comme ceux des députés bloquistes Christian Simard, Richard Marceau et Bernard Cleary. L'ancienne ministre Linda Goupil et les anciens députés péquistes Diane Barbeau, Claude Lachance et Michel Côté font également partie de son équipe.
M. Boisclair en a profité pour critiquer l'attitude du premier ministre Jean Charest dans les négociations avec les 500 000 employés de l'État. Selon lui, le déséquilibre fiscal «se transforme en déséquilibre social».
«M. Charest est en train de nous faire la démonstration que le Québec comme province n'est plus gérable et que la seule option que ce premier ministre semble vouloir nous proposer est de nous diviser les uns des autres», a-t-il expliqué.
André Boisclair s'est abstenu de répliquer à Ghislain Lebel qui, dimanche, l'a accusé de tenir un discours vide de contenu et de se contenter de projeter l'image du «beau garçon, jeune et tolérant». «Je mets de côté les attaques personnelles. Je veux faire une campagne positive», a expliqué M. Boisclair.
praeteritum a écritSelon un sondage de Cyberpresse, la course a la chefferie du PQ est sans intéret pour 37% des répondants et un autre 11% sont indifférents.
A peine un peu plus du tiers la considère intéressante.
Plus de 2300 personne on répondu, ce qui est plus du double des sondages habituels qui sont la plupart du temps limités a 1003 personnes.
29 août 2005
Selon vous, la course à la direction du PQ sera:
Intéressante
35% (829 votes)
Sans intérêt
37% (855 votes)
Sans surprise
14% (339 votes)
Je ne sais pas
2% (49 votes)
Ça m'indiffère
11% (266 votes)
Moi ce que je retiens de tes chiffres, c'est que ça intéresse 50% de la population. C'EST ÉNORME Est-ce que ça démontre que le PQ se dirige vers le 50% aux prochaines élections ? Si oui se serait excellent, c'est très rare depuis les dernières années qu'un parti est capable d'aller chercher le 50%. Merci beaucoup pour ton message, ça rempli de joie ma journée
A peine un peu plus du tiers la considère intéressante.
Plus de 2300 personne on répondu, ce qui est plus du double des sondages habituels qui sont la plupart du temps limités a 1003 personnes.
29 août 2005
Selon vous, la course à la direction du PQ sera:
Intéressante
35% (829 votes)
Sans intérêt
37% (855 votes)
Sans surprise
14% (339 votes)
Je ne sais pas
2% (49 votes)
Ça m'indiffère
11% (266 votes)
Moi ce que je retiens de tes chiffres, c'est que ça intéresse 50% de la population. C'EST ÉNORME Est-ce que ça démontre que le PQ se dirige vers le 50% aux prochaines élections ? Si oui se serait excellent, c'est très rare depuis les dernières années qu'un parti est capable d'aller chercher le 50%. Merci beaucoup pour ton message, ça rempli de joie ma journée
Citation :Course au leadership du PQ
Legendre prévient Boisclair contre un excès de confiance Presse Canadienne (PC)
30/08/2005 16h17 - Mise à jour 30/08/2005 16h25
Richard Legendre prévient André Boisclair contre un excès de confiance.
Le député de Blainville a sursauté lorsqu'il a pris connaissance des propos de son adversaire à la direction du Parti québécois, soutenant que la mobilisation pour la souveraineté avait commencé avec l'annonce de sa candidature.
M. Legendre réplique qu'elle a pris naissance il y a 40 ans.
Puis, alors que M. Boisclair annonce son intention de choisir une équipe de candidats parmi les plus scolarisés, Richard Legendre soutient que ce n'est pas au chef de choisir des candidats, mais bien aux militants.
Il affirme qu'un chef doit faire preuve de leadership, sans l'imposer.
M. Legendre affirme que tous les candidats à la succession de Bernard Landry sont présentement au coeur de leur campagne et espère que personne n'a déjà l'impression d'avoir gagné.
Le député de Blainville soutient que sa candidature a provoqué aussi de nouvelles adhésions au parti.
Aujourd'hui, deux autres députés ont annoncé qu'ils appuyaient sa candidature, soit Normand Jutras, de Drummond, et Serge Deslières, de Beauharnois.
Les deux hommes appuient M. Legendre parce qu'il représente une nouvelle génération de souverainistes, qu'il propose la création d'un comité du OUI dès le 16 novembre, pour ses capacités de rassembleur et parce qu'il a réussi dans le secteur privé.
Source: http://www2.canoe.com/infos/quebeccanad ... 61740.html
Legendre prévient Boisclair contre un excès de confiance Presse Canadienne (PC)
30/08/2005 16h17 - Mise à jour 30/08/2005 16h25
Richard Legendre prévient André Boisclair contre un excès de confiance.
Le député de Blainville a sursauté lorsqu'il a pris connaissance des propos de son adversaire à la direction du Parti québécois, soutenant que la mobilisation pour la souveraineté avait commencé avec l'annonce de sa candidature.
M. Legendre réplique qu'elle a pris naissance il y a 40 ans.
Puis, alors que M. Boisclair annonce son intention de choisir une équipe de candidats parmi les plus scolarisés, Richard Legendre soutient que ce n'est pas au chef de choisir des candidats, mais bien aux militants.
Il affirme qu'un chef doit faire preuve de leadership, sans l'imposer.
M. Legendre affirme que tous les candidats à la succession de Bernard Landry sont présentement au coeur de leur campagne et espère que personne n'a déjà l'impression d'avoir gagné.
Le député de Blainville soutient que sa candidature a provoqué aussi de nouvelles adhésions au parti.
Aujourd'hui, deux autres députés ont annoncé qu'ils appuyaient sa candidature, soit Normand Jutras, de Drummond, et Serge Deslières, de Beauharnois.
Les deux hommes appuient M. Legendre parce qu'il représente une nouvelle génération de souverainistes, qu'il propose la création d'un comité du OUI dès le 16 novembre, pour ses capacités de rassembleur et parce qu'il a réussi dans le secteur privé.
Source: http://www2.canoe.com/infos/quebeccanad ... 61740.html
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praeteritum
- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : lun. oct. 20, 2003 12:00 am
Selon les nouvelles a Radio-Canada ce matin:
Marois minimise les chances de Legendre
Mise à jour le mercredi 31 août 2005 à 15 h 08
.
Pauline Marois estime que Richard Legendre a peu de chances de remporter la course à la succession de Bernard Landry.
.
.
À l'entrée du caucus péquiste à Québec, Mme Marois a affirmé que des sept candidats officiels à la direction du PQ, seuls elle-même et André Boisclair pouvaient compter sur des appuis importants.
« M. Legendre est remarquable et talentueux, il a des choses à offrir au parti », a déclaré la députée de Taillon, qui a ajouté qu'un sondage interne en sa possession indiquait que M. Legendre n'obtiendrait pas d'appuis importants.
Pour répondre à sa collègue de Taillon, Richard Legendre est arrivé à la réunion du caucus accompagné des sept députés qui l'appuient.
La candidature de M. Legendre a été défendue avec vigueur par François Legault, député de Rousseau.
Le doyen des députés du parti, François Gendron, a pour sa part déclaré que seulement quatre ou cinq des candidats à la direction du PQ avaient les qualifications nécessaires pour remplir la fonction.
M. Gendron n'a pas voulu nommer les candidats auxquels il faisait allusion.
On est tu pas chanceux de l'avoir, elle, notre sauveur!!!
Marois minimise les chances de Legendre
Mise à jour le mercredi 31 août 2005 à 15 h 08
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Pauline Marois estime que Richard Legendre a peu de chances de remporter la course à la succession de Bernard Landry.
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À l'entrée du caucus péquiste à Québec, Mme Marois a affirmé que des sept candidats officiels à la direction du PQ, seuls elle-même et André Boisclair pouvaient compter sur des appuis importants.
« M. Legendre est remarquable et talentueux, il a des choses à offrir au parti », a déclaré la députée de Taillon, qui a ajouté qu'un sondage interne en sa possession indiquait que M. Legendre n'obtiendrait pas d'appuis importants.
Pour répondre à sa collègue de Taillon, Richard Legendre est arrivé à la réunion du caucus accompagné des sept députés qui l'appuient.
La candidature de M. Legendre a été défendue avec vigueur par François Legault, député de Rousseau.
Le doyen des députés du parti, François Gendron, a pour sa part déclaré que seulement quatre ou cinq des candidats à la direction du PQ avaient les qualifications nécessaires pour remplir la fonction.
M. Gendron n'a pas voulu nommer les candidats auxquels il faisait allusion.
On est tu pas chanceux de l'avoir, elle, notre sauveur!!!
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Scoubidoux
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Raven a écrit
Moi ce que je retiens de tes chiffres, c'est que ça intéresse 50% de la population. C'EST ÉNORME Est-ce que ça démontre que le PQ se dirige vers le 50% aux prochaines élections ? Si oui se serait excellent, c'est très rare depuis les dernières années qu'un parti est capable d'aller chercher le 50%. Merci beaucoup pour ton message, ça rempli de joie ma journée
Désolé de te dire ça Raven mais, je ne trouve pas qu'il y ait un rapport entre des gens intéressés à regarder l'évolution de la course et les votes au parti.
Et où trouve tu le 50%?. Je vois seulement 35% des gens intéressés dans ce sondage.
Et même si une personne n'est pas intéressée par la course, ça ne veut pas dire qu'elle ne votera pas pour le PQ aux prochaines élections.
Moi ce que je retiens de tes chiffres, c'est que ça intéresse 50% de la population. C'EST ÉNORME Est-ce que ça démontre que le PQ se dirige vers le 50% aux prochaines élections ? Si oui se serait excellent, c'est très rare depuis les dernières années qu'un parti est capable d'aller chercher le 50%. Merci beaucoup pour ton message, ça rempli de joie ma journée
Désolé de te dire ça Raven mais, je ne trouve pas qu'il y ait un rapport entre des gens intéressés à regarder l'évolution de la course et les votes au parti.
Et où trouve tu le 50%?. Je vois seulement 35% des gens intéressés dans ce sondage.
Et même si une personne n'est pas intéressée par la course, ça ne veut pas dire qu'elle ne votera pas pour le PQ aux prochaines élections.
Scoubidoux a écrit
Désolé de te dire ça Raven mais, je ne trouve pas qu'il y ait un rapport entre des gens intéressés à regarder l'évolution de la course et les votes au parti.
Et où trouve tu le 50%?. Je vois seulement 35% des gens intéressés dans ce sondage.
Et même si une personne n'est pas intéressée par la course, ça ne veut pas dire qu'elle ne votera pas pour le PQ aux prochaines élections.
Excuse-moi de te contredire le grand, mais dans mon cours de communication et relations avec les médias, nous avons appris qu'à la base, ce genre de sondage était biaisés en partant. Dans une énorme proportion, le monde répondent à ces sondages selon leurs idéologies politiques. Donc, un libéral ou adéquiste convaincu aura tendance à répondre que cette source ne l'intéresse pas, car cela mais trop en premier plan son parti ennemi. Par contre, un péquiste convaincu aura tendance à répondre oui, justement car le sujet l'intéresse et que ça met en premier plan ses idéologies
Et maintenant pour les 50%, il faut repartir les indécis, qui cette fois dans ce sondage amateur, se retrouve dans les je ne sais pas, et une proportion supérieure à la moitié des sans surprises, puisque cette réponse est également biaisée, en laissant comprendre que le répondant doit avoir une idée du déroulement de la course pour répondre ainsi --Message edité par Raven le 2005-09-01 12:28:41--
Désolé de te dire ça Raven mais, je ne trouve pas qu'il y ait un rapport entre des gens intéressés à regarder l'évolution de la course et les votes au parti.
Et où trouve tu le 50%?. Je vois seulement 35% des gens intéressés dans ce sondage.
Et même si une personne n'est pas intéressée par la course, ça ne veut pas dire qu'elle ne votera pas pour le PQ aux prochaines élections.
Excuse-moi de te contredire le grand, mais dans mon cours de communication et relations avec les médias, nous avons appris qu'à la base, ce genre de sondage était biaisés en partant. Dans une énorme proportion, le monde répondent à ces sondages selon leurs idéologies politiques. Donc, un libéral ou adéquiste convaincu aura tendance à répondre que cette source ne l'intéresse pas, car cela mais trop en premier plan son parti ennemi. Par contre, un péquiste convaincu aura tendance à répondre oui, justement car le sujet l'intéresse et que ça met en premier plan ses idéologies
Et maintenant pour les 50%, il faut repartir les indécis, qui cette fois dans ce sondage amateur, se retrouve dans les je ne sais pas, et une proportion supérieure à la moitié des sans surprises, puisque cette réponse est également biaisée, en laissant comprendre que le répondant doit avoir une idée du déroulement de la course pour répondre ainsi --Message edité par Raven le 2005-09-01 12:28:41--
praeteritum a écritSelon les nouvelles a Radio-Canada ce matin:
Marois minimise les chances de Legendre
Mise à jour le mercredi 31 août 2005 à 15 h 08
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Pauline Marois estime que Richard Legendre a peu de chances de remporter la course à la succession de Bernard Landry.
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À l'entrée du caucus péquiste à Québec, Mme Marois a affirmé que des sept candidats officiels à la direction du PQ, seuls elle-même et André Boisclair pouvaient compter sur des appuis importants.
« M. Legendre est remarquable et talentueux, il a des choses à offrir au parti », a déclaré la députée de Taillon, qui a ajouté qu'un sondage interne en sa possession indiquait que M. Legendre n'obtiendrait pas d'appuis importants.
Pour répondre à sa collègue de Taillon, Richard Legendre est arrivé à la réunion du caucus accompagné des sept députés qui l'appuient.
La candidature de M. Legendre a été défendue avec vigueur par François Legault, député de Rousseau.
Le doyen des députés du parti, François Gendron, a pour sa part déclaré que seulement quatre ou cinq des candidats à la direction du PQ avaient les qualifications nécessaires pour remplir la fonction.
M. Gendron n'a pas voulu nommer les candidats auxquels il faisait allusion.
On est tu pas chanceux de l'avoir, elle, notre sauveur!!!
Marois se tire pourtant dans le pied, Legendre à une excellente équipe avec plusieurs appuis. Selon moi il les gardent pour le 15 septembre Faisait 2 ans que Legault récoltait les appuient des membres importants, et maintenant Legendre à hériter du travail commencer par Legault
Marois minimise les chances de Legendre
Mise à jour le mercredi 31 août 2005 à 15 h 08
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Pauline Marois estime que Richard Legendre a peu de chances de remporter la course à la succession de Bernard Landry.
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À l'entrée du caucus péquiste à Québec, Mme Marois a affirmé que des sept candidats officiels à la direction du PQ, seuls elle-même et André Boisclair pouvaient compter sur des appuis importants.
« M. Legendre est remarquable et talentueux, il a des choses à offrir au parti », a déclaré la députée de Taillon, qui a ajouté qu'un sondage interne en sa possession indiquait que M. Legendre n'obtiendrait pas d'appuis importants.
Pour répondre à sa collègue de Taillon, Richard Legendre est arrivé à la réunion du caucus accompagné des sept députés qui l'appuient.
La candidature de M. Legendre a été défendue avec vigueur par François Legault, député de Rousseau.
Le doyen des députés du parti, François Gendron, a pour sa part déclaré que seulement quatre ou cinq des candidats à la direction du PQ avaient les qualifications nécessaires pour remplir la fonction.
M. Gendron n'a pas voulu nommer les candidats auxquels il faisait allusion.
On est tu pas chanceux de l'avoir, elle, notre sauveur!!!
Marois se tire pourtant dans le pied, Legendre à une excellente équipe avec plusieurs appuis. Selon moi il les gardent pour le 15 septembre Faisait 2 ans que Legault récoltait les appuient des membres importants, et maintenant Legendre à hériter du travail commencer par Legault
Raven a écrit
Marois se tire pourtant dans le pied, Legendre à une excellente équipe avec plusieurs appuis. Selon moi il les gardent pour le 15 septembre Faisait 2 ans que Legault récoltait les appuient des membres importants, et maintenant Legendre à hériter du travail commencer par Legault
ça aide peut-être pour l'organisation.....mais faut pas oublier que Legault était loin d'être un candidat de choix pour une succession possible........n,a jamais brillé dans les sondages précédents.......alors faudrait peut-être mettre la pédale douce dans l,association des 2 noms.......car ça va nuire à ton candidat.......comme moi même si je votais et que je serais tentée par la candidature de Legendre....juste savoir qu'il est acoquiné avec Legault...serait suffisant pour me méfier....et ne pas voter pour lui.....
Marois se tire pourtant dans le pied, Legendre à une excellente équipe avec plusieurs appuis. Selon moi il les gardent pour le 15 septembre Faisait 2 ans que Legault récoltait les appuient des membres importants, et maintenant Legendre à hériter du travail commencer par Legault
ça aide peut-être pour l'organisation.....mais faut pas oublier que Legault était loin d'être un candidat de choix pour une succession possible........n,a jamais brillé dans les sondages précédents.......alors faudrait peut-être mettre la pédale douce dans l,association des 2 noms.......car ça va nuire à ton candidat.......comme moi même si je votais et que je serais tentée par la candidature de Legendre....juste savoir qu'il est acoquiné avec Legault...serait suffisant pour me méfier....et ne pas voter pour lui.....
tuberale a écrit
ça aide peut-être pour l'organisation.....mais faut pas oublier que Legault était loin d'être un candidat de choix pour une succession possible........n,a jamais brillé dans les sondages précédents.......alors faudrait peut-être mettre la pédale douce dans l,association des 2 noms.......car ça va nuire à ton candidat.......comme moi même si je votais et que je serais tentée par la candidature de Legendre....juste savoir qu'il est acoquiné avec Legault...serait suffisant pour me méfier....et ne pas voter pour lui.....
Ouin....... Mais en même temps, c'est évident que ça va ce savoir que Legendre est en quelque sorte maintenant le candidat de l'équipe Legault. Ils défendent plusieurs idées semblables. Déjà en partant, présentement Legendre est le seul à mettre en valeur et défendre le budget de l'an un fait par Legault
ça aide peut-être pour l'organisation.....mais faut pas oublier que Legault était loin d'être un candidat de choix pour une succession possible........n,a jamais brillé dans les sondages précédents.......alors faudrait peut-être mettre la pédale douce dans l,association des 2 noms.......car ça va nuire à ton candidat.......comme moi même si je votais et que je serais tentée par la candidature de Legendre....juste savoir qu'il est acoquiné avec Legault...serait suffisant pour me méfier....et ne pas voter pour lui.....
Ouin....... Mais en même temps, c'est évident que ça va ce savoir que Legendre est en quelque sorte maintenant le candidat de l'équipe Legault. Ils défendent plusieurs idées semblables. Déjà en partant, présentement Legendre est le seul à mettre en valeur et défendre le budget de l'an un fait par Legault
des budgets de l,an 1...j'en ai plein le fond du garde-robe......il s,en ait produit beaucoup au fil du temps.....mais c,est utopique à mon sens...car aussitôt produit, il devient caduque de par la fluxation du climat économique quotidien...
c'est un truc pour répondre à des questions de possibles membres.....mais c,est juste un outil......et ça n,a pas passé la barrière des congrès et cie......alors ce n,est que le profil de budget d'un des députés du PQ...dans les moins aimés en plus......alors si j,étais lui, je le placerais au même endroit que moi..... .......faut que le discours soit en reflet de ce qui se passe présentement.....et ne pas enfermer l,accession à la souveraineté dans un carcan d'un budget fictif....faut que vs pouviez répondre à la situation mondiale et l'intérieur du Canada au jour le jour jusqu'à la prochaine élection.....on sait pas comment au juste va être le climat l,an prochain....faudrait-il mettre dans les mains d'un nouveau chef un outil dépassé?......truc sur lequel ses adversaires se feraent un malin plaisir de démontrer d,ailleurs....
c'est un truc pour répondre à des questions de possibles membres.....mais c,est juste un outil......et ça n,a pas passé la barrière des congrès et cie......alors ce n,est que le profil de budget d'un des députés du PQ...dans les moins aimés en plus......alors si j,étais lui, je le placerais au même endroit que moi..... .......faut que le discours soit en reflet de ce qui se passe présentement.....et ne pas enfermer l,accession à la souveraineté dans un carcan d'un budget fictif....faut que vs pouviez répondre à la situation mondiale et l'intérieur du Canada au jour le jour jusqu'à la prochaine élection.....on sait pas comment au juste va être le climat l,an prochain....faudrait-il mettre dans les mains d'un nouveau chef un outil dépassé?......truc sur lequel ses adversaires se feraent un malin plaisir de démontrer d,ailleurs....
tuberale a écritdes budgets de l,an 1...j'en ai plein le fond du garde-robe......il s,en ait produit beaucoup au fil du temps.....mais c,est utopique à mon sens...car aussitôt produit, il devient caduque de par la fluxation du climat économique quotidien...
c'est un truc pour répondre à des questions de possibles membres.....mais c,est juste un outil......et ça n,a pas passé la barrière des congrès et cie......alors ce n,est que le profil de budget d'un des députés du PQ...dans les moins aimés en plus......alors si j,étais lui, je le placerais au même endroit que moi..... .......faut que le discours soit en reflet de ce qui se passe présentement.....et ne pas enfermer l,accession à la souveraineté dans un carcan d'un budget fictif....faut que vs pouviez répondre à la situation mondiale et l'intérieur du Canada au jour le jour jusqu'à la prochaine élection.....on sait pas comment au juste va être le climat l,an prochain....faudrait-il mettre dans les mains d'un nouveau chef un outil dépassé?......truc sur lequel ses adversaires se feraent un malin plaisir de démontrer d,ailleurs....
Non c'est clair que le budget Legault est loin d'être coulé dans le béton. Mais en même temps, comme tu dis, c'est un bon outil. Ce que veulent les Québécois, c'est comprendre quoiqu’il va arriver après un Oui gagnant. Il veut se faire rassurer que le PQ a bel et bien un plan. Et ainsi, avoir déjà un budget qui ne date pas de 20 ans et un bon début. Cela va être plus facile de modifier le budget Legault pour faire face aux nouvelles réalités du moment que de repartir à 0 avec les études et recherches qui ont dû être réalisées
c'est un truc pour répondre à des questions de possibles membres.....mais c,est juste un outil......et ça n,a pas passé la barrière des congrès et cie......alors ce n,est que le profil de budget d'un des députés du PQ...dans les moins aimés en plus......alors si j,étais lui, je le placerais au même endroit que moi..... .......faut que le discours soit en reflet de ce qui se passe présentement.....et ne pas enfermer l,accession à la souveraineté dans un carcan d'un budget fictif....faut que vs pouviez répondre à la situation mondiale et l'intérieur du Canada au jour le jour jusqu'à la prochaine élection.....on sait pas comment au juste va être le climat l,an prochain....faudrait-il mettre dans les mains d'un nouveau chef un outil dépassé?......truc sur lequel ses adversaires se feraent un malin plaisir de démontrer d,ailleurs....
Non c'est clair que le budget Legault est loin d'être coulé dans le béton. Mais en même temps, comme tu dis, c'est un bon outil. Ce que veulent les Québécois, c'est comprendre quoiqu’il va arriver après un Oui gagnant. Il veut se faire rassurer que le PQ a bel et bien un plan. Et ainsi, avoir déjà un budget qui ne date pas de 20 ans et un bon début. Cela va être plus facile de modifier le budget Legault pour faire face aux nouvelles réalités du moment que de repartir à 0 avec les études et recherches qui ont dû être réalisées
Candidat radical à la direction du PQ, Jean-Claude St-André passe à l'attaque
QUEBEC (PC) - La campagne à la direction du Parti québécois est noyautée par des "sourds et aveugles", dénonce le représentant de l'aide radicale souverainiste dans la course, Jean-Claude St-André.
Le député de l'Assomption a profité du lancement de sa campagne, vendredi à Québec, pour passer aussitôt en mode attaque, s'en prenant à ses collègues André Boisclair, Pauline Marois et Richard Legendre, trois des candidats vedettes dans la campagne au leadership.
Ces derniers ne valent pas mieux que l'ensemble de la classe politique québécoise et sont "sourds et aveugles" devant les préoccupations des citoyens, a-t-il accusé.
Les politiciens traditionnels n'ont pas le courage de mettre en oeuvre les changements souhaités par la population, soutient M. St-André, pour qui toutes réformes passent nécessairement par l'accession rapide du Québec à la souveraineté.
Ainsi, contrairement aux autres candidats en lice, Jean-Claude St-André se targue de présenter "une démarche claire et catégorique" en faveur de l'indépendance.
Aussitôt élu, un gouvernement péquiste dirigé par M. St-André adopterait les lois nécessaires pour enclencher le processus menant à la pleine et entière souveraineté.
Le premier geste fondateur posé par l'Assemblée nationale serait d'adopter une constitution provisoire, prévoyant, en outre, le transfert des pouvoirs dévolus au lieutenant-gouverneur au président de l'Assemblée.
Une commission parlementaire serait par la suite chargée de rédiger un projet de constitution, qui devrait ensuite être soumis à l'approbation de la population par référendum. Si le Oui l'emportait, l'indépendance du Québec serait aussitôt proclamée.
"Faut que le Parti québécois ait le courage de dire les choses clairement, justifie le candidat "pur et dur". Il doit être limpide qu'à la prochaine élection, un vote pour le PQ sera un vote pour la souveraineté, pour l'indépendance, pour faire le pays. Il faut l'établir clairement."
De fait, M. St-André entend solliciter "un mandat pour agir, non pour parler" et pense que sa proposition fera revenir bon nombre de souverainistes déçus dans le giron péquiste.
Mais si la démarche a le mérite d'être claire et limpide, elle risque néanmoins d'alimenter la méfiance sinon les craintes d'une certaine partie de la population à l'égard du PQ, reconnaît le député.
"Il y a des citoyens qui sont craintifs face à l'indépendance mais ce n'est pas en cachant notre option que l'on va les rassurer. Le meilleur antidote contre la peur, c'est la clarté. Les gens doivent savoir pourquoi ils vont voter à la prochaine élection", a-t-il fait valoir.
Du reste, M. St-André ne se laisse pas distraire par le fait que la démarche radicale qu'il propose est en rupture avec le programme du PQ, un parti qui a mal veilli, selon lui.
Si l'on s'en tient à la position du Parti québécois, c'est à dire d'abord prendre le pouvoir, faire la promotion de la souveraineté et tenir par la suite un référendum, "on ne fera pas l'indépendance", analyse-t-il.
"La démarche (retenue par PQ au congrès du mois de juin), nous enferme dans tous les pièges tendus par le gouvernement fédéral. On ne fera pas l'indépendance en respectant la constitution canadienne", estime-t-il.
Bien loin de figurer dans la liste des favoris à la succession de Bernard Landry, M. St-André promet tout de même de retenir l'attention au cours des prochaines semaines.
"Ce sont les membres qui vont décider lequel parmi les candidats a l'étoffe pour être chef. J'ai dix semaines pour expliquer mes idées et ensuite les membres pourront trancher."
QUEBEC (PC) - La campagne à la direction du Parti québécois est noyautée par des "sourds et aveugles", dénonce le représentant de l'aide radicale souverainiste dans la course, Jean-Claude St-André.
Le député de l'Assomption a profité du lancement de sa campagne, vendredi à Québec, pour passer aussitôt en mode attaque, s'en prenant à ses collègues André Boisclair, Pauline Marois et Richard Legendre, trois des candidats vedettes dans la campagne au leadership.
Ces derniers ne valent pas mieux que l'ensemble de la classe politique québécoise et sont "sourds et aveugles" devant les préoccupations des citoyens, a-t-il accusé.
Les politiciens traditionnels n'ont pas le courage de mettre en oeuvre les changements souhaités par la population, soutient M. St-André, pour qui toutes réformes passent nécessairement par l'accession rapide du Québec à la souveraineté.
Ainsi, contrairement aux autres candidats en lice, Jean-Claude St-André se targue de présenter "une démarche claire et catégorique" en faveur de l'indépendance.
Aussitôt élu, un gouvernement péquiste dirigé par M. St-André adopterait les lois nécessaires pour enclencher le processus menant à la pleine et entière souveraineté.
Le premier geste fondateur posé par l'Assemblée nationale serait d'adopter une constitution provisoire, prévoyant, en outre, le transfert des pouvoirs dévolus au lieutenant-gouverneur au président de l'Assemblée.
Une commission parlementaire serait par la suite chargée de rédiger un projet de constitution, qui devrait ensuite être soumis à l'approbation de la population par référendum. Si le Oui l'emportait, l'indépendance du Québec serait aussitôt proclamée.
"Faut que le Parti québécois ait le courage de dire les choses clairement, justifie le candidat "pur et dur". Il doit être limpide qu'à la prochaine élection, un vote pour le PQ sera un vote pour la souveraineté, pour l'indépendance, pour faire le pays. Il faut l'établir clairement."
De fait, M. St-André entend solliciter "un mandat pour agir, non pour parler" et pense que sa proposition fera revenir bon nombre de souverainistes déçus dans le giron péquiste.
Mais si la démarche a le mérite d'être claire et limpide, elle risque néanmoins d'alimenter la méfiance sinon les craintes d'une certaine partie de la population à l'égard du PQ, reconnaît le député.
"Il y a des citoyens qui sont craintifs face à l'indépendance mais ce n'est pas en cachant notre option que l'on va les rassurer. Le meilleur antidote contre la peur, c'est la clarté. Les gens doivent savoir pourquoi ils vont voter à la prochaine élection", a-t-il fait valoir.
Du reste, M. St-André ne se laisse pas distraire par le fait que la démarche radicale qu'il propose est en rupture avec le programme du PQ, un parti qui a mal veilli, selon lui.
Si l'on s'en tient à la position du Parti québécois, c'est à dire d'abord prendre le pouvoir, faire la promotion de la souveraineté et tenir par la suite un référendum, "on ne fera pas l'indépendance", analyse-t-il.
"La démarche (retenue par PQ au congrès du mois de juin), nous enferme dans tous les pièges tendus par le gouvernement fédéral. On ne fera pas l'indépendance en respectant la constitution canadienne", estime-t-il.
Bien loin de figurer dans la liste des favoris à la succession de Bernard Landry, M. St-André promet tout de même de retenir l'attention au cours des prochaines semaines.
"Ce sont les membres qui vont décider lequel parmi les candidats a l'étoffe pour être chef. J'ai dix semaines pour expliquer mes idées et ensuite les membres pourront trancher."
Citation :"Ce sont les membres qui vont décider lequel parmi les candidats a l'étoffe pour être chef. J'ai dix semaines pour expliquer mes idées et ensuite les membres pourront trancher."
Jean-Claude St-André.
Je souhaite aussi que les membres tranchent mais j'ai hâte en maudit qu'il comprenne que si les membres ne tranchent pas dans le sens voulu ou désiré par lui, qu'il comprenne aussi...
--Message edité par Beppo le 2005-09-02 19:54:04--
Jean-Claude St-André.
Je souhaite aussi que les membres tranchent mais j'ai hâte en maudit qu'il comprenne que si les membres ne tranchent pas dans le sens voulu ou désiré par lui, qu'il comprenne aussi...
--Message edité par Beppo le 2005-09-02 19:54:04--Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Direction du Parti québécois - Le psychiatre Cormier se retire de la course
Suspendu par l'hôpital où il pratique, le médecin avait sollicité l'appui de certains de ses patients
PC , Clairandrée Cauchy
Édition du samedi 3 et du dimanche 4 septembre 2005
Le psychiatre Hugues Cormier a annoncé hier qu'il se désiste de la course à la chefferie du Parti québécois après que Radio-Canada eut révélé qu'une trentaine de ses patients, dont certains lourdement hypothéqués sur le plan de la santé mentale, ont signé son bulletin de candidature, déposé mardi dernier.
Suspendu par l'hôpital où il pratique, le médecin avait sollicité l'appui de certains de ses patients
PC , Clairandrée Cauchy
Édition du samedi 3 et du dimanche 4 septembre 2005
Le psychiatre Hugues Cormier a annoncé hier qu'il se désiste de la course à la chefferie du Parti québécois après que Radio-Canada eut révélé qu'une trentaine de ses patients, dont certains lourdement hypothéqués sur le plan de la santé mentale, ont signé son bulletin de candidature, déposé mardi dernier.
Sondage CROP-La Presse
Boisclair éclipse ses adversaires
Tommy Chouinard
La Presse
Québec
André Boisclair creuse l'écart qui le sépare des autres candidats à la direction du Parti québécois et obtient maintenant deux fois plus d'appuis que sa plus proche rivale, Pauline Marois.
La moitié des électeurs péquistes et quatre Québécois sur 10 jugent en effet qu'André Boisclair, plus que les 11 autres aspirants au leadership, a les qualités requises pour redonner le pouvoir au PQ, révèle un sondage CROP-La Presse, réalisé entre le 18 et le 29 août auprès de 1001 répondants.
Ce coup de sonde, le premier depuis la fin juin, aura l'effet d'une douche froide sur Pauline Marois, puisque ses appuis stagnent toujours. Les nouvelles ne sont guère plus réjouissantes pour Richard Legendre, dont la candidature soulève bien peu d'enthousiasme.
L'avance d'André Boisclair est considérable. Parmi les 12 candidats déclarés ou officiels, 39 % des 1001 Québécois interrogés considèrent que c'est avec André Boisclair que « le Parti québécois aurait le plus de chances de remporter les prochaines élections ».
Le cadet de la course gagne même quatre points depuis son départ canon du mois de juin constaté par CROP. Le nombre de candidats a beau avoir doublé depuis deux mois, l'appui d'André Boisclair ne s'est pas affaibli, bien au contraire.
« Le ciel est très radieux pour lui. Non seulement il se maintient, mais il fait des progrès », constate Claude Gauthier, vice-président de CROP. Les appuis successifs qu'il a reçus de 13 députés péquistes et de 14 députés bloquistes semblent influencer l'électorat.
Pauline Marois se retrouve loin derrière avec 20 %, une baisse de 2 % par rapport au résultat obtenu il y a deux mois. « Ce qui demeure fascinant depuis le départ, c'est que Mme Marois stagne. Elle ne bouge pas », souligne le sondeur.
Richard Legendre, qui tente depuis deux mois de se faire connaître un peu plus, demeure en troisième position avec 7 %. Le député de Blainville réalise tout de même un gain de deux points. « Ça ne lève pas beaucoup. Il est toujours peu connu. Il fait des progrès, mais c'est quand même minuscule par rapport à l'avance de M. Boisclair », estime M. Gauthier.
L'ex-mandarin Louis Bernard obtient quant à lui l'appui de 3 % des Québécois, alors que les huit autres candidats ne récoltent que des miettes. Quelque 24 % des répondants sont indécis, indifférents ou ont refusé de répondre.
Avance accrue chez les électeurs péquistes
La domination d'André Boisclair est encore plus importante chez les électeurs péquistes. La moitié d'entre eux (49 %) estime qu'il représenterait le meilleur chef. André Boisclair a fait un bond spectaculaire de 7 % en deux mois chez les péquistes. Ce résultat permet d'envisager une victoire du candidat de 39 ans dès le premier tour de scrutin.
Or, les électeurs péquistes ne sont pas nécessairement tous des membres de ce parti, c'est-à-dire ceux qui voteront à la mi-novembre. « Mais c'est ce qui s'en approche le plus », note le sondeur.
« Je pense que le succès d'André Boisclair est lié à l'effet de nouveauté et à sa jeunesse. Les gens se disent: tant qu'à faire un changement, allons-y pour un vrai changement », explique-t-il.
Pauline Marois obtient l'appui de 23 % des électeurs péquistes, contre 7 % pour Richard Legendre et 1 % pour Louis Bernard. La proportion d'indécis parmi les électeurs du PQ chute à 15 %, une baisse de 8 % en deux mois qui se fait presque totalement au profit d'André Boisclair.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, Pauline Marois, la seule candidate féminine de la course, ne fait pas le plein de votes chez les femmes. Quelque 22 % d'entre elles l'appuient, alors que 36 % préfèrent André Boisclair.
Contre toute attente, André Boisclair, le cadet de la course, enregistre son plus faible appui (33 %) parmi les jeunes de 18 à 34 ans.
Autre fait surprenant, plus les personnes interrogées sont scolarisées ou ont des revenus élevés, plus elles ont tendance à appuyer celui qui s'était retiré temporairement de la vie politique. La moitié des Québécois qui ont au moins un baccalauréat ou des revenus annuels de plus de 60 000 $ le voient chef du PQ.
À l'inverse, Pauline Marois obtient ses appuis les plus importants auprès des personnes peu scolarisées et qui ont des revenus annuels de moins de 20 000 $. La députée de Taillon est plus populaire qu'André Boisclair auprès des non-francophones (21 % contre 17 %).
Boisclair sous les projecteurs
Claude Gauthier met en garde André Boisclair contre tout excès de confiance, d'autant plus que le scrutin n'aura lieu qu'à la mi-novembre. « Il connaît un bon départ, mais ça crée des attentes. Quand une personne devient clairement la plus susceptible d'être le prochain chef, elle est suivie à la trace plus que les autres », note le sondeur.
Un test important attend André Boisclair, ajoute-t-il, puisqu'il sera forcé d'exposer ses vues, encore floues, sur la souveraineté. Pour l'instant, il se contente de se réclamer du nouveau programme du PQ adopté en juin.
Pauline Marois fait quant à elle face à tout un casse-tête, car son expérience politique est à la fois sa plus grande qualité et son plus grand défaut. « C'est un couteau à double tranchant, parce que les gens recherchent la nouveauté », croit M. Gauthier.
La marge d'erreur du sondage est de 3 %, 19 fois sur 20.
Boisclair éclipse ses adversaires
Tommy Chouinard
La Presse
Québec
André Boisclair creuse l'écart qui le sépare des autres candidats à la direction du Parti québécois et obtient maintenant deux fois plus d'appuis que sa plus proche rivale, Pauline Marois.
La moitié des électeurs péquistes et quatre Québécois sur 10 jugent en effet qu'André Boisclair, plus que les 11 autres aspirants au leadership, a les qualités requises pour redonner le pouvoir au PQ, révèle un sondage CROP-La Presse, réalisé entre le 18 et le 29 août auprès de 1001 répondants.
Ce coup de sonde, le premier depuis la fin juin, aura l'effet d'une douche froide sur Pauline Marois, puisque ses appuis stagnent toujours. Les nouvelles ne sont guère plus réjouissantes pour Richard Legendre, dont la candidature soulève bien peu d'enthousiasme.
L'avance d'André Boisclair est considérable. Parmi les 12 candidats déclarés ou officiels, 39 % des 1001 Québécois interrogés considèrent que c'est avec André Boisclair que « le Parti québécois aurait le plus de chances de remporter les prochaines élections ».
Le cadet de la course gagne même quatre points depuis son départ canon du mois de juin constaté par CROP. Le nombre de candidats a beau avoir doublé depuis deux mois, l'appui d'André Boisclair ne s'est pas affaibli, bien au contraire.
« Le ciel est très radieux pour lui. Non seulement il se maintient, mais il fait des progrès », constate Claude Gauthier, vice-président de CROP. Les appuis successifs qu'il a reçus de 13 députés péquistes et de 14 députés bloquistes semblent influencer l'électorat.
Pauline Marois se retrouve loin derrière avec 20 %, une baisse de 2 % par rapport au résultat obtenu il y a deux mois. « Ce qui demeure fascinant depuis le départ, c'est que Mme Marois stagne. Elle ne bouge pas », souligne le sondeur.
Richard Legendre, qui tente depuis deux mois de se faire connaître un peu plus, demeure en troisième position avec 7 %. Le député de Blainville réalise tout de même un gain de deux points. « Ça ne lève pas beaucoup. Il est toujours peu connu. Il fait des progrès, mais c'est quand même minuscule par rapport à l'avance de M. Boisclair », estime M. Gauthier.
L'ex-mandarin Louis Bernard obtient quant à lui l'appui de 3 % des Québécois, alors que les huit autres candidats ne récoltent que des miettes. Quelque 24 % des répondants sont indécis, indifférents ou ont refusé de répondre.
Avance accrue chez les électeurs péquistes
La domination d'André Boisclair est encore plus importante chez les électeurs péquistes. La moitié d'entre eux (49 %) estime qu'il représenterait le meilleur chef. André Boisclair a fait un bond spectaculaire de 7 % en deux mois chez les péquistes. Ce résultat permet d'envisager une victoire du candidat de 39 ans dès le premier tour de scrutin.
Or, les électeurs péquistes ne sont pas nécessairement tous des membres de ce parti, c'est-à-dire ceux qui voteront à la mi-novembre. « Mais c'est ce qui s'en approche le plus », note le sondeur.
« Je pense que le succès d'André Boisclair est lié à l'effet de nouveauté et à sa jeunesse. Les gens se disent: tant qu'à faire un changement, allons-y pour un vrai changement », explique-t-il.
Pauline Marois obtient l'appui de 23 % des électeurs péquistes, contre 7 % pour Richard Legendre et 1 % pour Louis Bernard. La proportion d'indécis parmi les électeurs du PQ chute à 15 %, une baisse de 8 % en deux mois qui se fait presque totalement au profit d'André Boisclair.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, Pauline Marois, la seule candidate féminine de la course, ne fait pas le plein de votes chez les femmes. Quelque 22 % d'entre elles l'appuient, alors que 36 % préfèrent André Boisclair.
Contre toute attente, André Boisclair, le cadet de la course, enregistre son plus faible appui (33 %) parmi les jeunes de 18 à 34 ans.
Autre fait surprenant, plus les personnes interrogées sont scolarisées ou ont des revenus élevés, plus elles ont tendance à appuyer celui qui s'était retiré temporairement de la vie politique. La moitié des Québécois qui ont au moins un baccalauréat ou des revenus annuels de plus de 60 000 $ le voient chef du PQ.
À l'inverse, Pauline Marois obtient ses appuis les plus importants auprès des personnes peu scolarisées et qui ont des revenus annuels de moins de 20 000 $. La députée de Taillon est plus populaire qu'André Boisclair auprès des non-francophones (21 % contre 17 %).
Boisclair sous les projecteurs
Claude Gauthier met en garde André Boisclair contre tout excès de confiance, d'autant plus que le scrutin n'aura lieu qu'à la mi-novembre. « Il connaît un bon départ, mais ça crée des attentes. Quand une personne devient clairement la plus susceptible d'être le prochain chef, elle est suivie à la trace plus que les autres », note le sondeur.
Un test important attend André Boisclair, ajoute-t-il, puisqu'il sera forcé d'exposer ses vues, encore floues, sur la souveraineté. Pour l'instant, il se contente de se réclamer du nouveau programme du PQ adopté en juin.
Pauline Marois fait quant à elle face à tout un casse-tête, car son expérience politique est à la fois sa plus grande qualité et son plus grand défaut. « C'est un couteau à double tranchant, parce que les gens recherchent la nouveauté », croit M. Gauthier.
La marge d'erreur du sondage est de 3 %, 19 fois sur 20.
Pierre Dubuc se lancera dans la course mercredi
Presse Canadienne
Pierre Dubuc, le rédacteur en chef du mensuel nationaliste L'aut'journal, annoncera mercredi prochain qu'il sera candidat à la direction du Parti québécois.
Celui-ci est appuyé par le SPQ Libre, et déposera les 1000 signatures requises pour être candidat dans la course à la chefferie.
Le lancement officiel de sa campagne se fera au Centre social des Cols bleus de la Ville de Montréal.
M. Dubuc est le huitième candidat en lice dans la course à la direction au PQ.
Presse Canadienne
Pierre Dubuc, le rédacteur en chef du mensuel nationaliste L'aut'journal, annoncera mercredi prochain qu'il sera candidat à la direction du Parti québécois.
Celui-ci est appuyé par le SPQ Libre, et déposera les 1000 signatures requises pour être candidat dans la course à la chefferie.
Le lancement officiel de sa campagne se fera au Centre social des Cols bleus de la Ville de Montréal.
M. Dubuc est le huitième candidat en lice dans la course à la direction au PQ.
tuberale a écritDirection du Parti québécois - Le psychiatre Cormier se retire de la course
Suspendu par l'hôpital où il pratique, le médecin avait sollicité l'appui de certains de ses patients
PC , Clairandrée Cauchy
Édition du samedi 3 et du dimanche 4 septembre 2005
Le psychiatre Hugues Cormier a annoncé hier qu'il se désiste de la course à la chefferie du Parti québécois après que Radio-Canada eut révélé qu'une trentaine de ses patients, dont certains lourdement hypothéqués sur le plan de la santé mentale, ont signé son bulletin de candidature, déposé mardi dernier.
Tout ce que voulais Cormier, c'était se faire un nom dans le milieu. Voila que c'est fait... mais peut-être pas de la bonne manière
Suspendu par l'hôpital où il pratique, le médecin avait sollicité l'appui de certains de ses patients
PC , Clairandrée Cauchy
Édition du samedi 3 et du dimanche 4 septembre 2005
Le psychiatre Hugues Cormier a annoncé hier qu'il se désiste de la course à la chefferie du Parti québécois après que Radio-Canada eut révélé qu'une trentaine de ses patients, dont certains lourdement hypothéqués sur le plan de la santé mentale, ont signé son bulletin de candidature, déposé mardi dernier.
Tout ce que voulais Cormier, c'était se faire un nom dans le milieu. Voila que c'est fait... mais peut-être pas de la bonne manière