Chico_Fan a écritEt je "juge" un lofteur comme je "juge" un personnage dans Virginie. Donc si j'en croise un sur la rue ou sur internet, je commencerai pas à faire des jugements sur sa personne... LS c'est un jeu, et ces personnes-là en dehors du jeu, je les laisse tranquille si je puis dire.
Ben c'est correct... ça prouve que tu n'as pas de préjugés...
Préjugés sur les lofteurs
Modérateur : Elise-Gisèle
Chico_Fan a écritEt je "juge" un lofteur comme je "juge" un personnage dans Virginie. Donc si j'en croise un sur la rue ou sur internet, je commencerai pas à faire des jugements sur sa personne... LS c'est un jeu, et ces personnes-là en dehors du jeu, je les laisse tranquille si je puis dire.
L'acteur dans Virginie joue un personnage, j'en conviens très bien. Vu que je ne connais pas Virginie, je vais prendre exemple d'un personnage comme le père Bougon joué par Rémi Girard. Il est bien facile pour moi de distinguer le personnage de la personne. Mais dans LS, chaque participant joue son propre rôle avec ses propres mimiques, ses propres répliques, ses propres émotions qui lui viennent de son intérieur. Il ne m'apparaît si simple de dissocier le personnage de la personne. Tu crois que JF, par exemple, retourne dans la société sans porter aucune trace de ce que l'on a écrit sur lui ici?
Je ne sais pas si je suis clair mais il m'apparaît que la présence dans LS est beaucoup plus implicante, plus engageante, plus réelle que l'on veuille bien nous le laisser à penser.
--Message edité par Beppo le 2006-03-02 16:10:12--
L'acteur dans Virginie joue un personnage, j'en conviens très bien. Vu que je ne connais pas Virginie, je vais prendre exemple d'un personnage comme le père Bougon joué par Rémi Girard. Il est bien facile pour moi de distinguer le personnage de la personne. Mais dans LS, chaque participant joue son propre rôle avec ses propres mimiques, ses propres répliques, ses propres émotions qui lui viennent de son intérieur. Il ne m'apparaît si simple de dissocier le personnage de la personne. Tu crois que JF, par exemple, retourne dans la société sans porter aucune trace de ce que l'on a écrit sur lui ici?
Je ne sais pas si je suis clair mais il m'apparaît que la présence dans LS est beaucoup plus implicante, plus engageante, plus réelle que l'on veuille bien nous le laisser à penser.
--Message edité par Beppo le 2006-03-02 16:10:12--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Quant aux préjugés, aux jugements que l'on porte envers les lofteurs, je trouve souvent que nous n'y allons pas de main morte. La sentence tombe solide en estifie et les mots pour l'écrire ne font pas du tout dans la dentelle.
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
Je voulais vous partager ça bien simplement.
--Message edité par Beppo le 2006-03-02 16:28:18--
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
Je voulais vous partager ça bien simplement.
--Message edité par Beppo le 2006-03-02 16:28:18--
Au plaisir!
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capucine243
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- Inscription : ven. oct. 15, 2004 12:00 am
Beppo a écritQuant aux préjugés, aux jugements que l'on porte envers les lofteurs, je trouve souvent que nous n'y allons pas de main morte. La sentence tombe solide en estifie et les mots pour l'écrire ne font pas du tout dans la dentelle.
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
Je voulais vous partager ça bien simplement.
Ça ben de l'allure !
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
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Ça ben de l'allure !
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capucine243
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Beppo a écritQuant aux préjugés, aux jugements que l'on porte envers les lofteurs, je trouve souvent que nous n'y allons pas de main morte. La sentence tombe solide en estifie et les mots pour l'écrire ne font pas du tout dans la dentelle.
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
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100% d,accord, il ya une grosse diféérence entre dire "votre fils nous a mentit à plusieurs reprises madame" et "votre fils est un menteur compulsif madame", dans le premier cas tu dis "ok comment expliquez-vous cela ou pouvez-vous m'aider ?" et dans le 2ième cas tu es démoli, parce que ton enfant EST terrible et non A FAIT quelque chose de terrible...
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J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
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100% d,accord, il ya une grosse diféérence entre dire "votre fils nous a mentit à plusieurs reprises madame" et "votre fils est un menteur compulsif madame", dans le premier cas tu dis "ok comment expliquez-vous cela ou pouvez-vous m'aider ?" et dans le 2ième cas tu es démoli, parce que ton enfant EST terrible et non A FAIT quelque chose de terrible...
Beppo a écritQuant aux préjugés, aux jugements que l'on porte envers les lofteurs, je trouve souvent que nous n'y allons pas de main morte. La sentence tombe solide en estifie et les mots pour l'écrire ne font pas du tout dans la dentelle.
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
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Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
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C'est bobépine ou bépine SVP
Que Steve soit gay ou pas, j'en ferais pas un drame. On a droit d'être différent dans la vie pis si on serait toute parreilles, ça serait assez plate merci pis on aurait rien à chîaler dessus.... Mais j'avoue que Matt m'a fait assez rire avec "son dit partner du loft". Je doute qu'il y ait une "histoire" amoureuse, c'est ink des conneries qu'on dit sur lui mais même s'il serait tombé raide dingue amoureux de JF, ça m'aurait pas déranger pour autant. Sont ink amis ces deux là, laissez les respirer!
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Beppo a écritQuant aux préjugés, aux jugements que l'on porte envers les lofteurs, je trouve souvent que nous n'y allons pas de main morte. La sentence tombe solide en estifie et les mots pour l'écrire ne font pas du tout dans la dentelle.
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
Je voulais vous partager ça bien simplement.
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
Je voulais vous partager ça bien simplement.
Beppo a écrit
Je ne sais pas si je suis clair mais il m'apparaît que la présence dans LS est beaucoup plus implicante, plus engageante, plus réelle que l'on veuille bien nous le laisser à penser.
Évidemment. Je parlais simplement en mon nom et de ma propre facon de juger les lofteurs. Je les juge avec la même légèreté et la même distance que je juge un personnage de Virginie par exemple...
Je comprends que c'est très implicant pour les lofteurs de participer à cette émission vu qu'ils sont eux-mêmes... Oui j'éprouve un malaise quand JF vient poster ici, parce que ca m'intéresse pas de "juger" ou "commenter" le vrai JF. C'est sûr que le JF du loft est le même que le JF de la vie de tous les jours, mais pas pour moi.
C'est compliqué mon affaire.
Je ne sais pas si je suis clair mais il m'apparaît que la présence dans LS est beaucoup plus implicante, plus engageante, plus réelle que l'on veuille bien nous le laisser à penser.
Évidemment. Je parlais simplement en mon nom et de ma propre facon de juger les lofteurs. Je les juge avec la même légèreté et la même distance que je juge un personnage de Virginie par exemple...
Je comprends que c'est très implicant pour les lofteurs de participer à cette émission vu qu'ils sont eux-mêmes... Oui j'éprouve un malaise quand JF vient poster ici, parce que ca m'intéresse pas de "juger" ou "commenter" le vrai JF. C'est sûr que le JF du loft est le même que le JF de la vie de tous les jours, mais pas pour moi.
C'est compliqué mon affaire.
Pour ma culture personnelle :
PRÉJUGÉ, subst. masc.
A. Vx. ,,Ce qui a été jugé dans un cas semblable ou analogue. Cet arrêt est un préjugé pour notre cause`` (Ac.).
B. 1. Opinion a priori favorable ou défavorable qu'on se fait sur quelqu'un ou quelque chose en fonction de critères personnels ou d'apparences.
2. Péj., souvent au plur. Opinion hâtive et préconçue souvent imposée par le milieu, l'époque, l'éducation, ou due à la généralisation d'une expérience personnelle ou d'un cas particulier.
PSYCHOSOCIOL. Préjugé racial. ,,Opinions et sentiments péjoratifs établis sur des éléments d'appréciation sommaires à l'égard des représentants d'une autre race considérée comme inférieure`` (THINÈS-LEMP. 1975).
Et pour : JUGEMENT, subst. masc.
D. Démarche intellectuelle par laquelle on se forme une opinion et on l'émet; résultat de cette démarche. Porter un jugement.
3. Avis favorable ou défavorable, opinion personnelle portant approbation ou condamnation que l'on porte, en l'exprimant ou non, sur quelqu'un, sur quelque chose.
E. [Sans compl.; emploi abs.] Qualité de l'esprit, faculté intellectuelle qui porte à bien juger, à porter des appréciations sages, des jugements sains, pleins de discernement, d'équité et de bon sens.
PRÉJUGÉ, subst. masc.
A. Vx. ,,Ce qui a été jugé dans un cas semblable ou analogue. Cet arrêt est un préjugé pour notre cause`` (Ac.).
B. 1. Opinion a priori favorable ou défavorable qu'on se fait sur quelqu'un ou quelque chose en fonction de critères personnels ou d'apparences.
2. Péj., souvent au plur. Opinion hâtive et préconçue souvent imposée par le milieu, l'époque, l'éducation, ou due à la généralisation d'une expérience personnelle ou d'un cas particulier.
PSYCHOSOCIOL. Préjugé racial. ,,Opinions et sentiments péjoratifs établis sur des éléments d'appréciation sommaires à l'égard des représentants d'une autre race considérée comme inférieure`` (THINÈS-LEMP. 1975).
Et pour : JUGEMENT, subst. masc.
D. Démarche intellectuelle par laquelle on se forme une opinion et on l'émet; résultat de cette démarche. Porter un jugement.
3. Avis favorable ou défavorable, opinion personnelle portant approbation ou condamnation que l'on porte, en l'exprimant ou non, sur quelqu'un, sur quelque chose.
E. [Sans compl.; emploi abs.] Qualité de l'esprit, faculté intellectuelle qui porte à bien juger, à porter des appréciations sages, des jugements sains, pleins de discernement, d'équité et de bon sens.
Beppo a écritQuant aux préjugés, aux jugements que l'on porte envers les lofteurs, je trouve souvent que nous n'y allons pas de main morte. La sentence tombe solide en estifie et les mots pour l'écrire ne font pas du tout dans la dentelle.
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
Je voulais vous partager ça bien simplement.
Savais-tu que je t'adores toi
je pense ainsi moi aussi.
Ca me choque tout autant que toi, surtout quand quelqu'un dit d'une autre personne qu'il ou elle est gay, sans en avoir des preuves certifiés, les cheveux me défrisent et à chaque téléralité, faut absolument qu'il y ait un ou une personne gay ou lesbienne, non mais c'est quoi l'affaire????
On peut peut-être le penser, entre nous, dans notre salon, mais de là à le dire publiquement, j'ai ben de la misère avec cela et si quelqu'un écrivait de tels propos dans un journal, on dirait de lui qu'il exagère, mais ici, n'est-ce pas un forum public??? Lu par beaucoup de gens???
Et il y a eu JF aussi, ca j'en suis encore chavirée: abuseur, violeur... c'est certain que je ne suis pas d'accord avec son comportement dans le LOFT, mais à l'extérieur, il est quel genre de gars??? Personne ne le sait...Donc, personne ne peut se permettre de le juger de cette manière, à mon avis.
Bref, je trouve, que pour certains ici, les propos vont beaucoup trop loin, je pense également qu'un peu de ''dosage'' pour ces personnes ne ferait pas de tort.
Comme enseignant, nous avons reçu de la formation sur le langage à véhiculer et les mots à utiliser pour exprimer une réalité. Je ne vous écris pas ça pour que vous pensiez que je suis, ou que nous sommes meilleurs que les autres, mais en suivant ces ateliers, nous prenions conscience de la portée de nos mots. Nous nous sommes sensibilisés à cette réalité car nous savions qu'il serait facile de nous faire poursuivre...
J'ai de la difficulté et j'éprouve un profond malaise à lire des commentaires sur la réputation des gens. Quand on les décrit comme des hypocrites, des menteurs, des êtres méprisants, des cons, des gays (sachant toute la portée que ça véhicule dans la société), et j'en passe, je m'enrage à lire ça. J'aime penser qu'un jour on en vienne à dissocier un tant soit peu l'être du geste... Intérieurement, je me porte à penser que s'il fallait que j'utilise ce langage pour décrire un enfant lors de la remise du bulletin aux parents, je me retrouverais en première page de mon quotidien local le lendemain. Je ne m'entends pas dire à un parent : « Votre fils est un menteur, un manipulateur, un crosseur de la pire espèce. » Par contre, je me sens bien à l'aise de leur dire que « Frédéric m'a menti en m'avouant n'avoir pas... » Tout l'être n'est pas dans le mensonge, il me semble.
Je voulais vous partager ça bien simplement.
Savais-tu que je t'adores toi
je pense ainsi moi aussi.
Ca me choque tout autant que toi, surtout quand quelqu'un dit d'une autre personne qu'il ou elle est gay, sans en avoir des preuves certifiés, les cheveux me défrisent et à chaque téléralité, faut absolument qu'il y ait un ou une personne gay ou lesbienne, non mais c'est quoi l'affaire????
On peut peut-être le penser, entre nous, dans notre salon, mais de là à le dire publiquement, j'ai ben de la misère avec cela et si quelqu'un écrivait de tels propos dans un journal, on dirait de lui qu'il exagère, mais ici, n'est-ce pas un forum public??? Lu par beaucoup de gens???
Et il y a eu JF aussi, ca j'en suis encore chavirée: abuseur, violeur... c'est certain que je ne suis pas d'accord avec son comportement dans le LOFT, mais à l'extérieur, il est quel genre de gars??? Personne ne le sait...Donc, personne ne peut se permettre de le juger de cette manière, à mon avis.
Bref, je trouve, que pour certains ici, les propos vont beaucoup trop loin, je pense également qu'un peu de ''dosage'' pour ces personnes ne ferait pas de tort.
Il est vrai que les surnoms de JF était poussé, il n'est pas un violeur puisque dans les fais il n'a pas violé personne, du moins aucun comportement ne pouvais ojectivement démontré qu'il pouvait en être un. Par contre comme je l'ai déjà mentionné, d'après mon expérience en intervention avec des agresseurs, effectivement il a utilisé plusieurs formes de violence que nous travailleur avec les agresseurs, à faire attention ici nous ne parlons pas d'agresseur sexuel mais bien agression verbal, phsychologique, Harcèlement (pas nécessairement sexuel), donc si j'y vais objectivement avec les comportements utilisé avec Ély effectivement il avait tendance à avoir un comportement violent envers elle. Dans la cadre de ses thérapies il est souvent dit que l'agresseur perd tout droit de dire à sa victime que ¨c'était pas si pire, tu as eu peur pour un rien, je t'ai pas fait mal, ect...) Seul la victime peu dire comment elle l'a vécu puisque c'est elle qui subit. Donc de dire que JF est un agresseur n'est pas nécessairement un jugement car il est basé d'après des faits réels. D'ailleurs Ély a mentionné qu'elle avait peur de lui en certaines occasions. Et j'ai déjà mentionné ce n'est pas JF en tant qu'individu qui est dénoncé mais bel et bien son comportement, nous sommes lui d'un jugement ou préjugé, c'est tout simplement un fait basé sur du concret. Ceux qui sont a blâmé dans tout cela se n'est pas JF,puisqu'il n'est pas conscient de son comportement, mais bel et bien TQS qui aurait dû mettre fin à cela dès le début en lui mettant des avertissement clairs. Mais je suis d'accord de dire que pour les autres lofteurs, gay, lesbienne, courailleuse, princesse, ect... Se sont des jugements ou préjugés puisqu'il n'y a rien de concret (voir Stéphanie embrassé une autre fille, flirté avec celle-ci en étant attiré par aucun garçon, se qui n'est pas le cas présentement, même choses pour les autres) sur lesquels on peut se baser afin d'en venir à de tel conclusion.
Ysatis xx
joYSATIS,
Enfin quelqu'un qui pense comme moi par rapport a J-F.
Je suis content. Donc selon ton experience, laisse toi donc aller au sujet de Mathieu, lui aussi il est du type "agresseur"!
Maryjo, lache Max avec cela! Il tiens à sa blonde, c'est pas compliqué. Toi t,es pas jalouse? Ton chum, tu le laisse tu sortir seul avec tes chums de filles?
Il y a une grosse marge entre la jalousie maladive et quelqu'un qui protege sa douce des sales pattes... --Message edité par DELAVAN le 2006-04-02 10:23:42--
Enfin quelqu'un qui pense comme moi par rapport a J-F.
Je suis content. Donc selon ton experience, laisse toi donc aller au sujet de Mathieu, lui aussi il est du type "agresseur"!
Maryjo, lache Max avec cela! Il tiens à sa blonde, c'est pas compliqué. Toi t,es pas jalouse? Ton chum, tu le laisse tu sortir seul avec tes chums de filles?
Il y a une grosse marge entre la jalousie maladive et quelqu'un qui protege sa douce des sales pattes... --Message edité par DELAVAN le 2006-04-02 10:23:42--
