La tournée "Luis Mariano" reprend (Corneliu et Meggie)
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- Modeste Jacasseur
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hellodolly a écritWell, j'espère qu'ils ne projetaient pas rester au Capitole, si oui, ça vient justement de s'éteindre....
Je ne pense pas...
Y a de bonnes et de moins bonnes critiques mais cela ne changera pas l'intention du public visé de sortir en groupe voir ce spectacle.
Je me fais aucun souci
Je ne pense pas...
Y a de bonnes et de moins bonnes critiques mais cela ne changera pas l'intention du public visé de sortir en groupe voir ce spectacle.
Je me fais aucun souci
JOYEUX NOEL ET BONNE ANNÉE 2009!!!!
Citation : Parmi l’amour, les femmes et la musique... il y avait le rossignol
Article mis en ligne le 30 mars 2008 à 11:20
Le printemps est poésie. Les oiseaux volent et d’un romantisme fou et rempli de sentimentalité, Luis Mariano se pose pour la première sur la scène du Capitole de Québec, le 26 mars dernier. Cette saison dégageant de beaux moments d’amour, laisse toute la place à ce grand charmeur des cœurs qui sait s’entourer de celles dont il prodigue magnifiquement paroles et chansons. On sent sa présence à chaque table. Sa voix résonne dans l’amphithéâtre. Son histoire déroule devant nous. Patchi l’a permis.
Sous les traits du grand ténor d’origine espagnole, Corneliu Montago, roumain d’origine se décrit sur scène admirablement comme l’aurait souhaité Luis Mariano lui-même avec ses chansons à succès et son charisme des cœurs. Pour ébahir la foule venue acclamer ce chef-d’œuvre, Corneliu ne se gêne pas pour se manifester en danse et passion, en couleur et costume qu’il transige à la moindre chanson.
Accompagné de musiciens habiles, d’une dizaine de danseurs agiles, Corneliu alias Mariano fait vibrer des cœurs au grand bonheur de ses fans chéris, la plupart étant bien-sûr des chéries. Il nous amène en Andalousie où les femmes sont belles se permettant d’utiliser la très belle langue espagnole pour délibérer sur ses passions. Il s’attire des regards lorsqu’il se veut le chevalier irréductible de la «Belle de Cadix». Il n’oublie surtout pas sa «Maman, qui est la plus belle du monde».
Danseur, exquis chanteur de charme, Luis Mariano ralentit les palpitations de la samba brésilienne en saluant celle qu’il aime. «Buenas noches mi amor» et «Besame mucho» se gratifieront de paroles et gestes. Toute cette extase qu’il provoque dans la salle, dans le cœur des plus pures et sentimentales d’entre elles, ranimera de merveilleux moments de bonheur.
On se serait vraiment cru en terre étrangère, le ciel bleu et la mer, sifflotant sur la grève des sons doux. Une magie colorée de robes princières et «Maria Luisa» devient la reine de la soirée… Des applaudissements en égard à ces chansons délicieuses lui auront mérité les qualités d’un rossignol… «Rossignol de mes amours».
source:
http://www.quebechebdo.com/article-1979 ... ignol.html
Article mis en ligne le 30 mars 2008 à 11:20
Le printemps est poésie. Les oiseaux volent et d’un romantisme fou et rempli de sentimentalité, Luis Mariano se pose pour la première sur la scène du Capitole de Québec, le 26 mars dernier. Cette saison dégageant de beaux moments d’amour, laisse toute la place à ce grand charmeur des cœurs qui sait s’entourer de celles dont il prodigue magnifiquement paroles et chansons. On sent sa présence à chaque table. Sa voix résonne dans l’amphithéâtre. Son histoire déroule devant nous. Patchi l’a permis.
Sous les traits du grand ténor d’origine espagnole, Corneliu Montago, roumain d’origine se décrit sur scène admirablement comme l’aurait souhaité Luis Mariano lui-même avec ses chansons à succès et son charisme des cœurs. Pour ébahir la foule venue acclamer ce chef-d’œuvre, Corneliu ne se gêne pas pour se manifester en danse et passion, en couleur et costume qu’il transige à la moindre chanson.
Accompagné de musiciens habiles, d’une dizaine de danseurs agiles, Corneliu alias Mariano fait vibrer des cœurs au grand bonheur de ses fans chéris, la plupart étant bien-sûr des chéries. Il nous amène en Andalousie où les femmes sont belles se permettant d’utiliser la très belle langue espagnole pour délibérer sur ses passions. Il s’attire des regards lorsqu’il se veut le chevalier irréductible de la «Belle de Cadix». Il n’oublie surtout pas sa «Maman, qui est la plus belle du monde».
Danseur, exquis chanteur de charme, Luis Mariano ralentit les palpitations de la samba brésilienne en saluant celle qu’il aime. «Buenas noches mi amor» et «Besame mucho» se gratifieront de paroles et gestes. Toute cette extase qu’il provoque dans la salle, dans le cœur des plus pures et sentimentales d’entre elles, ranimera de merveilleux moments de bonheur.
On se serait vraiment cru en terre étrangère, le ciel bleu et la mer, sifflotant sur la grève des sons doux. Une magie colorée de robes princières et «Maria Luisa» devient la reine de la soirée… Des applaudissements en égard à ces chansons délicieuses lui auront mérité les qualités d’un rossignol… «Rossignol de mes amours».
source:
http://www.quebechebdo.com/article-1979 ... ignol.html
JOYEUX NOEL ET BONNE ANNÉE 2009!!!!
Moi j'y suis aller et j,ai bien aimer et oui il y a beaucoup de tête blanche mais que voulez-vous Luis Mariano c'est les années 50 a 70 c'est un show pour les bébé boomer ou les mamans et grand maman .Moi je dis si vous avez connus la musique de luis Mariano et que vous aimer les comedie musical allez-y ca presse ils sont bon non jeunes
Une autre opinion et des photos:
http://www.info-culture.biz/luismarianoshow.html
La grande revue musicale Luis Mariano « Le cœur qui chante », mise en scène par Mouffe et produite par Robert Vinet, a été présentée du 26 au 29 mars dernier au Capitole de Québec.
Des jeunes qui chantent pour le plaisir et un spectacle haut en couleur et dynamique. La metteuse en scène a fait revivre l’époque de l’opérette du charmeur Luis Mariano par son interprète Corneliu Montano.
En ouverture, Corneliu passe une audition pour le rôle; tout de suite, le spectacle nous met l’eau à la bouche. Ce spectacle de toute beauté nous fait revivre les années de Mariano sur des segments musicaux et des projections de photos accompagnées d’une narration de Kathleen Fortin, des moments marquants de la vie du chanteur; sa naissance en Espagne, son exode en France et son triomphe à Paris.
Le ténor Corneliu Montano, ex-académicien de la cuvée 2004 de Star Académie, l’avoue d'emblée : dans sa jeune vingtaine, le prince de l’opérette resplendit de toute sa voix d’or, mais sa grand-mère, elle, l’aimait beaucoup. Et elle n’est visiblement pas la seule, si l’on se fie à l’âge moyen des spectateurs qui s’étaient donné rendez-vous le 26 mars dernier au Capitole, pour la première de quatre représentations du spectacle-hommage au ténor basque.
Avec ses 22 tableaux et ses 28 chansons, la vingtaine de costumes et les mimiques du chanteur de charme, regards coquins et la gestuelle, en plus d’être très bon danseur. D’une voix juste, il enchaîne les hymnes kitsch de Mariano — dont l’incontournable Mexico, La belle de Cadix, Rossignol de mes amours, Maman la plus belle du monde, et j’en passe.
Les danseurs et choristes qui l’accompagnent ajoutent une bonne dose d’énergie et de bonne humeur à un univers qui lui est propre. Cette revenue musicale couvre évidemment la vie entière de cet artiste qui faisait tomber les femmes !
Corneliu et sa copine Meggie (la belle Carmen Sevilla) entonnent également Aïe, pourquoi on s’aime ? Le summum est certainement atteint pendant une samba brésilienne, où des danseurs affublés de chemises fluo nouées à la taille s’exécutent devant une projection de feux d’artifice.
Un spectacle à voir et à revoir !
Crédit photos: Sébastien Dion
http://www.info-culture.biz/luismarianoshow.html
La grande revue musicale Luis Mariano « Le cœur qui chante », mise en scène par Mouffe et produite par Robert Vinet, a été présentée du 26 au 29 mars dernier au Capitole de Québec.
Des jeunes qui chantent pour le plaisir et un spectacle haut en couleur et dynamique. La metteuse en scène a fait revivre l’époque de l’opérette du charmeur Luis Mariano par son interprète Corneliu Montano.
En ouverture, Corneliu passe une audition pour le rôle; tout de suite, le spectacle nous met l’eau à la bouche. Ce spectacle de toute beauté nous fait revivre les années de Mariano sur des segments musicaux et des projections de photos accompagnées d’une narration de Kathleen Fortin, des moments marquants de la vie du chanteur; sa naissance en Espagne, son exode en France et son triomphe à Paris.
Le ténor Corneliu Montano, ex-académicien de la cuvée 2004 de Star Académie, l’avoue d'emblée : dans sa jeune vingtaine, le prince de l’opérette resplendit de toute sa voix d’or, mais sa grand-mère, elle, l’aimait beaucoup. Et elle n’est visiblement pas la seule, si l’on se fie à l’âge moyen des spectateurs qui s’étaient donné rendez-vous le 26 mars dernier au Capitole, pour la première de quatre représentations du spectacle-hommage au ténor basque.
Avec ses 22 tableaux et ses 28 chansons, la vingtaine de costumes et les mimiques du chanteur de charme, regards coquins et la gestuelle, en plus d’être très bon danseur. D’une voix juste, il enchaîne les hymnes kitsch de Mariano — dont l’incontournable Mexico, La belle de Cadix, Rossignol de mes amours, Maman la plus belle du monde, et j’en passe.
Les danseurs et choristes qui l’accompagnent ajoutent une bonne dose d’énergie et de bonne humeur à un univers qui lui est propre. Cette revenue musicale couvre évidemment la vie entière de cet artiste qui faisait tomber les femmes !
Corneliu et sa copine Meggie (la belle Carmen Sevilla) entonnent également Aïe, pourquoi on s’aime ? Le summum est certainement atteint pendant une samba brésilienne, où des danseurs affublés de chemises fluo nouées à la taille s’exécutent devant une projection de feux d’artifice.
Un spectacle à voir et à revoir !
Crédit photos: Sébastien Dion
http://www.cyberpresse.ca/article/20080 ... ACTUALITES
Le mardi 15 avril 2008
Thérapie par le kitsch
Meggie Lagacé et Corneliu Montano
Imacom, Frédéric Côté
Laura Martin
La Tribune
Sherbrooke
Au moment où il allait poser les pieds au Capitole de Québec, à la fin mars, pour la première de quatre représentations de la comédie musicale Luis Mariano, Corneliu Montano a été informé que son grand-père souffrait du cancer.
Bang dans le coeur. Accusant le coup, il a voulu se dérober et voler au chevet de son aïeul, à New York.
"Évidemment, je ne pouvais pas partir, mais mon coeur n'était pas à la fête. Je suis monté sur scène, et plus je chantais, mieux je me sentais. Les chansons de Mariano m'ont servi d'échappatoire. Sa musique est une réelle thérapie."
Ce n'est pourtant pas la première fois que l'efficacité thérapeutique de La belle de Cadix et du Rossignol de mes amours est démontrée. Le ténor basque est entré dans l'histoire en réussissant à faire oublier la Deuxième Guerre mondiale aux Français, en assourdissant les bombes avec fleurette et petits oiseaux, cinq décennies avant la Compagnie créole. Sa musique a même été bonne pour son propre moral, lorsqu'il a dû encaisser le décès de sa maman, la plus belle du monde...
Le spectacle qui s'arrête à Sherbrooke après une soixantaine de représentations s'annonce donc comme une séance de luminothérapie pour les âmes encore fripées par l'hiver. Et pour ceux qui ne disent jamais non à de l'énergie, qu'elle soit en ampoule, en cannette ou en scène.
"Je ne dirais pas que la musique de Luis Mariano est quétaine, mais elle est assurément kitsch. Ce ne sont pas de grandes chansons à textes, mais elles évoquent le bonheur, les vacances, l'amour. Je m'amuse comme un fou", assure Corneliu Montano.
L'interprète d'origine roumaine n'était pas encore né, et ses parents probablement pas non plus, quand l'homme à la voix d'or a commencé à distribuer ses pépites. L'ex-académicien connaissait quand même ses classiques quand Mouffe, l'auteure et metteuse en scène, l'a approché pour le rôle d'un garçon qui passe justement des auditions pour une comédie musicale sur le prince de l'opérette.
"Disons que mes parents m'ont fortement suggéré d'écouter sa musique quand j'étais jeune. Il ne faut pas oublier qu'il a fait une tournée triomphale en Roumanie et a été le premier vendeur millionnaire en France. Il a marqué une époque. Et ses chansons ne sont pas que du bonbon. Elles sont très difficiles vocalement."
Avant de séparer les syllabes de Mexi-iii-iii-coooo sur tous les tons, l'été dernier au Centre culturel de Joliette, le chanteur de classique pop a entraîné son muscle avec le pianiste André Gagnon ainsi qu'avec le New-Yorkais William Riley, le même qui a préparé Céline pour le marathon de A New Day.
"J'ai 28 chansons à interpréter et une vingtaine de changements de costumes à faire. C'est tout un exercice! Au départ, je m'en faisais beaucoup avec la performance vocale. J'ai pris de l'aisance depuis. Rarement dans notre métier avons-nous l'occasion de donner assez de représentations pour atteindre cette étape où l'on peut penser à s'amuser."
"C'est une très bonne école", confirme son amoureuse Meggie Lagacé, qui joue la compagne de scène de Mariano, Carmen Sevilla.
Le couple reviendra à Montréal, avec une douzaine d'autres chanteurs et danseurs, l'automne prochain, et le projet qu'il vole en France est aussi dans l'air, depuis que Patchi Lakan, l'ami et confident de Mariano, a eu un coup de coeur. "Il est venu voir le spectacle deux ou trois fois à Montréal, et a dit qu'il n'avait jamais vu Mariano aussi bien interprété que par Corneliu", annonce fièrement sa copine.
Ça aussi, c'est thérapeutique...
Leurs actualités
- Corneliu Montano prépare présentement son deuxième album de classique pop, dans les studios Soundtrack à New York, avec une équipe renouvelée, qui comprend des collaborateurs de N'Sync et des New Kids on the Block.
L'album, qui visera le marché américain, devrait sortir en 2009. Un album de Noël est aussi dans les plans pour cette année.
- Meggie Lagacé en est à l'étape de l'écriture pour son deuxième album. Elle est également en attente d'une réponse à la suite des auditions pour la comédie musicale de Félix Gray, Shérazade