tipet a écrit
Red Ketchup est dans la génération silencieuse. La génération AVANT les boomers. La génération X est celle après les boomers.
Euh....j'viens de prendre un coup de vieux moi là.
Je ne suis pas DE la génération silencieuse mais la progéniture de cette génération là. Mélange moi pas toi là.
L'échec des boomers
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Red Ketchup
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8114
- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
Blanche Neige a écrit
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
Je pense que tu généralises beaucoup. Ce ne sont pas tous le boomers qui l'ont eu facile. S'ils n'avaient pas été là, bien des gens qui ont des conditions de travail de rêve aujourd'hui auraient de quoi se lamenter. Plutôt que de se geler avec toutes sortes de substances, de râler et de se lamenter sur tout et sur rien, les générations qui suivent les boomers devraient mettre l'épaule à la roue et faire progresser le monde, eux aussi. Mais quand on a eu tout cuit dans le bec (grâce aux efforts des p'tits-vieux), c'est plus difficile.
Perso, je n'ai pas de mérite. Je n'ai pas participé aux grandes batailles syndicales ou féministes qui ont transformé la société. Cependant, j'en profite, au même titre que les autres Québécois et Québécoises, et je pense qu'au lieu de blâmer les boomers pour tout ce qui va mal, on devrait les remercier pour ce qui va bien, pour ce qu'ils ont accompli.
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
Je pense que tu généralises beaucoup. Ce ne sont pas tous le boomers qui l'ont eu facile. S'ils n'avaient pas été là, bien des gens qui ont des conditions de travail de rêve aujourd'hui auraient de quoi se lamenter. Plutôt que de se geler avec toutes sortes de substances, de râler et de se lamenter sur tout et sur rien, les générations qui suivent les boomers devraient mettre l'épaule à la roue et faire progresser le monde, eux aussi. Mais quand on a eu tout cuit dans le bec (grâce aux efforts des p'tits-vieux), c'est plus difficile.
Perso, je n'ai pas de mérite. Je n'ai pas participé aux grandes batailles syndicales ou féministes qui ont transformé la société. Cependant, j'en profite, au même titre que les autres Québécois et Québécoises, et je pense qu'au lieu de blâmer les boomers pour tout ce qui va mal, on devrait les remercier pour ce qui va bien, pour ce qu'ils ont accompli.
Ne prenez pas la vie trop au sérieux : personne n'en sort vivant, de toute façon!
Blanche Neige a écrit
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
J'imagine bien que tu préférerais que nous travaillions encore à 5 ou 6 $ /heure et que les patrons s'en mettent encore plein les poches. Aussi, tu aimerais sans doute vivre dans une société où tu bosses 7 jours sur 7 au bon gré de ton employeur sans bénéficier d'aucun avantage comme l'instruction à tarif réduit, les frais de santé, les assurances, le taux d'électricité préférentiel et ainsi de suite...
Justement, les boomers n'ont pas eu peur d'affronter les patrons pour aller chercher leur cote part et vivre plus décemment que les silencieux tout en leur procurant à eux aussi de certains avantages comme les soins de santé. À te lire, je ne crois pas que nous ayons vécu dans la même province et sur la même planète à la même époque.
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
J'imagine bien que tu préférerais que nous travaillions encore à 5 ou 6 $ /heure et que les patrons s'en mettent encore plein les poches. Aussi, tu aimerais sans doute vivre dans une société où tu bosses 7 jours sur 7 au bon gré de ton employeur sans bénéficier d'aucun avantage comme l'instruction à tarif réduit, les frais de santé, les assurances, le taux d'électricité préférentiel et ainsi de suite...
Justement, les boomers n'ont pas eu peur d'affronter les patrons pour aller chercher leur cote part et vivre plus décemment que les silencieux tout en leur procurant à eux aussi de certains avantages comme les soins de santé. À te lire, je ne crois pas que nous ayons vécu dans la même province et sur la même planète à la même époque.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Blanche Neige a écrit
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
Si tu nous met tous dans le même panier, eh bien tu sais pas de quoi tu parles.
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
Si tu nous met tous dans le même panier, eh bien tu sais pas de quoi tu parles.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Blanche Neige a écrit
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
Euhh! je fais partie des boomers.. je n'adhère pas du tout à ce que tu écris: l'argent est tellement important pour vous (les 50+) que nous avons oublié l'essentiel: le coeur.
Tu généralises un peu trop fort, et pour te dire la vérite, cela ne me tente pas d'en discuter plus longtemps.
Désolée....
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
Euhh! je fais partie des boomers.. je n'adhère pas du tout à ce que tu écris: l'argent est tellement important pour vous (les 50+) que nous avons oublié l'essentiel: le coeur.
Tu généralises un peu trop fort, et pour te dire la vérite, cela ne me tente pas d'en discuter plus longtemps.
Désolée....
Soleil47 a écrit Euhh! je fais partie des boomers.. je n'adhère pas du tout à ce que tu écris: l'argent est tellement important pour vous (les 50+) que nous avons oublié l'essentiel: le coeur.
Tu généralises un peu trop fort, et pour te dire la vérite, cela ne me tente pas d'en discuter plus longtemps.
Désolée....
Tu généralises un peu trop fort, et pour te dire la vérite, cela ne me tente pas d'en discuter plus longtemps.
Désolée....
Blanche Neige a écrit
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
Tu généralises beaucoup. Comme si toutes les personnes nées en 1961 et avant étaient syndiquées et très à l'aise financièrement. Ce n'est pas du tout le cas.
Il y a aussi les vieux boomers ou les jeunes boomers. Tant qu'à moi, je suis de la génération des jeunes boomers. J'étais à l'époque où le primaire était jusqu'à la 7ième année, du début des polyvalentes, des cégeps et comme tout ce qui commence, je peux te dire que c'était le bordel total, c'était complètement désorganisé.
Cet état était probablement dû au vieux boomers, ceux nés avant 1950. Par contre vois-tu, je leur suis bien reconnessant. Grâce à eux l'éducation pour tous au Québec à vu le jour, ils ont fait la révolution tranquille et sans cette révolution nous serions aujourd'hui une gang d'arriéré. En plus cette gang de gras dur font qu'aujourd'hui, dans les cégeps, il y a des agences de voyages, pour les étudiants,pour de belles destinations de tout inclus dans le sud. Qui payent??? C'est curieux quand même car, moi, lorsuqe j'étais jeune ça n'existait pas. Quand nous voulions faire un voyage, nous devions ramasser cent par cent et nous pouvions nous payer un voyage sac sur le dos et auberge de jeunesse au max parce que nos parents étaient de la génération silencieuse et ma foi pas vraiment riche et pas du tout éduqué. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne nous aimaient pas. C'est qu'ils n'avaient pas les moyens, monétaires et intellectuels.
C'est ce qui est agançant aujourd'hui. Tout est de la faute de l'autre. Et nous les boomers pourquoi ne pas critiquer nos parents enfoncés dans la religion, pauvre ouvriers, pas éduqué moutons et suiveux, mères bonnes seulement à faire des enfants. Nous le faisons pas. Pourquoi? Peut-être parce que nous avons une restant du sens du respect. Nous croyons qu'ils ont fait leur possible avec ce qu'ils avaient, sans assurance maladie, sans éducation gratuite pour tous, sans assurance parentale, sans rien en fait.
Oui, je peux comprendre que l’argent est important pour vous, le syndicat vous a apporté la sécurité financière jusqu’à la fin de vos jours et même plus. L’argent est tellement important pour vous (les 50+) que vous avez oublié l’essentiel, le cœur.
La pire erreur des boomers est leur mentalité, la peur.
Tu généralises beaucoup. Comme si toutes les personnes nées en 1961 et avant étaient syndiquées et très à l'aise financièrement. Ce n'est pas du tout le cas.
Il y a aussi les vieux boomers ou les jeunes boomers. Tant qu'à moi, je suis de la génération des jeunes boomers. J'étais à l'époque où le primaire était jusqu'à la 7ième année, du début des polyvalentes, des cégeps et comme tout ce qui commence, je peux te dire que c'était le bordel total, c'était complètement désorganisé.
Cet état était probablement dû au vieux boomers, ceux nés avant 1950. Par contre vois-tu, je leur suis bien reconnessant. Grâce à eux l'éducation pour tous au Québec à vu le jour, ils ont fait la révolution tranquille et sans cette révolution nous serions aujourd'hui une gang d'arriéré. En plus cette gang de gras dur font qu'aujourd'hui, dans les cégeps, il y a des agences de voyages, pour les étudiants,pour de belles destinations de tout inclus dans le sud. Qui payent??? C'est curieux quand même car, moi, lorsuqe j'étais jeune ça n'existait pas. Quand nous voulions faire un voyage, nous devions ramasser cent par cent et nous pouvions nous payer un voyage sac sur le dos et auberge de jeunesse au max parce que nos parents étaient de la génération silencieuse et ma foi pas vraiment riche et pas du tout éduqué. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne nous aimaient pas. C'est qu'ils n'avaient pas les moyens, monétaires et intellectuels.
C'est ce qui est agançant aujourd'hui. Tout est de la faute de l'autre. Et nous les boomers pourquoi ne pas critiquer nos parents enfoncés dans la religion, pauvre ouvriers, pas éduqué moutons et suiveux, mères bonnes seulement à faire des enfants. Nous le faisons pas. Pourquoi? Peut-être parce que nous avons une restant du sens du respect. Nous croyons qu'ils ont fait leur possible avec ce qu'ils avaient, sans assurance maladie, sans éducation gratuite pour tous, sans assurance parentale, sans rien en fait.
Fabine a écrit
Tu généralises beaucoup. Comme si toutes les personnes nées en 1961 et avant étaient syndiquées et très à l'aise financièrement. Ce n'est pas du tout le cas.
Il y a aussi les vieux boomers ou les jeunes boomers. Tant qu'à moi, je suis de la génération des jeunes boomers. J'étais à l'époque où le primaire était jusqu'à la 7ième année, du début des polyvalentes, des cégeps et comme tout ce qui commence, je peux te dire que c'était le bordel total, c'était complètement désorganisé.
Cet état était probablement dû au vieux boomers, ceux nés avant 1950. Par contre vois-tu, je leur suis bien reconnessant. Grâce à eux l'éducation pour tous au Québec à vu le jour, ils ont fait la révolution tranquille et sans cette révolution nous serions aujourd'hui une gang d'arriéré. En plus cette gang de gras dur font qu'aujourd'hui, dans les cégeps, il y a des agences de voyages, pour les étudiants,pour de belles destinations de tout inclus dans le sud. Qui payent??? C'est curieux quand même car, moi, lorsuqe j'étais jeune ça n'existait pas. Quand nous voulions faire un voyage, nous devions ramasser cent par cent et nous pouvions nous payer un voyage sac sur le dos et auberge de jeunesse au max parce que nos parents étaient de la génération silencieuse et ma foi pas vraiment riche et pas du tout éduqué. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne nous aimaient pas. C'est qu'ils n'avaient pas les moyens, monétaires et intellectuels.
C'est ce qui est agançant aujourd'hui. Tout est de la faute de l'autre. Et nous les boomers pourquoi ne pas critiquer nos parents enfoncés dans la religion, pauvre ouvriers, pas éduqué moutons et suiveux, mères bonnes seulement à faire des enfants. Nous le faisons pas. Pourquoi? Peut-être parce que nous avons une restant du sens du respect. Nous croyons qu'ils ont fait leur possible avec ce qu'ils avaient, sans assurance maladie, sans éducation gratuite pour tous, sans assurance parentale, sans rien en fait.
C'est exactement ce que je pense.Merci Fabine!
Tu généralises beaucoup. Comme si toutes les personnes nées en 1961 et avant étaient syndiquées et très à l'aise financièrement. Ce n'est pas du tout le cas.
Il y a aussi les vieux boomers ou les jeunes boomers. Tant qu'à moi, je suis de la génération des jeunes boomers. J'étais à l'époque où le primaire était jusqu'à la 7ième année, du début des polyvalentes, des cégeps et comme tout ce qui commence, je peux te dire que c'était le bordel total, c'était complètement désorganisé.
Cet état était probablement dû au vieux boomers, ceux nés avant 1950. Par contre vois-tu, je leur suis bien reconnessant. Grâce à eux l'éducation pour tous au Québec à vu le jour, ils ont fait la révolution tranquille et sans cette révolution nous serions aujourd'hui une gang d'arriéré. En plus cette gang de gras dur font qu'aujourd'hui, dans les cégeps, il y a des agences de voyages, pour les étudiants,pour de belles destinations de tout inclus dans le sud. Qui payent??? C'est curieux quand même car, moi, lorsuqe j'étais jeune ça n'existait pas. Quand nous voulions faire un voyage, nous devions ramasser cent par cent et nous pouvions nous payer un voyage sac sur le dos et auberge de jeunesse au max parce que nos parents étaient de la génération silencieuse et ma foi pas vraiment riche et pas du tout éduqué. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne nous aimaient pas. C'est qu'ils n'avaient pas les moyens, monétaires et intellectuels.
C'est ce qui est agançant aujourd'hui. Tout est de la faute de l'autre. Et nous les boomers pourquoi ne pas critiquer nos parents enfoncés dans la religion, pauvre ouvriers, pas éduqué moutons et suiveux, mères bonnes seulement à faire des enfants. Nous le faisons pas. Pourquoi? Peut-être parce que nous avons une restant du sens du respect. Nous croyons qu'ils ont fait leur possible avec ce qu'ils avaient, sans assurance maladie, sans éducation gratuite pour tous, sans assurance parentale, sans rien en fait.
C'est exactement ce que je pense.Merci Fabine!
Ne prenez pas la vie trop au sérieux : personne n'en sort vivant, de toute façon!
Fabine a écrit
Tu généralises beaucoup. Comme si toutes les personnes nées en 1961 et avant étaient syndiquées et très à l'aise financièrement. Ce n'est pas du tout le cas.
Il y a aussi les vieux boomers ou les jeunes boomers. Tant qu'à moi, je suis de la génération des jeunes boomers. J'étais à l'époque où le primaire était jusqu'à la 7ième année, du début des polyvalentes, des cégeps et comme tout ce qui commence, je peux te dire que c'était le bordel total, c'était complètement désorganisé.
Cet état était probablement dû au vieux boomers, ceux nés avant 1950. Par contre vois-tu, je leur suis bien reconnessant. Grâce à eux l'éducation pour tous au Québec à vu le jour, ils ont fait la révolution tranquille et sans cette révolution nous serions aujourd'hui une gang d'arriéré. En plus cette gang de gras dur font qu'aujourd'hui, dans les cégeps, il y a des agences de voyages, pour les étudiants,pour de belles destinations de tout inclus dans le sud. Qui payent??? C'est curieux quand même car, moi, lorsuqe j'étais jeune ça n'existait pas. Quand nous voulions faire un voyage, nous devions ramasser cent par cent et nous pouvions nous payer un voyage sac sur le dos et auberge de jeunesse au max parce que nos parents étaient de la génération silencieuse et ma foi pas vraiment riche et pas du tout éduqué. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne nous aimaient pas. C'est qu'ils n'avaient pas les moyens, monétaires et intellectuels.
C'est ce qui est agançant aujourd'hui. Tout est de la faute de l'autre. Et nous les boomers pourquoi ne pas critiquer nos parents enfoncés dans la religion, pauvre ouvriers, pas éduqué moutons et suiveux, mères bonnes seulement à faire des enfants. Nous le faisons pas. Pourquoi? Peut-être parce que nous avons une restant du sens du respect. Nous croyons qu'ils ont fait leur possible avec ce qu'ils avaient, sans assurance maladie, sans éducation gratuite pour tous, sans assurance parentale, sans rien en fait.
Ca me rejoint ce que tu dis.. je n'arrivais pas a trouver les mots.. je suis une babyboomer 57 .le bébé d'une famille de 5 enfants vivant a MOntréal.. mes parents étaient loin d'etre riche.. et oublie ca jamais mes parents ont eu les moyens de payer pour l'éducation de leur enfant.
Je suis la seule qui est allé a l'université, et c'est moi qui a payé
Nous avons nous aussi critiquer la génération de nos parents.. qui pourtant avaient fait leur possible.
J'ai jamais eu de job assuré, je n'ai pas non plus de REER , mais je suis heureuse.
Si on remonte plus loin en arriere. Il y a eu la guerre 1930-1945 et par la suite Plusieurs en ont profité pour aller se chercher des diplomes en Europe. Le québec faisait dur. Tout était de la faute de l'eglise et des anglais. En 48, plusieurs artistes signerent un manifeste, ou il était question de refuser l'autoritarisme et l'obscurantisme. Ils étaient jeunes, idéalistes, ils y croyaient. et ils ont perdu leurs emplois..
La génération suivante s'en est inspiré.
Apres la guerre , un engouement pour la famille et la reprise économique pousse les gens a avoir beaucoup d'enfants.. Ces enfants jouent souvent en groupe.. ils s'uniront plus tard pour manifester..
Bref, en ce qui me concerne, jeune, a défaut de changer le monde, j'ai changé de monde. Contestataire, on chantait du folklore et dans ma jupe paysanne je suis parti en région me faire pousser une ferme.. et je dessinais partout des fleurs de lys.. j'étais peut etre naive, partout ou je passais je m'étais donner comme mission de conscientiser les gens sur les conditions de travail, sur la condition féminine, sur les droits de la personne... et j'en passe..
Je n'ai jamais voulu d'un emploi permanent , je n'étais pas intéressé a travailler au meme endroit pendant des années.. j'ai payer cher parfois ma facon de voir la vie.. il faut dire que c'est un choix dans mon cas d'etre une marginale.. --Message edité par kapucine le 2008-01-27 12:51:05--
Tu généralises beaucoup. Comme si toutes les personnes nées en 1961 et avant étaient syndiquées et très à l'aise financièrement. Ce n'est pas du tout le cas.
Il y a aussi les vieux boomers ou les jeunes boomers. Tant qu'à moi, je suis de la génération des jeunes boomers. J'étais à l'époque où le primaire était jusqu'à la 7ième année, du début des polyvalentes, des cégeps et comme tout ce qui commence, je peux te dire que c'était le bordel total, c'était complètement désorganisé.
Cet état était probablement dû au vieux boomers, ceux nés avant 1950. Par contre vois-tu, je leur suis bien reconnessant. Grâce à eux l'éducation pour tous au Québec à vu le jour, ils ont fait la révolution tranquille et sans cette révolution nous serions aujourd'hui une gang d'arriéré. En plus cette gang de gras dur font qu'aujourd'hui, dans les cégeps, il y a des agences de voyages, pour les étudiants,pour de belles destinations de tout inclus dans le sud. Qui payent??? C'est curieux quand même car, moi, lorsuqe j'étais jeune ça n'existait pas. Quand nous voulions faire un voyage, nous devions ramasser cent par cent et nous pouvions nous payer un voyage sac sur le dos et auberge de jeunesse au max parce que nos parents étaient de la génération silencieuse et ma foi pas vraiment riche et pas du tout éduqué. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne nous aimaient pas. C'est qu'ils n'avaient pas les moyens, monétaires et intellectuels.
C'est ce qui est agançant aujourd'hui. Tout est de la faute de l'autre. Et nous les boomers pourquoi ne pas critiquer nos parents enfoncés dans la religion, pauvre ouvriers, pas éduqué moutons et suiveux, mères bonnes seulement à faire des enfants. Nous le faisons pas. Pourquoi? Peut-être parce que nous avons une restant du sens du respect. Nous croyons qu'ils ont fait leur possible avec ce qu'ils avaient, sans assurance maladie, sans éducation gratuite pour tous, sans assurance parentale, sans rien en fait.
Ca me rejoint ce que tu dis.. je n'arrivais pas a trouver les mots.. je suis une babyboomer 57 .le bébé d'une famille de 5 enfants vivant a MOntréal.. mes parents étaient loin d'etre riche.. et oublie ca jamais mes parents ont eu les moyens de payer pour l'éducation de leur enfant.
Je suis la seule qui est allé a l'université, et c'est moi qui a payé
Nous avons nous aussi critiquer la génération de nos parents.. qui pourtant avaient fait leur possible.
J'ai jamais eu de job assuré, je n'ai pas non plus de REER , mais je suis heureuse.
Si on remonte plus loin en arriere. Il y a eu la guerre 1930-1945 et par la suite Plusieurs en ont profité pour aller se chercher des diplomes en Europe. Le québec faisait dur. Tout était de la faute de l'eglise et des anglais. En 48, plusieurs artistes signerent un manifeste, ou il était question de refuser l'autoritarisme et l'obscurantisme. Ils étaient jeunes, idéalistes, ils y croyaient. et ils ont perdu leurs emplois..
La génération suivante s'en est inspiré.
Apres la guerre , un engouement pour la famille et la reprise économique pousse les gens a avoir beaucoup d'enfants.. Ces enfants jouent souvent en groupe.. ils s'uniront plus tard pour manifester..
Bref, en ce qui me concerne, jeune, a défaut de changer le monde, j'ai changé de monde. Contestataire, on chantait du folklore et dans ma jupe paysanne je suis parti en région me faire pousser une ferme.. et je dessinais partout des fleurs de lys.. j'étais peut etre naive, partout ou je passais je m'étais donner comme mission de conscientiser les gens sur les conditions de travail, sur la condition féminine, sur les droits de la personne... et j'en passe..
Je n'ai jamais voulu d'un emploi permanent , je n'étais pas intéressé a travailler au meme endroit pendant des années.. j'ai payer cher parfois ma facon de voir la vie.. il faut dire que c'est un choix dans mon cas d'etre une marginale.. --Message edité par kapucine le 2008-01-27 12:51:05--
[url=http://www.casimages.com][img]http://nsa25.casimages.com/img/2011/01/11/110111032541180441.jpg[/img][/url] [url=http://www.casimages.com][img]http://nsa24.casimages.com/img/2010/10/18/101018034517279643.gif[/img][/url]
kapucine a écrit
Ca me rejoint ce que tu dis.. je n'arrivais pas a trouver les mots.. je suis une babyboomer 57 .le bébé d'une famille de 5 enfants vivant a MOntréal.. mes parents étaient loin d'etre riche.. et oublie ca jamais mes parents ont eu les moyens de payer pour l'éducation de leur enfant.
Je suis la seule qui est allé a l'université, et c'est moi qui a payé
Nous avons nous aussi critiquer la génération de nos parents.. qui pourtant avaient fait leur possible.
J'ai jamais eu de job assuré, je n'ai pas non plus de REER , mais je suis heureuse.
Si on remonte plus loin en arriere. Il y a eu la guerre 1930-1945 et par la suite Plusieurs en ont profité pour aller se chercher des diplomes en Europe. Le québec faisait dur. Tout était de la faute de l'eglise et des anglais. En 48, plusieurs artistes signerent un manifeste, ou il était question de refuser l'autoritarisme et l'obscurantisme. Ils étaient jeunes, idéalistes, ils y croyaient. et ils ont perdu leurs emplois..
La génération suivante s'en est inspiré.
Apres la guerre , un engouement pour la famille et la reprise économique pousse les gens a avoir beaucoup d'enfants.. Ces enfants jouent souvent en groupe.. ils s'uniront plus tard pour manifester..
Bref, en ce qui me concerne, jeune, a défaut de changer le monde, j'ai changé de monde. Contestataire, on chantait du folklore et dans ma jupe paysanne je suis parti en région me faire pousser une ferme.. et je dessinais partout des fleurs de lys.. j'étais peut etre naive, partout ou je passais je m'étais donner comme mission de conscientiser les gens sur les conditions de travail, sur la condition féminine, sur les droits de la personne... et j'en passe..
Je n'ai jamais voulu d'un emploi permanent , je n'étais pas intéressé a travailler au meme endroit pendant des années.. j'ai payer cher parfois ma facon de voir la vie.. il faut dire que c'est un choix dans mon cas d'etre une marginale..
Je suis une babyboomer 58. Issue d'une famille de mère au foyer et d'un pere qui a du retourner aux études pour se trouver un travail décent pour faire vivre sa famille.
J'ai fait des études universitaires que j'ai presque payé entierement a l'aide de pret gouvernemental. J'ai étudié en sciences dans un monde a ce moment la masculin. J'ai du y faire ma place. Je fais aussi du bénévolat dans le domaine du hockey, plusieurs années avant de pouvoir faire du travail de hockey et non simplement la poupoune aux communications ou en secrétariat.
J'ai maintenant quelques REER depuis quelques années et je commence a peine a voyager puisque fiston vient de terminer ses études. J'ai une maison qui a encore une hypothèque. Oui j'ai un poste permanent, mais chaque fois qu'il y a une retraite, un nouveau poste se comble et je peux vous dire qu'ils sont pas a se bosculer pour l'obtenir, souvent on doit faire deux a trois ouvertures pour combler les postes.
Et si je m'assure une retraite confortable c'est que depuis 10 ans nous adoptons le principe de simplicité volontaire. Beaucoup d'entraide entre amis, des achats raisonnés, une alimentation locale, un délaissement des biens de consommation, friperies, location au lieu d'achat etc....
Je me suis battue pour l'égalité des femmes, pour tenter de créer une nouvelle nation, pour l'acces aux études supérieures et pour l'obtention de meilleures conditions de travail.
J'aimerais bien savoir ou ils se cachent tant ses babyboomers riches et sans identité....
Ca me rejoint ce que tu dis.. je n'arrivais pas a trouver les mots.. je suis une babyboomer 57 .le bébé d'une famille de 5 enfants vivant a MOntréal.. mes parents étaient loin d'etre riche.. et oublie ca jamais mes parents ont eu les moyens de payer pour l'éducation de leur enfant.
Je suis la seule qui est allé a l'université, et c'est moi qui a payé
Nous avons nous aussi critiquer la génération de nos parents.. qui pourtant avaient fait leur possible.
J'ai jamais eu de job assuré, je n'ai pas non plus de REER , mais je suis heureuse.
Si on remonte plus loin en arriere. Il y a eu la guerre 1930-1945 et par la suite Plusieurs en ont profité pour aller se chercher des diplomes en Europe. Le québec faisait dur. Tout était de la faute de l'eglise et des anglais. En 48, plusieurs artistes signerent un manifeste, ou il était question de refuser l'autoritarisme et l'obscurantisme. Ils étaient jeunes, idéalistes, ils y croyaient. et ils ont perdu leurs emplois..
La génération suivante s'en est inspiré.
Apres la guerre , un engouement pour la famille et la reprise économique pousse les gens a avoir beaucoup d'enfants.. Ces enfants jouent souvent en groupe.. ils s'uniront plus tard pour manifester..
Bref, en ce qui me concerne, jeune, a défaut de changer le monde, j'ai changé de monde. Contestataire, on chantait du folklore et dans ma jupe paysanne je suis parti en région me faire pousser une ferme.. et je dessinais partout des fleurs de lys.. j'étais peut etre naive, partout ou je passais je m'étais donner comme mission de conscientiser les gens sur les conditions de travail, sur la condition féminine, sur les droits de la personne... et j'en passe..
Je n'ai jamais voulu d'un emploi permanent , je n'étais pas intéressé a travailler au meme endroit pendant des années.. j'ai payer cher parfois ma facon de voir la vie.. il faut dire que c'est un choix dans mon cas d'etre une marginale..
Je suis une babyboomer 58. Issue d'une famille de mère au foyer et d'un pere qui a du retourner aux études pour se trouver un travail décent pour faire vivre sa famille.
J'ai fait des études universitaires que j'ai presque payé entierement a l'aide de pret gouvernemental. J'ai étudié en sciences dans un monde a ce moment la masculin. J'ai du y faire ma place. Je fais aussi du bénévolat dans le domaine du hockey, plusieurs années avant de pouvoir faire du travail de hockey et non simplement la poupoune aux communications ou en secrétariat.
J'ai maintenant quelques REER depuis quelques années et je commence a peine a voyager puisque fiston vient de terminer ses études. J'ai une maison qui a encore une hypothèque. Oui j'ai un poste permanent, mais chaque fois qu'il y a une retraite, un nouveau poste se comble et je peux vous dire qu'ils sont pas a se bosculer pour l'obtenir, souvent on doit faire deux a trois ouvertures pour combler les postes.
Et si je m'assure une retraite confortable c'est que depuis 10 ans nous adoptons le principe de simplicité volontaire. Beaucoup d'entraide entre amis, des achats raisonnés, une alimentation locale, un délaissement des biens de consommation, friperies, location au lieu d'achat etc....
Je me suis battue pour l'égalité des femmes, pour tenter de créer une nouvelle nation, pour l'acces aux études supérieures et pour l'obtention de meilleures conditions de travail.
J'aimerais bien savoir ou ils se cachent tant ses babyboomers riches et sans identité....
lucide a écrit
Je suis une babyboomer 58. Issue d'une famille de mère au foyer et d'un pere qui a du retourner aux études pour se trouver un travail décent pour faire vivre sa famille.
J'ai fait des études universitaires que j'ai presque payé entierement a l'aide de pret gouvernemental. J'ai étudié en sciences dans un monde a ce moment la masculin. J'ai du y faire ma place. Je fais aussi du bénévolat dans le domaine du hockey, plusieurs années avant de pouvoir faire du travail de hockey et non simplement la poupoune aux communications ou en secrétariat.
J'ai maintenant quelques REER depuis quelques années et je commence a peine a voyager puisque fiston vient de terminer ses études. J'ai une maison qui a encore une hypothèque. Oui j'ai un poste permanent, mais chaque fois qu'il y a une retraite, un nouveau poste se comble et je peux vous dire qu'ils sont pas a se bosculer pour l'obtenir, souvent on doit faire deux a trois ouvertures pour combler les postes.
Et si je m'assure une retraite confortable c'est que depuis 10 ans nous adoptons le principe de simplicité volontaire. Beaucoup d'entraide entre amis, des achats raisonnés, une alimentation locale, un délaissement des biens de consommation, friperies, location au lieu d'achat etc....
Je me suis battue pour l'égalité des femmes, pour tenter de créer une nouvelle nation, pour l'acces aux études supérieures et pour l'obtention de meilleures conditions de travail.
J'aimerais bien savoir ou ils se cachent tant ses babyboomers riches et sans identité....
Je les cherche moi aussi, ces richards-là...
Je suis une babyboomer 58. Issue d'une famille de mère au foyer et d'un pere qui a du retourner aux études pour se trouver un travail décent pour faire vivre sa famille.
J'ai fait des études universitaires que j'ai presque payé entierement a l'aide de pret gouvernemental. J'ai étudié en sciences dans un monde a ce moment la masculin. J'ai du y faire ma place. Je fais aussi du bénévolat dans le domaine du hockey, plusieurs années avant de pouvoir faire du travail de hockey et non simplement la poupoune aux communications ou en secrétariat.
J'ai maintenant quelques REER depuis quelques années et je commence a peine a voyager puisque fiston vient de terminer ses études. J'ai une maison qui a encore une hypothèque. Oui j'ai un poste permanent, mais chaque fois qu'il y a une retraite, un nouveau poste se comble et je peux vous dire qu'ils sont pas a se bosculer pour l'obtenir, souvent on doit faire deux a trois ouvertures pour combler les postes.
Et si je m'assure une retraite confortable c'est que depuis 10 ans nous adoptons le principe de simplicité volontaire. Beaucoup d'entraide entre amis, des achats raisonnés, une alimentation locale, un délaissement des biens de consommation, friperies, location au lieu d'achat etc....
Je me suis battue pour l'égalité des femmes, pour tenter de créer une nouvelle nation, pour l'acces aux études supérieures et pour l'obtention de meilleures conditions de travail.
J'aimerais bien savoir ou ils se cachent tant ses babyboomers riches et sans identité....
Je les cherche moi aussi, ces richards-là...
Ne prenez pas la vie trop au sérieux : personne n'en sort vivant, de toute façon!
Glugibran a écrit
Je les cherche moi aussi, ces richards-là...
Je peux dire que j'en connais plusieurs. Je peux aussi dire que tous ceux que je connais ont travaillé dur pour avoir ce qu'ils ont aujourd'hui. Du 10 à 16 heures par jour, 5,6 et même 7 jours semaine.
Je parle de ceux entre 60 et 75 ans.
Qui de nos jours est prêt à autant de sacrifice pour plus tard. Pas beaucoup. --Message edité par jumbo le 2008-01-27 23:22:15--
Je les cherche moi aussi, ces richards-là...
Je peux dire que j'en connais plusieurs. Je peux aussi dire que tous ceux que je connais ont travaillé dur pour avoir ce qu'ils ont aujourd'hui. Du 10 à 16 heures par jour, 5,6 et même 7 jours semaine.
Je parle de ceux entre 60 et 75 ans.
Qui de nos jours est prêt à autant de sacrifice pour plus tard. Pas beaucoup. --Message edité par jumbo le 2008-01-27 23:22:15--
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
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Cha-a-ou-a-ni
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Glugibran a écrit
Je pense que tu généralises beaucoup. Ce ne sont pas tous le boomers qui l'ont eu facile. S'ils n'avaient pas été là, bien des gens qui ont des conditions de travail de rêve aujourd'hui auraient de quoi se lamenter. Plutôt que de se geler avec toutes sortes de substances, de râler et de se lamenter sur tout et sur rien, les générations qui suivent les boomers devraient mettre l'épaule à la roue et faire progresser le monde, eux aussi. Mais quand on a eu tout cuit dans le bec (grâce aux efforts des p'tits-vieux), c'est plus difficile.
Perso, je n'ai pas de mérite. Je n'ai pas participé aux grandes batailles syndicales ou féministes qui ont transformé la société. Cependant, j'en profite, au même titre que les autres Québécois et Québécoises, et je pense qu'au lieu de blâmer les boomers pour tout ce qui va mal, on devrait les remercier pour ce qui va bien, pour ce qu'ils ont accompli.
Pourquoi il faut toujours généraliser et exagérer ?! Vous n'aimez pas que nous traitons les baby-boomers de vieux riches sans coeur, mais de votre côté, vous dites que les jeunes sont tous des drogués plaignards et paresseux ! Ben voyons donc. Je suis née à 82, je suis au tout début de la génération Y, je n'ai jamais consommé de drogue de ma vie et lorsque je regarde autour de moi, des paresseux et des plaignards, y'en a peu. La plupart d'entre nous sommes diplômé post-secondaire. Dep, cégep ou université, peu importe, l'important est que nous avons fait le choix d'étudier pour être qualifiés dans notre domaine. Nous continuons de lutter pour l'égalité entre les sexes et l'égalité tout court peu importe la couleur de la peau. Nous faisons de plus en plus attention à l'environnement, ce qui n'est pas le cas des baby-boomers autour de moi qui sont de gros pollueurs et "gaspilleux".
J'ai beaucoup de respect et d'admiration pour la génération silencieuse, les baby-boomers et finalement les X, mais faut pas venir me cogner sur la tête quand même !
Je pense que tu généralises beaucoup. Ce ne sont pas tous le boomers qui l'ont eu facile. S'ils n'avaient pas été là, bien des gens qui ont des conditions de travail de rêve aujourd'hui auraient de quoi se lamenter. Plutôt que de se geler avec toutes sortes de substances, de râler et de se lamenter sur tout et sur rien, les générations qui suivent les boomers devraient mettre l'épaule à la roue et faire progresser le monde, eux aussi. Mais quand on a eu tout cuit dans le bec (grâce aux efforts des p'tits-vieux), c'est plus difficile.
Perso, je n'ai pas de mérite. Je n'ai pas participé aux grandes batailles syndicales ou féministes qui ont transformé la société. Cependant, j'en profite, au même titre que les autres Québécois et Québécoises, et je pense qu'au lieu de blâmer les boomers pour tout ce qui va mal, on devrait les remercier pour ce qui va bien, pour ce qu'ils ont accompli.
Pourquoi il faut toujours généraliser et exagérer ?! Vous n'aimez pas que nous traitons les baby-boomers de vieux riches sans coeur, mais de votre côté, vous dites que les jeunes sont tous des drogués plaignards et paresseux ! Ben voyons donc. Je suis née à 82, je suis au tout début de la génération Y, je n'ai jamais consommé de drogue de ma vie et lorsque je regarde autour de moi, des paresseux et des plaignards, y'en a peu. La plupart d'entre nous sommes diplômé post-secondaire. Dep, cégep ou université, peu importe, l'important est que nous avons fait le choix d'étudier pour être qualifiés dans notre domaine. Nous continuons de lutter pour l'égalité entre les sexes et l'égalité tout court peu importe la couleur de la peau. Nous faisons de plus en plus attention à l'environnement, ce qui n'est pas le cas des baby-boomers autour de moi qui sont de gros pollueurs et "gaspilleux".
J'ai beaucoup de respect et d'admiration pour la génération silencieuse, les baby-boomers et finalement les X, mais faut pas venir me cogner sur la tête quand même !
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Red Ketchup
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
Jumbo a écrit
Je peux dire que j'en connais plusieurs. Je peux aussi dire que tous ceux que je connais ont travaillé dur pour avoir ce qu'ils ont aujourd'hui. Du 10 à 16 heures par jour, 5,6 et même 7 jours semaine.
Je parle de ceux entre 60 et 75 ans.
Qui de nos jours est prêt à autant de sacrifice pour plus tard. Pas beaucoup.
Ça c'est plutôt la génération silencieuse Jumbo.
Je peux dire que j'en connais plusieurs. Je peux aussi dire que tous ceux que je connais ont travaillé dur pour avoir ce qu'ils ont aujourd'hui. Du 10 à 16 heures par jour, 5,6 et même 7 jours semaine.
Je parle de ceux entre 60 et 75 ans.
Qui de nos jours est prêt à autant de sacrifice pour plus tard. Pas beaucoup.
Ça c'est plutôt la génération silencieuse Jumbo.
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Red Ketchup
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
Mais c'est vrai que c'est beaucoup trop généralisé cette catégorisation là. Les tendances se chevauchent habituellement.
Un X de 45 ans n'a rien à voir avec un autre X de 30 ans. Même chose pour un boomer de 46 ans et un autre de 62 ans.
Et quand on y pense, la révolution tranquille qui s'est réalisé dans les années 60 ne peuvent pas avoir été amorcés par les bommers dont les plus vieux n'avaient que 15 ans en 60. La première vague a bel et bien, par contre, contribué à l'éclosion de la fin des années 60.
C'est donc un mélange de jeunes silencieux et de vieux bommers qui ont contribués à ce changement.
Je connais plusieurs bommers de fin de vague et la réalité et très semblable à celle des X de première vague.
Il y a des X nés de boomers et d'autres des "silencieux". Ça ne donne pas la même dynamique et la même mentalité.
Dans le fond, on est tous unique. Il y en a qui en ont arraché dans chaque génération et vice-versa.
C'est juste une tendance dans le fond quand on classe les gens par génération.
Pour ma part, les emplois sécuritaires comme la fonction publique étaient majoritairement comblés.
Nos choix principaux sont pigistes, autonome et fondateurs de PME. Ils n'ont pas pensé par contre en nous poussant vers le travail autonome et la création de PME que nous n'avons pas tous la bosse des affaires. Certains ont très bien réussi, beaucoup ont échoué.
Un X de 45 ans n'a rien à voir avec un autre X de 30 ans. Même chose pour un boomer de 46 ans et un autre de 62 ans.
Et quand on y pense, la révolution tranquille qui s'est réalisé dans les années 60 ne peuvent pas avoir été amorcés par les bommers dont les plus vieux n'avaient que 15 ans en 60. La première vague a bel et bien, par contre, contribué à l'éclosion de la fin des années 60.
C'est donc un mélange de jeunes silencieux et de vieux bommers qui ont contribués à ce changement.
Je connais plusieurs bommers de fin de vague et la réalité et très semblable à celle des X de première vague.
Il y a des X nés de boomers et d'autres des "silencieux". Ça ne donne pas la même dynamique et la même mentalité.
Dans le fond, on est tous unique. Il y en a qui en ont arraché dans chaque génération et vice-versa.
C'est juste une tendance dans le fond quand on classe les gens par génération.
Pour ma part, les emplois sécuritaires comme la fonction publique étaient majoritairement comblés.
Nos choix principaux sont pigistes, autonome et fondateurs de PME. Ils n'ont pas pensé par contre en nous poussant vers le travail autonome et la création de PME que nous n'avons pas tous la bosse des affaires. Certains ont très bien réussi, beaucoup ont échoué.
Red Ketchup a écritMais c'est vrai que c'est beaucoup trop généralisé cette catégorisation là. Les tendances se chevauchent habituellement.
Un X de 45 ans n'a rien à voir avec un autre X de 30 ans. Même chose pour un boomer de 46 ans et un autre de 62 ans.
Et quand on y pense, la révolution tranquille qui s'est réalisé dans les années 60 ne peuvent pas avoir été amorcés par les bommers dont les plus vieux n'avaient que 15 ans en 60. La première vague a bel et bien, par contre, contribué à l'éclosion de la fin des années 60.
C'est donc un mélange de jeunes silencieux et de vieux bommers qui ont contribués à ce changement.
Je connais plusieurs bommers de fin de vague et la réalité et très semblable à celle des X de première vague.
Il y a des X nés de boomers et d'autres des "silencieux". Ça ne donne pas la même dynamique et la même mentalité.
Dans le fond, on est tous unique. Il y en a qui en ont arraché dans chaque génération et vice-versa.
C'est juste une tendance dans le fond quand on classe les gens par génération.
Pour ma part, les emplois sécuritaires comme la fonction publique étaient majoritairement comblés.
Nos choix principaux sont pigistes, autonome et fondateurs de PME. Ils n'ont pas pensé par contre en nous poussant vers le travail autonome et la création de PME que nous n'avons pas tous la bosse des affaires. Certains ont très bien réussi, beaucoup ont échoué.
Effectivement.
Un X de 45 ans n'a rien à voir avec un autre X de 30 ans. Même chose pour un boomer de 46 ans et un autre de 62 ans.
Et quand on y pense, la révolution tranquille qui s'est réalisé dans les années 60 ne peuvent pas avoir été amorcés par les bommers dont les plus vieux n'avaient que 15 ans en 60. La première vague a bel et bien, par contre, contribué à l'éclosion de la fin des années 60.
C'est donc un mélange de jeunes silencieux et de vieux bommers qui ont contribués à ce changement.
Je connais plusieurs bommers de fin de vague et la réalité et très semblable à celle des X de première vague.
Il y a des X nés de boomers et d'autres des "silencieux". Ça ne donne pas la même dynamique et la même mentalité.
Dans le fond, on est tous unique. Il y en a qui en ont arraché dans chaque génération et vice-versa.
C'est juste une tendance dans le fond quand on classe les gens par génération.
Pour ma part, les emplois sécuritaires comme la fonction publique étaient majoritairement comblés.
Nos choix principaux sont pigistes, autonome et fondateurs de PME. Ils n'ont pas pensé par contre en nous poussant vers le travail autonome et la création de PME que nous n'avons pas tous la bosse des affaires. Certains ont très bien réussi, beaucoup ont échoué.
Effectivement.
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