Disparition des cours d'éducation religieuses en 2008
tipet a écrit
Ça va être un cour sur l'histoire des religions Chico. Ce ne sera pas un cour de religion.
On s'entend quand même que la ligne est mince entre les 2... Je pense pas que pendant 11 ans, les cours vont se limiter à énumérer des dates et à parler de l'évolution historique des religions. En tout cas, on verra. Si ca se limite vraiment qu'au seul côté historique, j'espère que ce sera repensé et que le cours sera limité à une seule année ou 2, au lieu de 11.
Ça va être un cour sur l'histoire des religions Chico. Ce ne sera pas un cour de religion.
On s'entend quand même que la ligne est mince entre les 2... Je pense pas que pendant 11 ans, les cours vont se limiter à énumérer des dates et à parler de l'évolution historique des religions. En tout cas, on verra. Si ca se limite vraiment qu'au seul côté historique, j'espère que ce sera repensé et que le cours sera limité à une seule année ou 2, au lieu de 11.
Chico_Fan a écrit
On s'entend quand même que la ligne est mince entre les 2... Je pense pas que pendant 11 ans, les cours vont se limiter à énumérer des dates et à parler de l'évolution historique des religions. En tout cas, on verra. Si ca se limite vraiment qu'au seul côté historique, j'espère que ce sera repensé et que le cours sera limité à une seule année ou 2, au lieu de 11.
Bien si je me fie à un article que j,ai lu dans l'Actualité ce printemps, le cour a été testé dans quelques écoles primaires depuis 2 ans environ. Et la journaliste s'est rendu dans une classe de deuxième année, cette fois-là, les enfants construisaient une patante juive là (je me rapelle plus du nom ) un objet sacré qui est sensé protéger les maisons dans la religion juive. Bref, ils étaient en équipe de deux et ils fabriquaient leur petite patante juive. Peu après ils ont chanté une prière juive et les enfants donnaient leurs impressions à savoir ce que les paroles leur signifiait.
Faut pas penser qua ça va être super élaboré comme cour là, à mon avis ça va être vraiment juste en surface. Et ça va être adapté à l'âge des enfants aussi. Je ne pense pas qu,ils vont faire apprendre des versets du Coran à des jeunes de 7 ans
On s'entend quand même que la ligne est mince entre les 2... Je pense pas que pendant 11 ans, les cours vont se limiter à énumérer des dates et à parler de l'évolution historique des religions. En tout cas, on verra. Si ca se limite vraiment qu'au seul côté historique, j'espère que ce sera repensé et que le cours sera limité à une seule année ou 2, au lieu de 11.
Bien si je me fie à un article que j,ai lu dans l'Actualité ce printemps, le cour a été testé dans quelques écoles primaires depuis 2 ans environ. Et la journaliste s'est rendu dans une classe de deuxième année, cette fois-là, les enfants construisaient une patante juive là (je me rapelle plus du nom ) un objet sacré qui est sensé protéger les maisons dans la religion juive. Bref, ils étaient en équipe de deux et ils fabriquaient leur petite patante juive. Peu après ils ont chanté une prière juive et les enfants donnaient leurs impressions à savoir ce que les paroles leur signifiait.
Faut pas penser qua ça va être super élaboré comme cour là, à mon avis ça va être vraiment juste en surface. Et ça va être adapté à l'âge des enfants aussi. Je ne pense pas qu,ils vont faire apprendre des versets du Coran à des jeunes de 7 ans
tipet a écrit
Bien si je me fie à un article que j,ai lu dans l'Actualité ce printemps, le cour a été testé dans quelques écoles primaires depuis 2 ans environ. Et la journaliste s'est rendu dans une classe de deuxième année, cette fois-là, les enfants construisaient une patante juive là (je me rapelle plus du nom ) un objet sacré qui est sensé protéger les maisons dans la religion juive. Bref, ils étaient en équipe de deux et ils fabriquaient leur petite patante juive. Peu après ils ont chanté une prière juive et les enfants donnaient leurs impressions à savoir ce que les paroles leur signifiait.
Tu vois ca pour moi c'est pas du tout un cours d'histoire des religions, ou un cours neutre sur les religions, c'est un cours de religion. C'est la même affaire que quand on faisait du bricolage ou du dessin avec des histoires de la Bible au primaire dans notre cours religieux.
Je veux bien que les jeunes ne soient pas ignorant des autres religions, ca veut pas dire pour autant que j'ai le goût que les enfants contruisent des mosquées en plasticine ou un temple bouddhiste en baton de popsicle. Ni commencent à chanter des chants haré-haré Krishna. C'était justement ma crainte avec ce nouveau programme, pour moi ca laisse la place à pleins de débordements...
Bien si je me fie à un article que j,ai lu dans l'Actualité ce printemps, le cour a été testé dans quelques écoles primaires depuis 2 ans environ. Et la journaliste s'est rendu dans une classe de deuxième année, cette fois-là, les enfants construisaient une patante juive là (je me rapelle plus du nom ) un objet sacré qui est sensé protéger les maisons dans la religion juive. Bref, ils étaient en équipe de deux et ils fabriquaient leur petite patante juive. Peu après ils ont chanté une prière juive et les enfants donnaient leurs impressions à savoir ce que les paroles leur signifiait.
Tu vois ca pour moi c'est pas du tout un cours d'histoire des religions, ou un cours neutre sur les religions, c'est un cours de religion. C'est la même affaire que quand on faisait du bricolage ou du dessin avec des histoires de la Bible au primaire dans notre cours religieux.
Je veux bien que les jeunes ne soient pas ignorant des autres religions, ca veut pas dire pour autant que j'ai le goût que les enfants contruisent des mosquées en plasticine ou un temple bouddhiste en baton de popsicle. Ni commencent à chanter des chants haré-haré Krishna. C'était justement ma crainte avec ce nouveau programme, pour moi ca laisse la place à pleins de débordements...
Chico_Fan a écrit
Tu vois ca pour moi c'est pas du tout un cours d'histoire des religions, ou un cours neutre sur les religions, c'est un cours de religion. C'est la même affaire que quand on faisait du bricolage ou du dessin avec des histoires de la Bible au primaire dans notre cours religieux.
Je veux bien que les jeunes ne soient pas ignorant des autres religions, ca veut pas dire pour autant que j'ai le goût que les enfants contruisent des mosquées en plasticine ou un temple bouddhiste en baton de popsicle. Ni commencent à chanter des chants haré-haré Krishna. C'était justement ma crainte avec ce nouveau programme, pour moi ca laisse la place à pleins de débordements...
Chacun sa perception, mais ils ne passeront quand même pas l,année sur le judaïsme au complet. Ils vont en voir pleins dans une année, ils pourront pas s'y consacrer assez pour l'élaborer et l'analyser assez pour la pratiquer à temps complet voyons.
Tu vois ca pour moi c'est pas du tout un cours d'histoire des religions, ou un cours neutre sur les religions, c'est un cours de religion. C'est la même affaire que quand on faisait du bricolage ou du dessin avec des histoires de la Bible au primaire dans notre cours religieux.
Je veux bien que les jeunes ne soient pas ignorant des autres religions, ca veut pas dire pour autant que j'ai le goût que les enfants contruisent des mosquées en plasticine ou un temple bouddhiste en baton de popsicle. Ni commencent à chanter des chants haré-haré Krishna. C'était justement ma crainte avec ce nouveau programme, pour moi ca laisse la place à pleins de débordements...
Chacun sa perception, mais ils ne passeront quand même pas l,année sur le judaïsme au complet. Ils vont en voir pleins dans une année, ils pourront pas s'y consacrer assez pour l'élaborer et l'analyser assez pour la pratiquer à temps complet voyons.
Je pense que la religion n'a rien n'a faire dans les écoles. En France, le cathéchèse est dispensé par une soeur ou un curé les mercredis ou Jeudis soir.
Par contre, je trouve ça intéressant qu'on leur enseigne les différentes religions qu'il y a sur terre et leur histoire. Évidement il faudra faire attention à pas tomber dans un parti pris, en rabaissant les autres religions. J'espère que ça sera quelqu'un de neutre qui donnera ce cours.
Par contre, je trouve ça intéressant qu'on leur enseigne les différentes religions qu'il y a sur terre et leur histoire. Évidement il faudra faire attention à pas tomber dans un parti pris, en rabaissant les autres religions. J'espère que ça sera quelqu'un de neutre qui donnera ce cours.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Manifestation pour le maintien des cours de morale et de religion
Le 21 octobre 2007 - 06:26 | Presse Canadienne
Le nouveau cours d'éthique et de culture religieuse, qui sera enseigné à tous les élèves québécois à partir de 2008, ne fait pas l'unanimité. Plus d'un millier de personnes ont manifesté samedi, devant l'Assemblée nationale, pour réclamer le maintien des cours de morale et d'enseignement religieux sur les bancs d'école.
Dans la foule, des membres de regroupements religieux comme les Bérets blancs, mais aussi beaucoup de parents, des «citoyens ordinaires pratiquants» venus des quatre coins du Québec pour défendre le «libre choix de religion».
Présentement, les élèves du primaire et du secondaire ont le choix entre l'enseignement moral ou religieux. Mais à partir de l'automne 2008, ils suivront tous le même cours d'éthique et de culture religieuse basé sur la connaissance générale des grandes religions, enseignées de manière non confessionnelle. Un virage que dénonce la Coalition pour la liberté en éducation.
«On veut que les parents continuent de décider ce qu'ils veulent pour leurs enfants, a lancé au micro le porte-parole de la Coalition, Jean-René Philibert. Le citoyen doit avoir préséance sur l'État pour définir ses valeurs.»
Selon Annie DeChamplain, présidente de ce regroupement de parents qui a d'abord pris racine dans la région de Québec il y a quelques mois, ce nouveau cours entraînera beaucoup de confusion chez les élèves.
«On n'est pas contre le fait de s'ouvrir aux autres religions, mais au primaire, c'est trop tôt. Il faut que l'enfant approfondisse d'abord ses propres valeurs. En mettant toutes les religions sur le même pied d'égalité, c'est comme si on demandait aux enfants d'apprendre six langues en même temps», a-t-elle illustré, faisant référence aux six religions qui seront dorénavant enseignées.
Ces inquiétudes sont partagées par Chantale Ferland, une enseignante en première année de Valcourt, venue manifester avec ses trois enfants.
«Le programme n'est pas fait pour des petits, a-t-elle dit. On va les mêler, il y a trop de religions.»
D'autres parents voient ce nouveau cours comme un obstacle aux valeurs transmises à la maison.
«Comment je vais transmettre ma foi à mes enfants s'ils se font dire à l'école que toutes les religions se valent?» se demande Sophie Caron, une mère de 36 ans venue de Montréal.
À défaut de maintenir le statu quo, la Coalition demande aux parents qui le souhaitent de pouvoir soustraire leurs enfants à ce cours. Interrogée sur le sujet la semaine dernière par Le Soleil, la ministre de l'Education, Michelle Courchesne, a fermé la porte à toute exemption, réaffirmant que le cours sera bel et bien obligatoire.
Cette mobilisation survient environ un mois après la publication de la version finale du programme. Le comité sur les affaires religieuses, mandaté par le ministère de l'Education, a applaudit ce nouveau cours qui «rendra évident le caractère laïque de l'école publique québécoise et lui permettra de s'affirmer pleinement comme école commune, inclusive, démocratique et ouverte».
De son côté, la Coalition estime qu'il n'est pas trop tard et promet d'autres mobilisations au cours des prochains mois.
Le 21 octobre 2007 - 06:26 | Presse Canadienne
Le nouveau cours d'éthique et de culture religieuse, qui sera enseigné à tous les élèves québécois à partir de 2008, ne fait pas l'unanimité. Plus d'un millier de personnes ont manifesté samedi, devant l'Assemblée nationale, pour réclamer le maintien des cours de morale et d'enseignement religieux sur les bancs d'école.
Dans la foule, des membres de regroupements religieux comme les Bérets blancs, mais aussi beaucoup de parents, des «citoyens ordinaires pratiquants» venus des quatre coins du Québec pour défendre le «libre choix de religion».
Présentement, les élèves du primaire et du secondaire ont le choix entre l'enseignement moral ou religieux. Mais à partir de l'automne 2008, ils suivront tous le même cours d'éthique et de culture religieuse basé sur la connaissance générale des grandes religions, enseignées de manière non confessionnelle. Un virage que dénonce la Coalition pour la liberté en éducation.
«On veut que les parents continuent de décider ce qu'ils veulent pour leurs enfants, a lancé au micro le porte-parole de la Coalition, Jean-René Philibert. Le citoyen doit avoir préséance sur l'État pour définir ses valeurs.»
Selon Annie DeChamplain, présidente de ce regroupement de parents qui a d'abord pris racine dans la région de Québec il y a quelques mois, ce nouveau cours entraînera beaucoup de confusion chez les élèves.
«On n'est pas contre le fait de s'ouvrir aux autres religions, mais au primaire, c'est trop tôt. Il faut que l'enfant approfondisse d'abord ses propres valeurs. En mettant toutes les religions sur le même pied d'égalité, c'est comme si on demandait aux enfants d'apprendre six langues en même temps», a-t-elle illustré, faisant référence aux six religions qui seront dorénavant enseignées.
Ces inquiétudes sont partagées par Chantale Ferland, une enseignante en première année de Valcourt, venue manifester avec ses trois enfants.
«Le programme n'est pas fait pour des petits, a-t-elle dit. On va les mêler, il y a trop de religions.»
D'autres parents voient ce nouveau cours comme un obstacle aux valeurs transmises à la maison.
«Comment je vais transmettre ma foi à mes enfants s'ils se font dire à l'école que toutes les religions se valent?» se demande Sophie Caron, une mère de 36 ans venue de Montréal.
À défaut de maintenir le statu quo, la Coalition demande aux parents qui le souhaitent de pouvoir soustraire leurs enfants à ce cours. Interrogée sur le sujet la semaine dernière par Le Soleil, la ministre de l'Education, Michelle Courchesne, a fermé la porte à toute exemption, réaffirmant que le cours sera bel et bien obligatoire.
Cette mobilisation survient environ un mois après la publication de la version finale du programme. Le comité sur les affaires religieuses, mandaté par le ministère de l'Education, a applaudit ce nouveau cours qui «rendra évident le caractère laïque de l'école publique québécoise et lui permettra de s'affirmer pleinement comme école commune, inclusive, démocratique et ouverte».
De son côté, la Coalition estime qu'il n'est pas trop tard et promet d'autres mobilisations au cours des prochains mois.
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
qu'on enleve les cours de religions parce qu'il ne veule plus est associé ok ca va.par contre pas question que mon fils aille apprendre d'autre religion par contre.si t'es parents sont juif ok tu va suivre des cours pour les juifs( je parle tjrs de religion la)avant d'aprrendre une priere juive il va apprendre celle que moi je connais c'est a dire la religion catholique.
dans le temps ceux qui n'etait pas catholique prenait la cours de moral et ca faisait plaisir a tous le monde.alors oui ok enleve le cours de religion mais pas mettre l'autre.
moi croyez moi mon fils ne va pas faire ce cours la meme obligatoire.je vais me battre ca c,Est sur.on pli devant toute les autres culture ben la il vont plier pour moi
dans le temps ceux qui n'etait pas catholique prenait la cours de moral et ca faisait plaisir a tous le monde.alors oui ok enleve le cours de religion mais pas mettre l'autre.
moi croyez moi mon fils ne va pas faire ce cours la meme obligatoire.je vais me battre ca c,Est sur.on pli devant toute les autres culture ben la il vont plier pour moi
Je pense que vous devriez vous informez sur ce que sera le cours avant de partir en peur franchement. Personne n,a parler de forcer vos enfants à faire le ramadan ou à aller faire un pellerinage dans un temple bouddhiste là.
On parle de différencier les différentes religions, afin de comprendre la façon dont vivent les personnes qui composent notre société. Peut-être que si on connaissait les véritables significations de certains rites religieux, on serait moins porter à s'énerver le poil des jambes quand on entend parler d'accomodements raisonnables.
On parle de différencier les différentes religions, afin de comprendre la façon dont vivent les personnes qui composent notre société. Peut-être que si on connaissait les véritables significations de certains rites religieux, on serait moins porter à s'énerver le poil des jambes quand on entend parler d'accomodements raisonnables.
Je ne comprends pas. On ne veut pas que l'école enseigne la religion catholique car elle doit l'être à la maison par les parents. Mettons que je sois d'ac avec ça. Je ne vois pas pourquoi alors que l'école se substituerait aux parents pour enseigner les autres religions. On veut sortir la religion catholique de l'école bin qu'on les sorte toutes. Pourquoi les remplacer par toutes. Ce n'est pas aux parents d'assumer ça?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritJe ne comprends pas. On ne veut pas que l'école enseigne la religion catholique car elle doit l'être à la maison par les parents. Mettons que je sois d'ac avec ça. Je ne vois pas pourquoi alors que l'école se substituerait aux parents pour enseigner les autres religions. On veut sortir la religion catholique de l'école bin qu'on les sorte toutes. Pourquoi les remplacer par toutes. Ce n'est pas aux parents d'assumer ça?
C'est au parents d'enseigner la religion qu'ils pratiquent eux-mêmes.
C'est au parents d'enseigner la religion qu'ils pratiquent eux-mêmes.
Culture religieuse : un grand défi attend l’école
Marie-Andrée Chouinard
Le Devoir
mardi 16 janvier 2007
--------------------------------------------------------------------------------
L’implantation simultanée du nouveau programme d’éthique et de culture religieuse à l’école, dès septembre 2008, mènera les 23 000 titulaires du primaire et les 2400 spécialistes du secondaire à suivre une formation portant sur ce cours de « connaissances » et non plus d’enseignement de la foi. Il s’agit du « plus grand défi » associé à ce virage, selon le ministre de l’Éducation, Jean-Marc Fournier.
« Le plus grand défi, c’est de former tout le monde », a répété hier le ministre Fournier au cours d’un entretien avec Le Devoir sur le tout nouveau programme d’éthique et de culture religieuse. L’échéance finale de la clause dérogatoire à la Charte canadienne des droits et libertés de la personne, fixée à juillet 2008, force le gouvernement à retirer des écoles toute trace d’enseignement confessionnel. La rentrée 2008 consacrera, partout au Québec et à tous les niveaux scolaires — du primaire au secondaire —, un tout nouveau cours d’éthique et de culture religieuse, en lieu et place du régime d’option actuellement en place (enseignement moral et/ou religieux catholique ou protestant).
« Nous quitterons un état où on divise les étudiants d’une classe, où plutôt d’encourager la connaissance de l’autre, on crée des murs entre eux », a expliqué le ministre de l’Éducation. « Le choix qui est fait, c’est d’abattre les murs, et d’informer les étudiants. »
Alors que la place de la religion à l’école et les accommodements raisonnables défraient la chronique, le ministre reconnaît que, lorsque le nouveau programme sera prêt, c’est la formation des enseignants qui constituera le plus grand défi de son ministère. « C’est un grand défi parce qu’ils sont nombreux à former, nous allons espérer que tout se passe comme il faut, dans un esprit de collaboration », a dit M. Fournier, pour qui l’implantation de cette nouvelle manière de faire constituera un des « moments marquants » de son passage à l’Éducation.
La tâche est toutefois colossale : la formation des enseignants s’effectue sur une base volontaire, le nombre de journées disponibles pour s’enrichir est limité et on connaît déjà leur appétit pour le perfectionnement visant d’autres sujets, tel le renouveau pédagogique. « Le gros enjeu, c’est celui de la mise en oeuvre de ce programme, et par ricochet, de la formation des enseignants et des maîtres », a renchéri hier Jean-Pierre Proulx, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal, mais ancien président du Groupe de travail sur la place de la religion à l’école, qui a donné le coup d’envoi en 1999 à la laïcisation de l’enseignement qui s’annonce.
« Ne serait-ce que sur le plan des émotions, ce programme soulèvera toutes sortes de questions », poursuit le professeur, qui a depuis présidé le Conseil supérieur de l’éducation. « La peur de se tromper, de blesser, de ne pas pouvoir répondre à une question élémentaire d’un tout-petit sur ce qui arrive quand on meurt, par exemple... »
Invitée à donner son avis sur le programme du ministère dans le cadre d’une consultation effectuée l’automne dernier, Josée Lambert-Chan, directrice des services éducatifs à l’Académie Antoine-Manseau, avait souligné la grande richesse du programme, mais pointé l’importance d’une formation de qualité. « Il faut absolument avoir d’autres bases, que ce soit dans le domaine philosophique, théologique, l’histoire des religions ou d’autres domaines connexes, afin de pouvoir entrer dans les concepts de ce programme », avait-elle écrit dans le rapport de son comité d’étude, membre de la Fédération des établissements d’enseignement privés (FEEP). « Le comité s’inquiète de la formation complémentaire qui sera donnée aux enseignants afin d’assurer qualité et profondeur à ce programme. »
Puisque le programme ne sera dévoilé qu’au moment de son adoption officielle, à la fin des consultations déjà amorcées, on n’en connaît pas encore le détail. L’on sait qu’il abordera un volet éthique, qui « s’apparente un peu à l’enseignement moral », puis un autre, portant sur la culture religieuse, « les grandes religions, les symboles, les fondateurs », explique Gérard Guimont, directeur des programmes au ministère de l’Éducation. Les plus petits du primaire auront accès aux récits des personnages religieux importants, tandis que les grands du secondaire verront les différentes expressions religieuses. Si l’héritage québécois — le christianisme, le protestantisme, le judaïsme et les spritualités amérindiennes — occupera une large part du programme, l’ouverture à la diversité religieuse sera aussi au menu.
Aux huit écoles qui expérimentent ledit programme d’éthique et de culture religieuse depuis septembre dernier, le ministère a demandé la signature d’une entente de confidentialité, une première.
Le ministre Fournier s’étonne par ailleurs d’entendre le cardinal Marc Ouellet — dans l’un des reportages diffusés par la télévision de Radio-Canada — dénoncer l’« atteinte à la liberté de conscience et à la liberté des points de vue religieux » lorsqu’il est question du nouveau programme non confessionnel.
« Je ne partage pas ce point de vue », a-t-il expliqué. « On vit dans une société où il y a une diversité dans la foi qui parfois suscite des incompréhensions entre différentes communautés et individus. On peut plaider différemment mais je pense que l’outil le meilleur et le plus structurant va rester d’aller au-delà du préjugé en évitant l’ignorance et en choisissant la connaissance. Et après cela, chacun est libre dans la foi d’aller vers Monseigneur ou vers d’autres. Ce n’est pas une atteinte à la liberté, mais un partage de connaissances. »
Marie-Andrée Chouinard
Le Devoir
mardi 16 janvier 2007
--------------------------------------------------------------------------------
L’implantation simultanée du nouveau programme d’éthique et de culture religieuse à l’école, dès septembre 2008, mènera les 23 000 titulaires du primaire et les 2400 spécialistes du secondaire à suivre une formation portant sur ce cours de « connaissances » et non plus d’enseignement de la foi. Il s’agit du « plus grand défi » associé à ce virage, selon le ministre de l’Éducation, Jean-Marc Fournier.
« Le plus grand défi, c’est de former tout le monde », a répété hier le ministre Fournier au cours d’un entretien avec Le Devoir sur le tout nouveau programme d’éthique et de culture religieuse. L’échéance finale de la clause dérogatoire à la Charte canadienne des droits et libertés de la personne, fixée à juillet 2008, force le gouvernement à retirer des écoles toute trace d’enseignement confessionnel. La rentrée 2008 consacrera, partout au Québec et à tous les niveaux scolaires — du primaire au secondaire —, un tout nouveau cours d’éthique et de culture religieuse, en lieu et place du régime d’option actuellement en place (enseignement moral et/ou religieux catholique ou protestant).
« Nous quitterons un état où on divise les étudiants d’une classe, où plutôt d’encourager la connaissance de l’autre, on crée des murs entre eux », a expliqué le ministre de l’Éducation. « Le choix qui est fait, c’est d’abattre les murs, et d’informer les étudiants. »
Alors que la place de la religion à l’école et les accommodements raisonnables défraient la chronique, le ministre reconnaît que, lorsque le nouveau programme sera prêt, c’est la formation des enseignants qui constituera le plus grand défi de son ministère. « C’est un grand défi parce qu’ils sont nombreux à former, nous allons espérer que tout se passe comme il faut, dans un esprit de collaboration », a dit M. Fournier, pour qui l’implantation de cette nouvelle manière de faire constituera un des « moments marquants » de son passage à l’Éducation.
La tâche est toutefois colossale : la formation des enseignants s’effectue sur une base volontaire, le nombre de journées disponibles pour s’enrichir est limité et on connaît déjà leur appétit pour le perfectionnement visant d’autres sujets, tel le renouveau pédagogique. « Le gros enjeu, c’est celui de la mise en oeuvre de ce programme, et par ricochet, de la formation des enseignants et des maîtres », a renchéri hier Jean-Pierre Proulx, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal, mais ancien président du Groupe de travail sur la place de la religion à l’école, qui a donné le coup d’envoi en 1999 à la laïcisation de l’enseignement qui s’annonce.
« Ne serait-ce que sur le plan des émotions, ce programme soulèvera toutes sortes de questions », poursuit le professeur, qui a depuis présidé le Conseil supérieur de l’éducation. « La peur de se tromper, de blesser, de ne pas pouvoir répondre à une question élémentaire d’un tout-petit sur ce qui arrive quand on meurt, par exemple... »
Invitée à donner son avis sur le programme du ministère dans le cadre d’une consultation effectuée l’automne dernier, Josée Lambert-Chan, directrice des services éducatifs à l’Académie Antoine-Manseau, avait souligné la grande richesse du programme, mais pointé l’importance d’une formation de qualité. « Il faut absolument avoir d’autres bases, que ce soit dans le domaine philosophique, théologique, l’histoire des religions ou d’autres domaines connexes, afin de pouvoir entrer dans les concepts de ce programme », avait-elle écrit dans le rapport de son comité d’étude, membre de la Fédération des établissements d’enseignement privés (FEEP). « Le comité s’inquiète de la formation complémentaire qui sera donnée aux enseignants afin d’assurer qualité et profondeur à ce programme. »
Puisque le programme ne sera dévoilé qu’au moment de son adoption officielle, à la fin des consultations déjà amorcées, on n’en connaît pas encore le détail. L’on sait qu’il abordera un volet éthique, qui « s’apparente un peu à l’enseignement moral », puis un autre, portant sur la culture religieuse, « les grandes religions, les symboles, les fondateurs », explique Gérard Guimont, directeur des programmes au ministère de l’Éducation. Les plus petits du primaire auront accès aux récits des personnages religieux importants, tandis que les grands du secondaire verront les différentes expressions religieuses. Si l’héritage québécois — le christianisme, le protestantisme, le judaïsme et les spritualités amérindiennes — occupera une large part du programme, l’ouverture à la diversité religieuse sera aussi au menu.
Aux huit écoles qui expérimentent ledit programme d’éthique et de culture religieuse depuis septembre dernier, le ministère a demandé la signature d’une entente de confidentialité, une première.
Le ministre Fournier s’étonne par ailleurs d’entendre le cardinal Marc Ouellet — dans l’un des reportages diffusés par la télévision de Radio-Canada — dénoncer l’« atteinte à la liberté de conscience et à la liberté des points de vue religieux » lorsqu’il est question du nouveau programme non confessionnel.
« Je ne partage pas ce point de vue », a-t-il expliqué. « On vit dans une société où il y a une diversité dans la foi qui parfois suscite des incompréhensions entre différentes communautés et individus. On peut plaider différemment mais je pense que l’outil le meilleur et le plus structurant va rester d’aller au-delà du préjugé en évitant l’ignorance et en choisissant la connaissance. Et après cela, chacun est libre dans la foi d’aller vers Monseigneur ou vers d’autres. Ce n’est pas une atteinte à la liberté, mais un partage de connaissances. »
tipet a écrit
C'est au parents d'enseigner la religion qu'ils pratiquent eux-mêmes.
Si tel est le cas, qu'on sorte toutes les religions des écoles. Qu'on ne tente pas d'en sortir une pour en entrer 28. Le programme me semble là que pour se donner bonne conscience et « patcher » je ne sais trop quoi. Que la laïcité ne devienne pas une religion et c'est ce qui semble se dessiner présentement.
C'est au parents d'enseigner la religion qu'ils pratiquent eux-mêmes.
Si tel est le cas, qu'on sorte toutes les religions des écoles. Qu'on ne tente pas d'en sortir une pour en entrer 28. Le programme me semble là que pour se donner bonne conscience et « patcher » je ne sais trop quoi. Que la laïcité ne devienne pas une religion et c'est ce qui semble se dessiner présentement.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Si tel est le cas, qu'on sorte toutes les religions des écoles. Qu'on ne tente pas d'en sortir une pour en entrer 28. Le programme me semble là que pour se donner bonne conscience et « patcher » je ne sais trop quoi. Que la laïcité ne devienne pas une religion et c'est ce qui semble se dessiner présentement.
C'est sur qu'idéalement, moi aussi je le vois comme ça. Tant qu'à faire, enlevons tout ça et rajoutons des heures aux autres matières, plus importantes.
Sauf que bon, il y a aussi une petite part de mon moi , qui se dit, que nous sommes peut-être rendu à un point, où l'ignorance de l'autre est devenu un problème. Je ne pense pas que ça peut nuire d'avoir un cour pour aider nos jeunes à s'ouvrir aux autres...
Si tel est le cas, qu'on sorte toutes les religions des écoles. Qu'on ne tente pas d'en sortir une pour en entrer 28. Le programme me semble là que pour se donner bonne conscience et « patcher » je ne sais trop quoi. Que la laïcité ne devienne pas une religion et c'est ce qui semble se dessiner présentement.
C'est sur qu'idéalement, moi aussi je le vois comme ça. Tant qu'à faire, enlevons tout ça et rajoutons des heures aux autres matières, plus importantes.
Sauf que bon, il y a aussi une petite part de mon moi , qui se dit, que nous sommes peut-être rendu à un point, où l'ignorance de l'autre est devenu un problème. Je ne pense pas que ça peut nuire d'avoir un cour pour aider nos jeunes à s'ouvrir aux autres...
Je trouve ça un peu dommage quand même...
Pour certains enfants baptisés de religion catholique, l'école est le seul lieu où ils entendent parler de religion. Et le nouveau matériel qui était sorti avec la réforme en éducation est intéressant. On n'y parle pas que de religion catholique à 100%. Plusieurs thèmes ressemblent énormément à de la morale, mais on fait des liens avec les valeurs de la religion catholique. Il y a même un thème où l'on parle des autres religions qui existent.
En tout cas, j'ai hâte de suivre la formation pour savoir exactement ce qu'il en adviendra.
Pour certains enfants baptisés de religion catholique, l'école est le seul lieu où ils entendent parler de religion. Et le nouveau matériel qui était sorti avec la réforme en éducation est intéressant. On n'y parle pas que de religion catholique à 100%. Plusieurs thèmes ressemblent énormément à de la morale, mais on fait des liens avec les valeurs de la religion catholique. Il y a même un thème où l'on parle des autres religions qui existent.
En tout cas, j'ai hâte de suivre la formation pour savoir exactement ce qu'il en adviendra.
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
jaskab a écritJe trouve ça un peu dommage quand même...
Pour certains enfants baptisés de religion catholique, l'école est le seul lieu où ils entendent parler de religion. Et le nouveau matériel qui était sorti avec la réforme en éducation est intéressant. On n'y parle pas que de religion catholique à 100%. Plusieurs thèmes ressemblent énormément à de la morale, mais on fait des liens avec les valeurs de la religion catholique. Il y a même un thème où l'on parle des autres religions qui existent.
En tout cas, j'ai hâte de suivre la formation pour savoir exactement ce qu'il en adviendra.
Ici dans mon village, les parents qui désirent que leur enfant suivent une "formation" religieuse, communique avec la paroisse. Ensuite, un parent-bénévole se propose pour donner la dite-formation, si aucun parent n,est en mesure de le faire, c,est quelqu,un qui travaille au presbythère qui le fait. Tout dépendamment de l'âge, les rencontres sont aux 2 semaines, le samedi matin. Comme ça, les enfants sont prêts à recevoir les différents sacrements selon leur âges.
Perso je trouve ça très bien comme procédé, si tu veux que ton enfant reçoive une éducation religieuse et que tu ne te considère pas apte à le faire toi-même, tu l'inscrit à ces formations.
Pour certains enfants baptisés de religion catholique, l'école est le seul lieu où ils entendent parler de religion. Et le nouveau matériel qui était sorti avec la réforme en éducation est intéressant. On n'y parle pas que de religion catholique à 100%. Plusieurs thèmes ressemblent énormément à de la morale, mais on fait des liens avec les valeurs de la religion catholique. Il y a même un thème où l'on parle des autres religions qui existent.
En tout cas, j'ai hâte de suivre la formation pour savoir exactement ce qu'il en adviendra.
Ici dans mon village, les parents qui désirent que leur enfant suivent une "formation" religieuse, communique avec la paroisse. Ensuite, un parent-bénévole se propose pour donner la dite-formation, si aucun parent n,est en mesure de le faire, c,est quelqu,un qui travaille au presbythère qui le fait. Tout dépendamment de l'âge, les rencontres sont aux 2 semaines, le samedi matin. Comme ça, les enfants sont prêts à recevoir les différents sacrements selon leur âges.
Perso je trouve ça très bien comme procédé, si tu veux que ton enfant reçoive une éducation religieuse et que tu ne te considère pas apte à le faire toi-même, tu l'inscrit à ces formations.
tipet a écrit
Ici dans mon village, les parents qui désirent que leur enfant suivent une "formation" religieuse, communique avec la paroisse. Ensuite, un parent-bénévole se propose pour donner la dite-formation, si aucun parent n,est en mesure de le faire, c,est quelqu,un qui travaille au presbythère qui le fait. Tout dépendamment de l'âge, les rencontres sont aux 2 semaines, le samedi matin. Comme ça, les enfants sont prêts à recevoir les différents sacrements selon leur âges.
Perso je trouve ça très bien comme procédé, si tu veux que ton enfant reçoive une éducation religieuse et que tu ne te considère pas apte à le faire toi-même, tu l'inscrit à ces formations.
Ça ressemble un peu à la France ça. La seule différence c'est que nous autres c'est chaque semaine.
Ici dans mon village, les parents qui désirent que leur enfant suivent une "formation" religieuse, communique avec la paroisse. Ensuite, un parent-bénévole se propose pour donner la dite-formation, si aucun parent n,est en mesure de le faire, c,est quelqu,un qui travaille au presbythère qui le fait. Tout dépendamment de l'âge, les rencontres sont aux 2 semaines, le samedi matin. Comme ça, les enfants sont prêts à recevoir les différents sacrements selon leur âges.
Perso je trouve ça très bien comme procédé, si tu veux que ton enfant reçoive une éducation religieuse et que tu ne te considère pas apte à le faire toi-même, tu l'inscrit à ces formations.
Ça ressemble un peu à la France ça. La seule différence c'est que nous autres c'est chaque semaine.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
tipet a écrit
Ici dans mon village, les parents qui désirent que leur enfant suivent une "formation" religieuse, communique avec la paroisse. Ensuite, un parent-bénévole se propose pour donner la dite-formation, si aucun parent n,est en mesure de le faire, c,est quelqu,un qui travaille au presbythère qui le fait. Tout dépendamment de l'âge, les rencontres sont aux 2 semaines, le samedi matin. Comme ça, les enfants sont prêts à recevoir les différents sacrements selon leur âges.
Perso je trouve ça très bien comme procédé, si tu veux que ton enfant reçoive une éducation religieuse et que tu ne te considère pas apte à le faire toi-même, tu l'inscrit à ces formations.
J'y vois du bon, c'est sûr. Mais comme je disais, le programme actuel de religion était assez varié et pas juste axé sur le catholocisme. D'autres livres aux poubelles...
Ici dans mon village, les parents qui désirent que leur enfant suivent une "formation" religieuse, communique avec la paroisse. Ensuite, un parent-bénévole se propose pour donner la dite-formation, si aucun parent n,est en mesure de le faire, c,est quelqu,un qui travaille au presbythère qui le fait. Tout dépendamment de l'âge, les rencontres sont aux 2 semaines, le samedi matin. Comme ça, les enfants sont prêts à recevoir les différents sacrements selon leur âges.
Perso je trouve ça très bien comme procédé, si tu veux que ton enfant reçoive une éducation religieuse et que tu ne te considère pas apte à le faire toi-même, tu l'inscrit à ces formations.
J'y vois du bon, c'est sûr. Mais comme je disais, le programme actuel de religion était assez varié et pas juste axé sur le catholocisme. D'autres livres aux poubelles...
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Je ne vois pas pourquoi nos enfants devraient passer 11 ans sur l'apprentissage de religions autre que la leur. Je n'ai rien contre donner l'enseignement de la religion catholique à mon enfant même si je ne suis pas pratiquante sauf que je trouve ridicule de vouloir une société laïc pis accepter ce nouveau programme.
Nous sortons des écoles tout ce qui se réfère à la religion catholique mais nous acceptons le port du Kirpan, nous sortons notre religion à la base pour faire entrer celle des autres y'a quelque chose qui marche pas dans notre société.
Qu'on nous laisse le choix
Nous sortons des écoles tout ce qui se réfère à la religion catholique mais nous acceptons le port du Kirpan, nous sortons notre religion à la base pour faire entrer celle des autres y'a quelque chose qui marche pas dans notre société.
Qu'on nous laisse le choix
[url=http://lilypie.com][img]http://lilypie.com/pic/090307/N3LF.jpg[/img][img]http://b3.lilypie.com/BWcSm5/.png[/img][/url]
[url=http://lilypie.com][img]http://lilypie.com/pic/090307/P3Yv.jpg[/img][img]http://b1.lilypie.com/FXD1m5/.png[/img][/url]
[url=http://lilypie.com][img]http://lilypie.com/pic/090307/P3Yv.jpg[/img][img]http://b1.lilypie.com/FXD1m5/.png[/img][/url]
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
fonzine17 a écritqu'on enleve les cours de religions parce qu'il ne veule plus est associé ok ca va.par contre pas question que mon fils aille apprendre d'autre religion par contre.si t'es parents sont juif ok tu va suivre des cours pour les juifs( je parle tjrs de religion la)avant d'aprrendre une priere juive il va apprendre celle que moi je connais c'est a dire la religion catholique.
dans le temps ceux qui n'etait pas catholique prenait la cours de moral et ca faisait plaisir a tous le monde.alors oui ok enleve le cours de religion mais pas mettre l'autre.
moi croyez moi mon fils ne va pas faire ce cours la meme obligatoire.je vais me battre ca c,Est sur.on pli devant toute les autres culture ben la il vont plier pour moi
Moi aussi je vais retirer mes enfants de ce cours même obligatoire.
dans le temps ceux qui n'etait pas catholique prenait la cours de moral et ca faisait plaisir a tous le monde.alors oui ok enleve le cours de religion mais pas mettre l'autre.
moi croyez moi mon fils ne va pas faire ce cours la meme obligatoire.je vais me battre ca c,Est sur.on pli devant toute les autres culture ben la il vont plier pour moi
Moi aussi je vais retirer mes enfants de ce cours même obligatoire.
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Le problème que les paroisses ont avec l'enseignement de la religion avec les enfants c'est le manque de disponibilité des parents pour les rencontres pastorales.
Le soir toute la famille est dans le jus avec le souper les devoir les bains...Et ils faut du moins en première année coucher les enfants a 7 heures 30 maximum ;recommandation du professeur de ma fille. (l'école commence le matin a 8 Heures)
Le samedi ce sont les cours (danse, hockey, gymnastique...) Il faut bien faire bouger les enfants puisqu'il n'y a presque pas de sports a L'école.) Ensuite il y a le ménage et les commissions...
Le Dimanche ce sont les paroisses qui sont occupé avec les messes.
L'Église entre en compétition avec toutes ces activités. Il faut vraiment que la religion soit une priorité dans ta vie pour renoncer a tout ce qu'il y a a faire dans une fin de semaine pour une famille moyenne.
A l'école de ma fille on nous propose des activités privé donc payante pour le midi (en science,sports,danse) Alors pourquoi pas des cours de religions. Une fois par semaine ce n'est pas trop. Si l'école ne veux pas s'associer a la paroisse pour ces cours on peux en toute légitimité faire sortir les enfants de l'école le midi.
Ce que je suis en train de planifier pour ma paroisse ce sont des cours le midi pour les enfants. Les enfants pourraient aller un midi par semaine au sous sol de l'Église (l'église est en face de l'École) pour avoir un genre de dîner causerie suivie d'une activité religieuse.
Il faut trouver une façon pour les paroisses de rejoindre les familles. De toute façon les cours de religions dans les classes sont donnés si on a du temps, en tous cas dans la classe de ma fille. Elle n'a pas encore eu un seul cours de religion, car ils ont besoin de beaucoup de temps pour leur apprendre a lire et écrire. --Message edité par .anthurium. le 2007-10-21 14:18:33--
Le soir toute la famille est dans le jus avec le souper les devoir les bains...Et ils faut du moins en première année coucher les enfants a 7 heures 30 maximum ;recommandation du professeur de ma fille. (l'école commence le matin a 8 Heures)
Le samedi ce sont les cours (danse, hockey, gymnastique...) Il faut bien faire bouger les enfants puisqu'il n'y a presque pas de sports a L'école.) Ensuite il y a le ménage et les commissions...
Le Dimanche ce sont les paroisses qui sont occupé avec les messes.
L'Église entre en compétition avec toutes ces activités. Il faut vraiment que la religion soit une priorité dans ta vie pour renoncer a tout ce qu'il y a a faire dans une fin de semaine pour une famille moyenne.
A l'école de ma fille on nous propose des activités privé donc payante pour le midi (en science,sports,danse) Alors pourquoi pas des cours de religions. Une fois par semaine ce n'est pas trop. Si l'école ne veux pas s'associer a la paroisse pour ces cours on peux en toute légitimité faire sortir les enfants de l'école le midi.
Ce que je suis en train de planifier pour ma paroisse ce sont des cours le midi pour les enfants. Les enfants pourraient aller un midi par semaine au sous sol de l'Église (l'église est en face de l'École) pour avoir un genre de dîner causerie suivie d'une activité religieuse.
Il faut trouver une façon pour les paroisses de rejoindre les familles. De toute façon les cours de religions dans les classes sont donnés si on a du temps, en tous cas dans la classe de ma fille. Elle n'a pas encore eu un seul cours de religion, car ils ont besoin de beaucoup de temps pour leur apprendre a lire et écrire. --Message edité par .anthurium. le 2007-10-21 14:18:33--
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.