La paritée du dollars canadien et du dollar US
Parité invisible à la caisse
21 septembre 2007 - 06h23
La Presse
Tristan Péloquin
Pour la première fois depuis le 25 novembre 1976, le dollar canadien a atteint la parité avec le dollar américain, jeudi. À 10h58, le huard valait même quatre centièmes de cent de plus que le billet vert.
Cliquez pour en savoir plus : Biens de consommation | Commerce de détail | Biens non durables | Macro-économie | Prix | Canadiens | McDonald's Corporation | Banque de Montréal | Conseil québécois | General Motors du Canada
Pourtant, à la caisse, les Canadiens paient toujours leurs biens de consommation 24% plus cher que les Américains, selon un rapport de la BMO.
Ce nouveau sommet en 31 ans survient après une montée spectaculaire de 16% du dollar canadien entamée depuis le début 2007.
Selon les analystes, cette croissance fulgurante, qui nous éloigne du creux historique de 62 cents américains enregistré en janvier 2002, est liée à la hausse du prix des matières premières (notamment celle du pétrole) et à la chute du dollar américain.
«Cela nous montre que l'économie canadienne va très bien. Notre devise a augmenté de 60% depuis 2002 et nous connaissons le plein emploi. Il y a beaucoup de nouveaux emplois créés, même si le secteur manufacturier va mal», affirme Maurice Marchon, professeur d'économie appliquée aux HEC Montréal.
Toutefois, même si le huard a la même valeur que le billet qui se trouve dans le portefeuille des consommateurs américains, les Canadiens paient toujours plus cher pour leurs produits de consommation.
Par exemple, une Pontiac Vibe 2007, modèle de base, coûte 17 345$ (taxes en sus) chez nos voisins du Sud; ici, le prix de détail suggéré par GM est de 19 080$.
Le coffret DVD de la deuxième saison de la télésérie Prison Break coûte 37,99$ sur Amazon.com; le même coffret se vend 54,96$ sur la filiale canadienne du site, Amazon.ca.
Autre exemple: un iPod Classic de base vous coûtera 249$ partout aux États-Unis, mais vous paierez 279$ si vous l'achetez de ce côté-ci de la frontière.
Même un trio Big Mac chez McDonald's coûte moins cher aux États-Unis: 5,19$ contre 5,79$ ici.
Une étude plus rigoureuse effectuée par BMO Capital Markets révèle que les Canadiens paient en fait 24% de plus que les Américains pour un panier de biens de consommation variés.
«Bien qu'il soit irréaliste de s'attendre à ce que les prix s'ajustent instantanément d'un côté et de l'autre de la frontière, cet écart n'en demeure pas moins insoutenable», écrit l'analyste Douglas Porter.
À qui la faute?
Pour l'organisme Option consommateurs, qui suit de près le prix de plusieurs biens de consommation depuis que le huard a amorcé sa remontée, rien ne justifie une différence de prix aussi marquée.
«Nous demandons au Conseil québécois du commerce de détail de fournir publiquement des explications aux Québécois, lance le porte-parole Michel Arnold. Pour nous, c'est clair que le consommateur se fait avoir. Si la situation était inverse, et que le prix du dollar canadien se mettait à chuter, c'est certain que le prix s'ajusterait immédiatement à la hausse au Canada.»
C'est la faute du marché, rétorque le Conseil québécois du commerce de détail.
«On ne peut pas appliquer une simple règle de trois et accuser les détaillants de se mettre la différence dans les poches, affirme le PDG de l'organisme, Gaston Lafleur. Avant d'arriver chez le détaillant, un produit passe par plusieurs intermédiaires.»
«Chacun établit son prix, et il peut y avoir une proportion de la différence de prix refilée à l'un ou l'autre des maillons de la chaîne. Mais il reste que si le produit est vendu trop cher, il va rester sur les tablettes. Nous sommes dans un cas classique d'offre et de demande», dit-il.
Selon les économistes consultés par La Presse, l'importante différence de prix s'explique effectivement par le marché, qui est fondamentalement différent au Canada et aux États-Unis.
«Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte, comme la taille du marché, beaucoup plus importante aux États-Unis, les coûts de transport, qui sont peut-être plus élevés au Canada, la compétition, probablement plus féroce chez nos voisins du Sud, et le revenu moyen disponible de la population, qui avantage encore les Américains», explique Chris Ragan, professeur d'économie à l'Université McGill.
«Tout cela entre en ligne de compte et influence le prix.» Qui plus est, soutient le Conseil québécois du commerce de détail, les charges sociales assumées par les entreprises canadiennes sont plus élevées qu'aux États-Unis.
Mais chose certaine, plusieurs consommateurs canadiens ont déjà commencé à contourner les règles du marché.
Selon la chambre de commerce de Plattsburgh, les consommateurs québécois sont nettement plus nombreux à traverser la frontière depuis le début de l'été.
Plusieurs d'entre eux y achètent même des voitures.
Statistique Canada a également enregistré cette année une augmentation de 30% par rapport à 2006 du nombre de voitures neuves et usagées achetées par des Canadiens aux États-Unis.
«Il peut y avoir des économies importantes à faire, surtout sur les modèles de voitures haut de gamme, affirme Sophie Gagnon, porte-parole de CAA-Québec. Il faut cependant aller plus loin que le simple prix de vente. Il ne faut pas oublier qu'il y a des taxes, des droits de douane et des frais d'inspection à payer à la frontière, en plus des questions de garanties et de financement. Il faut vraiment prendre le temps de faire les calculs.»
21 septembre 2007 - 06h23
La Presse
Tristan Péloquin
Pour la première fois depuis le 25 novembre 1976, le dollar canadien a atteint la parité avec le dollar américain, jeudi. À 10h58, le huard valait même quatre centièmes de cent de plus que le billet vert.
Cliquez pour en savoir plus : Biens de consommation | Commerce de détail | Biens non durables | Macro-économie | Prix | Canadiens | McDonald's Corporation | Banque de Montréal | Conseil québécois | General Motors du Canada
Pourtant, à la caisse, les Canadiens paient toujours leurs biens de consommation 24% plus cher que les Américains, selon un rapport de la BMO.
Ce nouveau sommet en 31 ans survient après une montée spectaculaire de 16% du dollar canadien entamée depuis le début 2007.
Selon les analystes, cette croissance fulgurante, qui nous éloigne du creux historique de 62 cents américains enregistré en janvier 2002, est liée à la hausse du prix des matières premières (notamment celle du pétrole) et à la chute du dollar américain.
«Cela nous montre que l'économie canadienne va très bien. Notre devise a augmenté de 60% depuis 2002 et nous connaissons le plein emploi. Il y a beaucoup de nouveaux emplois créés, même si le secteur manufacturier va mal», affirme Maurice Marchon, professeur d'économie appliquée aux HEC Montréal.
Toutefois, même si le huard a la même valeur que le billet qui se trouve dans le portefeuille des consommateurs américains, les Canadiens paient toujours plus cher pour leurs produits de consommation.
Par exemple, une Pontiac Vibe 2007, modèle de base, coûte 17 345$ (taxes en sus) chez nos voisins du Sud; ici, le prix de détail suggéré par GM est de 19 080$.
Le coffret DVD de la deuxième saison de la télésérie Prison Break coûte 37,99$ sur Amazon.com; le même coffret se vend 54,96$ sur la filiale canadienne du site, Amazon.ca.
Autre exemple: un iPod Classic de base vous coûtera 249$ partout aux États-Unis, mais vous paierez 279$ si vous l'achetez de ce côté-ci de la frontière.
Même un trio Big Mac chez McDonald's coûte moins cher aux États-Unis: 5,19$ contre 5,79$ ici.
Une étude plus rigoureuse effectuée par BMO Capital Markets révèle que les Canadiens paient en fait 24% de plus que les Américains pour un panier de biens de consommation variés.
«Bien qu'il soit irréaliste de s'attendre à ce que les prix s'ajustent instantanément d'un côté et de l'autre de la frontière, cet écart n'en demeure pas moins insoutenable», écrit l'analyste Douglas Porter.
À qui la faute?
Pour l'organisme Option consommateurs, qui suit de près le prix de plusieurs biens de consommation depuis que le huard a amorcé sa remontée, rien ne justifie une différence de prix aussi marquée.
«Nous demandons au Conseil québécois du commerce de détail de fournir publiquement des explications aux Québécois, lance le porte-parole Michel Arnold. Pour nous, c'est clair que le consommateur se fait avoir. Si la situation était inverse, et que le prix du dollar canadien se mettait à chuter, c'est certain que le prix s'ajusterait immédiatement à la hausse au Canada.»
C'est la faute du marché, rétorque le Conseil québécois du commerce de détail.
«On ne peut pas appliquer une simple règle de trois et accuser les détaillants de se mettre la différence dans les poches, affirme le PDG de l'organisme, Gaston Lafleur. Avant d'arriver chez le détaillant, un produit passe par plusieurs intermédiaires.»
«Chacun établit son prix, et il peut y avoir une proportion de la différence de prix refilée à l'un ou l'autre des maillons de la chaîne. Mais il reste que si le produit est vendu trop cher, il va rester sur les tablettes. Nous sommes dans un cas classique d'offre et de demande», dit-il.
Selon les économistes consultés par La Presse, l'importante différence de prix s'explique effectivement par le marché, qui est fondamentalement différent au Canada et aux États-Unis.
«Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte, comme la taille du marché, beaucoup plus importante aux États-Unis, les coûts de transport, qui sont peut-être plus élevés au Canada, la compétition, probablement plus féroce chez nos voisins du Sud, et le revenu moyen disponible de la population, qui avantage encore les Américains», explique Chris Ragan, professeur d'économie à l'Université McGill.
«Tout cela entre en ligne de compte et influence le prix.» Qui plus est, soutient le Conseil québécois du commerce de détail, les charges sociales assumées par les entreprises canadiennes sont plus élevées qu'aux États-Unis.
Mais chose certaine, plusieurs consommateurs canadiens ont déjà commencé à contourner les règles du marché.
Selon la chambre de commerce de Plattsburgh, les consommateurs québécois sont nettement plus nombreux à traverser la frontière depuis le début de l'été.
Plusieurs d'entre eux y achètent même des voitures.
Statistique Canada a également enregistré cette année une augmentation de 30% par rapport à 2006 du nombre de voitures neuves et usagées achetées par des Canadiens aux États-Unis.
«Il peut y avoir des économies importantes à faire, surtout sur les modèles de voitures haut de gamme, affirme Sophie Gagnon, porte-parole de CAA-Québec. Il faut cependant aller plus loin que le simple prix de vente. Il ne faut pas oublier qu'il y a des taxes, des droits de douane et des frais d'inspection à payer à la frontière, en plus des questions de garanties et de financement. Il faut vraiment prendre le temps de faire les calculs.»
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- Seigneur de la Causerie
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Son Excellence a écrit
Moi je ne comprends pas ca jamais bon pour notre pays mais les autre quand leurs argent est plus haute que la notre y s en plaigne pas trop........ Plus leur monnaie est forte, plus les importateurs y trouvent leur compte, et plus la monnaie est faible, plus ce sont les exportateurs qui en profitent. Ça n'a absolument rien de particulier au Canada.
Moi je ne comprends pas ca jamais bon pour notre pays mais les autre quand leurs argent est plus haute que la notre y s en plaigne pas trop........ Plus leur monnaie est forte, plus les importateurs y trouvent leur compte, et plus la monnaie est faible, plus ce sont les exportateurs qui en profitent. Ça n'a absolument rien de particulier au Canada.
c'est le temps d'importer des voiture des USA ya des économie de l'ordre de 10 a 20 000$ sur certain véhicule sport et luxe!
http://www.quebec-usa.com/
http://www.quebec-usa.com/
TVQC le blogue de la télé au Québec
Comment ça marche quand on va magasiner aux US ?
Faut déclarer nos achats, ça je le sais.
Mais ensuite ?
Faut juste payer la TPS et la TVQ sur ces achats ?
c'est juste ça où s'il y a autres choses ?
Désolée si j'ai l'air niaiseuse avec ma question, mais je pense que plusieurs autres se la posent, sans oser la formuler clairement.
Merci aux experts de nous répondre !
Faut déclarer nos achats, ça je le sais.
Mais ensuite ?
Faut juste payer la TPS et la TVQ sur ces achats ?
c'est juste ça où s'il y a autres choses ?
Désolée si j'ai l'air niaiseuse avec ma question, mais je pense que plusieurs autres se la posent, sans oser la formuler clairement.
Merci aux experts de nous répondre !
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Bambi_Smiley a écritComment ça marche quand on va magasiner aux US ?
Faut déclarer nos achats, ça je le sais.
Mais ensuite ?
Faut juste payer la TPS et la TVQ sur ces achats ?
c'est juste ça où s'il y a autres choses ?
Désolée si j'ai l'air niaiseuse avec ma question, mais je pense que plusieurs autres se la posent, sans oser la formuler clairement.
Merci aux experts de nous répondre !
Pour un voyage de moins de 24 heures aux États-Unis, on a droit à une exemption de $50.00. Sur le surplus il faut payer des frais de douane.
Voici:
À quelles exemptions personnelles avez-vous droit?
Après chaque absence de 24 heures ou plus
Vous pouvez rapporter en franchise de droits et de taxes des marchandises d'une valeur totale de 50 $CAN. Il s'agit de votre exemption personnelle. Ces marchandises doivent vous accompagner au moment de votre arrivée. Notez que vous ne pouvez pas inclure des produits du tabac et des boissons alcoolisées dans cette exemption. Si la valeur totale des marchandises dépasse 50 $CAN, vous ne pouvez pas demander cette exemption. Vous devez, dans ce cas, payer tous les droits sur toutes les marchandises que vous apportez.
Après chaque absence de 48 heures ou plus
Vous pouvez rapporter en franchise de droits et taxes des marchandises d'une valeur totale de 400 $CAN. Les marchandises doivent vous accompagner au moment de votre arrivée. Même si vous pouvez inclure des produits du tabac et des boissons alcoolisées dans votre exemption, une partie de celle-ci pourrait s'appliquer aux cigarettes, aux bâtonnets de tabac et au tabac fabriqué. Pour obtenir plus de renseignements, lisez la section intitulée « Alcool et tabac ».
Après chaque absence de 7 jours ou plus
Vous pouvez rapporter en franchise de droits et de taxes des marchandises d'une valeur totale de 750 $CAN. Même si vous pouvez inclure des produits du tabac et des boissons alcoolisées dans votre exemption, une partie de celle-ci pourrait s'appliquer aux cigarettes, aux bâtonnets de tabac et au tabac fabriqué. Pour obtenir plus de renseignements, lisez la section intitulée « Alcool et tabac ». Seuls les produits du tabac et les boissons alcoolisées doivent obligatoirement vous accompagner au moment de votre arrivée.
http://www.cbsa-asfc.gc.ca/F/pub/cp/bsf ... .html#P021
Faut déclarer nos achats, ça je le sais.
Mais ensuite ?
Faut juste payer la TPS et la TVQ sur ces achats ?
c'est juste ça où s'il y a autres choses ?
Désolée si j'ai l'air niaiseuse avec ma question, mais je pense que plusieurs autres se la posent, sans oser la formuler clairement.
Merci aux experts de nous répondre !
Pour un voyage de moins de 24 heures aux États-Unis, on a droit à une exemption de $50.00. Sur le surplus il faut payer des frais de douane.
Voici:
À quelles exemptions personnelles avez-vous droit?
Après chaque absence de 24 heures ou plus
Vous pouvez rapporter en franchise de droits et de taxes des marchandises d'une valeur totale de 50 $CAN. Il s'agit de votre exemption personnelle. Ces marchandises doivent vous accompagner au moment de votre arrivée. Notez que vous ne pouvez pas inclure des produits du tabac et des boissons alcoolisées dans cette exemption. Si la valeur totale des marchandises dépasse 50 $CAN, vous ne pouvez pas demander cette exemption. Vous devez, dans ce cas, payer tous les droits sur toutes les marchandises que vous apportez.
Après chaque absence de 48 heures ou plus
Vous pouvez rapporter en franchise de droits et taxes des marchandises d'une valeur totale de 400 $CAN. Les marchandises doivent vous accompagner au moment de votre arrivée. Même si vous pouvez inclure des produits du tabac et des boissons alcoolisées dans votre exemption, une partie de celle-ci pourrait s'appliquer aux cigarettes, aux bâtonnets de tabac et au tabac fabriqué. Pour obtenir plus de renseignements, lisez la section intitulée « Alcool et tabac ».
Après chaque absence de 7 jours ou plus
Vous pouvez rapporter en franchise de droits et de taxes des marchandises d'une valeur totale de 750 $CAN. Même si vous pouvez inclure des produits du tabac et des boissons alcoolisées dans votre exemption, une partie de celle-ci pourrait s'appliquer aux cigarettes, aux bâtonnets de tabac et au tabac fabriqué. Pour obtenir plus de renseignements, lisez la section intitulée « Alcool et tabac ». Seuls les produits du tabac et les boissons alcoolisées doivent obligatoirement vous accompagner au moment de votre arrivée.
http://www.cbsa-asfc.gc.ca/F/pub/cp/bsf ... .html#P021
Lison de Gatineau
Rénatane a écrit
Il y a beaucoup de nouveaux emplois créés, même si le secteur manufacturier va mal», affirme Maurice Marchon, professeur d'économie appliquée aux HEC Montréal.
PFFFFF!
Des emplois de services à temps partiel/temporaire et au salaire minimum qui remplacent des emplois bien rémunérés, Les salaires qui ne font que descendre. Le revenu moyen des québécois baisse à toutes les années et il faudrait se tirer les bretelles et applaudir?..
Pathétique...
Il y a beaucoup de nouveaux emplois créés, même si le secteur manufacturier va mal», affirme Maurice Marchon, professeur d'économie appliquée aux HEC Montréal.
PFFFFF!
Des emplois de services à temps partiel/temporaire et au salaire minimum qui remplacent des emplois bien rémunérés, Les salaires qui ne font que descendre. Le revenu moyen des québécois baisse à toutes les années et il faudrait se tirer les bretelles et applaudir?..
Pathétique...
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]
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- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : lun. nov. 03, 2003 1:00 am
Lison48 a écrit
Frais de douane + tps + tvq.
Encore un gros merci Lison !
(Mais les frais de douanes, c'est tu ben cher ou si c'est des peanuts ?)
Frais de douane + tps + tvq.
Encore un gros merci Lison !
(Mais les frais de douanes, c'est tu ben cher ou si c'est des peanuts ?)
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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