Je n'avais pas très bien compris. Je croyais que tous ceux qui étaient nommés étaient officiellement dans la course. Ça ne semble pas le cas si Legendre est le premier à poser officiellement sa candidature.
Alors, j'imagine qu'il y en a qui vont s'éliminer d'eux même.
Choix d'un chef PQ Prise 3
Mon père vote Louis Bernard assuré, le reste de ma famille Péquiste vote Boiclair/Marois
J'ai aucune idée pour qui je voterais, je ne suis pas assez informé pour ça. J'ai bien hate de voir parcontre...et j'aimerais avoir plus le temps de m'informer
Vous etes interessant, continuer comme ça j'aime bien lire ce que vous pensez!!
J'ai aucune idée pour qui je voterais, je ne suis pas assez informé pour ça. J'ai bien hate de voir parcontre...et j'aimerais avoir plus le temps de m'informer
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Scoubidoux
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Louis Bernard est aussi dans mes choix.
Même si je trouverais ça déplacé de démisionner et de se représenter par la suite, Landry serait aussi dans mes choix malgré tout.
Marois a reçu des appuis de gens que j'estime alors, je vais y réfléchir un peu plus pour elle parce qu'au départ, elle n'était aucunement dans mes choix.
Et il y a Legendre aussi.
Mais tout ça n'est pas définitif, loin de là.
Présentement, il n'y a que Cormier qui est out pour moi. --Message edité par Scoubidoux le 2005-07-11 22:34:05--
Même si je trouverais ça déplacé de démisionner et de se représenter par la suite, Landry serait aussi dans mes choix malgré tout.
Marois a reçu des appuis de gens que j'estime alors, je vais y réfléchir un peu plus pour elle parce qu'au départ, elle n'était aucunement dans mes choix.
Et il y a Legendre aussi.
Mais tout ça n'est pas définitif, loin de là.
Présentement, il n'y a que Cormier qui est out pour moi. --Message edité par Scoubidoux le 2005-07-11 22:34:05--
Louis Bernard est réputé pour son intelligence, Bernard Landry aussi d'ailleurs.
Mais en politique pour être leader et rassembleur pas seulement à l'intérieur du parti mais vis-à-vis la population, il faut que la personne détienne du charisme. Pour moi Louis Bernard n'a pas cette qualité. Je sais qu'il y en a plusieurs qui ont beaucoup de respect pour cet homme mais il n'est pas très connu de la population, peut-être justement qu'il est très low-profile.
Je regarde la liste et j'ai beaucoup de difficulté à me brancher. Ça devrait venir bientôt.
Mais en politique pour être leader et rassembleur pas seulement à l'intérieur du parti mais vis-à-vis la population, il faut que la personne détienne du charisme. Pour moi Louis Bernard n'a pas cette qualité. Je sais qu'il y en a plusieurs qui ont beaucoup de respect pour cet homme mais il n'est pas très connu de la population, peut-être justement qu'il est très low-profile.
Je regarde la liste et j'ai beaucoup de difficulté à me brancher. Ça devrait venir bientôt.
Scoubidoux a écritJe n'avais pas très bien compris. Je croyais que tous ceux qui étaient nommés étaient officiellement dans la course. Ça ne semble pas le cas si Legendre est le premier à poser officiellement sa candidature.
Alors, j'imagine qu'il y en a qui vont s'éliminer d'eux même.
Ils vont possibleemnt tous réussir, à part pour Cormier que j'ai des doutes Legendre à réussis rapidement, car il a la meilleure équipe derrière lui
Alors, j'imagine qu'il y en a qui vont s'éliminer d'eux même.
Ils vont possibleemnt tous réussir, à part pour Cormier que j'ai des doutes Legendre à réussis rapidement, car il a la meilleure équipe derrière lui
plus j'y pense, plus j'espere que Boisclair va gagné, plus j'espere que landry va se présenté,
imaginé, le pont intergénérationel
Boisclair PM
Marois V-PM et, et Santé
Landry Finance
Louis Bernard Tresor
Legendre Sport et Culture
Gilbert Paquette, ressource Naturel
Rebello, Jeunesse
Harel, Imigration,
Legault, Développement durable et Environement
C Bouchard Emploi, solidarité sociale et famille
imaginé, J,ai pas nommé
Stéphane Bédard ++
Jocelyne Caron Condition féminine
Jean-Pierre Charbonneau + Constitution et souvraineté
Rita Dionne-Marsolais ++ Énergie
François Gendron +++ Agriculture, pêcheries et alimentation
Nicolas Girard
Normand Jutras ++ Justice
Elsie Lefebvre
Nicole Léger ++ presidente de l'assemblé
Diane Lemieux +++ leader du gouvernement et Travail
Agnès Maltais +++ Transports
Sylvain Simard +++ éducation
Luc Thériault + Whip en chef
Stéphan Tremblay ++
Daniel Turp +++ Affaires autochtones et développement du Nord québécois
Jonathan Valois
Louise Beaudoin Relations internationales
ca va etre une equipe du tonnere,
imaginé, le pont intergénérationel
Boisclair PM
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ca va etre une equipe du tonnere,
Les assemblées d'investiture d'Outremont et de Verchères sont convoquées
Montréal, le 5 juillet 2005 - À la demande des conseils exécutifs des circonscrïptions d'Outremont et de Verchères, le conseil exécutif national du Parti Québécois a décidé, lors de sa dernière rencontre, de tenir deux assemblées d'investiture. C'est à l'occasion de ces assemblées que les membres de ces circonscrïptions éliront les candidates ou candidats du Parti lors des élections partielles à venir.
Tous les membres en règle, domiciliés dans ces circonscrïptions, 30 jours avant la date de l'investiture, auront le droit de vote lors de l'assemblée d'investiture.
Les dates retenues sont :
Outremont : Le mercredi 24 août 2005 (Phillipe Andre Tessier ???)
Verchères : Le lundi 29 août 2005 (Bernard Landry ???)
Les heures et lieux de ces assemblées d'investiture seront communiqués ultérieurement. --Message edité par voyeur23 le 2005-07-11 23:54:11--
Montréal, le 5 juillet 2005 - À la demande des conseils exécutifs des circonscrïptions d'Outremont et de Verchères, le conseil exécutif national du Parti Québécois a décidé, lors de sa dernière rencontre, de tenir deux assemblées d'investiture. C'est à l'occasion de ces assemblées que les membres de ces circonscrïptions éliront les candidates ou candidats du Parti lors des élections partielles à venir.
Tous les membres en règle, domiciliés dans ces circonscrïptions, 30 jours avant la date de l'investiture, auront le droit de vote lors de l'assemblée d'investiture.
Les dates retenues sont :
Outremont : Le mercredi 24 août 2005 (Phillipe Andre Tessier ???)
Verchères : Le lundi 29 août 2005 (Bernard Landry ???)
Les heures et lieux de ces assemblées d'investiture seront communiqués ultérieurement. --Message edité par voyeur23 le 2005-07-11 23:54:11--
Raven a écritJe répète ce que j'ai dit hier, en fin de semaine dernière, la grosse rumeur qu'il y avait parmi les militants du PQ c'était une alliance Bernard/Boisclair. Boisclair a le charisme, alors que Bernard a les idées. Ce serait selon moi une excellente fusion
Ce serait une belle alliance. La jeunesse, si 39 ans est jeune et l'expérience. Deux fins renards. Oui, ça me plaît.
Ce serait une belle alliance. La jeunesse, si 39 ans est jeune et l'expérience. Deux fins renards. Oui, ça me plaît.
Voyeur23 a écritplus j'y pense, plus j'espere que Boisclair va gagné, plus j'espere que landry va se présenté,
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ca va etre une equipe du tonnere,
je ne vois pas tellement Landry après avoir été premier ministre, chef de l'opposition se contenter d'une place de vice, en plus de toute la bisbille pour le vote de confiance.......tout se voit en politique remarque mais à mon idée il ne se lancera pas dans la course maintenant avec autant de candidats possibles....
Pour Agnès, il faudrait qu'il manque de candidats dans la Capitale en bonjour pour qu'on la renomme ministre, elle est haït de tout le monde.....mais au transport.......ça lui irait comme un gant....
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ca va etre une equipe du tonnere,
je ne vois pas tellement Landry après avoir été premier ministre, chef de l'opposition se contenter d'une place de vice, en plus de toute la bisbille pour le vote de confiance.......tout se voit en politique remarque mais à mon idée il ne se lancera pas dans la course maintenant avec autant de candidats possibles....
Pour Agnès, il faudrait qu'il manque de candidats dans la Capitale en bonjour pour qu'on la renomme ministre, elle est haït de tout le monde.....mais au transport.......ça lui irait comme un gant....
Raven a écritJe répète ce que j'ai dit hier, en fin de semaine dernière, la grosse rumeur qu'il y avait parmi les militants du PQ c'était une alliance Bernard/Boisclair. Boisclair a le charisme, alors que Bernard a les idées. Ce serait selon moi une excellente fusion
Avec la façon que va se passer la votation pour l'élection du chef.....que signifie au juste ce genre d,alliance.....?.....je ne saisis pas trop
Avec la façon que va se passer la votation pour l'élection du chef.....que signifie au juste ce genre d,alliance.....?.....je ne saisis pas trop
tuberale a écrit
je ne vois pas tellement Landry après avoir été premier ministre, chef de l'opposition se contenter d'une place de vice, en plus de toute la bisbille pour le vote de confiance.......tout se voit en politique remarque mais à mon idée il ne se lancera pas dans la course maintenant avec autant de candidats possibles....
Pour Agnès, il faudrait qu'il manque de candidats dans la Capitale en bonjour pour qu'on la renomme ministre, elle est haït de tout le monde.....mais au transport.......ça lui irait comme un gant....
Rapelle toi de Claude Ryan et Joe Clark, qui on ete CHEF pour ensuite DEVENIR MINISTRE SOUS bOURASSA ET mOLRONEY
Pour maltais, elle est selon moi, ministrable, et comme malheureusement, on manque de femme de qualité (il y en a pas assez), il faut absolument lui trouvé un spot,
comme les transport demade un ministre, sans reproche et non vulnérable (grande possibilité de détournement de fond), a mon avis Maltais a toute les qualifications et le tempéramant necessaires,
je ne vois pas tellement Landry après avoir été premier ministre, chef de l'opposition se contenter d'une place de vice, en plus de toute la bisbille pour le vote de confiance.......tout se voit en politique remarque mais à mon idée il ne se lancera pas dans la course maintenant avec autant de candidats possibles....
Pour Agnès, il faudrait qu'il manque de candidats dans la Capitale en bonjour pour qu'on la renomme ministre, elle est haït de tout le monde.....mais au transport.......ça lui irait comme un gant....
Rapelle toi de Claude Ryan et Joe Clark, qui on ete CHEF pour ensuite DEVENIR MINISTRE SOUS bOURASSA ET mOLRONEY
Pour maltais, elle est selon moi, ministrable, et comme malheureusement, on manque de femme de qualité (il y en a pas assez), il faut absolument lui trouvé un spot,
comme les transport demade un ministre, sans reproche et non vulnérable (grande possibilité de détournement de fond), a mon avis Maltais a toute les qualifications et le tempéramant necessaires,
tuberale a écrit
Avec la façon que va se passer la votation pour l'élection du chef.....que signifie au juste ce genre d,alliance.....?.....je ne saisis pas trop
Se serait avant la date du vote. Un peu comme l'alliance Charboneau/Marois qu'il y a eu Si cette rumeur se réalise, il y a deux possibilités. Soit qu'ils fusionnent bientot dés le commencement, comme pour Charbonneau et Marois, afin de faire uniquement une campagne éfficace. Ou encore, les 2 font leurs campagnes amicalement, mais vers la fin, Bernard qui est maintenant plus connu annonce qu'il se ralli au camp Boisclair, et demande a ses supporters de le suivre, car dans un gouvernement Boisclair, ses idées auraient une place importante Peut-être que l'alliance Bernard/Boisclair ne va pas se réaliser, mais c'est clair qu'il va en avoir. Il y en a même parfois qui sont prévus avant même les mises en candidatures
Avec la façon que va se passer la votation pour l'élection du chef.....que signifie au juste ce genre d,alliance.....?.....je ne saisis pas trop
Se serait avant la date du vote. Un peu comme l'alliance Charboneau/Marois qu'il y a eu Si cette rumeur se réalise, il y a deux possibilités. Soit qu'ils fusionnent bientot dés le commencement, comme pour Charbonneau et Marois, afin de faire uniquement une campagne éfficace. Ou encore, les 2 font leurs campagnes amicalement, mais vers la fin, Bernard qui est maintenant plus connu annonce qu'il se ralli au camp Boisclair, et demande a ses supporters de le suivre, car dans un gouvernement Boisclair, ses idées auraient une place importante Peut-être que l'alliance Bernard/Boisclair ne va pas se réaliser, mais c'est clair qu'il va en avoir. Il y en a même parfois qui sont prévus avant même les mises en candidatures
Raven a écrit
Se serait avant la date du vote. Un peu comme l'alliance Charboneau/Marois qu'il y a eu Si cette rumeur se réalise, il y a deux possibilités. Soit qu'ils fusionnent bientot dés le commencement, comme pour Charbonneau et Marois, afin de faire uniquement une campagne éfficace. Ou encore, les 2 font leurs campagnes amicalement, mais vers la fin, Bernard qui est maintenant plus connu annonce qu'il se ralli au camp Boisclair, et demande a ses supporters de le suivre, car dans un gouvernement Boisclair, ses idées auraient une place importante Peut-être que l'alliance Bernard/Boisclair ne va pas se réaliser, mais c'est clair qu'il va en avoir. Il y en a même parfois qui sont prévus avant même les mises en candidatures
Ce qui reviendrait à dire qu'un gars comme Bernard se rendrait pas jusqu,au dépot des mille signatures?....parce qu,autrement il perd de sa crédibilité et il fait joyeusement perdre le temps à un paquet de bénévoles de ramasser les signatures et de croire en lui, non ?....je dis surtout ça en rapport avec le genre de votation qu'il va y avoir......parce que bien sûr autrement c,est de bonne gueurre, les candidats perdant au premier tour demandent à leurs supporteurs de se rallier à X mais là que ça se sache longtemps à l,avance qu'il va se rallier à Boisclair, bon ça sert à Boisclair OK ,mais pour la votation téléphonique de prendre les 2ième choix des membres qui n'ont pas voté pour ceux de tête, bien rien ne dit qu'ils vont voter Boisclair en deuxième choix.....un peu hasardeux comme calcul....
Se serait avant la date du vote. Un peu comme l'alliance Charboneau/Marois qu'il y a eu Si cette rumeur se réalise, il y a deux possibilités. Soit qu'ils fusionnent bientot dés le commencement, comme pour Charbonneau et Marois, afin de faire uniquement une campagne éfficace. Ou encore, les 2 font leurs campagnes amicalement, mais vers la fin, Bernard qui est maintenant plus connu annonce qu'il se ralli au camp Boisclair, et demande a ses supporters de le suivre, car dans un gouvernement Boisclair, ses idées auraient une place importante Peut-être que l'alliance Bernard/Boisclair ne va pas se réaliser, mais c'est clair qu'il va en avoir. Il y en a même parfois qui sont prévus avant même les mises en candidatures
Ce qui reviendrait à dire qu'un gars comme Bernard se rendrait pas jusqu,au dépot des mille signatures?....parce qu,autrement il perd de sa crédibilité et il fait joyeusement perdre le temps à un paquet de bénévoles de ramasser les signatures et de croire en lui, non ?....je dis surtout ça en rapport avec le genre de votation qu'il va y avoir......parce que bien sûr autrement c,est de bonne gueurre, les candidats perdant au premier tour demandent à leurs supporteurs de se rallier à X mais là que ça se sache longtemps à l,avance qu'il va se rallier à Boisclair, bon ça sert à Boisclair OK ,mais pour la votation téléphonique de prendre les 2ième choix des membres qui n'ont pas voté pour ceux de tête, bien rien ne dit qu'ils vont voter Boisclair en deuxième choix.....un peu hasardeux comme calcul....
Généralement, les candidats essaient de gagner le plus de gens possible, lorsqu'ils savent qu'ils ne seront pas élus (sondages internes), alors ils choisissent qui ils vont soutenir (s'allier à), celà ne fait que dire à ceux qui votaient pour lui que c'est son choix, mais ça n'oblige en rien un partisan à voter pour l'autre...
C'est juste un genre de "Tu as confiance en moi? Bien moi j'ai confiance en ce candidat, alors tu devrais donc voter pour"
C'est juste un genre de "Tu as confiance en moi? Bien moi j'ai confiance en ce candidat, alors tu devrais donc voter pour"
tuberale a écrit
Ce qui reviendrait à dire qu'un gars comme Bernard se rendrait pas jusqu,au dépot des mille signatures?....parce qu,autrement il perd de sa crédibilité et il fait joyeusement perdre le temps à un paquet de bénévoles de ramasser les signatures et de croire en lui, non ?....je dis surtout ça en rapport avec le genre de votation qu'il va y avoir......parce que bien sûr autrement c,est de bonne gueurre, les candidats perdant au premier tour demandent à leurs supporteurs de se rallier à X mais là que ça se sache longtemps à l,avance qu'il va se rallier à Boisclair, bon ça sert à Boisclair OK ,mais pour la votation téléphonique de prendre les 2ième choix des membres qui n'ont pas voté pour ceux de tête, bien rien ne dit qu'ils vont voter Boisclair en deuxième choix.....un peu hasardeux comme calcul....
Non si c'est la deuxième stratégie, ils vont sûrement récolter leurs 1000 signatures et faire campagne C'est seulement quelques jours avant la fin de la course souvent qu'ils annoncent qu'ils décident de se rallier à un autre candidat.
Pour prendre un exemple :
Toi et moi on se présente comme chef du PQ. Au mois d'octobre, tu es en pleine lutte très serrée avec Marois et Boisclair. Alors que moi je suis loin derrière, mais j'ai quand même une belle gang de fidèles. Ces fidèles aiment disons mon idée que le 25 mars, tout le monde doit s'habiller en brun. Comme je me rends compte que je n'ai pas de chances de gagner, alors que toi oui, on fait alliance. Je fais une conférence pour annoncer que je quitte la course, car je crois que Tuberal serait la meilleure Première Ministre. J'invite mes fidèles à voter pour toi, car tu as promis de garder certaines de mes idées, dont la mode du brun le 25 mars Donc en acceptant certaines de mes idées, tu récoltes la grande partie des personnes qui pensait voter pour moi. En échange, si tu es PM, tu vas me donner un ministère important Donc, on sort tout les 2 gagnants !
Pour ce qui est des alliances prévues depuis le départ. Disons qu'on partage tout les 2 des idées semblables et travaille dans le même camp. On peut décider que toi tu vas faire ta campagne normale du mieux que tu peux, alors que moi je vais cibler uniquement les jeunes. Je vais proposer des idées que les jeunes vont aimer, disons plus de bourses et ect. Quelques jours avant le vote, on organise une conférence tous les deux. J'annonce que je me retire pour joindre ton équipe, et que toi tu gardes plusieurs de mes idées concernant les jeunes. La plupart des jeunes vont donc suivre les idées et voter pour toi. Peut-être qu’un 3e complice peut avoir ciblé les syndicats, et un 4e une autre catégorie d'individus. On annonce tous qu'on trouve que tu es la meilleure et qu'on décide de joindre ton équipe. Mais en fait cela pouvait être prévu depuis le début Ainsi, tu récoltes plusieurs votes, et c'est notre équipe qui gagne ;)
Les personnes ne sont pas mêlés avec les 1er, 2e tours et ect, car je vais avoir annoncé ma retraite de la course avant le vote
Ce qui reviendrait à dire qu'un gars comme Bernard se rendrait pas jusqu,au dépot des mille signatures?....parce qu,autrement il perd de sa crédibilité et il fait joyeusement perdre le temps à un paquet de bénévoles de ramasser les signatures et de croire en lui, non ?....je dis surtout ça en rapport avec le genre de votation qu'il va y avoir......parce que bien sûr autrement c,est de bonne gueurre, les candidats perdant au premier tour demandent à leurs supporteurs de se rallier à X mais là que ça se sache longtemps à l,avance qu'il va se rallier à Boisclair, bon ça sert à Boisclair OK ,mais pour la votation téléphonique de prendre les 2ième choix des membres qui n'ont pas voté pour ceux de tête, bien rien ne dit qu'ils vont voter Boisclair en deuxième choix.....un peu hasardeux comme calcul....
Non si c'est la deuxième stratégie, ils vont sûrement récolter leurs 1000 signatures et faire campagne C'est seulement quelques jours avant la fin de la course souvent qu'ils annoncent qu'ils décident de se rallier à un autre candidat.
Pour prendre un exemple :
Toi et moi on se présente comme chef du PQ. Au mois d'octobre, tu es en pleine lutte très serrée avec Marois et Boisclair. Alors que moi je suis loin derrière, mais j'ai quand même une belle gang de fidèles. Ces fidèles aiment disons mon idée que le 25 mars, tout le monde doit s'habiller en brun. Comme je me rends compte que je n'ai pas de chances de gagner, alors que toi oui, on fait alliance. Je fais une conférence pour annoncer que je quitte la course, car je crois que Tuberal serait la meilleure Première Ministre. J'invite mes fidèles à voter pour toi, car tu as promis de garder certaines de mes idées, dont la mode du brun le 25 mars Donc en acceptant certaines de mes idées, tu récoltes la grande partie des personnes qui pensait voter pour moi. En échange, si tu es PM, tu vas me donner un ministère important Donc, on sort tout les 2 gagnants !
Pour ce qui est des alliances prévues depuis le départ. Disons qu'on partage tout les 2 des idées semblables et travaille dans le même camp. On peut décider que toi tu vas faire ta campagne normale du mieux que tu peux, alors que moi je vais cibler uniquement les jeunes. Je vais proposer des idées que les jeunes vont aimer, disons plus de bourses et ect. Quelques jours avant le vote, on organise une conférence tous les deux. J'annonce que je me retire pour joindre ton équipe, et que toi tu gardes plusieurs de mes idées concernant les jeunes. La plupart des jeunes vont donc suivre les idées et voter pour toi. Peut-être qu’un 3e complice peut avoir ciblé les syndicats, et un 4e une autre catégorie d'individus. On annonce tous qu'on trouve que tu es la meilleure et qu'on décide de joindre ton équipe. Mais en fait cela pouvait être prévu depuis le début Ainsi, tu récoltes plusieurs votes, et c'est notre équipe qui gagne ;)
Les personnes ne sont pas mêlés avec les 1er, 2e tours et ect, car je vais avoir annoncé ma retraite de la course avant le vote
QUEBEC (PC) - Les purs et durs du Parti Québécois pourraient avoir leur candidat à la direction du parti.
Le député de l'Assomption, Jean-Claude St-André, affirme qu'il songe sérieusement à se lancer dans la course à la succession de Bernard Landry.
M. St-André, qui dit faire l'objet de pression de la part de plusieurs militants, annoncera sa décision d'ici quelques jours.
Cinglant, le député affirme que la démarche référendaire adoptée par les délégués, lors du congrès national du 5 juin, conduira inévitablement à un échec.
Selon lui, de nombreux membres du parti ne peuvent se reconnaître dans les candidats actuels à la direction, qui se disent prêts à défendre le nouveau programme péquiste.
Lors du congrès national, M. St-André appuyait une démarche d'indépendance plus radicale, qui impliquait que, dès son élection, un gouvernement du Parti québécois pose des gestes de rupture avec le reste du Canada.
Avec d'autres délégués réunis autour du directeur de l'Action nationale, Robert Laplante, il prônait entre autres la création d'une Cour constitutionnelle nationale et d'une citoyenneté québécoise.
Le député de l'Assomption, Jean-Claude St-André, affirme qu'il songe sérieusement à se lancer dans la course à la succession de Bernard Landry.
M. St-André, qui dit faire l'objet de pression de la part de plusieurs militants, annoncera sa décision d'ici quelques jours.
Cinglant, le député affirme que la démarche référendaire adoptée par les délégués, lors du congrès national du 5 juin, conduira inévitablement à un échec.
Selon lui, de nombreux membres du parti ne peuvent se reconnaître dans les candidats actuels à la direction, qui se disent prêts à défendre le nouveau programme péquiste.
Lors du congrès national, M. St-André appuyait une démarche d'indépendance plus radicale, qui impliquait que, dès son élection, un gouvernement du Parti québécois pose des gestes de rupture avec le reste du Canada.
Avec d'autres délégués réunis autour du directeur de l'Action nationale, Robert Laplante, il prônait entre autres la création d'une Cour constitutionnelle nationale et d'une citoyenneté québécoise.
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quebeclibre
- Illustre Pie
- Messages : 254
- Inscription : ven. oct. 31, 2003 1:00 am
André Boisclair sonne définitivement le départ officiel de Bernard Landry !
Avec l'annonce en fin de semaine d'André Boisclair de son intention de ne pas se retirer de la présente course et demandant à M. Landry de ne pas revenir sur sa décision, André Boisclair par ce geste vient de mettre un couvercle sur la marmite à tout jamais dans la présente course. Il ne faut pas oublier qu'André Boiclair est le "dauphin" (héritier politique) de Landry. Landry aura donc commis (2) erreurs fatales dans les derniers mois, la première celui de se donner du temps après le vote, une réflexion quand à son avenir, le temps de vérifier ses appuis. Il aurait pu alors, décider de déclancher une course à la chefferie en se présentant et ansi couper l'herbe sous les pieds de son principal adversaire André Boisclair. Sa deuxième erreur aura été de trop attendre après avoir décider de démissionner. Ainsi, il a laissé toute la place aux autres candidats et à la députation du parti de se rallier pour les candidats déclarés. Imaginez que Landry se porte candidat, ses chances son pratiquement nules avec la présence de Boisclair. S'il le fait, il devrai au cours de la campagne, convaincre ce dernier, de se retirer et de lui laissai la place sinon il est vouer à un échec et dans les circonstances, Landry n'acceptera certainement pas de subir une défaite, affaiblissant ainsi son héritage politique. Et tous savent, que les politiens attachent beaucoup d'importance à cela. Dommage donc pour ce brillant homme politique de se retrouver devant cette situation dramatique. Il n'a qu'a lui à blamer, il en n'est l'unique responsble.
Avec l'annonce en fin de semaine d'André Boisclair de son intention de ne pas se retirer de la présente course et demandant à M. Landry de ne pas revenir sur sa décision, André Boisclair par ce geste vient de mettre un couvercle sur la marmite à tout jamais dans la présente course. Il ne faut pas oublier qu'André Boiclair est le "dauphin" (héritier politique) de Landry. Landry aura donc commis (2) erreurs fatales dans les derniers mois, la première celui de se donner du temps après le vote, une réflexion quand à son avenir, le temps de vérifier ses appuis. Il aurait pu alors, décider de déclancher une course à la chefferie en se présentant et ansi couper l'herbe sous les pieds de son principal adversaire André Boisclair. Sa deuxième erreur aura été de trop attendre après avoir décider de démissionner. Ainsi, il a laissé toute la place aux autres candidats et à la députation du parti de se rallier pour les candidats déclarés. Imaginez que Landry se porte candidat, ses chances son pratiquement nules avec la présence de Boisclair. S'il le fait, il devrai au cours de la campagne, convaincre ce dernier, de se retirer et de lui laissai la place sinon il est vouer à un échec et dans les circonstances, Landry n'acceptera certainement pas de subir une défaite, affaiblissant ainsi son héritage politique. Et tous savent, que les politiens attachent beaucoup d'importance à cela. Dommage donc pour ce brillant homme politique de se retrouver devant cette situation dramatique. Il n'a qu'a lui à blamer, il en n'est l'unique responsble.
vive le Québec libre
moi je suis pas capable de comprendre certain millitant comme Maria Mourani, qui en octobre demandait le départ de landry, et aujourd'hui implore son retour,
des fois..... je me demande.....qui quoi, comment.... bref quelle sont leurs véritables interets.
L,affaire claude morin, et l'affaire Germinal ( la GRC avait infiltré un groupe contre la mondalisation, et l'espion avait monté la tete des jeunes. le crac pot était le gars de la GRC) me rend beaucoup suspicieux.
bref a qui sert le crime, qui shouaites le plus le retour de landry, et pourquoi ????
des fois..... je me demande.....qui quoi, comment.... bref quelle sont leurs véritables interets.
L,affaire claude morin, et l'affaire Germinal ( la GRC avait infiltré un groupe contre la mondalisation, et l'espion avait monté la tete des jeunes. le crac pot était le gars de la GRC) me rend beaucoup suspicieux.
bref a qui sert le crime, qui shouaites le plus le retour de landry, et pourquoi ????
Plus qu'un chef au PQ
Guy Lachapelle
Professeur titulaire, département de science politique, université Concordia
Bruno Maltais
Chercheur, département de science politique, université Concordia
Édition du mardi 19 juillet 2005
Tous ceux et celles qui souhaitaient une réelle course à la chefferie du Parti québécois ne sont certainement pas déçus de voir le nombre de candidats et de candidates qui sont entrés dans la course depuis la démission de Bernard Landry. Tous les militants du Parti québécois espéraient et espèrent que cette course soit d'abord une belle occasion pour des débats fondamentaux au sein du parti. Entre la vieille garde, l'expérience, la différence, la jeunesse et même le chef sortant, il y a un mélange susceptible de faire émerger le meilleur des forces vives du PQ. Malheureusement, jusqu'à aujourd'hui, nous avons assisté surtout à une bataille de slogans, dans certains cas fort ternes, au point où nous souhaitons que certains candidats se désistent dès aujourd'hui. Nous ne sommes bien sûr qu'au début de cette campagne au leadership. Certaines équipes sont à peine constituées et d'autres candidats s'ajouteront. Mais il en faudra davantage pour que les Québécois soient prêts à aller de l'avant avec le Parti québécois.
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Dossier(s)
Politique québécoise
Alors que les aspirants travaillent sans relâche à multiplier leurs appuis, pourquoi les thèmes et discours ne réussissent-ils pas à animer les débats ? Plusieurs militants restent prudents alors que d'autres attendent de voir la décision de Bernard Landry de se succéder à lui-même. Reste que, pour le moment, les programmes des candidats sont plutôt ternes. Il y aura bien sûr à l'automne une série de débats qui viendront éclairer partisans et électeurs. Il faut espérer que cela relèvera le débat. En fait, l'impression générale est que le Parti québécois cherche davantage un rassembleur à l'image de René Lévesque qu'un chef ayant la capacité de gouverner le Québec et d'en faire un pays. Le double mandat du PQ de former un bon gouvernement tout en faisant la promotion de l'indépendance continue de diviser ses forces et d'entretenir certaines ambiguïtés que les candidats devront résoudre le plus tôt possible. Le rôle du prochain chef du PQ sera autant d'amener une équipe compétente à Québec que de se donner les outils pour mener à bien le prochain référendum sur la souveraineté du Québec. Il deviendra celui qui représentera le Québec sur l'échiquier international. Ses décisions stratégiques seront capitales pour la suite des choses.
S'il fallait être pédagogue pour faire comprendre aux Québécois l'option souverainiste dans les années 1970, aujourd'hui les militants du PQ n'ont plus à démontrer la légitimité de leur option. Lorsque l'on regarde la croissance des appuis des Québécoises et Québécois à la souveraineté depuis la création du Parti québécois en 1968, la progression est constante avec des soubresauts conjoncturels. Si les grands discours influencent les électeurs à court terme, la prise de conscience collective et l'éducation populaire ont une portée beaucoup plus pénétrante. Il est donc inutile de chercher un sauveur. La «bonne nouvelle» péquiste s'est répandue et s'alimente d'elle-même ! L'identité québécoise existe désormais de manière bien distincte; les fédéralistes québécois ne débattent même plus de cette question. Il reste donc à répondre aux différentes interrogations des citoyens qui veulent des réponses quant aux effets et conséquences dans leur vie quotidienne de la transition vers la souveraineté. Ils sont prêts à voter pour une équipe sérieuse qui leur démontrera clairement que les avantages sont supérieurs aux coûts.
Pour cela, il faudra que le chef du Parti québécois soit capable de faire progresser l'option souverainiste en misant sur la confiance et la lucidité de nos concitoyens. Un chef est certes important, mais une équipe forte ayant des objectifs communs demeure bien plus primordiale. C'est ce qui nous semble faire défaut actuellement dans cette campagne. Les candidats annoncés ne se sont toujours pas faits rassurants, visionnaires et pédagogues. Prendre les commandes d'un parti ayant le vent dans les voiles -- principalement parce que son principal opposant est en chute libre -- est bien attrayant pour un aspirant à la tête du PQ, mais la conjoncture actuelle a peu à voir avec les aspirations souverainistes. De toute façon, il serait dangereux de bâtir un pays prospère par opportunisme.
Le prochain chef du PQ devra faire en sorte que les questionnements qui émergent du débat sur la souveraineté trouvent des réponses claires. À ce titre, une équipe capable de vulgariser et faire comprendre les avantages de ce projet de société est la meilleure avenue. Au-delà des idéaux personnels ou de l'objectif ultime d'une carrière politique, il faudra que le chef du PQ soit patient et ait d'abord à coeur l'intérêt du Québec. Pour bâtir le pays, le Parti québécois a besoin de l'appui de l'ensemble de la population. Pour ce faire, il faut que tous les membres et les candidats à la direction du PQ soient capables de projeter le Québec dans l'avenir. Bernard Landry disait «la patrie avant le parti, et le parti avant l'homme». Reste à savoir si son successeur saura chausser ses souliers.
Guy Lachapelle
Professeur titulaire, département de science politique, université Concordia
Bruno Maltais
Chercheur, département de science politique, université Concordia
Édition du mardi 19 juillet 2005
Tous ceux et celles qui souhaitaient une réelle course à la chefferie du Parti québécois ne sont certainement pas déçus de voir le nombre de candidats et de candidates qui sont entrés dans la course depuis la démission de Bernard Landry. Tous les militants du Parti québécois espéraient et espèrent que cette course soit d'abord une belle occasion pour des débats fondamentaux au sein du parti. Entre la vieille garde, l'expérience, la différence, la jeunesse et même le chef sortant, il y a un mélange susceptible de faire émerger le meilleur des forces vives du PQ. Malheureusement, jusqu'à aujourd'hui, nous avons assisté surtout à une bataille de slogans, dans certains cas fort ternes, au point où nous souhaitons que certains candidats se désistent dès aujourd'hui. Nous ne sommes bien sûr qu'au début de cette campagne au leadership. Certaines équipes sont à peine constituées et d'autres candidats s'ajouteront. Mais il en faudra davantage pour que les Québécois soient prêts à aller de l'avant avec le Parti québécois.
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Dossier(s)
Politique québécoise
Alors que les aspirants travaillent sans relâche à multiplier leurs appuis, pourquoi les thèmes et discours ne réussissent-ils pas à animer les débats ? Plusieurs militants restent prudents alors que d'autres attendent de voir la décision de Bernard Landry de se succéder à lui-même. Reste que, pour le moment, les programmes des candidats sont plutôt ternes. Il y aura bien sûr à l'automne une série de débats qui viendront éclairer partisans et électeurs. Il faut espérer que cela relèvera le débat. En fait, l'impression générale est que le Parti québécois cherche davantage un rassembleur à l'image de René Lévesque qu'un chef ayant la capacité de gouverner le Québec et d'en faire un pays. Le double mandat du PQ de former un bon gouvernement tout en faisant la promotion de l'indépendance continue de diviser ses forces et d'entretenir certaines ambiguïtés que les candidats devront résoudre le plus tôt possible. Le rôle du prochain chef du PQ sera autant d'amener une équipe compétente à Québec que de se donner les outils pour mener à bien le prochain référendum sur la souveraineté du Québec. Il deviendra celui qui représentera le Québec sur l'échiquier international. Ses décisions stratégiques seront capitales pour la suite des choses.
S'il fallait être pédagogue pour faire comprendre aux Québécois l'option souverainiste dans les années 1970, aujourd'hui les militants du PQ n'ont plus à démontrer la légitimité de leur option. Lorsque l'on regarde la croissance des appuis des Québécoises et Québécois à la souveraineté depuis la création du Parti québécois en 1968, la progression est constante avec des soubresauts conjoncturels. Si les grands discours influencent les électeurs à court terme, la prise de conscience collective et l'éducation populaire ont une portée beaucoup plus pénétrante. Il est donc inutile de chercher un sauveur. La «bonne nouvelle» péquiste s'est répandue et s'alimente d'elle-même ! L'identité québécoise existe désormais de manière bien distincte; les fédéralistes québécois ne débattent même plus de cette question. Il reste donc à répondre aux différentes interrogations des citoyens qui veulent des réponses quant aux effets et conséquences dans leur vie quotidienne de la transition vers la souveraineté. Ils sont prêts à voter pour une équipe sérieuse qui leur démontrera clairement que les avantages sont supérieurs aux coûts.
Pour cela, il faudra que le chef du Parti québécois soit capable de faire progresser l'option souverainiste en misant sur la confiance et la lucidité de nos concitoyens. Un chef est certes important, mais une équipe forte ayant des objectifs communs demeure bien plus primordiale. C'est ce qui nous semble faire défaut actuellement dans cette campagne. Les candidats annoncés ne se sont toujours pas faits rassurants, visionnaires et pédagogues. Prendre les commandes d'un parti ayant le vent dans les voiles -- principalement parce que son principal opposant est en chute libre -- est bien attrayant pour un aspirant à la tête du PQ, mais la conjoncture actuelle a peu à voir avec les aspirations souverainistes. De toute façon, il serait dangereux de bâtir un pays prospère par opportunisme.
Le prochain chef du PQ devra faire en sorte que les questionnements qui émergent du débat sur la souveraineté trouvent des réponses claires. À ce titre, une équipe capable de vulgariser et faire comprendre les avantages de ce projet de société est la meilleure avenue. Au-delà des idéaux personnels ou de l'objectif ultime d'une carrière politique, il faudra que le chef du PQ soit patient et ait d'abord à coeur l'intérêt du Québec. Pour bâtir le pays, le Parti québécois a besoin de l'appui de l'ensemble de la population. Pour ce faire, il faut que tous les membres et les candidats à la direction du PQ soient capables de projeter le Québec dans l'avenir. Bernard Landry disait «la patrie avant le parti, et le parti avant l'homme». Reste à savoir si son successeur saura chausser ses souliers.