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Publié : mar. août 02, 2005 7:18 am
par Voyeur23
on devrai plus tot reglementé les magasine destiné au d'ado, et les émission d'ado (les video a musique plus), et les magasins de linge pour ado,
comme il y a déja une loi qui interdit les pub de jouet pour enfants durant les émission d'enfant
quelle besoin répond le string d'une fillette de 10 ans,
tant qu'a moi, la mode des gars ado, n'est pas meilleur
un sujet tres délicat, a l'époque du web,
une facon difficile, serai de trouver une facon de valoriser les ado, autre que l'habillement et que l'apartenence a un gang,
Publié : mar. août 02, 2005 8:14 am
par Beppo
J'ai écouté le psy Mailloux qui donnait une entrevue dans une station radiophonique concernant ce sujet. Pour une fois, je suis d'accord avec lui. On croirait assister à la réincarnation de Gilberte Côté-Mercier (béret blanc) par la position des jeunes libéraux. On se rappelle que la dame était la gardienne des bonnes moeurs au Québec dans les années 60, 70. C'est triste de penser que nous devons passer par une loi pour demander aux jeunes de se vêtir décemment. Les parents semblent avoir de la difficulté à mettre leur culotte devant les enfants mettons.

Publié : mar. août 02, 2005 8:17 am
par Ti-radis
Les parents ont de la misère, mais ne sont pas responsable de tout non plus. C'est comme l'oeuf ou la poule, de qui vient le problème de la société ou du parent ?
Publié : mar. août 02, 2005 8:36 am
par kummy
Les parents les mette leur culottes, mais souvent c'est le jeune qui n'en fait qu'à sa tête
T'as beau lui expliqué, il veut rien comprendre.....
J'ai un droit de regard(parfois) sur la tenue vestimentaire de ma fille pour l'école. Elle a assez de bon sens à savoir quoi porté de décent à l'école ou à la maison.
Moi, je vois pas l'utilité de porter un string ni ma fille, à quoi ça sert finalement??? Quel besoin ont les filles de 10-12 ans à porter ça, de toute façon certains string ne se voient même pas.... alors personne le sais ;)
La réaction de ma fille a été de dire que c'est pas le gouvernement qui va me dire comment m'habillée!!!!
Publié : mar. août 02, 2005 8:39 am
par tipet
Parfaitement d'accord avec Ti-Radis. C'est facile d'en mettre sur le dos des parents. Après tout, ce sont eux les personnes responsables de leurs enfants. Mais on fait quoi avec une jeune fille de 12-13 ans qui veut seulement ressembler à ses collègues féminines à l'école? On a beau lui expliquer en long et en large que ce genre d'habillement est inadéquat pour un établissement scolaire, que ça envoit un message damgereux et que c'est dégradant pour la femme, elle s'en sacre pas mal. Dans sa tête c'est plutôt: Si je m'habille pas comme ça, je suis pas comme les autres. Pas comme les autres=différente et malheureusement, différente=seule. Point.
Publié : mar. août 02, 2005 8:39 am
par orve
Glugibran a écritLes parents n'agissent pas toujours avec discernement. Quand une mère s'habille bedaine et anneau dans le nez, comment peut-elle exiger de sa fille qu'elle s'habille comme du monde!
Le plus simple, ce serait que les parents s'occupent de leurs enfants et forment une coalition dans chaque école pour empêcher les camisoles et les strings, et interdire les bracelets (concours de comportements inacceptables), et donner des cours de civisme et de politesse, mais je rêve en couleur!
Il faut faire attention aussi de ne pas tomber dans les préjugés, j'ai un percing et je ne crois pas qui faut juger de ma qualité parentale car j'ai un anneau dans face
je trouve spécials les débats au Québec ces temps ci, si c'est pas le port du hijab c'est le port du string qui est contesté. On dirait qu'on cherche un modèle unique et parfait. Et je ne pense pas que le gouvernement à d'affaire dans ma garde-robe, les écoles on déjà des règlementations sur les vêtements non mais les libéraux vont nous oubliger à mettre des chandails rouges si ça continue
Publié : mar. août 02, 2005 9:56 am
par Scoubidoux
kummy a écrit
La réaction de ma fille a été de dire que c'est pas le gouvernement qui va me dire comment m'habillée!!!!
Les jeunes sont contestataires de nature. Ils testent les limites. Si l'on repousse toujours les limites pour leur faire plaisir, il n'y a plus de boutte.
Je connais des parents qui imposent des limites que je trouve moi-même assez sévère parfois. Lorsque c'est bien fait et que le parent est là pour l'enfant quand c'est nécessaire, l'enfant ne devient pas un ennemi du parent. À la longue, il fini par s'assagir et à respecter les règles.
Publié : mar. août 02, 2005 10:00 am
par Scoubidoux
Beppo a écritJ'ai écouté le psy Mailloux qui donnait une entrevue dans une station radiophonique concernant ce sujet. Pour une fois, je suis d'accord avec lui. On croirait assister à la réincarnation de Gilberte Côté-Mercier (béret blanc) par la position des jeunes libéraux. On se rappelle que la dame était la gardienne des bonnes moeurs au Québec dans les années 60, 70. C'est triste de penser que nous devons passer par une loi pour demander aux jeunes de se vêtir décemment. Les parents semblent avoir de la difficulté à mettre leur culotte devant les enfants mettons.
Mailloux est un psychiatre qui se prend pour un psychologue sans en avoir les compétences. Il n'a aucune crédibilité à mes yeux et le fait de faire le comparatif avec Gilberte Côté-Mercier me prouve qu'il n'est là que pour la polémique et l'exagération.
Publié : mar. août 02, 2005 10:08 am
par Scoubidoux
Citation :orve a dit :
On dirait qu'on cherche un modèle unique et parfait.
Lorsqu'il y a sexualisation d'enfants, il y a un problème. Ce n'est pas question d'imposer un modèle unique à mon avis.
C'est vrai par contre que déjà plusieurs écoles ont leur code vestimentaire à faire respecter mais plusieurs font souvent face aux protestations des élèves quelque fois appuyé par des parents qui n'ont pas toujours de jugement et qui croient qu'il faut toujours être d'accord avec l'enfant et contre l'école (il y en a plus que l'on pense).
Peut-être qu'avec une loi gouvernementale s'appliquant à toutes les écoles, il serait plus facile pour ces écoles de gérer la chose?
Publié : mar. août 02, 2005 11:30 am
par orve
Scoubidoux a écrit
Lorsqu'il y a sexualisation d'enfants, il y a un problème. Ce n'est pas question d'imposer un modèle unique à mon avis.
C'est vrai par contre que déjà plusieurs écoles ont leur code vestimentaire à faire respecter mais plusieurs font souvent face aux protestations des élèves quelque fois appuyé par des parents qui n'ont pas toujours de jugement et qui croient qu'il faut toujours être d'accord avec l'enfant et contre l'école (il y en a plus que l'on pense).
Peut-être qu'avec une loi gouvernementale s'appliquant à toutes les écoles, il serait plus facile pour ces écoles de gérer la chose?
Les écoles font face aux protestations depuis toujours, j'étais au secondaire dans les années 80 et 90 et il avait déjà un code vestimentaire ; la mode était au jeans troué et notre idoles étaient Madona aujourd'hui c'est les chandail bedaine et Britney Spears. C'est pas pire pis c'est pas mieux, c'est pareille.
On vit dans une société qui devient très puriste. Il faut faire attention quand c'est rendu qu'une bonne partie de la société pense que le gouvernement devrait réglementer l'habillement des jeunes ??? Je comprend vraiment pas.... si j'étais une jeune aujourd'hui et que le gouvernement passerait une parreille loi... je serais totalement révolté.
Publié : mar. août 02, 2005 11:42 am
par Glugibran
Si tout les étudiants devaient porter un uniforme, personne ne monterait aux barricades, puisque ce serait la norme!
C'est bizarre : au primaire et au secondaire, les jeunes veulent absolument ressembler à tous les autres et rendus au cégep et à l'université, ils cherchent à être uniques (ce qui, d'après moi, est bien plus intéressant!).
Publié : mar. août 02, 2005 11:47 am
par Soleil47
Je ne suis pas d'accord à ce que ce soit le Gouvernement qui se mêle de cette affaire.
Je dirais plutôt que ca devrait revenir '' aux dirigeants des écoles et des parents''
Si la plupart des parents n'achetaient pas de ''strings'' ou ben autres vêtements assez provoquants, il ne serait plus question de faire comme la voisine...
Aujourd'hui, j'ai suivi sur la rue une fille âgée d'environ 35 ans, qui portait justement ''chandail à bédaine'' (bourrelets fournis) et une jupe '' assez courte - merci'' et quand je dis courte, c'était dans ''le très court''. Et en plus, cette fille n'avait pas le body pour porter ce genre de vêtements.
Je me disais: si cette fille a des filles, elle doit surement aimer que sa fille porte le ''string, chandail à bédaines et jupes ''ras le trou'' - si maman le porte, pourquoi la fille n'aurait-elle pas droit de le faire????
Sans tomber dans le style des années où le port vestimentaire était: chandail col roulé, jupe grise à plis aux genoux - il me semble qu'il serait bien si c'était une mesure dans le style acceptable pour tous.
Pour cela, il faudrait que tous y mettent un peu plus d'eau dans leur vin, autant les parents que les directeurs d'école; le gouvernement n'a carrément pas d'affaire dans ce genre d'affaires là.
Publié : mar. août 02, 2005 11:57 am
par Mimichouette
Je serais d'accord pour le retour de l'uniforme partout sa règlerait en partie bien des problème comme celui du taxage pis de la discrimination baser sur les vêtements. Mais pour en revenir au sujet j'ai lu sa y a pas longtemps je me suis dit que vous aimeriez peut-être.
Citation :Moi, je m’appelle Lolita…
Alexandra Géraci
Alice, 12 ans, se prépare pour aller à l’école. Elle enfile son petit top rose qui dévoile son nombril, passe son jeans pailleté sur un string bleu en dentelle et maquille ses lèvres avec du gloss à la fraise. Sur le chemin de l’école, elle croise un homme. Il la regarde avec attention, elle semble sortir d’un magazine! Alice en est consciente, elle travaille son look pour être belle mais, ce qu’elle ignore, c’est que cet homme qui la regarde a d’autres envies…
Cette image d’aujourd’hui joue comme un miroir avec la Lolita de Nabokov, livre mythique paru pour la première fois en France en 1955, très vite censuré, réédité en 1959 et remis à jour quarante années plus tard!
Admiration et trouble
«Elle allait avoir 13 ans le 1er janvier. Dans deux ans environ, elle allait cesser d’être une nymphette et devenir une 'jeune fille', et ensuite une 'étudiante' - l’horreur suprême. La Lolita dont les crêtes iliaques ne s’étaient pas encore épanouies, la Lolita que je pouvais toucher et sentir et entendre et voir aujourd’hui, la Lolita à la voix stridente, aux cheveux d’un brun ardent - avec leur frange et leurs ondulations sur les côtés et leurs boucles derrière - au cou brûlant et moite, et au vocabulaire vulgaire – 'dégueu', 'super', 'formid', 'cinglé', 'corniaud'. C’était cette Lolita, ma Lolita, que le pauvre Catulle (1) allait perdre à tout jamais.» (2) Le roman de Nabokov nous est narré sous la forme d’un journal, nous rentrons dans l’intimité d’un homme quadragénaire: Humbert Humbert, amoureux fou d’une fillette de 12 ans. Nous suivons cette histoire sans nous poser de questions de morale. Pourtant, tout dans cette passion génère quelque chose de malsain. Le personnage de Humbert nous séduit par sa façon d’être: il est cultivé et aime Lolita d’un amour sincère. Lolita, elle, est présentée comme une gamine vulgaire, qui joue beaucoup avec les sentiments de Humbert. Après la lecture de ce roman, nous n’éprouvons aucune animosité envers Humbert: au contraire, nous sommes émus et touchés par lui. Mais nous détestons Lolita pour sa manière d’agir envers cet homme! A aucun moment, nous ne remettons en question la personnalité de Humbert… L’écriture de Nabokov est subtile, fine, poétique, il nous emmène dans un univers de beauté et d’esthétique masquant la réalité sordide de cette histoire car H. H. est bien pédophile… En 1959, Maurice Nadeau, critique français fameux, est choqué par ce roman. Il s’étonne d'avoir pris tant de plaisir à sa lecture: «D’où vient pourtant que Lolita se lit allégrement et qu’on prend intérêt aux aventures qui nous sont contées?» Aujourd’hui encore, nous éprouvons, comme la plupart des lecteurs, à la fois admiration et trouble face à cette œuvre. Maurice Couturier, le préfacier, dit: «Cela soulève le problème, jamais vraiment résolu, du rapport entre l’éthique et l’esthétique…»
Banalisation!
Aujourd’hui, l’esthétique est plus présente que jamais. Dans une société où l’image fait partie intégrante de l’environnement quotidien, il est parfois difficile de garder un esprit critique! Nous sommes face à un phénomène de banalisation. Et le «phénomène Lolita» ne cesse de grandir, il est véritablement ancré dans notre société. Il peut paraître anodin, mais en y regardant de plus près, cette évolution pourrait être dangereuse. De nos jours, les petites filles ne veulent plus jouer à la poupée, elles veulent ressembler à leurs idoles: Lorie, Alizée, Priscilla, Britney Spears… Les Lolitas sont devenues la valeur sûre. Ces enfants-femmes sont visibles partout: à la télévision, dans les magazines, dans les films, dans les publicités. Elles connaissent tout de la mode et veulent être à la pointe. Le marché s’est emparé de ce juteux créneau, des chaînes de magasins mettent en vente des strings tailles xxs, des maquillages pour enfants ainsi que des vêtements qui ressemblent étrangement à ceux de Britney Spears ou autres Lolitas! A Dallas, il existe un salon de beauté destiné aux enfants, qui peuvent se faire bichonner pour 1200 dollars (soin du visage, manucure, pédicure, coiffure…): la plus jeune cliente n’a que 7 ans! Aux États-Unis, des mères inscrivent leurs filles de 7-8 ans dans des concours de miss, celles-ci ne vivent plus que dans un univers de compétition où il faut être la plus belle et gagner à tout prix! Ces petites filles ressemblent à des poupées Barbie trop maquillées, elles empruntent des gestes et des mots d’adultes. Ces fillettes désirent-elles vraiment cela ou est-ce plutôt le désir de la mère de voir sa petite fille gagner les concours? Au Japon, le phénomène a pris des proportions énormes: les dessins animés et les bandes dessinées y contribuent largement. La Lolita fait non seulement rêver les jeunes filles, mais elle fait aussi fantasmer les hommes. L’image de la jeune lycéenne à peine pubère, la petite culotte bien visible sous la jupette, remporte un énorme succès! Il y a là un véritable phénomène de mode, toutes les jeunes filles veulent ressembler à des Lolitas, le marché s’est emparé de cet engouement pour les lycéennes sexy. C'est devenu un cercle vicieux! Dans ces conditions, pas facile pour ces jeunes filles de garder un esprit critique. Peut-être y a-t-il là un rôle important à assumer par les parents et les éducateurs? Le problème du «phénomène Lolita» n’est donc pas à prendre à la légère car ces enfants-femmes qui provoquent inconsciemment un désir de nature sexuelle chez l’homme ont-elles la capacité d’assumer les conséquences de ce qu’elles provoquent?
Ces attitudes «provocatrices» sont souvent invoquées pour justifier des comportements pédophiles. Elles ne les excusent cependant en rien! Chacun est responsable de ses actes. Mais notre société est paradoxale: d’un côté, nous avons les problèmes liés à la pédophilie et de l’autre, nous sommes confrontés à tout un marché qui promotionne et vend des strings tailles xxs et des maquillages pour enfants!
Publié : mar. août 02, 2005 12:31 pm
par NetRoll
Faut pas mettre la faute sur les parents mais sur la société...
Ça me fait rire... Si une petite fille veut un chandail bedaine parce que les autres filles de sa classe en ont... c'est parce que les parents de ces autres enfants la laisse en porter...
Je ne comprend pas qui peut restreindre un enfant sinon le parent.
Pour ce qui est des vidéos et des émissions pour ados... Je sais pas, mais quand tu vois une fillette d'à peine 14 ans annoncer des crèmes anti-rides... il y a peu de chances que la moindre auto-discipline arrive de là.
Publié : mar. août 02, 2005 12:38 pm
par Beppo
Débat à TQS ce soir aux nouvelles de 22 heures :
Tenue vestimentaire des jeunes filles : manque de jugement des parents ou signe des temps ?
Je ne sais pas qui seront les participants au débat mais il ne me surprendrait pas d'y voir le doc Mailloux.
Publié : mar. août 02, 2005 12:40 pm
par Beppo
Scoubidoux a écrit
Mailloux est un psychiatre qui se prend pour un psychologue sans en avoir les compétences. Il n'a aucune crédibilité à mes yeux et le fait de faire le comparatif avec Gilberte Côté-Mercier me prouve qu'il n'est là que pour la polémique et l'exagération.
La formation de psychiâtre est plus poussée que le simple psychologue me semble.
Publié : mar. août 02, 2005 12:42 pm
par tuberale
Beppo a écritDébat à TQS ce soir aux nouvelles de 22 heures :
Tenue vestimentaire des jeunes filles : manque de jugement des parents ou signe des temps ?
Je ne sais pas qui seront les participants au débat mais il ne me surprendrait pas d'y voir le doc Mailloux.
Bon ça va être encore la faute de toutes mères....attendez-vous à vous faire "blaster" mesdames...il a de fines analyses quelquefois mais sa manie freudienne de tout ramener à la mère me fait suer grandement........des parents......il y a des hommes aussi là-dedans.
Publié : mar. août 02, 2005 12:48 pm
par Glugibran
tuberale a écrit
Bon ça va être encore la faute de toutes mères....attendez-vous à vous faire "blaster" mesdames...il a de fines analyses quelquefois mais sa manie freudienne de tout ramener à la mère me fait suer grandement........des parents......il y a des hommes aussi là-dedans.
C'est vrai qu'il en a contre le matriarchat des Québécoises qui selon lui seraient la cause de tous les maux de la société...s'il est invité, on peut s'attendre à ce qu'il « fesse fort » sur nous!
Publié : mar. août 02, 2005 12:54 pm
par tipet
Peut-être que si les jeunes filles aprennait la notion de respect de soi et des autres avant d'apprendre celle de se fondre dans la masse pour se valoriser, on en serait peut-être pas là...
Publié : mar. août 02, 2005 12:55 pm
par Ti-radis
NetRoll a écritFaut pas mettre la faute sur les parents mais sur la société...
Ça me fait rire... Si une petite fille veut un chandail bedaine parce que les autres filles de sa classe en ont... c'est parce que les parents de ces autres enfants la laisse en porter...
Je ne comprend pas qui peut restreindre un enfant sinon le parent.
qui n'a pas décidé d'en faire à sa tête lorsqu'il avait 13-14 ans ? qui n'a pas pasé outre les consignes de ses parents ? Qui a dit tout à ses parents ?
Il faut avoir des enfants de 13-14-15 ans (ou se rappeler de sa propre adolescence) pour comprendre le pouvoir de décider eux-même ou de t'affronter qu'ils possèdent. Ce sont des adultes en devenir avec toute la force de caractère qu'ils auront dans quelques années. En plus, ils achètent plusieurs vêtements eux-même avec leur argent, alors tu penses qu'ils consultent le parent ?
Ma fille de 14 ans est une leader, elle s'implique dans tout, fait du sport, relève tous les défis, s'exprime avec argumentation et logique, étudie dans un groupe performant, ne reçoit que des beaux compliments de ses professeurs pour son esprit d'entreprise... pis elle a du front tout le tour de la tête ! Les chandails montrent les nombrils, les tailles sont basses et les bretelles sont spaghettis, je m'obstine avec elle régulièrement, des fois je gagne des fois non, dans les autres maisons c,est pareil, pis on est pas des mauvais parents en manque de discipline... --Message edité par Ti-radis le 2005-08-02 18:56:52--