J'ai lu l'article de Foglia hier...hilarant le bonhomme...! Messemble de le voir écrire ses commentaires dans le Dôme...!
À quand la capture de Bush en effet...!
Saddam Hussein capturé...! (WE GOT HIM...!)
La fille aînée de Saddam pense que son père a été drogué
Lors d'une conversation téléphonique avec la chaîne de télévision Al-Arabiya, la fille aînée de Saddam Hussein a dénoncé les images de son père retransmises par les chaînes de télévision dans le monde. Raghad Hussein s'est dite convaincue que son père avait été drogué par l'armée américaine avant d'être arrêté. «Un lion reste un lion même en captivité» a-t-elle affirmé. Or, dans la vidéo montrée par les forces américaines, l'ex-président paraît calme et a le regard hagard.
«Où est la démocratie? Où est l'immunité dont bénéficie chaque chef d'État?» s'est-elle interrogée.
Raghad Hussein a également dit que, si son père devait être jugé, ses soeurs et elle voudraient qu'il soit traduit devant un tribunal international. Elle considère qu'il ne peut pas être jugé par le Conseil de gouvernement irakien, car celui-ci a été «mis en place par les occupants.»
Elle a précisé que sa famille allait engager un avocat pour tenter d'entrer en contact avec Saddam Hussein dont on ignore encore le lieu de détention.
Rappelons que Raghad et sa soeur Rana vivent actuellement en Jordanie, qui leur a accordé l'asile en juillet dernier.
Lors d'une conversation téléphonique avec la chaîne de télévision Al-Arabiya, la fille aînée de Saddam Hussein a dénoncé les images de son père retransmises par les chaînes de télévision dans le monde. Raghad Hussein s'est dite convaincue que son père avait été drogué par l'armée américaine avant d'être arrêté. «Un lion reste un lion même en captivité» a-t-elle affirmé. Or, dans la vidéo montrée par les forces américaines, l'ex-président paraît calme et a le regard hagard.
«Où est la démocratie? Où est l'immunité dont bénéficie chaque chef d'État?» s'est-elle interrogée.
Raghad Hussein a également dit que, si son père devait être jugé, ses soeurs et elle voudraient qu'il soit traduit devant un tribunal international. Elle considère qu'il ne peut pas être jugé par le Conseil de gouvernement irakien, car celui-ci a été «mis en place par les occupants.»
Elle a précisé que sa famille allait engager un avocat pour tenter d'entrer en contact avec Saddam Hussein dont on ignore encore le lieu de détention.
Rappelons que Raghad et sa soeur Rana vivent actuellement en Jordanie, qui leur a accordé l'asile en juillet dernier.
Bush souhaite la mort de Saddam
Agence France-Presse
Washington
Le président américain George W. Bush a estimé que Saddam Hussein méritait le «châtiment suprême», lors d'un d'entretien à la chaîne de télévision ABC diffusé mardi soir.
«Nous verrons quel châtiment il reçoit. Mais je pense qu'il mérite de recevoir le châtiment suprême. Pour ce qu'il a fait endurer à son peuple. C'est un tortionnaire. Un assassin. Ils avaient des chambres où l'on violait. C'est un tyran dégoûtant qui mérite la justice, la justice ultime», a déclaré M. Bush.
«Mais cela sera décidé, non par le président des États-Unis, mais par les citoyens irakiens, d'une manière ou d'une autre», a poursuivi M. Bush.
Lors d'une conférence de presse lundi, M. Bush avait refusé de répondre à une question lui demandant s'il pensait que Saddam Hussein devait être passible de la peine de mort.
«J'ai mes opinions personnelles sur la façon dont il (Saddam) doit être traité, mais je ne suis pas un citoyen irakien. Ce sont les Irakiens qui vont devoir décider», s'était-il borné à déclarer.
Arrêté samedi dernier par les troupes américaines, l'ex-dictateur irakien est actuellement interrogé par la CIA, les services de renseignement américains. Il était recherché par les Américains depuis la prise de Bagdad.
La Grande-Bretagne, pourtant un proche allié des États-Unis, a déjà fait valoir qu'elle s'opposait à l'application de la peine de mort à Saddam Hussein, et le secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan a exprimé le même point de vue.
Agence France-Presse
Washington
Le président américain George W. Bush a estimé que Saddam Hussein méritait le «châtiment suprême», lors d'un d'entretien à la chaîne de télévision ABC diffusé mardi soir.
«Nous verrons quel châtiment il reçoit. Mais je pense qu'il mérite de recevoir le châtiment suprême. Pour ce qu'il a fait endurer à son peuple. C'est un tortionnaire. Un assassin. Ils avaient des chambres où l'on violait. C'est un tyran dégoûtant qui mérite la justice, la justice ultime», a déclaré M. Bush.
«Mais cela sera décidé, non par le président des États-Unis, mais par les citoyens irakiens, d'une manière ou d'une autre», a poursuivi M. Bush.
Lors d'une conférence de presse lundi, M. Bush avait refusé de répondre à une question lui demandant s'il pensait que Saddam Hussein devait être passible de la peine de mort.
«J'ai mes opinions personnelles sur la façon dont il (Saddam) doit être traité, mais je ne suis pas un citoyen irakien. Ce sont les Irakiens qui vont devoir décider», s'était-il borné à déclarer.
Arrêté samedi dernier par les troupes américaines, l'ex-dictateur irakien est actuellement interrogé par la CIA, les services de renseignement américains. Il était recherché par les Américains depuis la prise de Bagdad.
La Grande-Bretagne, pourtant un proche allié des États-Unis, a déjà fait valoir qu'elle s'opposait à l'application de la peine de mort à Saddam Hussein, et le secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan a exprimé le même point de vue.
La cote de popularité de Bush augmente
Agence France-Presse
Washington
Le président américain George W. Bush a amélioré de six points sa cote de popularité après la capture de l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein, mais les Américains restent toujours sceptiques sur l'évolution de la situation en Irak, selon un sondage publié mardi.
Selon l'enquête menée par New York Times/CBS, le taux de satisfaction du président est passé de 52% avant la capture de l'ex-dictateur à 58% depuis l'annonce de son arrestation.
Mais les Américains restent divisés sur la manière d'interpréter la capture de Saddam Hussein: 86% estiment que cet événement ne changera pas la situation sur place en Irak. Seuls 24% estiment que l'arrestation de Saddam permettra de faire diminuer les attaques terroristes contre les troupes américaines en Irak. 52% des sondés estiment que les attaques se poursuivront.
La capture de Saddam a toutefois redonné le moral aux Américains et 49% des personnes interrogées pensent que l'Amérique est sur le bon chemin contre 39% qui avaient cette impression avant la capture de Saddam.
Le taux de satisfaction de Bush concernant sa manière de gérer la situation en Irak qui était passé sous le taux de 50% et avait atteint 45% avant l'arrestation de Saddam est passé à 59% après l'annonce de l'arrestation.
Saddam Hussein a été capturé le 13 décembre. Le sondage a été conduit les 14 et 15 décembre auprès de 635 personnes avec une marge d'erreur de plus ou moins quatre points.
Agence France-Presse
Washington
Le président américain George W. Bush a amélioré de six points sa cote de popularité après la capture de l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein, mais les Américains restent toujours sceptiques sur l'évolution de la situation en Irak, selon un sondage publié mardi.
Selon l'enquête menée par New York Times/CBS, le taux de satisfaction du président est passé de 52% avant la capture de l'ex-dictateur à 58% depuis l'annonce de son arrestation.
Mais les Américains restent divisés sur la manière d'interpréter la capture de Saddam Hussein: 86% estiment que cet événement ne changera pas la situation sur place en Irak. Seuls 24% estiment que l'arrestation de Saddam permettra de faire diminuer les attaques terroristes contre les troupes américaines en Irak. 52% des sondés estiment que les attaques se poursuivront.
La capture de Saddam a toutefois redonné le moral aux Américains et 49% des personnes interrogées pensent que l'Amérique est sur le bon chemin contre 39% qui avaient cette impression avant la capture de Saddam.
Le taux de satisfaction de Bush concernant sa manière de gérer la situation en Irak qui était passé sous le taux de 50% et avait atteint 45% avant l'arrestation de Saddam est passé à 59% après l'annonce de l'arrestation.
Saddam Hussein a été capturé le 13 décembre. Le sondage a été conduit les 14 et 15 décembre auprès de 635 personnes avec une marge d'erreur de plus ou moins quatre points.
Ben Laden capturé «d'ici la fin de l'année», selon l'armée américaine
Agence France-Presse
Kaboul
Le chef de l'organisation Al-Qaeda, Oussama ben Laden, sera capturé «d'ici la fin de l'année», a affirmé mercredi au cours d'une conférence de presse le porte-parole de l'armée américaine en Afghanistan, le colonel Bryan Hilferty.
Ousama ben Laden, le leader spirituel des talibans le mollah Mohammad Omar et l'ancien premier ministre et leader islamiste Gulbuddin Hekmatyar «représentent une menace pour le monde, ils doivent être neutralisés», a déclaré le colonel Hilferty.
«Nous croyons que nous les capturerons d'ici la fin de l'année», a-t-il affirmé, sans faire d'autres commentaires.
Ben Laden, «invité» en Afghanistan du régime fondamentaliste des talibans au pouvoir de 1996 à 2001, le mollah Omar et de nombreux autres responsables talibans ont échappé à l'intervention en Afghanistan de la coalition internationale dirigée par les États-Unis en octobre 2001.
Trois militaires américains ont été blessés lundi par l'explosion d'un engin piégé au passage de leur véhicule près d'Asadabad, capitale provinciale de la Kunar (nord-est de l'Afghanistan), a par ailleurs annoncé le porte-parole.
Mardi, au moins trois autres soldats US avaient été blessés au cours d'une embuscade dans la province de Paktika, dans le sud-est, près de la localité d'Orgun, selon un bilan de l'armée américaine.
Selon un porte-parole des talibans, le convoi militaire américain, qui comptait quatre véhicules, est tombé dans une embuscade tendue par des talibans dans le district de Dila (frontalier avec le Pakistan). Trois véhicules ont été détruits et leurs occupants tués, a affirmé à l'AFP ce porte-parole.
Aucun de ces bilans n'a pu être confirmé de source indépendante.
Agence France-Presse
Kaboul
Le chef de l'organisation Al-Qaeda, Oussama ben Laden, sera capturé «d'ici la fin de l'année», a affirmé mercredi au cours d'une conférence de presse le porte-parole de l'armée américaine en Afghanistan, le colonel Bryan Hilferty.
Ousama ben Laden, le leader spirituel des talibans le mollah Mohammad Omar et l'ancien premier ministre et leader islamiste Gulbuddin Hekmatyar «représentent une menace pour le monde, ils doivent être neutralisés», a déclaré le colonel Hilferty.
«Nous croyons que nous les capturerons d'ici la fin de l'année», a-t-il affirmé, sans faire d'autres commentaires.
Ben Laden, «invité» en Afghanistan du régime fondamentaliste des talibans au pouvoir de 1996 à 2001, le mollah Omar et de nombreux autres responsables talibans ont échappé à l'intervention en Afghanistan de la coalition internationale dirigée par les États-Unis en octobre 2001.
Trois militaires américains ont été blessés lundi par l'explosion d'un engin piégé au passage de leur véhicule près d'Asadabad, capitale provinciale de la Kunar (nord-est de l'Afghanistan), a par ailleurs annoncé le porte-parole.
Mardi, au moins trois autres soldats US avaient été blessés au cours d'une embuscade dans la province de Paktika, dans le sud-est, près de la localité d'Orgun, selon un bilan de l'armée américaine.
Selon un porte-parole des talibans, le convoi militaire américain, qui comptait quatre véhicules, est tombé dans une embuscade tendue par des talibans dans le district de Dila (frontalier avec le Pakistan). Trois véhicules ont été détruits et leurs occupants tués, a affirmé à l'AFP ce porte-parole.
Aucun de ces bilans n'a pu être confirmé de source indépendante.
Photo AFP
Me Jacques Vergès
Il défendra l'ex-président irakien
Vergès craint pour la vie de Saddam Hussein
Associated Press
Paris
Me Jacques Vergès a confirmé samedi qu'il assurerait la défense de Saddam Hussein, déclarant craindre qu'on ne «tue» l'ancien président irakien avant son procès.
«Ma crainte, ce n'est pas le procès. Ma crainte, c'est qu'on le tue auparavant, a affirmé l'avocat sur France Inter. Si Saddam pouvait parler, il dirait: ces armes de destruction dont vous me reprochez la possession m'ont été vendues par les pays qui occupent mon pays aujourd'hui».
«Le département du Commerce américain en septembre 1988 a eu l'autorisation de vendre des toxines du botulisme et de maladie du charbon à l'Irak. Et on lui reprochera, après lui avoir vendu ces produits, la possession de ces produits ?»,
a lancé Me Vergès.
«Ce procès n'est pas possible et c'est pour ça que je crains pour sa vie et c'est pour ça que dès maintenant je crie alerte».
À la question de savoir si le procès de Saddam Hussein aurait lieu rapidement, l'avocat français
a répondu: «comment voulez-vous que ce procès ait lieu rapidement, il n'y a pas d'État irakien.
Il n'y a pas de Constitution irakienne, il n'y a pas de gouvernement irakien issu d'élections démocratiques. Il n'y a pas d'autorité judiciaire dont les compétences soient définies par une Constitution».
Et d'ajouter: Saddam Hussein «n'est pas l'objet d'une inculpation (...). La procédure judiciaire n'a pas commencé. Nous ne savons pas quel tribunal se chargera de son cas».
Saddam Hussein devant le tribunal spécial irakien
Mise à jour le jeudi 1 juillet 2004 à 9 h 14
L'ancien dictateur irakien Saddam Hussein a comparu pendant une trentaine de minutes devant le Tribunal spécial irakien, à Bagdad, en compagnie de onze autres membres de l'ancien régime pour répondre à des accusations de crimes contre l'humanité, de génocide et de crimes de guerre. Parmi les accusés, notons la présence de l'ancien vice-premier ministre Tarek Aziz et du vice-président Taha Yassine Ramadan.
Saddam Hussein : « C'est George Bush le vrai criminel »
Du banc des accusés, Saddam Hussein a qualifié le tribunal de théâtre et déclaré que le vrai criminel était le président américain George Bush. L'audience n'a duré que 30 minutes. Au cours de sa comparution, Saddam Hussein aurait refusé de signer l'acte d'accusation. Le seul moment où il aurait réagi été pour défendre l'invasion du Koweït par son pays, au début des années 90. En tout, sept chefs d'accusations pèse contre lui.
L'homme fort irakien a été amené au tribunal sous haute sécurité dans un camion blindé serré de près par une escorte de soldats américains.
L'ex-dictateur risque la peine de mort
Saddam Hussein est poursuivi notamment pour la campagne menée contre les Kurdes d'Irak, pour l'invasion du Koweït, en 1990, et pour les crimes liés à la guerre contre l'Iran dans les années 80.
S'il est reconnu coupable, Saddam Hussein pourrait faire face à la peine de mort, rétablie tout récemment dans le pays. Les onze autres membres de l'ex-régime font face aux mêmes accusations et à la même sentence que leur ancien chef. Le tribunal spécial chargé de juger Saddam Hussein et ses acolytes est formé essentiellement de juges irakiens triés sur le volet par les Américains.
Plus de statut de prisonnier de guerre pour Saddam Hussein
Questionné sur les procédures, le ministre de la Justice, Malek Dohane al-Hassan, a indiqué que Saddam Hussein ne bénéficierait plus du statut de prisonnier de guerre qui lui a été accordé par les forces américaines après sa capture en décembre 2003, mais qu'il continuera cependant à être gardé par la Force multinationale.
Les autres hauts responsables du régime toujours en fuite seront jugés par contumace.
Mise à jour le jeudi 1 juillet 2004 à 9 h 14
L'ancien dictateur irakien Saddam Hussein a comparu pendant une trentaine de minutes devant le Tribunal spécial irakien, à Bagdad, en compagnie de onze autres membres de l'ancien régime pour répondre à des accusations de crimes contre l'humanité, de génocide et de crimes de guerre. Parmi les accusés, notons la présence de l'ancien vice-premier ministre Tarek Aziz et du vice-président Taha Yassine Ramadan.
Saddam Hussein : « C'est George Bush le vrai criminel »
Du banc des accusés, Saddam Hussein a qualifié le tribunal de théâtre et déclaré que le vrai criminel était le président américain George Bush. L'audience n'a duré que 30 minutes. Au cours de sa comparution, Saddam Hussein aurait refusé de signer l'acte d'accusation. Le seul moment où il aurait réagi été pour défendre l'invasion du Koweït par son pays, au début des années 90. En tout, sept chefs d'accusations pèse contre lui.
L'homme fort irakien a été amené au tribunal sous haute sécurité dans un camion blindé serré de près par une escorte de soldats américains.
L'ex-dictateur risque la peine de mort
Saddam Hussein est poursuivi notamment pour la campagne menée contre les Kurdes d'Irak, pour l'invasion du Koweït, en 1990, et pour les crimes liés à la guerre contre l'Iran dans les années 80.
S'il est reconnu coupable, Saddam Hussein pourrait faire face à la peine de mort, rétablie tout récemment dans le pays. Les onze autres membres de l'ex-régime font face aux mêmes accusations et à la même sentence que leur ancien chef. Le tribunal spécial chargé de juger Saddam Hussein et ses acolytes est formé essentiellement de juges irakiens triés sur le volet par les Américains.
Plus de statut de prisonnier de guerre pour Saddam Hussein
Questionné sur les procédures, le ministre de la Justice, Malek Dohane al-Hassan, a indiqué que Saddam Hussein ne bénéficierait plus du statut de prisonnier de guerre qui lui a été accordé par les forces américaines après sa capture en décembre 2003, mais qu'il continuera cependant à être gardé par la Force multinationale.
Les autres hauts responsables du régime toujours en fuite seront jugés par contumace.