Si l'Irak m'était conté... (1 an après les bombardements...!)
La guerre en Irak vue par les pays neutres
Face à cette guerre qui commence, la majorité des pays du Monde prend position. Pourtant d'autres, tel que la Suisse, préfèrent rester neutres - comme c'était déjà le cas lors de la première crise irakienne en 1990. Cette neutralité est un des trois principes de la tradition helvétique (les deux autres étant l'aide humanitaire et la solidarité). On peut se demander comment la Suisse affirme sa neutralité dans une crise majeure comme celle-ci. Nous verrons tout d'abord que leur neutralité est avant tout politique et militaire sur un plan officiel, et par la suite qu'elle ne concerne cependant pas les esprits. Enfin, nous citerons d'autres pays qui ne se positionnent pas par rapport au conflit.
La neutralité des Suisses implique deux conséquences majeures : tout d'abord, elle ne prend aucune part des interventions militaires et elle interdit le survol de son espace aérien à des fins militaires. Cependant, elle accepte que celui-ci soit utilisé pour des missions de paix et elle participe à des aides humanitaires - ex : la Croix Rouge a débloqué 1 million de FS pour l'aide humanitaire-. De plus, la Suisse a stoppé les exportations de matériels de guerre destinés aux opérations en cours. Selon les autorités Suisses, la guerre n'est pas fondée, en effet comme le dit l'inspecteur en désarmement Suisse : " Le désarmement en Irak a été effectué, il ne reste donc plus d'armes nucléaires et chimiques sur le territoire ". Ainsi, la Suisse montre une préférence vers une solution pacifique.
Mais la neutralité n'implique pas une neutralité des esprits.
En effet, de nombreuses manifestations d'étudiants contre l'intervention américaine montre l'hostilité de la population face à cette guerre. De plus, selon un sondage, 87,9% des personnes interrogées s'opposent à cette offensive américaine. Enfin, certains hommes politiques comme Patrice Mugny, député écologiste, condamnent sévèrement l'action américaine.
La Suisse n'a pas le monopole de la neutralité.
Certains pays restent encore indécis sur la position à prendre face à ce conflit tels que le Chili, le Pakistan, l'Angola, le Mexique, le Cameroun et la Guinée (informations relevées le 13 mars 2003). D'autres pays, siègant depuis des années à l'ONU, ne se prononcent pas face à la guerre. C'est le cas de l'Autriche et de la Finlande qui elle, est neutre depuis la seconde guerre mondiale.
En conclusion, on remarque que seule une minorité des pays du monde préfère rester neutre par rapport au conflit Irakien. Cette neutralité est avant tout politique et diplomatique, et est un facteur de cohésion nationale.Mais on ne peut pas dire que la Suisse soit totalement neutre. En effet, comme l'explique Jacques-Simon Eggly (conseiller natonal libéral), "La neutralité ne signifie pas l'indifférence, elle n'empêche pas de dire ce que l'on pense, elle n'empêche pas les gens de réagir". De plus, la Suisse craint une attaque bactériologique et elle interdit l'entrée de son territoire à Saddam Hussein et à ses proches.
Face à cette guerre qui commence, la majorité des pays du Monde prend position. Pourtant d'autres, tel que la Suisse, préfèrent rester neutres - comme c'était déjà le cas lors de la première crise irakienne en 1990. Cette neutralité est un des trois principes de la tradition helvétique (les deux autres étant l'aide humanitaire et la solidarité). On peut se demander comment la Suisse affirme sa neutralité dans une crise majeure comme celle-ci. Nous verrons tout d'abord que leur neutralité est avant tout politique et militaire sur un plan officiel, et par la suite qu'elle ne concerne cependant pas les esprits. Enfin, nous citerons d'autres pays qui ne se positionnent pas par rapport au conflit.
La neutralité des Suisses implique deux conséquences majeures : tout d'abord, elle ne prend aucune part des interventions militaires et elle interdit le survol de son espace aérien à des fins militaires. Cependant, elle accepte que celui-ci soit utilisé pour des missions de paix et elle participe à des aides humanitaires - ex : la Croix Rouge a débloqué 1 million de FS pour l'aide humanitaire-. De plus, la Suisse a stoppé les exportations de matériels de guerre destinés aux opérations en cours. Selon les autorités Suisses, la guerre n'est pas fondée, en effet comme le dit l'inspecteur en désarmement Suisse : " Le désarmement en Irak a été effectué, il ne reste donc plus d'armes nucléaires et chimiques sur le territoire ". Ainsi, la Suisse montre une préférence vers une solution pacifique.
Mais la neutralité n'implique pas une neutralité des esprits.
En effet, de nombreuses manifestations d'étudiants contre l'intervention américaine montre l'hostilité de la population face à cette guerre. De plus, selon un sondage, 87,9% des personnes interrogées s'opposent à cette offensive américaine. Enfin, certains hommes politiques comme Patrice Mugny, député écologiste, condamnent sévèrement l'action américaine.
La Suisse n'a pas le monopole de la neutralité.
Certains pays restent encore indécis sur la position à prendre face à ce conflit tels que le Chili, le Pakistan, l'Angola, le Mexique, le Cameroun et la Guinée (informations relevées le 13 mars 2003). D'autres pays, siègant depuis des années à l'ONU, ne se prononcent pas face à la guerre. C'est le cas de l'Autriche et de la Finlande qui elle, est neutre depuis la seconde guerre mondiale.
En conclusion, on remarque que seule une minorité des pays du monde préfère rester neutre par rapport au conflit Irakien. Cette neutralité est avant tout politique et diplomatique, et est un facteur de cohésion nationale.Mais on ne peut pas dire que la Suisse soit totalement neutre. En effet, comme l'explique Jacques-Simon Eggly (conseiller natonal libéral), "La neutralité ne signifie pas l'indifférence, elle n'empêche pas de dire ce que l'on pense, elle n'empêche pas les gens de réagir". De plus, la Suisse craint une attaque bactériologique et elle interdit l'entrée de son territoire à Saddam Hussein et à ses proches.
C'est dans les plus grandes noirceur que l`on peu admirer la splendeur des étoiles!
Interrogations autour des suicides de GI en Irak
Le général Ricardo Sanchez est suffisamment préoccupé pour avoir demandé au Pentagone l'envoi en Irak d'une équipe d'évaluation de la santé mentale.
Depuis le mois d'avril, au moins 17 GI se sont suicidés en Irak, selon l'armée américaine, mais ce chiffre est probablement en deçà de la réalité. Une enquête a été ouverte sur une trentaine de décès hors combats, dont certains pourraient bien être des suicides, selon une étude de l'agence Associated Press (AP).
Officiellement pour l'armée américaine, il n'y a encore rien d'alarmant. Mais le général Ricardo Sanchez, commandant des forces américaines en Irak, est suffisamment préoccupé pour avoir demandé au Pentagone l'envoi en Irak d'une équipe d'évaluation de la santé mentale afin de mieux prévenir les risques de suicide.
L'équipe est rentrée aux États-Unis il y a quinze jours et devrait formuler des recommandations dans plusieurs semaines, souligne la porte-parole de l'armée Martha Rudd. Selon les calculs de l'armée américaine, le taux de suicide des GI en Irak est d'environ 12 pour 100 000, soit moins que le taux de suicide des hommes dans la population civile aux États-Unis (17,5 pour 100 000). Mais cette comparaison est trompeuse.
Le taux pour les civils est établi sur un an alors que celui des GI en Irak ne porte que sur sept mois. En outre, les troupes n'ont pas encore passé les fêtes de fin d'année, une période où le risque de suicide est généralement considéré comme le plus élevé.
Autres facteurs à prendre en compte: les forces américaines en Irak incluent plusieurs milliers de femmes, qui présentent habituellement un taux de suicide inférieur, et des décès survenus hors combat qui n'ont pas encore été expliqués pourraient masquer en fait des morts volontaires.
Presque tous les suicides se sont produits après l'annonce par le président George W. Bush le 1er mai de la fin des combats majeurs en Irak. Selon une analyse de rapports militaires par l'AP, la liste des morts hors combats inclut 13 décès par arme à feu, deux par noyade et 13 autres dont les causes ne sont pas expliquées.
Martha Rudd souligne que les familles peuvent avoir des doutes lorsque l'armée leur apprend qu'un proche s'est suicidé. Pour éviter ces interrogations, les décès hors combats font l'objet d'enquêtes approfondies qui peuvent durer des mois, souligne-t-elle. Par égard pour la famille, «nous devons être absolument certains.»
Un soldat a vomi après avoir vu le corps mutilé d'un Irakien. Déclarant souffrir d'une crise d'angoisse, il a demandé un soutien psychologique. Il a finalement été renvoyé aux États-Unis où il est devenu le premier GI depuis la guerre du Vietnam à être accusé de lâcheté.
Michelle Kelley, une psychiatre qui étudie le stress dans la marine américaine, estime que l'armée doit être particulièrement attentive aux signes de stress et de dépression chez les soldats dans les semaines à venir.
Pour les civils comme les militaires, les fêtes de fin d'année peuvent être une période particulièrement difficile, dit-elle. Et il ne faut pas oublier qu'un soldat a toujours une arme à portée de main...
Les GI doivent être incités à demander une aide psychologique s'ils en éprouvent le besoin, souligne Mme Kelley, qui s'inquiète d'une affaire récente. Le soldat Georg-Andreas Pogany a commencé par vomir après avoir vu le corps mutilé d'un civil irakien trois jours après son arrivée en Irak. Déclarant souffrir d'une crise d'angoisse, il a demandé un soutien psychologique.
Il a finalement été renvoyé aux États-Unis où il est devenu le premier GI depuis la guerre du Vietnam à être accusé de lâcheté, une charge finalement réduite à une accusation de manquement au devoir. Cet exemple est l'illustration parfaite de ce qu'il faut éviter si l'on veut que les GI demandent de l'aide, souligne Mme Kelley.
David Shaffer, un psychiatre de l'université de Columbia et ancien consultant du département de la Défense, met en garde contre le fait de tirer des conclusions sur le nombre de suicides en Irak.
Les taux de suicide varient beaucoup avec le temps et en fonction de l'origine ethnique, religieuse et d'autres facteurs, explique-t-il. Une comparaison avec d'autres guerres n'est pas pertinente, selon lui, car la «population» étudiée est différente. Il souligne toutefois qu'il existe des preuves que ceux qui servent dans l'armée sur une longue période ont un taux de suicide plus élevé que celui des civils.
Le général Ricardo Sanchez est suffisamment préoccupé pour avoir demandé au Pentagone l'envoi en Irak d'une équipe d'évaluation de la santé mentale.
Depuis le mois d'avril, au moins 17 GI se sont suicidés en Irak, selon l'armée américaine, mais ce chiffre est probablement en deçà de la réalité. Une enquête a été ouverte sur une trentaine de décès hors combats, dont certains pourraient bien être des suicides, selon une étude de l'agence Associated Press (AP).
Officiellement pour l'armée américaine, il n'y a encore rien d'alarmant. Mais le général Ricardo Sanchez, commandant des forces américaines en Irak, est suffisamment préoccupé pour avoir demandé au Pentagone l'envoi en Irak d'une équipe d'évaluation de la santé mentale afin de mieux prévenir les risques de suicide.
L'équipe est rentrée aux États-Unis il y a quinze jours et devrait formuler des recommandations dans plusieurs semaines, souligne la porte-parole de l'armée Martha Rudd. Selon les calculs de l'armée américaine, le taux de suicide des GI en Irak est d'environ 12 pour 100 000, soit moins que le taux de suicide des hommes dans la population civile aux États-Unis (17,5 pour 100 000). Mais cette comparaison est trompeuse.
Le taux pour les civils est établi sur un an alors que celui des GI en Irak ne porte que sur sept mois. En outre, les troupes n'ont pas encore passé les fêtes de fin d'année, une période où le risque de suicide est généralement considéré comme le plus élevé.
Autres facteurs à prendre en compte: les forces américaines en Irak incluent plusieurs milliers de femmes, qui présentent habituellement un taux de suicide inférieur, et des décès survenus hors combat qui n'ont pas encore été expliqués pourraient masquer en fait des morts volontaires.
Presque tous les suicides se sont produits après l'annonce par le président George W. Bush le 1er mai de la fin des combats majeurs en Irak. Selon une analyse de rapports militaires par l'AP, la liste des morts hors combats inclut 13 décès par arme à feu, deux par noyade et 13 autres dont les causes ne sont pas expliquées.
Martha Rudd souligne que les familles peuvent avoir des doutes lorsque l'armée leur apprend qu'un proche s'est suicidé. Pour éviter ces interrogations, les décès hors combats font l'objet d'enquêtes approfondies qui peuvent durer des mois, souligne-t-elle. Par égard pour la famille, «nous devons être absolument certains.»
Un soldat a vomi après avoir vu le corps mutilé d'un Irakien. Déclarant souffrir d'une crise d'angoisse, il a demandé un soutien psychologique. Il a finalement été renvoyé aux États-Unis où il est devenu le premier GI depuis la guerre du Vietnam à être accusé de lâcheté.
Michelle Kelley, une psychiatre qui étudie le stress dans la marine américaine, estime que l'armée doit être particulièrement attentive aux signes de stress et de dépression chez les soldats dans les semaines à venir.
Pour les civils comme les militaires, les fêtes de fin d'année peuvent être une période particulièrement difficile, dit-elle. Et il ne faut pas oublier qu'un soldat a toujours une arme à portée de main...
Les GI doivent être incités à demander une aide psychologique s'ils en éprouvent le besoin, souligne Mme Kelley, qui s'inquiète d'une affaire récente. Le soldat Georg-Andreas Pogany a commencé par vomir après avoir vu le corps mutilé d'un civil irakien trois jours après son arrivée en Irak. Déclarant souffrir d'une crise d'angoisse, il a demandé un soutien psychologique.
Il a finalement été renvoyé aux États-Unis où il est devenu le premier GI depuis la guerre du Vietnam à être accusé de lâcheté, une charge finalement réduite à une accusation de manquement au devoir. Cet exemple est l'illustration parfaite de ce qu'il faut éviter si l'on veut que les GI demandent de l'aide, souligne Mme Kelley.
David Shaffer, un psychiatre de l'université de Columbia et ancien consultant du département de la Défense, met en garde contre le fait de tirer des conclusions sur le nombre de suicides en Irak.
Les taux de suicide varient beaucoup avec le temps et en fonction de l'origine ethnique, religieuse et d'autres facteurs, explique-t-il. Une comparaison avec d'autres guerres n'est pas pertinente, selon lui, car la «population» étudiée est différente. Il souligne toutefois qu'il existe des preuves que ceux qui servent dans l'armée sur une longue période ont un taux de suicide plus élevé que celui des civils.
[url=http://letempsdunepause.megabb.com/portal.htm][img]http://img.photobucket.com/albums/v221/lapause/Avatar/sign.gif[/img][/url]
Arrestation du numéro deux d'Al-Qaïda au Yémen
Les forces de sécurité yéménites ont arrêté Mohammed Hamdi Al-Ahdal, alias Abou Issam Al-Mekki, un militant islamiste considéré comme l'un des plus hauts responsables du réseau terroriste Al-Qaïda au pays.
Les autorités yéménites soupçonnent Mohammed Hamdi Al-Ahdal d'avoir planifié les attentats contre le pétrolier français Limburg en 2002 et contre le navire de guerre américain USS Cole en 2000. Ces attaques qui avaient fait respectivement 12 et 17 morts.
Al-Ahdal, qui figure sur la liste américaine des terroristes les plus recherchés, est aussi soupçonné d'être le cerveau de la tentative d'attentat contre un hôtel yéménite où logeaient des enquêteurs du FBI.
Âgé de 32 ans, Al-Ahdal était une des principales figures d'Al-Qaïda encore en liberté. En 1999, il a été arrêté et incarcéré pendant 14 mois en Arabie saoudite, avant d'être livré aux autorités yéménites. Il a également combattu en Bosnie, en Afghanistan et en Tchétchénie, où il a perdu une jambe.
...il me semble que c'est le 8e numéro 2 d'Al-Quaeda qui est arrêté depuis le 11 septembre...!!
Les forces de sécurité yéménites ont arrêté Mohammed Hamdi Al-Ahdal, alias Abou Issam Al-Mekki, un militant islamiste considéré comme l'un des plus hauts responsables du réseau terroriste Al-Qaïda au pays.
Les autorités yéménites soupçonnent Mohammed Hamdi Al-Ahdal d'avoir planifié les attentats contre le pétrolier français Limburg en 2002 et contre le navire de guerre américain USS Cole en 2000. Ces attaques qui avaient fait respectivement 12 et 17 morts.
Al-Ahdal, qui figure sur la liste américaine des terroristes les plus recherchés, est aussi soupçonné d'être le cerveau de la tentative d'attentat contre un hôtel yéménite où logeaient des enquêteurs du FBI.
Âgé de 32 ans, Al-Ahdal était une des principales figures d'Al-Qaïda encore en liberté. En 1999, il a été arrêté et incarcéré pendant 14 mois en Arabie saoudite, avant d'être livré aux autorités yéménites. Il a également combattu en Bosnie, en Afghanistan et en Tchétchénie, où il a perdu une jambe.
...il me semble que c'est le 8e numéro 2 d'Al-Quaeda qui est arrêté depuis le 11 septembre...!!
Citation :Slick27 a dit :
...il me semble que c'est le 8e numéro 2 d'Al-Quaeda qui est arrêté depuis le 11 septembre...!!
Peut-être qu'avec toutes les arrestations, les autres montent en grade...
(je participe comme je peux, même si c'est avec des niaiseries...)
...il me semble que c'est le 8e numéro 2 d'Al-Quaeda qui est arrêté depuis le 11 septembre...!!
Peut-être qu'avec toutes les arrestations, les autres montent en grade...
(je participe comme je peux, même si c'est avec des niaiseries...)
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
colargol a écrit
Peut-être qu'avec toutes les arrestations, les autres montent en grade...
(je participe comme je peux, même si c'est avec des niaiseries...)
...j'y avais pas pensé à celle-là...!! C'est comme pour les Hells...depuis que Mom est derrière les barreaux (il a eu une permission spéciale pour le party d'Halloween! ;) )...il y a un nouveau No.1 qui a pris sa place mais qui semble plus low profile par les temps qui courent...! Merci Colargol... --Message edité par slick27--
Peut-être qu'avec toutes les arrestations, les autres montent en grade...
(je participe comme je peux, même si c'est avec des niaiseries...)
...j'y avais pas pensé à celle-là...!! C'est comme pour les Hells...depuis que Mom est derrière les barreaux (il a eu une permission spéciale pour le party d'Halloween! ;) )...il y a un nouveau No.1 qui a pris sa place mais qui semble plus low profile par les temps qui courent...! Merci Colargol... --Message edité par slick27--
Irak
L'invasion américaine planifiée deux ans avant la guerre
Scott Linblaw
Associated Press
Carwford, Texas
L'ancien secrétaire américain au Trésor Paul O'Neill affirme que les États-Unis ont commencé à planifier l'invasion de l'Irak quelques jours avant l'entrée en fonction du président George W. Bush en janvier 2001, soit plus de deux ans avant le début de la guerre qui a conduit à la chute du régime de Saddam Hussein.
«Dès le début, il y avait la conviction que Saddam Hussein était mauvais et qu'il devait partir», affirme Paul O'Neill dans un entretien devant être diffusé dimanche sur CBS dans l'émission «60 Minutes».
La position officielle américaine sur l'Irak, depuis l'administration Clinton, est que les États-Unis cherchaient à renverser Saddam Hussein.
Mais Paul O'Neill, limogé par George W. Bush en décembre 2002, affirme avoir des doutes sur la nature, décrite comme préventive par Washington, de la guerre. «Pour moi, la notion de prévention, selon laquelle les États-Unis ont le droit unilatéral de faire tout ce qu'ils veulent, représente une nouveauté énorme», explique-t-il, selon des extraits de l'entretien.
Les États-Unis soupçonnaient le régime irakien d'avoir participé aux attentats du 11 septembre 2001, mais n'ont pas réussi à trouver les preuves de son implication. Certains responsables ont toutefois déclaré qu'ils avaient envisagé la possibilité que Bagdad ait pu entreprendre une action à une échelle encore plus large contre les États-Unis.
Le porte-parole de la Maison Blanche Scott McClellan n'a pas confirmé samedi les déclarations de l'ancien secrétaire au Trésor. Il a en revanche réaffirmé que Saddam Hussein «représentait une menace pour la paix et la stabilité avant le 11 septembre, et plus encore après».
L'administration Bush avait officiellement commencé à évoquer une intervention militaire contre l'Irak avant même le 11 septembre 2001. En juillet, après le tir d'un missile irakien sur un avion de surveillance américain, la conseillère nationale à la sécurité Condoleezza Rice avait fait savoir que le régime de Saddam Hussein était dans le collimateur de Washington.
«Saddam Hussein est dans le radar de l'administration», avait-elle déclaré à l'époque.
L'invasion américaine planifiée deux ans avant la guerre
Scott Linblaw
Associated Press
Carwford, Texas
L'ancien secrétaire américain au Trésor Paul O'Neill affirme que les États-Unis ont commencé à planifier l'invasion de l'Irak quelques jours avant l'entrée en fonction du président George W. Bush en janvier 2001, soit plus de deux ans avant le début de la guerre qui a conduit à la chute du régime de Saddam Hussein.
«Dès le début, il y avait la conviction que Saddam Hussein était mauvais et qu'il devait partir», affirme Paul O'Neill dans un entretien devant être diffusé dimanche sur CBS dans l'émission «60 Minutes».
La position officielle américaine sur l'Irak, depuis l'administration Clinton, est que les États-Unis cherchaient à renverser Saddam Hussein.
Mais Paul O'Neill, limogé par George W. Bush en décembre 2002, affirme avoir des doutes sur la nature, décrite comme préventive par Washington, de la guerre. «Pour moi, la notion de prévention, selon laquelle les États-Unis ont le droit unilatéral de faire tout ce qu'ils veulent, représente une nouveauté énorme», explique-t-il, selon des extraits de l'entretien.
Les États-Unis soupçonnaient le régime irakien d'avoir participé aux attentats du 11 septembre 2001, mais n'ont pas réussi à trouver les preuves de son implication. Certains responsables ont toutefois déclaré qu'ils avaient envisagé la possibilité que Bagdad ait pu entreprendre une action à une échelle encore plus large contre les États-Unis.
Le porte-parole de la Maison Blanche Scott McClellan n'a pas confirmé samedi les déclarations de l'ancien secrétaire au Trésor. Il a en revanche réaffirmé que Saddam Hussein «représentait une menace pour la paix et la stabilité avant le 11 septembre, et plus encore après».
L'administration Bush avait officiellement commencé à évoquer une intervention militaire contre l'Irak avant même le 11 septembre 2001. En juillet, après le tir d'un missile irakien sur un avion de surveillance américain, la conseillère nationale à la sécurité Condoleezza Rice avait fait savoir que le régime de Saddam Hussein était dans le collimateur de Washington.
«Saddam Hussein est dans le radar de l'administration», avait-elle déclaré à l'époque.
La Libye renonce à développer des ADM
La Libye a réaffirmé vendredi son engagement à respecter toutes les conventions sur l'élimination des armes de destruction massive (ADM), dont le protocole additionnel au Traité de non-prolifération nucléaire (TNP), et se déclare prête à recevoir toute mission d'inspection internationale.
De plus, elle a annoncé sa décision de se débarrasser de tous les équipements qui pourraient éventuellement conduire à la production de telles armes.
Selon un responsable américain, la Libye a, en outre, admis avoir coopéré avec la Corée du Nord pour mettre au point des missiles Scud.
En septembre, les États-Unis avaient accusé Tripoli de tenter de se procurer des ADM et avaient affirmé qu'ils «maintiendraient dans toute leur ampleur les sanctions bilatérales américaines». Tripoli et Washington n'entretiennent plus de relations diplomatiques depuis 1981.
Bush et Blair se félicitent
Le président américain George W. Bush et le premier ministre britannique Tony Blair se sont félicités de la décision de la Libye. Lors d'une allocution à la Maison-Blanche, M. Bush a affirmé que cette initiative allait contribuer à renforcer la sécurité des États-Unis et il a invité la Libye à s'engager totalement dans la guerre contre le terrorisme.
M. Bush a précisé que les discussions entre Tripoli, Washington et Londres sur le développement d'ADM par la Libye duraient depuis neuf mois et que la voie diplomatique avait permis de convaincre ce pays de mettre fin à ses ambitions dans ce domaine.
Selon le président américain, la décision de M. Kadhafi justifie l'approche retenue par Washington et Londres de convaincre les pays qui possèdent des programmes de développement d'armes de destruction massive d'y renoncer.
La Grande-Bretagne a par ailleurs annoncé vendredi qu'avant de signer un accord de renonciation à ses ADM, la Libye était sur le point de fabriquer une bombe atomique. Un responsable britannique a indiqué que les Libyens avaient montré à une équipe britannique travaillant avec eux «une quantité significative d'agents chimiques».
L'OTAN s'est également félicitée vendredi soir de l'annonce libyenne. «L'OTAN attache une grande importance à tous les efforts pour freiner la proliferation de ce type d'armes», a déclaré le porte-parole par intérim de l'OTAN, Jamie Shea, en saluant les efforts menés par les États-Unis et la Grande-Bretagne pour obtenir ce résultat de la Libye.
La Libye a réaffirmé vendredi son engagement à respecter toutes les conventions sur l'élimination des armes de destruction massive (ADM), dont le protocole additionnel au Traité de non-prolifération nucléaire (TNP), et se déclare prête à recevoir toute mission d'inspection internationale.
De plus, elle a annoncé sa décision de se débarrasser de tous les équipements qui pourraient éventuellement conduire à la production de telles armes.
Selon un responsable américain, la Libye a, en outre, admis avoir coopéré avec la Corée du Nord pour mettre au point des missiles Scud.
En septembre, les États-Unis avaient accusé Tripoli de tenter de se procurer des ADM et avaient affirmé qu'ils «maintiendraient dans toute leur ampleur les sanctions bilatérales américaines». Tripoli et Washington n'entretiennent plus de relations diplomatiques depuis 1981.
Bush et Blair se félicitent
Le président américain George W. Bush et le premier ministre britannique Tony Blair se sont félicités de la décision de la Libye. Lors d'une allocution à la Maison-Blanche, M. Bush a affirmé que cette initiative allait contribuer à renforcer la sécurité des États-Unis et il a invité la Libye à s'engager totalement dans la guerre contre le terrorisme.
M. Bush a précisé que les discussions entre Tripoli, Washington et Londres sur le développement d'ADM par la Libye duraient depuis neuf mois et que la voie diplomatique avait permis de convaincre ce pays de mettre fin à ses ambitions dans ce domaine.
Selon le président américain, la décision de M. Kadhafi justifie l'approche retenue par Washington et Londres de convaincre les pays qui possèdent des programmes de développement d'armes de destruction massive d'y renoncer.
La Grande-Bretagne a par ailleurs annoncé vendredi qu'avant de signer un accord de renonciation à ses ADM, la Libye était sur le point de fabriquer une bombe atomique. Un responsable britannique a indiqué que les Libyens avaient montré à une équipe britannique travaillant avec eux «une quantité significative d'agents chimiques».
L'OTAN s'est également félicitée vendredi soir de l'annonce libyenne. «L'OTAN attache une grande importance à tous les efforts pour freiner la proliferation de ce type d'armes», a déclaré le porte-parole par intérim de l'OTAN, Jamie Shea, en saluant les efforts menés par les États-Unis et la Grande-Bretagne pour obtenir ce résultat de la Libye.
Colin Powell l'admet
L'Irak ne possédait peut-être pas d'armes prohibées
Associated Press
Tbilissi, Géorgie
Au lendemain de la démission de David Kay, qui conduisait les recherches américaines pour trouver d'éventuelles armes de destruction massive en Irak, Colin Powell n'a pas exclu samedi la possibilité que le régime de Saddam Hussein n'ait pas détenu de telles armes.
La démission de David Kay, qui a récemment déclaré qu'il ne pensait pas que l'Irak d'avant-guerre ait possédé de grandes quantités d'armes chimiques ou bactériologiques, a été officiellement annoncée vendredi par la CIA, qui a nommé l'ancien inspecteur des Nations unies Charles Duelfer pour lui succéder.
Avant son arrivé en Géorgie où il devait assister dimanche à l'investiture du président-élu Mikhaïl Saakachvili, Colin Powell a été interrogé samedi sur les propos de David Kay. «La réponse à cette question, c'est que nous ne le savons pas encore», a répondu le secrétaire d'État américain aux journalistes.
Sans nier que Washington affirmait penser à l'époque que le régime de l'ex-président irakien Saddam Hussein possédaient des armes prohibées, le secrétaire d'État américain a expliqué que les États-Unis avaient surtout «des questions qui demandaient des réponses». «Qu'est ce que c'était?», a-t-il demandé. «Cent tonnes, 500 tonnes ou zéro tonnes? Était-ce tant de litres de bacille du charbon, dix fois ce montant, ou rien?».
Il y a près d'un an, le chef de la diplomatie américaine accusait l'Irak, dans un discours devant le Conseil de sécurité des Nations unies, de détenir les armes prohibées par l'ONU.
L'Irak ne possédait peut-être pas d'armes prohibées
Associated Press
Tbilissi, Géorgie
Au lendemain de la démission de David Kay, qui conduisait les recherches américaines pour trouver d'éventuelles armes de destruction massive en Irak, Colin Powell n'a pas exclu samedi la possibilité que le régime de Saddam Hussein n'ait pas détenu de telles armes.
La démission de David Kay, qui a récemment déclaré qu'il ne pensait pas que l'Irak d'avant-guerre ait possédé de grandes quantités d'armes chimiques ou bactériologiques, a été officiellement annoncée vendredi par la CIA, qui a nommé l'ancien inspecteur des Nations unies Charles Duelfer pour lui succéder.
Avant son arrivé en Géorgie où il devait assister dimanche à l'investiture du président-élu Mikhaïl Saakachvili, Colin Powell a été interrogé samedi sur les propos de David Kay. «La réponse à cette question, c'est que nous ne le savons pas encore», a répondu le secrétaire d'État américain aux journalistes.
Sans nier que Washington affirmait penser à l'époque que le régime de l'ex-président irakien Saddam Hussein possédaient des armes prohibées, le secrétaire d'État américain a expliqué que les États-Unis avaient surtout «des questions qui demandaient des réponses». «Qu'est ce que c'était?», a-t-il demandé. «Cent tonnes, 500 tonnes ou zéro tonnes? Était-ce tant de litres de bacille du charbon, dix fois ce montant, ou rien?».
Il y a près d'un an, le chef de la diplomatie américaine accusait l'Irak, dans un discours devant le Conseil de sécurité des Nations unies, de détenir les armes prohibées par l'ONU.
Le CIO lève sa suspension
L'Irak pourra participer aux Jeux d'Athènes
Agence France-Presse
Athènes
Le Comité international olympique (CIO) a décidé, vendredi, de lever la suspension touchant le Comité national olympique irakien (CNOI), ce qui permettra aux athlètes irakiens de participer aux Jeux olympiques d'Athènes, du 13 au 29 août, a annoncé un porte-parole du CIO, Giselle Davies.
«Le CIO a pris aujourd'hui (vendredi) cette décision formelle. Les athlètes irakiens pourront défiler au stade d'Athènes sous leur drapeau», a indiqué Davies lors d'une conférence de presse, quelques heures après l'ouverture d'une réunion du bureau exécutif du CIO à Athènes.
«C'est un très grand moment pour le peuple de l'Irak qui (...) retrouve sa place dans le mouvement olympique», s'est félicité Ahmad al-Hejjiva al-Samarrai, un exilé irakien, qui avait été élu en janvier nouveau président du CNOI. Il avait succédé au fils de Saddam Hussein, Oudaï, tué en juillet 2003 par l'armée américaine.
Le CNOI avait été suspendu le 17 mai 2003 par le CIO pour les «violations grossières des règles et principes d'éthique du CIO» par Oudaï Hussein, après la guerre menée dans le pays par les États-Unis et la Grande-Bretagne pour mettre fin au régime de Saddam Hussein.
L'Irak prévoit d'envoyer une vingtaine d'athlètes aux JO d'Athènes, avec le soutien financier de la coalition (USA-Angleterre...!? ), qui devrait l'aider à hauteur de 10 millions de dollars. (commentaire de Slick27: 10 millions pour 20 athlètes!? La délégation canadienne 10 fois plus élevé en reçoit-elle autant!? )
Le lever de la suspension du CNOI porte le nombre des comités nationaux olympiques qui participeront aux Jeux d'Athènes à 202, «un nombre record», selon le CIO. --Message edité par slick27 le 2004-02-28 11:26:22--
L'Irak pourra participer aux Jeux d'Athènes
Agence France-Presse
Athènes
Le Comité international olympique (CIO) a décidé, vendredi, de lever la suspension touchant le Comité national olympique irakien (CNOI), ce qui permettra aux athlètes irakiens de participer aux Jeux olympiques d'Athènes, du 13 au 29 août, a annoncé un porte-parole du CIO, Giselle Davies.
«Le CIO a pris aujourd'hui (vendredi) cette décision formelle. Les athlètes irakiens pourront défiler au stade d'Athènes sous leur drapeau», a indiqué Davies lors d'une conférence de presse, quelques heures après l'ouverture d'une réunion du bureau exécutif du CIO à Athènes.
«C'est un très grand moment pour le peuple de l'Irak qui (...) retrouve sa place dans le mouvement olympique», s'est félicité Ahmad al-Hejjiva al-Samarrai, un exilé irakien, qui avait été élu en janvier nouveau président du CNOI. Il avait succédé au fils de Saddam Hussein, Oudaï, tué en juillet 2003 par l'armée américaine.
Le CNOI avait été suspendu le 17 mai 2003 par le CIO pour les «violations grossières des règles et principes d'éthique du CIO» par Oudaï Hussein, après la guerre menée dans le pays par les États-Unis et la Grande-Bretagne pour mettre fin au régime de Saddam Hussein.
L'Irak prévoit d'envoyer une vingtaine d'athlètes aux JO d'Athènes, avec le soutien financier de la coalition (USA-Angleterre...!? ), qui devrait l'aider à hauteur de 10 millions de dollars. (commentaire de Slick27: 10 millions pour 20 athlètes!? La délégation canadienne 10 fois plus élevé en reçoit-elle autant!? )
Le lever de la suspension du CNOI porte le nombre des comités nationaux olympiques qui participeront aux Jeux d'Athènes à 202, «un nombre record», selon le CIO. --Message edité par slick27 le 2004-02-28 11:26:22--
Un an après le déclenchement de la guerre
Où sont les armes de Saddam?
Il y a un an, les États-Unis déclenchaient la guerre en Irak.
Aujourd'hui, Saddam Hussein est en prison, on cherche toujours son arsenal d'armes de destruction massive et les Américains sont empêtrés dans un immense bourbier.
Les attentats se poursuivent contre les intérêts américains et occidentaux.
De son côté, le président américain George W. Bush a renouvelé son engagement à lutter contre le terrorisme.
M. Bush a déclaré qu'il n'allait jamais plier devant la violence d'un petit nombre de terroristes.
http://www.src.ca/url.asp?/nouvelles/In ... n-an.shtml --Message edité par slick27 le 2004-03-20 06:59:49--
Où sont les armes de Saddam?
Il y a un an, les États-Unis déclenchaient la guerre en Irak.
Aujourd'hui, Saddam Hussein est en prison, on cherche toujours son arsenal d'armes de destruction massive et les Américains sont empêtrés dans un immense bourbier.
Les attentats se poursuivent contre les intérêts américains et occidentaux.
De son côté, le président américain George W. Bush a renouvelé son engagement à lutter contre le terrorisme.
M. Bush a déclaré qu'il n'allait jamais plier devant la violence d'un petit nombre de terroristes.
http://www.src.ca/url.asp?/nouvelles/In ... n-an.shtml --Message edité par slick27 le 2004-03-20 06:59:49--
Photo Reuters
L'IRAK, UN AN APRÈS
Bush poursuivra sa croisade
Agence France-Presse
Washington
«Nous ne plierons jamais devant la violence de quelques-uns», a déclaré le président des États-Unis, George W. Bush, lors d'une allocution à la Maison-Blanche à l'occasion du premier anniversaire du déclenchement de la guerre contre l'Irak.
M. Bush s'exprimait devant les ambassadeurs des pays qui soutiennent les États-Unis dans la lutte contre le terrorisme, notamment en Irak et en Afghanistan, à l'occasion du premier anniversaire de l'intervention militaire contre le régime de Saddam Hussein.
Évoquant les divergences avec plusieurs pays sur le lancement de la guerre contre l'Irak, notamment en Europe, M. Bush a estimé que ces différends «appartiennent au passé».
Après avoir évoqué les récents attentats meurtriers de Madrid, il a estimé que chaque attentat était «un test de la volonté» de cette coalition et que la réponse devait être «non seulement le chagrin mais la démonstration d'une plus grande résolution».
Selon M. Bush, qui a souligné la nécessité de la «plus grande détermination» pour riposter à un attentat, «le devoir de chaque gouvernement est de combattre et de détruire la menace du terrorisme».
«Aucune concession n'apaisera la haine des terroristes», a lancé le président américain devant plus de 80 ambassadeurs des pays considérés alliés par Washington et invités à la Maison-Blanche. Parmi eux figuraient notamment les ambassadeurs de France, d'Allemagne et de Russie, trois pays qui s'étaient opposés au lancement de la guerre contre Saddam Hussein.
Photo AP
Pour l'anniversaire de la guerre en Irak
Tony Blair éreinté par la presse
Agence France-Presse
Londres
Le premier ministre britannique Tony Blair a reçu une volée de bois vert samedi par une partie de la presse qui se montre très critique à l'occasion du premier anniversaire de la guerre en Irak.
D'autres journaux qui avaient soutenu la décision de M. Blair d'engager des troupes britanniques pour chasser l'ancien président Saddam Hussein du pouvoir se sont montrés beaucoup plus réservés.
Le plus intransigeant est l'Indépendent qui utilise toute sa une pour un éditorial au vitriol condamnant l'intervention de la coalition en Irak sous le titre: «Une année de guerre qui a rendu le monde plus dangereux».
Le conflit «n'aurait jamais dû éclater», selon le quotidien londonien.
«Même quand nous étions les plus pessimistes, nous avons sous-estimé la futilité du prétexte et la gravité des conséquences» de cette intervention, selon le journal qui qualifie la situation en Irak de «meilleur agent de recrutement du terrorisme».
Le tabloïd Daily Mirror, qui soutient généralement le gouvernement de Tony Blair, condamne les suites du conflit irakien.
«Pour le premier anniversaire, on aurait pu espérer avoir des dates pour les élections en Irak et pour le retrait des troupes britanniques», écrit-il dans son éditorial.
«On n'a ni l'une ni l'autre, et certainement aucun espoir de voir nos forces rentrer au pays dans un avenir proche», selon ce tabloïd.
«Si ça, c'est une victoire, alors c'en est une très dérisoire», écrit le journal.
Le Guardian remarque que la vie de beaucoup d'Irakiens s'est améliorée avec le départ de Saddam Hussein. Mais il ajoute que «de tels bénéfices ne doivent pas «justifier» l'invasion de l'Irak qui a été déclenchée si prématurément et en créant tant de dissensions par George Bush il y a un an».
«Ils n'ont pas rendu le monde plus sûr par rapport à une menace terroriste qui n'avait jamais beaucoup de lien avec le régime tyrannique de Saddam Hussein, dans un premier temps».
Le quotidien économique Financial Times fait lui aussi des commentaires mitigés sur le conflit en Irak et ses suites. La situation s'améliore lentement maintenant, mais seulement après une période de «chaos épouvantable et d'improvisation périlleuse» par les autorités américaines, à l'issue du conflit, selon ce journal.
Cependant, d'autres journaux tels le Daily Mail et le Daily Telegraph, qui ont soutenu la décision de M. Blair de participer à la guerre, évitent de s'étendre sur le sujet dans leurs colonnes.
M. Blair lui-même n'envisage pas de marquer cet anniversaire, a indiqué vendredi son porte-parole.
En revanche, des milliers d'opposants à la guerre en Irak devraient manifester samedi dans le centre de la capitale.
Selon Gorbatchev
La guerre en Irak, une «grave erreur»
Agence France-Presse
Mexico
L'ancien leader de l'Union Soviétique Mikhaïl Gorbatchev a estimé vendredi que la guerre en Irak constituait une «grave erreur» ayant accru les risques d'attentats terroristes.
L'invasion de l'Irak a été «une grave erreur qui a conduit à plus de terrorisme et non à la prévention de ce fléau», a-t-il déclaré dans une conférence à l'université Anahuac dans le banlieue de Mexico à l'occasion du premier anniversaire de l'intervention militaire en Irak, présentée par les États-Unis comme faisant partie de la guerre contre le terrorisme.
Cette guerre a eu des «conséquences sévères», a ajouté M. Gorbatchev, qui a présidé l'URSS de mars 1985 à sa dissolution en décembre 1991.
«Chaque jour nous voyons les conséquences de l'invasion erronée de l'Irak», a-t-il fait valoir devant une audience de quelque 5 000 personnes. «La démocratie ne peut être imposée par les tanks et les missiles, mais par le respect des autres peuples et de la loi internationale», a-t-il souligné.
«Personne ne doute de la puissance économique, militaire et démocratique des États-Unis, a encore relevé M. Gorbatchev. Nous reconnaissons cela et le fait que (Washington) peut être un leader mondial. Mais nous ne croyons pas à un leadership par la domination».
«Il n'y a d'autre chemin, a-t-il enfin déclaré, qu'à travers le respect de la loi internationale et la coopération. Toute autre chose représenterait un grand danger pour le reste du monde».
La guerre en Irak, une «grave erreur»
Agence France-Presse
Mexico
L'ancien leader de l'Union Soviétique Mikhaïl Gorbatchev a estimé vendredi que la guerre en Irak constituait une «grave erreur» ayant accru les risques d'attentats terroristes.
L'invasion de l'Irak a été «une grave erreur qui a conduit à plus de terrorisme et non à la prévention de ce fléau», a-t-il déclaré dans une conférence à l'université Anahuac dans le banlieue de Mexico à l'occasion du premier anniversaire de l'intervention militaire en Irak, présentée par les États-Unis comme faisant partie de la guerre contre le terrorisme.
Cette guerre a eu des «conséquences sévères», a ajouté M. Gorbatchev, qui a présidé l'URSS de mars 1985 à sa dissolution en décembre 1991.
«Chaque jour nous voyons les conséquences de l'invasion erronée de l'Irak», a-t-il fait valoir devant une audience de quelque 5 000 personnes. «La démocratie ne peut être imposée par les tanks et les missiles, mais par le respect des autres peuples et de la loi internationale», a-t-il souligné.
«Personne ne doute de la puissance économique, militaire et démocratique des États-Unis, a encore relevé M. Gorbatchev. Nous reconnaissons cela et le fait que (Washington) peut être un leader mondial. Mais nous ne croyons pas à un leadership par la domination».
«Il n'y a d'autre chemin, a-t-il enfin déclaré, qu'à travers le respect de la loi internationale et la coopération. Toute autre chose représenterait un grand danger pour le reste du monde».
Slick27 a écritSelon Gorbatchev
La guerre en Irak, une «grave erreur»
Agence France-Presse
Mexico
L'ancien leader de l'Union Soviétique Mikhaïl Gorbatchev a estimé vendredi que la guerre en Irak constituait une «grave erreur» ayant accru les risques d'attentats terroristes.
L'invasion de l'Irak a été «une grave erreur qui a conduit à plus de terrorisme et non à la prévention de ce fléau», a-t-il déclaré dans une conférence à l'université Anahuac dans le banlieue de Mexico à l'occasion du premier anniversaire de l'intervention militaire en Irak, présentée par les États-Unis comme faisant partie de la guerre contre le terrorisme.
Cette guerre a eu des «conséquences sévères», a ajouté M. Gorbatchev, qui a présidé l'URSS de mars 1985 à sa dissolution en décembre 1991.
«Chaque jour nous voyons les conséquences de l'invasion erronée de l'Irak», a-t-il fait valoir devant une audience de quelque 5 000 personnes. «La démocratie ne peut être imposée par les tanks et les missiles, mais par le respect des autres peuples et de la loi internationale», a-t-il souligné.
«Personne ne doute de la puissance économique, militaire et démocratique des États-Unis, a encore relevé M. Gorbatchev. Nous reconnaissons cela et le fait que (Washington) peut être un leader mondial. Mais nous ne croyons pas à un leadership par la domination».
«Il n'y a d'autre chemin, a-t-il enfin déclaré, qu'à travers le respect de la loi internationale et la coopération. Toute autre chose représenterait un grand danger pour le reste du monde».
C'est ça que je pense moi aussi. Que Bush, avec son entêtement, ne fera qu'aggraver le terrorisme Yé pas capable de regarder ce conflit sous un autre angle... Il ne s'aperçoit pas qu'il donne des coups d'épée dans l'eau? Trop orgueilleux, certain de sa suprématie? Ça ne se remet jamais en question du monde comme lui?
La guerre en Irak, une «grave erreur»
Agence France-Presse
Mexico
L'ancien leader de l'Union Soviétique Mikhaïl Gorbatchev a estimé vendredi que la guerre en Irak constituait une «grave erreur» ayant accru les risques d'attentats terroristes.
L'invasion de l'Irak a été «une grave erreur qui a conduit à plus de terrorisme et non à la prévention de ce fléau», a-t-il déclaré dans une conférence à l'université Anahuac dans le banlieue de Mexico à l'occasion du premier anniversaire de l'intervention militaire en Irak, présentée par les États-Unis comme faisant partie de la guerre contre le terrorisme.
Cette guerre a eu des «conséquences sévères», a ajouté M. Gorbatchev, qui a présidé l'URSS de mars 1985 à sa dissolution en décembre 1991.
«Chaque jour nous voyons les conséquences de l'invasion erronée de l'Irak», a-t-il fait valoir devant une audience de quelque 5 000 personnes. «La démocratie ne peut être imposée par les tanks et les missiles, mais par le respect des autres peuples et de la loi internationale», a-t-il souligné.
«Personne ne doute de la puissance économique, militaire et démocratique des États-Unis, a encore relevé M. Gorbatchev. Nous reconnaissons cela et le fait que (Washington) peut être un leader mondial. Mais nous ne croyons pas à un leadership par la domination».
«Il n'y a d'autre chemin, a-t-il enfin déclaré, qu'à travers le respect de la loi internationale et la coopération. Toute autre chose représenterait un grand danger pour le reste du monde».
C'est ça que je pense moi aussi. Que Bush, avec son entêtement, ne fera qu'aggraver le terrorisme Yé pas capable de regarder ce conflit sous un autre angle... Il ne s'aperçoit pas qu'il donne des coups d'épée dans l'eau? Trop orgueilleux, certain de sa suprématie? Ça ne se remet jamais en question du monde comme lui?
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jaskab a écrit
C'est ça que je pense moi aussi. Que Bush, avec son entêtement, ne fera qu'aggraver le terrorisme Yé pas capable de regarder ce conflit sous un autre angle... Il ne s'aperçoit pas qu'il donne des coups d'épée dans l'eau? Trop orgueilleux, certain de sa suprématie? Ça ne se remet jamais en question du monde comme lui?
...le "maintien" du terrorisme dans le monde permet à Bush de garder son peuple dans une constante "peur" et se donner des munitions pour continuer "sa guerre contre le terrorisme"...ça demeure un cheval de bataille pour lui dans sa campagne électoral. Il met l'accent sur son leadership et tente de démontrer que lui seul pourra sauver les USA de tout ce marasme depuis le 11 septembre...j'aimerais bien croire qu'il court à sa perte avec tout ça... Les britanniques semblent avoir allumés cependant...
À quand un réveil semblable chez nos voisins du sud...
C'est ça que je pense moi aussi. Que Bush, avec son entêtement, ne fera qu'aggraver le terrorisme Yé pas capable de regarder ce conflit sous un autre angle... Il ne s'aperçoit pas qu'il donne des coups d'épée dans l'eau? Trop orgueilleux, certain de sa suprématie? Ça ne se remet jamais en question du monde comme lui?
...le "maintien" du terrorisme dans le monde permet à Bush de garder son peuple dans une constante "peur" et se donner des munitions pour continuer "sa guerre contre le terrorisme"...ça demeure un cheval de bataille pour lui dans sa campagne électoral. Il met l'accent sur son leadership et tente de démontrer que lui seul pourra sauver les USA de tout ce marasme depuis le 11 septembre...j'aimerais bien croire qu'il court à sa perte avec tout ça... Les britanniques semblent avoir allumés cependant...
À quand un réveil semblable chez nos voisins du sud...
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- Inscription : lun. mars 22, 2004 1:00 am
Salut tout le monde.
En '97 il y à eu la première guerre en Irak et en 2003 la second.
J'y était,dans les 2.
Les articles si-hauts sont itérressant mais ils ne peuvent démontré tout l'horreur que jai pu voir.
jaskab à raison.Avec l'entêtement de Bush ne feras qu'agrandire le monde du terrorisme et de plus le président américain voulait avant tout prendre l'or noir de l'Irak,comme le voulait autre fois son père.Il n'a jamais voulu arangé les choses.
En '97 il y à eu la première guerre en Irak et en 2003 la second.
J'y était,dans les 2.
Les articles si-hauts sont itérressant mais ils ne peuvent démontré tout l'horreur que jai pu voir.
jaskab à raison.Avec l'entêtement de Bush ne feras qu'agrandire le monde du terrorisme et de plus le président américain voulait avant tout prendre l'or noir de l'Irak,comme le voulait autre fois son père.Il n'a jamais voulu arangé les choses.
hook snake a écritSalut tout le monde.
En '97 il y à eu la première guerre en Irak et en 2003 la second.
J'y était,dans les 2.
Les articles si-hauts sont itérressant mais ils ne peuvent démontré tout l'horreur que jai pu voir.
jaskab à raison.Avec l'entêtement de Bush ne feras qu'agrandire le monde du terrorisme et de plus le président américain voulait avant tout prendre l'or noir de l'Irak,comme le voulait autre fois son père.Il n'a jamais voulu arangé les choses.
Binevenue parmi nous...la première guerre a eu lieu en 91 non...! (tousse) ;)
En '97 il y à eu la première guerre en Irak et en 2003 la second.
J'y était,dans les 2.
Les articles si-hauts sont itérressant mais ils ne peuvent démontré tout l'horreur que jai pu voir.
jaskab à raison.Avec l'entêtement de Bush ne feras qu'agrandire le monde du terrorisme et de plus le président américain voulait avant tout prendre l'or noir de l'Irak,comme le voulait autre fois son père.Il n'a jamais voulu arangé les choses.
Binevenue parmi nous...la première guerre a eu lieu en 91 non...! (tousse) ;)