À la Une: Dérapage syndicale...!
jaskab a écrit
Il est beau ton avatar, Fourmi, et de loin un des plus original (selon mes goûts). Où l'as-tu trouvé?
Scrapons, scrapons topic
Pour le père, pour le père
Scrapons, scrapons topic
Pour le père Slick27 --Message edité par jaskab--
Ahhhhhhhhh! C'est un secret!!!! Je suis contente que tu l'aimes! Ça m'a pris du temps à le trouver!
J'en étais rendue à chercher des images de tourtières!
Je me demande ce qu'en aurait pensé mon syndicat...
Il est beau ton avatar, Fourmi, et de loin un des plus original (selon mes goûts). Où l'as-tu trouvé?
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Pour le père, pour le père
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Pour le père Slick27 --Message edité par jaskab--
Ahhhhhhhhh! C'est un secret!!!! Je suis contente que tu l'aimes! Ça m'a pris du temps à le trouver!
J'en étais rendue à chercher des images de tourtières!
Je me demande ce qu'en aurait pensé mon syndicat...
...pas besoin de scrapper les topics les filles...mes écrits n'ont nullement dépassé ma pensée...
Je suis désolé de ma dérape... Mais je maintiens ma position...je ne prétends pas être meilleur qu'un autre, je ne fais que dire ce que je pense sans essayer de convaincre qui que ce soit...!
Pourquoi soudainement je passe pour un ti-méchant...!?
Je déteste l'hypocrisie...si j'ai blessé ne serait-ce qu'une personne, je m'en excuse...
Sortez Slick de ses gonds, mais vous ne sortirez jamais Slick de ce forum...!
Je suis désolé de ma dérape... Mais je maintiens ma position...je ne prétends pas être meilleur qu'un autre, je ne fais que dire ce que je pense sans essayer de convaincre qui que ce soit...!
Pourquoi soudainement je passe pour un ti-méchant...!?
Je déteste l'hypocrisie...si j'ai blessé ne serait-ce qu'une personne, je m'en excuse...
Sortez Slick de ses gonds, mais vous ne sortirez jamais Slick de ce forum...!
Dans deux mois je vais vous dire si je suis derrière mon syndicat ou je vais m'en foutre comme dans l'an quarante.
Je vous explique pourquoi. Voilà deux ans un poste comme commis sénior c'est ouvert à ma job. J'avais 10 ans d'anciennté et tout les papiers pour le faire. Le poste en question était comblé par un gars de deux ans d'ancienneté (je n'en veux aucunement au gars), et ça fesait un an qu'il était en remplacement dessus.
Il travaillait avec sa belle-mère. Quand il a commencé a remplacé il n'avait aucune expérience. Sur l'affichage de poste ils ont inscrit 1 ans d'expérience avec la liste de rappel. Il n'y avait que ce gars là qui l'avait. Ont appel ça un poste à photo. J'ai levée un grief car il me revient le poste. Depuis 87 que je travaille là et j'ai fait mon ancienneté en fesant ma job du mieux que je pouvais.
Je n'ai jamais sucé personne pour entrer là et travailler. Je passe ne arbitrage sois le 18 janvier ou le 15 février. Si je gagne ils vont devoir me payer un salaire de deux ans d'arrièrage. Si je perds je pique une crise.
Je vous explique pourquoi. Voilà deux ans un poste comme commis sénior c'est ouvert à ma job. J'avais 10 ans d'anciennté et tout les papiers pour le faire. Le poste en question était comblé par un gars de deux ans d'ancienneté (je n'en veux aucunement au gars), et ça fesait un an qu'il était en remplacement dessus.
Il travaillait avec sa belle-mère. Quand il a commencé a remplacé il n'avait aucune expérience. Sur l'affichage de poste ils ont inscrit 1 ans d'expérience avec la liste de rappel. Il n'y avait que ce gars là qui l'avait. Ont appel ça un poste à photo. J'ai levée un grief car il me revient le poste. Depuis 87 que je travaille là et j'ai fait mon ancienneté en fesant ma job du mieux que je pouvais.
Je n'ai jamais sucé personne pour entrer là et travailler. Je passe ne arbitrage sois le 18 janvier ou le 15 février. Si je gagne ils vont devoir me payer un salaire de deux ans d'arrièrage. Si je perds je pique une crise.
somorel1 a écritDans deux mois je vais vous dire si je suis derrière mon syndicat ou je vais m'en foutre comme dans l'an quarante.
Je vous explique pourquoi. Voilà deux ans un poste comme commis sénior c'est ouvert à ma job. J'avais 10 ans d'anciennté et tout les papiers pour le faire. Le poste en question était comblé par un gars de deux ans d'ancienneté (je n'en veux aucunement au gars), et ça fesait un an qu'il était en remplacement dessus.
Il travaillait avec sa belle-mère. Quand il a commencé a remplacé il n'avait aucune expérience. Sur l'affichage de poste ils ont inscrit 1 ans d'expérience avec la liste de rappel. Il n'y avait que ce gars là qui l'avait. Ont appel ça un poste à photo. J'ai levée un grief car il me revient le poste. Depuis 87 que je travaille là et j'ai fait mon ancienneté en fesant ma job du mieux que je pouvais.
Je n'ai jamais sucé personne pour entrer là et travailler. Je passe ne arbitrage sois le 18 janvier ou le 15 février. Si je gagne ils vont devoir me payer un salaire de deux ans d'arrièrage. Si je perds je pique une crise.
je te souhite de gagner !!
C'est tellement plate ressentir de l'injustice
C'est la pire chose selon moi !
Je vous explique pourquoi. Voilà deux ans un poste comme commis sénior c'est ouvert à ma job. J'avais 10 ans d'anciennté et tout les papiers pour le faire. Le poste en question était comblé par un gars de deux ans d'ancienneté (je n'en veux aucunement au gars), et ça fesait un an qu'il était en remplacement dessus.
Il travaillait avec sa belle-mère. Quand il a commencé a remplacé il n'avait aucune expérience. Sur l'affichage de poste ils ont inscrit 1 ans d'expérience avec la liste de rappel. Il n'y avait que ce gars là qui l'avait. Ont appel ça un poste à photo. J'ai levée un grief car il me revient le poste. Depuis 87 que je travaille là et j'ai fait mon ancienneté en fesant ma job du mieux que je pouvais.
Je n'ai jamais sucé personne pour entrer là et travailler. Je passe ne arbitrage sois le 18 janvier ou le 15 février. Si je gagne ils vont devoir me payer un salaire de deux ans d'arrièrage. Si je perds je pique une crise.
je te souhite de gagner !!
C'est tellement plate ressentir de l'injustice
C'est la pire chose selon moi !
C'est drôle que tu me dises que j'ai mauvais caractère parce que si tu parles à ceux qui me traitent avec respect et courtoisie et qui ne me mentent pas et qui ne tentent pas de me f******, ils vont probablement te dire qu'au contraire je suis très gentil- Jean-François Mercier
Regardons ensemble les derniers mois d'activité syndicale au Québec. Meurtre d'une vache devant les caméras de télévision. Projection d'œufs et de bouteilles devant l'Assemblée Nationale. Érection d'une statue ridicule en honneur d'un de leur représentant toujours vivant. Violence à l'endroit d'une équipe de télévision qui voulait faire de l'humour avec ladite statue. Manifestation bruyante et agressive devant un hôpital pour enfants. Vandalisme de plusieurs bureaux de représentants politiques. Levée de boucliers pour protéger des syndiqués qui ont maltraité mentalement une patiente au Centre St-Charles Borromée. Un porte-parole qui traite le premier ministre de trou de cul dans tous les bulletins de nouvelles.
Au fait, est-ce que quelqu'un peut me dire quand le syndicalisme est passé de Docteur Jekyll à Mister Hyde dans notre belle province?
Je veux bien croire que le mouvement syndical a eu son importance à une certaine époque. Je veux bien croire qu'il ait aidé le Québec à se sortir de la Grande Noirceur. Je veux bien admettre que son poids politique a déjà été positif pour les travailleurs. Mais en 2003, le constat est tout autre. Les syndicats se sont embourgeoisés, et leurs représentants, grassement payés, fraient maintenant avec l'élite politique. On protège les bons employés comme les pires, avec le même acharnement, au nom de l'égalité et de leurs sacro-saintes conventions collectives. La simple évocation d'un possible changement envoie les membres dans la rue scander des slogans avec véhémence. Bref, le syndicat est devenu tout ce contre quoi il doit se battre. Assoiffé d'argent et de pouvoir, il s'est discrédité lui-même. Il fait maintenant partie des organismes trop puissants de notre société qui empêchent les changements et l'évolution.
Comment ont-ils pu en arriver là? Je pose la question et je n'ai pas la réponse.
Je sais seulement que la réingénérie de l'État n'aura pas lieu. Je sais aussi que les gouvernements n'osent plus rien faire qui risquerait de faire fâcher les syndicats. Et les syndiqués savent qu'ils n'ont qu'à jouer les gorilles quelques semaines pour faire reculer un gouvernement, surtout celui du très malléable Jean Charest. L'opération portera fruit et va passer un message très clair aux gouvernements qui vont suivre. Nous sommes les syndicats. Nous contrôlons le Québec. Et nous ne voulons pas de changement, quitte à ce que ce soit la collectivité qui écope. Quitte à ce que le Québec plonge dans un retard et un marasme insurmontables. À chaque fois que je vois une manifestation où un groupe crie le slogan " so, so, so, solidarité ", je ne peux m'empêcher de voir le mot " égoïsme " étampé dans leur front. Ou de penser à ces individus tous pareils, en ligne, avec le même masque exorbité, comme dans le film The Wall, d'Alan Parker.
Avec tout ce qui s'est passé dans les derniers mois, dans un paquet de domaines, nous avons bien vu les comportements syndicaux typiques. Intimidation, violence, menaces, aveuglement. Et nous pouvons que constater l'indifférence des policiers (eux aussi, syndiqués) et la soumission de nos institutions qui plient les genoux dès que la controverse se pointe le bout du nez. Si la balance a déjà penché du côté patronal, il y a quelques décennies, on peut dire maintenant que la réalité est tout autre. Et c'est le Québec en entier qui s'en ressent, de ne pas pouvoir trouver l'équilibre, ou le juste milieu entre les syndicats, les patrons, et le gouvernement. Un rapport de force déséquilibré qui tient en otage tout le peuple québécois. Surtaxé et ignoré, le contribuable moyen n'a plus qu'une seule alternative : se créer un syndicat. Et nous aussi, nous intimiderons, nous menacerons, nous lancerons des pierres. Et nous aurons ce que ne voulons, au détriment des autres. So, so, so… Solidarité. FNG
Au fait, est-ce que quelqu'un peut me dire quand le syndicalisme est passé de Docteur Jekyll à Mister Hyde dans notre belle province?
Je veux bien croire que le mouvement syndical a eu son importance à une certaine époque. Je veux bien croire qu'il ait aidé le Québec à se sortir de la Grande Noirceur. Je veux bien admettre que son poids politique a déjà été positif pour les travailleurs. Mais en 2003, le constat est tout autre. Les syndicats se sont embourgeoisés, et leurs représentants, grassement payés, fraient maintenant avec l'élite politique. On protège les bons employés comme les pires, avec le même acharnement, au nom de l'égalité et de leurs sacro-saintes conventions collectives. La simple évocation d'un possible changement envoie les membres dans la rue scander des slogans avec véhémence. Bref, le syndicat est devenu tout ce contre quoi il doit se battre. Assoiffé d'argent et de pouvoir, il s'est discrédité lui-même. Il fait maintenant partie des organismes trop puissants de notre société qui empêchent les changements et l'évolution.
Comment ont-ils pu en arriver là? Je pose la question et je n'ai pas la réponse.
Je sais seulement que la réingénérie de l'État n'aura pas lieu. Je sais aussi que les gouvernements n'osent plus rien faire qui risquerait de faire fâcher les syndicats. Et les syndiqués savent qu'ils n'ont qu'à jouer les gorilles quelques semaines pour faire reculer un gouvernement, surtout celui du très malléable Jean Charest. L'opération portera fruit et va passer un message très clair aux gouvernements qui vont suivre. Nous sommes les syndicats. Nous contrôlons le Québec. Et nous ne voulons pas de changement, quitte à ce que ce soit la collectivité qui écope. Quitte à ce que le Québec plonge dans un retard et un marasme insurmontables. À chaque fois que je vois une manifestation où un groupe crie le slogan " so, so, so, solidarité ", je ne peux m'empêcher de voir le mot " égoïsme " étampé dans leur front. Ou de penser à ces individus tous pareils, en ligne, avec le même masque exorbité, comme dans le film The Wall, d'Alan Parker.
Avec tout ce qui s'est passé dans les derniers mois, dans un paquet de domaines, nous avons bien vu les comportements syndicaux typiques. Intimidation, violence, menaces, aveuglement. Et nous pouvons que constater l'indifférence des policiers (eux aussi, syndiqués) et la soumission de nos institutions qui plient les genoux dès que la controverse se pointe le bout du nez. Si la balance a déjà penché du côté patronal, il y a quelques décennies, on peut dire maintenant que la réalité est tout autre. Et c'est le Québec en entier qui s'en ressent, de ne pas pouvoir trouver l'équilibre, ou le juste milieu entre les syndicats, les patrons, et le gouvernement. Un rapport de force déséquilibré qui tient en otage tout le peuple québécois. Surtaxé et ignoré, le contribuable moyen n'a plus qu'une seule alternative : se créer un syndicat. Et nous aussi, nous intimiderons, nous menacerons, nous lancerons des pierres. Et nous aurons ce que ne voulons, au détriment des autres. So, so, so… Solidarité. FNG
Hé ben là, nous sommes totalement sur la même longueur d'ondes Slick! Sincèrement, je n'ai rien à ajouter (et ça c'est rare, avec ma grande trappe! ). Je pense exactement la même chose que toi! J'aurais pu écrire exactement mot pour mot ce que tu viens de pondre!
Et j'ai bien hâte de voir comment se déroulera la journée de jeudi, en cette journée de perturbation syndicale...
Et j'ai bien hâte de voir comment se déroulera la journée de jeudi, en cette journée de perturbation syndicale...
Tu es pas le seul a penser comme tu le penses Slick27!
Pour avoir travaillé dans des entreprises syndiquées, j'en suis ressortie écoeurée....J'ai vécu une grève et ce fût la 1ère et la dernière...
Écoeurée de voir que le syndicat protège des fainéants, des incompétents, etc... et de voir que ben des employées se pensent safe parce qu'ils sont syndiqués...j'ai horreur des personnes qui se promènent avec leur convention collective dans leurs poches et qu'à la moindre petite affaire, ils sont là pour nous faire voir qu'ils connaissent plus leur convention collective que le travail qu'ils ont à effectuer; j'ai horreur des employés qui se prennent pour les boss de la Compagnie parce qu'ils sont syndiqués;
Dans l'entreprise privée, si tu fais pas l'affaire, ils te gardent pas pour tes beaux yeux; les fainéants, les incompétents et ceux qui veulent pas travailler sont invités à sortir avec un petit papier bleu (cessation d'emploi) et hop! place à ceux qui veulent travailler.
Les syndicats ont déjà été très bons, mais aujourd'hui, je trouve cela plutôt ridicule tout ce qui se passe, surtout quand il y a manifestation et qu'ils font du grabuge; qui paie la note???
Heureusement, ce ne sont pas la majorité des syndiqués qui agissent comme tel, mais avouez avez moi qu'il y en a encore trop.
Ce n'est plus vrai aujourd'hui de dire que parce que tu es syndiqué, tu as la sécurité d'emploi; personne n'est à l'abri de cela aujourd'hui.
Pour avoir travaillé dans des entreprises syndiquées, j'en suis ressortie écoeurée....J'ai vécu une grève et ce fût la 1ère et la dernière...
Écoeurée de voir que le syndicat protège des fainéants, des incompétents, etc... et de voir que ben des employées se pensent safe parce qu'ils sont syndiqués...j'ai horreur des personnes qui se promènent avec leur convention collective dans leurs poches et qu'à la moindre petite affaire, ils sont là pour nous faire voir qu'ils connaissent plus leur convention collective que le travail qu'ils ont à effectuer; j'ai horreur des employés qui se prennent pour les boss de la Compagnie parce qu'ils sont syndiqués;
Dans l'entreprise privée, si tu fais pas l'affaire, ils te gardent pas pour tes beaux yeux; les fainéants, les incompétents et ceux qui veulent pas travailler sont invités à sortir avec un petit papier bleu (cessation d'emploi) et hop! place à ceux qui veulent travailler.
Les syndicats ont déjà été très bons, mais aujourd'hui, je trouve cela plutôt ridicule tout ce qui se passe, surtout quand il y a manifestation et qu'ils font du grabuge; qui paie la note???
Heureusement, ce ne sont pas la majorité des syndiqués qui agissent comme tel, mais avouez avez moi qu'il y en a encore trop.
Ce n'est plus vrai aujourd'hui de dire que parce que tu es syndiqué, tu as la sécurité d'emploi; personne n'est à l'abri de cela aujourd'hui.
Grande question, les syndicats...
Je suis d'accord avec le début de ton texte, Slick, par contre, je trouve important que des groupes continuent de défendre les acquis sociaux durement construits. Tu es pour la réinginiaiserie de Charrue, la privatisation?
D'accord, le privé fait mieux dans certains domaines. Bien sûr il y a des pogneux de beignes syndiqués qui créent des préjugés tenaces, mais plusieurs études et analyses économiques prouvent le contraire dans bien des secteurs: le public fait mieux que le privé dans bien des cas. (Je pense seulement aux couts administratifs du système de santé étasuniens qui dépassent les nôtres de 20 ou 30%, leur non-réglementation des couts des médicaments au nom du principe de la saine concurrence où encore là, les prix dépassent les nôtres de 20 à 30%, etc...)
D'accord, les syndicats utilisent des méthodes sensasionnalistes, mais ça semble être la norme pour obtenir son 2 minutes aux nouvelles. Sinon, les gens ne prêtent aucune attention à la situation. C'est dommage, mais c'est ça qui est ça!
Je suis d'accord aussi que certains syndicats abusent et protègent des incompétents connaissants davantage leur convention que leur définition de tâche, comme dit Soleil. Des règles peuvent être définies pour éviter ce genre d'abus, il faut faire ces batailles au niveau local, s'investir malgré l'immobilisme et le conservatisme des meubles que sont la plupart des représentants syndicaux.
Je pense aussi que certains syndicats se sont sclérosés et qu'ils ont perdus de vue leur vraie mission. Ça leur appartient et plusieurs d'entre eux sont d'ailleurs en réflexion sérieuse quant à leur rôle pour les années 2000. Ils élargissent leur mandat, épousant des causes sociales et environnementales. Es-tu passé par le site de ton syndicat dernièrement, ils ne font pas que protéger des crotés catatoniques...
( http://www.csq.qc.net/ )
Par contre, faute de mieux, c'est un rapport de force entre le patronat et les syndicats qui reste absolument nécessaire et qui est fonctionnel pour l'instant.
Te verrais-tu parader pour garder ton emploi et négocier ton salaire de prof à chaque année en fonction de combien tes élèves t'ont aimé ( ) et de combien tu as su bien téter la direction par ton attitude low profil, le tout en souhaitant que ton rôle de héros des projets para-scolaires tape à l'oeil ait été remarqué et puisse te donner le droit à un pentium 100 dans le coin de la classe que tu partages avec trois autres enseignants?
En démocratie britannique, la crédibilité de l'opposition officielle dans les débats est entachée d'emblée de par leur rôle partisan. Les syndicats restent un contrepoids importants, une force mobilisatrice non-négligeable dans notre société du confort et de l'indifférence nourrie à l'émotion télévisuelle abrutissante et anxiogène.
IL faut garder en tête que les syndicats, les coopératives, les organismes communautaires, les unions paysannes, ..., contrent les toujours très fortes tentations de réductions des budgets sociaux qui hantent nos gouvernants.
On ne peut pas compter sur les médias ni sur l'apathie générale. Je pense donc que les syndicats ont un rôle important à jouer, malgré que leurs sporadiques méthodes de brutes primitives sont très questionnables.
Juste en exemple, Slick. Je suis bien content que les syndicats se soient battus avec acharnement et patience pendant plus d'une décennie, sans arracher de porte de mairie avec des parties de cochons sanguignolants, afin d'obtenir l'équité salariale des enseignantes, des infirmières et des techniciennes en service de garde, entre autres choses. Un combat non-terminé d'ailleurs. Ce qu'ils ont obtenu est insuffisant bien sûr, mais ça corrigeait en bonne partie une disproportion historique.
Cela ne demande qu'à continuer de se parfaire.
Ça fait juste 40 ans qu'on n'est plus un pays sous-développé... faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain.
--Message edité par velero--
Je suis d'accord avec le début de ton texte, Slick, par contre, je trouve important que des groupes continuent de défendre les acquis sociaux durement construits. Tu es pour la réinginiaiserie de Charrue, la privatisation?
D'accord, le privé fait mieux dans certains domaines. Bien sûr il y a des pogneux de beignes syndiqués qui créent des préjugés tenaces, mais plusieurs études et analyses économiques prouvent le contraire dans bien des secteurs: le public fait mieux que le privé dans bien des cas. (Je pense seulement aux couts administratifs du système de santé étasuniens qui dépassent les nôtres de 20 ou 30%, leur non-réglementation des couts des médicaments au nom du principe de la saine concurrence où encore là, les prix dépassent les nôtres de 20 à 30%, etc...)
D'accord, les syndicats utilisent des méthodes sensasionnalistes, mais ça semble être la norme pour obtenir son 2 minutes aux nouvelles. Sinon, les gens ne prêtent aucune attention à la situation. C'est dommage, mais c'est ça qui est ça!
Je suis d'accord aussi que certains syndicats abusent et protègent des incompétents connaissants davantage leur convention que leur définition de tâche, comme dit Soleil. Des règles peuvent être définies pour éviter ce genre d'abus, il faut faire ces batailles au niveau local, s'investir malgré l'immobilisme et le conservatisme des meubles que sont la plupart des représentants syndicaux.
Je pense aussi que certains syndicats se sont sclérosés et qu'ils ont perdus de vue leur vraie mission. Ça leur appartient et plusieurs d'entre eux sont d'ailleurs en réflexion sérieuse quant à leur rôle pour les années 2000. Ils élargissent leur mandat, épousant des causes sociales et environnementales. Es-tu passé par le site de ton syndicat dernièrement, ils ne font pas que protéger des crotés catatoniques...
( http://www.csq.qc.net/ )
Par contre, faute de mieux, c'est un rapport de force entre le patronat et les syndicats qui reste absolument nécessaire et qui est fonctionnel pour l'instant.
Te verrais-tu parader pour garder ton emploi et négocier ton salaire de prof à chaque année en fonction de combien tes élèves t'ont aimé ( ) et de combien tu as su bien téter la direction par ton attitude low profil, le tout en souhaitant que ton rôle de héros des projets para-scolaires tape à l'oeil ait été remarqué et puisse te donner le droit à un pentium 100 dans le coin de la classe que tu partages avec trois autres enseignants?
En démocratie britannique, la crédibilité de l'opposition officielle dans les débats est entachée d'emblée de par leur rôle partisan. Les syndicats restent un contrepoids importants, une force mobilisatrice non-négligeable dans notre société du confort et de l'indifférence nourrie à l'émotion télévisuelle abrutissante et anxiogène.
IL faut garder en tête que les syndicats, les coopératives, les organismes communautaires, les unions paysannes, ..., contrent les toujours très fortes tentations de réductions des budgets sociaux qui hantent nos gouvernants.
On ne peut pas compter sur les médias ni sur l'apathie générale. Je pense donc que les syndicats ont un rôle important à jouer, malgré que leurs sporadiques méthodes de brutes primitives sont très questionnables.
Juste en exemple, Slick. Je suis bien content que les syndicats se soient battus avec acharnement et patience pendant plus d'une décennie, sans arracher de porte de mairie avec des parties de cochons sanguignolants, afin d'obtenir l'équité salariale des enseignantes, des infirmières et des techniciennes en service de garde, entre autres choses. Un combat non-terminé d'ailleurs. Ce qu'ils ont obtenu est insuffisant bien sûr, mais ça corrigeait en bonne partie une disproportion historique.
Cela ne demande qu'à continuer de se parfaire.
Ça fait juste 40 ans qu'on n'est plus un pays sous-développé... faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain.
--Message edité par velero--
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. (Jean de la Fontaine)
Un exemple frappant de la nécessité des syndicats pour surveiller les gouvernements et les investissements. Ils ne font pas que défendre des griefs sur qui va payer le café, ils y a des causes sociales importantes qui soulèvent des questions fondamentales aux niveaux des choix de société que nous devons faire.
Une cause comme la fermeture de l'usine GM de Boisbriand par exemple où le syndicat national à laisser tomber le Québec pour s'assurer des investissements d'un milliard de la compagnie dans trois usines ontariennes est intéressante et éclair notre débat.
Ce syndicat du Québec se bat pour défendre leurs emplois depuis des années. Ils avaient amélioré la productivité comme nulle autre usine GM et accepté des réductions salariales. Québec avait même investi 220 millions de nos impôts et, pourtant, GM ferme l'usine et choisi l'Ontario.
Nous avons payé 220 millions pour envoyer des emplois en Ontario.
Pour plus de détails, ceux qui ont un peu de temps, prenez le temps de lire le résumé ou de visiter le site. C'est informatif de ce que peut faire et de combien des gens de syndicats mènent des luttes nécessaires souvent et, ô, combien dans l'ombre.
(source: http://pages.infinit.net/boycott/)
Introduction
À tous les Québécois!
Pendant des années, nous entendons parler à travers les médias de la Fermeture de l'usine GM de Boisbriand.
Malgré toutes les dénonciations faites d'une part ou de l'autre, en date du 23 août 2002, aucun organisme n'a encore eu le courage de défier et dénoncer ouvertement les pratiques de cette compagnie. Aucun organisme n'a ouvertement exigé le remboursement immédiat de la dette et exigé du même coup la réembauche des emplois abolis.
Pourtant, TOUS les Québécois ont payés et assumés, à même leurs impôts, une aide financière de plus de $220 MILLIONS à cette compagnie afin qu'elle puisse moderniser l'usine et consolider son avenir.
Il est à souligner que GM n'a pas seulement une dette MONÉTAIRE envers nous les Québécois mais a aussi une dette MORALE et SOCIALE puisque JAMAIS GM n'a pris soin de consolider son avenir laissant plutôt mourir son produit à petit feu.
Encore aujourd'hui, les Québécois achètent plus de 25% des ventes de produit GM à travers le Canada. Quand l'usine tournait à plein régime, à peine 7% des emplois y étaient créés et à partir de septembre 2002, près de zéro.
Nous avons prêté cet argent avec les meilleures intentions et au bout du compte, nous sommes rendu à la conclusion que cette compagnie s'est très bien moqué de nous en nous faisant croire pleins de déficits à travers les médias (qu'elle réussit probablement à faire taire grâce à ses achats de publicités) alors que ses Bilans financiers de chaque trimestres (qui sont rendus publics) , prouvent à chaque fois qu'elle bat des records de profits d'année en année.
Il est facile de se sentir impuissant face à cette arnaque de la part d'une multinationale mais l'effort pour se lever debout et prendre les moyens nécessaires pour corriger la situation en vaut la peine. Les soutiens de familles de la région et nos enfants DOIVENT profiter de cet investissement.
Les bons emplois ne sont pas seulement pour l'Ontario ou ailleurs. Au Québec, il est faux de dire que nous somme nés pour un petit pain ! Nous méritons beaucoup plus! Nous aussi avons droit à des emplois bien rémunérés autant que l'Ontario.
Notre gouvernement fédéral, a pour sa part, une très grosse part de responsabilité dans ce dossier qu'il n'a jamais donné suite. Est-ce dû à son acharnement maladif anti-souverainiste ou donne-t-il simplement préférence à une province qui est majoritairement Libérale? On est en droit de se poser ces questions après toutes ces années d'inactions. Ils savent très bien pourtant qu'avec la fermeture de GM Boisbriand, le Québec perd un SECTEUR manufacturier dont l'importance est capitale.
Pourquoi avoir laissé tombé un autre de nos piliers économique?
On a vécu:
- la mort à petit feu de l'aéroport de Mirabel,
- la fermeture de la Bourse de Montréal,
- des limites ont été imposées à la Caisse de Dépôt du Québec dans les marchés au Canada etc...
- Et aujourd'hui la fermeture de notre seule usine automobile de GM Boisbriand.
Quand est-ce que notre gouvernement fédéral va agir pour le bien-être du Québec?
Les Québécois doivent malheureusement se rendre compte que Jean Chrétien (et tout autant Paul Martin ou les autres) n'ont pas fait les efforts nécessaires pour exiger des comptes à GM et exiger la rentabilité de notre investissement. Ils se sont toujours contentés de dire qu'ils étudiaient le dossier et regardaient toutes les avenues MAIS SANS AGIR concrètement! Aujourd'hui, la fermeture de l'usine est un fait réel et rien n'a encore bougé de leur côté. (De plus, il la démentèle malgré les injonctions le leur interdisant)
Notre gouvernement provincial aurait dû lui aussi demander des comptes et exiger le remboursement immédiat du montant prêté puisque la compagnie n'a jamais suivie ses engagements. Il y a pourtant ici une cause flagrante de BRIS DE CONTRAT !
(Aux dernières nouvelles, la ministre Pauline Marois a déclaré officiellement qu'elle demanderait à GM le remboursement du prêt si GM s'entêtait à ne pas rembourser et réinvestir)
Il faut exiger de GM de réinvestir cet argent DANS SON USINE de BOISBRIAND et non ailleurs puisque GM a toujours laissé véhiculé à travers les médias pendant plus de 15 ans que cet argent avait servi à moderniser son usine et consolider son avenir! Madame Marois n'a pas à sauver la face de cette compagnie. Qu'elle exige notre dû tout simplement ! (C'est à Yves Séguin de faire pression maintenant, les libéraux du PLQ vont-ils daigner en parler avec leurs comparses libéraux du PLC?!?)
Nous pouvons maintenant constater que le Mouvement Boycott GM a réussi à ce jour de très gros exploits depuis son lancement officiel du vendredi 23 août 2002 puisqu'il a réussi à:
Faire couvrir le dossier GM Boisbriand de façon complète par tous les médias,
Faire comprendre aux contribuables du Québec qu'ils se sont fait arnaquer par une compagnie qui leur a toujours menti et qui est parti avec la caisse...
Imposer une analyse pan-Québécoise sur ce que GM Canada a fait de l'investissement de plus de $220 Millions que les contribuables et payeurs d'impôts leur ont si généreusement avancé,
Obliger les instances politiques municipales et gouvernementales (malheureusement que provinciales) à AGIR et finalement dénoncer la fermeture de l'usine de Boisbriand,
Forcer le Syndicat National CAW à tenir compte de la seule usine automobile au Québec pendant les négociations nationales de Septembre.
Il faut se rappeler qu'aux dernières négociations de 1999, la fermeture de GM Boisbriand était la 2e priorité majeure des négociations selon Buzz Hargrove et la fin des négociations a donné comme résultats une simple lettre disant que GM regarderait pour trouver un autre modèle pour l'usine GM Boisbriand.
Pourtant, l'Ontario a eu 1 milliard d'investissements dans 3 de ses usines soit $440 millions à Ste-Catherines, $330 millions à Oshawa et un autre $100 millions dans une autre division à Oshawa à la suite de ces négociations.
Où a été la part du Québec dans tout ça?
Personnellement, JAMAIS je n'accepterai que nos enfants aient eux aussi à assumer à rembourser ce prêt de $220 millions dans leur futur lorsqu'ils commenceront, à leur majorité, à payer des impôts: Ils auront à assumer une dette dont ils n'auront jamais profité! C'est inacceptable et immoral: En plein l'image d'une compagnie ou le profit est le seul objectif moral.
Ce n'est pas un simple petit Québécois comme moi qui peut à lui seul faire dévier ce gros paquebot mais si une force tangible se créer grâce à ce mouvement et tous les Québécois, je suis convaincu que l'on réussira à changer le cours des événements. Il n'est pas nécessaire de dépenser des millions pour passer les bonnes informations mais simplement de structurer une action, avec de simples outils et avec un but déterminé.
Avec ce site, vous avez au moins une référence pour trouver des explications à la plupart de vos questions, pour renseigner vos proches, être informés, faire des actions concrètes et pour participer à une cause juste.
Vous pouvez prendre quelques minutes de votre temps pour lire le rapport complet du comité ACTION Chômage qui avait été rédigé par les employés de l'usine de Boisbriand qui ont étés mis à pied depuis 1995. Ce rapport est comme un historique entre les débuts de l'usine jusqu'à 1996 mais démontre clairement que GM n'avait aucune raison valable pour justifier cette mise à pied massive et aujourd'hui sa fermeture. Le tout, avec pleins d'explications et de graphiques à l'appui pour comprendre le dossier et pour ensuite pouvoir l'expliquer.
Ceci n'est qu'un début!
-----------------------------------------------------------------
Merci pour votre support et vos actions.
Mario Cayer
2650 4e Rue
Ste-Sophie, QC J5J 1P2
mariocayer@videotron.ca
mariocayer@hotmail.com
--Message edité par velero--
Une cause comme la fermeture de l'usine GM de Boisbriand par exemple où le syndicat national à laisser tomber le Québec pour s'assurer des investissements d'un milliard de la compagnie dans trois usines ontariennes est intéressante et éclair notre débat.
Ce syndicat du Québec se bat pour défendre leurs emplois depuis des années. Ils avaient amélioré la productivité comme nulle autre usine GM et accepté des réductions salariales. Québec avait même investi 220 millions de nos impôts et, pourtant, GM ferme l'usine et choisi l'Ontario.
Nous avons payé 220 millions pour envoyer des emplois en Ontario.
Pour plus de détails, ceux qui ont un peu de temps, prenez le temps de lire le résumé ou de visiter le site. C'est informatif de ce que peut faire et de combien des gens de syndicats mènent des luttes nécessaires souvent et, ô, combien dans l'ombre.
(source: http://pages.infinit.net/boycott/)
Introduction
À tous les Québécois!
Pendant des années, nous entendons parler à travers les médias de la Fermeture de l'usine GM de Boisbriand.
Malgré toutes les dénonciations faites d'une part ou de l'autre, en date du 23 août 2002, aucun organisme n'a encore eu le courage de défier et dénoncer ouvertement les pratiques de cette compagnie. Aucun organisme n'a ouvertement exigé le remboursement immédiat de la dette et exigé du même coup la réembauche des emplois abolis.
Pourtant, TOUS les Québécois ont payés et assumés, à même leurs impôts, une aide financière de plus de $220 MILLIONS à cette compagnie afin qu'elle puisse moderniser l'usine et consolider son avenir.
Il est à souligner que GM n'a pas seulement une dette MONÉTAIRE envers nous les Québécois mais a aussi une dette MORALE et SOCIALE puisque JAMAIS GM n'a pris soin de consolider son avenir laissant plutôt mourir son produit à petit feu.
Encore aujourd'hui, les Québécois achètent plus de 25% des ventes de produit GM à travers le Canada. Quand l'usine tournait à plein régime, à peine 7% des emplois y étaient créés et à partir de septembre 2002, près de zéro.
Nous avons prêté cet argent avec les meilleures intentions et au bout du compte, nous sommes rendu à la conclusion que cette compagnie s'est très bien moqué de nous en nous faisant croire pleins de déficits à travers les médias (qu'elle réussit probablement à faire taire grâce à ses achats de publicités) alors que ses Bilans financiers de chaque trimestres (qui sont rendus publics) , prouvent à chaque fois qu'elle bat des records de profits d'année en année.
Il est facile de se sentir impuissant face à cette arnaque de la part d'une multinationale mais l'effort pour se lever debout et prendre les moyens nécessaires pour corriger la situation en vaut la peine. Les soutiens de familles de la région et nos enfants DOIVENT profiter de cet investissement.
Les bons emplois ne sont pas seulement pour l'Ontario ou ailleurs. Au Québec, il est faux de dire que nous somme nés pour un petit pain ! Nous méritons beaucoup plus! Nous aussi avons droit à des emplois bien rémunérés autant que l'Ontario.
Notre gouvernement fédéral, a pour sa part, une très grosse part de responsabilité dans ce dossier qu'il n'a jamais donné suite. Est-ce dû à son acharnement maladif anti-souverainiste ou donne-t-il simplement préférence à une province qui est majoritairement Libérale? On est en droit de se poser ces questions après toutes ces années d'inactions. Ils savent très bien pourtant qu'avec la fermeture de GM Boisbriand, le Québec perd un SECTEUR manufacturier dont l'importance est capitale.
Pourquoi avoir laissé tombé un autre de nos piliers économique?
On a vécu:
- la mort à petit feu de l'aéroport de Mirabel,
- la fermeture de la Bourse de Montréal,
- des limites ont été imposées à la Caisse de Dépôt du Québec dans les marchés au Canada etc...
- Et aujourd'hui la fermeture de notre seule usine automobile de GM Boisbriand.
Quand est-ce que notre gouvernement fédéral va agir pour le bien-être du Québec?
Les Québécois doivent malheureusement se rendre compte que Jean Chrétien (et tout autant Paul Martin ou les autres) n'ont pas fait les efforts nécessaires pour exiger des comptes à GM et exiger la rentabilité de notre investissement. Ils se sont toujours contentés de dire qu'ils étudiaient le dossier et regardaient toutes les avenues MAIS SANS AGIR concrètement! Aujourd'hui, la fermeture de l'usine est un fait réel et rien n'a encore bougé de leur côté. (De plus, il la démentèle malgré les injonctions le leur interdisant)
Notre gouvernement provincial aurait dû lui aussi demander des comptes et exiger le remboursement immédiat du montant prêté puisque la compagnie n'a jamais suivie ses engagements. Il y a pourtant ici une cause flagrante de BRIS DE CONTRAT !
(Aux dernières nouvelles, la ministre Pauline Marois a déclaré officiellement qu'elle demanderait à GM le remboursement du prêt si GM s'entêtait à ne pas rembourser et réinvestir)
Il faut exiger de GM de réinvestir cet argent DANS SON USINE de BOISBRIAND et non ailleurs puisque GM a toujours laissé véhiculé à travers les médias pendant plus de 15 ans que cet argent avait servi à moderniser son usine et consolider son avenir! Madame Marois n'a pas à sauver la face de cette compagnie. Qu'elle exige notre dû tout simplement ! (C'est à Yves Séguin de faire pression maintenant, les libéraux du PLQ vont-ils daigner en parler avec leurs comparses libéraux du PLC?!?)
Nous pouvons maintenant constater que le Mouvement Boycott GM a réussi à ce jour de très gros exploits depuis son lancement officiel du vendredi 23 août 2002 puisqu'il a réussi à:
Faire couvrir le dossier GM Boisbriand de façon complète par tous les médias,
Faire comprendre aux contribuables du Québec qu'ils se sont fait arnaquer par une compagnie qui leur a toujours menti et qui est parti avec la caisse...
Imposer une analyse pan-Québécoise sur ce que GM Canada a fait de l'investissement de plus de $220 Millions que les contribuables et payeurs d'impôts leur ont si généreusement avancé,
Obliger les instances politiques municipales et gouvernementales (malheureusement que provinciales) à AGIR et finalement dénoncer la fermeture de l'usine de Boisbriand,
Forcer le Syndicat National CAW à tenir compte de la seule usine automobile au Québec pendant les négociations nationales de Septembre.
Il faut se rappeler qu'aux dernières négociations de 1999, la fermeture de GM Boisbriand était la 2e priorité majeure des négociations selon Buzz Hargrove et la fin des négociations a donné comme résultats une simple lettre disant que GM regarderait pour trouver un autre modèle pour l'usine GM Boisbriand.
Pourtant, l'Ontario a eu 1 milliard d'investissements dans 3 de ses usines soit $440 millions à Ste-Catherines, $330 millions à Oshawa et un autre $100 millions dans une autre division à Oshawa à la suite de ces négociations.
Où a été la part du Québec dans tout ça?
Personnellement, JAMAIS je n'accepterai que nos enfants aient eux aussi à assumer à rembourser ce prêt de $220 millions dans leur futur lorsqu'ils commenceront, à leur majorité, à payer des impôts: Ils auront à assumer une dette dont ils n'auront jamais profité! C'est inacceptable et immoral: En plein l'image d'une compagnie ou le profit est le seul objectif moral.
Ce n'est pas un simple petit Québécois comme moi qui peut à lui seul faire dévier ce gros paquebot mais si une force tangible se créer grâce à ce mouvement et tous les Québécois, je suis convaincu que l'on réussira à changer le cours des événements. Il n'est pas nécessaire de dépenser des millions pour passer les bonnes informations mais simplement de structurer une action, avec de simples outils et avec un but déterminé.
Avec ce site, vous avez au moins une référence pour trouver des explications à la plupart de vos questions, pour renseigner vos proches, être informés, faire des actions concrètes et pour participer à une cause juste.
Vous pouvez prendre quelques minutes de votre temps pour lire le rapport complet du comité ACTION Chômage qui avait été rédigé par les employés de l'usine de Boisbriand qui ont étés mis à pied depuis 1995. Ce rapport est comme un historique entre les débuts de l'usine jusqu'à 1996 mais démontre clairement que GM n'avait aucune raison valable pour justifier cette mise à pied massive et aujourd'hui sa fermeture. Le tout, avec pleins d'explications et de graphiques à l'appui pour comprendre le dossier et pour ensuite pouvoir l'expliquer.
Ceci n'est qu'un début!
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Merci pour votre support et vos actions.
Mario Cayer
2650 4e Rue
Ste-Sophie, QC J5J 1P2
mariocayer@videotron.ca
mariocayer@hotmail.com
--Message edité par velero--
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. (Jean de la Fontaine)
Velero a écritGrande question, les syndicats...
Je suis d'accord avec le début de ton texte, Slick, par contre, je trouve important que des groupes continuent de défendre les acquis sociaux durement construits. Tu es pour la réinginiaiserie de Charrue, la privatisation?
D'accord, le privé fait mieux dans certains domaines. Bien sûr il y a des pogneux de beignes syndiqués qui créent des préjugés tenaces, mais plusieurs études et analyses économiques prouvent le contraire dans bien des secteurs: le public fait mieux que le privé dans bien des cas. (Je pense seulement aux couts administratifs du système de santé étasuniens qui dépassent les nôtres de 20 ou 30%, leur non-réglementation des couts des médicaments au nom du principe de la saine concurrence où encore là, les prix dépassent les nôtres de 20 à 30%, etc...)
D'accord, les syndicats utilisent des méthodes sensasionnalistes, mais ça semble être la norme pour obtenir son 2 minutes aux nouvelles. Sinon, les gens ne prêtent aucune attention à la situation. C'est dommage, mais c'est ça qui est ça!
Je suis d'accord aussi que certains syndicats abusent et protègent des incompétents connaissants davantage leur convention que leur définition de tâche, comme dit Soleil. Des règles peuvent être définies pour éviter ce genre d'abus, il faut faire ces batailles au niveau local, s'investir malgré l'immobilisme et le conservatisme des meubles que sont la plupart des représentants syndicaux.
Je pense aussi que certains syndicats se sont sclérosés et qu'ils ont perdus de vue leur vraie mission. Ça leur appartient et plusieurs d'entre eux sont d'ailleurs en réflexion sérieuse quant à leur rôle pour les années 2000. Ils élargissent leur mandat, épousant des causes sociales et environnementales. Es-tu passé par le site de ton syndicat dernièrement, ils ne font pas que protéger des crotés catatoniques...
( http://www.csq.qc.net/ )
Par contre, faute de mieux, c'est un rapport de force entre le patronat et les syndicats qui reste absolument nécessaire et qui est fonctionnel pour l'instant.
Te verrais-tu parader pour garder ton emploi et négocier ton salaire de prof à chaque année en fonction de combien tes élèves t'ont aimé ( ) et de combien tu as su bien téter la direction par ton attitude low profil, le tout en souhaitant que ton rôle de héros des projets para-scolaires tape à l'oeil ait été remarqué et puisse te donner le droit à un pentium 100 dans le coin de la classe que tu partages avec trois autres enseignants?
En démocratie britannique, la crédibilité de l'opposition officielle dans les débats est entachée d'emblée de par leur rôle partisan. Les syndicats restent un contrepoids importants, une force mobilisatrice non-négligeable dans notre société du confort et de l'indifférence nourrie à l'émotion télévisuelle abrutissante et anxiogène.
IL faut garder en tête que les syndicats, les coopératives, les organismes communautaires, les unions paysannes, ..., contrent les toujours très fortes tentations de réductions des budgets sociaux qui hantent nos gouvernants.
On ne peut pas compter sur les médias ni sur l'apathie générale. Je pense donc que les syndicats ont un rôle important à jouer, malgré que leurs sporadiques méthodes de brutes primitives sont très questionnables.
Juste en exemple, Slick. Je suis bien content que les syndicats se soient battus avec acharnement et patience pendant plus d'une décennie, sans arracher de porte de mairie avec des parties de cochons sanguignolants, afin d'obtenir l'équité salariale des enseignantes, des infirmières et des techniciennes en service de garde, entre autres choses. Un combat non-terminé d'ailleurs. Ce qu'ils ont obtenu est insuffisant bien sûr, mais ça corrigeait en bonne partie une disproportion historique.
Cela ne demande qu'à continuer de se parfaire.
Ça fait juste 40 ans qu'on n'est plus un pays sous-développé... faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain.
--Message edité par velero--
Je pense comme toi Véléro
Je sais que se sont pas tous des travailleurs acharnés mais les syndicats sont encore nécessaires .
Je suis d'accord avec le début de ton texte, Slick, par contre, je trouve important que des groupes continuent de défendre les acquis sociaux durement construits. Tu es pour la réinginiaiserie de Charrue, la privatisation?
D'accord, le privé fait mieux dans certains domaines. Bien sûr il y a des pogneux de beignes syndiqués qui créent des préjugés tenaces, mais plusieurs études et analyses économiques prouvent le contraire dans bien des secteurs: le public fait mieux que le privé dans bien des cas. (Je pense seulement aux couts administratifs du système de santé étasuniens qui dépassent les nôtres de 20 ou 30%, leur non-réglementation des couts des médicaments au nom du principe de la saine concurrence où encore là, les prix dépassent les nôtres de 20 à 30%, etc...)
D'accord, les syndicats utilisent des méthodes sensasionnalistes, mais ça semble être la norme pour obtenir son 2 minutes aux nouvelles. Sinon, les gens ne prêtent aucune attention à la situation. C'est dommage, mais c'est ça qui est ça!
Je suis d'accord aussi que certains syndicats abusent et protègent des incompétents connaissants davantage leur convention que leur définition de tâche, comme dit Soleil. Des règles peuvent être définies pour éviter ce genre d'abus, il faut faire ces batailles au niveau local, s'investir malgré l'immobilisme et le conservatisme des meubles que sont la plupart des représentants syndicaux.
Je pense aussi que certains syndicats se sont sclérosés et qu'ils ont perdus de vue leur vraie mission. Ça leur appartient et plusieurs d'entre eux sont d'ailleurs en réflexion sérieuse quant à leur rôle pour les années 2000. Ils élargissent leur mandat, épousant des causes sociales et environnementales. Es-tu passé par le site de ton syndicat dernièrement, ils ne font pas que protéger des crotés catatoniques...
( http://www.csq.qc.net/ )
Par contre, faute de mieux, c'est un rapport de force entre le patronat et les syndicats qui reste absolument nécessaire et qui est fonctionnel pour l'instant.
Te verrais-tu parader pour garder ton emploi et négocier ton salaire de prof à chaque année en fonction de combien tes élèves t'ont aimé ( ) et de combien tu as su bien téter la direction par ton attitude low profil, le tout en souhaitant que ton rôle de héros des projets para-scolaires tape à l'oeil ait été remarqué et puisse te donner le droit à un pentium 100 dans le coin de la classe que tu partages avec trois autres enseignants?
En démocratie britannique, la crédibilité de l'opposition officielle dans les débats est entachée d'emblée de par leur rôle partisan. Les syndicats restent un contrepoids importants, une force mobilisatrice non-négligeable dans notre société du confort et de l'indifférence nourrie à l'émotion télévisuelle abrutissante et anxiogène.
IL faut garder en tête que les syndicats, les coopératives, les organismes communautaires, les unions paysannes, ..., contrent les toujours très fortes tentations de réductions des budgets sociaux qui hantent nos gouvernants.
On ne peut pas compter sur les médias ni sur l'apathie générale. Je pense donc que les syndicats ont un rôle important à jouer, malgré que leurs sporadiques méthodes de brutes primitives sont très questionnables.
Juste en exemple, Slick. Je suis bien content que les syndicats se soient battus avec acharnement et patience pendant plus d'une décennie, sans arracher de porte de mairie avec des parties de cochons sanguignolants, afin d'obtenir l'équité salariale des enseignantes, des infirmières et des techniciennes en service de garde, entre autres choses. Un combat non-terminé d'ailleurs. Ce qu'ils ont obtenu est insuffisant bien sûr, mais ça corrigeait en bonne partie une disproportion historique.
Cela ne demande qu'à continuer de se parfaire.
Ça fait juste 40 ans qu'on n'est plus un pays sous-développé... faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain.
--Message edité par velero--
Je pense comme toi Véléro
Je sais que se sont pas tous des travailleurs acharnés mais les syndicats sont encore nécessaires .
C'est drôle que tu me dises que j'ai mauvais caractère parce que si tu parles à ceux qui me traitent avec respect et courtoisie et qui ne me mentent pas et qui ne tentent pas de me f******, ils vont probablement te dire qu'au contraire je suis très gentil- Jean-François Mercier
Le bâillon.... hum hum hum... un mal nécessaire mais dont certains gouvernements abusent. Ceux qui sont pressés et ne veulent pas passer par le processus normal de lecture et rerelecture avec discussions et amendements peuvent choisir le bâillon qui clot le bec de l'opposition et où il n'y a que des votes, gagnés d'avance par le gouvernement majoritaire.
C'est la même chose que d'habitude au fond, sauf qu'au lieu d'en parler pendant deux mois, ils mettent directement leur premiers jets de projets en fonction.
"Cet article-là permet, si on l'utilise, quand il est invoqué par le gouvernement, à toutes fins pratiques de suspendre l'ensemble du règlement de l'Assemblée pour permettre au gouvernement d'adopter rapidement son processus... son programme législatif."
En gros, ils éliminent les débats ou contre-propositions et ils votent directement les orientations décidées au conseil des ministres.
"Au mois de juin 1992, le gouvernement libéral de M. Bourassa qui était au pouvoir, avait présenté à l'Assemblée nationale, pour adoption en moins de 24 heures, une motion qui a permis au gouvernement de faire adopter 24 projets de loi."
"Donc, le bâillon, on voit ce que c'est une procédure parlementaire qui n'avait pas été prévue pour cela au départ dans la refonte du règlement en 1984. Et, tout à coup, on a trouvé que l'interprétation qu'on pouvait faire du règlement pourrait permettre au gouvernement d'imposer, dans le fond, son rythme et de faire en sorte qu'à toutes fins pratiques l'Assemblée ne serve plus à rien."
Les assemblées, discussions et commissions parlementaires sont importantes. Elles permettent de préciser, modifier ou carrément rejeter les projets présentés. En faire fi tronque le processus démocratique en un sens mais peut aider un gouvernement à se sortir de tentatives de ralentissements et d'obstructions délibérées de la part de l'opposition.
Quand l'opposition bloque tout par protestation, le bâillon peut être une solution efficace pour assurer le continuum de l'état.
Par contre, dans la situation présente, nous assistons davantage à un gouvernement qui improvise et qui cherche à imposer ses orientations législatives le plus rapidement possible. --Message edité par velero--
C'est la même chose que d'habitude au fond, sauf qu'au lieu d'en parler pendant deux mois, ils mettent directement leur premiers jets de projets en fonction.
"Cet article-là permet, si on l'utilise, quand il est invoqué par le gouvernement, à toutes fins pratiques de suspendre l'ensemble du règlement de l'Assemblée pour permettre au gouvernement d'adopter rapidement son processus... son programme législatif."
En gros, ils éliminent les débats ou contre-propositions et ils votent directement les orientations décidées au conseil des ministres.
"Au mois de juin 1992, le gouvernement libéral de M. Bourassa qui était au pouvoir, avait présenté à l'Assemblée nationale, pour adoption en moins de 24 heures, une motion qui a permis au gouvernement de faire adopter 24 projets de loi."
"Donc, le bâillon, on voit ce que c'est une procédure parlementaire qui n'avait pas été prévue pour cela au départ dans la refonte du règlement en 1984. Et, tout à coup, on a trouvé que l'interprétation qu'on pouvait faire du règlement pourrait permettre au gouvernement d'imposer, dans le fond, son rythme et de faire en sorte qu'à toutes fins pratiques l'Assemblée ne serve plus à rien."
Les assemblées, discussions et commissions parlementaires sont importantes. Elles permettent de préciser, modifier ou carrément rejeter les projets présentés. En faire fi tronque le processus démocratique en un sens mais peut aider un gouvernement à se sortir de tentatives de ralentissements et d'obstructions délibérées de la part de l'opposition.
Quand l'opposition bloque tout par protestation, le bâillon peut être une solution efficace pour assurer le continuum de l'état.
Par contre, dans la situation présente, nous assistons davantage à un gouvernement qui improvise et qui cherche à imposer ses orientations législatives le plus rapidement possible. --Message edité par velero--
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. (Jean de la Fontaine)
Slick27 a écrit
On a été pendant des années
Un petit peuple de yes-man
Qui marchait les fesses serrées
Quand arrivait le foreman
Aujourd'hui ça' un peu changé
Les gars sont tous syndiqués
Ça jase trois-quatre autour d'une pelle
En r'gardant le plus jeune faire du zèle...!
(c'est moi le plus jeune dans mon milieu de travail...c'est qui le dernier parti quand la journée termine...!?)
C'est pas juste le fait que c'est des peanuts, mais c'est des colons qui font le grabuge...pis ça me fait chier! Je ne veux pas m'associer à ce genre de syndicalisme d'épais, de bas étage!
T'aurait du poursuivre ta citation:
Mais faudrait pas s'réjouir trop vite
On est encore des porteurs d'eau
A la solde des gens d'élite
Et des pleins d'marde en tuxedo
Quand l'boss d'une grosse corporation
Ferme son usine en Gaspésie
Te d'mandera pas ton opinion
Y' va t'slaquer sans t'dire merci!
T'es chanceux tu travail depuis 7 ans pour la même compagnie ,mais combien de gens travail aussi pour un même boss pour un salaire de misère au salaire minimum, et le boss s'en met plein les poches??? faut penser plus loin que le bout de son nez... le syndicat a sa place,l'explotation des ouvriers je pensais que c'était un temps révolu mais malheureusement ça revient à cause de gens qui pense comme toi.
On a été pendant des années
Un petit peuple de yes-man
Qui marchait les fesses serrées
Quand arrivait le foreman
Aujourd'hui ça' un peu changé
Les gars sont tous syndiqués
Ça jase trois-quatre autour d'une pelle
En r'gardant le plus jeune faire du zèle...!
(c'est moi le plus jeune dans mon milieu de travail...c'est qui le dernier parti quand la journée termine...!?)
C'est pas juste le fait que c'est des peanuts, mais c'est des colons qui font le grabuge...pis ça me fait chier! Je ne veux pas m'associer à ce genre de syndicalisme d'épais, de bas étage!
T'aurait du poursuivre ta citation:
Mais faudrait pas s'réjouir trop vite
On est encore des porteurs d'eau
A la solde des gens d'élite
Et des pleins d'marde en tuxedo
Quand l'boss d'une grosse corporation
Ferme son usine en Gaspésie
Te d'mandera pas ton opinion
Y' va t'slaquer sans t'dire merci!
T'es chanceux tu travail depuis 7 ans pour la même compagnie ,mais combien de gens travail aussi pour un même boss pour un salaire de misère au salaire minimum, et le boss s'en met plein les poches??? faut penser plus loin que le bout de son nez... le syndicat a sa place,l'explotation des ouvriers je pensais que c'était un temps révolu mais malheureusement ça revient à cause de gens qui pense comme toi.
Larousse a écrit
T'aurait du poursuivre ta citation:
Mais faudrait pas s'réjouir trop vite
On est encore des porteurs d'eau
A la solde des gens d'élite
Et des pleins d'marde en tuxedo
Quand l'boss d'une grosse corporation
Ferme son usine en Gaspésie
Te d'mandera pas ton opinion
Y' va t'slaquer sans t'dire merci!
T'es chanceux tu travail depuis 7 ans pour la même compagnie ,mais combien de gens travail aussi pour un même boss pour un salaire de misère au salaire minimum, et le boss s'en met plein les poches??? faut penser plus loin que le bout de son nez... le syndicat a sa place,l'explotation des ouvriers je pensais que c'était un temps révolu mais malheureusement ça revient à cause de gens qui pense comme toi.
Bon c'est de ma faute encore...! Pis le pire c'est que je suis syndiqué maudite marde...!
L'usine en Gaspésie à restera pas ouverte pour faire plaisir au monde...si yen a pas d'ouvrage...
T'aurait du poursuivre ta citation:
Mais faudrait pas s'réjouir trop vite
On est encore des porteurs d'eau
A la solde des gens d'élite
Et des pleins d'marde en tuxedo
Quand l'boss d'une grosse corporation
Ferme son usine en Gaspésie
Te d'mandera pas ton opinion
Y' va t'slaquer sans t'dire merci!
T'es chanceux tu travail depuis 7 ans pour la même compagnie ,mais combien de gens travail aussi pour un même boss pour un salaire de misère au salaire minimum, et le boss s'en met plein les poches??? faut penser plus loin que le bout de son nez... le syndicat a sa place,l'explotation des ouvriers je pensais que c'était un temps révolu mais malheureusement ça revient à cause de gens qui pense comme toi.
Bon c'est de ma faute encore...! Pis le pire c'est que je suis syndiqué maudite marde...!
L'usine en Gaspésie à restera pas ouverte pour faire plaisir au monde...si yen a pas d'ouvrage...