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Publié : lun. avr. 10, 2006 6:33 pm
par linus611
Azielle  a écritPar la voix de l'imagination tu peux bien dire que tu fredonnes    

Et si tu entendais ma voix, une voix d'ange.    

Publié : lun. avr. 10, 2006 6:35 pm
par Azielle
Si tu entendais la mienne... voix d'ange... déchu!

Publié : lun. avr. 10, 2006 6:36 pm
par linus611
Azielle  a écritSi tu entendais la mienne... voix d'ange... déchu!  

C'est pour ca que j'aime mieux chanter dans ma tête, au moins je peux imaginer que je chante bien.  

Publié : lun. avr. 10, 2006 6:38 pm
par Azielle
linus611  a écrit

C'est pour ca que j'aime mieux chanter dans ma tête, au moins je peux imaginer que je chante bien.  


Publié : mar. avr. 11, 2006 5:19 am
par Melonoe
Ouin dommage mais c'est la qu'on voit que c'est l'argent qui prime dans la vie. ON ne se soucie plus des téléspectateurs. On pense juste a faire de l'argent, on devrait boycotter tva parfois....mais il nous reste de bonnes émissions alors on ne peut le faire pour le moment.

Publié : mar. avr. 11, 2006 5:23 am
par Azielle
Melonoe  a écritOuin dommage mais c'est la qu'on voit que c'est l'argent qui prime dans la vie. ON ne se soucie plus des téléspectateurs. On pense juste a faire de l'argent, on devrait boycotter tva parfois....mais il nous reste de bonnes émissions alors on ne peut le faire pour le moment.  
Le vrai malheur c'est que ce n'est pas que tva pour qui l'argent prime dans la vie, je crois qu'il y a seulement télé-québec qui continue ses émissions malgré les cotes d'écoutes faibles. Vive télé-québec  

Publié : mar. avr. 11, 2006 5:24 am
par linus611
Azielle  a écrit
Le vrai malheur c'est que ce n'est pas que tva pour qui l'argent prime dans la vie, je crois qu'il y a seulement télé-québec qui continue ses émissions malgré les cotes d'écoutes faibles. Vive télé-québec    

Tiens déja debout toi.  

Publié : mar. avr. 11, 2006 5:30 am
par linus611
Azielle  a écrit
Le vrai malheur c'est que ce n'est pas que tva pour qui l'argent prime dans la vie, je crois qu'il y a seulement télé-québec qui continue ses émissions malgré les cotes d'écoutes faibles. Vive télé-québec    

Oui moi je pense a tout ces excellent comédiens qui devront faire comme Chantal Paris.    

Publié : mar. avr. 11, 2006 6:02 am
par Azielle
linus611  a écrit

Oui moi je pense a tout ces excellent comédiens qui devront faire comme Chantal Paris.    

AHhHAHAH   , ouaip j'ai du me lever pour faire ma super lecture de philo!

Publié : mar. avr. 11, 2006 6:06 am
par linus611
Azielle  a écrit
AHhHAHAH   , ouaip j'ai du me lever pour faire ma super lecture de philo!

C'est quelle philosophe en fait, Pierre K. Péladeau.  

Publié : mar. avr. 11, 2006 6:21 am
par Melonoe
Azielle  a écrit
Le vrai malheur c'est que ce n'est pas que tva pour qui l'argent prime dans la vie, je crois qu'il y a seulement télé-québec qui continue ses émissions malgré les cotes d'écoutes faibles. Vive télé-québec    


Oui c'est vrai tu as raison , il n'y a pas que tva. Et comme tu dis télé-québec envoie ses émissions jusqu'au bout meme si ca marche pas fort. Les autres devraient copiés sur eux.
En tout cas meme si on chiale , c'est pas nous qui mènent alors il faut subir ce qu'ils font.

Publié : mar. avr. 11, 2006 6:27 am
par Azielle
Melonoe  a écrit


Oui c'est vrai tu as raison , il n'y a pas que tva. Et comme tu dis télé-québec envoie ses émissions jusqu'au bout meme si ca marche pas fort. Les autres devraient copiés sur eux.
En tout cas meme si on chiale , c'est pas nous qui mènent alors il faut subir ce qu'ils font.

AHAHAH non! Sigmun Freud ma chère

Publié : mar. avr. 11, 2006 6:27 am
par Azielle
woUps j'ai pas cité la bonne personne désolée!

Publié : mar. avr. 11, 2006 6:51 am
par linus611
Azielle  a écrit
AHAHAH non! Sigmun Freud ma chère

Je préfère et de loin Carl Gustav Yung mais question de choix. C'est un spécialiste des phénomènes dites un peu bizarroïdes. En tout cas il m'a aidée a me brancher sur mon supraconscient.

Publié : mar. avr. 11, 2006 6:52 am
par Azielle
Lecture imposée que veux-tu que j'y fasse    Moi j'aime bien Ionesco  

Publié : mar. avr. 11, 2006 6:55 am
par linus611
Azielle  a écritLecture imposée que veux-tu que j'y fasse    Moi j'aime bien Ionesco    

Ca je suis servi, j'en ai un a la maison.  

Publié : mar. avr. 11, 2006 6:59 am
par linus611
Oh shit je me sauve, ma fille vient de se brancher sur msn, je risque une volée verbale, ben oui je n'ai pas envoyée ces trucs en Colombie Britannique encore.  

Publié : dim. avr. 16, 2006 1:35 am
par linus611
Médias: Des choix à faire en télévision
Paul Cauchon
Édition du lundi 27 mars 2006

Mots clés : Québec (province), Média, télévision

Les décisions de TVA ont frappé l'imagination depuis deux semaines. Le réseau a annoncé qu'il renonçait à présenter la suite de deux séries fort populaires, Vice caché et Un homme mort, par manque d'argent. Une décision qui survient après la décision de reporter de plusieurs mois la diffusion de Nos étés et du Négociateur, en espérant profiter d'un marché publicitaire plus favorable.

L'équation est simple : TVA diffuse des séries qui coûtent cher (Un homme mort, c'est 850 000 $ l'épisode). Le réseau facture aux annonceurs un montant selon l'auditoire qu'il estime atteindre. Dans le cas d'Un homme mort, l'auditoire a été moins élevé que prévu (la série rassemble autour de 1,3 million de téléspectateurs, mais il semble que TVA en avait promis 1,8). Donc les chiffres ne s'équilibrent pas, donc on doit offrir des ristournes aux annonceurs, donc on manque d'argent pour commander une suite. Faudrait-il accroître, dans le financement, la part des organismes publics comme Téléfilm ou le Fonds canadien de télévision ? Avec la multiplication des chaînes, ils n'arrivent même pas à répondre à toutes les demandes.

Dans cette logique financière implacable une question taboue subsiste : comment se fait-il que TVA ne puisse pas investir une partie de ses profits (parce que, paraît-il, certaines émissions moins coûteuses génèrent beaucoup d'argent) pour soutenir une série prestigieuse qui ne serait pas immédiatement rentable ?

On n'a pas la réponse à cette question. Il est très possible, d'ailleurs, que TVA soit en train de préparer un nouveau mode de financement avec BOOM-TV, un projet de chaîne payante en attente d'une décision du CRTC, qui diffuserait en avant-première des séries dramatiques avant leur diffusion sur les ondes traditionnelles. Mais on conviendra que ce financement demeure encore aléatoire et indéterminé.



Et les producteurs ?




Tant qu'à aborder des questions délicates, allons-y avec une autre. Le télédiffuseur investit un pourcentage important des coûts de production dans une série. Certaines analyses montrent que le producteur, lui, investit très peu de son propre argent dans la production. Philippe Lapointe, le patron des programmes de TVA, déclarait la semaine dernière au Devoir que «les producteurs gèrent l'argent des autres. On leur confie de l'argent du gouvernement, des institutions, des diffuseurs, en échange d'un pourcentage du coût de production». Serait-il possible de s'interroger sur l'apport financier réel d'un producteur dans une émission sans que les producteurs sautent au plafond ?



Allons-y avec un dernier sujet tabou. Serait-il possible d'améliorer l'auditoire des séries québécoises si elles n'étaient pas aussi souvent en concurrence les unes avec les autres sur les grands réseaux ? Soulever cette question, c'est remettre en question la sacro-sainte compétition entre les réseaux...

Mais une fois ces questions posées, le débat n'est pas terminé. Car la crise de l'auditoire est réelle, elle aussi. L'auditoire de la télévision ne diminue pas : il s'éparpille (en passant, c'est un problème qui ne concerne pas que TVA, puisque Radio-Canada a également annoncé qu'elle privilégiait des séries moins coûteuses l'année prochaine).

Il y a encore quelques années, les grands succès de la télévision québécoises attiraient régulièrement entre deux et trois millions de téléspectateurs. Ce sont des chiffres qu'on ne voit plus. L'auditoire s'est d'abord morcelé avec les multiples chaînes spécialisées. Ce morcellement se poursuit maintenant avec les nouvelles plateformes de diffusion. Exemple simple : si on avait effectué un sondage sur mes habitudes télévisuelles l'année dernière, en utilisant l'audimètre électronique de la firme BBM qui sert de mesure à l'industrie, on pourrait croire que je ne connais pas la série Six pieds sous terre. J'en suis pourtant un fan. Mais je ne l'ai jamais regardée dans sa case-horaire officielle. Je l'ai toujours regardée sur DVD, au pire, après l'avoir enregistrée sur cassette.

À TVA, on soutient que Le coeur a ses raisons a été vu par des centaines de milliers de téléspectateurs qui l'ont commandé sur le service Illico de Vidéotron. Ces auditeurs n'apparaissent nulle part dans les chiffres d'écoute officiels. Dans Le Devoir de samedi, le grand patron de Quebecor, Pierre-Karl Péladeau, appelait tous les participants de l'industrie à «revoir les règles du jeu» pour mieux répartir les droits dans cet univers multiplié où la télévision peut et pourra être consommée sur DVD, sur des services comme Illico, sur l'enregistreur numérique personnel, sur Internet, sur le cellulaire.

Mais personne n'a encore trouvé la formule miracle pour mieux répartir ces droits, et le temps presse. Pour le moment, lorsque les diffuseurs proposent de diffuser une émission sur un autre support que la télévision traditionnelle, les créateurs font valoir qu'il faut verser des droits supplémentaires parce qu'on atteint un nouveau public. Les diffuseurs rétorquent qu'il s'agit du même public qu'avant, mais ailleurs. Ou bien ils rétorquent qu'on va ainsi chercher des revenus supplémentaires impossibles à trouver en télévision traditionnelle, et tout le monde devrait en être bien content sans exiger plus. Mais ces revenus supplémentaires potentiels, où vont-ils exactement ? À l'entreprise de diffusion ou aux créateurs ?


Publié : dim. avr. 16, 2006 4:01 am
par linus611
Coudon, je suis tu en train de le trouver sympathique moi la Pierre K. Péladeau, pincez moi quelqu'un.

Non mais après avoir foutu la merde avec la convergence, voila tu pas qu'il essaie de trouver une solution. On appelle tu ca des remords de conscience ou tout simplement, commencer a avoir une conscience.  

Publié : dim. avr. 16, 2006 4:52 am
par Melonoe
linus611  a écritCoudon, je suis tu en train de le trouver sympathique moi la Pierre K. Péladeau, pincez moi quelqu'un.

Non mais après avoir foutu la merde avec la convergence, voila tu pas qu'il essaie de trouver une solution. On appelle tu ca des remords de conscience ou tout simplement, commencer a avoir une conscience.  

C'est peut-être que les gens commencent a parler contre lui et a l'hair. Ca lui a fait changer d'idées . J'espère bien qu'il va trouver une solution , on n'aura pas chialer pour rien au moins , tu penses pas ?