LE DOMAINE BLEU

Et bien Denis Drouin rejoint pas mal ce que disait le vérificateur général Renaud Lachance!

Pourquoi madame Yolande James s'entête à ne rien admettre? Ça cache quoi? C'est pourtant clair que c'est un nombre démésurés qui arrive par rapport à notre capacité d'accueil et qu'il y a des problèmes quelque part! Oui il faut accueillir des immigrants, mais pas au point de déborder!

Ils veulent quoi?? Déloger le pays de ses sociétés fondatrices? En tout cas ce gouvernement va devoir arrêter de nous prendre pour des valises, un moment donné! Et il sertait temps qu'on leur signale qu'ils ont des comptes à rendre sur les dossiers d'immigration!!

Et en plus Madame James prétend savoir ce que les québécois pensent, mais bon, pour ce qui en tiennent compte... On a seulement qu'à voir de quoi ils en ont à foutre de ce que pensent les québécois dans le dossier sur la construction!

Qu'ils prennent des immigrants qui sont intéresser à travailler dans les bons domaines qui ont besoins comme dans l'hotelerie et la restauration, pas des diplômés de science "quelque chose" qu'on a même pas besoin comme le disait le vérificateur général même certains diplômés québécois ne travaillent pas toujours dans leurs domaines!
Et pour les diplômés en santé, il faut que leur diplôme correspondent aux fonctionnements d'ici, j'imagine que c'est pour ça que c'est difficile pour eux de se trouver une place!!

Cyne03 a écrit : [...]


C'est drôle que tu dises ça parce que la plupart de mes profs sont d'une autre origine. Il y a aussi mon dentiste, mon médecin, les patrons de ma job et celle de mon chum. Mais bon je me fie à aucune statistique ici je rapporte ce que je vois

Je disais que si on AUGMENTE l'immigration, on va ramasser le fonds du baril. Evidemment, il y a une bonne partie des immigrants qui sont qualifiés et utiles, c'est juste que si on augmente les quotas, on va logiquement ramasser ceux qui auraient été refusés auparavant.

Il y a aussi le fait que la qualité de l'immigration a baissé depuis plusieurs années - les vagues d'italiens et de portuguais et de grecs des années 50-60 (qui se sont intégrés assez facilement) ont été remplacées par des hindous, des tamouls et des musulmans, qui ne s'intègrent pas aussi facilement. J'habite dans un quartier d'immigration récente et ce n'est pas jojo - essayer de se faire servir en français par un iranien ou un tamoul, c'est assez difficile.

Au départ désirer une immigration massive pour la solution à tout, sans parler du problème de l'indépendence, est assez suspect!

En bref, le Québec priorise plus la langue française que les besoins en main d'oeuvre du Québec

On ira pas loin amanché de même...

Je sais pas pour vous, mais moi je vois ça de même

C'est beau la langue... Mais faut pas oublier qu'on est 6 millions de francophones dans 340 millions en amérique du nord (canada + US). On est juste 1.8% du monde en amérique du nord.

C'est certain qu'on gagnera JAMAIS la bataille.

Maintenant on décide quoi ?

Faut tu que nos enfant paient encore en 2010 parce qu'on a perdu sur les plaines d'abraham en 1759 ?

Si nos enfant parlent pas anglais, on va devenir un gettho, ils ne pourront jamais accéder aux hautes sphères de direction, peu importe leur intelligence.

On veux tu ça pour nos enfants au Québec dans cette ère de mondialisation ?

C'est ben beau le français, mais faut en revenir me semble. non ?

Signé une fille Péquiste issue d'un père franco-ontarien parfaitement bilingue qui a mieux gagné sa vie que ses cousins de Montréal unilingue français.

La langue est très importante ,mais pas le seul critère de sélection.......sinon on risque de perdre dans la qualité de gens a faire venir ici .......par contre , cour de français obligatoire a tous immigrants qui ne parle français......c'est l'idéal

Panda a écrit : En bref, le Québec priorise plus la langue française que les besoins en main d'oeuvre du Québec

On ira pas loin amanché de même...

Je sais pas pour vous, mais moi je vois ça de même

C'est beau la langue... Mais faut pas oublier qu'on est 6 millions de francophones dans 340 millions en amérique du nord (canada + US). On est juste 1.8% du monde en amérique du nord.

C'est certain qu'on gagnera JAMAIS la bataille.

Maintenant on décide quoi ?

Faut tu que nos enfant paient encore en 2010 parce qu'on a perdu sur les plaines d'abraham en 1759 ?

Si nos enfant parlent pas anglais, on va devenir un gettho, ils ne pourront jamais accéder aux hautes sphères de direction, peu importe leur intelligence.

On veux tu ça pour nos enfants au Québec dans cette ère de mondialisation ?

C'est ben beau le français, mais faut en revenir me semble. non ?

Signé une fille Péquiste issue d'un père franco-ontarien parfaitement bilingue qui a mieux gagné sa vie que ses cousins de Montréal unilingue français.

Est-ce que l'un empêche l'autre? Les Péladeau, les Bronfman, les Molson, les Desmarais, les hommes d'affaires du Québec quoi, parlent français et anglais. Si tu veux la disparition du fait français en Amérique, tu ne peux mieux choisir que de laisser aller.

Je suis unilingue français capable de me débrouiller en anglais (je ne me taxe pas d'être bilingue) suffisamment pour comprendre mes cousins et cousins qui pour la très grande majorité vivent aux USA issus de pères et de mères typiquement québécois. Eux, ne me comprennent pas dans ma langue maternelle par contre et ce sont des Martel, des Lavoie, des Nolin, des Lacroix, etc.

Rénatane a écrit : La langue est très importante ,mais pas le seul critère de sélection.......sinon on risque de perdre dans la qualité de gens a faire venir ici .......par contre , cour de français obligatoire a tous immigrants qui ne parle français......c'est l'idéal

Exactement - si un tamoul veut venir habiter au Québec c'est parfait mais ce sera en français.

Rénatane a écrit : une chance qu'on est informatisé car on doit écrire le noms des résidents et ils ont beaucoup de lettres

Les plus ''intenses'', c'est les Indiens je crois. J'ai déjà vu un patient avec un nom de famille si long qu'on avait seulement mis l'initiale de son prénom sur sa carte d'assurance-maladie.

Publié le 21 juin 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

Accueillir les immigrants de Québec... à Montréal?
Isabelle Mathieu
Le Soleil

(Québec) Les immigrants de Québec ont plein d'idées pour attirer davantage leurs ex-compatriotes dans la capitale; par exemple, ouvrir un bureau d'accueil de la Ville de Québec à l'aéroport... de Montréal.

Cette solution, et bien d'autres, figurent dans le rapport de la consultation sur le projet de politique sur l'immigration qui s'est tenue le 1er mai et a rassemblé 144 personnes à l'Université Laval. La plupart des immigrants arrivent en avion à l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal, ont rappelé les participants. «Une fois installés de façon temporaire, la tentation est forte d'y rester», ont dit les immigrants consultés.

D'où l'idée de créer un bureau d'accueil à l'aéroport «qui prendrait en charge les personnes ayant exprimé le désir de s'établir à Québec, et ce, dès leur arrivée, et qui les accompagnerait dans leurs premières démarches d'installation».

Cette façon de faire plus proactive démontrerait une ouverture aux nouveaux arrivants, jugent les participants à la consultation. «Cette prise en charge de l'individu nous éviterait de perdre ces nouveaux arrivants au profit de Montréal», peut-on lire dans le rapport.

Vite, une maison interculturelle

Les participants à la consultation ont aussi insisté sur l'importance d'offrir un lieu physique d'échange pour les immigrants et les organismes qui les aident à Québec. Sous l'administration L'Allier, la Ville de Québec avait prévu transformer l'ancienne résidence Sainte-Geneviève des Soeurs du Bon-Pasteur, sur la colline parlementaire, en maison interculturelle. Le projet avait été abandonné par la mairesse Andrée Boucher.

Depuis, l'Université Laval caresse l'idée d'ouvrir une maison internationale sur son campus, dans son nouveau complexe de résidences. Le projet n'a toutefois pas beaucoup avancé au cours des dernières années.

La Ville de Québec et les organismes auraient intérêt à maintenir leurs programmes d'accompagnement une fois passée la période d'accueil. Les immigrants consultés ont noté un manque de ressources qui peut «avoir pour conséquences de mener au départ de certains individus qui voulaient vraiment s'établir ici», disent-ils.

Moins d'exigences sur le français

Pour permettre aux nouveaux arrivants d'accéder plus facilement à la fonction publique municipale, les immigrants réclament une plus grande souplesse lors de l'embauche. «Par exemple, les exigences de réussite aux épreuves de français pourraient être modulées selon le poste recherché», peut-on lire dans le rapport de consultation. «Cela réduirait les barrières dans des cas où elles ne sont pas nécessaires.»

Au moins autant que l'accès à l'emploi, trouver une habitation de qualité incitera l'immigrant à demeurer à Québec. Pour l'aider, la Ville devrait favoriser l'accès au logement social pour les immigrants, ont suggéré des participants à la consultation. Certains ont même soulevé l'idée d'établir un quota de logements par quartier réservés aux immigrants.

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