LE DOMAINE BLEU

Nikki a écrit : Je pense surtout que certains changeraient subitement d'opinion si par pur hasard, la majorité ici devenait fédéraliste

je comprends pas vraiment ce que tu veux dire ...

lucide a écrit : [...]

je comprends pas vraiment ce que tu veux dire ...

Je veux dire que ça me donne l'impression que peu importe l'argument qu'on peut apporter, même s'il est béton (ici, c'est clair que le fait de payer de l'impôt au fédéral nous donne droit à tous les privilèges que tous les citoyens canadiens ont droit) sera toujours pris à mal par certaines personnes.
Je ne comprends tellement pas qu'on puisse nier le droit aux gens de retirer des bénéfices du fait de payer leurs impôts...
Pour nier un tel argument, je me demande si ça ne prend pas une certaine dose de mauvaise foi...

Je vais expliquer mieux...

Je suis couverte par un régime d'assurances collectives. Je trouve que ce système coûte cher, et si j'avais le choix, je couperais certaines couvertures, comme l'assurance-voyage par exemple. Cependant, comme je paye pour cette assurance, si je devais annuler un voyage et m'en prévaloir, je n'hésiterais pas puisque je suis obligée de payer pour cette couverture.
Par contre, si on me laissait le choix de la prendre ou pas, c'est clair que je ne la prendrais pas.

C'est pareil pour la péréquation. Tu es obligé de payer tes impôts au fédéral, alors oui, si tu as le droit à des crédits, il n'y a absolument rien de honteux à les retirer, puisque tu fais partie du système...

Nikki a écrit : Je vais expliquer mieux...

Je suis couverte par un régime d'assurances collectives. Je trouve que ce système coûte cher, et si j'avais le choix, je couperais certaines couvertures, comme l'assurance-voyage par exemple. Cependant, comme je paye pour cette assurance, si je devais annuler un voyage et m'en prévaloir, je n'hésiterais pas puisque je suis obligée de payer pour cette couverture.
Par contre, si on me laissait le choix de la prendre ou pas, c'est clair que je ne la prendrais pas.

C'est pareil pour la péréquation. Tu es obligé de payer tes impôts au fédéral, alors oui, si tu as le droit à des crédits, il n'y a absolument rien de honteux à les retirer, puisque tu fais partie du système...

Plus clair et ben de l'allure en plus....

Placeress a écrit : [...]



Je pense qu'effectivement, Accrux a besoin de ce petit rappel.....

À oui?! Pourquoi? En quoi ça me contredit sa définition?

"Inégalité" dans le cas du Canada, c'est par rapport au revenu de la province, donc c'est les plus pauvres qui en reçoivent, pas ceux qui en paient trop...

Nikki a écrit : Je pense surtout que certains changeraient subitement d'opinion si par pur hasard, la majorité ici devenait fédéraliste

Tu penses trop..., ou pas assé.

lucide a écrit : [...]


Qu'on soit souverainiste ou non change rien a la donne. Tout quebecois vit encore au Canada et paie des impots fédérals peu importe son allégeance politique.

Et cette chere confédération que tu aimes tant a crée un systeme financier pour permettre l'entraide entre les provinces selon les besoins et le moment. l'Ontario qui fut longtemps la province la plus riche recoit maintenant de la péréquation.

Et l'Alberta a construit son empire pétrolier avec des subventions et de l'argent venant une grosse partie du Quebec parce qu'elle était trop pauvre et trop endetté et qu'elle n'avait pas les moyens d'exploiter ses puits. D'ailleurs elle recoit encore en masse des subventions pour son exploitation pétroliere.

Alors ils peuvent pas chialer tant qu'ils veulent puis si ils sont pas contents ils peuvent aussi se séparer.....

Premièrement ce n'est pas ma chère confédération du tout, tu le sais très bien depuis le temps et en plus j'ai voté OUI au référendum de 95.

Deuxièmement, pour moi ça change tout d'être souverainiste, indépendantiste, sécessionniste, autonomiste, régionisnisme, ou what ever, c'est pour être libre et autonome que l'on doit se battre. Pour être libre et autonome, on doit décentraliser les pouvoirs : Payer moins à Ottawa et donc recevoir moins.

Vouloir la souveraineté et se mettre à quatre pattes devant Ottawa à mendier prétextant que nous sommes de pauvres pauvres bien pauvres et surtout plus pauvres que les autres provinces, mettons que ça ne démontre pas ben ben d'indépandance, d'autonomie et encore moins l'aptitude à pouvoir nous gérer nous même...

Acrux a écrit : [...]

Premièrement ce n'est pas ma chère confédération du tout, tu le sais très bien depuis le temps et en plus j'ai voté OUI au référendum de 95.

Deuxièmement, pour moi ça change tout d'être souverainiste, indépendantiste, sécessionniste, autonomiste, régionisnisme, ou what ever, c'est pour être libre et autonome que l'on doit se battre. Pour être libre et autonome, on doit décentraliser les pouvoirs : Payer moins à Ottawa et donc recevoir moins.

Vouloir la souveraineté et se mettre à quatre pattes devant Ottawa à mendier prétextant que nous sommes de pauvres pauvres bien pauvres et surtout plus pauvres que les autres provinces, mettons que ça ne démontre pas ben ben d'indépandance, d'autonomie et encore moins l'aptitude à pouvoir nous gérer nous même...

De réclamer son dû c'est de se mettre à quatre pattes? Depuis quand? Quand tu écris ce genre de raisonnement, tu me fais penser au gars qui refuse de se servir d'une déduction fiscale sous prétexte qu'il ne veut pas trop dépendre du gouvernement. Quand même! La péréquation est là pour tout le monde et sois sans crainte tout le monde s'en sert à volo. Toi, dans ton esprit de partage exemplaire, tu voudrais que l'on s'en passe. Bin coudon! Ce n'est quand même pas les Québécois qui ont inventé cette gugusse-là. Et en passant, ça fait aussi partie du « deal » con-fédératif.

Beppo a écrit : [...]

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De réclamer son dû c'est de se mettre à quatre pattes? Depuis quand? Quand tu écris ce genre de raisonnement, tu me fais penser au gars qui refuse de se servir d'une déduction fiscale sous prétexte qu'il ne veut pas trop dépendre du gouvernement. Quand même! La péréquation est là pour tout le monde et sois sans crainte tout le monde s'en sert à volo. Toi, dans ton esprit de partage exemplaire, tu voudrais que l'on s'en passe. Bin coudon! Ce n'est quand même pas les Québécois qui ont inventé cette gugusse-là. Et en passant, ça fait aussi partie du « deal » con-fédératif.

Ce n'est pas une question de vouloir s'en passer simplement, c'est une question de choisir nos demandes.

Si on demande plus d'argent provenant de la péréquation c'est que l'on veut profiter de ce système, ce qui est plutôt contradictoire à la souveraineté... Parce que j'espère que tu ne t'imagines pas que dans un Québec souverain le Canada nous donnerait de la péréquation...?!

À mon avis se serait pas mal plus logique de demander de ne plus en recevoir ET de payer moins en taxe et impôts pour avoir moins de services, pour que plus de services soient gérer à Québec plutôt qu'à Ottawa...

Certainement qu'on ne serait pas gagnant puisque que l'argent de la péréquation on ne l'aurait plus, mais c'est une bonne monnaie d'échange pour négocier notre autonomie. Et avec cette autonomie vous ne pourriez plus vous plaindre constament que notre argent se perd à Ottawa puisqu'elle resterait à Québec...

Et je ne vois pas pourquoi tu es si passionné à vouloir protéger cet acquis alors que ton rêve c'est de ne plus y avoir accès...

D'autant plus que 8 milliards de plus par année en déficit, personne ne s'en rendrait compte, le PQ arrriverait quand même avec plus de services à offir aux prochaines élections...

Le Jeudi 29 avril 2010

Un litre d’eau pour aussi peu que 0,00007 $…


Les embouteilleurs payeront 70 $ pour chaque million de litres puisé.

NDLR: Dans le but d’encourager un débat ouvert et respectueux, le Blogue de l’édito ne publie que les commentaires signés. Merci de votre collaboration.

François Cardinal

Après des années et des années de promesses, Québec va finalement de l’avant avec sa redevance sur l’eau.

Dès janvier prochain, si le projet de loi est adopté, une facture sera imposée aux grands utilisateurs :

- ceux qui pompent l’eau et la revendent, sous une forme ou une autre, payeront 70 $ pour chaque million de litres utilisé;

- ceux qui pompent l’eau, l’utilisent à différentes fins, et la retournent ensuite dans l’écosystème s’en tireront avec une note d’à peine 2,50 $ le million de litres prélevé.

C’est un pas en avant, tout de même. À l’heure actuelle, l’eau est donnée, gratis, sans même que les entreprises ne soient obligées d’envoyer aux Québécois une carte de remerciement.

Mais c’est un tout petit, tout petit, tout petit pas, convenons-en.

Dans le cas d’un embouteilleur d’eau, par exemple, cela représentera une facture de sept millièmes de cent par litre. Il peut donc mettre la main sur un litre de ce «bien collectif» pour aussi peu que 0,00007 $ et le revendre pour 2 $.

Cette fois, il y a peu de chance que les consommateurs se rebiffent, même si on leur refile la totalité de la facture…

http://blogues.cyberpresse.ca/edito/201 ... ECRAN1POS2" onclick="window.open(this.href);return false;

Pis on vient nous dire qu'on ne paye pas assez nous la classe moyenne.

Cadres de cégeps dorlotés à vos frais
29 avril 2010 | 06h13

Sébastien Ménard
Agence QMI

Malgré l'état lamentable des finances publiques, les cégeps dépensent des dizaines de milliers de dollars pour réunir leurs cadres dans des centres de villégiature enchanteurs, a appris le Journal. Ces formations et «séances de travail» ont même donné l'occasion à certains fonctionnaires de se détendre dans de luxueux bains extérieurs...

Des documents obtenus grâce à la Loi sur l'accès à l'information révèlent que 26 des 48 Cégeps du Québec ont senti le besoin de réunir leurs gestionnaires «à l'extérieur» au moins une fois, depuis le début de l'année 2009-2010.

Alors que les contribuables sont confrontés à une multitude de hausses de taxes et de tarifs, ces collèges ont dépensé pas moins de 112 000 $ dans des «lacs-à l'épaule», formations et réunions de «planification stratégique.»

À lui seul, le Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu a englouti 21 750 $ dans deux formations, depuis le mois d'août dernier.

La plus coûteuse d'entre elles s'est tenue à l'auberge Estrimont, à Orford.

Profitant du «forfait» payé par l'institution pour chaque gestionnaire, au moins trois des 27 participants ont pu bénéficier de «l'expérience thermique» offerte sur place. L'endroit compte notamment de chics bains à remous extérieurs, un sauna finlandais, une douche nordique et une yourte de détente.

La porte-parole du Collège, Nathalie Beaudoin, précise que l'utilisation de ces installations était incluse dans le prix de l'hébergement et que les cadres concernés y ont pataugé «en dehors des heures de travail.»

L'autre formation organisée par ce Cégep s'est tenue au Manoir Rouville Campbell, en Montérégie. Encore une fois, une vingtaine de cadres y ont participé.

Lac Carling et Aquarium

Le Centre de villégiature du Lac Carling, dans les Laurentides, a lui aussi vu défiler de nombreux fonctionnaires du réseau collégial, depuis le début de l'année.

En septembre dernier, 27 gestionnaires du Cégep Ahuntsic y ont séjourné pendant deux jours, à l'occasion de la «session des cadres.» Coût de la facture : 9 900 $, dont 1 200 $ pour rembourser l'essence des fonctionnaires qui y sont allés.

Un mois plus tard, c'était au tour de 29 gestionnaires du Collège Vanier de passer deux jours sur place. Ce «lac-à-l'épaule» a coûté 8 800 $ aux contribuables.

D'autres rencontres de cadres ont été tenues à l'Auberge Godefroy et à l'Aquarium de Québec.

Le Cégep de Thetford a pour sa part dépensé 11 000 $ pour une «réunion de planification stratégique» au Centre de villégiature Jouvence.

«Inacceptable», dit la ministre

Invités à s'expliquer, les cégeps ont à peu près tous répondu la même chose : la tenue de ces réunions aurait été «impossible» dans les locaux du collège, il s'agissait d'événements «exceptionnels» mais «essentiels», et les cadres qui y ont participé «n'ont pas chômé.»

Certains soutiennent aussi que le ministère de l'Éducation approuve implicitement la tenue de ces formations dans des auberges, puisqu'une subvention leur est parfois octroyée pour les organiser.

Mais la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, ne l'entend pas ainsi. «Les dépenses exagérées du personnel des cégeps, c'est inacceptable», tranche son attachée de presse, Tamara Davis.

Elle reconnaît que des subventions ont été accordées à certains collèges, mais ces sommes ne devaient servir «qu'à payer le coût des formations», insiste-t-elle.

Le Ministère n'a aucun contrôle sur le lieu choisi par les cégeps pour organiser de telles réunions, assure Mme Davis.

«Le récent budget rappelle aux partenaires du réseau de l'éducation qu'ils doivent exercer une certaine prudence dans leurs dépenses», ajoute-t-elle.

Une lettre leur sera d'ailleurs expédiée «très prochainement» en guise de rappel, souligne Tamara Davis.

Avec la collaboration de Mathieu Turbide et de Serge Laplante, notre recherchiste à l'Assemblée nationale.

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/que ... 61325.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Et pendant ce temps on gele dans les locaux sous prétexte qu'on doit sauvé du chauffage, les mur son dégueulasse faute de ne pas avoir été peinturer depuis 10 ans, on doit se battre durant des années pour obtenir un maigre montant d'argent pour faire une fresque sur un mur du cégep.

Moi ca commence drolement a me faire chier tout ses gros dirigeant qui se la coule douce a place de mettre l'argent ou ca devrait aller c'est a dire directement dans le service de base.

Lu dans La Presse Affaires de ce vendredi 30 avril 2010 en page 5.

Une fête de 45 000 $ pour souligner le départ de Rousseau de la Caisse de Dépôt en août 2008.

17 749 $ pour les hommages,
10 549 $ pour la logistique,
16 849 $ pour l'équipement audio-visuel.

Et n'oublions pas sa prime de séparation de 378 750 $ pour son bon travail accompli soit un déficit de 39,8 milliards de dollars soit un rendement de -25%.

Petit détail : la fête a duré de 16h à 17 h 30.

Quelle belle retenue, hein!

Rien qu'a coupé dans ce gras la y auront meme pas de misere a atteindre leur 62% c'est patétique.

Les bonis à la SAQ en hausse de 134%
Publié le 30 avril 2010 à 14h47 | Mis à jour à 16h46

Patrice Bergeron
La Presse Canadienne

Les bonis versés aux employés de la Société des alcools du Québec (SAQ) ont grimpé de 134% en cinq ans.
Ils sont passés de 3,4 millions en 2005 à plus de 8 millions en 2009.

En commission parlementaire sur l'étude des crédits du ministère des Finances, vendredi, le député adéquiste de Shefford, François Bonnardel, a déploré qu'en comparaison, les revenus de la SAQ n'ont augmenté que d'environ 20% durant cette période.

Pas moins de 2060 employés de la SAQ sont admissibles au programme de bonification, sur un total d'un peu plus de 7000 personnes.

Le grand patron de la SAQ, Philippe Duval, a fait valoir qu'en dépit de sa situation de monopole, la société d'État est une entreprise de vente au détail qui doit rivaliser pour glaner le budget «discrétionnaire» des consommateurs, consacrés aux spectacles, aux CD, etc.

Il a souligné que sa part de marché dans ce secteur «discrétionnaire» a connu une croissance de 17%, tandis que ses ventes nettes ont progressé de 41%.

La SAQ se rabat aussi sur le fait qu'elle a livré au gouvernement un dividende de 806 millions pour 2009.

Le porte-parole péquiste en matière de Finances, Nicolas Marceau, a pour sa part soulevé que pas moins de 90% des directeurs de succursales de la SAQ ont touché des bonis en 2009. La somme totale des primes versées aux 414 directeurs de succursales l'an dernier équivaut à 2,8 millions.

Selon M. Marceau, la prime devient pratiquement un salaire régulier quand la quasi totalité des directeurs la reçoivent.

Même si le député reconnaît que les bonis sont versés en fonction de critères rigoureux, il aurait fallu tenir compte, selon lui, de l'état des finances publiques et des sacrifices qui sont demandés aux contribuables québécois.

M. Duval a tenu à préciser que seulement 51% des directeurs ont obtenu leur boni maximal l'an dernier.

Ces primes peuvent varier d'un maximum de 5600 $ à 11 700 $, en fonction des trois classes de directeur concernées.

L'administration Charest s'était engagée dans son dernier budget à éliminer les bonis versés dans l'appareil gouvernemental et au sein des sociétés d'État, sauf celles qui sont dites à vocation commerciale, comme Hydro-Québec, la Caisse de dépôt et la SAQ.

Toutefois, il a fait machine arrière et déposera prochainement un projet de loi qui forcera aussi ces sociétés à vocation commerciale à réduire leur programme de bonification.

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/" onclick="window.open(this.href);return false; ... cueil_POS1

Le Québec dans le rouge
Des millions pour se rafraîchir
Mathieu Turbide
Le Journal de Montréal
03/05/2010 04h59


Les contribuables de tout le Québec - et même du Canada - paieront plus de 800 000 $ pour améliorer les jeux d'eau dans trois beaux parcs de la cossue banlieue de Saint-Lambert, sur la Rive-Sud de Montréal.

Saint-Lambert a beau être la 7e municipalité la plus riche du Québec - aux côtés de Beaconsfield, Senneville et Baie D'Urfé - elle profitera quand même de l'aide des fonds publics pour se payer des pataugeoires et embellir ses parcs.

Québec et Ottawa ont en effet annoncé, vendredi, l'octroi d'une somme de 866 169 $ à la Ville de Saint-Lambert pour qu'elle finance la rénovation de trois pataugeoires et d'une piscine, en plus de l'installation de jeux d'eau dans trois parcs de cette municipalité, la 7e plus riche du Québec.

Cette subvention est accordée aux Lambertois dans le cadre du Programme d'infrastructures de loisirs Canada- Québec. La Ville devra payer environ un million de dollars pour compléter les travaux, dont le coût total s'élèvera à 1,8 million $.

Nicole Ménard, la ministre du Tourisme du Québec et députée de la circonscription de Laporte, qui inclut Saint-Lambert, a indiqué que cette subvention «encouragera la population de Saint-Lambert »à être active physiquement«. »Nous savons à quel point la natation et la baignade constituent des loisirs populaires, qui amènent un grand nombre de personnes de tous âges à profiter de l'été de façon saine et sportive", a déclaré Mme Ménard.

Une «place fraîcheur» pour l'école

Soucieux de lutter contre les «îlots de chaleur», le gouvernement du Québec - l'un des États les plus froids de la planète - va investir un million de dollars pour aménager une «place fraîcheur» dans la cour de l'école secondaire Calixa-Lavallée, à Montréal-Nord. On y plantera notamment 200 arbres, 500 arbustes et 5 000 plants de vivaces.

Cette annonce, faite vendredi, s'inscrit dans un «plan d'action» pour lutter contre le réchauffement climatique. Au total, le gouvernement injectera 8,7 millions $ sur trois ans pour lutter contre «les îlots de chaleur».

Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, en fait même une question de santé. Cette place, dit-il «protégera les élèves et la population avoisinante contre la chaleur accablante, qui, nous le savons, présente certains risques pour la santé».

Lundi 26 avril

* 670 494 $ à la Municipalité de Baie D'Urfé pour l'aménagement d'un sentier multifonctionnel sur la rue Surrey et la construction d'une piste cyclable dans le parc industriel. Ottawa versera la même somme pour un total de 1 770 008 $.

* 324 903 $ du gouvernement du Québec à la Société de transport de Lévis qui investira dans des infrastructures telles qu'un système intégré de planification et d'exploitation (SIPE). Ottawa versera le même montant.

* 90 000 $ pour le renouvellement de l'entente de développement culturel d'une durée de trois ans entre le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine et la Ville de Rivière-du-Loup.

* 120 000 $ à quatre organismes communautaires pour améliorer les conditions de vie des aînés de la région du Centre-du-Québec.

* Prêt de 9 M$ à l'entreprise Trebio inc. de Campbell's Bay, dans le cadre du programme Renfort du gouvernement du Québec. Le financement permettra à l'entreprise de démarrer une usine de fabrication de granules énergétiques dans le comté de Pontiac. Le projet créera une soixantaine d'emplois directs et une centaine d'autres chez les sous-traitants.

* 400 000 $ à la Municipalité des Îles-de-la-Madeleine pour l'aider à optimiser le système de traitement des matières résiduelles et à y introduire des technologies mieux adaptées, en accord avec des principes de développement durable.

Mardi 27 avril

* 16 181 $ à la Ville de Mont-Saint- Hilaire dans le cadre du programme ClimatSol. Cette aide financière sera consacrée à des travaux de caractérisation du terrain du garage municipal et du dépôt de neige usée.

* 200 000 $, en provenance du Fonds de développement de la métropole, à l'organisme Vélo Québec Événements pour les activités de promotion de l'édition 2010 de la Féria du vélo de Montréal qui se déroulera entre le 29 mai et le 6 juin.

* 39 332 $ pour l'ensemencement des lacs et des cours d'eau 2010-2011 dans la région des Laurentides. Cela permettra notamment aux jeunes de s'initier à la pêche et de découvrir ainsi une activité de plein air qui fait partie du patrimoine culturel québécois. Les espèces pouvant servir à l'ensemencement sont l'omble de fontaine, la truite arc-en-ciel et la truite brune.

* 393 120 dollars à l'entreprise Fruits de mer Madeleine inc. afin de soutenir la réalisation de son projet de modernisation technologique de son équipement de transformation du crabe des neiges.

* 145 968 $ à deux pourvoiries de la Côte-Nord, soit la pourvoirie Le Chenail du Nord inc. et Les pourvoyeurs de la Rivière Corneille inc., pour l'amélioration de leurs installations d'accueil et d'hébergement.

* 168 826 $ à trois pourvoiries (Aventures Nipissi inc., Pourvoirie Yajo inc. et Pourvoirie Québec Nature inc.) pour l'amélioration de leurs installations d'accueil et d'hébergement.

Mercredi 28 avril

* 90 000 $ sur trois ans à la Conférence régionale des élus de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine (CRÉGÎM) pour consolider l'offre d'événements culturels.

* 2 507 000 $ au Centre d'hébergement Lucien-Shooner, situé à Pierreville, sur le territoire du Centre de santé et de services sociaux de Bécancour-Nicolet-Yamaska, pour des rénovations en profondeur.

* Investissements de 8 millions $ de la SGF dans Groupe Colabor Inc., un leader québécois du marché de la distribution de produits alimentaires au Québec et en Ontario.

* 825 000 $ pour soutenir la démarche de diversification et de développement de la MRC de D'Autray, dans le cadre du Fonds de soutien aux territoires en difficulté (FSTD).

* 480 867 $ pour améliorer le système de distribution d'eau potable et de collecte des eaux usées à Eastman.

Jeudi 29 avril

* 40 000 $ pour le mise en place d'un programme d'ateliers studios et de séjour de production à l'intention des artistes en nouveaux médias de la Ville de Saguenay et de l'île de Montréal. 25 000 $ à Biofrais de Sainte-Béatrix pour la production et la mise en marché de pleurotes marinés, selon une recette familiale russe. Ainsi apprêtés, ces champignons sont très prisés en Europe.

* 775 000 $ pour le déploiement d'Internet à haute vitesse dans la région de l'Outaouais, dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Papineau et dans deux municipalités de la MRC des Collines-de-l'Outaouais.

Vendredi 30 avril

* 872 5000 $ sur trois ans pour lutter contre les îlots de chaleur urbains. Une première subvention d'un million de dollars sera versée à l'école Calixa-Lavallée sur le territoire de la Commission scolaire de la Pointe-de-l'Île.

* 2 091 710 dollars à la municipalité de Montmagny, dans le cadre de l'entente fédérale-provinciale relative au Programme de renouvellement des conduites (PRECO), pour la réalisation d'importants travaux d'infrastructures. (part du Québec: 1 045 855 $)

* 2 442 660 $, dans le cadre de l'entente fédérale-provinciale relative au Programme de renouvellement des conduites (PRECO), permettra à la municipalité de Saint-Ambroise de réaliser d'importants travaux d'infrastructures. (part du Québec: 1 221 330 $)

* 2,1 millions$ pour le projet d'habitations La Porte d'or qui offrira 67 logements communautaires à des aînés en légère perte d'autonomie. Ottawa versera le même montant.

* Une garantie de prêt de 805 000 $ sur un prêt de 1,15 M$ d'Investissement Québec à l'entreprise M.P. Éco, dans le cadre d'un projet d'amélioration de la productivité. L'intervention a ainsi facilité la concrétisation d'un investissement global de près de 3 M$ qui favorisera la croissance de cette entreprise. Cela créera 40 emplois dans le secteur de la mécanique de procédé de traitement des eaux.

Sources : Portail du Gouvernement du Québec et communiqués émis par Développement économique Canada

Recherche: Serge Laplante, à notre bureau de l'Assemblée nationale. slaplante@journalmtl.com

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Compressions budgétaires - Les cabinets politiques échapperaient au couperet
La Presse canadienne 3 mai 2010 Québec


Québec — Le grand ménage promis par le premier ministre Jean Charest dans les dépenses gouvernementales pourrait bien s'arrêter aux portes des cabinets politiques, selon ce qu'a appris La Presse canadienne.

Tout indique que les ministres et le premier ministre pourront continuer à dépenser à leur guise dans leur cabinet respectif, malgré le plan d'austérité budgétaire déposé par la présidente du Conseil du trésor, Monique Gagnon-Tremblay.

Le plan d'action vise à faire en sorte que l'appareil gouvernemental donne l'exemple, en s'imposant d'ici 2013-2014 une série de compressions budgétaires devant contribuer au retour à l'équilibre budgétaire.

Or, le plan d'action est pratiquement muet sur le sort réservé aux cabinets, et ce, même si leur budget, au total, a fait un bond important entre 2003 et 2009, passant de 18,9 millions à 26,4 millions. Rien, dans le plan, n'annonce de sacrifice à ce chapitre.

Au total, le gouvernement compte sur quelque 467 personnes pour seconder les élus dans leur tâche dans les cabinets. Le plan d'action n'annonce pas, non plus, de réduction d'effectifs à ce chapitre.

Pour ce qui est de la rémunération du personnel de cabinet, par contre, le document est plus bavard. Québec abolira les primes au rendement et s'alignera sur les salaires négociés avec la fonction publique.

Ce que le document ne dit pas, cependant, c'est que, contrairement aux fonctionnaires, les employés de cabinet pourront bénéficier de passe-droit. Grâce à la procédure de dérogation aux règles, certains obtiennent un revenu bien supérieur aux normes en vigueur. En 2009, c'était le cas de quatre directeurs de cabinet et 13 attachés politiques.

Par exemple, le salaire maximal prévu pour un directeur de cabinet est de 116 000 $. Mais le salaire offert à Philippe Dubuisson, quand il dirigeait le cabinet de l'ex-ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, atteignait 155 000 $, soit 25 % plus que la norme.

Québec a aussi décrété un gel de la masse salariale «globale» des ministères jusqu'en 2013-2014 et imposé une réduction de 10 % de leur budget de fonctionnement d'ici là.

Mais qu'est-ce qui empêchera un ministre d'appliquer ces mesures uniquement au palier administratif, en préservant le budget de son cabinet? L'important, aux yeux du Conseil du trésor, «c'est que l'objectif soit respecté», a répondu la porte-parole de la présidente du Conseil du trésor, Geneviève Villemure-Denis.

http://www.ledevoir.com/politique/quebe ... u-couperet" onclick="window.open(this.href);return false;

L'autre jour, j'écoutais Arcand interviewer Monique Gagnon-Tremblay, la présidente du Conseil du Trésor. Depuis les 3 ou 4 dernières années, Charest et sa présidente se targuent de ne remplacer qu'un poste sur deux dans la fonction publique. J'ai même entendu Bolduc répéter la même rengaine aux nouvelles ce soir à TVA. Toujours z'est-il qu'Arcand demande à Gagnon-Tremblay combien de postes ont été coupés en tout depuis le régime minceur des libéraux? Timidement la madame a lancé le chiffre magique : 25. Oui, oui. 25. Toute une coupure ça, astie! J'étais mort de rire en l'entendant et je me suis fait la remarque qu'avec une réponse insipide de ce genre, elle serait aussi bien de se la fermer.



Ce soir aux nouvelles, Bolduc affirmait, aux nouvelles TVA, qu'il fallait puiser davantage dans le privé pour combler les postes dans la fonction publique chez les cadres. Pour l'année en cours, des frais supplémentaires d'environ 58 millions devront être déboursés par le gouvernement afin de tenter de répondre à la demande. Qui dit que le privé est moins coûteux? pffffffffffff

Justement...

Santé
De plus en plus de cadres venus du privé
Mise à jour : 03/05/2010 19h53

Depuis cinq ans, les coûts d’embauche de personnel administratif au privé dans le système de la santé ont bondi d’environ 40%, selon ce qu’a obtenu TVA Nouvelles.

Si des intervenants du réseau déplorent depuis quelques années le recours aux infirmières d’agences privées, les directions vont de plus en plus combler à l’externe les postes de cadres et de personnel administratif.

De fait, les montants dépensés pour l'embauche de cadres et de personnel administratif venant de l'externe sont passés d'un peu plus de 36 millions $ en 2005-2006 à près de 58 millions $ en 2008-2009. Un bond de 38% en cinq ans.

Ces révélations surviennent au moment où le gouvernement demande à tous ses ministères de réduire leurs dépenses de fonctionnement pour atteindre l’équilibre budgétaire en 2013-2014.

Cette apparente contradiction fait dire à l’opposition officielle à Québec que Jean Charest ne fait pas les bons choix.

«D'aller chercher des infirmières au privé, d'aller chercher des préposés bénéficiaires au privé, d'aller chercher des administrateurs au privé, ça finit par nous coûter plus cher que si on les gardait au public», se désole le député péquiste et critique en matière de Santé, Bernard Drainville.

Même son de cloche du côté de l’ADQ. Son chef, Gérard Deltell, estime pour sa part que le système de santé gagne en bureaucratie.

«Comment le ministre explique que depuis que son parti est au pouvoir, depuis 2003, il y a 19 pour cent plus de cadres dans le ministère de la Santé?», a demandé le député de Chauveau,alors que le ministre Bolduc devait expliquer les dépenses de son ministère pendant l’étude des crédits.

À quelque 28 milliards $ par année, la santé représente 40% de toutes les dépenses de l’État.

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Le Québec dans le rouge
35 M$ pour des équipements sportifs
Dany Doucet
Le Journal de Montréal
10/05/2010 06h18

Le gouvernement du Québec continue de subventionner allègrement la construction et la rénovation de centres sportifs municipaux et privés un peu partout en province.

De la somme totale de 81 703 569 dollars en subventions annoncée publiquement par les différents ministères du gouvernement la semaine dernière, presque 35 M$ ont été alloués pour des infrastructures de loisirs et de sports.

Par exemple, Québec et Ottawa ont accordé, à parts égales, 2 132 850 $ pour la modification du système de fabrication de neige artificielle du Mont Lac-Vert, à Hébertville. Il s'agit d'un centre de ski privé (coopérative d'employés) situé au Saguenay, une région qui n'a pourtant pas l'habitude de manquer de neige.

Dans la même région, Québec a aussi annoncé cette semaine une subvention de 9 560 000 $ à la Ville de Saguenay pour la construction d'un nouvel aréna dans l'arrondissement de La Baie. Il existe pourtant déjà le Centre sportif Jean-Claude-Tremblay dans ce secteur, mais ce dernier ne répond plus aux besoins du milieu, semble-t-il.

23 M$ à l'Impact

La subvention la plus importante de la semaine a été annoncée par le ministre des Finances lui-même, Raymond Bachand, qui a confirmé 23 millions $ de fonds publics afin d'aider l'Impact de Montréal à accéder à la Major League Soccer (MLS), tel qu'annoncé vendredi.

L'aide gouvernementale est destinée à l'agrandissement du stade Saputo et la construction d'un terrain de pratique synthétique.

Le Canadien de Montréal n'avait eu droit à aucune subvention, lui, lorsqu'il avait construit son centre d'entraînement à Brossard.

En revanche, d'autres provinces ont déjà fait plus pour obtenir une équipe dans la MLS. Le stade de Toronto a coûté 66 millions de fonds publics et celui de Vancouver 328 millions.

La subvention à l'Impact est conditionnelle à l'obtention de la franchise de la MLS (annoncée vendredi) et à son engagement à demeurer au stade Saputo pour une durée minimale de 20 ans.

Le gouvernement "se devait"

"Vous savez, les opportunités passent une fois. On est en période d'austérité, mais il faut bâtir le Québec de demain aussi" a déclaré M. Bachand à Argent, vendredi.

La construction d'un terrain d'entraînement sur surface synthétique servira aussi au soccer amateur, promet-on.

On construira aussi un immeuble parce que l'Impact aura besoin d'augmenter son personnel administratif en changeant de ligue.

Le dimanche 2 Mai

* 1 million $ à dix nouveaux projets qui mettront plus de 600 personnes immigrantes en mouvement vers l'emploi. Défi Montréal vise à donner une première chance de travail à trois groupes qui font face à des difficultés d'accès à l'emploi: les femmes immigrantes, les Québécoises et les Québécois d'origine maghrébine, les personnes des minorités visibles.

Le lundi 3 Mai

* 34 340 $ pour le remplacement du système de chronométrage à la piscine de la Ville de Thetford-Mines. Le projet vise à remplacer le tableau d'affichage pour les temps réalisés par les nageurs, par un tableau électronique répondant aux standards plus élevés requis pour tenir des compétitions d'envergure.

* 20 millions $ pour un projet d'expansion du musée d'archéologie et d'histoire de Montréal Pointe-à-Callière. Ce projet comprend un volet archéologique avec fouilles d'une partie des vestiges du marché Sainte-Anne, devenu le parlement du Canada-Uni et du secteur de la Maisondes-Marins. Il comprend aussi un volet immobilier avec la réhabilitation et la mise en valeur de la Maison-des-Marins, dont l'ouverture au public est prévue en mai 2012, et qui deviendra l'Espace Archéo-Jeunes, un lieu consacré à l'éducation et à la sensibilisation.

* 966 600 $ à la Société des arts technologiques pour l'acquisition d'équipements spécialisés. Le projet annoncé permettra au public d'avoir accès à un plus grand nombre d'oeuvres réalisées.

* 9 560 000 $ à la Ville de Saguenay pour la construction d'un nouvel aréna dans l'arrondissement de La Baie, en complément de celui existant, soit le Centre sportif Jean-Claude-Tremblay.

* 506 246 $ (253 123 $*) pour le transport en commun dans le cadre de l'entente fédérale-provinciale relative au transfert d'une partie des revenus de la taxe fédérale sur l'essence et de la contribution du gouvernement du Québec.

* 170 000 $ à cinq organismes de l'Estrie pour l'amélioration des conditions de vie des aînés et la promotion du vieillissement actif chez les aînés.

* 90 143 $ à la Municipalité de Maskinongé pour l'aménagement d'un parc multisports intergénérationnel: ajout d'équipements pour planche à roulettes, deux paniers de basket-ball, jeux de palets, jeux de pétanque et d'un module de jeux pour enfants. Le projet prévoit également la réfection de la patinoire existante.

* 1 000 370 $ (500 185 $*) à la Ville de Stanstead pour consolider ses conduites d'eau.

* 2 millions $ (1 M$*) à la Ville de Louiseville pour la réfection et la modernisation des équipements de réfrigération du centre sportif et la construction de nouveaux vestiaires.

* 10,4 millions de dollars pour l'agrandissement et le réaménagement du Centre de santé et de services sociaux de Jonquière.

Le mardi 4 Mai

* 3,6 millions $ pour permettre aux résidents des collectivités éloignées et isolées du Québec de se déplacer par avion à moindre coût, pour les trois prochaines années. (1,2 M$ par année jusqu'en 2013)

* 25 000 $ pour la tenue de la 33e édition du Festival du cochon de Sainte-Perpétue, qui se déroulera du 4 au 8 août 2010.

* 1,6 million $ pour les demandes déposées en 2009 à dix centres de tri, répartis dans huit régions administratives du Québec.

* 4,5 millions $ pour l'agrandissement et le réaménagement du Centre d'hébergement Marguerite-Adam à Beloeil.

* 1,5 million $ au Centre interuniversitaire de recherche sur l'analyse du cycle de vie des produits, procédés et services pour le développement d'une banque de données sur l'analyse du cycle de vie des produits, dans le but de dresser et de quantifier le bilan écologique complet d'un produit, d'une technologie ou d'un service au Québec.

Le mercredi 5 Mai

* 1,5 M$ pour 17 projets dans les domaines de l'intégration sociale et de la lutte contre la discrimination.

* 50 000 $ pour le lancement d'une nouvelle entreprise en Chaudière-AppalachesPlancher SMK, à Disraeli.

* 600 000 $ pour soutenir 12 projets reliés à la protection et l'éducation des investisseurs et l'amélioration des connaissances dans les domaines liés aux activités de l'Autorité des marchés financiers.

Le vendredi 7 Mai

* 1,1 million $ aux personnes handicapées pour le remboursement des frais relatifs à l'utilisation d'un chien d'assistance comme aide technique, pour compenser une incapacité découlant d'une déficience motrice.

* 23 millions $ pour l'agrandissement du stade Saputo et la construction d'un terrain de pratique synthétique. Cette aide est conditionnelle à l'obtention de la franchise de la Major League Soccer (MLS) par l'Impact de Montréal et à son engagement à demeurer au stade Saputo pour une durée minimale de 20 ans.

* 2 132 850 $ (1 066 425 $*) pour la modification du système de fabrication de neige artificielle du Mont Lac-Vert, à Héberville, au Saguenay. La réalisation de ce projet améliorera la capacité d'enneigement du centre de ski, permettant ainsi son ouverture sur une plus longue période, en plus d'assurer le ski de soirée, particulièrement prisé dans ce centre.

* 14 147 $ au Village de Val-David pour la mise à jour de son plan des mesures d'urgence.

* 75 000 $ au Fonds d'aide pour la protection des rivières à saumon en difficulté.

* 191 209 $ (95 605 $*) à la Municipalité de Saint-Michel-de-Bellechasse pour l'amélioration les installations sportives et récréatives du Havre aux sports Camille-Boutin: terrains de tennis, de soccer, de badminton, de pétanque, de fer et de ballon-panier, un pavillon de services, jeux d'eau, anneau de course, mur d'escalade et jeu de palets.

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