Je ne dis pas que les autre se cassent le cul, je dis que la longueur des études font qu'ils ont accès moins vite à un bon salaire. Et comme je l'ai dit à un autre post ça englobe aussi les autres professions qui demandent beaucoup d'études et d'efforts.Placeress a écrit : [...]
Bien, je dois réellement mal comprendre ton point, car j'avais cru comprendre que tu dis qu'on chiale contre les médecins, et qu'en revanche ceux qui chialent sont ceux qui ce pogne le cul..... je dis que je pense qu'on peut chialer, sans qu'on soit étiqueté comme des gens qui n'ont rien fait de leur vie........ mais peut-être que je saisis mal ton propos.
Les médecins claquent la porte du public
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Re: Les médecins claquent la porte du public
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Re: Les médecins claquent la porte du public
Ce n'est pas parce que ton neveu étudie en médecine qu'il a tous ces privilèges, mais parce que ses parents en on les moyens. La différence elle est là.lucide a écrit : [...]
Je vois la vie difficile de mon neveu...
fils de medecin naturellement...
Papa a acheté un condo a coté de l'université et paie une bonne partie des dépenses, le voyage dans le sud pour le repos a Noel et en avril.
Il travaille que l'été a la clinique médicale de papa.
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Re: Les médecins claquent la porte du public
Peut être que toi tu le réalise.Nikki a écrit : [...]
Ben oui on le réalise!.. Je me tue à le dire que c'est loin d'être un système gratuit!!!... Il coûte un bras sur nos impôts et taxes!..
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Re: Les médecins claquent la porte du public
.anthurium. a écrit : [...]
Ce n'est pas parce que ton neveu étudie en médecine qu'il a tous ces privilèges, mais parce que ses parents en on les moyens. La différence elle est là.
Je te cite:
Les médecin représentent "la richesse" c'est bien connu qu'au Québec on n'aime pas les "riches", on ne vois que le négatif chez eux.
Il ne faut pas oublier que le médecin a fait beaucoup de sacrifice pour en arriver là ou il est. La vie d'étudiant est très longue quand on désir devenir médecin. Pendant que d'autres on des salaire beaucoup plus tôt dans la vie.Il a l'air "king" le jeune décrocheur qui viens faire le beau avec son auto dans la cour de l'école pendant que les autres ont le nez dans leur livres. Après il vieillit et chiale contre le médecin qui gagne trop.
Je réagissais a ton commentaire. Alors c'est quand mëme plus facile de se concentrer sur tes longues études quand tu n'as pas de loyer a payer, que tu manges a ta faim, que l'automobile et les vacances sont fournies.
Ca ne fait pas de mon neveu un etre moins gentil ou moins compétent et il apprécie sa chance ..
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Re: Les médecins claquent la porte du public
Je me répète. Ce que tu dis a simplement rapport avec le salaire de ses parents, Il étudierait en mécanique et aurait le même train de vie avec voiture luxueuse et tout.lucide a écrit : [...]
Je te cite:
Les médecin représentent "la richesse" c'est bien connu qu'au Québec on n'aime pas les "riches", on ne vois que le négatif chez eux.
Il ne faut pas oublier que le médecin a fait beaucoup de sacrifice pour en arriver là ou il est. La vie d'étudiant est très longue quand on désir devenir médecin. Pendant que d'autres on des salaire beaucoup plus tôt dans la vie.Il a l'air "king" le jeune décrocheur qui viens faire le beau avec son auto dans la cour de l'école pendant que les autres ont le nez dans leur livres. Après il vieillit et chiale contre le médecin qui gagne trop.
Je réagissais a ton commentaire. Alors c'est quand mëme plus facile de se concentrer sur tes longues études quand tu n'as pas de loyer a payer, que tu manges a ta faim, que l'automobile et les vacances sont fournies.
Ca ne fait pas de mon neveu un etre moins gentil ou moins compétent et il apprécie sa chance ..
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Re: Les médecins claquent la porte du public
.anthurium. a écrit : [...]
Je ne dis pas que les autre se cassent le cul, je dis que la longueur des études font qu'ils ont accès moins vite à un bon salaire. Et comme je l'ai dit à un autre post ça englobe aussi les autres professions qui demandent beaucoup d'études et d'efforts.
Études en médecine:
2 ans de pré-med, 1 ans d'externat, 1 an d'internat, entre 4 à 6 ans de résidence dépendamment de la discipline. (peut-être même que j'ajoute une année de trop, j'ai un blanc)
À partir des études en pré-med, ils ont une marge de crédit illimitée à la banque en prêts étudiant avec intérêts à taux étudiants pour le reste de leurs études....... à partir de la résidence, ils ont de plus.... un salaire de quarante milles dollars par année.......
Donc, université à l'âge de 18 ans...... avec, marge de crédit illimité, et salaire de 40 milles par année partir de l'âge de 22 ou 23 ans...... plus la marge de crédit........ c'est peut-être moi, mais je trouve que c'est un bon salaire pour cet âge et pour un étudiant...... ensuite, ils ont le salaire d'un médecin généralement en bas de trente ans......... m'pense que c'est bon.......
Ce qui peut être frustrants pour les résidents, c'est qu'ils posent tous les gestes et les interventions d'un médecins, mais c'est leur patron qui est payé pour l'acte....... par contre, c'est le patron qui prend les décisions finales et accepte les décisions des résidents, donc, qui est imputable des erreurs du résident........ donc, ça me semble juste.
Bon on peut s'entendre que les étudiants en médecine ne roulent pas en Audi pendant leurs études mais je ne les est jamais vu mourir de faim et se priver vraiment.
Pour les autres professions, je ne connais pas.
Dernière modification par Placeress le jeu. févr. 04, 2010 2:46 pm, modifié 5 fois.
Re: Les médecins claquent la porte du public
Je viens de lire cette chronique sur le site Jobboom, voici le commentaire de Mr Lan Vi Pham. Il n'a pas tout à fait tort...
Les Québécois manquent de colonne vertébrale
Voici un courriel reçu en réaction à sa dernière chronique dans le Magazine Jobboom, Pissous!. Attention, ce point de vu «immigrant» sur la société québécoise fait mal à l'égo national.
Qu'en pensez-vous?
Mille mercis pour votre chronique "pissous" ayant paru dans le magazine Jobboom de janvier. Je vous en prie, poussez encore plus loin la comparaison avec les pays qui MARCHENT, même lorsqu'ils sont aussi controversés qu'Israël. Nous avons besoin, au Québec, qu'on se réveille de cette léthargie citoyenne si délétère.
Puisque vous avez le courage (que je salue) de ne pas mâcher vos mots, j'ose vous faire part moi aussi de ce que je crois être le défaut impardonnable des Québécois: ils ne sont pas assez ambitieux. Et qu'on cesse de trouver à ce péché capital pour toute société avancée des excuses dans l'histoire.
Pour ne pas allonger indûment ce courriel, je ne donnerai que quelques exemples. Ma mère est anesthésiste approchant la retraite. Elle forme souvent de nouveaux médecins. Un constat: les jeunes médecins veulent surtout gagner de l'argent, et pas soigner ceux qui en ont besoin. Un de ses jeunes Gaspésien en stage lui a dit, devant tout le monde, qu'il avait hâte de partir aux US pour faire de l'argent. Aux infirmières qui ont écouté toute la conversation, ma mère leur a dit : "moi je suis Française, je ne peux rien dire, car on va me traiter de maudite Française. Mais vous, infirmières québécoises, vous savez bien que ce sont vos impôts qui ont payé ses études. Pourquoi ne dites-vous rien? Pourquoi ne le ramenez-vous pas à ses responsabilités?" Dans cette histoire comme devant tant d'autres, elles haussent les épaules et disent: ben, oui, c'est comme ça. Autre exemple ayant mérité le "ben oui, c'est comme ça": la mère d'une des inhalothérapeutes, âgée de 86 ans, a attendu sur une chaise pendant 13 heures aux urgences. Cette inhalothérapeute, traumatisée par le traitement qu'on a réservé à sa mère, est arrivée en pleurant au travail le lendemain. Commentaires généraux du staff: ben oui, c'est comme ça.
Attendre deux mois quand on a un cancer du sein? Ben oui, c'est comme ça (dans les autres pays avancés, c'est qq jours au max)
Attendre deux ans pour une colonoscopie? Ben oui, c'est comme ça? (idem).
Des "ben oui, c'est comme ça", IL Y EN A TROP, AU QUÉBEC.
Je n'en peux plus de voir les haussements d'épaules, les attitudes défaitistes, le laissez-aller ambiant. L'autre jour mon prof d'administration publique préparait une présentation pour le Japon sur le Québec. L'idée thème de sa présentation: Au Québec nous sommes petits, mais nous sommes capables de grandes choses. La preuve: Céline Dion.
Faut-il donc que le Québec se résigne à briller par le talent d'une chanteuse, aussi fantastique soit-elle? Et où sont nos ingénieurs? Et nos découvertes médicales? et nos grands politiciens? Et nos penseurs? Pourquoi diable n'en avons-nous pas???? Je vous jure, j'en pleure. Des cerveaux, il y en a pourtant, ici!!!
SVP, ne cessez jamais de réclamer plus et de dénoncer quand il le faut. Lire vos chroniques me fait un bien souverain, car elles disent ce que nous immigrants n'osons pas dire tout haut. Les Québécois manquent cruellement de colonne vertébrale, de réelle solidarité, et laissent depuis trop longtemps leur sens du juste, de l'indignation et de la révolte dans le formol.
Un jour cela leur coûtera très cher.
Lan Vi Pham
http://jobboomblog.com/2010/02/04/les_q ... nne_verteb" onclick="window.open(this.href);return false;
Les Québécois manquent de colonne vertébrale
Voici un courriel reçu en réaction à sa dernière chronique dans le Magazine Jobboom, Pissous!. Attention, ce point de vu «immigrant» sur la société québécoise fait mal à l'égo national.
Qu'en pensez-vous?
Mille mercis pour votre chronique "pissous" ayant paru dans le magazine Jobboom de janvier. Je vous en prie, poussez encore plus loin la comparaison avec les pays qui MARCHENT, même lorsqu'ils sont aussi controversés qu'Israël. Nous avons besoin, au Québec, qu'on se réveille de cette léthargie citoyenne si délétère.
Puisque vous avez le courage (que je salue) de ne pas mâcher vos mots, j'ose vous faire part moi aussi de ce que je crois être le défaut impardonnable des Québécois: ils ne sont pas assez ambitieux. Et qu'on cesse de trouver à ce péché capital pour toute société avancée des excuses dans l'histoire.
Pour ne pas allonger indûment ce courriel, je ne donnerai que quelques exemples. Ma mère est anesthésiste approchant la retraite. Elle forme souvent de nouveaux médecins. Un constat: les jeunes médecins veulent surtout gagner de l'argent, et pas soigner ceux qui en ont besoin. Un de ses jeunes Gaspésien en stage lui a dit, devant tout le monde, qu'il avait hâte de partir aux US pour faire de l'argent. Aux infirmières qui ont écouté toute la conversation, ma mère leur a dit : "moi je suis Française, je ne peux rien dire, car on va me traiter de maudite Française. Mais vous, infirmières québécoises, vous savez bien que ce sont vos impôts qui ont payé ses études. Pourquoi ne dites-vous rien? Pourquoi ne le ramenez-vous pas à ses responsabilités?" Dans cette histoire comme devant tant d'autres, elles haussent les épaules et disent: ben, oui, c'est comme ça. Autre exemple ayant mérité le "ben oui, c'est comme ça": la mère d'une des inhalothérapeutes, âgée de 86 ans, a attendu sur une chaise pendant 13 heures aux urgences. Cette inhalothérapeute, traumatisée par le traitement qu'on a réservé à sa mère, est arrivée en pleurant au travail le lendemain. Commentaires généraux du staff: ben oui, c'est comme ça.
Attendre deux mois quand on a un cancer du sein? Ben oui, c'est comme ça (dans les autres pays avancés, c'est qq jours au max)
Attendre deux ans pour une colonoscopie? Ben oui, c'est comme ça? (idem).
Des "ben oui, c'est comme ça", IL Y EN A TROP, AU QUÉBEC.
Je n'en peux plus de voir les haussements d'épaules, les attitudes défaitistes, le laissez-aller ambiant. L'autre jour mon prof d'administration publique préparait une présentation pour le Japon sur le Québec. L'idée thème de sa présentation: Au Québec nous sommes petits, mais nous sommes capables de grandes choses. La preuve: Céline Dion.
Faut-il donc que le Québec se résigne à briller par le talent d'une chanteuse, aussi fantastique soit-elle? Et où sont nos ingénieurs? Et nos découvertes médicales? et nos grands politiciens? Et nos penseurs? Pourquoi diable n'en avons-nous pas???? Je vous jure, j'en pleure. Des cerveaux, il y en a pourtant, ici!!!
SVP, ne cessez jamais de réclamer plus et de dénoncer quand il le faut. Lire vos chroniques me fait un bien souverain, car elles disent ce que nous immigrants n'osons pas dire tout haut. Les Québécois manquent cruellement de colonne vertébrale, de réelle solidarité, et laissent depuis trop longtemps leur sens du juste, de l'indignation et de la révolte dans le formol.
Un jour cela leur coûtera très cher.
Lan Vi Pham
http://jobboomblog.com/2010/02/04/les_q ... nne_verteb" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Les médecins claquent la porte du public
Tres intéressant ces propos.
Des fois j'ai l'impression que la population ne dit rien de peur de perdre ce qu'ils ont.
Nous sommes vraiment une société gaté, aucun frais médicaux, des médicaments qui coute presque rien, beaucoup on acces a une assurance qui couvre dentiste, lunette, physio et etc pour pas trop cher, éducation quasis gratuite, frais de garde quasi gratuit.
La population est bien la dedans et ne veut pas perdre tout ca, mais chialer = les chose risque de changer, pour faire mieux a quelques part il faut inévitablement coupé ailleur, on ne peu pas avoir le beurre et l,argent du beurre.
Alors oui on chiale en chuchotant que c'set crissement enrageant d'attendre 12 heures a l'urgence mais c'est gratuit alors on ferme notre boite et on attend.
Moi je suis contre cette universalité de tout, les services devraient etre payant selon le revenu annuel des familles.
Une question que je me demande quand on arrive a l'université l'obtention des pret et bourse dépend du revenu des parents ou bien l'étudiant est considéré comme un adulte a part entiere et seul ses revenu personnel compte?
Des fois j'ai l'impression que la population ne dit rien de peur de perdre ce qu'ils ont.
Nous sommes vraiment une société gaté, aucun frais médicaux, des médicaments qui coute presque rien, beaucoup on acces a une assurance qui couvre dentiste, lunette, physio et etc pour pas trop cher, éducation quasis gratuite, frais de garde quasi gratuit.
La population est bien la dedans et ne veut pas perdre tout ca, mais chialer = les chose risque de changer, pour faire mieux a quelques part il faut inévitablement coupé ailleur, on ne peu pas avoir le beurre et l,argent du beurre.
Alors oui on chiale en chuchotant que c'set crissement enrageant d'attendre 12 heures a l'urgence mais c'est gratuit alors on ferme notre boite et on attend.
Moi je suis contre cette universalité de tout, les services devraient etre payant selon le revenu annuel des familles.
Une question que je me demande quand on arrive a l'université l'obtention des pret et bourse dépend du revenu des parents ou bien l'étudiant est considéré comme un adulte a part entiere et seul ses revenu personnel compte?
Re: Les médecins claquent la porte du public
Cass! a écrit : Tres intéressant ces propos.
Des fois j'ai l'impression que la population ne dit rien de peur de perdre ce qu'ils ont.
Nous sommes vraiment une société gaté, aucun frais médicaux, des médicaments qui coute presque rien, beaucoup on acces a une assurance qui couvre dentiste, lunette, physio et etc pour pas trop cher, éducation quasis gratuite, frais de garde quasi gratuit.
La population est bien la dedans et ne veut pas perdre tout ca, mais chialer = les chose risque de changer, pour faire mieux a quelques part il faut inévitablement coupé ailleur, on ne peu pas avoir le beurre et l,argent du beurre.
Alors oui on chiale en chuchotant que c'set crissement enrageant d'attendre 12 heures a l'urgence mais c'est gratuit alors on ferme notre boite et on attend.
Moi je suis contre cette universalité de tout, les services devraient etre payant selon le revenu annuel des familles.
Une question que je me demande quand on arrive a l'université l'obtention des pret et bourse dépend du revenu des parents ou bien l'étudiant est considéré comme un adulte a part entiere et seul ses revenu personnel compte?
Ça dépend, il y a plusieurs critères....... mais en gros, si tu es un étudiant dans la moyenne d'âge et que tu as vraiment le style de vie typique qu'un étudiant de base, les revenus de tes parents sont tenu en ligne de compte.
Il y a par contre certains critères qui font en sorte que le revenu de tes parents n'est pas prit en considération.
Pour des études en médecine......... il y a des prêts faits par les banques avec un taux étudiants.... sans lien avec les prêts gouvernementaux......
Dernière modification par Placeress le jeu. févr. 04, 2010 2:51 pm, modifié 1 fois.
Re: Les médecins claquent la porte du public
Pour les demandes de prets ou le salaire des parents est consideré
Pour qu'il ne soit pas considere, il faut que les parents remplissent
un formulaire de reniement de leurs enfants
C'etait comme cela pour mes filles il y a 5 ans
Pour qu'il ne soit pas considere, il faut que les parents remplissent
un formulaire de reniement de leurs enfants
C'etait comme cela pour mes filles il y a 5 ans
[img]http://i80.servimg.com/u/f80/09/00/38/05/image310.jpg[/img]
Re: Les médecins claquent la porte du public
Diane a écrit : Pour les demandes de prets ou le salaire des parents est consideré
Pour qu'il ne soit pas considere, il faut que les parents remplissent
un formulaire de reniement de leurs enfants
C'etait comme cela pour mes filles il y a 5 ans
Tu as du renier tes filles

Re: Les médecins claquent la porte du public
tu es malade Non elles ont eu moins d'argent en pretPlaceress a écrit : [...]
Tu as du renier tes filles
elles ont travaillé les fins de semaine
[img]http://i80.servimg.com/u/f80/09/00/38/05/image310.jpg[/img]
Re: Les médecins claquent la porte du public
Diane a écrit : [...]
tu es malade Non elles ont eu moins d'argent en pret
elles ont travaillé les fins de semaine
Mais tu devais remplir un formulaire qui te déliais financièrement d'elles pour qu'elles est des prêts, c'est tu ça ?
Re: Les médecins claquent la porte du public
Placeress a écrit : [...]
Ça dépend, il y a plusieurs critères....... mais en gros, si tu es un étudiant dans la moyenne d'âge et que tu as vraiment le style de vie typique qu'un étudiant de base, les revenus de tes parents sont tenu en ligne de compte.
Il y a par contre certains critères qui font en sorte que le revenu de tes parents n'est pas prit en considération.

Mes 3 enfants ont eu des prêts et bourses et s'étaient calculés d'après les revenus des parents. Ils travaillaient l'été et nous leur avons aidé aussi...
Je crois qu'il faut que l'étudiant ait arrêté 2 ans les études pour qu'il ne soit plus à charge des parents, mais je ne suis pas sûr...(S'il retourne aux études)
Dernière modification par Anya le jeu. févr. 04, 2010 4:15 pm, modifié 1 fois.
Re: Les médecins claquent la porte du public
Oui mais nous l'avons pas rempli ni signePlaceress a écrit : [...]
Mais tu devais remplir un formulaire qui te déliais financièrement d'elles pour qu'elles est des prêts, c'est tu ça ?
Les prets sont donnés à tous les etudiants mais pas le meme montant selon le rapport des parents
La bourse depend du montant du pret
un maximum de pret = bonne bourse
Pour ne pas que les parents soient concerné il faut que l'etudiant ait au moins avant l'universite quitte l'ecole
au moins 1 an
Dernière modification par Diane le jeu. févr. 04, 2010 4:29 pm, modifié 1 fois.
[img]http://i80.servimg.com/u/f80/09/00/38/05/image310.jpg[/img]
Re: Les médecins claquent la porte du public
Anya a écrit : [...]
![]()
Mes 3 enfants ont eu des prêts et bourses et s'étaient calculés d'après les revenus des parents. Ils travaillaient l'été et nous leur avons aidé aussi...
Je crois qu'il faut que l'étudiant ait arrêté 2 ans les études pour qu'il ne soit plus à charge des parents, mais je ne suis pas sûr...( S'il retourne aux études)

Re: Les médecins claquent la porte du public
Pour y être déjà allés mon conjoint et moi (à quelques reprises) je suis plus ou moins d'accord avec la médecine privée et je m'explique. D'accord pour les cas de maladies ponctuelles qui ne demandent pas vraiment de suivi et qui est facile à diagnostiquer et soigner, ex. infections, etc. Par contre pour les cas plus compliqués ma crainte c'est que les médecins ne voudront pas "perdre" du temps et forcément de l'argent avec ces patients là et ils vont tout simplement les refuser et les envoyer au public. Le temps où les médecins avaient la vocation est assez révolu et le fait qu'ils se savent si indispensables en rend certains très indépendants et suffisants. Je pense sincèrement que c'est utopique de croire que c'est une solution, c'est plutôt un futur problème s'ils deviennent trop nombreux en privé et que, par surcroît, ils sont de plus en plus sollicités sur une base volontaire ou obligatoire. C'est à parier que les prix vont augmenter aussi vite que leur rareté et nous ne serons pas plus avancé.
Ca vaut ce que ça vaut, mais c'est ma nouvelle opinion suite à une de mes visites dans le privé.
Ca vaut ce que ça vaut, mais c'est ma nouvelle opinion suite à une de mes visites dans le privé.
Re: Les médecins claquent la porte du public
Marisopa a écrit : [...]
ou être à la maitrise. J'avais eu mes prêts et bourses.

- misscool45
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- Inscription : sam. janv. 24, 2009 10:19 am
Re: Les médecins claquent la porte du public
Je les comprend dans le sens que c'est un travail dur, tout comme les infirmières, sauf que comme Malike dit, au moins ils ont le salaire qui va avec.( en fait ce n'est pas ce qu'elle a dit mais bon).
Moi ce qui me fait "peur" c'est que bientôt,on risque de devoir payer pour les soins, si tout le monde se dirige vers le privé..
Moi ce qui me fait "peur" c'est que bientôt,on risque de devoir payer pour les soins, si tout le monde se dirige vers le privé..
Ne m'envoyer pas de ME s.v.p je ne les recois pas
Re: Les médecins claquent la porte du public
Le public ne disparaitra pas
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