Les Innondations au Québec...Quel malheur !

[Annouk]

En revenant a Québec hier, on a passé par la 40 et dans le coin du Lac St Pierre, on voyait les boisés qui étaient inondés et l'eau se rendait jusqu'à l'autoroute. C'est fou. C'est une zone non-habitée, mais ça m'a donné une idée de ce que vivent les gens en Montérégie...

On a passé là aussi hier et on a vu ça aussi....

[Anya]

Le Lundi 30 mai 2011 | Mise en ligne à 23h33
Vic Toews : un discours pour le Québec, un autre pour le Manitoba !
Le blogue de Patrick Lagacé


Photo Bernard Brault — Peter MacKay, faisant semblant de s'intéresser au sort d'un sinistré montérégien...

La semaine dernière, je dénonçais en chronique le ministre de la Sécurité publique du Canada Vic Toews qui, dans une lettre envoyée à Robert Dutil, son homologue québécois, faisait preuve d’un manque de compassion absolument délirant, quant au rôle de l’armée canadienne en Montérégie, où des inondations de calibre historique minent le moral et le patrimoine de milliers de Québécois. La chronique s’intitule Vic Toews, un vrai dur.

Toews, dans cette lettre, n’était pas exactement un modèle d’empressement et de compassion face au sort de ces sinistrés, insistant sur le fait que a) l’armée avait mieux à faire que ramasser des sacs de sable et b) l’armée ne devait pas être mise en concurrence avec le secteur privé (!!!!).

Ce bon Vic est ministre de la circonscription de Provencher, au Manitoba. Or, le Manitoba a été frappé par des inondations qui ont nécessité, elles aussi, l’intervention de l’armée canadienne. Or, ce bon Vic est un ministre manitobain. Quand ça se passe au Manitoba, des inondations, il n’a pas peur de pavaner dans un communiqué de presse du gouvernement fédéral ! Disons que le ministre de la Sécurité publique du Canada a l’air de trouver ça plus important, des inondations, quand ça se passe dans sa province. A-t-il osé dire au gouvernement manitobain de ne pas ambitionner sur le pain béni et de ne pas s’attendre à de l’aide pour enlever des sacs de sable ? Quant à Peter MacKay, ministre de la Défense, il réussit l’exploit d’avoir l’air davantage de bonne humeur avec une citation dans un communiqué de presse sur les inondations manitobaines qu’en personne, dans les inondations montérégiennes. Il faut le faire, vraiment ! Je suis de mauvaise foi, je sais. Mais jamais autant que ces gens-là.

Mais la citation la plus surréaliste du communiqué de presse nous vient du Brigadier-général Paul Wynnyk, de la Force opérationnelle interarmées de l’Ouest, qui a dirigé la portion militaire des opérations d’appui aux autorités civiles manitobaines, qui dit ceci :

«Le plus grand privilège pour tout membre des FC est de servir ses concitoyens au pays. »

Autre signe que ce gouvernement est le gouvernement de ceux qui ont voté pour lui (j’y crois, désormais, contrairement à mon collègue Lavoie du Soleil, qui semble lui donner le bénéfice du doute) : Stephen Harper est allé voir les sinistrés des incendies de forêt d’Alberta, il est allé voir les sinistrés des inondations du Manitoba, mais il n’est pas allé voir les sinistrés des inondations en Montérégie.

Jack Layton, chef de l’Opposition officielle, a refusé de critiquer l’absence de Stephen Harper. Le PM, a déclaré le « bon Jack », était occupé au G8, en France… Euh, Jack, allô ? Le G8 a eu lieu ces derniers jours. Ça fait cinq semaines que la Montérégie est dans la flotte !

http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/20 ... ECRAN1POS1" onclick="window.open(this.href);return false;

[Anya]

Inondations en Montérégie - Faire comme avant
Josée Boileau 31 mai 2011 Villes et régions

La Montérégie n'a pas fini d'avoir les pieds dans l'eau que, déjà, certains maires y vont de mises en garde: il ne faudrait surtout pas interdire de reconstruire des maisons en zones inondables. Même les drames ne viennent donc pas à bout de la gestion à court terme qui, on le pressent déjà, aura son effet sur le gouvernement Charest?

À l'unanimité, les maires des municipalités sinistrées le long du Richelieu veulent rencontrer le ministre de l'Environnement, a-t-on appris la semaine dernière. Ils entendent s'assurer ainsi que Québec leur permettra de faire fi de la loi qui interdit de rebâtir en zone inondable. Ils évoquent la crainte de villages fantômes, mais ce sont les taxes perdues qui les font frémir.

C'est pourtant ce même souci de taxation qui explique une partie de la situation actuelle. Les Québécois, comme bien des Nord-Américains, sont prêts à payer cher pour avoir une maison au bord de l'eau. Les promoteurs le savent, font pression sur les villes, celles-ci salivent en voyant les revenus qu'elles pourront en tirer. On se rassure avec des études calculant le rythme des catastrophes «une fois aux 100 ans» et, contournant la loi, on finit par délivrer un permis de construire. «Ça peut prendre du temps, mais tous les permis sont donnés», racontait au Devoir il y a deux semaines une spécialiste des milieux humides qui connaît bien la gestion des rives du Richelieu.

L'acheteur, lui, fait confiance à l'administration municipale, ou bien s'en moque pas mal. Une fois la vente conclue, tout le monde est sûr d'avoir tiré le billet gagnant. Jusqu'au jour où Mère Nature se déchaîne et que ça déborde...

Cette fois, la catastrophe est trop importante pour que le retrait des eaux signe un simple retour à la normale. Il y aura des normes à revoir. Pour certains, et c'est l'explication à laquelle se raccrochent les maires, il suffit de resserrer les critères de construction: bâtir des maisons sans sous-sol ou sur pilotis, par exemple. Solution rassurante, mais qui contourne complètement le fond du problème.

Pas plus tard qu'en mai 2010, un rapport passé inaperçu a fait état de l'impact que les changements climatiques auront au cours de ce siècle sur le lac Champlain, rappelait ces derniers jours l'Agence Science-Presse. Le directeur du Programme du bassin du lac Champlain ne craint pas d'associer le désastre de cette année à ces changements dont, dit-il, on voit «des signes depuis 15 à 20 ans». Il ne faudra pas un siècle pour que le risque de débordement revienne. Le savoir oblige à faire des choix.

Samedi, le premier ministre Jean Charest a annoncé la création de trois équipes pour gérer l'après-inondation. L'une d'elles, qui regroupe cinq ministères, se penchera sur le réaménagement du territoire. Mais, a aussitôt assuré M. Charest, elle travaillera avec ouverture, sans idée préconçue.

C'est dommage. Il aurait été préférable de dire que l'équipe aura soin de vérifier si des autorisations de construire n'ont pas été abusivement accordées dans le passé; qu'elle se fiera aux plus récentes données scientifiques pour définir une zone à risque d'inondation; qu'elle fera passer la science avant les pressions des élus, promoteurs ou citoyens. Et qu'elle résistera à l'envie, comme certains l'y invitent, de simplement dire à ceux qui sont prêts à courir tous les risques qu'ils n'auront qu'à payer eux-mêmes les dégâts le jour où l'eau montera de nouveau — comme si un tel engagement allait empêcher les appels à l'aide!

Mais établir de telles prémisses implique à l'avance de mécontenter des électeurs. Et ce risque-là, on le sait déjà, le gouvernement n'est pas prêt à le courir.

http://www.ledevoir.com/politique/ville ... omme-avant" onclick="window.open(this.href);return false;

[pucinette]

Inondations en Montérégie - Faire comme avant
Josée Boileau 31 mai 2011 Villes et régions

La Montérégie n'a pas fini d'avoir les pieds dans l'eau que, déjà, certains maires y vont de mises en garde: il ne faudrait surtout pas interdire de reconstruire des maisons en zones inondables. Même les drames ne viennent donc pas à bout de la gestion à court terme qui, on le pressent déjà, aura son effet sur le gouvernement Charest?

À l'unanimité, les maires des municipalités sinistrées le long du Richelieu veulent rencontrer le ministre de l'Environnement, a-t-on appris la semaine dernière. Ils entendent s'assurer ainsi que Québec leur permettra de faire fi de la loi qui interdit de rebâtir en zone inondable. Ils évoquent la crainte de villages fantômes, mais ce sont les taxes perdues qui les font frémir.

C'est pourtant ce même souci de taxation qui explique une partie de la situation actuelle. Les Québécois, comme bien des Nord-Américains, sont prêts à payer cher pour avoir une maison au bord de l'eau. Les promoteurs le savent, font pression sur les villes, celles-ci salivent en voyant les revenus qu'elles pourront en tirer. On se rassure avec des études calculant le rythme des catastrophes «une fois aux 100 ans» et, contournant la loi, on finit par délivrer un permis de construire. «Ça peut prendre du temps, mais tous les permis sont donnés», racontait au Devoir il y a deux semaines une spécialiste des milieux humides qui connaît bien la gestion des rives du Richelieu.

L'acheteur, lui, fait confiance à l'administration municipale, ou bien s'en moque pas mal. Une fois la vente conclue, tout le monde est sûr d'avoir tiré le billet gagnant. Jusqu'au jour où Mère Nature se déchaîne et que ça déborde...

Cette fois, la catastrophe est trop importante pour que le retrait des eaux signe un simple retour à la normale. Il y aura des normes à revoir. Pour certains, et c'est l'explication à laquelle se raccrochent les maires, il suffit de resserrer les critères de construction: bâtir des maisons sans sous-sol ou sur pilotis, par exemple. Solution rassurante, mais qui contourne complètement le fond du problème.

Pas plus tard qu'en mai 2010, un rapport passé inaperçu a fait état de l'impact que les changements climatiques auront au cours de ce siècle sur le lac Champlain, rappelait ces derniers jours l'Agence Science-Presse. Le directeur du Programme du bassin du lac Champlain ne craint pas d'associer le désastre de cette année à ces changements dont, dit-il, on voit «des signes depuis 15 à 20 ans». Il ne faudra pas un siècle pour que le risque de débordement revienne. Le savoir oblige à faire des choix.

Samedi, le premier ministre Jean Charest a annoncé la création de trois équipes pour gérer l'après-inondation. L'une d'elles, qui regroupe cinq ministères, se penchera sur le réaménagement du territoire. Mais, a aussitôt assuré M. Charest, elle travaillera avec ouverture, sans idée préconçue.

C'est dommage. Il aurait été préférable de dire que l'équipe aura soin de vérifier si des autorisations de construire n'ont pas été abusivement accordées dans le passé; qu'elle se fiera aux plus récentes données scientifiques pour définir une zone à risque d'inondation; qu'elle fera passer la science avant les pressions des élus, promoteurs ou citoyens. Et qu'elle résistera à l'envie, comme certains l'y invitent, de simplement dire à ceux qui sont prêts à courir tous les risques qu'ils n'auront qu'à payer eux-mêmes les dégâts le jour où l'eau montera de nouveau — comme si un tel engagement allait empêcher les appels à l'aide!

Mais établir de telles prémisses implique à l'avance de mécontenter des électeurs. Et ce risque-là, on le sait déjà, le gouvernement n'est pas prêt à le courir.

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Je la voyais venir celle-là...

[lorraine48]

en effet ils vont reconstruire au même endroit au risque de ravoir peut être cette même situation

[lolilou]

Le Lundi 30 mai 2011 | Mise en ligne à 23h33
Vic Toews : un discours pour le Québec, un autre pour le Manitoba !
Le blogue de Patrick Lagacé


Photo Bernard Brault — Peter MacKay, faisant semblant de s'intéresser au sort d'un sinistré montérégien...

La semaine dernière, je dénonçais en chronique le ministre de la Sécurité publique du Canada Vic Toews qui, dans une lettre envoyée à Robert Dutil, son homologue québécois, faisait preuve d’un manque de compassion absolument délirant, quant au rôle de l’armée canadienne en Montérégie, où des inondations de calibre historique minent le moral et le patrimoine de milliers de Québécois. La chronique s’intitule Vic Toews, un vrai dur.

Toews, dans cette lettre, n’était pas exactement un modèle d’empressement et de compassion face au sort de ces sinistrés, insistant sur le fait que a) l’armée avait mieux à faire que ramasser des sacs de sable et b) l’armée ne devait pas être mise en concurrence avec le secteur privé (!!!!).

Ce bon Vic est ministre de la circonscription de Provencher, au Manitoba. Or, le Manitoba a été frappé par des inondations qui ont nécessité, elles aussi, l’intervention de l’armée canadienne. Or, ce bon Vic est un ministre manitobain. Quand ça se passe au Manitoba, des inondations, il n’a pas peur de pavaner dans un communiqué de presse du gouvernement fédéral ! Disons que le ministre de la Sécurité publique du Canada a l’air de trouver ça plus important, des inondations, quand ça se passe dans sa province. A-t-il osé dire au gouvernement manitobain de ne pas ambitionner sur le pain béni et de ne pas s’attendre à de l’aide pour enlever des sacs de sable ? Quant à Peter MacKay, ministre de la Défense, il réussit l’exploit d’avoir l’air davantage de bonne humeur avec une citation dans un communiqué de presse sur les inondations manitobaines qu’en personne, dans les inondations montérégiennes. Il faut le faire, vraiment ! Je suis de mauvaise foi, je sais. Mais jamais autant que ces gens-là.

Mais la citation la plus surréaliste du communiqué de presse nous vient du Brigadier-général Paul Wynnyk, de la Force opérationnelle interarmées de l’Ouest, qui a dirigé la portion militaire des opérations d’appui aux autorités civiles manitobaines, qui dit ceci :

«Le plus grand privilège pour tout membre des FC est de servir ses concitoyens au pays. »

Autre signe que ce gouvernement est le gouvernement de ceux qui ont voté pour lui (j’y crois, désormais, contrairement à mon collègue Lavoie du Soleil, qui semble lui donner le bénéfice du doute) : Stephen Harper est allé voir les sinistrés des incendies de forêt d’Alberta, il est allé voir les sinistrés des inondations du Manitoba, mais il n’est pas allé voir les sinistrés des inondations en Montérégie.

Jack Layton, chef de l’Opposition officielle, a refusé de critiquer l’absence de Stephen Harper. Le PM, a déclaré le « bon Jack », était occupé au G8, en France… Euh, Jack, allô ? Le G8 a eu lieu ces derniers jours. Ça fait cinq semaines que la Montérégie est dans la flotte !

http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/20 ... ECRAN1POS1" onclick="window.open(this.href);return false;

[pucinette]

en effet ils vont reconstruire au même endroit au risque de ravoir peut être cette même situation

Pas grave voyons, le gouvernement (c'est-à-dire nous) va repayer pour tout ça

Comme je disais ça ne me dérange pas d'aider les sinistrés, mais ça me dérange de payer pour des gens(pas tous je sais) qui sont pas capables de tirer des leçons des évènements que la vie leur envoie...

[Mistyk]

C'est quand meme incroyable non?
J' en reviens pas dutout.

Le Québec aime ca la misère !

[Savvy]

[...]



Pas grave voyons, le gouvernement (c'est-à-dire nous) va repayer pour tout ça

Comme je disais ça ne me dérange pas d'aider les sinistrés, mais ça me dérange de payer pour des gens(pas tous je sais) qui sont pas capables de tirer des leçons des évènements que la vie leur envoie...

C'est facile dire ça, mais tu te rebâtis où et avec quoi ? Tu te sacres sur le BS et tu attends ton chèque parce que ta maison et ton terrain valent plus rien et que tu as tout perdu ?! C'est quoi la solution ? Ceux qui préconises d'aller ailleurs, c'est quoi la solution. Suffit pas de dire déménagez et c'est réglé, nous on passe à autre chose!

[Savvy]

C'est quand meme incroyable non?
J' en reviens pas dutout.

Le Québec aime ca la misère !

Ben oui le Québec y adore se vautrer dans la misère! Et ceux du Manitoba qui vivent des inondations. Des terres complètes inondées. Vont-ils déménager leur terre eux autres ?

[pucinette]

[...]


C'est facile dire ça, mais tu te rebâtis où et avec quoi ? Tu te sacres sur le BS et tu attends ton chèque parce que ta maison et ton terrain valent plus rien et que tu as tout perdu ?! C'est quoi la solution ? Ceux qui préconises d'aller ailleurs, c'est quoi la solution. Suffit pas de dire déménagez et c'est réglé, nous on passe à autre chose!

Ce que je dis, c'est que je suis POUR une aide décente pour qu'il puisse se recontruire et s'acheter un terrain qui a de l'allure ...Par contre, je suis CONTRE le fait qu'Ils décident de se rebâtir à la même place en sachant qu'ils courent les mêmes risques...

[Savvy]

[...]



Ce que je dis, c'est que je suis POUR une aide décente pour qu'il puisse se recontruire et s'acheter un terrain qui a de l'allure ...Par contre, je suis CONTRE le fait qu'Ils décident de se rebâtir à la même place en sachant qu'ils courent les mêmes risques...

Pour le moment le plafond semble fixé à 150,000$ MAXIMUM pour l'aide. Trouver une maison avec terrain, même si ce n'est plus près d'un cours d'eau donc moins de cachet, ça doit être assez rare merci.

[pucinette]

[...]


Pour le moment le plafond semble fixé à 150,000$ MAXIMUM pour l'aide. Trouver une maison avec terrain, même si ce n'est plus près d'un cours d'eau donc moins de cachet, ça doit être assez rare merci .

D'où l'utilisation du mot "aide décente"

[pucinette]

[...]


C'est facile dire ça, mais tu te rebâtis où et avec quoi ? Tu te sacres sur le BS et tu attends ton chèque parce que ta maison et ton terrain valent plus rien et que tu as tout perdu ?! C'est quoi la solution ? Ceux qui préconises d'aller ailleurs, c'est quoi la solution. Suffit pas de dire déménagez et c'est réglé, nous on passe à autre chose!

Ben là c'est certain qu'ils vont devoir faire des actions et des démarches(après qu'ils aient digérer tout ce qui se passe, car je suis très consciente que c'est une grosse épreuve et je ne souhaite ça à personne)... je ne dis pas que ça va être facile pour eux, mais ce le sera encore moins si ça leur arrive deux fois !

[Anya]

Clin d'oeil du mardi 31 mai 2011 de Stéphane Laporte
«Harper est en Afghanistan, il est allé remplir des sacs de sable pour la Montérégie.»

[pucinette]

Clin d'oeil du mardi 31 mai 2011 de Stéphane Laporte
«Harper est en Afghanistan, il est allé remplir des sacs de sable pour la Montérégie.»

[Annouk]

[...]


C'est facile dire ça, mais tu te rebâtis où et avec quoi ? Tu te sacres sur le BS et tu attends ton chèque parce que ta maison et ton terrain valent plus rien et que tu as tout perdu ?! C'est quoi la solution ? Ceux qui préconises d'aller ailleurs, c'est quoi la solution. Suffit pas de dire déménagez et c'est réglé, nous on passe à autre chose!

[lolilou]

Les gens vont pas aller contracter une autre hypothèque... Leur maison actuelle est invendable, ils peuvent rien faire que rester là et tenter d'arranger ça comme ils peuvent.

Moi je pense qu'il a moyen d'aménager les bords du fleuve pour éviter que de telles choses se reproduisent. Y-a eu un article sur un barrage qui n'a jamais été construit, et d'autres aménagements qui si ça avait été fait aurait surement évité cette inondation.

Bon je sais pas trop si y-a la possibilité de monter toutes les maisons sur pilotis aussi.

[pucinette]

Les gens vont pas aller contracter une autre hypothèque... Leur maison actuelle est invendable, ils peuvent rien faire que rester là et tenter d'arranger ça comme ils peuvent.

Moi je pense qu'il a moyen d'aménager les bords du fleuve pour éviter que de telles choses se reproduisent. Y-a eu un article sur un barrage qui n'a jamais été construit, et d'autres aménagements qui si ça avait été fait aurait surement évité cette inondation .

Bon je sais pas trop si y-a la possibilité de monter toutes les maisons sur pilotis aussi.

En effet, si au moins on réduit les risques, ce sera toujours bien ça pris.

[Thewinneris]

J'espère que les gens et les médias vont faire pression pour ces aménagements de barrages et autres se réalisent enfin. Ce serait la moindre des choses.

Ils ont été tatas et négligeants, les élites, de ne pas avoir entrepris ces aménagements plus tôt!