LE DOMAINE BLEU

Le PQ a-t-il implosé? Je ne crois pas... Les membres qui ont quitté pour fonder le NMQ n'étaient plus des militants péquistes depuis déjà quelque temps... C'est, pour la plupart, une gang de jeunes qui est l'héritage de l'ancien clan Boisclair. Depuis que Marois a pris la tête du parti, ils font tout pour lui nuire et mener à son départ...

Ils ont d'abord tenté de prendre le contrôle de l'aile jeunesse du PQ (le CNJPQ), mais sans succès. C'est l'équipe favorable à Marois qui a gagné. Ensuite, ils ont fait une sortie publique avec la lettre des 50 pour critiquer Marois. À la suite du vote de confiance lors du dernier congrès, ils ont tout simplement décidé de quitter le parti et de fonder le NMQ pour cracher leur venin...

Quant à moi, ce sont des pommes pourries que tu aimes mieux avoir dans le camp adverse que dans ton propre parti. Plusieurs des membres du NMQ, avec qui j'ai milité dans différentes instances, n'ont jamais rien fait à part faire du trouble et créer des divisions...

Ils ont enfin trouvé une leader, en la personne de Lisette Lapointe, pour les représenter... Est-ce vraiment surprenant?

Curzi, Beaudoin et même Aussant ne veulent pas s'associer à ce nouveau mouvement anti-PQ (voir anti-Marois).

Ils vont, comme à l'habitude, foutre le trouble, puis ensuite nous n'en attendrons plus parler. Le PQ demeure la véritable coalition pour réaliser notre indépendance. À nous, les membres, d'améliorer cet outil de l'intérieur.

Je comprends ta façon de voir les choses Raven car toi tu vis ça de l'intérieur, mais pour des gens comme moi qui suit la politique plus ou moins assidûment, ça donne l'impression d'un parti qui ne réussira jamais à s'entendre. Sincèrement, je ne voudrais pas être dans la peau de Pauline Marois, ça ne doit pas être de tout repos que de gérer l'ingérable, un jour elle a un vote de confiance à 93% et quelques jours plus tard elle reçoit des couteaux dans l'dos à profusion. Je t'avoue que j'ai totalement perdu confiance en ce parti. Le pire c'est que je n'ai pas trop trop plus confiance dans un autre non plus, je vais être mal prise aux prochaines élections.

en tout cas moi à les voir se chicaner se battre pour avoir personnellement le pouvoir , jamais je ne mettrai ma confiance dans ce parti comme il est présentementt quand il y aura un chef vraimment rassembleur et crédible on en reparlera tu ne peux gouverner un pays quand tu n es pas capable d avoir l unité dans ton parti

Capuchino a écrit : Je comprends ta façon de voir les choses Raven car toi tu vis ça de l'intérieur, mais pour des gens comme moi qui suit la politique plus ou moins assidûment, ça donne l'impression d'un parti qui ne réussira jamais à s'entendre. Sincèrement, je ne voudrais pas être dans la peau de Pauline Marois, ça ne doit pas être de tout repos que de gérer l'ingérable, un jour elle a un vote de confiance à 93% et quelques jours plus tard elle reçoit des couteaux dans l'dos à profusion. Je t'avoue que j'ai totalement perdu confiance en ce parti. Le pire c'est que je n'ai pas trop trop plus confiance dans un autre non plus, je vais être mal prise aux prochaines élections.

Je sais que c'est l'image que ça projette, et c'est vraiment frustrant, car en réalité ces "dissidents" ne sont même pas des péquistes... Ils sont souverainistes, mais la plupart des membres du NMQ n'ont pas voté pour le PQ lors des deux dernières élections...

lorraine48 a écrit : en tout cas moi à les voir se chicaner se battre pour avoir personnellement le pouvoir , jamais je ne mettrai ma confiance dans ce parti comme il est présentementt quand il y aura un chef vraimment rassembleur et crédible on en reparlera tu ne peux gouverner un pays quand tu n es pas capable d avoir l unité dans ton parti

Comme je disais, le NMQ ne fait pas parti du PQ. Ce sont deux choses bien distinctes. Actuellement, il y a peu de disputes internes au PQ (surtout depuis le départ de Lapointe).

Cela est surprenant pour un aussi gros parti démocratique. Disons que c'est plus difficile avoir 130 000 membres en harmonie que 10 000 membres comme dans la plupart des autres parti où la pratique de la vie politique se fait du haut vers le bas.

Oui effectivement Raven, c'est un gros parti, mais ce que l'on voit souvent à travers les médias, c'est pas le portrait que nous, les citoyens, devrions avoir du PQ et c'est là justement qu'il faudrait qu'on y mette du changement, et ce, je le pense pas seulement pour le PQ, mais pour le parti libéral aussi.

Quand tu les écoutes (les chefs des 2 partis), tout ce qu'on entend, ce sont les bitcheries entre eux, j'ai pas besoin de savoir si dans leurs réunions, ils se chicanent, se font des jokes ou whatever qui pourrait se passer à la chambre des communes, ce que je veux, en tant que citoyen, c'est de savoir où on s'en va, autrement dit: qu'on fasse de la vraie politique et qu'on cesse les enfantillages, c'est une vraie risée d'écouter les débats à la chambre des communes, on dirait des enfants des écoles.

Première assemblée du NMQ
300 souverainistes répondent au rendez-vous
Agence QMI
Sarah Bélisle
21/08/2011 11h51



MONTRÉAL – Le Nouveau Mouvement pour le Québec (NMQ) tenait dimanche sa toute première assemblée à laquelle participaient plus de 300 souverainistes au Cégep de Saint-Laurent.

Le Mouvement, qui souhaite remettre à l'avant-plan le discours indépendantiste, avait invité les citoyens à venir s'exprimer et à échanger sur le sujet.

«Il s'agit de reprendre la liberté de parole», a souligné Jocelyn Desjardins, instigateur de ce mouvement citoyen. Il a estimé que le NMQ servira à unir les voix souverainistes plutôt que de les diviser, comme il lui a été reproché à plusieurs reprises dans le courant de la semaine.

L’adhésion au NMQ de trois des quatre députés démissionnaires du Parti québécois — Pierre Curzi, Lisette Lapointe et Jean-Martin Aussant — a été chaudement applaudie.

Des représentants officiels de Québec solidaire devaient également se joindre aux débats portant essentiellement sur la souveraineté, mais aussi sur la vision du Québec d'aujourd'hui, sur ses institutions démocratiques, sur l'environnement et sur l’avenir du NMQ.

Des citoyens de tous les âges sont venus de Sherbrooke, Montréal, Gatineau et Trois-Rivières, entre autres pour participer à l’événement.

Le NMQ avait lancé mardi son manifeste, Brisons l'impasse. Le document a été parafé par près de 80 souverainistes.

Ses auteurs y critiquent vertement le PQ, considéré comme « usé et confus », mais aussi la Coalition pour l'avenir du Québec, de François Legault.

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Anya a écrit :
L’adhésion au NMQ de trois des quatre députés démissionnaires du Parti québécois — Pierre Curzi, Lisette Lapointe et Jean-Martin Aussant — a été chaudement applaudie.

Encore une journaliste mal informée... Curzi et Aussant assistent à l'assemblée, mais ils n'ont pas adhéré au NMQ... Aussant, ne partageant pas les idées et les visées du mouvement, préfère faire cavalier seul en fondant le parti Option Québec, tandis que Curzi a déjà affirmé qu'il votera PQ lors des prochaines élections et il a refusé de signer le manifeste du NMQ. La seule démissionnaire qui appuie le NMQ est Lisette Lapointe.

En passant, il y a pas mal de membres du PQ à cette assemblée. Ils y sont pour parler d'unité et de l'importance de ne pas diviser le vote souverainiste. Bref, c'est pas parce que tu assistes à cette assemblée que tu adhères nécéssairement au NMQ.

Soleil47 a écrit : Oui effectivement Raven, c'est un gros parti, mais ce que l'on voit souvent à travers les médias, c'est pas le portrait que nous, les citoyens, devrions avoir du PQ et c'est là justement qu'il faudrait qu'on y mette du changement, et ce, je le pense pas seulement pour le PQ, mais pour le parti libéral aussi.

Quand tu les écoutes (les chefs des 2 partis), tout ce qu'on entend, ce sont les bitcheries entre eux, j'ai pas besoin de savoir si dans leurs réunions, ils se chicanent, se font des jokes ou whatever qui pourrait se passer à la chambre des communes, ce que je veux, en tant que citoyen, c'est de savoir où on s'en va, autrement dit: qu'on fasse de la vraie politique et qu'on cesse les enfantillages, c'est une vraie risée d'écouter les débats à la chambre des communes, on dirait des enfants des écoles.

Selon moi ici nous entrons dans un autre sujet, soit celui de l'esprit de parti... Voir le PM et la chef de l'opposition se crêper le chignon, ça peux en effet rendre assez cynique, mais c'est une conséquence de notre système parlementaire et bipartisme. Pour voir de la collaboration entre les élus, il faudrait changer le mode de votation dans le but de favoriser une multiplication des partis avec des élus, pour ainsi éviter d'avoir des gouvernements majoritaires, et plutôt avoir des gouvernements de coalition où la bonne entente et les négociations sont nécessaires. Mais bon, tant et aussi longtemps que nous serons dans la Confédération canadienne, de tels changements me semblent chimériques.

Si je comprend bien le NMQ ne veut pas former un parti politique, donc c'est un regroupement de souverainistes qui veut diriger Pauline Marois et le PQ sans se faire élire.

Décidément, si je m'appelais Pauline Marois je sacrerais tout ça là et je choisirais de vivre le reste de mes jours paisiblement, surtout qu'elle peut se le permettre. Faut vraiment qu'elle aime le pouvoir pour s'imposer ça.

Garnotte Le Devoir


André-Philippe Côté, Le Soleil
22 août 2011

Un automne déterminant
Mathieu Turbide
22/08/2011 05h22

À entendre les dissidents péquistes, Pauline Marois et son entourage seraient responsables de la dégringolade du PQ dans les sondages. Malheureusement pour eux, le problème est beaucoup plus pro-fond que cela.

Le problème du PQ, ce n'est ni Pauline Marois (qui pourrait la remplacer, de toute façon ?), ni le futur Colisée de Québec, ni la démission de cinq députés. Le problème, c'est qu'actuellement, les Québécois -même ceux qui ont toujours été favorables à l'indépendance du Québec -ont d'autres priorités que la souveraineté.

Les sondages montrent clairement que les Québécois veulent un coup de barre dans la gestion du Québec, dans les écoles, dans le réseau de la santé, dans l'économie. Ils veulent des infrastructures qui tiennent debout. Ils veulent un ménage dans l'industrie de la construction.

Alors, souverainistes ou pas, quand ils voient un parti se déchirer sur des questions constitutionnelles, sur la vitesse à laquelle on pense réaliser la souveraineté ou pire, sur la «gouvernance souverainiste», ils décrochent.

C'est ce qui s'est passé en mai dernier, quand le Bloc s'est effondré.

Et c'est exactement ce qui explique l'étonnante popularité de François Legault et de sa coalition, qui n'est même pas encore un parti.

CONDAMNÉ À LIVRER

Mais M. Legault joue gros. Comme il incarne le changement aux yeux de beaucoup de Québécois, il est condamné à livrer ce changement.

Son parti politique, s'il finit par voir le jour, devra proposer des solutions véritablement audacieuses. Des idées nouvelles qui iront plus loin que les parfois vagues énoncés des manifestes de la CAQ. Sinon, la lune de miel entre son mouvement et l'électorat pourrait fondre comme neige au soleil.

Et Jean Charest a encore deux ans devant lui pour décider de déclencher des élections. Aussi bien dire une éternité.

LES DÉFIS DES CHEFS

L'automne politique qui vient sera donc déterminant pour nos leaders.

Évidemment, pour Pauline Marois, qui tombera si elle ne parvient pas à rallier les souverainistes derrière elle. Et ce ne sera pas simple.

Mais aussi pour Gérard Deltell qui devra mieux se positionner face à Legault ou alors se fondre dans un nouveau parti fusionné.

Même Jean Charest devra se montrer beaucoup plus dynamique pour se donner l'image d'un homme d'action afin de mieux affronter Legault.

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Capuchino a écrit : Si je comprend bien le NMQ ne veut pas former un parti politique, donc c'est un regroupement de souverainistes qui veut diriger Pauline Marois et le PQ sans se faire élire.

Décidément, si je m'appelais Pauline Marois je sacrerais tout ça là et je choisirais de vivre le reste de mes jours paisiblement, surtout qu'elle peut se le permettre. Faut vraiment qu'elle aime le pouvoir pour s'imposer ça.

Quant à l'amour du pouvoir... perso, j'aime encore penser qu'elle est mue par une profonde conviction.

Pauline Marois, chef du Parti Québécois. En grande entrevue, on revient sur les tensions à l'intérieur du PQ et les départs de plusieurs députés. Le PQ n'est plus premier dans les sondages.
Intervenants : Paul Arcand
Durée : 20:21
Date : 23/08/2011
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«Je suis là pour rester», réitère Marois
Publié le 23 août 2011 à 11h47



Lia Lévesque
La Presse Canadienne
Montréal

Même si plus de 400 souverainistes plus pressés se sont réunis le week-end dernier pour faire part de leur mécontentement face à la gouvernance souverainiste, Pauline Marois prévient qu'ils n'auront pas sa tête et qu'elle est là pour rester et pour défendre le programme adopté par les membres.

En entrevue à la radio avec Paul Arcand sur les ondes du 98,5 FM, mardi matin, la chef péquiste a réitéré sa détermination à rester en poste. «Je suis là pour rester; ils ne m'auront pas à l'usure. Je suis une femme forte, qui a de la résilience et, surtout, je suis une femme de conviction», a-t-elle martelé, rappelant qu'elle avait piloté des dossiers difficiles aussi lorsqu'elle était ministre de la Santé et de l'Éducation.

Mme Marois réagissait ainsi au rassemblement du Nouveau Mouvement pour le Québec, le week-end dernier, qui a ouvertement critiqué la démarche de gouvernance souverainiste. Certains critiquaient également le leadership de Mme Marois.

Mme Marois s'est dit consciente qu'il s'agissait bel et bien d'une attaque contre elle, également. «Oui, c'est une attaque», a-t-elle admis, rappelant que lorsqu'elle est revenue au Parti québécois, le parti n'avait que 35 députés, éprouvait des difficultés financières et que depuis, il a remonté la pente et est redevenu l'Opposition officielle.

«J'espère que ça va finir par se tasser», a-t-elle conclu. Elle mise sur le fait que les contestataires vont finir par se rendre compte qu'au fond, ils se battent tous pour le même objectif, à savoir la souveraineté du Québec.

Quand l'animateur lui a rapporté le message d'un auditeur qui disait qu'il «aime bien» Mme Marois, mais qu'elle «ne pogne pas», Mme Marois a répliqué du tac-au-tac: «je ne sais pas ce que je peux faire pour «pogner». Ce que j'ai dit à mes collègues - et je ne devrais pas dire ça à la radio - je ne peux pas faire de striptease, je suis trop vieille. Mais j'ai des idées claires de ce qu'on peut faire au Québec.»

Elle a refusé de dire si elle croyait que l'ancien chef péquiste Jacques Parizeau et sa conjointe, la députée maintenant indépendante Lisette Lapointe, se cachaient derrière cette contestation larvée de son leadership et de sa démarche vers la souveraineté. «J'ai cessé de faire ces analyses-là. J'ai tellement de pain sur la planche. J'ai décidé de tourner une page.»

Devant la montée de François Legault, qui n'a pourtant pas encore formé un parti politique, Mme Marois reste perplexe. «À part la nouveauté, on ne sait pas trop ce qu'il propose.»

À l'animateur qui lui a rappelé qu'au dernier scrutin fédéral, il en était de même pour le NPD de Jack Layton, Mme Marois a répliqué que la situation était différente au Québec. Selon son analyse, au fédéral, les électeurs savaient que le NPD ne pouvait être porté au pouvoir; leur vote était donc moins engageant.

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PQ
Nomination au cabinet de Pauline Marois
Agence QMI
24/08/2011 16h26



QUÉBEC – La chef du Parti québécois, Pauline Marois, a annoncé la nomination de deux nouveaux collaborateurs au sein de son cabinet.

Shirley Bishop agira à titre de directrice des relations avec les médias, tandis que Stéphane Gobeil deviendra conseiller politique au sein du cabinet.

«Leurs expériences et leurs compétences seront de précieux atouts pour relever les défis importants qui nous attendent au cours des prochains mois», a déclaré Pauline Marois par communiqué.

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Rapport Drainville: Curzi pourrait revenir au PQ
Publié le 26 août 2011 à 11h07



Tommy Chouinard
La Presse

(Québec) Le député démissionnaire du PQ Pierre Curzi envisage de rentrer au bercail si Pauline Marois met en oeuvre les «changements majeurs» proposés par Bernard Drainville.

«Ça pourrait rétablir des ponts», a confirmé M. Curzi à Cyberpresse cet avant-midi, sa première entrevue depuis le dépôt du rapport Drainville jeudi.

«J'ai quitté le parti, et il faudrait qu'il y ait des changements majeurs pour que je puisse envisager de revenir», a-t-il ajouté, précisant que le rapport Drainville contient ces «changements majeurs».

Mais il a noté que, pour l'instant, « on ne sait pas ce qui va arriver avec ce rapport-là ». Le président du PQ, Raymond Archambault, indiquait à La Presse jeudi que Mme Marois « accueille favorablement la démarche et les résultats de la démarche» de Bernard Drainville.

Parmi les 10 changements proposés par le député de Marie-Victorin, deux plaisent en particulier à Pierre Curzi : la réforme du mode de scrutin et le référendum d'initiative populaire. Cette dernière proposition prévoit de laisser à la population le soin de déterminer elle-même le moment où un référendum sur la souveraineté doit avoir lieu. Un référendum se tiendrait si 15% des électeurs (876 000 personnes) signaient une pétition à cet effet. « C'est une manière de redonner aux citoyens le pouvoir de décider du moment où ils veulent se requestionner sur la question du statut constitutionnel », a affirmé M. Curzi.

« J'ai quitté parce que j'étais critique de la politique, de la façon dont ça se passe. Bernard Drainville a émis plusieurs propositions qui vont dans le sens d'un renouvellement », a-t-il ajouté.

Ce matin, La Presse indiquait que, selon plusieurs sources, Pierre Curzi adhère à plusieurs idées émises par M. Drainville.

M. Curzi a claqué la porte du PQ en juin, en même temps que Lisette Lapointe et Louise Beaudoin. Celle-ci a fait savoir qu'elle aurait elle-même signé le rapport de M. Drainville.

Jean-Martin Aussant, qui a aussi démissionné du caucus du PQ en juin, disait à La Presse que la mise en oeuvre des propositions de M. Drainville ne serait pas suffisante pour le ramener dans le giron péquiste.

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Et ça continu..... là Curzi en rajoute. Décidément, ils veulent tous tuer le PQ et ils sont trop lâches pour l'avouer.

Capuchino a écrit : Et ça continu..... là Curzi en rajoute. Décidément, ils veulent tous tuer le PQ et ils sont trop lâches pour l'avouer.

Ca dependquel point de vu on a sur la chose.... car moi aussi, je suis en accord avec la revision du mode de scrutin.... c est un point majeur selon moi.

Placeress a écrit : [...]



Ca dependquel point de vu on a sur la chose.... car moi aussi, je suis en accord avec la revision du mode de scrutin.... c est un point majeur selon moi.

C'est surtout le point quand il se dit prêt à revenir au PQ à la condition que Marois quitte et lui laisse la place comme chef..........méchant moron...

J'crois que le prochain gouvernement, quel qu'il soit, va être dans la meilleure situation possible pour faire ce changement enfin.......la population est prête : proportionnel, date fixe, etc....