Vieille fille a écrit
Pour discuter,justement, juste pour discuter et je n'ai pas dans l'idée d'attaquer qui que ce soit...
Donc oui, pour parler... des différentes interprétations possibles d'une famille équilibrée. Il y a une différence entre "équilibrée" et "organisée". Ce qui est évident pour les uns ne l'est pas forcément pour les autres.
Si il était SI facile de donner 3 repas par jours aux enfants, les clubs de petits déjeuners n'existeraient pas.
Combien manque-t-il de logements "sociaux" au Québec ? Combien de familles ont des coûts de logement qui dépassent largement les 25 % de leurs revenus ?
L'aide sociale ? Comment équilibrer un budget familial avec ± 550,00 par mois d'aide sociale ? Alors que bien souvent, cette somme ne couvre même pas les frais de logement ?
Éducation gratuite ? Alors sans parler de l'habillement; Combien ça coûte de rentrer un enfant à l'école en début d'année ( frais scolaires, livres, cahiers, crayons, effaces, Duo-Tang, etc ) ? Sans compter que les écoles demandent TROIS PAIRES DE SOULIERS ( une pour le "voyageage" une pour l'éducation physique, une pour se promener dans l'école ) afin d'économiser sur les frais de ménage !
La PAUVRETÉ, n'est pas un mythe, c'est une réalité. Celle de milliers de familles québécoises. Le problème est grave et il a des RÉPERCUSSIONS IMPORTANTES sur la qualité de vie des enfants.
Devrait-on aussi castrer les gens pauvres ? La pauvreté fait-elle d'eux de mauvais parents ? La pauvreté peut-elle rendre les gens dépressifs au point où ils doivent se mettre en mode "survie" ? Le mode "survie" ne risque-t-il pas de déséquilibrer la famille ?
Comme la plupart d'entre-nous ici... Je suis outrée de savoir qu'en 2007 des enfants aient à subir ce genre de traitement... mais je suis persuadée que les cas de ce genre se multiplieront si on n'en fait pas plus pour contrer la pauvreté, la DPJ et tous les autres services sociaux en général sont débordés...
C'est la pauvreté qui est l'ennemi à abattre... la pauvreté et tous les préjugés qui l'accompagnent...
Cet enfant là, parce qu'il a été "physiquement" blessé, aura des services rapides... et avec un peu de chance... peut-être que la mère aura aussi des services. En aurait-elle eu besoin avant ? En a-t-elle eu ?
PS. C'est juste une discussion... pas une guerre... j'ai dit et je répète, je n'ai ni l'intention, ni l'envie de blesser qui que ce soit.
Merci
En fait pour travailler dans le milieu judiciaire autant jeunesse que criminel je peux dire que le problème majeur n'est pas tant la pauvreté que l'abus de drogues et d'alcools ou encore les troubles psychologiques. La plupart des dossiers ouvert en "protection" sont des cas de parents ou des adolescents(tes) qui ont des problèmes de drogues ou alcools ou encore des problématiques au niveau psychologique. Il est très rare que le problème à notre niveau en soit un de pauvreté.
Un drame qui fait penser à Aurore
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laoghaire_19 a écrit
En fait pour travailler dans le milieu judiciaire autant jeunesse que criminel je peux dire que le problème majeur n'est pas tant la pauvreté que l'abus de drogues et d'alcools ou encore les troubles psychologiques. La plupart des dossiers ouvert en "protection" sont des cas de parents ou des adolescents(tes) qui ont des problèmes de drogues ou alcools ou encore des problématiques au niveau psychologique. Il est très rare que le problème à notre niveau en soit un de pauvreté.
Surtout qu'il faut être riche pour se procurer de la drogue, c'est pas donné. En tk, moi j'en n'ai pas les moyens. Et quand on élevait nos enfants, on achetait vin et bière seulement pour certaines occasions. Alors, non, la pauvreté n'est pas la cause de la toxicomanie.
En fait pour travailler dans le milieu judiciaire autant jeunesse que criminel je peux dire que le problème majeur n'est pas tant la pauvreté que l'abus de drogues et d'alcools ou encore les troubles psychologiques. La plupart des dossiers ouvert en "protection" sont des cas de parents ou des adolescents(tes) qui ont des problèmes de drogues ou alcools ou encore des problématiques au niveau psychologique. Il est très rare que le problème à notre niveau en soit un de pauvreté.
Surtout qu'il faut être riche pour se procurer de la drogue, c'est pas donné. En tk, moi j'en n'ai pas les moyens. Et quand on élevait nos enfants, on achetait vin et bière seulement pour certaines occasions. Alors, non, la pauvreté n'est pas la cause de la toxicomanie.
Youppidou
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youppidou a écrit
Surtout qu'il faut être riche pour se procurer de la drogue, c'est pas donné. En tk, moi j'en n'ai pas les moyens. Et quand on élevait nos enfants, on achetait vin et bière seulement pour certaines occasions. Alors, non, la pauvreté n'est pas la cause de la toxicomanie.
Effectivement, par contre la pauvreté n'empêche pas la toxicomanie, malheureusement.
Surtout qu'il faut être riche pour se procurer de la drogue, c'est pas donné. En tk, moi j'en n'ai pas les moyens. Et quand on élevait nos enfants, on achetait vin et bière seulement pour certaines occasions. Alors, non, la pauvreté n'est pas la cause de la toxicomanie.
Effectivement, par contre la pauvreté n'empêche pas la toxicomanie, malheureusement.
L'homme qui tôt ou tard remporte la victoire est celui qui PENSE QU'IL EN EST CAPABLE.
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laoghaire_19 a écrit
En fait pour travailler dans le milieu judiciaire autant jeunesse que criminel je peux dire que le problème majeur n'est pas tant la pauvreté que l'abus de drogues et d'alcools ou encore les troubles psychologiques. La plupart des dossiers ouvert en "protection" sont des cas de parents ou des adolescents(tes) qui ont des problèmes de drogues ou alcools ou encore des problématiques au niveau psychologique. Il est très rare que le problème à notre niveau en soit un de pauvreté.
Ce n'est pas tout à fait ce que les statistiques disent. Pauvreté, toxicomanie et délinquances sont très intimement liées.
La pauvreté n'est qu'une des étapes d'un cercle vicieux...
En fait pour travailler dans le milieu judiciaire autant jeunesse que criminel je peux dire que le problème majeur n'est pas tant la pauvreté que l'abus de drogues et d'alcools ou encore les troubles psychologiques. La plupart des dossiers ouvert en "protection" sont des cas de parents ou des adolescents(tes) qui ont des problèmes de drogues ou alcools ou encore des problématiques au niveau psychologique. Il est très rare que le problème à notre niveau en soit un de pauvreté.
Ce n'est pas tout à fait ce que les statistiques disent. Pauvreté, toxicomanie et délinquances sont très intimement liées.
La pauvreté n'est qu'une des étapes d'un cercle vicieux...
Un "projet" est un rêve qu'on décide un jour de réaliser en y mettant la persévérance et le courage qu'il faut... quitte à se donner des coups de pieds au cul tous les matins !!!
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