Les conservateurs représentent «un gros risque» - Gilles Duceppe
Pour la TPS, je suis 100% d'accord avec la réduction. Ce n'est pas de la faute des Conservateurs si nous sommes les seuls au monde à taxer de la taxe.
Pis pour le déséquilibre fiscal, s'il veut le régler, c'est quoi le problème? On entend toujours parler du déséquilibre fiscal, que c'est la faute du déséquilibre fiscal si il arrive ci, s'il arrive cela, qu'il faut se séparer, mais quand on parle de le régler, ça fait pas?
Pis pour le déséquilibre fiscal, s'il veut le régler, c'est quoi le problème? On entend toujours parler du déséquilibre fiscal, que c'est la faute du déséquilibre fiscal si il arrive ci, s'il arrive cela, qu'il faut se séparer, mais quand on parle de le régler, ça fait pas?
Nounou1 a écritPour la TPS, je suis 100% d'accord avec la réduction. Ce n'est pas de la faute des Conservateurs si nous sommes les seuls au monde à taxer de la taxe.
Pis pour le déséquilibre fiscal, s'il veut le régler, c'est quoi le problème? On entend toujours parler du déséquilibre fiscal, que c'est la faute du déséquilibre fiscal si il arrive ci, s'il arrive cela, qu'il faut se séparer, mais quand on parle de le régler, ça fait pas?
Bin non ce n'est pas de la faute des conservateurs... Ils en sont les maîtres d'oeuvre. Je suis déçu de t'apprendre qu'avant l'instauration de cette taxe, le Québec avait la sienne...
Quant au déséquilibre, je veux bien qu'ils le règlent. Qui est contre la vertu? Mais à quel coût? Ça ne t'intéresse pas de le savoir? Tu me demandes de gober ça de la même manièr que si je veux m'acheter une voiture s'en en connaître le coût. La belle affaire...
Pis pour le déséquilibre fiscal, s'il veut le régler, c'est quoi le problème? On entend toujours parler du déséquilibre fiscal, que c'est la faute du déséquilibre fiscal si il arrive ci, s'il arrive cela, qu'il faut se séparer, mais quand on parle de le régler, ça fait pas?
Bin non ce n'est pas de la faute des conservateurs... Ils en sont les maîtres d'oeuvre. Je suis déçu de t'apprendre qu'avant l'instauration de cette taxe, le Québec avait la sienne...
Quant au déséquilibre, je veux bien qu'ils le règlent. Qui est contre la vertu? Mais à quel coût? Ça ne t'intéresse pas de le savoir? Tu me demandes de gober ça de la même manièr que si je veux m'acheter une voiture s'en en connaître le coût. La belle affaire...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Bin non ce n'est pas de la faute des conservateurs... Ils en sont les maîtres d'oeuvre. Je suis déçu de t'apprendre qu'avant l'instauration de cette taxe, le Québec avait la sienne...
Quant au déséquilibre, je veux bien qu'ils le règlent. Qui est contre la vertu? Mais à quel coût? Ça ne t'intéresse pas de le savoir? Tu me demandes de gober ça de la même manièr que si je veux m'acheter une voiture s'en en connaître le coût. La belle affaire...
Ben non, ce n'est pas de la faute des conservateurs, c'est la TVQ qui embarque sur la TPS. La TVQ est de 7,5% et est calculée sur le prix de vente + TPS. (Prix de vente + TPS)x TVQ = Prix total
Même si ce sont les Conservateurs qui ont décidé de la TPS, ce ne sont pas eux qui ont décidé que la TVQ serait calculée par-dessus la TPS.
Bin non ce n'est pas de la faute des conservateurs... Ils en sont les maîtres d'oeuvre. Je suis déçu de t'apprendre qu'avant l'instauration de cette taxe, le Québec avait la sienne...
Quant au déséquilibre, je veux bien qu'ils le règlent. Qui est contre la vertu? Mais à quel coût? Ça ne t'intéresse pas de le savoir? Tu me demandes de gober ça de la même manièr que si je veux m'acheter une voiture s'en en connaître le coût. La belle affaire...
Ben non, ce n'est pas de la faute des conservateurs, c'est la TVQ qui embarque sur la TPS. La TVQ est de 7,5% et est calculée sur le prix de vente + TPS. (Prix de vente + TPS)x TVQ = Prix total
Même si ce sont les Conservateurs qui ont décidé de la TPS, ce ne sont pas eux qui ont décidé que la TVQ serait calculée par-dessus la TPS.
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- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : mer. mars 17, 2004 1:00 am
La seule façon de ne pas se faire leurrer c'est de voter Bloc.
Les conservateurs, j'en ai soupé. Les libéraux j'en ai assez de leurs magouilles. Le NPD n'a pas vraiment de quoi nous rassasier.
Et ceux qui disent que le Bloc est inutile à Ottawa je dis: Si la pointe de l'iceberg de magouilles a été découverte, c'est bel et bien grâce à la présence du Bloc. Devant l'évidence des faits, ils n'ont pas fait l'autruche et ils ont demandé des comptes. Je n'en connais pas beaucoup qui auraient osé le faire. Et, je soupçonne que ....nous n'avons pas tout su.
M. Charest, l'ancien conservateur, se tient loin au niveau provincial, il déteste le mot commandites. Lui aussi ne se souvient plus.... Lui aussi s'est foutu de nous. Du pareil au même.
Nounou1 a écrit
Ben non, ce n'est pas de la faute des conservateurs, c'est la TVQ qui embarque sur la TPS. La TVQ est de 7,5% et est calculée sur le prix de vente + TPS. (Prix de vente + TPS)x TVQ = Prix total
Même si ce sont les Conservateurs qui ont décidé de la TPS, ce ne sont pas eux qui ont décidé que la TVQ serait calculée par-dessus la TPS.
Avant l'instauration de la TPS, y avait-il une taxe québécoise sur la vente des produits?
Ben non, ce n'est pas de la faute des conservateurs, c'est la TVQ qui embarque sur la TPS. La TVQ est de 7,5% et est calculée sur le prix de vente + TPS. (Prix de vente + TPS)x TVQ = Prix total
Même si ce sont les Conservateurs qui ont décidé de la TPS, ce ne sont pas eux qui ont décidé que la TVQ serait calculée par-dessus la TPS.
Avant l'instauration de la TPS, y avait-il une taxe québécoise sur la vente des produits?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Avant l'instauration de la TPS, y avait-il une taxe québécoise sur la vente des produits?
Oui il y avait une taxe de vente, mais c'est quoi le rapport avec le fait que les Conservateurs veulent diminuer de 7% à 5% la TPS?
C'est quoi le rapport avec le fait que la TVQ embarque sur la TPS et fait que nous sommes taxés sur de la taxe?
Si les Conservateurs n'avaient jamais établi la TPS, nous n'aurions jamais été taxés sur de la taxe, par le fait même, Québec n'aurait jamais reçu plus d'argent en taxe qu'il n'en a reçu depuis la TPS.
Donc, je ne comprend pas le fait que tu te plaignes que le fait de diminuer la TPS va nous faire perdre de l'argent.
Au contraire, tu devrais être content de cette diminution de TPS car tu as l'air d'en vouloir aux Conservateurs de l'avoir instauré.
Avant l'instauration de la TPS, y avait-il une taxe québécoise sur la vente des produits?
Oui il y avait une taxe de vente, mais c'est quoi le rapport avec le fait que les Conservateurs veulent diminuer de 7% à 5% la TPS?
C'est quoi le rapport avec le fait que la TVQ embarque sur la TPS et fait que nous sommes taxés sur de la taxe?
Si les Conservateurs n'avaient jamais établi la TPS, nous n'aurions jamais été taxés sur de la taxe, par le fait même, Québec n'aurait jamais reçu plus d'argent en taxe qu'il n'en a reçu depuis la TPS.
Donc, je ne comprend pas le fait que tu te plaignes que le fait de diminuer la TPS va nous faire perdre de l'argent.
Au contraire, tu devrais être content de cette diminution de TPS car tu as l'air d'en vouloir aux Conservateurs de l'avoir instauré.
Citation :Je n'adhère aucunement aux idées de Monsieur Harper mais il y a eu au moins l'honneteté de ne pas les changer pour tenter de se faire élire.
As-tu comparé le programme du parti conservateur avec sa plateforme électorale ? Dans l'est, il est passé d'un discours très à droite à un discours plus de centre, alors que dans l'ouest il continue à prôner ses idées de droite Si ce n’est pas tenter de changer ses idées pour se faire élire, je ne sais pas comment on appelle cela
Citation :Et je partage l'avis de quelqu'un, ca donne quoi de renverser le gouvernement si en fait ils veulent se retrouver encore avec les libéraux... encore de l'argent gaspillé inutilement.
Le Bloc ne veut pas se retrouver avec les libéraux, tout comme il ne veut pas se retrouver avec les conservateurs. Je crois que le Bloc aurait bien aimé voir le parti conservateur au pouvoir, mais de façon minoritaire, afin qu'il soit contrôlé et ne passe pas toutes les mesures antisociales qu'il prône Mais de façon majoritaire, les conservateurs sont en effet un danger, et je ne trouve pas cela cheap du tout que le Bloc explique pourquoi il trouve cela
As-tu comparé le programme du parti conservateur avec sa plateforme électorale ? Dans l'est, il est passé d'un discours très à droite à un discours plus de centre, alors que dans l'ouest il continue à prôner ses idées de droite Si ce n’est pas tenter de changer ses idées pour se faire élire, je ne sais pas comment on appelle cela
Citation :Et je partage l'avis de quelqu'un, ca donne quoi de renverser le gouvernement si en fait ils veulent se retrouver encore avec les libéraux... encore de l'argent gaspillé inutilement.
Le Bloc ne veut pas se retrouver avec les libéraux, tout comme il ne veut pas se retrouver avec les conservateurs. Je crois que le Bloc aurait bien aimé voir le parti conservateur au pouvoir, mais de façon minoritaire, afin qu'il soit contrôlé et ne passe pas toutes les mesures antisociales qu'il prône Mais de façon majoritaire, les conservateurs sont en effet un danger, et je ne trouve pas cela cheap du tout que le Bloc explique pourquoi il trouve cela
Harper et le déséquilibre fiscal
Avec l'arrivée de Paul Martin au pouvoir, bien des gens ont cru que les rapports entre Ottawa et le Québec s'amélioreraient. À quelques jours d'élire un gouvernement conservateur sous la haute surveillance du Bloc québécois, les électeurs ont raison de souhaiter du changement tout en restant méfiants. Car s'il se dit ouvert à un règlement de l'épineuse question du déséquilibre fiscal, Stephen Harper n'a toujours pas précisé comment il s'y prendra.
Soucieux de se démarquer de son prédécesseur, le premier ministre Paul Martin avait entrepris son mandat rempli de bonnes intentions envers les provinces. Tout en niant l'existence d'un déséquilibre fiscal, M. Martin se disait prêt à discuter des «pressions financières» qui s'exerçaient sur les provinces. Ce qui fut fait dans quelques dossiers, comme la santé et la garde des enfants. Mais il ne fallut pas bien longtemps pour comprendre qu'un gouvernement Martin dirigerait le pays avec la même vision centralisatrice et unitaire que son prédécesseur, excluant tout règlement global de la question du déséquilibre financier avec les provinces.
Quelle déception pour le gouvernement libéral en poste à Québec, qui fondait l'espoir de redéfinir le fédéralisme au jour le jour grâce à la signature d'ententes dites asymétriques négociées avec le grand frère libéral, à Ottawa !
La probabilité de l'élection d'un gouvernement conservateur, lundi prochain, a de quoi réjouir les provinces réunies au sein du Conseil de la fédération. En effet, dans une lettre qu'il leur faisait parvenir il y a quelques jours, le chef Stephen Harper répète qu'il reconnaît l'existence d'un déséquilibre entre Ottawa et les provinces auquel il s'engage à faire face, «notamment [par] l'augmentation des paiements de transfert, la réduction de l'imposition fédérale et le transfert de points d'impôt». Et comme si ce n'était pas assez, M. Harper s'engage à revoir la péréquation et le soutien à l'éducation postsecondaire. En revanche, il ne faudra pas compter sur les sommes promises pour les garderies, les conservateurs ayant leur propre vision du rôle de l'État en la matière.
Après des années de refus obstiné de la part des libéraux, comment ne pas applaudir à autant de bonnes intentions ? À croire que les conservateurs seraient vraiment décidés à «établir un nouveau type de fédéralisme d'ouverture» !
L'ennui, c'est qu'entre les mots et l'action, il faudra trouver les milliards nécessaires pour remplir toutes les autres promesses électorales à incidences financières. De surcroît, rien ne dit que la définition conservatrice du déséquilibre fiscal réponde aux aspirations spécifiques et historiques du Québec.
D'ici peu, un groupe consultatif du Conseil de la fédération publiera ses recommandations. Étant donné les divergences qui séparent Ottawa des provinces, mais aussi les provinces entre elles, les plus riches considérant qu'elles contribuent trop et les plus pauvres qu'elles ne reçoivent pas assez, on se demande comment un gouvernement Harper pourrait faire mieux que les libéraux.
Par ailleurs, n'oublions pas que pour Stephen Harper comme pour Paul Martin ou Jean Chrétien, toutes les provinces sont égales entre elles. Or, ce que demande le Québec depuis trente ans, c'est de pouvoir gérer ses propres affaires grâce à la juste part des impôts qui lui revient, sans ingérence de la part d'Ottawa.
Depuis l'échec de Meech, aucun gouvernement à Ottawa n'a voulu s'interdire d'utiliser son immense pouvoir de dépenser pour s'immiscer dans les domaines de compétence provinciale. Advenant l'élection d'un gouvernement conservateur, il apparaît évident que la présence d'une forte délégation du Bloc québécois sera le meilleur moyen de s'assurer que la vision Harper du Canada s'adaptera à celle des Québécois, et non l'inverse.
j-rsansfacon@ledevoir.com
Avec l'arrivée de Paul Martin au pouvoir, bien des gens ont cru que les rapports entre Ottawa et le Québec s'amélioreraient. À quelques jours d'élire un gouvernement conservateur sous la haute surveillance du Bloc québécois, les électeurs ont raison de souhaiter du changement tout en restant méfiants. Car s'il se dit ouvert à un règlement de l'épineuse question du déséquilibre fiscal, Stephen Harper n'a toujours pas précisé comment il s'y prendra.
Soucieux de se démarquer de son prédécesseur, le premier ministre Paul Martin avait entrepris son mandat rempli de bonnes intentions envers les provinces. Tout en niant l'existence d'un déséquilibre fiscal, M. Martin se disait prêt à discuter des «pressions financières» qui s'exerçaient sur les provinces. Ce qui fut fait dans quelques dossiers, comme la santé et la garde des enfants. Mais il ne fallut pas bien longtemps pour comprendre qu'un gouvernement Martin dirigerait le pays avec la même vision centralisatrice et unitaire que son prédécesseur, excluant tout règlement global de la question du déséquilibre financier avec les provinces.
Quelle déception pour le gouvernement libéral en poste à Québec, qui fondait l'espoir de redéfinir le fédéralisme au jour le jour grâce à la signature d'ententes dites asymétriques négociées avec le grand frère libéral, à Ottawa !
La probabilité de l'élection d'un gouvernement conservateur, lundi prochain, a de quoi réjouir les provinces réunies au sein du Conseil de la fédération. En effet, dans une lettre qu'il leur faisait parvenir il y a quelques jours, le chef Stephen Harper répète qu'il reconnaît l'existence d'un déséquilibre entre Ottawa et les provinces auquel il s'engage à faire face, «notamment [par] l'augmentation des paiements de transfert, la réduction de l'imposition fédérale et le transfert de points d'impôt». Et comme si ce n'était pas assez, M. Harper s'engage à revoir la péréquation et le soutien à l'éducation postsecondaire. En revanche, il ne faudra pas compter sur les sommes promises pour les garderies, les conservateurs ayant leur propre vision du rôle de l'État en la matière.
Après des années de refus obstiné de la part des libéraux, comment ne pas applaudir à autant de bonnes intentions ? À croire que les conservateurs seraient vraiment décidés à «établir un nouveau type de fédéralisme d'ouverture» !
L'ennui, c'est qu'entre les mots et l'action, il faudra trouver les milliards nécessaires pour remplir toutes les autres promesses électorales à incidences financières. De surcroît, rien ne dit que la définition conservatrice du déséquilibre fiscal réponde aux aspirations spécifiques et historiques du Québec.
D'ici peu, un groupe consultatif du Conseil de la fédération publiera ses recommandations. Étant donné les divergences qui séparent Ottawa des provinces, mais aussi les provinces entre elles, les plus riches considérant qu'elles contribuent trop et les plus pauvres qu'elles ne reçoivent pas assez, on se demande comment un gouvernement Harper pourrait faire mieux que les libéraux.
Par ailleurs, n'oublions pas que pour Stephen Harper comme pour Paul Martin ou Jean Chrétien, toutes les provinces sont égales entre elles. Or, ce que demande le Québec depuis trente ans, c'est de pouvoir gérer ses propres affaires grâce à la juste part des impôts qui lui revient, sans ingérence de la part d'Ottawa.
Depuis l'échec de Meech, aucun gouvernement à Ottawa n'a voulu s'interdire d'utiliser son immense pouvoir de dépenser pour s'immiscer dans les domaines de compétence provinciale. Advenant l'élection d'un gouvernement conservateur, il apparaît évident que la présence d'une forte délégation du Bloc québécois sera le meilleur moyen de s'assurer que la vision Harper du Canada s'adaptera à celle des Québécois, et non l'inverse.
j-rsansfacon@ledevoir.com
Nounou1 a écrit
Oui il y avait une taxe de vente, mais c'est quoi le rapport avec le fait que les Conservateurs veulent diminuer de 7% à 5% la TPS?
C'est quoi le rapport avec le fait que la TVQ embarque sur la TPS et fait que nous sommes taxés sur de la taxe?
Si les Conservateurs n'avaient jamais établi la TPS, nous n'aurions jamais été taxés sur de la taxe, par le fait même, Québec n'aurait jamais reçu plus d'argent en taxe qu'il n'en a reçu depuis la TPS.
Donc, je ne comprend pas le fait que tu te plaignes que le fait de diminuer la TPS va nous faire perdre de l'argent.
Au contraire, tu devrais être content de cette diminution de TPS car tu as l'air d'en vouloir aux Conservateurs de l'avoir instauré.
Le rapport est pourtant simple à comprendre. Il y avait une taxe québécoise qui existait AVANT la TPS. Les conservateurs de l'époque ont AJOUTÉ la TPS de sorte que l'on a dû harmoniser les deux taxes comme nous les connaissons maintenant. De ce fait, nous percevons plus d'argent au Québec présentement et si le PC diminue de 1% la TPS nous aurons un manque à gagner de 200 millions. Tu crois que le budget provincial peut supporter une telle diminution? Si ta réponse est oui, grand bien te fasse... Si elle est non, qui crois-tu financeras le manque à gagner? La réponse est simple mettons. Le gouvernement provincial aura soit à couper dans les services ou à augmenter la taxe ou les impôts. Ne trouves-tu pas bizarre de donner d'une main et de faire reprendre de l'autre? C'est une belle promesse de diminuer d'un côté et de TE faire payer de l'autre. Il me semble que ce n'est pas si sorcier à comprendre...
Oui il y avait une taxe de vente, mais c'est quoi le rapport avec le fait que les Conservateurs veulent diminuer de 7% à 5% la TPS?
C'est quoi le rapport avec le fait que la TVQ embarque sur la TPS et fait que nous sommes taxés sur de la taxe?
Si les Conservateurs n'avaient jamais établi la TPS, nous n'aurions jamais été taxés sur de la taxe, par le fait même, Québec n'aurait jamais reçu plus d'argent en taxe qu'il n'en a reçu depuis la TPS.
Donc, je ne comprend pas le fait que tu te plaignes que le fait de diminuer la TPS va nous faire perdre de l'argent.
Au contraire, tu devrais être content de cette diminution de TPS car tu as l'air d'en vouloir aux Conservateurs de l'avoir instauré.
Le rapport est pourtant simple à comprendre. Il y avait une taxe québécoise qui existait AVANT la TPS. Les conservateurs de l'époque ont AJOUTÉ la TPS de sorte que l'on a dû harmoniser les deux taxes comme nous les connaissons maintenant. De ce fait, nous percevons plus d'argent au Québec présentement et si le PC diminue de 1% la TPS nous aurons un manque à gagner de 200 millions. Tu crois que le budget provincial peut supporter une telle diminution? Si ta réponse est oui, grand bien te fasse... Si elle est non, qui crois-tu financeras le manque à gagner? La réponse est simple mettons. Le gouvernement provincial aura soit à couper dans les services ou à augmenter la taxe ou les impôts. Ne trouves-tu pas bizarre de donner d'une main et de faire reprendre de l'autre? C'est une belle promesse de diminuer d'un côté et de TE faire payer de l'autre. Il me semble que ce n'est pas si sorcier à comprendre...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Raven a écritCitation :Je n'adhère aucunement aux idées de Monsieur Harper mais il y a eu au moins l'honneteté de ne pas les changer pour tenter de se faire élire.
As-tu comparé le programme du parti conservateur avec sa plateforme électorale ? Dans l'est, il est passé d'un discours très à droite à un discours plus de centre, alors que dans l'ouest il continue à prôner ses idées de droite Si ce n’est pas tenter de changer ses idées pour se faire élire, je ne sais pas comment on appelle cela
Citation :Et je partage l'avis de quelqu'un, ca donne quoi de renverser le gouvernement si en fait ils veulent se retrouver encore avec les libéraux... encore de l'argent gaspillé inutilement.
Le Bloc ne veut pas se retrouver avec les libéraux, tout comme il ne veut pas se retrouver avec les conservateurs. Je crois que le Bloc aurait bien aimé voir le parti conservateur au pouvoir, mais de façon minoritaire, afin qu'il soit contrôlé et ne passe pas toutes les mesures antisociales qu'il prône Mais de façon majoritaire, les conservateurs sont en effet un danger, et je ne trouve pas cela cheap du tout que le Bloc explique pourquoi il trouve cela
Alors si je suis ton raisonnement.....
il veut pas pas être l'opposition officielle mais il veut le plus de siège possible alors il faut voter bloc mais pas trop
il veut pas les libéraux, il veut les conservateurs mais il ne les veut pas majoritaires donc il faut voter conservateur mais pas trop donc un peu libéral....
As-tu comparé le programme du parti conservateur avec sa plateforme électorale ? Dans l'est, il est passé d'un discours très à droite à un discours plus de centre, alors que dans l'ouest il continue à prôner ses idées de droite Si ce n’est pas tenter de changer ses idées pour se faire élire, je ne sais pas comment on appelle cela
Citation :Et je partage l'avis de quelqu'un, ca donne quoi de renverser le gouvernement si en fait ils veulent se retrouver encore avec les libéraux... encore de l'argent gaspillé inutilement.
Le Bloc ne veut pas se retrouver avec les libéraux, tout comme il ne veut pas se retrouver avec les conservateurs. Je crois que le Bloc aurait bien aimé voir le parti conservateur au pouvoir, mais de façon minoritaire, afin qu'il soit contrôlé et ne passe pas toutes les mesures antisociales qu'il prône Mais de façon majoritaire, les conservateurs sont en effet un danger, et je ne trouve pas cela cheap du tout que le Bloc explique pourquoi il trouve cela
Alors si je suis ton raisonnement.....
il veut pas pas être l'opposition officielle mais il veut le plus de siège possible alors il faut voter bloc mais pas trop
il veut pas les libéraux, il veut les conservateurs mais il ne les veut pas majoritaires donc il faut voter conservateur mais pas trop donc un peu libéral....
Le mercredi 18 janvier 2006
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Le chef bloquiste Gilles Duceppe a été accueilli par des partisans à Gatineau, hier. Selon le dernier sondage CROP-La Presse, le Bloc ne récolterait plus que 39% des intentions de vote, une dégringolade de 13 points par rapport à décembre dernier.
Photo PC
SONDAGE CROP-LA PRESSE-98,5-INFO690-CKAC
Le Bloc québécois en perte de vitesse
Denis Lessard
La Presse
Québec
Une vague conservatrice pourrait s'abattre sur le Québec, constate la maison de sondages CROP, selon laquelle des supporteurs de Gilles Duceppe passent, en masse, dans le camp de Stephen Harper, en particulier dans les régions où, à toutes les élections, le Bloc québécois a obtenu ses meilleurs résultats.
C'est le constat auquel en arrive CROP dans sa dernière enquête, menée du 11 au 16 janvier dernier auprès de 872 répondants, pour le compte de La Presse, 98,5FM, Info690 et CKAC.
Un tel coup de sonde est précis à 3,5 points près.
CROP prévoyait à l'origine terminer son enquête dimanche, mais l'a prolongée pour bien s'assurer qu'il s'agissait d'une tendance, ce qui s'est confirmé lundi.
Après répartition proportionnelle des 13 % d'indécis, le Bloc récolterait donc 39 % d'intentions de vote, une dégringolade de 13 points par rapport aux 52 % d'appuis observés par CROP en décembre dernier. Les libéraux de Paul Martin fléchissent un peu, passant de 23 à 20 %. Les conservateurs de Stephen Harper passent à la caisse. Leurs appuis gonflent subitement de 9 à 25 %.
Ces résultats ne tiennent évidemment pas compte des organisations électorales des partis politiques, qui peuvent faire la différence, le jour du vote. De plus, un autre sondage EKOS, celui-là réalisé pour La Presse et le Toronto Star (voir page A3), constate aussi la glissade constante du parti de Gilles Duceppe depuis le début de la campagne électorale. En décembre, un sondage accordait près de 58% aux bloquistes.
Aujourd'hui, un sondage de la même firme donne 47% des intentions de vote au Bloc québécois. Le dernier sondage EKOS (496 répondants au Québec) confirme lui aussi la montée irrésistible des conservateurs qui obtiennent 25% des intentions de vote au Québec contre près de 16% pour les libéraux. La marge d'erreur du sondage EKOS (4,4 points) au Québec est toutefois plus importante que celle du sondage CROP. Notons aussi que les périodes des deux sondages diffèrent quelque peu (CROP, du 11 au 16 janvier; EKOS, du 15 au 17 janvier).
Chute marquée
Quoi qu'il en soit, la chute marquée des intentions de votes en faveur du Bloc québécois dans le sondage CROP, alors qu'il ne reste que cinq jours avant le scrutin, constitue une douche froide pour Gilles Duceppe. Ce dernier, il y a 10 jours encore, parlait d'un appui de plus de 50 % des suffrages pour son parti au Québec, le 23 janvier.
Au-delà des chiffres
Pour Claude Gauthier, «c'est la première fois depuis longtemps au Québec qu'il semble y avoir une alternative au Bloc québécois pour ceux qui sont mécontents du gouvernement fédéral ". Cette fois, " le Parti conservateur a acquis une crédibilité pendant la campagne, et ce sentiment a finalement atteint le Québec».
Le chef tory en était hier à son cinquième passage au Québec- en Beauce notamment où son candidat Maxime Bernier devrait être élu selon CROP- «la campagne conservatrice est un parcours sans erreur tandis que c'était le fouillis chez les libéraux», observe l'analyste de la maison de sondage.
Par ailleurs, le mécontentement à l'endroit du gouvernement libéral est encore plus palpable qu'en 2004. Il y a 18 mois, 68 % des Québécois se disaient insatisfaits du gouvernement Martin; il s'en trouve 75 % maintenant.
Le goût du changement ?
Plus fondamentalement, les électeurs veulent du changement. Durant la campagne de 2004, qui a produit un gouvernement minoritaire, 60 % des Québécois souhaitaient une relève de la garde à Ottawa; ils sont plus de 72 % aujourd'hui.
«Le Bloc fait partie depuis longtemps du paysage et cela fait peut-être désormais partie des choses à changer», observe le spécialiste.
Pas une première
Une telle percée du Parti conservateur au Québec n'est pas une première. En 1997, le PC dirigé par Jean Charest a fait une remontée spectaculaire prenant plus de 10 points en une semaine. Mais le premier ministre Jean Chrétien lui a coupé les ailes en déclarant qu'il ne respecterait pas une victoire du OUI au référendum. Le vote s'était immédiatement polarisé et les appuis nationalistes des conservateurs étaient vite retournés dans le giron du Bloc québécois.
Avec 39 % d'appuis, le Bloc revient à ses scores d'avant l'explosion du scandale des commandites, en février 2004. En juin 2004, Gilles Duceppe a recueilli 49 % des suffrages et récolté 54 députés sur 75. Avec 40 % d'appuis en 2000, le Bloc a récolté 38 sièges.
Cette fois, si les 25 % d'appuis aux conservateurs constatés par CROP se matérialisent, le PCC augmentera sensiblement sa représentation, prévoit-on. Des résultats en dessous de 45 % pour le Bloc amènent une réduction rapide du nombre de députés.
Régions
Or, la percée du Parti conservateur semble se produire précisément où elle est le plus susceptible de causer des dommages au Bloc, dans les régions francophones. Déjà les huit sondages de CROP dans autant de circonscrïptions chaudes (publiés hier dans La Presse) montraient un repli (d'environ 8 %) du parti de Gilles Duceppe par rapport au score de 2004.
Aussi, l'apparition subite d'un indépendant, André Arthur, dans une circonscrïption rurale et francophone détenue par le Bloc jusqu'ici, Portneuf, était un premier voyant rouge sur le tableau de bord des bloquistes.
Chez les francophones, le Bloc qui détenait 61 % des appuis en décembre recule jusqu'à 46 %. Les libéraux marquent le pas et perdent trois points à 13 %, mais les conservateurs raflent désormais l'appui de 25 % des francophones, eux qui n'en avaient que 7 % il y a un mois.
À Montréal
À Montréal, le Bloc sauve les meubles passant de 44 à 40 % d'appuis; perdant cinq points, les libéraux tombent à 24 %, les tories atteignent 19 %, soit deux fois plus qu'il y a un mois.
C'est en régions, en dehors de Montréal et de Québec, que la vague conservatrice prend des allures de tsunami.
Le Bloc est en chute libre, passant de 61 % à 39 %, les libéraux restent à 18 % et les conservateurs décrochent subitement 29 % des suffrages, une remontée spectaculaire par rapport aux 7 % observés en décembre dernier.
en voici la preuve meme le bloc baisse
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Le chef bloquiste Gilles Duceppe a été accueilli par des partisans à Gatineau, hier. Selon le dernier sondage CROP-La Presse, le Bloc ne récolterait plus que 39% des intentions de vote, une dégringolade de 13 points par rapport à décembre dernier.
Photo PC
SONDAGE CROP-LA PRESSE-98,5-INFO690-CKAC
Le Bloc québécois en perte de vitesse
Denis Lessard
La Presse
Québec
Une vague conservatrice pourrait s'abattre sur le Québec, constate la maison de sondages CROP, selon laquelle des supporteurs de Gilles Duceppe passent, en masse, dans le camp de Stephen Harper, en particulier dans les régions où, à toutes les élections, le Bloc québécois a obtenu ses meilleurs résultats.
C'est le constat auquel en arrive CROP dans sa dernière enquête, menée du 11 au 16 janvier dernier auprès de 872 répondants, pour le compte de La Presse, 98,5FM, Info690 et CKAC.
Un tel coup de sonde est précis à 3,5 points près.
CROP prévoyait à l'origine terminer son enquête dimanche, mais l'a prolongée pour bien s'assurer qu'il s'agissait d'une tendance, ce qui s'est confirmé lundi.
Après répartition proportionnelle des 13 % d'indécis, le Bloc récolterait donc 39 % d'intentions de vote, une dégringolade de 13 points par rapport aux 52 % d'appuis observés par CROP en décembre dernier. Les libéraux de Paul Martin fléchissent un peu, passant de 23 à 20 %. Les conservateurs de Stephen Harper passent à la caisse. Leurs appuis gonflent subitement de 9 à 25 %.
Ces résultats ne tiennent évidemment pas compte des organisations électorales des partis politiques, qui peuvent faire la différence, le jour du vote. De plus, un autre sondage EKOS, celui-là réalisé pour La Presse et le Toronto Star (voir page A3), constate aussi la glissade constante du parti de Gilles Duceppe depuis le début de la campagne électorale. En décembre, un sondage accordait près de 58% aux bloquistes.
Aujourd'hui, un sondage de la même firme donne 47% des intentions de vote au Bloc québécois. Le dernier sondage EKOS (496 répondants au Québec) confirme lui aussi la montée irrésistible des conservateurs qui obtiennent 25% des intentions de vote au Québec contre près de 16% pour les libéraux. La marge d'erreur du sondage EKOS (4,4 points) au Québec est toutefois plus importante que celle du sondage CROP. Notons aussi que les périodes des deux sondages diffèrent quelque peu (CROP, du 11 au 16 janvier; EKOS, du 15 au 17 janvier).
Chute marquée
Quoi qu'il en soit, la chute marquée des intentions de votes en faveur du Bloc québécois dans le sondage CROP, alors qu'il ne reste que cinq jours avant le scrutin, constitue une douche froide pour Gilles Duceppe. Ce dernier, il y a 10 jours encore, parlait d'un appui de plus de 50 % des suffrages pour son parti au Québec, le 23 janvier.
Au-delà des chiffres
Pour Claude Gauthier, «c'est la première fois depuis longtemps au Québec qu'il semble y avoir une alternative au Bloc québécois pour ceux qui sont mécontents du gouvernement fédéral ". Cette fois, " le Parti conservateur a acquis une crédibilité pendant la campagne, et ce sentiment a finalement atteint le Québec».
Le chef tory en était hier à son cinquième passage au Québec- en Beauce notamment où son candidat Maxime Bernier devrait être élu selon CROP- «la campagne conservatrice est un parcours sans erreur tandis que c'était le fouillis chez les libéraux», observe l'analyste de la maison de sondage.
Par ailleurs, le mécontentement à l'endroit du gouvernement libéral est encore plus palpable qu'en 2004. Il y a 18 mois, 68 % des Québécois se disaient insatisfaits du gouvernement Martin; il s'en trouve 75 % maintenant.
Le goût du changement ?
Plus fondamentalement, les électeurs veulent du changement. Durant la campagne de 2004, qui a produit un gouvernement minoritaire, 60 % des Québécois souhaitaient une relève de la garde à Ottawa; ils sont plus de 72 % aujourd'hui.
«Le Bloc fait partie depuis longtemps du paysage et cela fait peut-être désormais partie des choses à changer», observe le spécialiste.
Pas une première
Une telle percée du Parti conservateur au Québec n'est pas une première. En 1997, le PC dirigé par Jean Charest a fait une remontée spectaculaire prenant plus de 10 points en une semaine. Mais le premier ministre Jean Chrétien lui a coupé les ailes en déclarant qu'il ne respecterait pas une victoire du OUI au référendum. Le vote s'était immédiatement polarisé et les appuis nationalistes des conservateurs étaient vite retournés dans le giron du Bloc québécois.
Avec 39 % d'appuis, le Bloc revient à ses scores d'avant l'explosion du scandale des commandites, en février 2004. En juin 2004, Gilles Duceppe a recueilli 49 % des suffrages et récolté 54 députés sur 75. Avec 40 % d'appuis en 2000, le Bloc a récolté 38 sièges.
Cette fois, si les 25 % d'appuis aux conservateurs constatés par CROP se matérialisent, le PCC augmentera sensiblement sa représentation, prévoit-on. Des résultats en dessous de 45 % pour le Bloc amènent une réduction rapide du nombre de députés.
Régions
Or, la percée du Parti conservateur semble se produire précisément où elle est le plus susceptible de causer des dommages au Bloc, dans les régions francophones. Déjà les huit sondages de CROP dans autant de circonscrïptions chaudes (publiés hier dans La Presse) montraient un repli (d'environ 8 %) du parti de Gilles Duceppe par rapport au score de 2004.
Aussi, l'apparition subite d'un indépendant, André Arthur, dans une circonscrïption rurale et francophone détenue par le Bloc jusqu'ici, Portneuf, était un premier voyant rouge sur le tableau de bord des bloquistes.
Chez les francophones, le Bloc qui détenait 61 % des appuis en décembre recule jusqu'à 46 %. Les libéraux marquent le pas et perdent trois points à 13 %, mais les conservateurs raflent désormais l'appui de 25 % des francophones, eux qui n'en avaient que 7 % il y a un mois.
À Montréal
À Montréal, le Bloc sauve les meubles passant de 44 à 40 % d'appuis; perdant cinq points, les libéraux tombent à 24 %, les tories atteignent 19 %, soit deux fois plus qu'il y a un mois.
C'est en régions, en dehors de Montréal et de Québec, que la vague conservatrice prend des allures de tsunami.
Le Bloc est en chute libre, passant de 61 % à 39 %, les libéraux restent à 18 % et les conservateurs décrochent subitement 29 % des suffrages, une remontée spectaculaire par rapport aux 7 % observés en décembre dernier.
en voici la preuve meme le bloc baisse
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
lucide a écrit
Alors si je suis ton raisonnement.....
il veut pas pas être l'opposition officielle mais il veut le plus de siège possible alors il faut voter bloc mais pas trop
il veut pas les libéraux, il veut les conservateurs mais il ne les veut pas majoritaires donc il faut voter conservateur mais pas trop donc un peu libéral....
Le Bloc visait 50% + 1. Il ne voulait pas être l'opposition officielle, ce n'est pas son objectif, mais s'il n'a pas le choix, il le fera Il n'est pas pour demander à ne pas voter pour lui pour ce risque, vaut mieux être pogné avec un role qu'on veut pas, mais être fort, qu'être trop faible pour représenter les Québécois
Alors si je suis ton raisonnement.....
il veut pas pas être l'opposition officielle mais il veut le plus de siège possible alors il faut voter bloc mais pas trop
il veut pas les libéraux, il veut les conservateurs mais il ne les veut pas majoritaires donc il faut voter conservateur mais pas trop donc un peu libéral....
Le Bloc visait 50% + 1. Il ne voulait pas être l'opposition officielle, ce n'est pas son objectif, mais s'il n'a pas le choix, il le fera Il n'est pas pour demander à ne pas voter pour lui pour ce risque, vaut mieux être pogné avec un role qu'on veut pas, mais être fort, qu'être trop faible pour représenter les Québécois
Citation :Le Bloc est en chute libre, passant de 61 % à 39 %, les libéraux restent à 18 % et les conservateurs décrochent subitement 29 % des suffrages, une remontée spectaculaire par rapport aux 7 % observés en décembre dernier.
J'ai de la difficulté à comprendre que seul le Bloc verrait sa clientèle changer de bord. Me semble que les libéraux sont très insatisfaits de leur parti et la clientèle leur reste quand même d'une fidélité absolue.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Citation :Le Bloc est en chute libre, passant de 61 % à 39 %, les libéraux restent à 18 % et les conservateurs décrochent subitement 29 % des suffrages, une remontée spectaculaire par rapport aux 7 % observés en décembre dernier.
J'ai de la difficulté à comprendre que seul le Bloc verrait sa clientèle changer de bord. Me semble que les libéraux sont très insatisfaits de leur parti et la clientèle leur reste quand même d'une fidélité absolue.
Mmmmm, non pas vraiment, la montée des conservateurs se fait au profit du Bloc qui aurait ramassé les insatisfaits des libéraux. Les libéraux ont quand même chuté à 20% dans les sondages, énorme, si on compare à leur 37-38% d'au déclanchemnt de la campagne.
Le Bloc croyait pouvoir compter sur les votes des libéraux déçus, mais finalement ce sont les conservateurs qui en profitent :/
Citation :Le Bloc est en chute libre, passant de 61 % à 39 %, les libéraux restent à 18 % et les conservateurs décrochent subitement 29 % des suffrages, une remontée spectaculaire par rapport aux 7 % observés en décembre dernier.
J'ai de la difficulté à comprendre que seul le Bloc verrait sa clientèle changer de bord. Me semble que les libéraux sont très insatisfaits de leur parti et la clientèle leur reste quand même d'une fidélité absolue.
Mmmmm, non pas vraiment, la montée des conservateurs se fait au profit du Bloc qui aurait ramassé les insatisfaits des libéraux. Les libéraux ont quand même chuté à 20% dans les sondages, énorme, si on compare à leur 37-38% d'au déclanchemnt de la campagne.
Le Bloc croyait pouvoir compter sur les votes des libéraux déçus, mais finalement ce sont les conservateurs qui en profitent :/
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tipet a écrit
Mmmmm, non pas vraiment, la montée des conservateurs se fait au profit du Bloc qui aurait ramassé les insatisfaits des libéraux. Les libéraux ont quand même chuté à 20% dans les sondages, énorme, si on compare à leur 37-38% d'au déclanchemnt de la campagne.
Le Bloc croyait pouvoir compter sur les votes des libéraux déçus, mais finalement ce sont les conservateurs qui en profitent :/ Bon ben coudonc. Si les conservateurs passent majoritaires, qu'il en soit ainsi. Si je me rends compte que j'ai eu peur pour rien, tant mieux!!! Sinon, quand je regarderai le monde chialer, je ferai comme avec le PLQ depuis 2 ans et demi et je me dirai "ben tant pis pour eux"!
Tant pis pour moi aussi, mais bon... Oufff que j'ai pas un bon feeling... Surtout avec Bush de l'autre bord, ishhhhhhh!
Mmmmm, non pas vraiment, la montée des conservateurs se fait au profit du Bloc qui aurait ramassé les insatisfaits des libéraux. Les libéraux ont quand même chuté à 20% dans les sondages, énorme, si on compare à leur 37-38% d'au déclanchemnt de la campagne.
Le Bloc croyait pouvoir compter sur les votes des libéraux déçus, mais finalement ce sont les conservateurs qui en profitent :/ Bon ben coudonc. Si les conservateurs passent majoritaires, qu'il en soit ainsi. Si je me rends compte que j'ai eu peur pour rien, tant mieux!!! Sinon, quand je regarderai le monde chialer, je ferai comme avec le PLQ depuis 2 ans et demi et je me dirai "ben tant pis pour eux"!
Tant pis pour moi aussi, mais bon... Oufff que j'ai pas un bon feeling... Surtout avec Bush de l'autre bord, ishhhhhhh!
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Raven a écritCitation :Je n'adhère aucunement aux idées de Monsieur Harper mais il y a eu au moins l'honneteté de ne pas les changer pour tenter de se faire élire.
As-tu comparé le programme du parti conservateur avec sa plateforme électorale ? Dans l'est, il est passé d'un discours très à droite à un discours plus de centre, alors que dans l'ouest il continue à prôner ses idées de droite Si ce n’est pas tenter de changer ses idées pour se faire élire, je ne sais pas comment on appelle celaNon moi non plus... J'ai pas trop trop compris.
Et puis, avec ceci, ouf: Tories silence candidates
Citation :
The Conservative party has told two Halifax-area candidates not to talk to reporters about a meeting of clergy opposed to same-sex marriage that they attended Wednesday.
"We’ve been told by Ottawa that we don’t talk about that," Paula Henderson told The Chronicle Herald on Thursday. "That’s a dropped subject."
En gros, le parti conservateur aurait dit à certains candidats de ne pas parler de mariage de même sexe. --Message edité par BouleAMites_ le 2006-01-18 18:54:03--
As-tu comparé le programme du parti conservateur avec sa plateforme électorale ? Dans l'est, il est passé d'un discours très à droite à un discours plus de centre, alors que dans l'ouest il continue à prôner ses idées de droite Si ce n’est pas tenter de changer ses idées pour se faire élire, je ne sais pas comment on appelle celaNon moi non plus... J'ai pas trop trop compris.
Et puis, avec ceci, ouf: Tories silence candidates
Citation :
The Conservative party has told two Halifax-area candidates not to talk to reporters about a meeting of clergy opposed to same-sex marriage that they attended Wednesday.
"We’ve been told by Ottawa that we don’t talk about that," Paula Henderson told The Chronicle Herald on Thursday. "That’s a dropped subject."
En gros, le parti conservateur aurait dit à certains candidats de ne pas parler de mariage de même sexe. --Message edité par BouleAMites_ le 2006-01-18 18:54:03--
BouleAMites_ a écrit Bon ben coudonc. Si les conservateurs passent majoritaires, qu'il en soit ainsi. Si je me rends compte que j'ai eu peur pour rien, tant mieux!!! Sinon, quand je regarderai le monde chialer, je ferai comme avec le PLQ depuis 2 ans et demi et je me dirai "ben tant pis pour eux"!
Tant pis pour moi aussi, mais bon... Oufff que j'ai pas un bon feeling... Surtout avec Bush de l'autre bord, ishhhhhhh!
Parfaitement d'accord.....et j'espère, que dis-je, je prie le seigneur (pour aller avec le parti ), que j'aille eu peur pour rien....
Tant pis pour moi aussi, mais bon... Oufff que j'ai pas un bon feeling... Surtout avec Bush de l'autre bord, ishhhhhhh!
Parfaitement d'accord.....et j'espère, que dis-je, je prie le seigneur (pour aller avec le parti ), que j'aille eu peur pour rien....
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C'est fou hein, mais je n'ai jamais eu *peur* d'un parti dans une élection. Jamais, jamais je n'ai eu ce feeling-là! J'ai été déjà déçue du résultat d'élections, ça oui. Mais avoir littéralement peur, en dedans? Jamais!
Pour André Arthur, bah... Ben curieuse de voir ce qui va se passer dans ce compté s'il passe, moi!
Pour André Arthur, bah... Ben curieuse de voir ce qui va se passer dans ce compté s'il passe, moi!
Nounou1 a écritPour la TPS, je suis 100% d'accord avec la réduction. Ce n'est pas de la faute des Conservateurs si nous sommes les seuls au monde à taxer de la taxe.
Pis pour le déséquilibre fiscal, s'il veut le régler, c'est quoi le problème? On entend toujours parler du déséquilibre fiscal, que c'est la faute du déséquilibre fiscal si il arrive ci, s'il arrive cela, qu'il faut se séparer, mais quand on parle de le régler, ça fait pas?
Pas vrai En france, si je me souviens bien, ils ont une taxe sur les impôts qu'ils doivent payer.
Pis pour le déséquilibre fiscal, s'il veut le régler, c'est quoi le problème? On entend toujours parler du déséquilibre fiscal, que c'est la faute du déséquilibre fiscal si il arrive ci, s'il arrive cela, qu'il faut se séparer, mais quand on parle de le régler, ça fait pas?
Pas vrai En france, si je me souviens bien, ils ont une taxe sur les impôts qu'ils doivent payer.