Selon TVA Landry ne revient pas, selon certaines de mes sources, il revient.. Dur a suivre
--Message edité par Raven le 2005-07-21 18:52:55--
Choix d'un chef PQ Prise 3
Raven a écritSelon TVA Landry ne revient pas, selon certaines de mes sources, il revient.. Dur a suivre
Je viens de m'informer.. La grosse rumeur présentement : Landry reviendrait dans la course uniquement pour participer au débat, pour qu'il puisse donner son avis sur Marois et certains autres. Il ferait ensuite une alliance avec un candidat. (Possiblement Boisclair).
Selon les infos que je viens de recevoir d'un coordonnateur de Landry, il viendrait d'acheter 3000 collants pour sa campagne, et il serait à la recherche de bénévoles partout au Québec pour faire signer des pétitions. Si certains d'entre vous sont des pro-Landry et désiraient travailler pour sa campagne je peux vous donner les coordonnés en privé pour entrer en contact avec son équipe.. Je ne peux pas les donner en public, car il vous faut une référence et c'est un numéro de téléphone personnel Mais si vous avez du temps et voulez vous impliquer dans le camp Landry, je peut vous fournir les infos en privé
Donc selon moi TVA est complétement dans l'erreur
Je viens de m'informer.. La grosse rumeur présentement : Landry reviendrait dans la course uniquement pour participer au débat, pour qu'il puisse donner son avis sur Marois et certains autres. Il ferait ensuite une alliance avec un candidat. (Possiblement Boisclair).
Selon les infos que je viens de recevoir d'un coordonnateur de Landry, il viendrait d'acheter 3000 collants pour sa campagne, et il serait à la recherche de bénévoles partout au Québec pour faire signer des pétitions. Si certains d'entre vous sont des pro-Landry et désiraient travailler pour sa campagne je peux vous donner les coordonnés en privé pour entrer en contact avec son équipe.. Je ne peux pas les donner en public, car il vous faut une référence et c'est un numéro de téléphone personnel Mais si vous avez du temps et voulez vous impliquer dans le camp Landry, je peut vous fournir les infos en privé
Donc selon moi TVA est complétement dans l'erreur
Pierre Dubuc se lance dans la course au PQ
Presse Canadienne (PC)
21/07/2005 05h34
Pierre Dubuc, directeur et rédacteur en chef du mensuel de gauche L'Aut'Journal, se lance à son tour dans la course à la direction du Parti québécois, d'après ce qu'annonce La Presse, ce matin.
Pierre Dubuc, qui a 58 ans, devient donc le neuvième candidat déclaré à la succession de Bernard Landry; des étapes demeurent pour qu'il soit considéré candidat officiel.
M.Dubuc explique sa décision par sa volonté de renforcer le PQ, particulièrement par l'apport de nouveaux membres en provenance du mouvement syndical et des organisations progressistes. Il n'est membre du parti que depuis un an.
L'Aut'Journal a été créé il y a 21 ans; il est distribué à 35 000 exemplaires.
Presse Canadienne (PC)
21/07/2005 05h34
Pierre Dubuc, directeur et rédacteur en chef du mensuel de gauche L'Aut'Journal, se lance à son tour dans la course à la direction du Parti québécois, d'après ce qu'annonce La Presse, ce matin.
Pierre Dubuc, qui a 58 ans, devient donc le neuvième candidat déclaré à la succession de Bernard Landry; des étapes demeurent pour qu'il soit considéré candidat officiel.
M.Dubuc explique sa décision par sa volonté de renforcer le PQ, particulièrement par l'apport de nouveaux membres en provenance du mouvement syndical et des organisations progressistes. Il n'est membre du parti que depuis un an.
L'Aut'Journal a été créé il y a 21 ans; il est distribué à 35 000 exemplaires.
NetRoll a écritLes criss de syndicats.... De grâce, faudrait pas syndicaliser encore plus la province. J'ai pas envie d'un pays de syndicaleux qui s'accotent sur une pelle... mais de gens qui retroussent leurs manches pour faire avancer les choses.
C'était mon cri du coeur en cette belle journée.
Inquiète-toi pas, il n'a pas vraiment de chances. Il va seulement permettre d'attirer plus de membres au PQ C'est sûrement une stratégie pour que les syndicalistes décu du PLQ ait bel et bien du coté du PQ, et qu'ils ne soit pas tentés par l'ADQ ou l'UFP --Message edité par Raven le 2005-07-21 19:32:12--
C'était mon cri du coeur en cette belle journée.
Inquiète-toi pas, il n'a pas vraiment de chances. Il va seulement permettre d'attirer plus de membres au PQ C'est sûrement une stratégie pour que les syndicalistes décu du PLQ ait bel et bien du coté du PQ, et qu'ils ne soit pas tentés par l'ADQ ou l'UFP --Message edité par Raven le 2005-07-21 19:32:12--
Pauline Marois semble essayer de trouver des appuis chez l'UFP.
Communiqué :
L’Union des forces progressistes a rencontré Pauline Marois, à la demande de cette dernière, afin de lui exposer sa stratégie d’Assemblée constituante pour réaliser l’indépendance du Québec.
L’UFP a profité de l’occasion pour souligner l’importance d’une réforme du mode de scrutin pour que chaque vote compte enfin.
La démarche d’Assemblée constituante que propose l’UFP consiste à élire au suffrage universel, dans toutes les régions, un nombre égal de femmes et d’hommes chargés d’élaborer un projet de Constitution. Il s’agit de sortir la Constitution des mains des spécialistes pour en faire l’affaire de tout le monde. Vaste processus de démocratie participative, l’Assemblée constituante donnera aux gens du Québec la possibilité d’imaginer les contours du pays à bâtir. Cette prise de parole citoyenne permettra de rompre avec le statu quo du régime fédéral qui réduit le peuple québécois à l’état de peuple minoritaire.
- 30 - --Message edité par Raven le 2005-07-21 19:23:08--
Communiqué :
L’Union des forces progressistes a rencontré Pauline Marois, à la demande de cette dernière, afin de lui exposer sa stratégie d’Assemblée constituante pour réaliser l’indépendance du Québec.
L’UFP a profité de l’occasion pour souligner l’importance d’une réforme du mode de scrutin pour que chaque vote compte enfin.
La démarche d’Assemblée constituante que propose l’UFP consiste à élire au suffrage universel, dans toutes les régions, un nombre égal de femmes et d’hommes chargés d’élaborer un projet de Constitution. Il s’agit de sortir la Constitution des mains des spécialistes pour en faire l’affaire de tout le monde. Vaste processus de démocratie participative, l’Assemblée constituante donnera aux gens du Québec la possibilité d’imaginer les contours du pays à bâtir. Cette prise de parole citoyenne permettra de rompre avec le statu quo du régime fédéral qui réduit le peuple québécois à l’état de peuple minoritaire.
- 30 - --Message edité par Raven le 2005-07-21 19:23:08--
Je crois que les membres du PQ vont recevoir pas mal de solicitations par email bientot. Comme Legendre est le premier candidat officiel, à lui l'honneur de se servir du mass mailing en premier. Je copie le message pour les non-membres péquistes
Le mercredi 20 juillet 2005
Bonjour Mathieu,
Cette année, l'automne au Parti Québécois sera marqué par la première course à la chefferie en vingt ans. Je suis heureux de vous annoncer que le 11 juillet dernier, j'ai été le premier à déposer officiellement mon bulletin de mise en candidature pour cette course. En effet, en vingt jours à peine, j'ai pu recueillir les signatures d'appuis de plus de 1 000 membres en règle, répartis sur tout le territoire du Québec.
La rapidité avec laquelle des centaines de gens se sont mobilisés autour de ma candidature, ainsi que la qualité de l'Équipe Legendre, dont la base s'accroît de jour en jour, confirment ma confiance en l'avenir : Je suis certain de pouvoir incarner le renouveau que vous réclamez.
Maintenant candidat officiel, je tiens à réaffirmer mon engagement pour le pays du Québec. Je fais cette course pour gagner. L'échéancier est clair, le nouveau chef devra être en mesure de faire gagner le Parti Québécois aux prochaines élections et de faire gagner le "Oui" au prochain référendum.
Pour accomplir ces tâches, j'ai besoin de votre apport et de votre appui à tous. Je vous invite donc à contacter mon équipe et à consulter régulièrement mon site Internet : www.equipelegendre.org en vue de participer à cette campagne historique au Parti Québécois.
Je continuerai au cours des prochaines semaines à sillonner le Québec pour échanger avec les militantes et les militants. J'espère avoir la chance de discuter avec le plus grand nombre d'entres vous !
Salutations militantes,
Richard Legendre
Le mercredi 20 juillet 2005
Bonjour Mathieu,
Cette année, l'automne au Parti Québécois sera marqué par la première course à la chefferie en vingt ans. Je suis heureux de vous annoncer que le 11 juillet dernier, j'ai été le premier à déposer officiellement mon bulletin de mise en candidature pour cette course. En effet, en vingt jours à peine, j'ai pu recueillir les signatures d'appuis de plus de 1 000 membres en règle, répartis sur tout le territoire du Québec.
La rapidité avec laquelle des centaines de gens se sont mobilisés autour de ma candidature, ainsi que la qualité de l'Équipe Legendre, dont la base s'accroît de jour en jour, confirment ma confiance en l'avenir : Je suis certain de pouvoir incarner le renouveau que vous réclamez.
Maintenant candidat officiel, je tiens à réaffirmer mon engagement pour le pays du Québec. Je fais cette course pour gagner. L'échéancier est clair, le nouveau chef devra être en mesure de faire gagner le Parti Québécois aux prochaines élections et de faire gagner le "Oui" au prochain référendum.
Pour accomplir ces tâches, j'ai besoin de votre apport et de votre appui à tous. Je vous invite donc à contacter mon équipe et à consulter régulièrement mon site Internet : www.equipelegendre.org en vue de participer à cette campagne historique au Parti Québécois.
Je continuerai au cours des prochaines semaines à sillonner le Québec pour échanger avec les militantes et les militants. J'espère avoir la chance de discuter avec le plus grand nombre d'entres vous !
Salutations militantes,
Richard Legendre
Un «pur et dur» dans la course
Jean-Claude St-André brigue la direction du PQ
Tommy Chouinard
La Presse
Québec
Le député Jean-Claude St-André, associé à l'aile orthodoxe du Parti québécois, a décidé à son tour de se lancer dans la course à la succession de Bernard Landry, ce qui porte maintenant à 11 le nombre de candidats déclarés.
M. St-André, 42 ans, a pris sa décision jeudi, après avoir pesé le pour et le contre pendant quelques semaines.
Joint par La Presse hier, le député de L'Assomption a confirmé sa candidature. Il a toutefois refusé d'apporter quelque précision que ce soit, se contenant de dire qu'il fera une déclaration publique au cours des prochaines semaines.
Élu pour la première fois lors d'une élection partielle en 1996, Jean-Claude St-André fait partie de l'aile orthodoxe du Parti québécois, ces « purs et durs » qui préconisent une démarche radicale d'accession à la souveraineté.
Le député est notamment favorable à ce qu'un prochain gouvernement péquiste fasse des « gestes de rupture » en contravention avec la Constitution canadienne dès le lendemain de son élection.
Cette proposition, parrainée par le directeur de la revue L'Action nationale, Robert Laplante, a toutefois été écartée par les délégués du PQ au congrès de juin
La proposition finalement retenue prévoit que le PQ proposera un « projet de pays » durant la prochaine campagne électorale. Une fois élu, un gouvernement péquiste préparera une constitution provisoire. Il tiendra « le plus tôt possible » un référendum sur la souveraineté en posant une question « courte et simple ». Un deuxième référendum aura lieu afin de faire approuver par la population une constitution permanente.
Jean-Claude St-André se dit insatisfait de cette démarche, qui, à ses yeux, consacre l'étapisme et conduira à un nouvel échec.
11 candidats déclarés
La course à la direction du PQ compte maintenant 11 candidats déclarés en comptant le chanteur et comédien Laurent M. Leclerc, dont le nom figure sur le site Internet du PQ mais qui n'a pas encore commenté publiquement sa mise en candidature. Les autres candidats sont Louis Bernard, André Boisclair, Hugues Cormier, Pierre Dubuc, Gilles Hébert, Ghislain Lebel, Richard Legendre, Pauline Marois et Jean Ouimet.
Même si les aspirants à la succession de Bernard Landry sont un peu plus nombreux chaque semaine, la course à la direction du PQ se fait plutôt discrète. Les candidats se contentent pour l'instant de multiplier les présences dans les festivals du Québec et de courtiser les associations de circonscrïption.
La véritable course commencera le 15 septembre, date de la fin des mises en candidature. Tous les candidats déclarés doivent recueillir 1000 signatures de membres en règle du PQ provenant d'au moins 40 circonscrïptions- un minimum de 10 signatures par circonscrïption est requis- pour se lancer officiellement dans cette course. Seul Richard Legendre a amassé ses 1000 signatures jusqu'à maintenant.
Le nouveau chef sera connu le 15 novembre, à la suite d'un scrutin téléphonique auquel tous les membres du PQ sont conviés.
Jean-Claude St-André brigue la direction du PQ
Tommy Chouinard
La Presse
Québec
Le député Jean-Claude St-André, associé à l'aile orthodoxe du Parti québécois, a décidé à son tour de se lancer dans la course à la succession de Bernard Landry, ce qui porte maintenant à 11 le nombre de candidats déclarés.
M. St-André, 42 ans, a pris sa décision jeudi, après avoir pesé le pour et le contre pendant quelques semaines.
Joint par La Presse hier, le député de L'Assomption a confirmé sa candidature. Il a toutefois refusé d'apporter quelque précision que ce soit, se contenant de dire qu'il fera une déclaration publique au cours des prochaines semaines.
Élu pour la première fois lors d'une élection partielle en 1996, Jean-Claude St-André fait partie de l'aile orthodoxe du Parti québécois, ces « purs et durs » qui préconisent une démarche radicale d'accession à la souveraineté.
Le député est notamment favorable à ce qu'un prochain gouvernement péquiste fasse des « gestes de rupture » en contravention avec la Constitution canadienne dès le lendemain de son élection.
Cette proposition, parrainée par le directeur de la revue L'Action nationale, Robert Laplante, a toutefois été écartée par les délégués du PQ au congrès de juin
La proposition finalement retenue prévoit que le PQ proposera un « projet de pays » durant la prochaine campagne électorale. Une fois élu, un gouvernement péquiste préparera une constitution provisoire. Il tiendra « le plus tôt possible » un référendum sur la souveraineté en posant une question « courte et simple ». Un deuxième référendum aura lieu afin de faire approuver par la population une constitution permanente.
Jean-Claude St-André se dit insatisfait de cette démarche, qui, à ses yeux, consacre l'étapisme et conduira à un nouvel échec.
11 candidats déclarés
La course à la direction du PQ compte maintenant 11 candidats déclarés en comptant le chanteur et comédien Laurent M. Leclerc, dont le nom figure sur le site Internet du PQ mais qui n'a pas encore commenté publiquement sa mise en candidature. Les autres candidats sont Louis Bernard, André Boisclair, Hugues Cormier, Pierre Dubuc, Gilles Hébert, Ghislain Lebel, Richard Legendre, Pauline Marois et Jean Ouimet.
Même si les aspirants à la succession de Bernard Landry sont un peu plus nombreux chaque semaine, la course à la direction du PQ se fait plutôt discrète. Les candidats se contentent pour l'instant de multiplier les présences dans les festivals du Québec et de courtiser les associations de circonscrïption.
La véritable course commencera le 15 septembre, date de la fin des mises en candidature. Tous les candidats déclarés doivent recueillir 1000 signatures de membres en règle du PQ provenant d'au moins 40 circonscrïptions- un minimum de 10 signatures par circonscrïption est requis- pour se lancer officiellement dans cette course. Seul Richard Legendre a amassé ses 1000 signatures jusqu'à maintenant.
Le nouveau chef sera connu le 15 novembre, à la suite d'un scrutin téléphonique auquel tous les membres du PQ sont conviés.
NetRoll a écritLes criss de syndicats.... De grâce, faudrait pas syndicaliser encore plus la province. J'ai pas envie d'un pays de syndicaleux qui s'accotent sur une pelle... mais de gens qui retroussent leurs manches pour faire avancer les choses.
C'était mon cri du coeur en cette belle journée.
Tiens Netroll, pour te faire plaisir je te copie ceci
Course à la chefferie du PQ: Le SPQ Libre présente un candidat
Le conseil d’administration du club politique Syndicalistes et progressistes pour un Québec libre demandera à l’assemblée générale de ses membres le 15 août prochain d’entériner sa décision de présenter Pierre Dubuc comme candidat dans la course à la chefferie du Parti Québécois. Le texte d’opinion qui suit explique l’orientation générale que le SPQ Libre veut donner à cette candidature.
Au printemps dernier, jamais les perspectives de la souveraineté n’étaient apparues aussi brillantes. À Ottawa, les jours du gouvernement libéral de Paul Martin semblaient comptés et, à Québec, l’impopularité du gouvernement Charest atteignait des bas-fonds historiques.
La feuille de route vers l’indépendance était toute tracée. D’abord, l’élection du Bloc qui, dans la foulée des révélations de la Commission Gomery, peut espérer arracher au Parti libéral des circonscrïptions jugées jusqu’à maintenant imprenables. Puis, une éclatante victoire du Parti Québécois sur un Parti Libéral en déconfiture, suivie rapidement d’un référendum que tous les sondages donnent gagnant avec une confortable majorité.
Ce scénario, maintes fois évoqué dans la presse anglophone, a jeté la panique dans les rangs fédéralistes. Le génie qu’on croyait avoir définitivement enfermé dans la bouteille en 1995 menaçait à nouveau de faire sauter le bouchon. La direction du Parti Libéral et l’establishment torontois ont remué mer et monde pour assurer in extremis la survie du gouvernement Martin.
Les souverainistes doivent apprécier l’ampleur des moyens mis en oeuvre : des ententes à la pièce de plusieurs milliards avec les provinces qui hypothèquent le fonctionnement normal de la fédération; des modifications budgétaires qui balancent par-dessus bord le credo fiscal de la classe dirigeante canadienne; des manoeuvres, tel le changement d’allégeance partisane de Belinda Stronach, qui, à court terme, déstabilisent le Parti Conservateur mais, à long terme, privent le Canada anglais d’une alternative au Parti Libéral. Le message de l’establishment canadien-anglais est clair : tout sera mis en oeuvre pour empêcher le démantèlement du Canada. Les souverainistes doivent en prendre acte.
Quelques semaines plus tard, autre coup de théâtre, le chef du Parti Québécois, Bernard Landry, juge insuffisant le vote de confiance de 76,2% des congressistes, remet sa démission et plonge son parti dans une course à la chefferie, la première depuis vingt ans.
En quelques mois, la donne politique a complètement changé, mais les données fondamentales restent les mêmes. Les libéraux, tant sur la scène fédérale que provinciale, sont toujours aussi impopulaires et l’appui majoritaire à la souveraineté ne se dément pas. Dans ce contexte, l’enjeu de la prochaine élection au Québec demeure la souveraineté. La lutte s’annonce titanesque car, depuis 1995, les forces fédéralistes savent qu’elles peuvent perdre un référendum et elles déploieront tous les moyens nécessaires pour empêcher l’élection du Parti Québécois
Pour espérer gagner l’élection et le référendum, les souverainistes devront développer une mobilisation populaire sans précédent. Celle-ci ne pourra voir le jour sans un projet de pays enthousiasmant, une stratégie claire et un leadership aguerri qui suscite la confiance.
Le projet de pays doit répondre aux aspirations les plus profondes des classes populaires en termes d’éducation, de santé, de langue de travail, de milieu de vie et de travail, de niveau de vie et de temps libre. Le dernier congrès a démontré que le Parti Québécois se situait toujours à l’enseigne du progressisme et il a appelé, au lendemain d’un référendum gagnant, l’ensemble de la population à une Assemblée constituante pour rédiger la Constitution de la future République du Québec.
Le congrès a également déterminé les grandes lignes de la stratégie. Une campagne électorale annonçant la tenue d’un référendum le plus tôt possible dans le mandat; une fois le gouvernement élu, la mise en place de mesures transitoires (Constitution provisoire, etc.) pour mener à la souveraineté; puis, une déclaration de souveraineté au lendemain d’un référendum victorieux et la convocation d’une Assemblée constituante pour rédiger la Constitution d’un Québec souverain.
Reste ouverte, à la suite de la démission de M. Landry, la question du leadership.
Le SPQ Libre a participé activement à la Saison des idées et la très grande majorité des résolutions qu’il a réussi à faire acheminer jusqu’au plancher du congrès ont recueilli l’assentiment des congressistes. L’essentiel de la stratégie référendaire adoptée épousait également ses vues.
Mais la contribution la plus importante du SPQ Libre est l’intégration dans les statuts du concept de clubs politiques qui permet l’existence et la reconnaissance au sein du Parti Québécois de différents courants politiques et jette les bases pour la reconstitution en son sein de la grande coalition souverainiste.
C’est dans cette perspective que le SPQ Libre aborde la course à la chefferie. Sans nier la nécessité que le Parti se choisisse un chef, le SPQ Libre juge important, à ce moment-ci de notre histoire, l’émergence d’une direction collégiale au Parti Québécois.
L’absence évidente d’un ou d’une leader charismatique, pouvant rassembler les différents courants et bénéficier de la confiance de la grande majorité des membres, impose un changement d’approche sur la question du leadership.
Le centre de gravité doit dorénavant reposer non plus sur les épaules d’une seule personne, mais sur l’ensemble du parti et sur les différents courants qui y cohabitent. Les membres du Parti Québécois doivent réaliser que la réussite de notre projet d’émancipation est entre leurs mains et non dans celles d’un éventuel nouveau « sauveur ».
Aux coffres bien garnies des forces fédéralistes, nous ne pouvons opposer que la force du nombre et la solidité de notre organisation. Dans les conditions actuelles, cette organisation ne peut prendre que la forme d’une coalition et son leadership ne peut être que collégial. C’est cette conception que le SPQ Libre va défendre dans la course à la chefferie.
La souveraineté du Québec concentre en un seul faisceau les aspirations séculaires d’émancipation du peuple québécois et constitue la seule réponse démocratique appropriée à la mondialisation néolibérale.
La souveraineté du Québec ne se réalisera pas sans la mobilisation la plus large possible du peuple québécois et le chemin obligé de cette mobilisation passe par le renforcement de la seule organisation spécifiquement dédiée à cette cause, soit le Parti Québécois.
C’est pour convaincre nos concitoyennes et concitoyens, particulièrement celles et ceux des classes ouvrière et populaire, de prendre en mains leur destinée en « faisant le saut en politique », c’est-à-dire en adhérant au Parti Québécois, que le SPQ Libre va s’impliquer dans cette course à la chefferie.
C’est dans cette perspective que le conseil d’administration de SPQ Libre proposera à son assemblée générale spéciale du 15 août d’endosser la candidature de son secrétaire, Pierre Dubuc, dans la course à la chefferie du Parti Québécois.
Pierre Dubuc est le directeur de l’aut’journal. Il est l’instigateur du SPQ Libre et il vient de publier le Manifeste du SPQ Libre aux Éditions Trois-Pistoles.
Les personnes qui veulent apporter leur soutien à cette candidature sont invitées à laisser leurs coordonnées au SPQ Libre
Téléphone : 514-284-1729
Courriel : info@spqlibre.org
C'était mon cri du coeur en cette belle journée.
Tiens Netroll, pour te faire plaisir je te copie ceci
Course à la chefferie du PQ: Le SPQ Libre présente un candidat
Le conseil d’administration du club politique Syndicalistes et progressistes pour un Québec libre demandera à l’assemblée générale de ses membres le 15 août prochain d’entériner sa décision de présenter Pierre Dubuc comme candidat dans la course à la chefferie du Parti Québécois. Le texte d’opinion qui suit explique l’orientation générale que le SPQ Libre veut donner à cette candidature.
Au printemps dernier, jamais les perspectives de la souveraineté n’étaient apparues aussi brillantes. À Ottawa, les jours du gouvernement libéral de Paul Martin semblaient comptés et, à Québec, l’impopularité du gouvernement Charest atteignait des bas-fonds historiques.
La feuille de route vers l’indépendance était toute tracée. D’abord, l’élection du Bloc qui, dans la foulée des révélations de la Commission Gomery, peut espérer arracher au Parti libéral des circonscrïptions jugées jusqu’à maintenant imprenables. Puis, une éclatante victoire du Parti Québécois sur un Parti Libéral en déconfiture, suivie rapidement d’un référendum que tous les sondages donnent gagnant avec une confortable majorité.
Ce scénario, maintes fois évoqué dans la presse anglophone, a jeté la panique dans les rangs fédéralistes. Le génie qu’on croyait avoir définitivement enfermé dans la bouteille en 1995 menaçait à nouveau de faire sauter le bouchon. La direction du Parti Libéral et l’establishment torontois ont remué mer et monde pour assurer in extremis la survie du gouvernement Martin.
Les souverainistes doivent apprécier l’ampleur des moyens mis en oeuvre : des ententes à la pièce de plusieurs milliards avec les provinces qui hypothèquent le fonctionnement normal de la fédération; des modifications budgétaires qui balancent par-dessus bord le credo fiscal de la classe dirigeante canadienne; des manoeuvres, tel le changement d’allégeance partisane de Belinda Stronach, qui, à court terme, déstabilisent le Parti Conservateur mais, à long terme, privent le Canada anglais d’une alternative au Parti Libéral. Le message de l’establishment canadien-anglais est clair : tout sera mis en oeuvre pour empêcher le démantèlement du Canada. Les souverainistes doivent en prendre acte.
Quelques semaines plus tard, autre coup de théâtre, le chef du Parti Québécois, Bernard Landry, juge insuffisant le vote de confiance de 76,2% des congressistes, remet sa démission et plonge son parti dans une course à la chefferie, la première depuis vingt ans.
En quelques mois, la donne politique a complètement changé, mais les données fondamentales restent les mêmes. Les libéraux, tant sur la scène fédérale que provinciale, sont toujours aussi impopulaires et l’appui majoritaire à la souveraineté ne se dément pas. Dans ce contexte, l’enjeu de la prochaine élection au Québec demeure la souveraineté. La lutte s’annonce titanesque car, depuis 1995, les forces fédéralistes savent qu’elles peuvent perdre un référendum et elles déploieront tous les moyens nécessaires pour empêcher l’élection du Parti Québécois
Pour espérer gagner l’élection et le référendum, les souverainistes devront développer une mobilisation populaire sans précédent. Celle-ci ne pourra voir le jour sans un projet de pays enthousiasmant, une stratégie claire et un leadership aguerri qui suscite la confiance.
Le projet de pays doit répondre aux aspirations les plus profondes des classes populaires en termes d’éducation, de santé, de langue de travail, de milieu de vie et de travail, de niveau de vie et de temps libre. Le dernier congrès a démontré que le Parti Québécois se situait toujours à l’enseigne du progressisme et il a appelé, au lendemain d’un référendum gagnant, l’ensemble de la population à une Assemblée constituante pour rédiger la Constitution de la future République du Québec.
Le congrès a également déterminé les grandes lignes de la stratégie. Une campagne électorale annonçant la tenue d’un référendum le plus tôt possible dans le mandat; une fois le gouvernement élu, la mise en place de mesures transitoires (Constitution provisoire, etc.) pour mener à la souveraineté; puis, une déclaration de souveraineté au lendemain d’un référendum victorieux et la convocation d’une Assemblée constituante pour rédiger la Constitution d’un Québec souverain.
Reste ouverte, à la suite de la démission de M. Landry, la question du leadership.
Le SPQ Libre a participé activement à la Saison des idées et la très grande majorité des résolutions qu’il a réussi à faire acheminer jusqu’au plancher du congrès ont recueilli l’assentiment des congressistes. L’essentiel de la stratégie référendaire adoptée épousait également ses vues.
Mais la contribution la plus importante du SPQ Libre est l’intégration dans les statuts du concept de clubs politiques qui permet l’existence et la reconnaissance au sein du Parti Québécois de différents courants politiques et jette les bases pour la reconstitution en son sein de la grande coalition souverainiste.
C’est dans cette perspective que le SPQ Libre aborde la course à la chefferie. Sans nier la nécessité que le Parti se choisisse un chef, le SPQ Libre juge important, à ce moment-ci de notre histoire, l’émergence d’une direction collégiale au Parti Québécois.
L’absence évidente d’un ou d’une leader charismatique, pouvant rassembler les différents courants et bénéficier de la confiance de la grande majorité des membres, impose un changement d’approche sur la question du leadership.
Le centre de gravité doit dorénavant reposer non plus sur les épaules d’une seule personne, mais sur l’ensemble du parti et sur les différents courants qui y cohabitent. Les membres du Parti Québécois doivent réaliser que la réussite de notre projet d’émancipation est entre leurs mains et non dans celles d’un éventuel nouveau « sauveur ».
Aux coffres bien garnies des forces fédéralistes, nous ne pouvons opposer que la force du nombre et la solidité de notre organisation. Dans les conditions actuelles, cette organisation ne peut prendre que la forme d’une coalition et son leadership ne peut être que collégial. C’est cette conception que le SPQ Libre va défendre dans la course à la chefferie.
La souveraineté du Québec concentre en un seul faisceau les aspirations séculaires d’émancipation du peuple québécois et constitue la seule réponse démocratique appropriée à la mondialisation néolibérale.
La souveraineté du Québec ne se réalisera pas sans la mobilisation la plus large possible du peuple québécois et le chemin obligé de cette mobilisation passe par le renforcement de la seule organisation spécifiquement dédiée à cette cause, soit le Parti Québécois.
C’est pour convaincre nos concitoyennes et concitoyens, particulièrement celles et ceux des classes ouvrière et populaire, de prendre en mains leur destinée en « faisant le saut en politique », c’est-à-dire en adhérant au Parti Québécois, que le SPQ Libre va s’impliquer dans cette course à la chefferie.
C’est dans cette perspective que le conseil d’administration de SPQ Libre proposera à son assemblée générale spéciale du 15 août d’endosser la candidature de son secrétaire, Pierre Dubuc, dans la course à la chefferie du Parti Québécois.
Pierre Dubuc est le directeur de l’aut’journal. Il est l’instigateur du SPQ Libre et il vient de publier le Manifeste du SPQ Libre aux Éditions Trois-Pistoles.
Les personnes qui veulent apporter leur soutien à cette candidature sont invitées à laisser leurs coordonnées au SPQ Libre
Téléphone : 514-284-1729
Courriel : info@spqlibre.org
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praeteritum
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- Inscription : lun. oct. 20, 2003 12:00 am
Onze candidats déclarés a ce jour, mais un seul a recueilli les 1000 signatures de membre du PQ venant d'un minimum de 40 comtés. un nommé Legendre.
Faut croire qu'ils prennent leur 15 minutes de gloire là ou ils le peuvent.
Ces péquistes ne sont jamais parvenus a conserver un chef assez longtemps pour les mener vers l'indépendance.
Les membres leur ont montré la porte l'un après l'autre.
Sont droles!!
Faut croire qu'ils prennent leur 15 minutes de gloire là ou ils le peuvent.
Ces péquistes ne sont jamais parvenus a conserver un chef assez longtemps pour les mener vers l'indépendance.
Les membres leur ont montré la porte l'un après l'autre.
Sont droles!!
praeteritum a écritOnze candidats déclarés a ce jour, mais un seul a recueilli les 1000 signatures de membre du PQ venant d'un minimum de 40 comtés. un nommé Legendre.
Faut croire qu'ils prennent leur 15 minutes de gloire là ou ils le peuvent.
Ces péquistes ne sont jamais parvenus a conserver un chef assez longtemps pour les mener vers l'indépendance.
Les membres leur ont montré la porte l'un après l'autre.
Sont droles!!
Je ne comprend pas trop ton message... C'est quoi l'histoire du 15 minutes de gloire ? Pour les sigantures ils ont encore 1 mois et demi pour les prendres, il n'y a pas urgence. La plupart son encore a l'étape de se construire des équipes par région, ce qui est normal a ce stade-ci
Pour ce qui est que les membres sont droles car ils montrent la porte aux chefs, je ne suis pas d'accord. Pour Lévesques ce n'est qu'un petit groupe qui voulait son départ, car il avait fait une énorme gaffe avec son "beau risque".
Johnson a quitté car c'était évident qu'il ne pouvait guider le Québec vers l'indépendance.
Parizeau car il avait fait une gaffe avec son affirmation en 95. Il aurait pu rester, mais cette histoire aurait nuit au parti.
Bouchard était malade.
Pour Landry, 76% des membres du PQ voulais qu'il reste, c'est la population qui ne l'aimait pas. Et il nous faut un chef que le peuple aime
Je ne crois donc pas que nous sommes si dur que cela avec nos chefs comme le dit les médias On fait juste mettre de la pression pour que la cause avance...
Faut croire qu'ils prennent leur 15 minutes de gloire là ou ils le peuvent.
Ces péquistes ne sont jamais parvenus a conserver un chef assez longtemps pour les mener vers l'indépendance.
Les membres leur ont montré la porte l'un après l'autre.
Sont droles!!
Je ne comprend pas trop ton message... C'est quoi l'histoire du 15 minutes de gloire ? Pour les sigantures ils ont encore 1 mois et demi pour les prendres, il n'y a pas urgence. La plupart son encore a l'étape de se construire des équipes par région, ce qui est normal a ce stade-ci
Pour ce qui est que les membres sont droles car ils montrent la porte aux chefs, je ne suis pas d'accord. Pour Lévesques ce n'est qu'un petit groupe qui voulait son départ, car il avait fait une énorme gaffe avec son "beau risque".
Johnson a quitté car c'était évident qu'il ne pouvait guider le Québec vers l'indépendance.
Parizeau car il avait fait une gaffe avec son affirmation en 95. Il aurait pu rester, mais cette histoire aurait nuit au parti.
Bouchard était malade.
Pour Landry, 76% des membres du PQ voulais qu'il reste, c'est la population qui ne l'aimait pas. Et il nous faut un chef que le peuple aime
Je ne crois donc pas que nous sommes si dur que cela avec nos chefs comme le dit les médias On fait juste mettre de la pression pour que la cause avance...
praeteritum a écritOnze candidats déclarés a ce jour, mais un seul a recueilli les 1000 signatures de membre du PQ venant d'un minimum de 40 comtés. un nommé Legendre.
Faut croire qu'ils prennent leur 15 minutes de gloire là ou ils le peuvent.
Ces péquistes ne sont jamais parvenus a conserver un chef assez longtemps pour les mener vers l'indépendance.
Les membres leur ont montré la porte l'un après l'autre.
Sont droles!!
C'est un temps mort présentement en juillet, c,est normal que les autres attendent un meilleur temps pour déposer leur candidature, histoire que ça tienne les news pendant quelques jrs..là même plusiurs journalistes sont en vacances......soit assuré que Pauline et Boisclair tout au moins les ont leur 1,000 signatures.....si ce n,est plusieurs autres aussi......dans l'Équipe de Charest ou de Dumont on procédèrait de la même façon.......ce n,est pas un truc particulier au PQ de chercher la meilleure ouverture vi-à-vis le public via les médias.......loin de là.....
c,est comme ici à Qc pour la mairie, suis certaine que les candidats les ont leurs signatures mais qui irait perdre son temps avec ça pendant les vacances de la construction..
Faut croire qu'ils prennent leur 15 minutes de gloire là ou ils le peuvent.
Ces péquistes ne sont jamais parvenus a conserver un chef assez longtemps pour les mener vers l'indépendance.
Les membres leur ont montré la porte l'un après l'autre.
Sont droles!!
C'est un temps mort présentement en juillet, c,est normal que les autres attendent un meilleur temps pour déposer leur candidature, histoire que ça tienne les news pendant quelques jrs..là même plusiurs journalistes sont en vacances......soit assuré que Pauline et Boisclair tout au moins les ont leur 1,000 signatures.....si ce n,est plusieurs autres aussi......dans l'Équipe de Charest ou de Dumont on procédèrait de la même façon.......ce n,est pas un truc particulier au PQ de chercher la meilleure ouverture vi-à-vis le public via les médias.......loin de là.....
c,est comme ici à Qc pour la mairie, suis certaine que les candidats les ont leurs signatures mais qui irait perdre son temps avec ça pendant les vacances de la construction..
Course à la direction du PQ
Landry pressé de prendre une décision
Nathaëlle Morissette
La Presse
Montréal
Les proches partisans de Bernard Landry le pressent de prendre une décision sur son avenir politique d'ici le début du mois d'août.
Depuis plusieurs semaines, l'ancien chef du Parti québécois jauge ses appuis auprès des militants concernant son possible retour à la tête du PQ et ce, après avoir tiré sa révérence au début du mois de juin. Or, plusieurs de ses fidèles l'exhortent à mettre fin au suspense en annonçant ses couleurs d'ici une dizaine de jours, a appris La Presse.
«Sa décision n'est pas prise, insiste Yves Michaud, ami de M. Landry et militant péquiste de longue date. J'imagine que d'ici une dizaine de jours, il la prendra. C'est ce que je lui ai suggéré et beaucoup d'autres aussi l'ont fait», dit-il en rappelant que le 15 septembre est la date butoir pour soumettre sa candidature.
Ainsi, M. Michaud estime que si Bernard Landry saute dans l'arène, la course à la direction du parti va prendre une toute autre allure. «La donne va être complètement changée: les alliances vont se nouer, se dénouer. Tout peut arriver. De tous les candidats qui sont déclarés, Landry a une stature au-dessus», croit-il.
Impossible toutefois de parler au principal intéressé. Lorsque La Presse est allée cogner à la porte de sa résidence de Verchères hier après-midi, M. Landry était absent.
Pendant ce temps, les électeurs de cette circonscrïption, représentée par Bernard Landry depuis 1994, sont divisés concernant leur désir de le voir faire marche arrière en se présentant à sa propre succession.
À la pâtisserie Chez Berger, située boulevard Marie-Victorin à Verchères, le propriétaire, Jean-Paul Berger, voit d'un bon oeil le retour de M. Landry. «Bien sûr que ce serait une bonne chose qu'il revienne, mentionne l'homme qui vend à l'occasion des pâtisseries à l'ancien chef du PQ. C'est une décision qui lui appartient, c'est à lui de juger de quelle façon vont réagir les partisans.»
À peine quelques kilomètres plus loin, au restaurant le Gueuleton, une pétition a été mise à la disposition des citoyens qui souhaitent le retour de M. Landry. Derrière la caisse enregistreuse du casse-croûte, Marianne Bureau note toutefois que l'avis des gens est partagé. (La Presse)
«Plusieurs la signent et d'autres disent que ça ne servira à rien», dit-elle.
Au centre communautaire de l'endroit, où les citoyens prenaient part hier à un déjeuner donné en l'honneur du curé de Verchères, Marc St-Cerny estime que plusieurs électeurs préfèrent que M. Landry cède sa place. «On a eu un vice-premier ministre, un premier ministre, un chef de l'opposition et là on veut avoir un député qui sera présent dans le comté.»
Landry pressé de prendre une décision
Nathaëlle Morissette
La Presse
Montréal
Les proches partisans de Bernard Landry le pressent de prendre une décision sur son avenir politique d'ici le début du mois d'août.
Depuis plusieurs semaines, l'ancien chef du Parti québécois jauge ses appuis auprès des militants concernant son possible retour à la tête du PQ et ce, après avoir tiré sa révérence au début du mois de juin. Or, plusieurs de ses fidèles l'exhortent à mettre fin au suspense en annonçant ses couleurs d'ici une dizaine de jours, a appris La Presse.
«Sa décision n'est pas prise, insiste Yves Michaud, ami de M. Landry et militant péquiste de longue date. J'imagine que d'ici une dizaine de jours, il la prendra. C'est ce que je lui ai suggéré et beaucoup d'autres aussi l'ont fait», dit-il en rappelant que le 15 septembre est la date butoir pour soumettre sa candidature.
Ainsi, M. Michaud estime que si Bernard Landry saute dans l'arène, la course à la direction du parti va prendre une toute autre allure. «La donne va être complètement changée: les alliances vont se nouer, se dénouer. Tout peut arriver. De tous les candidats qui sont déclarés, Landry a une stature au-dessus», croit-il.
Impossible toutefois de parler au principal intéressé. Lorsque La Presse est allée cogner à la porte de sa résidence de Verchères hier après-midi, M. Landry était absent.
Pendant ce temps, les électeurs de cette circonscrïption, représentée par Bernard Landry depuis 1994, sont divisés concernant leur désir de le voir faire marche arrière en se présentant à sa propre succession.
À la pâtisserie Chez Berger, située boulevard Marie-Victorin à Verchères, le propriétaire, Jean-Paul Berger, voit d'un bon oeil le retour de M. Landry. «Bien sûr que ce serait une bonne chose qu'il revienne, mentionne l'homme qui vend à l'occasion des pâtisseries à l'ancien chef du PQ. C'est une décision qui lui appartient, c'est à lui de juger de quelle façon vont réagir les partisans.»
À peine quelques kilomètres plus loin, au restaurant le Gueuleton, une pétition a été mise à la disposition des citoyens qui souhaitent le retour de M. Landry. Derrière la caisse enregistreuse du casse-croûte, Marianne Bureau note toutefois que l'avis des gens est partagé. (La Presse)
«Plusieurs la signent et d'autres disent que ça ne servira à rien», dit-elle.
Au centre communautaire de l'endroit, où les citoyens prenaient part hier à un déjeuner donné en l'honneur du curé de Verchères, Marc St-Cerny estime que plusieurs électeurs préfèrent que M. Landry cède sa place. «On a eu un vice-premier ministre, un premier ministre, un chef de l'opposition et là on veut avoir un député qui sera présent dans le comté.»
Michaud, me fait royalement défequer.
se type, prétentieux, suffisant, ne croit qu'en sa parlole, c'est a cause de millitant comme lui, que certain imigrant associe le pq a l,extreme droite,
la nation se proterai mieux si a l,instar de certain de ses amis, il allait cultiver le raisin en france....
pour bernard Landry, je croit pas qu'il ai une chance de gagné, il ferai encore un bon ministre de l'écomomie....
se type, prétentieux, suffisant, ne croit qu'en sa parlole, c'est a cause de millitant comme lui, que certain imigrant associe le pq a l,extreme droite,
la nation se proterai mieux si a l,instar de certain de ses amis, il allait cultiver le raisin en france....
pour bernard Landry, je croit pas qu'il ai une chance de gagné, il ferai encore un bon ministre de l'écomomie....
tuberale a écritCourse à la direction du PQ
Landry pressé de prendre une décision
Nathaëlle Morissette
La Presse
Montréal
Les proches partisans de Bernard Landry le pressent de prendre une décision sur son avenir politique d'ici le début du mois d'août.
Depuis plusieurs semaines, l'ancien chef du Parti québécois jauge ses appuis auprès des militants concernant son possible retour à la tête du PQ et ce, après avoir tiré sa révérence au début du mois de juin. Or, plusieurs de ses fidèles l'exhortent à mettre fin au suspense en annonçant ses couleurs d'ici une dizaine de jours, a appris La Presse.
«Sa décision n'est pas prise, insiste Yves Michaud, ami de M. Landry et militant péquiste de longue date. J'imagine que d'ici une dizaine de jours, il la prendra. C'est ce que je lui ai suggéré et beaucoup d'autres aussi l'ont fait», dit-il en rappelant que le 15 septembre est la date butoir pour soumettre sa candidature.
Ainsi, M. Michaud estime que si Bernard Landry saute dans l'arène, la course à la direction du parti va prendre une toute autre allure. «La donne va être complètement changée: les alliances vont se nouer, se dénouer. Tout peut arriver. De tous les candidats qui sont déclarés, Landry a une stature au-dessus», croit-il.
Impossible toutefois de parler au principal intéressé. Lorsque La Presse est allée cogner à la porte de sa résidence de Verchères hier après-midi, M. Landry était absent.
Pendant ce temps, les électeurs de cette circonscrïption, représentée par Bernard Landry depuis 1994, sont divisés concernant leur désir de le voir faire marche arrière en se présentant à sa propre succession.
À la pâtisserie Chez Berger, située boulevard Marie-Victorin à Verchères, le propriétaire, Jean-Paul Berger, voit d'un bon oeil le retour de M. Landry. «Bien sûr que ce serait une bonne chose qu'il revienne, mentionne l'homme qui vend à l'occasion des pâtisseries à l'ancien chef du PQ. C'est une décision qui lui appartient, c'est à lui de juger de quelle façon vont réagir les partisans.»
À peine quelques kilomètres plus loin, au restaurant le Gueuleton, une pétition a été mise à la disposition des citoyens qui souhaitent le retour de M. Landry. Derrière la caisse enregistreuse du casse-croûte, Marianne Bureau note toutefois que l'avis des gens est partagé. (La Presse)
«Plusieurs la signent et d'autres disent que ça ne servira à rien», dit-elle.
Au centre communautaire de l'endroit, où les citoyens prenaient part hier à un déjeuner donné en l'honneur du curé de Verchères, Marc St-Cerny estime que plusieurs électeurs préfèrent que M. Landry cède sa place. «On a eu un vice-premier ministre, un premier ministre, un chef de l'opposition et là on veut avoir un député qui sera présent dans le comté.»
Mon scoop/rumeur semble vouloir se confirmer Comme j'ai dit, il va fort possiblement se présenter pour faire tomber certains candidat(e)s qu'il ne veut pas voir au PQ, avant de faire une alliance vers la fin. Il ne se cherche pas des bénévoles pour rien
Landry pressé de prendre une décision
Nathaëlle Morissette
La Presse
Montréal
Les proches partisans de Bernard Landry le pressent de prendre une décision sur son avenir politique d'ici le début du mois d'août.
Depuis plusieurs semaines, l'ancien chef du Parti québécois jauge ses appuis auprès des militants concernant son possible retour à la tête du PQ et ce, après avoir tiré sa révérence au début du mois de juin. Or, plusieurs de ses fidèles l'exhortent à mettre fin au suspense en annonçant ses couleurs d'ici une dizaine de jours, a appris La Presse.
«Sa décision n'est pas prise, insiste Yves Michaud, ami de M. Landry et militant péquiste de longue date. J'imagine que d'ici une dizaine de jours, il la prendra. C'est ce que je lui ai suggéré et beaucoup d'autres aussi l'ont fait», dit-il en rappelant que le 15 septembre est la date butoir pour soumettre sa candidature.
Ainsi, M. Michaud estime que si Bernard Landry saute dans l'arène, la course à la direction du parti va prendre une toute autre allure. «La donne va être complètement changée: les alliances vont se nouer, se dénouer. Tout peut arriver. De tous les candidats qui sont déclarés, Landry a une stature au-dessus», croit-il.
Impossible toutefois de parler au principal intéressé. Lorsque La Presse est allée cogner à la porte de sa résidence de Verchères hier après-midi, M. Landry était absent.
Pendant ce temps, les électeurs de cette circonscrïption, représentée par Bernard Landry depuis 1994, sont divisés concernant leur désir de le voir faire marche arrière en se présentant à sa propre succession.
À la pâtisserie Chez Berger, située boulevard Marie-Victorin à Verchères, le propriétaire, Jean-Paul Berger, voit d'un bon oeil le retour de M. Landry. «Bien sûr que ce serait une bonne chose qu'il revienne, mentionne l'homme qui vend à l'occasion des pâtisseries à l'ancien chef du PQ. C'est une décision qui lui appartient, c'est à lui de juger de quelle façon vont réagir les partisans.»
À peine quelques kilomètres plus loin, au restaurant le Gueuleton, une pétition a été mise à la disposition des citoyens qui souhaitent le retour de M. Landry. Derrière la caisse enregistreuse du casse-croûte, Marianne Bureau note toutefois que l'avis des gens est partagé. (La Presse)
«Plusieurs la signent et d'autres disent que ça ne servira à rien», dit-elle.
Au centre communautaire de l'endroit, où les citoyens prenaient part hier à un déjeuner donné en l'honneur du curé de Verchères, Marc St-Cerny estime que plusieurs électeurs préfèrent que M. Landry cède sa place. «On a eu un vice-premier ministre, un premier ministre, un chef de l'opposition et là on veut avoir un député qui sera présent dans le comté.»
Mon scoop/rumeur semble vouloir se confirmer Comme j'ai dit, il va fort possiblement se présenter pour faire tomber certains candidat(e)s qu'il ne veut pas voir au PQ, avant de faire une alliance vers la fin. Il ne se cherche pas des bénévoles pour rien
Bernard Landry invité à mettre fin à l'équivoque
Mise à jour le mardi 26 juillet 2005 à 22 h 19
Le député péquiste, François Gendron, invite son ancien chef, Bernard Landry, à dissiper l'incertitude entourant son avenir politique.
Le député d'Abitibi-Ouest, qui entreprendra à l'automne sa 30e année de vie parlementaire, est d'avis que Bernard Landry doit s'en tenir à la décision qu'il a prise lors du congrès de juin, quand il a annoncé sa démission. Il estime que M. Landry doit au plus vite cesser d'entretenir l'espoir chez ceux qui souhaitent son retour.
M. Gendron explique d'ailleurs que le doute sur les intentions du chef démissionnaire nuit à la course au leadership et crée un malaise chez plusieurs. De fait, des députés attendraient impatiemment de connaître la décision de l'ancien chef avant de se ranger derrière tel ou tel candidat, selon le vétéran péquiste.
Jusqu'à maintenant, outre François Gendron, très peu de députés ont osé publiquement demander à leur ex-patron de rester à l'écart des débats. André Boisclair et Richard Legendre, deux aspirants à la direction, ont déjà fait savoir qu'ils ne se retireraient pas de la course si jamais M. Landry tentait un retour.
Un troisième député, Camil Bouchard, a pour sa part estimé que la candidature de M. Landry « ne serait pas une bonne idée », compte tenu de la volonté de changement exprimé par les militants et la population.
Mise à jour le mardi 26 juillet 2005 à 22 h 19
Le député péquiste, François Gendron, invite son ancien chef, Bernard Landry, à dissiper l'incertitude entourant son avenir politique.
Le député d'Abitibi-Ouest, qui entreprendra à l'automne sa 30e année de vie parlementaire, est d'avis que Bernard Landry doit s'en tenir à la décision qu'il a prise lors du congrès de juin, quand il a annoncé sa démission. Il estime que M. Landry doit au plus vite cesser d'entretenir l'espoir chez ceux qui souhaitent son retour.
M. Gendron explique d'ailleurs que le doute sur les intentions du chef démissionnaire nuit à la course au leadership et crée un malaise chez plusieurs. De fait, des députés attendraient impatiemment de connaître la décision de l'ancien chef avant de se ranger derrière tel ou tel candidat, selon le vétéran péquiste.
Jusqu'à maintenant, outre François Gendron, très peu de députés ont osé publiquement demander à leur ex-patron de rester à l'écart des débats. André Boisclair et Richard Legendre, deux aspirants à la direction, ont déjà fait savoir qu'ils ne se retireraient pas de la course si jamais M. Landry tentait un retour.
Un troisième député, Camil Bouchard, a pour sa part estimé que la candidature de M. Landry « ne serait pas une bonne idée », compte tenu de la volonté de changement exprimé par les militants et la population.
Le jeudi 28 juillet 2005
Bonjour Mathieu,
Le Parti Québécois a toujours été un parti d'idées et d'actions, vos messages le prouvent. Au cours des dernières semaines, des centaines de membres m'ont fait part de leurs idées et préoccupations, merci à toutes et à tous! Je suis dans la course pour faire du Québec un pays, et je suis dans la course pour défendre les valeurs sociales- démocrates du PQ. C'est pourquoi je sollicite votre appui dans la course à la chefferie du Parti Québécois.
J'étais membre du chantier Pays pendant toute la Saison des idées. J'ai alors rencontré des centaines de militantes et de militants pour définir notre Projet de Pays. Nous devons maintenant aller de l'avant et nous préparer concrètement. Cela veut dire parler aux Québécoises et Québécois de tous les milieux, celui des affaires comme celui des arts, celui des étudiants comme celui des retraités. Cela veut dire également préparer le bon fonctionnement du prochain référendum pour lequel il nous faut introduire la carte d'électeur. Il faut être clairs, concrets et organisés, je m'engage à former dès le 16 novembre prochain, l'équipe du OUI.
Au cours des dernières semaines j'ai pris des engagements pour la Capitale nationale et pour une meilleure intégration des Québécoises et Québécois d'origines diverses (pour plus de détails, voir les communiqués sur mon site). Sur ces questions et celles concernant les politiques publiques, mon positionnement est clair et en accord avec notre nouveau programme : je suis social-démocrate. L'État doit jouer un rôle important dans le développement économique et social du Québec, tout en étant responsable. Afin de connaître les détails de ma position en ce qui a trait au développement économique, au développement des régions, à la protection de l'environnement dans une approche globale, à la prévention et la santé, entre autres, je vous invite à visiter mon site web régulièrement.
J'ai joins le PQ il y a quatre ans après avoir réalisé des projets d'envergure dans d'autres domaines d'activités. La revue Commerce m'a choisi "Bâtisseur de l'année" en 1999. Entouré d'une équipe compétente, je venais de terminer la construction du Centre de tennis du parc Jarry. Vous comprendrez que pour doter le Québec de cette autonomie dans le tennis international, j'ai dû convaincre le reste du Canada afin de construire ici un des meilleurs stades au monde.
C'est avec la même détermination de poser des gestes concrets, des gestes de bâtisseur, que j'ai accepté l'invitation de Bernard Landry de faire le saut en politique. Depuis, deux fois dans des contextes difficiles, j'ai remporté mes élections dans Blainville grâce à l'équipe formidable que j'ai mise en place. Mes succès ont toujours été des succès d'équipe.
Aujourd'hui, je sollicite votre appui pour être le chef qui rassemblera une équipe nombreuse et compétente, dédiée à diriger l'action politique du Québec.
Salutations militantes!
Richard Legendre
Bonjour Mathieu,
Le Parti Québécois a toujours été un parti d'idées et d'actions, vos messages le prouvent. Au cours des dernières semaines, des centaines de membres m'ont fait part de leurs idées et préoccupations, merci à toutes et à tous! Je suis dans la course pour faire du Québec un pays, et je suis dans la course pour défendre les valeurs sociales- démocrates du PQ. C'est pourquoi je sollicite votre appui dans la course à la chefferie du Parti Québécois.
J'étais membre du chantier Pays pendant toute la Saison des idées. J'ai alors rencontré des centaines de militantes et de militants pour définir notre Projet de Pays. Nous devons maintenant aller de l'avant et nous préparer concrètement. Cela veut dire parler aux Québécoises et Québécois de tous les milieux, celui des affaires comme celui des arts, celui des étudiants comme celui des retraités. Cela veut dire également préparer le bon fonctionnement du prochain référendum pour lequel il nous faut introduire la carte d'électeur. Il faut être clairs, concrets et organisés, je m'engage à former dès le 16 novembre prochain, l'équipe du OUI.
Au cours des dernières semaines j'ai pris des engagements pour la Capitale nationale et pour une meilleure intégration des Québécoises et Québécois d'origines diverses (pour plus de détails, voir les communiqués sur mon site). Sur ces questions et celles concernant les politiques publiques, mon positionnement est clair et en accord avec notre nouveau programme : je suis social-démocrate. L'État doit jouer un rôle important dans le développement économique et social du Québec, tout en étant responsable. Afin de connaître les détails de ma position en ce qui a trait au développement économique, au développement des régions, à la protection de l'environnement dans une approche globale, à la prévention et la santé, entre autres, je vous invite à visiter mon site web régulièrement.
J'ai joins le PQ il y a quatre ans après avoir réalisé des projets d'envergure dans d'autres domaines d'activités. La revue Commerce m'a choisi "Bâtisseur de l'année" en 1999. Entouré d'une équipe compétente, je venais de terminer la construction du Centre de tennis du parc Jarry. Vous comprendrez que pour doter le Québec de cette autonomie dans le tennis international, j'ai dû convaincre le reste du Canada afin de construire ici un des meilleurs stades au monde.
C'est avec la même détermination de poser des gestes concrets, des gestes de bâtisseur, que j'ai accepté l'invitation de Bernard Landry de faire le saut en politique. Depuis, deux fois dans des contextes difficiles, j'ai remporté mes élections dans Blainville grâce à l'équipe formidable que j'ai mise en place. Mes succès ont toujours été des succès d'équipe.
Aujourd'hui, je sollicite votre appui pour être le chef qui rassemblera une équipe nombreuse et compétente, dédiée à diriger l'action politique du Québec.
Salutations militantes!
Richard Legendre
-
praeteritum
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 2013
- Inscription : lun. oct. 20, 2003 12:00 am
Dans LE SOLEIL aujourd'hui.
J'aime bien la partie qui se lit:"On ne peut pas répéter nos erreurs éternellement. »
C'est un souhait pieux. Ils vont répéter leurs erreurs éternellement.
Mea culpa des péquistes
Simon Boivin
Le Soleil
Québec
« On doit reconnaître que nous avons tous mérité le départ de M. Landry. Nous avons tous à faire un examen de conscience, et peut-être certains plus que d'autres. On ne peut pas répéter nos erreurs éternellement. »
Quelques heures à peine après la démission-choc de Bernard Landry, pendant le huis clos du XVe congrès national du Parti québécois, à Québec, des militants encore sonnés par l'annonce de la veille ont défilé au micro. Un peu pour se vider le cœur, beaucoup pour saluer le travail de M. Landry. Le Parti québécois a fait un DVD de ces deux heures du 5 juin où se mêlent tristesse, déception, frustration, colère parfois. LE SOLEIL a obtenu copie de ce document « à diffusion restreinte » distribué aux seuls présidents de circonscrïption et de région du PQ.
Après une nuit visiblement courte pour plusieurs, les ténors du PQ ont tenu à montrer qu'il y avait toujours un pilote dans l'avion. D'entrée de jeu, la présidente du caucus, Agnès Maltais, et la vice-présidente sortante du Parti, Marie Malavoy, ont clarifié le fil des événements des semaines à venir. « Il n'y aura pas de vide », a rassuré Mme Malavoy.
À leur tour au micro, loin des « interprètes de notre histoire » — lire les journalistes —, comme l'a remarqué la présidente de la plénière, Lyne Marcoux, les militants ont déballé leur sac entre eux. Des interventions où l'émotion était souvent à fleur de peau et le papier-mouchoir jamais bien loin. La voix tremblante de cette militante de Saint-François a flanché lorsqu'elle a « officiellement » restitué M. Landry à sa famille pour qu'elle le « chouchoute ». De grands gaillards se mordaient les lèvres pour ne pas pleurer au micro. Tour à tour, des jeunes, des représentants de communautés ethniques, des gens des régions ou des féministes, notamment, sont venus exprimer l'apport du démissionnaire à leur cause et à celle de la souveraineté.
Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil
J'aime bien la partie qui se lit:"On ne peut pas répéter nos erreurs éternellement. »
C'est un souhait pieux. Ils vont répéter leurs erreurs éternellement.
Mea culpa des péquistes
Simon Boivin
Le Soleil
Québec
« On doit reconnaître que nous avons tous mérité le départ de M. Landry. Nous avons tous à faire un examen de conscience, et peut-être certains plus que d'autres. On ne peut pas répéter nos erreurs éternellement. »
Quelques heures à peine après la démission-choc de Bernard Landry, pendant le huis clos du XVe congrès national du Parti québécois, à Québec, des militants encore sonnés par l'annonce de la veille ont défilé au micro. Un peu pour se vider le cœur, beaucoup pour saluer le travail de M. Landry. Le Parti québécois a fait un DVD de ces deux heures du 5 juin où se mêlent tristesse, déception, frustration, colère parfois. LE SOLEIL a obtenu copie de ce document « à diffusion restreinte » distribué aux seuls présidents de circonscrïption et de région du PQ.
Après une nuit visiblement courte pour plusieurs, les ténors du PQ ont tenu à montrer qu'il y avait toujours un pilote dans l'avion. D'entrée de jeu, la présidente du caucus, Agnès Maltais, et la vice-présidente sortante du Parti, Marie Malavoy, ont clarifié le fil des événements des semaines à venir. « Il n'y aura pas de vide », a rassuré Mme Malavoy.
À leur tour au micro, loin des « interprètes de notre histoire » — lire les journalistes —, comme l'a remarqué la présidente de la plénière, Lyne Marcoux, les militants ont déballé leur sac entre eux. Des interventions où l'émotion était souvent à fleur de peau et le papier-mouchoir jamais bien loin. La voix tremblante de cette militante de Saint-François a flanché lorsqu'elle a « officiellement » restitué M. Landry à sa famille pour qu'elle le « chouchoute ». De grands gaillards se mordaient les lèvres pour ne pas pleurer au micro. Tour à tour, des jeunes, des représentants de communautés ethniques, des gens des régions ou des féministes, notamment, sont venus exprimer l'apport du démissionnaire à leur cause et à celle de la souveraineté.
Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil