Le livre de Clarke en tête des ventes
NEW YORK, le 26 mars 2004 - Un livre rédigé par un ancien haut responsable américain de l'antiterrorisme Richard Clarke et accusant l'administration Bush d'avoir négligé la menace terroriste est en train de battre des records de vente aux États-Unis, a indiqué la maison d'édition vendredi. Depuis sa sortie lundi dans les librairies américaines le livre Against All Enemies: Inside America's War on Terror (Contre tous les ennemis: à l'intérieur de la guerre américaine contre le terrorisme) a dû être réimprimé six fois pour faire face à la demande du public, a indiqué Free Press. Richard Clarke qui a servi sous l'administration Clinton et sous celle de Bush avant de démissionner en février 2003 dénonce l'administration Bush,qui n'aurait selon lui pas pris suffisamment au sérieux le danger terroriste avant le 11 septembre et montre que Bush était davantage focalisé sur l'Irak et Saddam Hussein que sur Al-Qaïda.
Si l'Irak m'était conté... (1 an après les bombardements...!)
Irak
Bremer évoque le départ des Américains
Agence France-Presse
Bagdad
L'administrateur civil américain en Irak Paul Bremer a clairement évoqué vendredi la possibilité d'un désengagement américain d'Irak, déclarant qu'«il n'est évidemment pas possible de rester dans un pays où nous ne sommes pas les bienvenus».
«Si le gouvernement intérimaire (qui sera en charge de l'Irak après le transfert du pouvoir le 30 juin) nous demande de partir, nous partirons, mais je ne pense pas qu'il le fera», a déclaré M. Bremer devant le gouverneur et des responsables de la province de Diyala, au nord de Bagdad.
«Il n'est évidemment pas possible de rester dans un pays où nous ne sommes pas les bienvenus», a-t-il ajouté.
M. Bremer a toutefois tenu à souligner que «la disparition le 30 juin de l'Autorité provisoire de la coalition (CPA) ne signifie pas que les États-Unis vont quitter l'Irak».
La formation d'un gouvernement intérimaire est actuellement l'objet de consultations avec la participation de l'émissaire des Nations unies Lakhdar Brahimi. Ce gouvernement aura la charge du pays jusqu'à la tenue d'élections générales au plus tard en janvier 2005, selon le schéma de transition prévu par la Constitution provisoire irakienne.
Bremer évoque le départ des Américains
Agence France-Presse
Bagdad
L'administrateur civil américain en Irak Paul Bremer a clairement évoqué vendredi la possibilité d'un désengagement américain d'Irak, déclarant qu'«il n'est évidemment pas possible de rester dans un pays où nous ne sommes pas les bienvenus».
«Si le gouvernement intérimaire (qui sera en charge de l'Irak après le transfert du pouvoir le 30 juin) nous demande de partir, nous partirons, mais je ne pense pas qu'il le fera», a déclaré M. Bremer devant le gouverneur et des responsables de la province de Diyala, au nord de Bagdad.
«Il n'est évidemment pas possible de rester dans un pays où nous ne sommes pas les bienvenus», a-t-il ajouté.
M. Bremer a toutefois tenu à souligner que «la disparition le 30 juin de l'Autorité provisoire de la coalition (CPA) ne signifie pas que les États-Unis vont quitter l'Irak».
La formation d'un gouvernement intérimaire est actuellement l'objet de consultations avec la participation de l'émissaire des Nations unies Lakhdar Brahimi. Ce gouvernement aura la charge du pays jusqu'à la tenue d'élections générales au plus tard en janvier 2005, selon le schéma de transition prévu par la Constitution provisoire irakienne.
Il y a un Français qui a écrit un livre aussi expliquant les "choses" douteuses du 11 sept. Et, qu'on soit d'accord ou pas il en reste pas moins que ça nous crée aussi de sérieux doutes sur beaucoup de choses. C'est pas mal étrange. Ce livre s'est vendu comme des petits pains chauds immédiatement.
Ceci dit, Oui Bush savait qu'il y aurait un attentat et même que des avions seraient détournés (ceci a été confirmé par la dame qui avait paru dernièrement lors d'une enquête (est-ce la vice-présidente?...etk une dame très intelligente et même les démocrates avaient tari d'éloges suite aux heures de témoignage qu'elle a fait.). Elle avait admis que Bush savait et on lui avait demandé si il avait pris des précautions supplémentaires dans les aéroports et endroits dangereux et elle avait dit que non.
Bien sûr, elle avait dit qu'il ne connaissait pas la date, les détails...... . Mais, il n'en reste pas moins que rien n'avait été fait. Et, même le président du Mexique avait dit PUBLIQUEMENT qu'il y aurait des attentats avec des avions et il avait spécifié des choses et c'est écoeurant que Bush n,ait rien fait.
Ceci dit, Oui Bush savait qu'il y aurait un attentat et même que des avions seraient détournés (ceci a été confirmé par la dame qui avait paru dernièrement lors d'une enquête (est-ce la vice-présidente?...etk une dame très intelligente et même les démocrates avaient tari d'éloges suite aux heures de témoignage qu'elle a fait.). Elle avait admis que Bush savait et on lui avait demandé si il avait pris des précautions supplémentaires dans les aéroports et endroits dangereux et elle avait dit que non.
Bien sûr, elle avait dit qu'il ne connaissait pas la date, les détails...... . Mais, il n'en reste pas moins que rien n'avait été fait. Et, même le président du Mexique avait dit PUBLIQUEMENT qu'il y aurait des attentats avec des avions et il avait spécifié des choses et c'est écoeurant que Bush n,ait rien fait.
https://groups.msn.com/photographeenherbe
C'est grand la mort...il y a plein de vie là
Résolution pour le transfert de souveraineté
AFP
Mis en ligne le 24/05/2004
- - - - - - - - - - -
EPA
Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont présenté lundi au Conseil de sécurité de l’Onu un projet de résolution sur l’Irak prévoyant un transfert «total» de souveraineté à Bagdad le 30 juin et détaillant les éléments-clés de cette passation.
Le texte a été dévoilé quelques heures à peine avant que le président américain George W. Bush, en difficulté dans les sondages, ne prononce un discours lundi soir pour tenter de convaincre ses concitoyens et la communauté internationale qu’il a un plan pour la transition irakienne.
Le Conseil de sécurité, qui a dû dimanche changer soudainement son emploi du temps, a commencé ses consultations lundi à 10H00 locales (14H00 GMT). Aucun vote n’était prévu dans la journée. Le texte devrait être soumis au vote après la remise, fin mai, du rapport de l’émissaire de l’Onu pour l’Irak Lakhdar Brahimi, a indiqué depuis Londres un porte-parole du Premier ministre Tony Blair.
Cette résolution, de source diplomatique, prévoit un plein transfert de souveraineté aux Irakiens, tout en autorisant les troupes étrangères sur le terrain à rester sur place. Elle «souligne clairement qu’une souveraineté totale sera rendue aux Irakiens, que le gouvernement intérimaire irakien assumera la responsabilité totale de sa propre souveraineté», a dit lundi l’ambassadeur britannique à l’Onu, Emyr Jones Parry, avant de pénétrer dans la salle du Conseil.
Washington et Londres souhaitent que cette résolution vienne appuyer les efforts en vue du transfert de souveraineté au gouvernement intérimaire. Lakhdar Brahimi est actuellement en Irak pour travailler à la composition de ce gouvernement, dont les membres devraient être connus fin mai. Les deux alliés cherchent également à faire valider le maintien des troupes étrangères en Irak après cette date.
Selon M. Jones Parry, la force multinationale dirigée par les Etats-Unis agira «avec l’accord, en consultation et en partenariat» avec le gouvernement intérimaire irakien. Elle devrait, selon cette résolution, se voir accorder un mandat d’un an, qui sera ensuite revu, a indiqué aux journalistes le représentant allemand, Gunter Pleuger. Plusieurs Etats membres du Conseil opposés à l’entrée en guerre en Irak avaient, selon des sources diplomatiques, souhaité qu’une limite soit imposée au temps de présence des troupes étrangères sur place.
Ce projet de résolution, dont les grandes lignes ont été débattues au cours de réunions informelles ces trois dernières semaines avec les membres du Conseil, doit préciser en détail le rôle des Nations unies. Il doit aussi poser des limites au gouvernement intérimaire irakien, qui assurera la direction du pays à compter du 30 juin jusqu’à son remplacement par un gouvernement élu en janvier 2005. «Nous avons pu fixer clairement des éléments concernant l’importance du soutien international à un gouvernement intérimaire irakien,» avait indiqué la semaine dernière un diplomate de la coalition américano-britannique.
Après les déchirements qui avaient marqué les débats sur l’entrée en guerre début 2003, plusieurs diplomates ont souligné lundi un certain consensus au terme des rencontres des dernières semaines. «La résolution montrera que nous avons un nouveau départ en Irak,» a dit M. Pleuger, dont le pays a été l’un des principaux opposants à l’intervention américaine en Irak. «Je ne vois pas de désaccord majeur, bien qu’il y ait des points à affiner», a dit l’ambassadeur chilien, Heraldo Munoz. «Pour quelques pays, certaines choses doivent être amendées, mais selon moi ces différences peuvent être surmontées», a-t-il ajouté, en ne prévoyant «pas de longues discussions».
AFP
Mis en ligne le 24/05/2004
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EPA
Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont présenté lundi au Conseil de sécurité de l’Onu un projet de résolution sur l’Irak prévoyant un transfert «total» de souveraineté à Bagdad le 30 juin et détaillant les éléments-clés de cette passation.
Le texte a été dévoilé quelques heures à peine avant que le président américain George W. Bush, en difficulté dans les sondages, ne prononce un discours lundi soir pour tenter de convaincre ses concitoyens et la communauté internationale qu’il a un plan pour la transition irakienne.
Le Conseil de sécurité, qui a dû dimanche changer soudainement son emploi du temps, a commencé ses consultations lundi à 10H00 locales (14H00 GMT). Aucun vote n’était prévu dans la journée. Le texte devrait être soumis au vote après la remise, fin mai, du rapport de l’émissaire de l’Onu pour l’Irak Lakhdar Brahimi, a indiqué depuis Londres un porte-parole du Premier ministre Tony Blair.
Cette résolution, de source diplomatique, prévoit un plein transfert de souveraineté aux Irakiens, tout en autorisant les troupes étrangères sur le terrain à rester sur place. Elle «souligne clairement qu’une souveraineté totale sera rendue aux Irakiens, que le gouvernement intérimaire irakien assumera la responsabilité totale de sa propre souveraineté», a dit lundi l’ambassadeur britannique à l’Onu, Emyr Jones Parry, avant de pénétrer dans la salle du Conseil.
Washington et Londres souhaitent que cette résolution vienne appuyer les efforts en vue du transfert de souveraineté au gouvernement intérimaire. Lakhdar Brahimi est actuellement en Irak pour travailler à la composition de ce gouvernement, dont les membres devraient être connus fin mai. Les deux alliés cherchent également à faire valider le maintien des troupes étrangères en Irak après cette date.
Selon M. Jones Parry, la force multinationale dirigée par les Etats-Unis agira «avec l’accord, en consultation et en partenariat» avec le gouvernement intérimaire irakien. Elle devrait, selon cette résolution, se voir accorder un mandat d’un an, qui sera ensuite revu, a indiqué aux journalistes le représentant allemand, Gunter Pleuger. Plusieurs Etats membres du Conseil opposés à l’entrée en guerre en Irak avaient, selon des sources diplomatiques, souhaité qu’une limite soit imposée au temps de présence des troupes étrangères sur place.
Ce projet de résolution, dont les grandes lignes ont été débattues au cours de réunions informelles ces trois dernières semaines avec les membres du Conseil, doit préciser en détail le rôle des Nations unies. Il doit aussi poser des limites au gouvernement intérimaire irakien, qui assurera la direction du pays à compter du 30 juin jusqu’à son remplacement par un gouvernement élu en janvier 2005. «Nous avons pu fixer clairement des éléments concernant l’importance du soutien international à un gouvernement intérimaire irakien,» avait indiqué la semaine dernière un diplomate de la coalition américano-britannique.
Après les déchirements qui avaient marqué les débats sur l’entrée en guerre début 2003, plusieurs diplomates ont souligné lundi un certain consensus au terme des rencontres des dernières semaines. «La résolution montrera que nous avons un nouveau départ en Irak,» a dit M. Pleuger, dont le pays a été l’un des principaux opposants à l’intervention américaine en Irak. «Je ne vois pas de désaccord majeur, bien qu’il y ait des points à affiner», a dit l’ambassadeur chilien, Heraldo Munoz. «Pour quelques pays, certaines choses doivent être amendées, mais selon moi ces différences peuvent être surmontées», a-t-il ajouté, en ne prévoyant «pas de longues discussions».