LE DOMAINE BLEU

tuberale a écrit : [...]



Ah bien merci du compliment, même si ça sonne pas comme en étant un. J'aime bien la plume de Placeress même si elle empute mon nick parfois alors c'est un honneur pour moi de m'y faire comparer

tuberale a écrit : [...]




et bien sûr il est hors de question de penser que la droite ou un de ses éléments puissent avoir tord d'une quelconque façon sur quelque chose....la sainte parole sort directement de leurs bouches et leurs actes sont seulement patriotiques.

je suis de gauche, je ne m'en cache pas mais j'ai quand même une part de lucidité qui me permet de voir quand ils sont dans le tort.....pourquoi ceux de droite s'amusent-ils toujours à nier toute évidence que ça peut arriver aussi dans leur cours....il y a rien de parfait dans ce monde non?

.anthurium. a écrit : [...]


je ne pense pas que ni la droite ni la gauche aie la vérité. Je pense que la vérité viens de Dieu (mais là je m'égare )
Ce que je dis c'est que les idées de droite sont automatiquement mal vue.
Je pense que la gauche a tout donné ce qu'elle pouvait ,il est temps de tourner vers la droite, quand la droite aura donné tout ce qu'elle peut ,il sera temps de retourner vers la gauche c'est ainsi puisque aucun système ne comble entièrement les besoins de tout un peuple.

Acrux a écrit : [...]

Les étudiants paient moins cher que partout ailleurs et en plus ça leur coûte moins cher année après années à cause de l'inflation... Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de tant discréditant le fait d'en parler...

Placeress a écrit : Tubérale... veux-tu être ma soeur virtuelle du DB ?....

.anthurium. a écrit : [...]


je ne pense pas que ni la droite ni la gauche aie la vérité. Je pense que la vérité viens de Dieu (mais là je m'égare )
Ce que je dis c'est que les idées de droite sont automatiquement mal vue.
Je pense que la gauche a tout donné ce qu'elle pouvait ,il est temps de tourner vers la droite, quand la droite aura donné tout ce qu'elle peut ,il sera temps de retourner vers la gauche c'est ainsi puisque aucun système ne comble entièrement les besoins de tout un peuple.

EXCLUSIF – L’UQAM a versé près de 2,7M$ à la firme de Lucien Bouchard

Écrit par Jean-Philippe Pineault
Lundi, 08 mars 2010 22:40
Mise à jour le Mardi, 09 mars 2010 10:04

Au moment où Lucien Bouchard déplore le sous-financement des universités du Québec, la firme d’avocats qui l’emploie a facturé à l’UQAM pour près de 2,7 millions de dollars en frais légaux depuis trois ans, uniquement dans le dossier de l’Îlot Voyageur, a appris Rue Frontenac.

Selon des documents internes, la firme Davies, Ward, Phillips & Vineberg, où l’ex-premier ministre travaille comme avocat associé, a décroché de lucratifs mandats auprès de l’UQAM depuis 2006-2007.

Embauché comme négociateur en mai 2007 par l’institution, l’ex-premier ministre a été chargé de tenter de libérer l’université du boulet que représente l’Îlot Voyageur, après avoir réalisé qu’elle allait engloutir des dizaines de millions de dollars de pertes sèches dans le projet.

Lucien Bouchard a donc entrepris des négociations avec la firme Busac, le promoteur immobilier propriétaire du chantier. À ce jour, aucune entente n’est encore intervenue alors que le squelette de l’Îlot Voyageur demeure abandonné en plein cœur du centre-ville de Montréal.

1,9 M$ de frais en un an

En trois ans, la firme d’avocats a facturé la bagatelle de 2 693 704 $ en frais légaux uniquement pour ce dossier. C’est en 2007-2008 que la facture a été la plus salée alors que l’UQAM a dû faire un chèque de près de 1,9 million de dollars.

Le squelette de l’Îlot Voyageur est toujours abandonné au centre-ville.

Selon plusieurs sources proches du dossier interrogées par Rue Frontenac, de nombreuses personnes à l’UQAM sont de plus en plus mal à l’aise face à l’ampleur des factures payées par l’institution à la firme où travaille Lucien Bouchard.

« Les gens sont scandalisés. M. Bouchard donne des leçons aux autres et pendant ce temps-là, il empoche », dénonce une source.

Rappelons que Lucien Bouchard et une brochette d’une quinzaine de personnalités, dont des ex-politiciens et des gens d’affaires, ont plaidé, il y a deux semaines, pour un meilleur financement des universités du Québec, quitte même à augmenter les droits de scolarité exigés aux étudiants.

Lucien Bouchard et la firme qui l’emploie ont facturé près de 2,7 M$ de frais légaux dans le dossier du projet immobilier de l’Îlot Voyageur. Photo d’archives Reuters

Selon la formule avancée par le groupe à l’origine du « pacte », les droits devraient être majorés de 2 000 $ par année pour 85 % des étudiants, afin de permettre aux établissements de retrouver leur santé financière.

L’UQAM a refusé de commenter le dossier. La directrice des communications, Francine Jacques, s'est contentée d’affirmer qu’il s’agissait « d’information privilégiée » et que l’Université était tenue au « secret professionnel ».

L’établissement universitaire avait d’ailleurs refusé de divulguer les informations relatives aux honoraires payés à Me Lucien Bouchard et à sa firme dans le cadre d’une demande d’accès à l’information de Rue Frontenac, l’automne dernier.

La petite histoire d’un gouffre financier

L’UQAM a été plongée au cœur d’une dérive immobilière sans précédent après la découverte d’un gouffre financier dans deux projets lancés par l’institution pour obtenir de nouveaux locaux.

Le cauchemar de l’institution a débuté avec la construction du Complexe des sciences Pierre-Dansereau, qui a coûté 206 M$, soit 41 M$ de plus que ce qui avait été initialement prévu dans le budget en raison d’ajouts d’éléments de construction et d’honoraires professionnels non inclus.
« Les gens sont scandalisés », assure une source près du dossier. Photo RueFrontenac.com

Quant à l’Îlot Voyageur, le complexe devait au départ coûter 325 M$ et compter une gare d'autobus, un pavillon d'enseignement, des résidences d’étudiants, une tour à bureaux et un stationnement de 600 places. Une mauvaise évaluation des coûts et des revenus a forcé l’UQAM à stopper les travaux. La facture atteignait alors les 400 M$.

Red K a écrit :

EXCLUSIF – L’UQAM a versé près de 2,7M$ à la firme de Lucien Bouchard

Écrit par Jean-Philippe Pineault
Lundi, 08 mars 2010 22:40
Mise à jour le Mardi, 09 mars 2010 10:04

Au moment où Lucien Bouchard déplore le sous-financement des universités du Québec, la firme d’avocats qui l’emploie a facturé à l’UQAM pour près de 2,7 millions de dollars en frais légaux depuis trois ans, uniquement dans le dossier de l’Îlot Voyageur, a appris Rue Frontenac.

Selon des documents internes, la firme Davies, Ward, Phillips & Vineberg, où l’ex-premier ministre travaille comme avocat associé, a décroché de lucratifs mandats auprès de l’UQAM depuis 2006-2007.

Embauché comme négociateur en mai 2007 par l’institution, l’ex-premier ministre a été chargé de tenter de libérer l’université du boulet que représente l’Îlot Voyageur, après avoir réalisé qu’elle allait engloutir des dizaines de millions de dollars de pertes sèches dans le projet.

Lucien Bouchard a donc entrepris des négociations avec la firme Busac, le promoteur immobilier propriétaire du chantier. À ce jour, aucune entente n’est encore intervenue alors que le squelette de l’Îlot Voyageur demeure abandonné en plein cœur du centre-ville de Montréal.

1,9 M$ de frais en un an

En trois ans, la firme d’avocats a facturé la bagatelle de 2 693 704 $ en frais légaux uniquement pour ce dossier. C’est en 2007-2008 que la facture a été la plus salée alors que l’UQAM a dû faire un chèque de près de 1,9 million de dollars.

Le squelette de l’Îlot Voyageur est toujours abandonné au centre-ville.

Selon plusieurs sources proches du dossier interrogées par Rue Frontenac, de nombreuses personnes à l’UQAM sont de plus en plus mal à l’aise face à l’ampleur des factures payées par l’institution à la firme où travaille Lucien Bouchard.

« Les gens sont scandalisés. M. Bouchard donne des leçons aux autres et pendant ce temps-là, il empoche », dénonce une source.

Rappelons que Lucien Bouchard et une brochette d’une quinzaine de personnalités, dont des ex-politiciens et des gens d’affaires, ont plaidé, il y a deux semaines, pour un meilleur financement des universités du Québec, quitte même à augmenter les droits de scolarité exigés aux étudiants.

Lucien Bouchard et la firme qui l’emploie ont facturé près de 2,7 M$ de frais légaux dans le dossier du projet immobilier de l’Îlot Voyageur. Photo d’archives Reuters

Selon la formule avancée par le groupe à l’origine du « pacte », les droits devraient être majorés de 2 000 $ par année pour 85 % des étudiants, afin de permettre aux établissements de retrouver leur santé financière.

L’UQAM a refusé de commenter le dossier. La directrice des communications, Francine Jacques, s'est contentée d’affirmer qu’il s’agissait « d’information privilégiée » et que l’Université était tenue au « secret professionnel ».

L’établissement universitaire avait d’ailleurs refusé de divulguer les informations relatives aux honoraires payés à Me Lucien Bouchard et à sa firme dans le cadre d’une demande d’accès à l’information de Rue Frontenac, l’automne dernier.

La petite histoire d’un gouffre financier

L’UQAM a été plongée au cœur d’une dérive immobilière sans précédent après la découverte d’un gouffre financier dans deux projets lancés par l’institution pour obtenir de nouveaux locaux.

Le cauchemar de l’institution a débuté avec la construction du Complexe des sciences Pierre-Dansereau, qui a coûté 206 M$, soit 41 M$ de plus que ce qui avait été initialement prévu dans le budget en raison d’ajouts d’éléments de construction et d’honoraires professionnels non inclus.
« Les gens sont scandalisés », assure une source près du dossier. Photo RueFrontenac.com

Quant à l’Îlot Voyageur, le complexe devait au départ coûter 325 M$ et compter une gare d'autobus, un pavillon d'enseignement, des résidences d’étudiants, une tour à bureaux et un stationnement de 600 places. Une mauvaise évaluation des coûts et des revenus a forcé l’UQAM à stopper les travaux. La facture atteignait alors les 400 M$.

Bon, moi ce que je comprend là-dedans est qu'une firme d'avocat a mandaté un de ses membres, en l'occurence Lucien Bouchard à tenter de libérer l'université d'un boulet de quelques dizaines de millions de dollards.

Jusqu'à présent, après 3 ans, ça a couté à l'université la somme de 2.7 millions en frais. Et si jamais ça se réglait l'an prochain mettons et que ça aura couté en tout quelque chose comme 3.5 millions en frais d'avocat, me semble que ça aura valu le coups pour sauver des dizaines de millions non?

J'avoue ne pas vraiment avoir compris les arguments des gens dont habituellement, je partage leurs avis plus souvent qu'autrement. Mais là, je ne les suis pas du tout.

tuberale a écrit : [...]



en ce qui me concerne ce n'est pas le message qui est mal perçue mais la façon de le passer. Je suis en accord avec plein de trucs venant de la droite si on continue à employer le terme pour se démêler....mais plusieurs communicateurs, comme Brassard, Jérome Landry, etc aurait besoin du bouquin "comment communiquer mes idées pour les nuls", parce qu'ils ne communiquent pas leurs idées, ils vilipendent celles des autres.....tu en déduis donc que le contraire de ce qu'ils haissent tant continuellement est en fait leurs idées, c'est l'attitude qui est repoussante et non nécessairement les idées..........en tk dans mon cas.

.anthurium. a écrit : [...]


Tu as raison, mais il y a aussi des Joanne Marcotte et Frédérique Tétu qui s'exprime très bien. Nous en aurions besoin de plus, mais seul ceux qui n'ont rien a perdre ou ceux qui ont tout a gagner ("les polémistes") vont sur la place publique. J'aimerais tellement que la droite soit vue sous l'angle de la liberté de faire des choix avec surtout la responsabilité qui viens avec ses choix. Mais elle est vue comme égoiste. C'est si dommage.
Une chose est certaine c'est que la droite est frustré ,tellement frustré qu'elle c'est désintéressé totalement de la politique.

tuberale a écrit : [...]



J'pense que le mieux à faire est d'éviter de se braquer dans une position ou une autre, il y a de bonnes idées de tout bord tout côté comme de très mauvaises et les accepter ou les réfuter devraient venir de ce qu'elles sont au lieu de qui dit quoi ou de quel bord il est.