Re: Bellemare vide son sac - Corruption au PLQ
Publié : mar. sept. 21, 2010 9:56 pm

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on nous prend vraiment pour des twitts!mardi 21 septembre 2010 à 20H47
Commission Bastarache: deux copies différentes des agendas de Georges Lalande
image:http://assets.branchez-vous.net/images/ ... -220_1.jpg
Un mot aurait été raturé d'une des deux versions des agendas de l'ex-sous-ministre associé à la Justice, Georges Lalande, remises la semaine dernière au juge Bastarache pour accompagner un témoignage.
Ces agendas contiennent les détails de ses rencontres avec Franco Fava. Une page contenait les mots « juge en chef », « Alma », « press-ass juge du Québec » et «péquiste». Or, le mot « péquiste », qui apparaît dans l'une des deux versions, est censuré du document qui a été utilisé pour le témoignage de Georges Lalande, selon RDI.
Il aurait été censuré la semaine dernière lors du dépôt du document et sa diffusion publique.
Le porte-parole de la commission, Guy Versailles a admis que le document existait en deux versions en entrevue avec une animatrice de RDI, mais il n'a pas précisé qui était à l'origine de la censure. Il a soulevé que plusieurs ratures sont faites par la commission.
Selon Versailles, les mentions qui permettent d'identifier des personnes qui ne sont pas pertinentes à la commission sont biffées sur les documents à la disposition du public.
source:
http://matin.branchez-vous.com/nouvelle ... lande.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Qu'en pense-t-elle au juste?Anya a écrit :Très bon commentaire de la juge Ruffo à l'émission de Denis Lévesque sur la commission Bastarache.
-En gros la juge Ruffo disait que la commission, c'est un non-sens, c'est tellement gros.Beppo a écrit : [...]
Qu'en pense-t-elle au juste?
Anya a écrit : 21 Septembre 2010
Permalink 17:35 pm, Richard Martineau
Une contradiction savoureuse
Contradiction rigolote dans le témoignage du ministre des Transports Norm MacMillan, ce matin, à la commission Bastarache.
Monsieur MacMillan a dit qu'il a effectivement recommandé le nom de Marc Bisson à Marc Bellemare.
Pas parce que Marc Bisson était le fils de son organisateur en chef et ami Guy Bisson, non: parce que c'était un citoyen de son comté.
J'agirais de la même façon avec toute personne de mon comté qui viendrait me voir et me demanderait de la recommander, a expliqué le ministre.
O.K., d'accord...
Mais cinq minutes plus tard, monsieur MacMillan a dit que les téléphones de son bureau n'arrêtaient pas de sonner pendant cette période...
Pourquoi?
Parce que plusieurs avocats, sachant que des postes de juges étaient disponibles, voulaient eux aussi une recommandation de sa part.
Les avez-vous aussi recommandés à Marc Bellemare?
Non.
Pourquoi?
Réponse de Norm MacMillan: "Parce que je ne les connaissais pas..."
!!!
D'un côté, le ministre des Transports (et ex président du caucus) affirme qu'il n'a pas accordé de traitement de faveur à Marc Bisson.
De l'autre, il avoue candidement avoir refusé de recommander d'autres avocats car "il ne les connaissait pas"!
Assez savoureux, non?
Et le pire est que l'avocat de Marc Bellemare n'a pas sauté sur cette contradiction flagrante pour cuisiner MacMillan et remettre en doute son témoignage...
Bizarre...
http://martineau.blogue.canoe.ca/2010/0 ... savoureuse" onclick="window.open(this.href);return false;
J'ai vu aussi...et que le juge avait eu un petit sourire en coin sans intervenir...c'était un manque de classe pour M. Lalande...Anya a écrit : [...]
-En gros la juge Ruffo disait que la commission, c'est un non-sens, c'est tellement gros.
-Ça ressemble à la Tour de Pise, les avocats penchent du même bord et fessent sur le même
-Elle est contente que les gens voient ça à la TV, elle trouve que les gens sont capables de faire la part des choses.
-Aussi que pour Georges Lalande tout est permis
Aucune cour de justice ne laisserait faire ça, c'est honteux et indigne.
-L'avocat du bureau a demandé à Georges Lalande de regarder le commisaire Bastarache dans les yeux et de jurer d'avoir dit la vérité. La juge Ruffo a trouvé que ça avait l'air de "regarde maman et jure-moi que tu n'as pas menti". Elle a trouvé ça dégradant pour Me Lalande et irrespectueux, jamais elle n'avait vu ça. À la place du juge Bastarache, elle aurait réagit. La juge Ruffo trouve le juge Bastarache pas très actif et plutôt passif et qu'il n'intervient pas souvent.
-Elle a dit aussi que la commission était là pour chercher la vérité et qu'ils ne font même pas semblant de chercher la vérité.
Tous semblent mêler ensemble entre amis "La Famille " qu'elle les appelle.
-Qu'ils ont trouvé le bon commissaire pour eux.
C'est à peu près le résumé...
c'était pathétiquement lonnnnnnnnnnnnnng ...même l'autre avocat en était tanné...il était temps qu'il accouche qu'on baptiseAnya a écrit : Commission Bastarache
La filière politique mise à contribution
Taïeb Moalla
21/09/2010 21h33
QUÉBEC – Deux candidats à une nomination ou à une promotion au sein de la magistrature québécoise ont utilisé la filière politique libérale pour tenter de peser sur la décision finale.
C'est en substance ce qui est ressorti, mardi, du témoignage du comptable et argentier libéral Charles Rondeau et de celui du député libéral Norman MacMillan devant la Commission d'enquête sur le processus de nomination des juges.
En fin de journée – e t après s'être attardé en long et en large sur les méthodes de financement du Parti libéral –, Charles Rondeau a relaté un dîner qu'il a eu «fin juillet- début août 2003», avec une de ses très vieilles connaissances, le juge Michel Simard.
«Charles, connais-tu le ministre Bellemare? (...) Si jamais tu vois le ministre Bellemare, puis qu'il se cherche un bon juge en chef, (...) moi je pense que j'ai beaucoup d'expérience, puis je lui ferais un maususse de bon homme», aurait dit Michel Simard à M. Rondeau.
Le juge Simard aurait même pris soin de préciser que le poste qu'il convoitait était celui de «juge en chef», puisque «juge en chef adjoint, ça ne l'intéressait pas», aux dires de M. Rondeau.
Quelque temps plus tard, le solliciteur libéral a évoqué cet échange devant Marc Bellemare. «Je lui ai dit: Marc, j'ai parlé au juge Simard. (...) Il m'a dit que tu te cherchais un juge en chef, puis un juge en chef adjoint. Il dit que si jamais tu ne trouves pas quelqu'un à ton goût, lui il ferait le meilleur des juges en chef», a-t-il raconté. À ce moment-là, l'ex-ministre de la Justice «n'a pas eu une super réaction», selon les mots de Charles Rondeau.
Il n'est pas impossible que M. Simard ait «demandé le plus pour avoir le moins», a suggéré M. Rondeau en faisant allusion à la nomination du M. Simard, comme juge en chef adjoint, le 5 novembre 2003.
MacMillan «recommande» Bisson
Plus tôt dans la journée, le ministre délégué aux Transports, Norman MacMillan, a admis avoir dîné avec le futur juge Marc Bisson au restaurant Le Parlementaire, à l'Assemblée nationale, le 6 novembre 2003. Vingt jours plus tard, le 26 novembre, M. Bisson a été nommé juge dans le district judiciaire de Longueuil.
Durant ce court dîner d'une trentaine de minutes, Marc Bisson a fait savoir au député de Papineau qu'il était intéressé par un poste de juge. Quelques instants plus tard, M. MacMillan aurait croisé le ministre Bellemare, «par pur hasard», dans les couloirs de l'Assemblée nationale.
Il lui aurait parlé de la candidature du fils de Guy Bisson, «ami» personnel et directeur de trois de ses sept campagnes électorales.
Était-il en train de mettre de la pression sur Marc Bellemare à ce moment-là? «C'est pas de la pression, a assuré M. MacMillan. Si ça a aidé dans la décision (de nomination), ça veut dire que j'ai fait ma job de député. (...) Si je peux le recommander, pourquoi je ne le ferais pas? C'est mon rôle.»
Le jour de l'annonce de la nomination de M. Bisson, «j'ai bien vu que Marc (Bellemare) était heureux lui aussi», a affirmé M. MacMillan, tempérant du coup les «pressions colossales» que Marc Bellemare affirme avoir subies.
Després nie toute pression
L'ancien ministre du Travail Michel Després a dit avoir parlé à une seule reprise, le 18 février ou le 3 mars 2004, avec Marc Bellemare au sujet de la nomination des juges. À cette occasion, il aurait uniquement interrogé son collègue sur la date de l'annonce des futures nominations.
«Je pense qu'il y a quelqu'un de ta famille sur le concours», lui aurait alors répondu l'ex-ministre de la Justice. Il s'agissait en effet de Line Gosselin-Després, conjointe d'un cousin de M. Desprès à l'époque.
Une simple question sur une date de nomination ne pouvait en aucun cas être assimilée à de la « pression », a insisté Michel Després. Ce dernier a d'ailleurs rappelé s'être retiré du conseil des ministres du 24 mars 2004, au cours duquel la nomination de Mme Gosselin-Després a été décidée.
Franco Fava fait son entrée
Franco Fava, dont le nom est sur toutes les lèvres depuis le début des travaux de la commission, a fait une entrée discrète au 1091, Grande-Allée Ouest, en début d'après-midi.
C'est à la demande de la Commission Bastarache, qui ne pouvait juger avec précision de la durée des témoignages, que M. Fava s'est présenté. Il a assisté à une bonne partie de l'interrogatoire de son «ami» Charles Rondeau, mais a refusé de répondre aux questions des journalistes.
Il est prévu que M. Fava témoigne mercredi, tout juste après la fin des contre-interrogatoires de Charles Rondeau. Chantal Landry et Stéphane Bertrand, du bureau du premier ministre, seront également au menu de la commission. Les journées de demain et d'après-demain seront réservées au premier ministre Jean Charest.
Rénald Beaudry, avocat de Marc Bellemare, a laissé planer le doute sur la présence de son client aux travaux de la Commission Bastarache, mercredi.
La semaine dernière, Me Beaudry avait pourtant affirmé que «Me Bellemare voudrait assister aux témoignages de ces gens-là (Charles Rondeau et Franco Fava)». Jouant sur les mots, l'avocat a affirmé que le verbe «assister» ne signifiant pas forcément que Marc Bellemare voulait être présent sur place, mais qu'il avait peut-être envie de suivre ces deux témoignages devant son écran de télévision.
http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/a ... 13308.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Merci bien d'avoir pris le temps de me résumer son opinion. Je l'apprécie.Anya a écrit : [...]
-En gros la juge Ruffo disait que la commission, c'est un non-sens, c'est tellement gros.
-Ça ressemble à la Tour de Pise, les avocats penchent du même bord et fessent sur le même
-Elle est contente que les gens voient ça à la TV, elle trouve que les gens sont capables de faire la part des choses.
-Aussi que pour Georges Lalande tout est permis
Aucune cour de justice ne laisserait faire ça, c'est honteux et indigne.
-L'avocat du bureau a demandé à Georges Lalande de regarder le commisaire Bastarache dans les yeux et de jurer d'avoir dit la vérité. La juge Ruffo a trouvé que ça avait l'air de "regarde maman et jure-moi que tu n'as pas menti". Elle a trouvé ça dégradant pour Me Lalande et irrespectueux, jamais elle n'avait vu ça. À la place du juge Bastarache, elle aurait réagit. La juge Ruffo trouve le juge Bastarache pas très actif et plutôt passif et qu'il n'intervient pas souvent.
-Elle a dit aussi que la commission était là pour chercher la vérité et qu'ils ne font même pas semblant de chercher la vérité.
Tous semblent mêler ensemble entre amis "La Famille " qu'elle les appelle.
-Qu'ils ont trouvé le bon commissaire pour eux.
C'est à peu près le résumé...
Mosaii a écrit : Enfin j ai trouvé des gens avec qui en parler, je rage toute seule dans mon salon, hier, l avocat gros rat, avec son habit rayé (avait l air d un mafieux plus que d un avocat) a décortiquer la loi C-35 qui n avait aucun rapport avec la commission, quand Maitre Beaudry a voulu rectifier certains points avec Maitre Lallande sur la loi C-35 , tout d un coup, on a vu qu il y avait un commissaire a cette commission et a pas voulu que Maitre Beaudry pose ses questions car c était pas pertinent selon lui, deux poids deux mesures.
Ce matin Maitre Bertrand se présente et demande a pouvoir regarder les documents non caviardé de la commission deuxieme refus pour le clan Bellemare, seconde demande, avoir les registre du ministre depuis 2004 pour pouvoir prouver que ses gens la, ont encore leur allées et venu sur la rue Honoré Mercier a québec deuxième refus, pourtant Maitre Bertrand a fait remarquer au juge que ce qu il pourrait avoir en fesant une demande a l accès a l information lui serait rendu la commission lui refuse, assez spécial, ce qui l est encore plus, c est quand Maitre Bertrand avait presque réussi a convaincre le juge de sa demande, ben cib........ Batista c est levé et a dit a Maitre Bertrand qu on devrait continuer les travaux de la commission car on dépassait l heure, aie, c est pas a lui a faire ca, c est a Bastarache, il n a aucun droit de se levé et de dictée la ligne de conduite a Bastarache, c est pourquoi cette commission est une commission pour laver la réputation d un trou de cul de premier ministre, qui a rien fait de ses promesse depuis qu il est en poste, j avais pas voter au dernière élection, et je voterai pas au prochaime, car aucun parti ne m inspire.
Le plus triste dans tout ca je trouve, c est la façon dont Ryan c est acharné sur Maitre Lalande hier, et l autre vieux chnoque qui est revenue et a demandé a M.Lalande de repreté serment, une insulte monumentale.
Au dernière élection provincial, en campagne Mario Dumont avait soulevé la question de la caisse de dépot et avait dit quelle perdrait énormément d argent et Charette (Charest) avait rit de lui, pourtant la caisse a perdu 40 milliards de dollars, dites moi qui a reçu toute cette argent, qui s en ai mis pleins les poches.
Autres questions, des contrats a des compagnie et filliale a la famille et a Franco Fava pour 780 millions de dollars, Charest et autres haut dirigeant ont reçu combien en pourcentage la dessus, par ce que faut pas ce le cacher, c est sur que, (je te donne les contrats mais en retour tu me donne un commission ), voyon donc , c est de même que ca se passe.
Tous mériterai un bien bruler dans le temps des fêtes au bye bye.