Bambi_Smiley a écrit
Ils travaillent fort.
Ils quittent la maison à 8h pour revenir à 18h.
Pourquoi faire des enfants si ce n'est ni pour les voir, ni pour s'en occuper, ni pour les éduquer ???.... en fait-on juste pour prolonger la race humaine ?... ou pour suivre le modèle ?
On se reproduit puis on confie le poupon à la garderie puis au gouvernement... à quoi servent les parents alors ???... ce sont juste des "bêtes" de laboratoire utilisés pour la bonne cause démographique ???... ça ressemble plus à du bétail qu'à des êtres humains... c'est très triste !
Malbouffe dans les écoles
Ben dans certaines ecoles on interdit certain types de souliers
en indiquant que ca marque le plancher de lignes noires pas
tres jolies et moi j'ai toujours trouve ca un peu exagere...
Mais c'est bien leur droit, apres tout c'est leur plancher!
Donc ils peuvent bien interdire certains aliments si ca
leur chante aussi...
en indiquant que ca marque le plancher de lignes noires pas
tres jolies et moi j'ai toujours trouve ca un peu exagere...
Mais c'est bien leur droit, apres tout c'est leur plancher!
Donc ils peuvent bien interdire certains aliments si ca
leur chante aussi...
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
InFoManII a écrit
Pourquoi faire des enfants si ce n'est ni pour les voir, ni pour s'en occuper, ni pour les éduquer ???.... en fait-on juste pour prolonger la race humaine ?... ou pour suivre le modèle ?
On se reproduit puis on confie le poupon à la garderie puis au gouvernement... à quoi servent les parents alors ???... ce sont juste des "bêtes" de laboratoire utilisés pour la bonne cause démographique ???... ça ressemble plus à du bétail qu'à des êtres humains... c'est très triste !
Alors, à ton avis, tous les problèmes sociaux sont vécus chez les familles dont les 2 parents travaillent?... Les familles dont la mère reste à la maison seraient exempts de problèmes de type obésité et/ou de santé?..
Je ne partage pas du tout cet avis...
Pourquoi faire des enfants si ce n'est ni pour les voir, ni pour s'en occuper, ni pour les éduquer ???.... en fait-on juste pour prolonger la race humaine ?... ou pour suivre le modèle ?
On se reproduit puis on confie le poupon à la garderie puis au gouvernement... à quoi servent les parents alors ???... ce sont juste des "bêtes" de laboratoire utilisés pour la bonne cause démographique ???... ça ressemble plus à du bétail qu'à des êtres humains... c'est très triste !
Alors, à ton avis, tous les problèmes sociaux sont vécus chez les familles dont les 2 parents travaillent?... Les familles dont la mère reste à la maison seraient exempts de problèmes de type obésité et/ou de santé?..
Je ne partage pas du tout cet avis...
Nikki. a écrit
Alors, à ton avis, tous les problèmes sociaux sont vécus chez les familles dont les 2 parents travaillent?... Les familles dont la mère reste à la maison seraient exempts de problèmes de type obésité et/ou de santé?..
Je ne partage pas du tout cet avis...
Voilà une conclusion que je n'ai pas tirée !
Bamby s'est "servie de l'excuse" du travail pour dire que ce n'est pas à elle d'éduquer ses enfants mais bien au gouvernement (si je comprends bien son intervention ?!)... c'est sur ce point que je ne suis pas d'accord !
L'obésité vient sans doute en grande partie du modèle des parents, de la manière de vivre... je pense sincèrement qu'une famille qui mange à n'importe qu'elle heure des repas surgelés ou du fastfood à plus de chances de "créer" des enfants gros qu'une famille qui prend la peine de faire sa propre bouffe, qui mange ensemble à heures fixes et qui prend le temps de faire aprécier à ses enfants une grande variété d'aliments !
Si les parents ne se donnent pas la peine d'instaurer de "saines" habitudes de vie à la maison, ce n'est pas aux profs, ni au gouvernement d'essayer de ratraper le coup !!!
Pourquoi demander aux autres de faire pour nos enfants ce qu'on ne ferait pas nous même ?! ?!...
Alors, à ton avis, tous les problèmes sociaux sont vécus chez les familles dont les 2 parents travaillent?... Les familles dont la mère reste à la maison seraient exempts de problèmes de type obésité et/ou de santé?..
Je ne partage pas du tout cet avis...
Voilà une conclusion que je n'ai pas tirée !
Bamby s'est "servie de l'excuse" du travail pour dire que ce n'est pas à elle d'éduquer ses enfants mais bien au gouvernement (si je comprends bien son intervention ?!)... c'est sur ce point que je ne suis pas d'accord !
L'obésité vient sans doute en grande partie du modèle des parents, de la manière de vivre... je pense sincèrement qu'une famille qui mange à n'importe qu'elle heure des repas surgelés ou du fastfood à plus de chances de "créer" des enfants gros qu'une famille qui prend la peine de faire sa propre bouffe, qui mange ensemble à heures fixes et qui prend le temps de faire aprécier à ses enfants une grande variété d'aliments !
Si les parents ne se donnent pas la peine d'instaurer de "saines" habitudes de vie à la maison, ce n'est pas aux profs, ni au gouvernement d'essayer de ratraper le coup !!!
Pourquoi demander aux autres de faire pour nos enfants ce qu'on ne ferait pas nous même ?! ?!...
InFoManII a écrit
Voilà une conclusion que je n'ai pas tirée !
Bamby s'est "servie de l'excuse" du travail pour dire que ce n'est pas à elle d'éduquer ses enfants mais bien au gouvernement (si je comprends bien son intervention ?!)... c'est sur ce point que je ne suis pas d'accord !variété d'aliments !
Tu m'as mal compris.
Je répondais à (en bleu) où sont les parents
Le reste c'est ton interprétation.
Je dis juste que les parents travaillent fort de 8h à 18h
Voilà une conclusion que je n'ai pas tirée !
Bamby s'est "servie de l'excuse" du travail pour dire que ce n'est pas à elle d'éduquer ses enfants mais bien au gouvernement (si je comprends bien son intervention ?!)... c'est sur ce point que je ne suis pas d'accord !variété d'aliments !
Tu m'as mal compris.
Je répondais à (en bleu) où sont les parents
Le reste c'est ton interprétation.
Je dis juste que les parents travaillent fort de 8h à 18h
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
InFoManII a écrit
Voilà une conclusion que je n'ai pas tirée !
Bamby s'est "servie de l'excuse" du travail pour dire que ce n'est pas à elle d'éduquer ses enfants mais bien au gouvernement (si je comprends bien son intervention ?!)... c'est sur ce point que je ne suis pas d'accord !
L'obésité vient sans doute en grande partie du modèle des parents, de la manière de vivre... je pense sincèrement qu'une famille qui mange à n'importe qu'elle heure des repas surgelés ou du fastfood à plus de chances de "créer" des enfants gros qu'une famille qui prend la peine de faire sa propre bouffe, qui mange ensemble à heures fixes et qui prend le temps de faire aprécier à ses enfants une grande variété d'aliments !
Si les parents ne se donnent pas la peine d'instaurer de "saines" habitudes de vie à la maison, ce n'est pas aux profs, ni au gouvernement d'essayer de ratraper le coup !!!
Pourquoi demander aux autres de faire pour nos enfants ce qu'on ne ferait pas nous même ?! ?!...
Dit comme ça, j'adhère pas mal plus à tes propos...
C'est vrai que les habitudes prises à la maison ne pourront jamais être paliées ailleurs...
Dans le fond, ce que je dis, c'est que si l'école fait sa part en ne servant plus eux-mêmes de malbouffe, ils donnent une bonne chance aux parents qui ne peuvent quand même pas être derrière leurs enfants matin midi et soir... Parce que quand ils sont petits, 5-6 ou 7 ans, c'est pas pire, mais quand ça vieillit, c'est très différent...
À 15 ans et 17 ans, je me trouverais vraiment abusive si je devais contrôler chaque heure de leur vie, ils doivent aussi voler de leurs propres ailes... Mais si on m'aide dans mon éducation en ne leur laissant pas toute la corde voulue pour se pendre, m'essemble qu'on leur donne aussi un bon coup de pouce...
De plus, je pense aussi que ça peut aider les enfants dont les parents ne sont pas super sur ce côté. C'est leur job d'éduquer leurs enfants, mais s'ils ne le font pas?.. Est-ce qu'un enfant de 5 ou 6 ans peut avoir la chance quand même de bénéficier de bonnes bases?... Qu'on le veuille ou non, il y a des parents qui délèguent leurs responsabilités à qui peut les prendre (gouvernement, DPJ, voisinage etc)... Faut bien les aider aussi ces pauvres petits!
Voilà une conclusion que je n'ai pas tirée !
Bamby s'est "servie de l'excuse" du travail pour dire que ce n'est pas à elle d'éduquer ses enfants mais bien au gouvernement (si je comprends bien son intervention ?!)... c'est sur ce point que je ne suis pas d'accord !
L'obésité vient sans doute en grande partie du modèle des parents, de la manière de vivre... je pense sincèrement qu'une famille qui mange à n'importe qu'elle heure des repas surgelés ou du fastfood à plus de chances de "créer" des enfants gros qu'une famille qui prend la peine de faire sa propre bouffe, qui mange ensemble à heures fixes et qui prend le temps de faire aprécier à ses enfants une grande variété d'aliments !
Si les parents ne se donnent pas la peine d'instaurer de "saines" habitudes de vie à la maison, ce n'est pas aux profs, ni au gouvernement d'essayer de ratraper le coup !!!
Pourquoi demander aux autres de faire pour nos enfants ce qu'on ne ferait pas nous même ?! ?!...
Dit comme ça, j'adhère pas mal plus à tes propos...
C'est vrai que les habitudes prises à la maison ne pourront jamais être paliées ailleurs...
Dans le fond, ce que je dis, c'est que si l'école fait sa part en ne servant plus eux-mêmes de malbouffe, ils donnent une bonne chance aux parents qui ne peuvent quand même pas être derrière leurs enfants matin midi et soir... Parce que quand ils sont petits, 5-6 ou 7 ans, c'est pas pire, mais quand ça vieillit, c'est très différent...
À 15 ans et 17 ans, je me trouverais vraiment abusive si je devais contrôler chaque heure de leur vie, ils doivent aussi voler de leurs propres ailes... Mais si on m'aide dans mon éducation en ne leur laissant pas toute la corde voulue pour se pendre, m'essemble qu'on leur donne aussi un bon coup de pouce...
De plus, je pense aussi que ça peut aider les enfants dont les parents ne sont pas super sur ce côté. C'est leur job d'éduquer leurs enfants, mais s'ils ne le font pas?.. Est-ce qu'un enfant de 5 ou 6 ans peut avoir la chance quand même de bénéficier de bonnes bases?... Qu'on le veuille ou non, il y a des parents qui délèguent leurs responsabilités à qui peut les prendre (gouvernement, DPJ, voisinage etc)... Faut bien les aider aussi ces pauvres petits!
LeeLou a écrit
Tu as le droit de penser que c'est impossible , c'est ce que je me disais aussi ...avant
Ça a vraiment aucun sens... C'est à peu près ce qu'on peut boire de meilleur dans une journée...
Un moment donné, mon fils n'avait pas le droit d'aller remplir sa bouteille (à cause des envies trop fréquentes), mais il avait le droit d'en avoir une pour le matin et la remplir pour l'après-midi...
Tu as le droit de penser que c'est impossible , c'est ce que je me disais aussi ...avant
Ça a vraiment aucun sens... C'est à peu près ce qu'on peut boire de meilleur dans une journée...
Un moment donné, mon fils n'avait pas le droit d'aller remplir sa bouteille (à cause des envies trop fréquentes), mais il avait le droit d'en avoir une pour le matin et la remplir pour l'après-midi...
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.anthurium.
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Le culte de la victime
Le Journal de Québec, p. 16 / Nathalie Elgrably, 20 septembre 2007
Vous voulez réagir à cet article? Vous voulez poser une question à son auteur?
À compter du 1er janvier prochain, les aliments à faible valeur nutritive comme les frites et les boisons gazeuses seront supprimés des écoles du Québec.
Vouloir promouvoir de saines habitudes alimentaires est louable, mais le discours tenu est infantilisant et mensonger, tandis que les mesures déployées sont hypocrites et perverses.
Le discours est infantilisant, car il sous-entend que les jeunes sont trop ignorants pour distinguer la nourriture saine de la malbouffe. Pourtant, nous vivons dans une société qui croule sous l’information et il faudrait faire de gros efforts pour ignorer la promotion d’aliments santé, qu’il s’agisse de yogourts sans gras, de céréales sans sucre ou de pain de blé entier.
Le discours est mensonger dans la mesure où il est axé sur l’environnement. L’enfant serait «victime» des mauvais choix alimentaires qui s’offrent à lui. Or, il est faux d’affirmer que seule la malbouffe est disponible. Même McDonald’s offre des salades!
Quant aux mesures employées, elles sont hypocrites, puisqu’on oublie d’incriminer les principaux responsables de l’obésité des jeunes: leurs parents! On entend parler de ce que l’État doit faire pour inculquer de saines habitudes alimentaires aux jeunes, mais il existe une omerta sur le rôle des parents. Évidemment, accuser un électeur de négliger l’alimentation de sa progéniture n’est pas politiquement rentable!
Pourtant, la responsabilité des parents est évidente. D’une part, ce sont eux qui financent la consommation de frites de leurs enfants. D’autre part, le petit-déjeuner et le souper sont pris à la maison, ce qui représente 2/3 des repas de la journée, sans oublier les collations prises au retour de l’école et en soirée et les week-ends, car ils représentent 28% de la semaine. Si les cafétérias et les fast-foods sont actuellement dans la ligne de mire, ce n’est pas tant en raison du rôle qu’ils jouent dans l’obésité des jeunes, mais parce que personne n’a le courage de reprocher aux parents de garnir leur réfrigérateur de malbouffe.
Enfin, les mesures adoptées occasionnent des effets pervers, car elles ouvrent la porte à une intrusion tentaculaire de l’État dans notre quotidien. Aujourd’hui, on vise les cafétérias, mais que fera-t-on si les enfants apportent à l’école des chips et des beignes? Vérifiera-t-on les boites à lunch? Inspectera-t-on le réfrigérateur des parents? Et que faire contre les habitudes sédentaires des jeunes qui passent des heures devant la télé ou l’ordinateur? Va-t-on permettre à des fonctionnaires ou à des bien-pensants d’imposer leurs standards?
Obésité
Et puis, l’obésité frappe également les adultes. Si on permet aux fonctionnaires de faire la guerre aux jeunes, ils ne tarderont pas à la déclarer également aux adultes, si bien qu’il sera rapidement impossible de manger des frites sans craindre de voire débarquer l’escouade anti-malbouffe. Mais qui donc est propriétaire de notre corps, nous ou l’État?
Si tout le monde s’entend pour affirmer que les compagnies sont responsables de ce qu’elles vendent, pourquoi les individus ne le seraient-ils pas de ce qu’ils mangent? Le libre-arbitre est-il donc à ce point évacué de notre société? Le premier pas dans la lutte contre l’obésité est de briser le culte de la victime et de responsabiliser les individus, jeunes et moins jeunes. Malheureusement, le concept de responsabilité individuelle est totalement étranger à tous les partisans de la nationalisation des corps!
Certains diront que l’intervention de l’État est nécessaire, car l’obésité impose des coûts importants aux contribuables via le système de santé public. Je répondrai à cet argument la semaine prochaine.
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Montréal.
Le Journal de Québec, p. 16 / Nathalie Elgrably, 20 septembre 2007
Vous voulez réagir à cet article? Vous voulez poser une question à son auteur?
À compter du 1er janvier prochain, les aliments à faible valeur nutritive comme les frites et les boisons gazeuses seront supprimés des écoles du Québec.
Vouloir promouvoir de saines habitudes alimentaires est louable, mais le discours tenu est infantilisant et mensonger, tandis que les mesures déployées sont hypocrites et perverses.
Le discours est infantilisant, car il sous-entend que les jeunes sont trop ignorants pour distinguer la nourriture saine de la malbouffe. Pourtant, nous vivons dans une société qui croule sous l’information et il faudrait faire de gros efforts pour ignorer la promotion d’aliments santé, qu’il s’agisse de yogourts sans gras, de céréales sans sucre ou de pain de blé entier.
Le discours est mensonger dans la mesure où il est axé sur l’environnement. L’enfant serait «victime» des mauvais choix alimentaires qui s’offrent à lui. Or, il est faux d’affirmer que seule la malbouffe est disponible. Même McDonald’s offre des salades!
Quant aux mesures employées, elles sont hypocrites, puisqu’on oublie d’incriminer les principaux responsables de l’obésité des jeunes: leurs parents! On entend parler de ce que l’État doit faire pour inculquer de saines habitudes alimentaires aux jeunes, mais il existe une omerta sur le rôle des parents. Évidemment, accuser un électeur de négliger l’alimentation de sa progéniture n’est pas politiquement rentable!
Pourtant, la responsabilité des parents est évidente. D’une part, ce sont eux qui financent la consommation de frites de leurs enfants. D’autre part, le petit-déjeuner et le souper sont pris à la maison, ce qui représente 2/3 des repas de la journée, sans oublier les collations prises au retour de l’école et en soirée et les week-ends, car ils représentent 28% de la semaine. Si les cafétérias et les fast-foods sont actuellement dans la ligne de mire, ce n’est pas tant en raison du rôle qu’ils jouent dans l’obésité des jeunes, mais parce que personne n’a le courage de reprocher aux parents de garnir leur réfrigérateur de malbouffe.
Enfin, les mesures adoptées occasionnent des effets pervers, car elles ouvrent la porte à une intrusion tentaculaire de l’État dans notre quotidien. Aujourd’hui, on vise les cafétérias, mais que fera-t-on si les enfants apportent à l’école des chips et des beignes? Vérifiera-t-on les boites à lunch? Inspectera-t-on le réfrigérateur des parents? Et que faire contre les habitudes sédentaires des jeunes qui passent des heures devant la télé ou l’ordinateur? Va-t-on permettre à des fonctionnaires ou à des bien-pensants d’imposer leurs standards?
Obésité
Et puis, l’obésité frappe également les adultes. Si on permet aux fonctionnaires de faire la guerre aux jeunes, ils ne tarderont pas à la déclarer également aux adultes, si bien qu’il sera rapidement impossible de manger des frites sans craindre de voire débarquer l’escouade anti-malbouffe. Mais qui donc est propriétaire de notre corps, nous ou l’État?
Si tout le monde s’entend pour affirmer que les compagnies sont responsables de ce qu’elles vendent, pourquoi les individus ne le seraient-ils pas de ce qu’ils mangent? Le libre-arbitre est-il donc à ce point évacué de notre société? Le premier pas dans la lutte contre l’obésité est de briser le culte de la victime et de responsabiliser les individus, jeunes et moins jeunes. Malheureusement, le concept de responsabilité individuelle est totalement étranger à tous les partisans de la nationalisation des corps!
Certains diront que l’intervention de l’État est nécessaire, car l’obésité impose des coûts importants aux contribuables via le système de santé public. Je répondrai à cet argument la semaine prochaine.
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Montréal.
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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geneviève-2
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Patate13 a écrit
C'est drôle, mais moi, c'est depuis que j'ai eu des cours d'activités physiques au secondaire que je déteste les sports!!! Si j'avais eu à subir plus d'heures d'éducation physique, je pense que je ferais une phobie des sports... À mon dernier cours d'éducation physique au secondaire, j'ai remercié le ciel!!!
Les seuls ados que tu peux inciter à faire plus d'exercices, c'est ceux qui en font déjà. Ceux qui n'aiment pas l'exercice vont haïr encore plus ça s'ils en font plus à l'école. Et j'en connais des exemples.
Les cours d'éducation physique au secondaire c'est mal foutu sans bon sens parce que ceux qui ne sont pas bons en sports se font rire d'eux et développent une aversion du sport.
Surtout quand on a plus de difficulté dans les sports j'haissais ça.
C'est drôle, mais moi, c'est depuis que j'ai eu des cours d'activités physiques au secondaire que je déteste les sports!!! Si j'avais eu à subir plus d'heures d'éducation physique, je pense que je ferais une phobie des sports... À mon dernier cours d'éducation physique au secondaire, j'ai remercié le ciel!!!
Les seuls ados que tu peux inciter à faire plus d'exercices, c'est ceux qui en font déjà. Ceux qui n'aiment pas l'exercice vont haïr encore plus ça s'ils en font plus à l'école. Et j'en connais des exemples.
Les cours d'éducation physique au secondaire c'est mal foutu sans bon sens parce que ceux qui ne sont pas bons en sports se font rire d'eux et développent une aversion du sport.
Surtout quand on a plus de difficulté dans les sports j'haissais ça.
Je ne reçois pas les messages éclairs
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sleepy-girl
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.anthurium. a écritLe culte de la victime
Le Journal de Québec, p. 16 / Nathalie Elgrably, 20 septembre 2007
Vous voulez réagir à cet article? Vous voulez poser une question à son auteur?
À compter du 1er janvier prochain, les aliments à faible valeur nutritive comme les frites et les boisons gazeuses seront supprimés des écoles du Québec.
Vouloir promouvoir de saines habitudes alimentaires est louable, mais le discours tenu est infantilisant et mensonger, tandis que les mesures déployées sont hypocrites et perverses.
Le discours est infantilisant, car il sous-entend que les jeunes sont trop ignorants pour distinguer la nourriture saine de la malbouffe. Pourtant, nous vivons dans une société qui croule sous l’information et il faudrait faire de gros efforts pour ignorer la promotion d’aliments santé, qu’il s’agisse de yogourts sans gras, de céréales sans sucre ou de pain de blé entier.
Le discours est mensonger dans la mesure où il est axé sur l’environnement. L’enfant serait «victime» des mauvais choix alimentaires qui s’offrent à lui. Or, il est faux d’affirmer que seule la malbouffe est disponible. Même McDonald’s offre des salades!
Quant aux mesures employées, elles sont hypocrites, puisqu’on oublie d’incriminer les principaux responsables de l’obésité des jeunes: leurs parents! On entend parler de ce que l’État doit faire pour inculquer de saines habitudes alimentaires aux jeunes, mais il existe une omerta sur le rôle des parents. Évidemment, accuser un électeur de négliger l’alimentation de sa progéniture n’est pas politiquement rentable!
Pourtant, la responsabilité des parents est évidente. D’une part, ce sont eux qui financent la consommation de frites de leurs enfants. D’autre part, le petit-déjeuner et le souper sont pris à la maison, ce qui représente 2/3 des repas de la journée, sans oublier les collations prises au retour de l’école et en soirée et les week-ends, car ils représentent 28% de la semaine. Si les cafétérias et les fast-foods sont actuellement dans la ligne de mire, ce n’est pas tant en raison du rôle qu’ils jouent dans l’obésité des jeunes, mais parce que personne n’a le courage de reprocher aux parents de garnir leur réfrigérateur de malbouffe.
Enfin, les mesures adoptées occasionnent des effets pervers, car elles ouvrent la porte à une intrusion tentaculaire de l’État dans notre quotidien. Aujourd’hui, on vise les cafétérias, mais que fera-t-on si les enfants apportent à l’école des chips et des beignes? Vérifiera-t-on les boites à lunch? Inspectera-t-on le réfrigérateur des parents? Et que faire contre les habitudes sédentaires des jeunes qui passent des heures devant la télé ou l’ordinateur? Va-t-on permettre à des fonctionnaires ou à des bien-pensants d’imposer leurs standards?
Obésité
Et puis, l’obésité frappe également les adultes. Si on permet aux fonctionnaires de faire la guerre aux jeunes, ils ne tarderont pas à la déclarer également aux adultes, si bien qu’il sera rapidement impossible de manger des frites sans craindre de voire débarquer l’escouade anti-malbouffe. Mais qui donc est propriétaire de notre corps, nous ou l’État?
Si tout le monde s’entend pour affirmer que les compagnies sont responsables de ce qu’elles vendent, pourquoi les individus ne le seraient-ils pas de ce qu’ils mangent? Le libre-arbitre est-il donc à ce point évacué de notre société? Le premier pas dans la lutte contre l’obésité est de briser le culte de la victime et de responsabiliser les individus, jeunes et moins jeunes. Malheureusement, le concept de responsabilité individuelle est totalement étranger à tous les partisans de la nationalisation des corps!
Certains diront que l’intervention de l’État est nécessaire, car l’obésité impose des coûts importants aux contribuables via le système de santé public. Je répondrai à cet argument la semaine prochaine.
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Montréal.
elle a tellement raison
Le Journal de Québec, p. 16 / Nathalie Elgrably, 20 septembre 2007
Vous voulez réagir à cet article? Vous voulez poser une question à son auteur?
À compter du 1er janvier prochain, les aliments à faible valeur nutritive comme les frites et les boisons gazeuses seront supprimés des écoles du Québec.
Vouloir promouvoir de saines habitudes alimentaires est louable, mais le discours tenu est infantilisant et mensonger, tandis que les mesures déployées sont hypocrites et perverses.
Le discours est infantilisant, car il sous-entend que les jeunes sont trop ignorants pour distinguer la nourriture saine de la malbouffe. Pourtant, nous vivons dans une société qui croule sous l’information et il faudrait faire de gros efforts pour ignorer la promotion d’aliments santé, qu’il s’agisse de yogourts sans gras, de céréales sans sucre ou de pain de blé entier.
Le discours est mensonger dans la mesure où il est axé sur l’environnement. L’enfant serait «victime» des mauvais choix alimentaires qui s’offrent à lui. Or, il est faux d’affirmer que seule la malbouffe est disponible. Même McDonald’s offre des salades!
Quant aux mesures employées, elles sont hypocrites, puisqu’on oublie d’incriminer les principaux responsables de l’obésité des jeunes: leurs parents! On entend parler de ce que l’État doit faire pour inculquer de saines habitudes alimentaires aux jeunes, mais il existe une omerta sur le rôle des parents. Évidemment, accuser un électeur de négliger l’alimentation de sa progéniture n’est pas politiquement rentable!
Pourtant, la responsabilité des parents est évidente. D’une part, ce sont eux qui financent la consommation de frites de leurs enfants. D’autre part, le petit-déjeuner et le souper sont pris à la maison, ce qui représente 2/3 des repas de la journée, sans oublier les collations prises au retour de l’école et en soirée et les week-ends, car ils représentent 28% de la semaine. Si les cafétérias et les fast-foods sont actuellement dans la ligne de mire, ce n’est pas tant en raison du rôle qu’ils jouent dans l’obésité des jeunes, mais parce que personne n’a le courage de reprocher aux parents de garnir leur réfrigérateur de malbouffe.
Enfin, les mesures adoptées occasionnent des effets pervers, car elles ouvrent la porte à une intrusion tentaculaire de l’État dans notre quotidien. Aujourd’hui, on vise les cafétérias, mais que fera-t-on si les enfants apportent à l’école des chips et des beignes? Vérifiera-t-on les boites à lunch? Inspectera-t-on le réfrigérateur des parents? Et que faire contre les habitudes sédentaires des jeunes qui passent des heures devant la télé ou l’ordinateur? Va-t-on permettre à des fonctionnaires ou à des bien-pensants d’imposer leurs standards?
Obésité
Et puis, l’obésité frappe également les adultes. Si on permet aux fonctionnaires de faire la guerre aux jeunes, ils ne tarderont pas à la déclarer également aux adultes, si bien qu’il sera rapidement impossible de manger des frites sans craindre de voire débarquer l’escouade anti-malbouffe. Mais qui donc est propriétaire de notre corps, nous ou l’État?
Si tout le monde s’entend pour affirmer que les compagnies sont responsables de ce qu’elles vendent, pourquoi les individus ne le seraient-ils pas de ce qu’ils mangent? Le libre-arbitre est-il donc à ce point évacué de notre société? Le premier pas dans la lutte contre l’obésité est de briser le culte de la victime et de responsabiliser les individus, jeunes et moins jeunes. Malheureusement, le concept de responsabilité individuelle est totalement étranger à tous les partisans de la nationalisation des corps!
Certains diront que l’intervention de l’État est nécessaire, car l’obésité impose des coûts importants aux contribuables via le système de santé public. Je répondrai à cet argument la semaine prochaine.
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Montréal.
elle a tellement raison
Intéressant cet article.. Justement, je pensais un peu à ça. J'ai travaillé pendant 10 ans, dans un resto, bouffe maison et fast-food .. On avait une grosse clientèle de fonctionnaires, de travailleurs.. Très peu de jeunes, on était vraiment pas situé près des écoles.
Ben le midi, ça bouffait des hot-dogs, hamburgers, poutines, pizza, rondelles d'oignon, en masse !
C'était le plus gros de notre chiffre d'affaire même.. Et c'était pas rare qu'on serve les mêmes gens 3-4-5 fois par semaine. Donc aujourd'hui, on est tout content que le gouvernement retire la "malbouffe" des écoles, et si demain, il interdisait aux gens de sortir de leur bureau pour aller manger ce genre de nourriture ? Ou d'en commander ?
Y'a pas que les jeunes qui mangent mal et qui sont gros Y'a vraiment de l'éducation à faire en alimentation, à tous les niveaux, je crois.. --Message edité par Mimosa le 2007-09-22 10:33:25--
Ben le midi, ça bouffait des hot-dogs, hamburgers, poutines, pizza, rondelles d'oignon, en masse !
C'était le plus gros de notre chiffre d'affaire même.. Et c'était pas rare qu'on serve les mêmes gens 3-4-5 fois par semaine. Donc aujourd'hui, on est tout content que le gouvernement retire la "malbouffe" des écoles, et si demain, il interdisait aux gens de sortir de leur bureau pour aller manger ce genre de nourriture ? Ou d'en commander ?
Y'a pas que les jeunes qui mangent mal et qui sont gros Y'a vraiment de l'éducation à faire en alimentation, à tous les niveaux, je crois.. --Message edité par Mimosa le 2007-09-22 10:33:25--
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Great minds discuss ideas. Average minds discuss events. Small minds discuss people. - Eleanor Roosevelt
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sleepy-girl
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Mimosa a écritIntéressant cet article.. Justement, je pensais un peu à ça. J'ai travaillé pendant 10 ans, dans un resto, bouffe maison et fast-food .. On avait une grosse clientèle de fonctionnaires, de travailleurs.. Très peu de jeunes, on était vraiment pas situé près des écoles.
Ben le midi, ça bouffait des hot-dogs, hamburgers, poutines, pizza, rondelles d'oignon, en masse !
C'était le plus gros de notre chiffre d'affaire même.. Et c'était pas rare qu'on serve les mêmes gens 3-4-5 fois par semaine. Donc aujourd'hui, on est tout content que le gouvernement retire la "malbouffe" des écoles, et si demain, il interdisait aux gens de sortir de leur bureau pour aller manger ce genre de nourriture ? Ou d'en commander ?
Y'a pas que les jeunes qui mangent mal et qui sont gros Y'a vraiment de l'éducation à faire en alimentation, à tous les niveaux, je crois..
En effet !
Ben le midi, ça bouffait des hot-dogs, hamburgers, poutines, pizza, rondelles d'oignon, en masse !
C'était le plus gros de notre chiffre d'affaire même.. Et c'était pas rare qu'on serve les mêmes gens 3-4-5 fois par semaine. Donc aujourd'hui, on est tout content que le gouvernement retire la "malbouffe" des écoles, et si demain, il interdisait aux gens de sortir de leur bureau pour aller manger ce genre de nourriture ? Ou d'en commander ?
Y'a pas que les jeunes qui mangent mal et qui sont gros Y'a vraiment de l'éducation à faire en alimentation, à tous les niveaux, je crois..
En effet !
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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sleepy-girl a écritle gouvernement devrait tous nous adopter afin de faire de nous des personnes minces,non-fumeurs et clinquant de fric
Mais si on consommes moins de bouffe, de cigarettes, de lotto Québec, le Québec va tomber dans le trou ! Un gouffre financier !
(Je ris mais c'est pas drôle pantoute)
Mais si on consommes moins de bouffe, de cigarettes, de lotto Québec, le Québec va tomber dans le trou ! Un gouffre financier !
(Je ris mais c'est pas drôle pantoute)
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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sleepy-girl
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moi aussi c,était vraiment pour rire
tsé,j,suis daccord avec un certain bon-sens,mais l,interdit et les jeunes,ça fait po trop bon ménage
je trouve que le gouvernement devient envers nous de+en+infantilisant voilà pourquoi je suis daccord avec l,article de mne égraldy,je sais po si je scarappe son nom mais cest ça pareil
tsé,j,suis daccord avec un certain bon-sens,mais l,interdit et les jeunes,ça fait po trop bon ménage
je trouve que le gouvernement devient envers nous de+en+infantilisant voilà pourquoi je suis daccord avec l,article de mne égraldy,je sais po si je scarappe son nom mais cest ça pareil
Moi je continue de penser que le fait de leur offrir des choix-santé peut les aider à prendre le contrôle de leur vie.
Moi au bureau, y'a un traiteur qui vient le midi et qui n'offre que des choix-santé, des soupes maison etc.. Je ne trouve pas ça brimant du tout et si l'envie me prend de sortir pour aller me chercher du McDo ou du Ashton, y'a rien qui m'en empêche, pas plus que le jeune qui veut sortir le midi.
Si on nous disait que dorénavant les garderies en milieu familial ou en milieu scolaire vont faire manger les petits avec des hot-dogs et des poutines, on dirait quoi?.. Et pourtant, on est bien d'accord qu'ils mangent équilibré et eux, ils ne peuvent sortir pour aller manger au resto... Pourquoi on ne pourrait pas faire ce choix pour les jeunes du secondaire si on le fait pour les travailleurs et les petits?
Moi au bureau, y'a un traiteur qui vient le midi et qui n'offre que des choix-santé, des soupes maison etc.. Je ne trouve pas ça brimant du tout et si l'envie me prend de sortir pour aller me chercher du McDo ou du Ashton, y'a rien qui m'en empêche, pas plus que le jeune qui veut sortir le midi.
Si on nous disait que dorénavant les garderies en milieu familial ou en milieu scolaire vont faire manger les petits avec des hot-dogs et des poutines, on dirait quoi?.. Et pourtant, on est bien d'accord qu'ils mangent équilibré et eux, ils ne peuvent sortir pour aller manger au resto... Pourquoi on ne pourrait pas faire ce choix pour les jeunes du secondaire si on le fait pour les travailleurs et les petits?
Nikki. a écritMoi je continue de penser que le fait de leur offrir des choix-santé peut les aider à prendre le contrôle de leur vie.
Moi au bureau, y'a un traiteur qui vient le midi et qui n'offre que des choix-santé, des soupes maison etc.. Je ne trouve pas ça brimant du tout et si l'envie me prend de sortir pour aller me chercher du McDo ou du Ashton, y'a rien qui m'en empêche, pas plus que le jeune qui veut sortir le midi.
Si on nous disait que dorénavant les garderies en milieu familial ou en milieu scolaire vont faire manger les petits avec des hot-dogs et des poutines, on dirait quoi?.. Et pourtant, on est bien d'accord qu'ils mangent équilibré et eux, ils ne peuvent sortir pour aller manger au resto... Pourquoi on ne pourrait pas faire ce choix pour les jeunes du secondaire si on le fait pour les travailleurs et les petits?
Si on fait toujours les choix pour l'autre, quand en arrivera-t-il à faire les siens, à développer sa capacité de discernement, à être responsable de ses choix et de ses actes? Il me semble qu'on n'offre pas tous les midis de la poutine au menu ou des hot dogs... On ne se rend pas tous les midis manger du McDo ou chez Valentine. C'est là-dedans qu'on est pris... Que tu manges des hot dogs une fois semaine, est-ce qu'il y a un mal à ça? Que tu bouffes une poutine une fois la semaine, est-ce si contre-indiqué?
Il me semble que nous voulions tomber dans la pureté à tout prix et tout à l'heure tu vas avoir des manifestations d'organiser par des « freaks da la bonnebouffe » pour que le St-Hub ou le McDo ou le Valentine qui avoisine un lieu scolaire soit démoli... --Message edité par Beppo le 2007-09-23 10:18:01--
Moi au bureau, y'a un traiteur qui vient le midi et qui n'offre que des choix-santé, des soupes maison etc.. Je ne trouve pas ça brimant du tout et si l'envie me prend de sortir pour aller me chercher du McDo ou du Ashton, y'a rien qui m'en empêche, pas plus que le jeune qui veut sortir le midi.
Si on nous disait que dorénavant les garderies en milieu familial ou en milieu scolaire vont faire manger les petits avec des hot-dogs et des poutines, on dirait quoi?.. Et pourtant, on est bien d'accord qu'ils mangent équilibré et eux, ils ne peuvent sortir pour aller manger au resto... Pourquoi on ne pourrait pas faire ce choix pour les jeunes du secondaire si on le fait pour les travailleurs et les petits?
Si on fait toujours les choix pour l'autre, quand en arrivera-t-il à faire les siens, à développer sa capacité de discernement, à être responsable de ses choix et de ses actes? Il me semble qu'on n'offre pas tous les midis de la poutine au menu ou des hot dogs... On ne se rend pas tous les midis manger du McDo ou chez Valentine. C'est là-dedans qu'on est pris... Que tu manges des hot dogs une fois semaine, est-ce qu'il y a un mal à ça? Que tu bouffes une poutine une fois la semaine, est-ce si contre-indiqué?
Il me semble que nous voulions tomber dans la pureté à tout prix et tout à l'heure tu vas avoir des manifestations d'organiser par des « freaks da la bonnebouffe » pour que le St-Hub ou le McDo ou le Valentine qui avoisine un lieu scolaire soit démoli... --Message edité par Beppo le 2007-09-23 10:18:01--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
J'ai bien de la misère à discuter si tu juges que je suis freak de la bonne bouffe...
J'ai mon opinion, et si tu dois me faire taire en me donnant des épithètes pas trop gentille, je vais me taire c'est tout...
Ce n'est vraiment pas l'idée que je me fais d'un échange d'opinions poli...
Ça doit faire 3 ou 4 fois que je ne crois pas qu'on doive l'interdire, mais bien d'aider les jeunes à prendre leur vie en main. Tu n'es pas d'accord, c'est ton droit.
Ceci dit, je vais me retirer bien sagement de ce débat.
J'ai mon opinion, et si tu dois me faire taire en me donnant des épithètes pas trop gentille, je vais me taire c'est tout...
Ce n'est vraiment pas l'idée que je me fais d'un échange d'opinions poli...
Ça doit faire 3 ou 4 fois que je ne crois pas qu'on doive l'interdire, mais bien d'aider les jeunes à prendre leur vie en main. Tu n'es pas d'accord, c'est ton droit.
Ceci dit, je vais me retirer bien sagement de ce débat.
Nikki. a écritJ'ai bien de la misère à discuter si tu juges que je suis freak de la bonne bouffe...
J'ai mon opinion, et si tu dois me faire taire en me donnant des épithètes pas trop gentille, je vais me taire c'est tout...
Ce n'est vraiment pas l'idée que je me fais d'un échange d'opinions poli...
Ça doit faire 3 ou 4 fois que je ne crois pas qu'on doive l'interdire, mais bien d'aider les jeunes à prendre leur vie en main. Tu n'es pas d'accord, c'est ton droit.
Ceci dit, je vais me retirer bien sagement de ce débat.
Je suis désolé si tu t'attribues ce titre qui ne peut t'être destiné puisque je ne te connais pas... Il fait partie de ma réponse et de ma discussion que je tente de placer à un niveau plus général. De me servir de ton message pour répondre ou m'insérer dans la conversation, ne fais pas de toi spécifiquement le sujet de ma réponse.
Je ne comprends vraiment pas en quoi je veuille te faire taire et je crois que dans l'avenir j'éviterai de me servir d'un de tes messages pour répondre. Si ma mémoire est bonne ( et je l'écris sous toute réserve ), je crois que ce n'est pas la première fois où l'une de mes réponses amène une telle réaction de ta part.
Et quant à la politesse ou le respect, je ne crois pas avoir de leçon à recevoir. Je me fais toujours un devoir de répondre en prenant bien soin de choisir mes mots et de porter une attention bien particulière à ne pas blesser car je sais pertinemment que derrière le clavier, une personne est là...
Je suis désolé que tu sois blessée par mon propos et je m'en excuse mais je tiens à préciser que ma réponse s'inscrivait dans un ordre beaucoup plus large qui dépassait le sens de ton message. --Message edité par Beppo le 2007-09-23 10:59:13--
J'ai mon opinion, et si tu dois me faire taire en me donnant des épithètes pas trop gentille, je vais me taire c'est tout...
Ce n'est vraiment pas l'idée que je me fais d'un échange d'opinions poli...
Ça doit faire 3 ou 4 fois que je ne crois pas qu'on doive l'interdire, mais bien d'aider les jeunes à prendre leur vie en main. Tu n'es pas d'accord, c'est ton droit.
Ceci dit, je vais me retirer bien sagement de ce débat.
Je suis désolé si tu t'attribues ce titre qui ne peut t'être destiné puisque je ne te connais pas... Il fait partie de ma réponse et de ma discussion que je tente de placer à un niveau plus général. De me servir de ton message pour répondre ou m'insérer dans la conversation, ne fais pas de toi spécifiquement le sujet de ma réponse.
Je ne comprends vraiment pas en quoi je veuille te faire taire et je crois que dans l'avenir j'éviterai de me servir d'un de tes messages pour répondre. Si ma mémoire est bonne ( et je l'écris sous toute réserve ), je crois que ce n'est pas la première fois où l'une de mes réponses amène une telle réaction de ta part.
Et quant à la politesse ou le respect, je ne crois pas avoir de leçon à recevoir. Je me fais toujours un devoir de répondre en prenant bien soin de choisir mes mots et de porter une attention bien particulière à ne pas blesser car je sais pertinemment que derrière le clavier, une personne est là...
Je suis désolé que tu sois blessée par mon propos et je m'en excuse mais je tiens à préciser que ma réponse s'inscrivait dans un ordre beaucoup plus large qui dépassait le sens de ton message. --Message edité par Beppo le 2007-09-23 10:59:13--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»