Témoins de Jéhovah :
Rénatane a écrit
Bien sur que si l'enfant a besoin d'isuline parcequ'il est diabétique sévère.....ce n'est pas aux parents de décider si c'est bon ou pas pour leurs enfants..
Y a des limites ....
je ne parlait pas d'insuline mais de régime forcé...
mais de toute façon ce bout là me fait bien peur...ce n'est pas aux parents de décider si c'est bon ou pas pour leurs enfants... ça c'est une grande porte a mon sens... --Message edité par Ti-radis le 2006-09-04 13:15:27--
Bien sur que si l'enfant a besoin d'isuline parcequ'il est diabétique sévère.....ce n'est pas aux parents de décider si c'est bon ou pas pour leurs enfants..
Y a des limites ....
je ne parlait pas d'insuline mais de régime forcé...
mais de toute façon ce bout là me fait bien peur...ce n'est pas aux parents de décider si c'est bon ou pas pour leurs enfants... ça c'est une grande porte a mon sens... --Message edité par Ti-radis le 2006-09-04 13:15:27--
tipet a écritMa soeur a un enfant avec un déficit d'attention assez sévère. Quand il a commencé l'école, il était un véritable calvaire pour l'enseignante. Ma soeur a passé je ne sais plus combien d'heure avec le directeur, l'intervenante de l'école, l'infirmière ect...Tout le monde, je dis bien TOUT le monde scolaire, y compris le médecin de mon neveu, disait à ma soeur, que la seule façon pour son fils de vivre une vie normale, c'était de prendre une médication.
Pour ma soeur et son mari, c'était hors de question, carrément. Ma soeur s'est battu bec et ongles pour qu'on ne l'oblige pas à donner un traitement à son fils. Elle a travaillé fort, et avec l'aide d'une psycho-éducatrice et d'une travailleuse sociale du CLSC, elle a réussi à force d'amour, de bataille et de courage à "contrôler" son fils. Avec des techniques expérimentales, une diète spéciale (il semblerait que l'alimentation ait à voir avec les déficits d'attention) et un suivi serré avec la psycho, son fils est maintenant dans une classe régulière. Il a 10 ans et c'est un enfant charmant, il a certes certains problèmes de comportement encore, mais rien qui puisse lui causer un problème plus grave qu'à n'importe quel enfant.
Pourtant, le médecin se retenait quasiment de traiter ma soeur d'idiote quand elle lui parlait de ses trucs et de sa diète. Subtilement il lui disait que c'était des chimères de croire ça et il essayait de lui expliquer avec des termes médicaux gros comme le bras que son fils ne s'en sortirait jamais sans médication, qu'elle n'était pas correcte de ne pas lui donner la chance de vivre une enfance "normale" ect...
O.K la comparaison avec le cas de la jeune fille témoin de Jéhovah est boiteuse, mais c'est juste pour dire que oui, quelques fois, la médecine n'a pas toujours raison... exactement, comment ta soeur se serait sentie si le législateur l'aurait OBLIGÉ à médicamenter son fils... --Message edité par Ti-radis le 2006-09-04 13:15:56--
Pour ma soeur et son mari, c'était hors de question, carrément. Ma soeur s'est battu bec et ongles pour qu'on ne l'oblige pas à donner un traitement à son fils. Elle a travaillé fort, et avec l'aide d'une psycho-éducatrice et d'une travailleuse sociale du CLSC, elle a réussi à force d'amour, de bataille et de courage à "contrôler" son fils. Avec des techniques expérimentales, une diète spéciale (il semblerait que l'alimentation ait à voir avec les déficits d'attention) et un suivi serré avec la psycho, son fils est maintenant dans une classe régulière. Il a 10 ans et c'est un enfant charmant, il a certes certains problèmes de comportement encore, mais rien qui puisse lui causer un problème plus grave qu'à n'importe quel enfant.
Pourtant, le médecin se retenait quasiment de traiter ma soeur d'idiote quand elle lui parlait de ses trucs et de sa diète. Subtilement il lui disait que c'était des chimères de croire ça et il essayait de lui expliquer avec des termes médicaux gros comme le bras que son fils ne s'en sortirait jamais sans médication, qu'elle n'était pas correcte de ne pas lui donner la chance de vivre une enfance "normale" ect...
O.K la comparaison avec le cas de la jeune fille témoin de Jéhovah est boiteuse, mais c'est juste pour dire que oui, quelques fois, la médecine n'a pas toujours raison... exactement, comment ta soeur se serait sentie si le législateur l'aurait OBLIGÉ à médicamenter son fils... --Message edité par Ti-radis le 2006-09-04 13:15:56--
Ti-radis a écrit ça Tuberale c'est le coeur du débat
Lorsque le législateur prend une décision c'est toujours basée sur un système de pensée, maintenant beaucoup de gens ne veulent plus que cela repose sur des bases religieuses, d'autres voudront que cela reposent sur des bases religieuses, en démocratie, c'est généralement la majorité qui l'emporte...
ce n'est pas le coeur du débat....car devant une société où se pratique autant de préceptes religieux qu'ici......on ne peut que choisir de les soustraire comme application des lois...je le répète, elles se contredisent toutes....alors quasi impensable d,arriver à un concensus....ce n,est pas affaire de majorité d'une de ceux là sur les autres......car quelqu,elle soit elle va aller à l,encontre de celles de d,autres.....et tout le monde a des droits égaux...on ne peut plus se baser sur les religions.....il y en a trop......faut donc que le débat social en soit un plus large que ça....
et si on redonnait pouvoir aux parents de faire ce qu'ils veulent de leurs enfants.......les pédo n,auraient qu'à se partir une religion qui préconise l'utilisation du corps de leurs enfants.......et alors.......pffffffff.....pourquoi faire des lois si la religion des parents leur permet de décider pour les mineurs.......je répète....."mineurs"......
Lorsque le législateur prend une décision c'est toujours basée sur un système de pensée, maintenant beaucoup de gens ne veulent plus que cela repose sur des bases religieuses, d'autres voudront que cela reposent sur des bases religieuses, en démocratie, c'est généralement la majorité qui l'emporte...
ce n'est pas le coeur du débat....car devant une société où se pratique autant de préceptes religieux qu'ici......on ne peut que choisir de les soustraire comme application des lois...je le répète, elles se contredisent toutes....alors quasi impensable d,arriver à un concensus....ce n,est pas affaire de majorité d'une de ceux là sur les autres......car quelqu,elle soit elle va aller à l,encontre de celles de d,autres.....et tout le monde a des droits égaux...on ne peut plus se baser sur les religions.....il y en a trop......faut donc que le débat social en soit un plus large que ça....
et si on redonnait pouvoir aux parents de faire ce qu'ils veulent de leurs enfants.......les pédo n,auraient qu'à se partir une religion qui préconise l'utilisation du corps de leurs enfants.......et alors.......pffffffff.....pourquoi faire des lois si la religion des parents leur permet de décider pour les mineurs.......je répète....."mineurs"......
Ce questionnement est parfaitement applicable au cas des trèes grands prématurés...
Qui décidera de quelles opérations sont humainement acceptables et quelles ne le sont pas ? le médecin toujours prêt à en faire plus, les parents qui devront vivre avec l'enfant, le comité d'éthique, le législateur ? Il ya tellement de facteur, l'acharnement du médecin, la détresse des parents, la douleur du bébé, son espérence de vie, etc...
''Quand il faut décider de la vie ou de la mort d’un enfant, le choix revient aux parents et non à un conseil d’éthique. Ce qui est médicalement possible n’est pas toujours souhaitable et, dans le milieu médical, le débat fait rage sur ce qu’il est convenu d’appeler froidement la «limite de viabilité».
Quand Apostolos Papageorgiou a commencé sa carrière à l’Hôpital général juif, il était inconcevable qu’un prématuré de 23 semaines survive. Maintenant, beaucoup se demandent s’il est possible de descendre encore plus bas. «Nous avons atteint la limite, du moins en termes de nombre de semaines, croit le Dr Papageorgiou. Ce dont nous devons maintenant nous préoccuper, c’est de la future qualité de vie des bébés qui survivent.»
C’est également l’avis de Margaret Somerville, directrice et fondatrice du Centre de médecine, d’éthique et de droit de l’Université McGill: «Il faut veiller à ne pas utiliser à l’excès les capacités «héroïques» de la médecine moderne. Il existe des limites et il faut les reconnaître. » Autrement dit, quand faut-il abandonner la lutte? A partir de quand la souffrance est-elle inacceptable? «Parfois, un bébé nous demande de le laisser partir, pense Marie-Josée Bourassa. Sur le plan médical, on pourrait encore continuer à se battre, mais ce n’est pas une raison suffisante. C’est une décision difficile pour les parents.»
http://www.selection.ca/mag/2004/03/plume.html
Qui décidera de quelles opérations sont humainement acceptables et quelles ne le sont pas ? le médecin toujours prêt à en faire plus, les parents qui devront vivre avec l'enfant, le comité d'éthique, le législateur ? Il ya tellement de facteur, l'acharnement du médecin, la détresse des parents, la douleur du bébé, son espérence de vie, etc...
''Quand il faut décider de la vie ou de la mort d’un enfant, le choix revient aux parents et non à un conseil d’éthique. Ce qui est médicalement possible n’est pas toujours souhaitable et, dans le milieu médical, le débat fait rage sur ce qu’il est convenu d’appeler froidement la «limite de viabilité».
Quand Apostolos Papageorgiou a commencé sa carrière à l’Hôpital général juif, il était inconcevable qu’un prématuré de 23 semaines survive. Maintenant, beaucoup se demandent s’il est possible de descendre encore plus bas. «Nous avons atteint la limite, du moins en termes de nombre de semaines, croit le Dr Papageorgiou. Ce dont nous devons maintenant nous préoccuper, c’est de la future qualité de vie des bébés qui survivent.»
C’est également l’avis de Margaret Somerville, directrice et fondatrice du Centre de médecine, d’éthique et de droit de l’Université McGill: «Il faut veiller à ne pas utiliser à l’excès les capacités «héroïques» de la médecine moderne. Il existe des limites et il faut les reconnaître. » Autrement dit, quand faut-il abandonner la lutte? A partir de quand la souffrance est-elle inacceptable? «Parfois, un bébé nous demande de le laisser partir, pense Marie-Josée Bourassa. Sur le plan médical, on pourrait encore continuer à se battre, mais ce n’est pas une raison suffisante. C’est une décision difficile pour les parents.»
http://www.selection.ca/mag/2004/03/plume.html
Ti-radis a écrit je répète ma question pourquoi ne pas se demander dans le cas d'un avortement la jeune fille ne subirait pas également un lavage de cerveau de ses parents ou de son entourage ? Je connais personnellement deux mère de mon entourage qui ont déclarer devant moi que leurs filles de 15 ans si elles tombaient enceintes ne garderaient JAMAIS le bébé... pourquoi parce que Témoins de Jéhova ou musulmans ou autres ils seraient automatiquement des parents abusifs ? n'est pas pas un préjugé ça ?
Cibole, Ti-Radis, décroche un peu...avec ton histoire d'avortement. Pleins de mères disent cela en fait, jusqu'à ce qu'elles soient mises devant le fait accompli et quand elles apprennent que leur propre fille est enceinte, souvent, elles ne disent plus la même chose.
Est-ce que l'avortement ou pas avortement l'empêcherait de la sauver????? Est-ce que le fait qu'elle se fasse avorter ou non l'empêchera de vivre par la suite??? L'avortement, est une décision personnelle, j'en conviens tout à fait.
Nous parlons ici d'une maladie grave qui peut lui permettre d'être sauvée, a t'on le droit, que nous soyons des témoins de Jéovah ou autre, de refuser, en temps que parent, que notre fille reçoive des soins adéquats, parce que nous savons tous, que la maladie dont est atteinte cette jeune fille, si elle n'est pas soignée, résultera de complications très sévères par la suite.
Cibole, Ti-Radis, décroche un peu...avec ton histoire d'avortement. Pleins de mères disent cela en fait, jusqu'à ce qu'elles soient mises devant le fait accompli et quand elles apprennent que leur propre fille est enceinte, souvent, elles ne disent plus la même chose.
Est-ce que l'avortement ou pas avortement l'empêcherait de la sauver????? Est-ce que le fait qu'elle se fasse avorter ou non l'empêchera de vivre par la suite??? L'avortement, est une décision personnelle, j'en conviens tout à fait.
Nous parlons ici d'une maladie grave qui peut lui permettre d'être sauvée, a t'on le droit, que nous soyons des témoins de Jéovah ou autre, de refuser, en temps que parent, que notre fille reçoive des soins adéquats, parce que nous savons tous, que la maladie dont est atteinte cette jeune fille, si elle n'est pas soignée, résultera de complications très sévères par la suite.
tuberale a écrit
ce n'est pas le coeur du débat....car devant une société où se pratique autant de préceptes religieux qu'ici......on ne peut que choisir de les soustraire comme application des lois...je le répète, elles se contredisent toutes....alors quasi impensable d,arriver à un concensus....ce n,est pas affaire de majorité d'une de ceux là sur les autres......car quelqu,elle soit elle va aller à l,encontre de celles de d,autres.....et tout le monde a des droits égaux...on ne peut plus se baser sur les religions.....il y en a trop......faut donc que le débat social en soit un plus large que ça....
je pense que tu ne comprends pas bien ce que je veux dire... personnellement je pense qu'un système de loi repose TOUJOURS sur une certaine philosophie, que cette philosophie porte une étiquette religieuse ou non, si elle n,est pas religieuse elle est matérialiste (dans le sens philosophie matérialiste a ne pas confondre avec commerciale) ou autre.
Je veux dire que ceux qui font les lois se reposent sur leur conscience du bien et du mal, donc sur leur philosophie, s'ils sont juges. Et les juges peuvent être plus d'un côté ou plus d'un autre, selon le parti qui fait la nomination des juges a la cours suprème... et le parti qui fait des nominations c'est celui qui a le plus élu de députés et les députés sont élus à la majorité des voteurs et les voteurs ils se basent sur leur philosophie de vie. Si tu as une majorité de communistes dans un pays, tu vas avoir un pays qui va se voter des lois basées sur la socialisation des biens publiques, sur l'athéisme, etc.
Bref, s'il y a plus d'électeurs musulmane on aura naturellement des lois à tendance religieuse, c'est logique, c'est d'ailleurs le fait que les gens étaient moins croyants qui a fait en sorte que le Québec évolue vers un état laîque, puisque les lois doivent être le reflet de la pensée du peuple et non les lois former la pensée du peuple.
très intéressant ce débat
p.s pour ceux qui s'inquiète... je n'ai pas refusé de transfusion a mes enfants
ce n'est pas le coeur du débat....car devant une société où se pratique autant de préceptes religieux qu'ici......on ne peut que choisir de les soustraire comme application des lois...je le répète, elles se contredisent toutes....alors quasi impensable d,arriver à un concensus....ce n,est pas affaire de majorité d'une de ceux là sur les autres......car quelqu,elle soit elle va aller à l,encontre de celles de d,autres.....et tout le monde a des droits égaux...on ne peut plus se baser sur les religions.....il y en a trop......faut donc que le débat social en soit un plus large que ça....
je pense que tu ne comprends pas bien ce que je veux dire... personnellement je pense qu'un système de loi repose TOUJOURS sur une certaine philosophie, que cette philosophie porte une étiquette religieuse ou non, si elle n,est pas religieuse elle est matérialiste (dans le sens philosophie matérialiste a ne pas confondre avec commerciale) ou autre.
Je veux dire que ceux qui font les lois se reposent sur leur conscience du bien et du mal, donc sur leur philosophie, s'ils sont juges. Et les juges peuvent être plus d'un côté ou plus d'un autre, selon le parti qui fait la nomination des juges a la cours suprème... et le parti qui fait des nominations c'est celui qui a le plus élu de députés et les députés sont élus à la majorité des voteurs et les voteurs ils se basent sur leur philosophie de vie. Si tu as une majorité de communistes dans un pays, tu vas avoir un pays qui va se voter des lois basées sur la socialisation des biens publiques, sur l'athéisme, etc.
Bref, s'il y a plus d'électeurs musulmane on aura naturellement des lois à tendance religieuse, c'est logique, c'est d'ailleurs le fait que les gens étaient moins croyants qui a fait en sorte que le Québec évolue vers un état laîque, puisque les lois doivent être le reflet de la pensée du peuple et non les lois former la pensée du peuple.
très intéressant ce débat
p.s pour ceux qui s'inquiète... je n'ai pas refusé de transfusion a mes enfants
Ti-radis a écritCe questionnement est parfaitement applicable au cas des trèes grands prématurés...
Qui décidera de quelles opérations sont humainement acceptables et quelles ne le sont pas ? le médecin toujours prêt à en faire plus, les parents qui devront vivre avec l'enfant, le comité d'éthique, le législateur ? Il ya tellement de facteur, l'acharnement du médecin, la détresse des parents, la douleur du bébé, son espérence de vie, etc...
''Quand il faut décider de la vie ou de la mort d’un enfant, le choix revient aux parents et non à un conseil d’éthique. Ce qui est médicalement possible n’est pas toujours souhaitable et, dans le milieu médical, le débat fait rage sur ce qu’il est convenu d’appeler froidement la «limite de viabilité».
Quand Apostolos Papageorgiou a commencé sa carrière à l’Hôpital général juif, il était inconcevable qu’un prématuré de 23 semaines survive. Maintenant, beaucoup se demandent s’il est possible de descendre encore plus bas. «Nous avons atteint la limite, du moins en termes de nombre de semaines, croit le Dr Papageorgiou. Ce dont nous devons maintenant nous préoccuper, c’est de la future qualité de vie des bébés qui survivent.»
C’est également l’avis de Margaret Somerville, directrice et fondatrice du Centre de médecine, d’éthique et de droit de l’Université McGill: «Il faut veiller à ne pas utiliser à l’excès les capacités «héroïques» de la médecine moderne. Il existe des limites et il faut les reconnaître. » Autrement dit, quand faut-il abandonner la lutte? A partir de quand la souffrance est-elle inacceptable? «Parfois, un bébé nous demande de le laisser partir, pense Marie-Josée Bourassa. Sur le plan médical, on pourrait encore continuer à se battre, mais ce n’est pas une raison suffisante. C’est une décision difficile pour les parents.»
http://www.selection.ca/mag/2004/03/plume.html
Bizarrement quand je lis ce texte, je me dis que ça rejoint pas mal les arguments des pro-choix.
Qui décidera de quelles opérations sont humainement acceptables et quelles ne le sont pas ? le médecin toujours prêt à en faire plus, les parents qui devront vivre avec l'enfant, le comité d'éthique, le législateur ? Il ya tellement de facteur, l'acharnement du médecin, la détresse des parents, la douleur du bébé, son espérence de vie, etc...
''Quand il faut décider de la vie ou de la mort d’un enfant, le choix revient aux parents et non à un conseil d’éthique. Ce qui est médicalement possible n’est pas toujours souhaitable et, dans le milieu médical, le débat fait rage sur ce qu’il est convenu d’appeler froidement la «limite de viabilité».
Quand Apostolos Papageorgiou a commencé sa carrière à l’Hôpital général juif, il était inconcevable qu’un prématuré de 23 semaines survive. Maintenant, beaucoup se demandent s’il est possible de descendre encore plus bas. «Nous avons atteint la limite, du moins en termes de nombre de semaines, croit le Dr Papageorgiou. Ce dont nous devons maintenant nous préoccuper, c’est de la future qualité de vie des bébés qui survivent.»
C’est également l’avis de Margaret Somerville, directrice et fondatrice du Centre de médecine, d’éthique et de droit de l’Université McGill: «Il faut veiller à ne pas utiliser à l’excès les capacités «héroïques» de la médecine moderne. Il existe des limites et il faut les reconnaître. » Autrement dit, quand faut-il abandonner la lutte? A partir de quand la souffrance est-elle inacceptable? «Parfois, un bébé nous demande de le laisser partir, pense Marie-Josée Bourassa. Sur le plan médical, on pourrait encore continuer à se battre, mais ce n’est pas une raison suffisante. C’est une décision difficile pour les parents.»
http://www.selection.ca/mag/2004/03/plume.html
Bizarrement quand je lis ce texte, je me dis que ça rejoint pas mal les arguments des pro-choix.
- Thewinneris
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5728
- Inscription : mer. avr. 02, 2003 1:00 am
Je trouves que les parents sont en droit de refuser des traitements à leur enfants si le traitement ne guérie pas et restrain la qualité de vie ou si les parents veulent tenter d'autres solutions qui sont moins drastiques comme pour le cas des enfants hyper-actif. Je trouves qu'ils sont en droit de choisir la façon de traiter.
Mais si le traitement à pour résultat de sauvé la vie ou guérir c'est à la médcine de tancher.
Ceci n'est que mon opinion.
Mais si le traitement à pour résultat de sauvé la vie ou guérir c'est à la médcine de tancher.
Ceci n'est que mon opinion.
Thewinneris a écritJe trouves que les parents sont en droit de refuser des traitements à leur enfants si le traitement ne guérie pas et restrain la qualité de vie ou si les parents veulent tenter d'autres solutions qui sont moins drastiques comme pour le cas des enfants hyper-actif. Je trouves qu'ils sont en droit de choisir la façon de traiter.
Mais si le traitement à pour résultat de sauvé la vie ou guérir c'est à la médcine de tancher.
Ceci n'est que mon opinion. Je suis d'accord avec toi... moi ce qui me confonds c'est le double discours qu'on tient sur les religions. Le petit qui a voulu porter son kirpa a été en cour pour pouvoir le faire, il y a aussi eu les procès pour le port du voile et le monsieur de la GRC qui voulait porter son turban avec l'uniforme... on a peur des terroristes musulmans et on se dit qu'il faut des balises pour se protéger, on regarde les libanais du Québec de travers quand un attentat a été commis par une des leurs et on se dit qu'il faut vraiment se protéger de tout ça... on a sorti les croix des écoles et on se demande si on peut encore faire un sapin de Noël. Ok je veux bien essayer de suivre...
Mais quand un parent se présente à l'hôpital avec un enfant, il faudrait juste dire: Ha ok vous êtes de telle religion... on vous respecte alors on va faire tout ce que vous allez nous dire. Vous voulez pas de traitement pour l'enfant parce que ça heurte votre religion, c'est ok...
Je sais pas, je suis perdue dans tout ça moi là, alors je ne sais pas trop quoi répondre finalement
--Message edité par Dove* le 2006-09-04 14:48:34--
Mais si le traitement à pour résultat de sauvé la vie ou guérir c'est à la médcine de tancher.
Ceci n'est que mon opinion. Je suis d'accord avec toi... moi ce qui me confonds c'est le double discours qu'on tient sur les religions. Le petit qui a voulu porter son kirpa a été en cour pour pouvoir le faire, il y a aussi eu les procès pour le port du voile et le monsieur de la GRC qui voulait porter son turban avec l'uniforme... on a peur des terroristes musulmans et on se dit qu'il faut des balises pour se protéger, on regarde les libanais du Québec de travers quand un attentat a été commis par une des leurs et on se dit qu'il faut vraiment se protéger de tout ça... on a sorti les croix des écoles et on se demande si on peut encore faire un sapin de Noël. Ok je veux bien essayer de suivre...
Mais quand un parent se présente à l'hôpital avec un enfant, il faudrait juste dire: Ha ok vous êtes de telle religion... on vous respecte alors on va faire tout ce que vous allez nous dire. Vous voulez pas de traitement pour l'enfant parce que ça heurte votre religion, c'est ok...
Je sais pas, je suis perdue dans tout ça moi là, alors je ne sais pas trop quoi répondre finalement
--Message edité par Dove* le 2006-09-04 14:48:34--
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Rénatane a écrit
Pas d'accord.....Surtout quand c'est une question de vie ou de mort....
Il y a eu un cas vla un mois d'un petit garçon qui avait un cancer dans l'os de son bras....et a chaque rendez-vous , le père refusait l'opération , disant qu'il doutait du traitement...,jusqu'au dernier rendez-vous ou le père a réfusé définitivement l'opération pour un traitement biologique avec des aliments naturels....
Tous les experts en orthopédie se sont rencontrer pour décider que l'opération était la seule chance de survie de cet enfant...
Et bien , ils ont mis la DPJ dans le dossier et le père n'a eu d'autre choix de reconduire sont fils a l'hopital sinon c'est la police qui le ferait......
L'enfant a aussi le droit d'être protègé....
Mais avait-il plus ou moins de 14 ans, cet enfant?
Cette jeune fille a 15 ans. Moi aussi ça m'attriste de voir qu'elle refuse les transfusions sanguines, mais j'ai aussi un problème avec le fait de lui imposer cela.
Au fait, ce qui dit la loi au Québec: Droit des 14-18 ans aux soins médicaux et à la confidentialité . Voici le principal:
Citation :
Toute personne âgée de 14 ans et plus peut requérir des traitements ou soins médicaux de façon autonome et avoir droit à la confidentialité.
SOINS
Le mineur âgé de 14 ans ou plus peut consentir seul, sans l'autorisation de ses parents, aux soins requis ou non par son état de santé (ex.: transfusion sanguine, prescrïptions d'anovulants, traitement préventif d'immunisation, avortement thérapeutique, etc.).
URGENCE
Le consentement aux soins médicaux habituellement requis n'est pas nécessaire lorsque la vie de la personne est en danger ou que son intégrité est menacée et que ce consentement ne peut être obtenu en temps utile.
REFUS DU MINEUR À RECEVOIR DES SOINS NÉCESSAIRES À SA SANTÉ
Lorsque le mineur refuse de recevoir les soins qui seraient nécessaires à sa santé, il faut l'autorisation du tribunal pour passer outre à son refus. En cas d'urgence, si la vie de l'enfant est en danger ou qu'il risque de perdre ou de détériorer gravement sa santé ou une partie de son corps, le consentement de l'un ou l'autre des parents ou de son tuteur suffira.
S'il n'y a pas d'urgence et que le jeune refuse de recevoir certains soins médicaux, ses parents doivent obtenir l'autorisation d'un tribunal s'ils veulent que ces soins lui soient administrés contre son gré.
Je ne pense pas que Ti-radis soit hors débat avec la question de l'avortement, car c'est aussi un exemple de soins médicaux où la question des croyances entre en jeu. Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de points de comparaison possibles.
Pas d'accord.....Surtout quand c'est une question de vie ou de mort....
Il y a eu un cas vla un mois d'un petit garçon qui avait un cancer dans l'os de son bras....et a chaque rendez-vous , le père refusait l'opération , disant qu'il doutait du traitement...,jusqu'au dernier rendez-vous ou le père a réfusé définitivement l'opération pour un traitement biologique avec des aliments naturels....
Tous les experts en orthopédie se sont rencontrer pour décider que l'opération était la seule chance de survie de cet enfant...
Et bien , ils ont mis la DPJ dans le dossier et le père n'a eu d'autre choix de reconduire sont fils a l'hopital sinon c'est la police qui le ferait......
L'enfant a aussi le droit d'être protègé....
Mais avait-il plus ou moins de 14 ans, cet enfant?
Cette jeune fille a 15 ans. Moi aussi ça m'attriste de voir qu'elle refuse les transfusions sanguines, mais j'ai aussi un problème avec le fait de lui imposer cela.
Au fait, ce qui dit la loi au Québec: Droit des 14-18 ans aux soins médicaux et à la confidentialité . Voici le principal:
Citation :
Toute personne âgée de 14 ans et plus peut requérir des traitements ou soins médicaux de façon autonome et avoir droit à la confidentialité.
SOINS
Le mineur âgé de 14 ans ou plus peut consentir seul, sans l'autorisation de ses parents, aux soins requis ou non par son état de santé (ex.: transfusion sanguine, prescrïptions d'anovulants, traitement préventif d'immunisation, avortement thérapeutique, etc.).
URGENCE
Le consentement aux soins médicaux habituellement requis n'est pas nécessaire lorsque la vie de la personne est en danger ou que son intégrité est menacée et que ce consentement ne peut être obtenu en temps utile.
REFUS DU MINEUR À RECEVOIR DES SOINS NÉCESSAIRES À SA SANTÉ
Lorsque le mineur refuse de recevoir les soins qui seraient nécessaires à sa santé, il faut l'autorisation du tribunal pour passer outre à son refus. En cas d'urgence, si la vie de l'enfant est en danger ou qu'il risque de perdre ou de détériorer gravement sa santé ou une partie de son corps, le consentement de l'un ou l'autre des parents ou de son tuteur suffira.
S'il n'y a pas d'urgence et que le jeune refuse de recevoir certains soins médicaux, ses parents doivent obtenir l'autorisation d'un tribunal s'ils veulent que ces soins lui soient administrés contre son gré.
Je ne pense pas que Ti-radis soit hors débat avec la question de l'avortement, car c'est aussi un exemple de soins médicaux où la question des croyances entre en jeu. Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de points de comparaison possibles.
Boule à mites a écrit Mais avait-il plus ou moins de 14 ans, cet enfant?
Cette jeune fille a 15 ans. Moi aussi ça m'attriste de voir qu'elle refuse les transfusions sanguines, mais j'ai aussi un problème avec le fait de lui imposer cela.
Au fait, ce qui dit la loi au Québec: Droit des 14-18 ans aux soins médicaux et à la confidentialité . Voici le principal:
Citation :
Toute personne âgée de 14 ans et plus peut requérir des traitements ou soins médicaux de façon autonome et avoir droit à la confidentialité.
SOINS
Le mineur âgé de 14 ans ou plus peut consentir seul, sans l'autorisation de ses parents, aux soins requis ou non par son état de santé (ex.: transfusion sanguine, prescrïptions d'anovulants, traitement préventif d'immunisation, avortement thérapeutique, etc.).
URGENCE
Le consentement aux soins médicaux habituellement requis n'est pas nécessaire lorsque la vie de la personne est en danger ou que son intégrité est menacée et que ce consentement ne peut être obtenu en temps utile.
REFUS DU MINEUR À RECEVOIR DES SOINS NÉCESSAIRES À SA SANTÉ
Lorsque le mineur refuse de recevoir les soins qui seraient nécessaires à sa santé, il faut l'autorisation du tribunal pour passer outre à son refus. En cas d'urgence, si la vie de l'enfant est en danger ou qu'il risque de perdre ou de détériorer gravement sa santé ou une partie de son corps, le consentement de l'un ou l'autre des parents ou de son tuteur suffira.
S'il n'y a pas d'urgence et que le jeune refuse de recevoir certains soins médicaux, ses parents doivent obtenir l'autorisation d'un tribunal s'ils veulent que ces soins lui soient administrés contre son gré.
Je ne pense pas que Ti-radis soit hors débat avec la question de l'avortement, car c'est aussi un exemple de soins médicaux où la question des croyances entre en jeu. Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de points de comparaison possibles. Tu peux m'expliquer cette phrase? Pas vite vite moi... je ne la comprends pas...
Cette jeune fille a 15 ans. Moi aussi ça m'attriste de voir qu'elle refuse les transfusions sanguines, mais j'ai aussi un problème avec le fait de lui imposer cela.
Au fait, ce qui dit la loi au Québec: Droit des 14-18 ans aux soins médicaux et à la confidentialité . Voici le principal:
Citation :
Toute personne âgée de 14 ans et plus peut requérir des traitements ou soins médicaux de façon autonome et avoir droit à la confidentialité.
SOINS
Le mineur âgé de 14 ans ou plus peut consentir seul, sans l'autorisation de ses parents, aux soins requis ou non par son état de santé (ex.: transfusion sanguine, prescrïptions d'anovulants, traitement préventif d'immunisation, avortement thérapeutique, etc.).
URGENCE
Le consentement aux soins médicaux habituellement requis n'est pas nécessaire lorsque la vie de la personne est en danger ou que son intégrité est menacée et que ce consentement ne peut être obtenu en temps utile.
REFUS DU MINEUR À RECEVOIR DES SOINS NÉCESSAIRES À SA SANTÉ
Lorsque le mineur refuse de recevoir les soins qui seraient nécessaires à sa santé, il faut l'autorisation du tribunal pour passer outre à son refus. En cas d'urgence, si la vie de l'enfant est en danger ou qu'il risque de perdre ou de détériorer gravement sa santé ou une partie de son corps, le consentement de l'un ou l'autre des parents ou de son tuteur suffira.
S'il n'y a pas d'urgence et que le jeune refuse de recevoir certains soins médicaux, ses parents doivent obtenir l'autorisation d'un tribunal s'ils veulent que ces soins lui soient administrés contre son gré.
Je ne pense pas que Ti-radis soit hors débat avec la question de l'avortement, car c'est aussi un exemple de soins médicaux où la question des croyances entre en jeu. Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de points de comparaison possibles. Tu peux m'expliquer cette phrase? Pas vite vite moi... je ne la comprends pas...
Soleil47 a écrit
Cibole, Ti-Radis, décroche un peu...avec ton histoire d'avortement. Pleins de mères disent cela en fait, jusqu'à ce qu'elles soient mises devant le fait accompli et quand elles apprennent que leur propre fille est enceinte, souvent, elles ne disent plus la même chose.
Est-ce que l'avortement ou pas avortement l'empêcherait de la sauver????? Est-ce que le fait qu'elle se fasse avorter ou non l'empêchera de vivre par la suite??? L'avortement, est une décision personnelle, j'en conviens tout à fait.
Nous parlons ici d'une maladie grave qui peut lui permettre d'être sauvée, a t'on le droit, que nous soyons des témoins de Jéovah ou autre, de refuser, en temps que parent, que notre fille reçoive des soins adéquats, parce que nous savons tous, que la maladie dont est atteinte cette jeune fille, si elle n'est pas soignée, résultera de complications très sévères par la suite. on se calme, svp, je fais une analogie, ça permet d'élagir le débat, à moins que la seule chose que l'on puisse répondre sur ce débat est : que tous les Témoins de Jéhova(et par extension tout ceux qui s'opposent à la toute puissance de la médecine) sont des ignorants, des arrièrés, des manipulateurs ? --Message edité par Ti-radis le 2006-09-04 14:58:24--
Cibole, Ti-Radis, décroche un peu...avec ton histoire d'avortement. Pleins de mères disent cela en fait, jusqu'à ce qu'elles soient mises devant le fait accompli et quand elles apprennent que leur propre fille est enceinte, souvent, elles ne disent plus la même chose.
Est-ce que l'avortement ou pas avortement l'empêcherait de la sauver????? Est-ce que le fait qu'elle se fasse avorter ou non l'empêchera de vivre par la suite??? L'avortement, est une décision personnelle, j'en conviens tout à fait.
Nous parlons ici d'une maladie grave qui peut lui permettre d'être sauvée, a t'on le droit, que nous soyons des témoins de Jéovah ou autre, de refuser, en temps que parent, que notre fille reçoive des soins adéquats, parce que nous savons tous, que la maladie dont est atteinte cette jeune fille, si elle n'est pas soignée, résultera de complications très sévères par la suite. on se calme, svp, je fais une analogie, ça permet d'élagir le débat, à moins que la seule chose que l'on puisse répondre sur ce débat est : que tous les Témoins de Jéhova(et par extension tout ceux qui s'opposent à la toute puissance de la médecine) sont des ignorants, des arrièrés, des manipulateurs ? --Message edité par Ti-radis le 2006-09-04 14:58:24--
Dove* a écrit Je suis d'accord avec toi... moi ce qui me confonds c'est le double discours qu'on tient sur les religions. Le petit qui a voulu porter son kirpa a été en cour pour pouvoir le faire, il y a aussi eu les procès pour le port du voile et le monsieur de la GRC qui voulait porter son turban avec l'uniforme... on a peur des terroristes musulmans et on se dit qu'il faut des balises pour se protéger, on regarde les libanais du Québec de travers quand un attentat a été commis par une des leurs et on se dit qu'il faut vraiment se protéger de tout ça... on a sorti les croix des écoles et on se demande si on peut encore faire un sapin de Noël. Ok je veux bien essayer de suivre...
Mais quand un parent se présente à l'hôpital avec un enfant, il faudrait juste dire: Ha ok vous êtes de telle religion... on vous respecte alors on va faire tout ce que vous allez nous dire. Vous voulez pas de traitement pour l'enfant parce que ça heurte votre religion, c'est ok...
Je sais pas, je suis perdue dans tout ça moi là, alors je ne sais pas trop quoi répondre finalement
Je trouve aussi ça mêlant. On reproche la liberté religieuse dans certains cas, dans d'autres on l'accepte.
Mais quand un parent se présente à l'hôpital avec un enfant, il faudrait juste dire: Ha ok vous êtes de telle religion... on vous respecte alors on va faire tout ce que vous allez nous dire. Vous voulez pas de traitement pour l'enfant parce que ça heurte votre religion, c'est ok...
Je sais pas, je suis perdue dans tout ça moi là, alors je ne sais pas trop quoi répondre finalement
Je trouve aussi ça mêlant. On reproche la liberté religieuse dans certains cas, dans d'autres on l'accepte.
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Dove* a écrit Tu peux m'expliquer cette phrase? Pas vite vite moi... je ne la comprends pas...
Hmmm... je voulais dire, est-ce que c'est facile de trouver d'autres exemples similaires à celui-ci? Des exemples où la décision médicale à prendre est importante, et où la religion peut influencer la décision de la personne. Par exemple, je ne pense pas que la religion de qui que ce soit l'empêche de faire soigner une jambe cassée. En tout cas, je n'en ai jamais entendu parler.
Hmmm... je voulais dire, est-ce que c'est facile de trouver d'autres exemples similaires à celui-ci? Des exemples où la décision médicale à prendre est importante, et où la religion peut influencer la décision de la personne. Par exemple, je ne pense pas que la religion de qui que ce soit l'empêche de faire soigner une jambe cassée. En tout cas, je n'en ai jamais entendu parler.
jaskab a écrit
Je trouve aussi ça mêlant. On reproche la liberté religieuse dans certains cas, dans d'autres on l'accepte.
Je pense qu'ici, enfin pour ma part, c'ets plus une question d'accepter ou non un traitement médical. Que ce soit par convictions religieuses ou autres.
Pourquoi à l'hôpital ils font signer des refus de traitement lorsque les patients le demandent et que personne ne s'insurgent, mais dans ce cas-ci on s'indigne parce que c'est la religion qui est en cause.
Je trouve aussi ça mêlant. On reproche la liberté religieuse dans certains cas, dans d'autres on l'accepte.
Je pense qu'ici, enfin pour ma part, c'ets plus une question d'accepter ou non un traitement médical. Que ce soit par convictions religieuses ou autres.
Pourquoi à l'hôpital ils font signer des refus de traitement lorsque les patients le demandent et que personne ne s'insurgent, mais dans ce cas-ci on s'indigne parce que c'est la religion qui est en cause.
Boule à mites a écrit Hmmm... je voulais dire, est-ce que c'est facile de trouver d'autres exemples similaires à celui-ci? Des exemples où la décision médicale à prendre est importante, et où la religion peut influencer la décision de la personne. Par exemple, je ne pense pas que la religion de qui que ce soit l'empêche de faire soigner une jambe cassée. En tout cas, je n'en ai jamais entendu parler. Ha ok... merci d'éclairer ma lanterne
tipet a écrit
Je pense qu'ici, enfin pour ma part, c'ets plus une question d'accepter ou non un traitement médical. Que ce soit par convictions religieuses ou autres.
Pourquoi à l'hôpital ils font signer des refus de traitement lorsque les patients le demandent et que personne ne s'insurgent, mais dans ce cas-ci on s'indigne parce que c'est la religion qui est en cause.
Moi je dirais que c'est parce qu'entre refuser un traitement par conviction personnelle et le refuser pour ne pas blesser notre Dieu il y a une différence. Mais bon, c'est moi qui le voit comme ça...
Je pense qu'ici, enfin pour ma part, c'ets plus une question d'accepter ou non un traitement médical. Que ce soit par convictions religieuses ou autres.
Pourquoi à l'hôpital ils font signer des refus de traitement lorsque les patients le demandent et que personne ne s'insurgent, mais dans ce cas-ci on s'indigne parce que c'est la religion qui est en cause.
Moi je dirais que c'est parce qu'entre refuser un traitement par conviction personnelle et le refuser pour ne pas blesser notre Dieu il y a une différence. Mais bon, c'est moi qui le voit comme ça...
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
J'avoue que ma phrase était vraiment ratée!
Dove* et jaskab, pour votre questionnement, moi je me réfère à l'âge de l'enfant. En bas de 14 ans, je conçois qu'on puisse demander l'avis d'un tribunal, mais en haut de ça, c'est la décision de la personne.
Ne me demandez pas pourquoi 14 ans et pas 13 ou 15 ou 16 ou 18, je n'en ai aucune idée, mais je suppose qu'il faut trancher quelque part.
Dove* et jaskab, pour votre questionnement, moi je me réfère à l'âge de l'enfant. En bas de 14 ans, je conçois qu'on puisse demander l'avis d'un tribunal, mais en haut de ça, c'est la décision de la personne.
Ne me demandez pas pourquoi 14 ans et pas 13 ou 15 ou 16 ou 18, je n'en ai aucune idée, mais je suppose qu'il faut trancher quelque part.
Dove* a écrit Moi je dirais que c'est parce qu'entre refuser un traitement par conviction personnelle et le refuser pour ne pas blesser notre Dieu il y a une différence. Mais bon, c'est moi qui le voit comme ça...
Je le vois comme ça aussi, mais que peut-on y faire? Si la personne est convaincue du bien-fondé de sa "cause"...
Moi je me dis, si la personne a 14 ans et plus (l'âge du consentement médical) c'est juste son choix qu'on le trouve ridicule ou non.
Je le vois comme ça aussi, mais que peut-on y faire? Si la personne est convaincue du bien-fondé de sa "cause"...
Moi je me dis, si la personne a 14 ans et plus (l'âge du consentement médical) c'est juste son choix qu'on le trouve ridicule ou non.