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Publié : sam. juil. 30, 2005 12:41 pm
par Raven
praeteritum  a écritDans LE SOLEIL aujourd'hui.

J'aime bien la partie qui se lit:"On ne peut pas répéter nos erreurs éternellement. »

C'est un souhait pieux. Ils vont répéter leurs erreurs éternellement.



Qui ? Quand ? Quoi ? Comment ? Je ne comprend pas le lien entre l'affirmation et l'article que tu copie. Tu peut développer ton point de vue ?  

Publié : dim. juil. 31, 2005 5:43 am
par tuberale
Parti québécois

Louis Bernard dépose officiellement sa candidature





Un second candidat entre officiellement dans la course à la direction du Parti québécois.
Louis Bernard a déposé son bulletin de candidature, vendredi après-midi, à la permanence du PQ de Montréal.

Le bulletin de candidature de M. Bernard est appuyé par plus de 1000 membres en règle du PQ, provenant d'au moins 40 circonscrïptions électorales, avec un minimum de 10 signatures dans chacune de ces circonscrïptions.

Louis Bernard devient ainsi le deuxième candidat à présenter officiellement son bulletin de candidature. Le député Richard Legendre avait ouvert le bal le 11 juillet dernier.

Pauline Marois et André Boisclair devraient aussi remplir cette exigence assez facilement

Publié : lun. août 01, 2005 8:37 am
par Voyeur23
Louis Bernard

1er août 2005

Bonjour à toutes,
Bonjour à tous,

C’est maintenant officiel ! Mon bulletin de candidature, appuyé par plus de 1250 signatures réparties dans 105 circonscrïptions, a été vérifié et accepté par la présidente d’élection. Je suis donc officiellement dans la course.

Lors du dépôt de mon bulletin, mes premiers mots ont été pour remercier chaleureusement tous ceux d’entre vous qui avez bien voulu m’appuyer de vos signatures et de vos témoignages d’encouragement. Sans votre aide précieuse, je n’en serais pas là. Un merci tout spécial à ceux – et ils sont nombreux – qui se sont investis personnellement pour rejoindre d’autres membres et les faire signer, ou pour recruter de nouveaux membres.

J’entreprends donc avec vous une nouvelle étape : celle de convaincre une majorité de membres du Parti Québécois de me choisir comme leur prochain chef. Le départ très réussi de ma campagne me donne bon espoir de réussir.

Mon programme tient en quelques mots : je veux faire l’indépendance du Québec, et la faire rapidement et correctement, afin de bâtir ici un pays prospère et solidaire dont nous pourrons tous être fiers parce qu’il correspondra à nos valeurs.

Pour y arriver, j’inviterai les Québécois à répondre positivement, lors d’un référendum tenu tôt après la victoire électorale, à une question simple, claire et limpide. Et, une fois cette volonté clairement exprimée par les hommes et les femmes du Québec de se donner un pays bien à eux, je m’engage à y donner suite rapidement, mais en prenant le temps nécessaire pour en préparer soigneusement la mise en œuvre. Ainsi, lorsque l’indépendance sera déclarée, tout aura été mis en place pour que la transition se fasse correctement,  harmonieusement, en préservant les échanges et la monnaie.

Le pays que je veux construire avec vous, c’est celui qui est dessiné, à grands traits, dans  le programme adopté lors du dernier Congrès du Parti Québécois : un Québec qui crée de la richesse, mais qui se préoccupe également de savoir comment cette richesse sera partagée entre les individus et entre les régions. Un Québec fier de sa diversité, mais assuré de son caractère francophone. Un Québec respectueux de l’environnement, et qui conçoit son progrès dans une perspective de développement durable et soutenable. Et j’ajouterais : un Québec généreux envers les nations qui sont moins favorisées. En somme, un Québec solide, un Québec solidaire.

Soyons-en conscients : l’étape décisive est arrivée, celle du choix entre rester une province comme les autres ou devenir un pays souverain. Dans cette conjoncture historique, choisir le chef du PQ, c’est choisir la personne qui sera la mieux placée pour conduire le Québec à son indépendance. La personne qui, par son expérience, sa maturité, son leadership, saura gagner la confiance de la population. Car si les Québécois n’ont pas entièrement confiance dans la personne qui dirigera leurs destinées et les appellera à être pleinement responsables d’eux-mêmes, ils hésiteront à franchir le pas décisif qu’il leur reste à poser pour atteindre leur pleine maturité politique.

Pour ma part,  j’ai fait mes preuves et je sais que c’est un défi que je suis capable de relever.



 
ACTIVITÉS
1er août Association étudiante, Université McGill
9 août FEUQ
14 août Gatineau
15 août Joliette - Souper lors du tournoi de golf de Jonathan Valois --Message edité par voyeur23 le 2005-08-01 15:52:50--

Publié : lun. août 01, 2005 9:27 am
par tuberale
Voyeur, elle provient de qui cette lettre?...Louis Bernard ?

Publié : lun. août 01, 2005 9:50 am
par Voyeur23
tuberale  a écritVoyeur, elle provient de qui cette lettre?...Louis Bernard ?  


louis bernard  désolée
envoie automatique, a tout les membres,

je me suis aussi inscrit sur le mail liste --Message edité par voyeur23 le 2005-08-01 15:52:03--

Publié : mer. août 03, 2005 1:23 pm
par Oliver
Citation :PQ: André Boisclair dépose son bulletin de candidature

Mise à jour le mercredi 3 août 2005 à 16 h 36
.
André Boisclair est maintenant officiellement candidat à la succession de Bernard Landry.

André Boisclair présentant son dossier de candidature

M. Boisclair a déposé mercredi son bulletin de candidature, accompagné de 3720 signatures d'appui recueillies dans les 125 circonscrïptions du Québec.

Le règlement du Parti québécois exige 1000 signatures d'accompagnement.

Il devient ainsi le troisième candidat officiel à la succession de Bernard Landry, après Louis Bernard et Richard Legendre.

« Ici aujourd'hui, nous amorçons ensemble un parcours qui nous amènera à un référendum gagnant sur la souveraineté du Québec », a déclaré M. Boisclair, qui a profité de l'occasion pour appeler à un changement de génération à la tête de la formation souverainiste.

Après avoir déjà visité une dizaine de régions, le candidat entreprendra demain une deuxième tournée qui l'amènera dans toutes les régions du Québec.

12 candidats sont actuellement dans la course à la succession de Bernard Landry. Outre M. Boisclair, il s'agit de Louis Bernard, Hugues Cormier, Pierre Dubuc, Gilles Hébert, Ghislain Lebel, Laurent M. Leclerc, Richard Legendre, Pauline Marois, Jean Ouimet et Jean-Claude Saint-André.

Source : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Po ... n-rb.shtml

Publié : mer. août 03, 2005 1:49 pm
par Oliver
Citation :Le mercredi 03 août 2005

Parti québécois
André Boisclair se lance officiellement dans la course
Lia Lévesque
Presse Canadienne
Montréal

Même s'il veut promouvoir sur de nouvelles bases le projet souverainiste, dans une nouvelle réalité socio-politique et pour de nouvelles raisons, André Boisclair affirme que sa génération a besoin de ceux qui ont bâti le projet avant lui, comme les Bernard Landry, Jacques Parizeau et Lucien Bouchard.


L'ancien ministre André Boisclair est devenu le troisième candidat officiel dans la course à la direction du Parti québécois, mercredi, ayant rempli les conditions à cet effet.

Il a déposé son bulletin de mise en candidature aux bureaux du Parti Québécois à Montréal, accompagné de 3720 signatures de membres, et ce dans les 125 comtés du Québec.

L'ancien ministre Richard Legendre et le haut-fonctionnaire de carrière Louis Bernard l'ont précédé. L'ancienne ministre Pauline Marois n'est pas encore devenue candidate officiellement.

Pour devenir un candidat officiellement enregistré, un candidat doit, au moment du dépôt de son bulletin de mise en candidature, avoir obtenu au moins 1000 signatures de membres du PQ, provenant d'au moins 40 circonscrïptions, avec un minimum de 10 signatures dans chacune des circonscrïptions.

Landry

Interrogé par la presse à l'occasion de ce geste symbolique, M. Boisclair a évidemment dû aborder la question du retour possible du chef démissionnaire Bernard Landry, qui poserait ainsi sa candidature à sa propre succession.

M. Boisclair n'a pas dit clairement s'il souhaitait ou non que M. Landry se relance en politique active. «Le Québec a encore besoin de Bernard Landry. Le Québec a besoin de ses aînés. La génération qui pousse n'est pas là pour dire aux aînés ‘tassez-vous on prend toute la place'.» M. Landry a 68 ans et M. Boisclair 39.

M. Boisclair a expliqué que sa génération et celles des plus jeunes après lui veulent la souveraineté pour des motifs différents des générations précédentes et voient le Québec différemment, parce que le Québec de 2005 n'est plus celui de 1976.

Son discours puisait d'ailleurs dans la mondialisation, l'ouverture à l'immigration et le Protocole de Kyoto et moins dans les relations fédérales-provinciales, les échéanciers référendaires, la question ou le partenariat.

Il a comparé sa volonté de faire la souveraineté à la suite des Bernard Landry et Jacques Parizeau à celle d'un fils qui reçoit l'héritage de son père pour le pousser plus loin.

Jusqu'ici, pas moins de 12 candidats se sont montrés intéressés par la direction du Parti québécois. Seuls trois le sont devenus officiellement.

Les candidats intéressés ont jusqu'au 15 septembre à 17 h pour faire parvenir leur bulletin de mise en candidature à la présidente d'élection du Parti québécois.

Les membres du PQ éliront leur chef le 15 novembre.

Source : Cyberpresse.ca

Publié : mer. août 03, 2005 1:54 pm
par tuberale
Course au PQ: Landry maintient le suspense


Mise à jour le mercredi 3 août 2005 à 7 h 29




L'ancien chef du Parti québécois, Bernard Landry, songe toujours à se porter candidat à sa propre succession.

Dans une entrevue accordée à La Presse, mercredi, il répète que sa décision n'est pas encore prise, près de deux mois après sa démission fracassante. Il a ajouté qu'il regardait évoluer les choses, qu'il réfléchissait et qu'il observait.

Selon plusieurs proches, M. Landry pourrait faire connaître sa décision la semaine prochaine. De nombreux membres du Parti québécois et du Bloc québécois lui ont demandé de revenir sur sa décision.

Les députés bloquistes Maka Kotto et Oswaldo Nunez et la présidente du PQ de Montréal Ville-Marie, Maria Mourani, ont notamment signé une lettre d'appui le mois dernier. Des vétérans comme Denis Lazure, Claude H. Roy et Yves Michaud appuient également son retour, tandis qu'une pétition en ligne recueille des signatures.

En revanche, plusieurs députés du PQ estiment que l'ancien chef devrait assumer sa démission et annoncer publiquement qu'il ne se lancera pas dans la course. Parmi eux, l'ancien ministre Yves Duhaime et le député François Gendron.

Interrogé par La Presse, M. Landry a dit faire peu de cas des voix qui le poussent à dissiper les rumeurs.

Les 11 autres candidats déclarés à la direction du PQ sont: Louis Bernard, André Boisclair, Hugues Cormier, Pierre Dubuc, Gilles Hébert, Ghislain Lebel, Richard Legendre, Pauline Marois, Jean Ouimet et Jean-Claude Saint-André et Gilles Paquette.

Jusqu'ici, seuls MM. Legendre et Bernard ont déposé officiellement leur bulletin de candidature, tandis que M. Boisclair doit le faire aujourd'hui. Les candidats doivent recueillir 1000 signatures de membres en règle du PQ provenant de 40 circonscrïptions différentes.




Publié : ven. août 05, 2005 7:01 pm
par Raven
Marois et Legendre appuient... un rival !
Nicolas Saint-Pierre

La Presse

Pauline Marois et Richard Legendre, tous deux candidats à la direction du Parti québécois, ont signé le bulletin de candidature... de leur rival Hugues Cormier.

La scène a eu lieu au parc Woodyatt de Drummondville le 12 juillet dernier, selon ce qu'a appris La Presse. Les trois candidats participaient alors à un cocktail de financement organisé par le député de Drummond, Normand Jutras. Deux autres prétendants à la direction du PQ, André Boisclair et Louis Bernard, étaient aussi présents.

Pour M. Cormier, qui s'efforce actuellement de recueillir les 1000 signatures requises pour officialiser sa candidature, l'appui de Pauline Marois et de Richard Legendre n'a rien d'étonnant. «Ils connaissent un peu mon parcours, mon profil, affirme-t-il. Et puis, je pense qu'ils souhaitent un débat pour qu'on aille chercher la Coupe Stanley en équipe. Je crois qu'ils ont la conviction que je peux contribuer à ce débat.»

Du côté de l'équipe Marois, on se garde cependant d'admettre que la députée de Taillon ait voulu donner un coup de pouce à M. Cormier. Reste qu'on a bien du mal à expliquer pourquoi Mme Marois a signé le bulletin de candidature d'un adversaire. «Mme Marois a déjà vécu une course à la chefferie, s'est contentée d'indiquer Claude Potvin, son attachée de presse, lors d'un entretien téléphonique avec La Presse. Elle sait que ça prend une maudite bonne dose de courage et de détermination pour se présenter à une course à la direction et que c'est un processus démocratique.»

Pour sa part, l'équipe de Richard Legendre semblait embarrassée. Sans l'affirmer clairement, un porte-parole de M. Legendre a laissé entendre que celui-ci serait tombé dans une embuscade.

«Il s'est fait demander de signer le bulletin d'Hugues Cormier alors qu'il était en train de jaser avec des gens, explique Frédéric Dubé. Il n'y a pas une longue réflexion très stratégique derrière ça, à part le fait que dès le moment où quelqu'un te demande en public: veux-tu signer mon bulletin? Tu le signes parce que tu veux pas...»

M. Legendre a également signé le bulletin de candidature de Louis Bernard, un geste «plus spontané» que dans le cas d'Hugues Cormier.

André Boisclair a quant à lui refusé de signer le bulletin de candidature de M. Cormier.

Publié : ven. août 05, 2005 7:04 pm
par Raven
Raven  a écritMarois et Legendre appuient... un rival !
Nicolas Saint-Pierre

La Presse

Pauline Marois et Richard Legendre, tous deux candidats à la direction du Parti québécois, ont signé le bulletin de candidature... de leur rival Hugues Cormier.

La scène a eu lieu au parc Woodyatt de Drummondville le 12 juillet dernier, selon ce qu'a appris La Presse. Les trois candidats participaient alors à un cocktail de financement organisé par le député de Drummond, Normand Jutras. Deux autres prétendants à la direction du PQ, André Boisclair et Louis Bernard, étaient aussi présents.

Pour M. Cormier, qui s'efforce actuellement de recueillir les 1000 signatures requises pour officialiser sa candidature, l'appui de Pauline Marois et de Richard Legendre n'a rien d'étonnant. «Ils connaissent un peu mon parcours, mon profil, affirme-t-il. Et puis, je pense qu'ils souhaitent un débat pour qu'on aille chercher la Coupe Stanley en équipe. Je crois qu'ils ont la conviction que je peux contribuer à ce débat.»

Du côté de l'équipe Marois, on se garde cependant d'admettre que la députée de Taillon ait voulu donner un coup de pouce à M. Cormier. Reste qu'on a bien du mal à expliquer pourquoi Mme Marois a signé le bulletin de candidature d'un adversaire. «Mme Marois a déjà vécu une course à la chefferie, s'est contentée d'indiquer Claude Potvin, son attachée de presse, lors d'un entretien téléphonique avec La Presse. Elle sait que ça prend une maudite bonne dose de courage et de détermination pour se présenter à une course à la direction et que c'est un processus démocratique.»

Pour sa part, l'équipe de Richard Legendre semblait embarrassée. Sans l'affirmer clairement, un porte-parole de M. Legendre a laissé entendre que celui-ci serait tombé dans une embuscade.

«Il s'est fait demander de signer le bulletin d'Hugues Cormier alors qu'il était en train de jaser avec des gens, explique Frédéric Dubé. Il n'y a pas une longue réflexion très stratégique derrière ça, à part le fait que dès le moment où quelqu'un te demande en public: veux-tu signer mon bulletin? Tu le signes parce que tu veux pas...»

M. Legendre a également signé le bulletin de candidature de Louis Bernard, un geste «plus spontané» que dans le cas d'Hugues Cormier.

André Boisclair a quant à lui refusé de signer le bulletin de candidature de M. Cormier.

C'est quand même gentils de leur part d'encourager le candidat qui aura possiblement le plus de difficulté à obtenir les 1000 signatures Comme eux ont signés, les pro-marois et pro-Legendre vont possiblement faire comme leur chef

Publié : ven. août 05, 2005 7:09 pm
par Raven
Un autre candidat, ça me surprendrait qu'il récolte les 1000 signatures.. Domage, il est drole
C'est le cas de dire que dans le PQ on trouve de tout  



**************************

M. Gilles Paquette a le plaisir de
présenter sa candidature à la chefferie du Parti Québécois. La lettre de
M. Gilles Paquette adressée aux Associations de comtés du Parti Québécois
suit:

Je vous annonce ma mise en candidature pour devenir le prochain chef du Parti Québécois. J'avise dès aujourd'hui que je ne prêterai jamais serment d'allégeance à sa Majesté la Reine d'Angleterre et que c'est justement sa Couronne que je vous promets de rapatrier; les terres de la Couronne ont déjà été trop prêtées aux étrangers aux dépens de nos frères et de nos soeurs autochtones et de nous-mêmes, les seconds arrivants; aussi les privilèges entourant l'exploitation des terres de la Couronne seront abolis sous ma gouverne dès que la Monarchie du Québec sera proclamée, en ceci vous témoignez de ma première promesse.

Comme deuxième résolution, je proposerai au ROC (Rest of Canada) de
couper leurs racines du Vieux Continent et de se joindre à nous pour devenir républicains à leur tour. L'Alliance de nos deux (2) républiques sera consacrée en une monarchie symbolique bien à nous et tout-à-fait nord américaine.
Nos voisins étatsuniens ne s'opposeront pas à ce qu'ils ont eux-mêmes
proclamés le 4 juillet 1776.

Je mets en garde mes compétiteurs dans cette course à la chefferies (il
me faut vos signatures dans 40 circonscrïptions) que le premier président de la République du Québec devra comprendre tous les enjeux de cette nouvelle république et les conséquences mondiales de sa création. Voilà une tâche de président éprouvé.

Vous trouverez en deuxième lecture un essai libre: ACTE DE CONSTITUTION DU QUEBEC que j'ai composé un certain matin sous inspiration; cet essai n'est pas complet mais il est certe unificateur.

25 ans déjà, que j'écris ce projet de société, qui s'étend de la
foresterie à l'agriculture en passant par l'ingratitude des urbains envers
tout ce que la nature nous donne. Mes textes sont rarement publiés mais la presse écrite est tellement contrôlée... je leur pardonne, leur silence
confirme que je dérange l'ordre établi...

Aussi, mon vrai monde, celui des régions ignorées parce que moins
populeuses, sera valorisé. L'économie de marché que je préconise sera
régionale, soumise aux lois du marché certe, mais indépendante dans son
développement autant que dans sa mise en marché internationale! Le sang québécois origine du terroir.

Au début des années 80 j'ai fondé Bio Végétal, entreprise dévouée en
foresterie urbaine (entretenir les arbres, arbustes, pelouses avec du compost comme en forêt et par de l'émondage santé préventif) mais l'arboriculture, c'est trop saisonnier pour survivre $, aussi je me suis licencié à la Régie du Bâtiment et fait comme mon père et le père de mon père et de son père et redevenu maçon en créant Restauration Lazarre inc/Pierre Renov inc spécialisées en maçonnerie patrimoniale, secteur Outremont, Westmount, St-Henri et Pte St-Charles, à Montréal; je connais bien ma clientèle et je crois les servir équitablement.

Par deux (2) fois, j'ai tenté de me faire élire au Parti Québécois:
1. - Avril 1994, Ass. de Comté de Vaudreuil
2. - Septembre 2004, Ass. de Comté de Nelligan, élection partielle, le
Comté où habite Madame Pauline Marois...

Cette fois sera la bonne, croyez-moi! Je vous invite à entrer en
communication avec moi et mon équipe par ce site web:
republiqueduquebec@videotron.ca .

Espérant que vous me ferez l'honneur de m'endosser en attendant que je vous serve à votre tour...

A bientôt, ce pays --Message edité par Raven le 2005-08-06 01:12:15--

Publié : ven. août 05, 2005 7:33 pm
par Raven
Le Parti Québécois traverse une des étapes charnières de son existence. En effet, le 15 novembre prochain, nous connaîtrons l'identité de la ou du prochain(e) chef du Parti Québécois. Cet exercice est nécessaire, il marquera un renouveau au parti et contribuera à l'atteinte de nos objectifs communs.

En juin dernier, suite à la démission surprise de monsieur Landry, nous les "trois mousquetaires", Jonathan Valois, Stéphane Tremblay et moi-même, avions décidé de ne pas prendre position pour l'un(e) ou l'autre candidat(e). Cette décision était motivée par trois principes : d'abord laisser la chance à plusieurs candidat(e)s de prendre part à la course; ensuite respecter les choix de nos militantes et militants; et finalement nous avions à garder la cohésion à l'intérieur du caucus d'un parti ébranlé par le départ de monsieur Landry. Notre responsabilité était de faire notre travail de parlementaire car nous avions en face de nous un gouvernement toujours aussi mauvais avec à sa tête, un premier ministre qui avait un taux d'insatisfaction de plus de 70%.

Nous sommes maintenant à la mi-août, les candidatures sérieuses sont connues, les militantes et les militants du comté de Berthier ont eu la chance de prendre connaissance de celles-ci et notre travail de parlementaire de l'hiver dernier est terminé. C'est pourquoi je me permets aujourd'hui d'annoncer officiellement mon appui à la candidature de monsieur Richard Legendre. C'est un leader qui saura à la fois répondre aux aspirations de ma génération tout en conciliant celles des autres. De plus, c'est un leader qui a un plan de match bien défini et porte un projet de pays qui saura faire rêver et vibrer le c?ur des Québécoises et des Québécois. J'appuie Richard Legendre parce qu'il s'est engagé dans la course pour porter deux dossiers cruciaux à mes yeux : réaliser la souveraineté du Québec et défendre les valeurs sociales-démocrates de notre parti.

Nous devons éviter ce piège qui fait qu'au Parti Québécois nous recherchons toujours un sauveur qui nous guidera, tel un Moïse, vers la terre promise. L'indépendance ne se réalisera pas par une seule personne guidant le peuple vers la liberté, elle naîtra plutôt de millions de citoyennes et de citoyens du Québec, qui croient en ce grand projet et qui sauront écouter et convaincre celles et ceux qui doutent encore.

J'ai beaucoup discuté avec monsieur Legendre; il a des objectifs clairs et un plan d'action concret. Il s'est d'ailleurs engagé à mettre sur pied l'équipe du Oui dès le 16 novembre, pour passer de la parole aux actes. Comme chef, il dirigera une équipe aux convictions solides qui saura alimenter les débats partout au Québec. Avec lui et une équipe renouvelée, nous pourrons donner la chance aux Québécoises et aux Québécois de se faire confiance à eux-mêmes pour travailler toutes et tous ensemble à faire du Québec un pays.

Ainsi, chaque Québécoise et chaque Québécois saura qu'à la prochaine élection, élire le Parti Québécois c'est dire oui à un Québec plus prospère et plus solidaire et que, pour ce faire, nous devons réaliser l'indépendance du Québec. Afin de convaincre la population du sérieux de notre projet, nous avons besoin d'une personne comme Richard Legendre qui voit dans l'indépendance du Québec encore plus que le combat pour la défense d'une langue et des droits des travailleurs. Sa position est claire : l'indépendance du Québec est aussi l'outil dont le Québec doit se doter pour s'ouvrir sur le monde, et pour travailler à la prospérité de son peuple dans le respect des générations futures et selon les principes de développement durable.

Richard Legendre accumule déjà plusieurs réussites, autant personnelles, familiales que professionnelles. C'est un bâtisseur qui, avec sa force de travail et de persuasion, a déjà réalisé des projets d'envergure internationale. Avec lui comme chef, le Parti Québécois pourra mettre de l'avant notre nouveau programme et commencer à bâtir l'avenir du pays du Québec.

Alexandre Bourdeau
Député de Berthier

Publié : ven. août 05, 2005 7:34 pm
par Raven
Bonjour Mathieu,

Ma candidature à la direction du Parti Québécois ayant été officiellement acceptée, j’ai obtenu la liste des membres du PQ qui pourront voter pour choisir le prochain chef. C’est à ce titre que je vous écris aujourd’hui.

Au cours de la campagne, je ne voudrais pas vous inonder de messages non sollicités. Je souhaiterais toutefois pouvoir obtenir votre avis sur certaines propositions que j’ai faites, tout comme j’aimerais pouvoir vous informer des idées que je mets de l’avant. Cela, évidemment, dans le but de vous permettre de faire un choix plus éclairé.

Ainsi, lors du lancement de ma campagne, j’ai proposé que le prochain référendum soit tenu tôt après la victoire électorale et que la question posée soit la suivante : « Acceptez-vous que le Québec devienne un pays indépendant et souverain? Oui ou non. ». Est-ce que cette question est, d’après vous, celle qui convient?  J’aimerais savoir ce que vous en pensez.



Vous trouverez sur mon site des informations sur qui je suis, sur la vision que j’ai d’un Québec prospère et solidaire, et sur comment je compte faire l’indépendance du Québec correctement. De plus, si vous vous y inscrivez, je vous ferai parvenir régulièrement des bulletins qui répondront aux principales questions qui m’auront été posées. Je vous invite donc à visiter mon site régulièrement et à vous y inscrire (si ce n’est pas déjà fait). Je vous souligne que toute personne inscrite à mon site peut retirer en tout temps son inscrïption.

Au plaisir d’échanger avec vous.
Louis Bernard --Message edité par Raven le 2005-08-06 01:34:43--

Publié : ven. août 05, 2005 7:36 pm
par Raven
Je l'aime bien petit-Louis, il est très intéréssant

Publié : sam. août 06, 2005 4:11 am
par tuberale
Landry résiste à l'appel

L'ex-chef du PQ annoncera cette semaine qu'il renonce à sa succession

Clairandrée Cauchy, Guillaume Bourgault-Côté
Édition du samedi 6 et du dimanche 7 août 2005



Bernard Landry restera «simple militant». Après deux mois de valse-hésitation, l'ancien chef du Parti québécois (PQ) a pris sa décision concernant un possible retour en piste politique pour participer à la course à sa propre succession: au terme d'une réflexion entreprise à la demande de militants déçus de son choix de démissionner après le vote de confiance mitigé de juin, M. Landry devrait annoncer en début de semaine qu'il maintient son choix et ne fera pas de retour.


«C'est mort, mort, confiait hier un ancien collaborateur, en contact très fréquent avec M. Landry et son épouse. Il l'annoncera quelque part cette semaine.» Plusieurs autres témoignages de proches de Bernard Landry recueillis hier confirment que l'ancien premier ministre n'entend pas répondre aux appels de ceux qui lui demandent de reconsidérer sa décision. L'orientation de son choix ne fait plus de doute aux yeux des péquistes interrogés, la seule inconnue étant plutôt de savoir à quel moment précis l'annonce sera faite.

Mardi pourrait être en ce sens un choix logique. La veille, M. Landry aura rencontré de nombreux partisans et adversaires de son retour, lors d'une réunion organisée par Andrée Corriveau, une proche du chef démissionnaire qui dirige plus ou moins les opérations de séduction. «Ce n'est pas une rencontre officielle, précisait-elle hier, [plutôt une rencontre) où des gens lui diront : je pense que vous devriez y aller, ou non. Il y aura les deux courants.» M. Landry devrait profiter de cette rencontre pour remercier ceux qui lui ont demandé de revenir : leurs voix combinées n'auront toutefois pas suffi à le faire changer d'idée et tourner le dos à son retour à l'Université du Québec à Montréal.

«Le problème, c'est que ça n'a pas levé, dit un proche. Il y a pensé sérieusement, il a beaucoup réfléchi devant l'amorce de mouvement. Des gens lui avaient dit que Richard Legendre et André Boisclair pourraient se retirer de la course s'il revenait, mais ce n'est pas le cas; Boisclair sera là, Legendre aussi. Il y a eu des voix connues pour lui dire de ne pas revenir : ça ne fait pas grand-monde en soutien. Moi, je pense que c'était mort dès le début.»



«Sa décision [de juin] était réfléchie», exprime un autre collaborateur, qui estime toutefois «normal» que des gens aient tenté de le faire revenir. «Mais la course est partie maintenant, il y a une douzaine d'équipes sur le terrain et personne n'a annoncé qu'il allait se retirer s'il se présentait. C'est une affaire réglée depuis le congrès.»




Cette semaine, en déposant sa candidature officielle, André Boisclair avait déclaré que c'était dans un rôle de conseiller qu'il voyait bien Bernard Landry dans les prochains mois. «J'ai le goût de faire appel au savoir d'un Bernard Landry, d'un Jacques Parizeau, d'un Lucien Bouchard, de tous ceux et celles qui ont animé avec force le mouvement souverainiste.» Dans une dynamique de lutte partagée, rien n'indique que Bernard Landry n'aurait pas subi une défaite lors du vote de novembre. «Il ne pouvait se permettre de finir sa carrière comme ça. C'est trop risqué, et inutile», dit un militant.



Dès les premiers jours ayant suivi le vote de confiance du 5 juin, où Bernard Landry avait choisi de démissionner après avoir récolté un peu plus de 76 % des appuis, un mouvement diffus s'était fait entendre pour tenter de le convaincre de revenir -- par la course à la chefferie -- aux commandes du parti. Un site Internet à été mis sur pied (quelque 4500 personnes ont signé là une pétition en faveur de son retour), des lettres d'opinion favorables ont été publiées. Selon ces partisans, M. Landry était le seul apte à guider le PQ en ces temps de souveraineté populaire.

D'autres, tout en reconnaissant les qualités du chef, lui ont enjoint de ne pas écouter ces appels et d'assumer sa décision. Sauf que Bernard Landry n'a jamais fermé la porte complètement à un retour, disant «réfléchir», «observer» et «écouter» ce qui se disait, par «respect» notamment pour ceux qui lui demandaient de revenir. Cette ambiguïté n'a pas fait l'affaire de plusieurs sympathisants, qui ont exprimé publiquement leur malaise devant une situation d'attente qui empêchait la course à la chefferie de réellement prendre son envol, avec l'ombre du «grand vizir» en arrière-plan. Mais, selon Andrée Corriveau, il n'y avait pas d'urgence ou de pression pour une décision rapide. «Ce n'est pas Landry qui veut revenir : c'est Landry qui se fait solliciter pour revenir. C'est une grosse différence», dit-elle. Le suspense, maintenant, tire à sa fin.

À ce jour, seuls Louis Bernard, André Boisclair et Richard Legendre ont rempli la première condition pour devenir candidat officiel, soit recueillir au moins 1000 signatures dans 40 circonscrïptions. Pauline Marois devrait compléter cette étape sous peu. Il y a huit autres candidats sur les rangs, généralement peu connus. Les mises en candidature se terminent le 15 septembre, et les membres éliront leur nouveau chef à l'occasion d'un scrutin téléphonique dont les résultats seront connus le 15 novembre, soit 29 ans jour pour jour après l'historique victoire péquiste de 1976.




Publié : sam. août 06, 2005 7:23 am
par praeteritum
Bernard Landry, membre en règle du PQ, se trouve dans la position ou il doit subir des pressions pour ne pas se présenter a la chefferie de son parti.
Pour les autres membres en règle, pas de probleme, la porte est ouverte. Mais pour Landry, il y en a qui ne veulent pas le voir la.

Tirez-en les conclusions que vous voulez.
Les principes d'équité et d'impartialité ne sont surement pas partie du vocabulaire de ces gens-la.

Un joli petit parti, parfait pour le copinage.

Publié : jeu. août 11, 2005 4:04 am
par tuberale
À cause d'un accident à son fils
Un prétendant à la direction du PQ se retire



Presse Canadienne (PC)
11/08/2005 05h32  

Le rêve de Laurent Leclerc de soumettre sa candidature à la direction du Parti québécois s'est brusquement effondré, dimanche dernier, en raison du grave accident qu'a subi son fils Charles, âgé de 20 ans.
Le jeune homme a mal évalué la profondeur du lac de la plage Doré, à Montréal, en y plongeant. Il s'est heurté la tête au fond, se brisant la nuque; il ignore s'il retrouvera un jour l'usage de ses jambes.

Le nom de Laurent Leclerc est anonyme pour le grand public, mais sa physionomie ne l'est pas autant. Il est cet homme qui, le soir du référendum du 20 mai 1980, a été filmé par une caméra de télévision, pleurant à chaudes larmes en tenant son bébé dans les bras alors qu'il était dans la salle où le premier ministre René Lévesque concédait la victoire au camp du NON.

Aujourd'hui, M.Leclerc dirige une maison de production vidéo.

Après la tragédie survenue à son fils, M.Leclerc a consulté Bernard Landry, qui l'a convaincu de ne pas se présenter à la tête du PQ afin de se consacrer à la réhabilitation de son fils.



Publié : jeu. août 11, 2005 9:17 am
par Raven
C'est plate pour eux... Bonne chance a son fils !!

Publié : jeu. août 11, 2005 1:03 pm
par Voyeur23
désolé je me rapelle pas de l'avoir lu ici,  
a cette époque 1996-99 j'avais entendu de telle rumeur, maintenant les any body but boisclair (n'importe qui sauf ) distribue cette article a tout ceux qui on oser dire qu'il voterai pour boisclair,

la campagne campagne commence a etre jaune, j'ai sacré contre celui qui ma donné cette article, il m'a répliqué avec raison qu'il était préferable que ce soit lui, plutot qu'un libéral qui ébruite ces rumeurs et cette article et il m'a rajouté, qu'il devra réponde si il ce retire pas.......sacrament.......







Le Nouvelliste (Trois-Rivières)
Actualités, samedi 18 juin 2005, p. 51
André Boisclair revient de plus loin que Boston
La Presse
André Boisclair est revenu livide du cabinet de Lucien Bouchard ce jour de septembre 1997. Le jeune politicien venait d'essuyer la colère, proprement titanesque, d'un Lucien Bouchard qui en avait soupé des rumeurs sur la vie dissolue de son ministre des Relations avec les citoyens.
Cocaïne, excès d'alcool, fins de semaines exaltées au terme desquelles on ne sait plus où se trouve l'auto qu'on a louée... Immature et arrogant, le jeune politicien roulait à tombeau ouvert.

C'était l'époque où Bernard Landry, aux Finances, se faisait un malin plaisir, à l'Assemblée nationale, à attraper au vol les questions auxquelles voulait répondre le brillant néophyte. Même sur le parquet du Salon bleu, devant les députés péquistes, pantois, le vétéran de Verchères a déjà publiquement administré une raclée au député de Gouin. "Tu ne seras jamais premier ministre", lui avait lancé Landry.


Au conseil des ministres, le jeune ministre défendait bec et ongles ses dossiers avec un acharnement qui agaçait bien des collègues, "il n'avait pas la verve ou l'assurance d'aujourd'hui", décrira un de ses compagnons d'armes sous Bouchard. "Il n'avait aucun ami ni dans le conseil des ministres ni dans le caucus", confiait cette semaine un collaborateur de longue date qui s'empresse d'ajouter que son année sur les banquettes de l'opposition avait changé la donne. Il a cessé de regarder ailleurs au bout de cinq secondes quand quelqu'un lui parle.


"L'image c'est une chose... regardez-moi aller", soutenait hier André Boisclair, reconnaissant que "mauvais danseur, j'ai écrasé quelques orteils". Juste avant d'être renvoyé sur les banquettes de l'opposition, titulaire de l'Environnement, André Boisclair avait senti que son image avait changé; les Québécois l'avaient pris "un peu en affection... c'est un petit capital... mais jamais je n'aurais pu dire cela il y a cinq ans".


La sortie percutante d'un ancien attaché politique qui, hier, critiquait âprement l'ancien ministre de l'Environnement illustre la période où André Boisclair était intoxiqué par le pouvoir; se levant de table à l'issue d'une entrevue, il soulevait les bras en attendant qu'un adjoint lui passe son manteau.


Issu d'une famille aisée - son père a connu des revers de fortune, mais il a fait une carrière lucrative dans l'immobilier -, André Boisclair établit de solides amitiés au collège Jean-de-Brébeuf où il côtoie notamment Marc-André Blanchard, qui deviendra président du Parti libéral du Québec. C'est à ce moment aussi qu'il fait la connaissance d'Éric Bédard, le fils de l'ancien ministre péquiste, qui allait devenir conseiller de Jacques Parizeau. Me Bédard, qui s'occupe des affaires personnelles de M. Boisclair, fait partie de ses conseillers de campagne.


André Boisclair entreprend en 1986 des études d'économie à l'Université de Montréal, qu'il ne termine jamais, car le leader étudiant milite déjà un peu au PQ. Après le départ de Pierre Marc Johnson, il obtient une rencontre avec le nouveau chef Jacques Parizeau, qui aiguille bien vite ce jeune doué vers la présidence des jeunes péquistes.


Il devra se battre et franchir une convention pour devenir candidat dans le compté de Gouin - un siège sûr pour le PQ - aux élections de 1989. Avec l'élection du PQ, il reste sur les arrière-banquettes sous Jacques Parizeau. Avec l'arrivée de Lucien Bouchard, il accède au cabinet en janvier 1996, d'abord comme délégué, puis un an plus tard comme ministre en titre aux Relations avec les citoyens.


Bernard Landry lui donnera en janvier 2001 le portefeuille qui lui servira de tremplin, l'Environnement, un poste qu'il cumulera même avec les Affaires municipales durant l'année précédant les élections de 2003. L'éminence verte voit tout de suite le capital politique disponible à celui qui impose un moratoire pour les nouvelles porcheries ou interdit l'utilisation, en ville, d'une longue liste de pesticides. Au passage, il annonce sa politique de l'eau et fait mettre de côté des projets controversés de petites centrales électriques sur les rivières québécoises.


Sa participation à la conférence nationale où Ottawa et les provinces décident de la façon d'appliquer le Protocole de Kyoto est remarquée. "Un acteur clé dans la formulation de la position des provinces", dira son collègue albertain.


Avec la défaite du gouvernement Landry, au printemps 2003, André Boisclair se questionne sur son avenir. Le jeune politicien sait que l'absence de diplôme sera pour lui, toujours, un obstacle majeur. Il s'inscrit finalement à la John Kennedy School of Government. Il devait à compter d'août travailler à Toronto, chez la firme de consultants McKenzie... mais les militants péquistes, et Bernard Landry, en ont décidé autrement.
Catégorie : Actualités
Sujet(s) uniforme(s) : Partis politiques
Taille : Moyen, 558 mots
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Publié : jeu. août 11, 2005 1:37 pm
par Raven
C'est un coup bas cet article... Si sa continue sur cette voie on risque de tomber dans une course sale, ce qui faut éviter... L'objectif "underground" durant la campagne est de faire la promotion de la souveraineté, et non de se bitcher entre membres, c'est jamais bon pour un parti..