Partis politiques
Les membres de l'ADQ entérinent la fusion avec la CAQ
Agence QMI
22/01/2012 10h36 - Mise à jour 22/01/2012 11h16
QUÉBEC – Les militants de l'Action démocratique du Québec (ADQ) ont accepté la fusion entre leur parti et la Coalition avenir Québec (CAQ) de François Legault.
Parmi les 1373 membres qui ont voté, 943 membres ont répondu être en faveur de la fusion, tandis que 388 ont répondu être contre. Ceci signifie que 70,48% des membres ayant participé à ce processus appuient ce mariage. Environ 54% des membres ont voté.
Cette fusion avait reçu l'aval du chef de l'ADQ, Gérard Deltell, ainsi que par les trois autres députés de ce parti.
M. Deltell a affirmé, dimanche, que ce résultat est la preuve que son plan de fusion était «réaliste et responsable».
Se disant «très heureux», il a soutenu que ce mariage avec la CAQ est une «suite logique de notre parti».
Les ex-péquistes Daniel Ratthé, Benoît Charette et François Rebello de même que les indépendants Éric Caire et Marc Picard ont déjà officiellement rallié la CAQ.
Malgré ses neuf représentants, la CAQ aura de la difficulté à se faire reconnaître officiellement à l'Assemblée nationale, puisqu'elle n'a pas les douze députés requis. Pauline Marois a d'ailleurs fermé la porte à ce sujet, dimanche matin, en conférence de presse. « Ce parti ne rencontre pas les critères pour être reconnu officiellement », a-t-elle affirmé en soulignant que les règles « sont claires » à ce sujet. Une reconnaissance à l'Assemblée nationale en tant que parti permettrait à la CAQ d'avoir droit à un budget de recherche.
Fusion dénoncée
Cette fusion était décriée par certains membres de l'ADQ, dont le président de l'aile jeunesse de l'ADQ, Denis Claveau, de même que les président et vice-président de la commission politique du parti, Claude Garcia et Adrien Pouliot.
Ils avaient exigé, sans succès, que le parti tienne un conseil général pour débattre de la fusion avec la Coalition Avenir Québec (CAQ). Ils s'étaient aussi vu refuser l'accès à la liste des membres du parti. Ils voulaient ainsi présenter par écrit aux militants les raisons de dire non à ce mariage.
Ils avaient qualifié le processus menant à cette fusion «d'anti-démocratique».
«La direction du parti manque totalement de transparence envers les membres en empêchant qu'ils aient accès en temps opportun aux arguments contre la prise de contrôle du parti par la CAQ et fait preuve d'un manque flagrant de cohérence pour un parti qui se dit démocratique et prétend faire confiance aux citoyens», avait notamment affirmé M. Garcia.
L'ADQ a été créée en 1994 par des libéraux mécontents de la position constitutionnelle de leur parti. Jean Allaire a été le premier chef de la formation, mais des problèmes de santé l'ont obligé à passer le flambeau à Mario Dumont avant le premier test électoral. M. Dumont est resté en poste jusqu'à sa démission à la suite de son échec aux élections de 2008.
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Coalition pour l'avenir du Québec
Fusion CAQ-ADQ: Legault satisfait des résultats
23 janvier 2012
Julien Arsenault
La Presse Canadienne
Même si seulement un peu plus de la moitié des membres de l'Action démocratique du Québec (ADQ) ont participé au vote ayant mené à la fusion avec la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault se dit satisfait du résultat.
C'est ce que le leader caquiste a déclaré lundi, à Montréal, alors qu'il présentait le premier conseil exécutif national de sa formation politique.
«Il n'y a pas eu autant de publicité autour de ce vote qu'on peut en avoir pendant les 35 jours d'une élection générale», a-t-il observé.
Reconnaissant qu'il aurait préféré un taux de participation plus élevé que celui de 54%, M. Legault a rappelé que les «absents ont toujours tort», ajoutant que la grande majorité de ceux qui ont voté (70,4%) s'est prononcée en faveur de la fusion.
À l'approche de la rentrée parlementaire du 14 février à l'Assemblée nationale, il croit que la CAQ sera en mesure de ramener sur la table les «vrais débats», notamment en éducation ainsi qu'en matière de finances publiques.
Malgré des origines politiques différentes, M. Legault est sûr de pouvoir bâtir une équipe qui sera capable de travailler ensemble en visant un objectif commun.
Avec seulement neuf députés, il estime même que la CAQ sera en mesure de remplacer le Parti québécois (PQ) comme véritable opposition officielle en Chambre, en discutant de dossiers qui préoccupent les Québécois.
«Je trouve cela un peu triste de voir cette mauvaise pièce de théâtre au PQ», a expliqué M. Legault, faisant référence aux querelles internes du parti et aux nombreuses remises en question du leadership de sa chef Pauline Marois.
«On ne peut pas juste au Québec avoir des gens qui se demandent s'il faut être plus ou moins pressé sur la souveraineté ou qui se demandent si ça va être M. (Bernard) Drainville, M. (Pierre) Curzi ou M. (Gilles) Duceppe qui va être là dans quelques semaines à la place de Mme Marois», a-t-il ajouté.
Par ailleurs, M. Legault ne se formalise pas du fait qu'il manque toujours trois députés à sa formation pour qu'elle obtienne le statut de parti officiel à l'Assemblée nationale.
Il s'est aussi dit surpris de constater que la chef péquiste refuse pour l'instant de reconnaître la CAQ comme parti officiel à l'Assemblée nationale.
«Il n'y a pas si longtemps, elle (Pauline Marois) me forçait, me demandait presque à genoux de transformer notre organisme en parti, mais maintenant, elle ne souhaite pas reconnaître le parti à l'Assemblée nationale», a dit M. Legault.
Le conseil exécutif national de la CAQ sera présidé par Dominique Anglade, une ingénieure issue du milieu des affaires. Marc A. Deschamps, François Bonnardel, Mario Charpentier, Patrick Ferland, Laurence R. Fortin ainsi que Richard Thibault complètent l'équipe. Le directeur général de la CAQ, Patrick Lebel, agira à titre d'observateur.
En s'adressant aux médias, Mme Anglade, qui a rappelé les nombreux changements proposés par la CAQ, a indiqué qu'elle se présenterait aux prochaines élections générales. Sans préciser le comté qu'elle visait, elle a indiqué qu'il serait probablement dans la grande région métropolitaine.
http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
23 janvier 2012

Julien Arsenault
La Presse Canadienne
Même si seulement un peu plus de la moitié des membres de l'Action démocratique du Québec (ADQ) ont participé au vote ayant mené à la fusion avec la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault se dit satisfait du résultat.
C'est ce que le leader caquiste a déclaré lundi, à Montréal, alors qu'il présentait le premier conseil exécutif national de sa formation politique.
«Il n'y a pas eu autant de publicité autour de ce vote qu'on peut en avoir pendant les 35 jours d'une élection générale», a-t-il observé.
Reconnaissant qu'il aurait préféré un taux de participation plus élevé que celui de 54%, M. Legault a rappelé que les «absents ont toujours tort», ajoutant que la grande majorité de ceux qui ont voté (70,4%) s'est prononcée en faveur de la fusion.
À l'approche de la rentrée parlementaire du 14 février à l'Assemblée nationale, il croit que la CAQ sera en mesure de ramener sur la table les «vrais débats», notamment en éducation ainsi qu'en matière de finances publiques.
Malgré des origines politiques différentes, M. Legault est sûr de pouvoir bâtir une équipe qui sera capable de travailler ensemble en visant un objectif commun.
Avec seulement neuf députés, il estime même que la CAQ sera en mesure de remplacer le Parti québécois (PQ) comme véritable opposition officielle en Chambre, en discutant de dossiers qui préoccupent les Québécois.
«Je trouve cela un peu triste de voir cette mauvaise pièce de théâtre au PQ», a expliqué M. Legault, faisant référence aux querelles internes du parti et aux nombreuses remises en question du leadership de sa chef Pauline Marois.
«On ne peut pas juste au Québec avoir des gens qui se demandent s'il faut être plus ou moins pressé sur la souveraineté ou qui se demandent si ça va être M. (Bernard) Drainville, M. (Pierre) Curzi ou M. (Gilles) Duceppe qui va être là dans quelques semaines à la place de Mme Marois», a-t-il ajouté.
Par ailleurs, M. Legault ne se formalise pas du fait qu'il manque toujours trois députés à sa formation pour qu'elle obtienne le statut de parti officiel à l'Assemblée nationale.
Il s'est aussi dit surpris de constater que la chef péquiste refuse pour l'instant de reconnaître la CAQ comme parti officiel à l'Assemblée nationale.
«Il n'y a pas si longtemps, elle (Pauline Marois) me forçait, me demandait presque à genoux de transformer notre organisme en parti, mais maintenant, elle ne souhaite pas reconnaître le parti à l'Assemblée nationale», a dit M. Legault.
Le conseil exécutif national de la CAQ sera présidé par Dominique Anglade, une ingénieure issue du milieu des affaires. Marc A. Deschamps, François Bonnardel, Mario Charpentier, Patrick Ferland, Laurence R. Fortin ainsi que Richard Thibault complètent l'équipe. Le directeur général de la CAQ, Patrick Lebel, agira à titre d'observateur.
En s'adressant aux médias, Mme Anglade, qui a rappelé les nombreux changements proposés par la CAQ, a indiqué qu'elle se présenterait aux prochaines élections générales. Sans préciser le comté qu'elle visait, elle a indiqué qu'il serait probablement dans la grande région métropolitaine.
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issshh... il y va fort Monsieur Legault! Mais bon, je n'ai qu'une chose à dire:
Woot Woot!! Enfin des élections intéressantes! une union CAQ/ADQ contre une union BQ/PQ! AAAHHHH.... je vais bien m'amuser.
Le PLQ a besoin d'avoir quelquechose d'EXTRAORDINAIRE à nous proposer s'ils veulent obtenir un petit vote!
Je suis un peu triste pour les autres partis émergents, comme le Parti Vert, entre autres. Mais ces Partis servent également à nourrir d'idées les Grands.
Espérons que dans notre quête de Souveraineté nous n'oublions pas les enjeux environnementaux et sociaux parmis ceux dits 'économiques'.

Woot Woot!! Enfin des élections intéressantes! une union CAQ/ADQ contre une union BQ/PQ! AAAHHHH.... je vais bien m'amuser.
Le PLQ a besoin d'avoir quelquechose d'EXTRAORDINAIRE à nous proposer s'ils veulent obtenir un petit vote!
Je suis un peu triste pour les autres partis émergents, comme le Parti Vert, entre autres. Mais ces Partis servent également à nourrir d'idées les Grands.
Espérons que dans notre quête de Souveraineté nous n'oublions pas les enjeux environnementaux et sociaux parmis ceux dits 'économiques'.

- Mozusse que ça pourrait être plus simple! Solange de Beauvoil', dans 'le Domaine Bleu' (et partout ailleurs, d'ailleurs)
Le grand patron des médecins spécialistes a franchi une étape importante en vue d'un saut dans l'arène politique. Convoité par la Coalition Avenir Québec (CAQ), Gaétan Barrette a le feu vert de ses pairs pour se présenter aux prochaines élections.
http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/p ... 25730.html" onclick="window.open(this.href);return false;
My, la CAQ avant pas mon vote mais là, c'est la fin de la fin .... vraiment pas reluisant d'avoir ce mec là dans tes troupes...
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My, la CAQ avant pas mon vote mais là, c'est la fin de la fin .... vraiment pas reluisant d'avoir ce mec là dans tes troupes...

[nouvelle=http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/region ... 32.html|Un ex-candidat se vide le coeur
«La CAQ n'a pas la maturité pour former un gouvernement»]Marcel Gagnon | TVA Sherbrooke
«La Coalition Avenir Québec de François Legault n'a pas la structure, ni la maturité pour former un prochain gouvernement...» C'est ce que pense Gaétan Arel, celui-là qui devait défendre les couleurs de la CAQ dans la circonscription de Richmond en vue du prochain scrutin provincial.
En désaccord avec l'appui de la CAQ à la controversée Loi 78, il a claqué la porte du parti de François Legault la semaine dernière. Mais ce n'aura été que la goutte qui a fait débord le vase...[/nouvelle]
«La CAQ n'a pas la maturité pour former un gouvernement»]Marcel Gagnon | TVA Sherbrooke
«La Coalition Avenir Québec de François Legault n'a pas la structure, ni la maturité pour former un prochain gouvernement...» C'est ce que pense Gaétan Arel, celui-là qui devait défendre les couleurs de la CAQ dans la circonscription de Richmond en vue du prochain scrutin provincial.
En désaccord avec l'appui de la CAQ à la controversée Loi 78, il a claqué la porte du parti de François Legault la semaine dernière. Mais ce n'aura été que la goutte qui a fait débord le vase...[/nouvelle]