Avez-vous peur de Mario
Démission bruyante à l’ADQ
Sylvie Tremblay démissionne de la vice-présidence de l’ADQ.
Photothèque Le Soleil
Gilbert Lavoie
Le Soleil
Québec
La vice-présidente sortante de l’ADQ, Sylvie Tremblay, claque la porte du parti qu’elle accuse d’avoir saboté son travail et ignoré les vœux de ses militants dans Verdun–L’Île-des- Soeurs.
Dans sa lettre de démission expédiée hier au parti et dont Le Soleil a obtenu copie, Mme Tremblay affirme avoir fait l’objet d’intimidation de la part des dirigeants du parti. Élue vice-présidente nationale au congrès de l’automne dernier à Victoriaville, elle raconte qu’on avait d’abord tenté de l’écarter de ce poste, et qu’on a tenté ensuite de la contrôler.
Elle dit avoir reçu un appel d’un membre de l’exécutif au lendemain de son élection, lui demandant «de me fermer la gueule, de les laisser aller et d’appuyer tout ce qu’ils présentaient peu importe mon avis». Elle affirme que la même personne a menacé de lui créer des problèmes à Verdun et même de bloquer sa candidature à l’investiture si elle n’obtempérait pas.
Elle dit en avoir avisé Mario Dumont qui n’aurait même pas répondu à ses courriels. «À partir de ce point, mon estime pour monsieur Dumont en a pris un coup, lui qui se prétendait transparent. Si le comité exécutif national était contrôlé, que les élections n’étaient qu’un show, il aurait fallu qu’ils m’en avisent avant que je fasse campagne.»
Mme Tremblay soutient qu’au lieu d’obtenir l’appui désiré des instances du parti, c’est l’inverse qui s’est produit. «La permanence a commencé à me faire de l’intimidation à Verdun, en me rendant la vie impossible, refusant de coopérer, de remettre les listes à jour des membres de Verdun, refusant la formation de notre représentante officielle etc. Le coordonnateur de Montréal est allé jusqu’à m’appeler quelque mois après mon élection soit le 23 décembre 2007, un dimanche, pour me dire que ma candidature serait refusée aux prochaines élections.»
Au congrès de l’automne dernier sur l’Environnement à Victoriaville, Sylvie Tremblay a eu maille à partir avec le critique du parti en Environnement, le député Simon-Pierre Diamond, qui a fait bloquer systématiquement toutes les propositions soumises par les délégués des régions. «Encore une fois, j’ai été déçue de constater après coup que monsieur Dumont approuvait ce genre de comportement, qu’il était au courant et qu’il trouvait ce comportement tout à fait normal.»
Elle conclut sa lettre de démission en dénonçant les politiques familiales de l’ADQ qui équivalent, selon elle, à prôner que les femmes restent à la maison. «J’espère que l’ADQ n’entrera pas au pouvoir aux prochaines élections, car ce parti, que je connais un peu mieux maintenant et qui n’est pas du tout ce qu’il prétend être, me fait peur, concernant les droits des femmes et concernant son manque de démocratie. Le gouvernement serait sûrement dirigé de la même manière s’il prenait le pouvoir.»
Sylvie Tremblay démissionne de la vice-présidence de l’ADQ.
Photothèque Le Soleil
Gilbert Lavoie
Le Soleil
Québec
La vice-présidente sortante de l’ADQ, Sylvie Tremblay, claque la porte du parti qu’elle accuse d’avoir saboté son travail et ignoré les vœux de ses militants dans Verdun–L’Île-des- Soeurs.
Dans sa lettre de démission expédiée hier au parti et dont Le Soleil a obtenu copie, Mme Tremblay affirme avoir fait l’objet d’intimidation de la part des dirigeants du parti. Élue vice-présidente nationale au congrès de l’automne dernier à Victoriaville, elle raconte qu’on avait d’abord tenté de l’écarter de ce poste, et qu’on a tenté ensuite de la contrôler.
Elle dit avoir reçu un appel d’un membre de l’exécutif au lendemain de son élection, lui demandant «de me fermer la gueule, de les laisser aller et d’appuyer tout ce qu’ils présentaient peu importe mon avis». Elle affirme que la même personne a menacé de lui créer des problèmes à Verdun et même de bloquer sa candidature à l’investiture si elle n’obtempérait pas.
Elle dit en avoir avisé Mario Dumont qui n’aurait même pas répondu à ses courriels. «À partir de ce point, mon estime pour monsieur Dumont en a pris un coup, lui qui se prétendait transparent. Si le comité exécutif national était contrôlé, que les élections n’étaient qu’un show, il aurait fallu qu’ils m’en avisent avant que je fasse campagne.»
Mme Tremblay soutient qu’au lieu d’obtenir l’appui désiré des instances du parti, c’est l’inverse qui s’est produit. «La permanence a commencé à me faire de l’intimidation à Verdun, en me rendant la vie impossible, refusant de coopérer, de remettre les listes à jour des membres de Verdun, refusant la formation de notre représentante officielle etc. Le coordonnateur de Montréal est allé jusqu’à m’appeler quelque mois après mon élection soit le 23 décembre 2007, un dimanche, pour me dire que ma candidature serait refusée aux prochaines élections.»
Au congrès de l’automne dernier sur l’Environnement à Victoriaville, Sylvie Tremblay a eu maille à partir avec le critique du parti en Environnement, le député Simon-Pierre Diamond, qui a fait bloquer systématiquement toutes les propositions soumises par les délégués des régions. «Encore une fois, j’ai été déçue de constater après coup que monsieur Dumont approuvait ce genre de comportement, qu’il était au courant et qu’il trouvait ce comportement tout à fait normal.»
Elle conclut sa lettre de démission en dénonçant les politiques familiales de l’ADQ qui équivalent, selon elle, à prôner que les femmes restent à la maison. «J’espère que l’ADQ n’entrera pas au pouvoir aux prochaines élections, car ce parti, que je connais un peu mieux maintenant et qui n’est pas du tout ce qu’il prétend être, me fait peur, concernant les droits des femmes et concernant son manque de démocratie. Le gouvernement serait sûrement dirigé de la même manière s’il prenait le pouvoir.»
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
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non mario dumont pour l,adq est le seul chef et seulement lui et c,est lui le roi
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
selon ce que j'ai entendu a la radio et dans les journaux le président de l'Adq dit que elle était pas contente de pas avoir été choisi comme candidate de l'Adq dans Verdun
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Red Ketchup a écrit
Assez sexiste comme commentaire mon Jumbo. Je comprend maintenant tes allégeances.
Pourtant c'est bien ce que Pauline a fait.
Pour mes allégeances politiques, tout ce que je sais, c'est que je ne vivrai pas assez vieux pour devenir péquiste.
Pour le reste, je sais même pas moi-même pour qui je voterai au prochaine élection.
Assez sexiste comme commentaire mon Jumbo. Je comprend maintenant tes allégeances.
Pourtant c'est bien ce que Pauline a fait.
Pour mes allégeances politiques, tout ce que je sais, c'est que je ne vivrai pas assez vieux pour devenir péquiste.
Pour le reste, je sais même pas moi-même pour qui je voterai au prochaine élection.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
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Départ de l'ADQ
Dumont en prévoit d'autres
Le chef de l'ADQ, Mario Dumont, a nié, mardi après-midi, qu'il y ait une culture antidémocratique au sein de son parti, comme l'a laissé entendre son ex-vice-présidente, Sylvie Tremblay, qui a claqué la porte en affirmant que la direction empêchait certains membres de s'exprimer et contrôlait le vote lors des assemblées.
En point de presse, il a déclaré qu'il avait l'intention de conserver sa prérogative de déterminer qui portera les couleurs de l'Action démocratique aux prochaines élections.
Selon la Presse canadienne, Mario Dumont a dit que si Sylvie Tremblay n'était pas du lot, c'est parce qu'il n'avait pas voulu d'elle dans son équipe.
Il a ajouté qu'il pourrait bien y avoir d'autres adéquistes laissés de côté. « On est dans ce processus de construire l'avenir, de bâtir l'avenir, l'institutionnalisation de notre parti. Il n'est pas dit qu'il n'y en aura pas d'autres [départs] non plus, c'est loin d'être impossible », a-t-il dit.
Départ fracassant de Sylvie Tremblay
Élue en septembre dernier au sein du conseil exécutif de l'Action démocratique du Québec (ADQ), Sylvie Tremblay a démissionné du parti avec fracas.
Sylvie Tremblay
Dans sa lettre de démission publiée dans le quotidien de Québec Le Soleil, lundi, Mme Tremblay affirme que l'ADQ n'est pas ce qu'il prétend être, qu'il préconise des idées rétrogrades pour les droits des femmes et qu'il menace la démocratie.
Au lendemain de son élection à la vice-présidence du parti, elle raconte qu'elle a reçu un appel d'un ancien membre de l'exécutif réélu, lui demandant de « de me fermer la gueule, de les laisser aller, et d'appuyer tout ce qu'ils présentaient peu importe mon avis ». Elle ajoute que des pressions ont été exercées pour qu'elle ne soit pas candidate dans Verdun et l'île des Soeurs.
Elle pense aussi que le parti de Mario Dumont a des politiques rétrogrades envers les femmes en leur proposant 100 $ par semaine si elles restent à la maison pour garder les enfants et faire le ménage, plutôt que pour aider les familles et les parents. « Est-ce que M. Dumont désire retourner 50 ans en arrière? Veut-il aussi enlever le droit de vote aux femmes tant qu'à y être? ».
Enfin, Mme Tremblay dit craindre la dictature du parti et affirme qu'elle ne votera pas pour l'ADQ.
Le président du parti nie les allégations
Tom Pentefountas, président de l'ADQ
Le président du parti et deux députés ont nié, lundi, les allégations de Mme Tremblay.
Selon le président de l'ADQ, Tom Pentefountas, il n'y a aucun fondement à ce que dit Mme Tremblay. Il affirme qu'il n'y a pas d'intimidation à l'ADQ.
« Je peux vous dire que la question dont elle parle de 100 $ par semaine, ce dont elle n'est pas d'accord, elle ne m'a jamais fait part de cette difficulté qu'elle avait avec notre plateforme. Offrir 100 $, c'est le contraire, c'est offrir la chance aux familles québécoises de choisir comment dépenser cet argent. Il y a la moitié des enfants d'âge scolaire qui ont pas d'espace dans les garderies à 7 $ », a déclaré M. Pentefountas à RDI, lundi après-midi.
Le député de Shefford, François Bonnardel, croit lui qu'il y a un peu de frustration de la part de Sylvie Tremblay. « Aujourd'hui, Mme Tremblay est déçue de la situation avec laquelle elle a pu travailler. Non, il n'y a pas de dictature dans notre parti. Elle est aigrie, déçue. Il faut accepter la façon dont elle a voulu partir », dit-il.
La députée Lucie Leblanc
Sa collègue de la circonscrïption de Deux-Montagnes, la députée Lucie Leblanc, n'est pas d'accord non plus avec Mme Tremblay qui affirme indirectement qu'il y a du sexisme dans le parti. « Je ne suis pas du tout en accord avec l'opinion qu'elle donne de M. Dumont, pour avoir eu plusieurs rencontres avec lui. (...) J'ai eu plusieurs entretiens avec M. Dumont concernant la place des femmes. C'est devenu très important pour lui. J'ai eu le mandat très clair de l'augmenter [le nombre de femmes] lors des prochaines élections », dit-elle.
Dumont en prévoit d'autres
Le chef de l'ADQ, Mario Dumont, a nié, mardi après-midi, qu'il y ait une culture antidémocratique au sein de son parti, comme l'a laissé entendre son ex-vice-présidente, Sylvie Tremblay, qui a claqué la porte en affirmant que la direction empêchait certains membres de s'exprimer et contrôlait le vote lors des assemblées.
En point de presse, il a déclaré qu'il avait l'intention de conserver sa prérogative de déterminer qui portera les couleurs de l'Action démocratique aux prochaines élections.
Selon la Presse canadienne, Mario Dumont a dit que si Sylvie Tremblay n'était pas du lot, c'est parce qu'il n'avait pas voulu d'elle dans son équipe.
Il a ajouté qu'il pourrait bien y avoir d'autres adéquistes laissés de côté. « On est dans ce processus de construire l'avenir, de bâtir l'avenir, l'institutionnalisation de notre parti. Il n'est pas dit qu'il n'y en aura pas d'autres [départs] non plus, c'est loin d'être impossible », a-t-il dit.
Départ fracassant de Sylvie Tremblay
Élue en septembre dernier au sein du conseil exécutif de l'Action démocratique du Québec (ADQ), Sylvie Tremblay a démissionné du parti avec fracas.
Sylvie Tremblay
Dans sa lettre de démission publiée dans le quotidien de Québec Le Soleil, lundi, Mme Tremblay affirme que l'ADQ n'est pas ce qu'il prétend être, qu'il préconise des idées rétrogrades pour les droits des femmes et qu'il menace la démocratie.
Au lendemain de son élection à la vice-présidence du parti, elle raconte qu'elle a reçu un appel d'un ancien membre de l'exécutif réélu, lui demandant de « de me fermer la gueule, de les laisser aller, et d'appuyer tout ce qu'ils présentaient peu importe mon avis ». Elle ajoute que des pressions ont été exercées pour qu'elle ne soit pas candidate dans Verdun et l'île des Soeurs.
Elle pense aussi que le parti de Mario Dumont a des politiques rétrogrades envers les femmes en leur proposant 100 $ par semaine si elles restent à la maison pour garder les enfants et faire le ménage, plutôt que pour aider les familles et les parents. « Est-ce que M. Dumont désire retourner 50 ans en arrière? Veut-il aussi enlever le droit de vote aux femmes tant qu'à y être? ».
Enfin, Mme Tremblay dit craindre la dictature du parti et affirme qu'elle ne votera pas pour l'ADQ.
Le président du parti nie les allégations
Tom Pentefountas, président de l'ADQ
Le président du parti et deux députés ont nié, lundi, les allégations de Mme Tremblay.
Selon le président de l'ADQ, Tom Pentefountas, il n'y a aucun fondement à ce que dit Mme Tremblay. Il affirme qu'il n'y a pas d'intimidation à l'ADQ.
« Je peux vous dire que la question dont elle parle de 100 $ par semaine, ce dont elle n'est pas d'accord, elle ne m'a jamais fait part de cette difficulté qu'elle avait avec notre plateforme. Offrir 100 $, c'est le contraire, c'est offrir la chance aux familles québécoises de choisir comment dépenser cet argent. Il y a la moitié des enfants d'âge scolaire qui ont pas d'espace dans les garderies à 7 $ », a déclaré M. Pentefountas à RDI, lundi après-midi.
Le député de Shefford, François Bonnardel, croit lui qu'il y a un peu de frustration de la part de Sylvie Tremblay. « Aujourd'hui, Mme Tremblay est déçue de la situation avec laquelle elle a pu travailler. Non, il n'y a pas de dictature dans notre parti. Elle est aigrie, déçue. Il faut accepter la façon dont elle a voulu partir », dit-il.
La députée Lucie Leblanc
Sa collègue de la circonscrïption de Deux-Montagnes, la députée Lucie Leblanc, n'est pas d'accord non plus avec Mme Tremblay qui affirme indirectement qu'il y a du sexisme dans le parti. « Je ne suis pas du tout en accord avec l'opinion qu'elle donne de M. Dumont, pour avoir eu plusieurs rencontres avec lui. (...) J'ai eu plusieurs entretiens avec M. Dumont concernant la place des femmes. C'est devenu très important pour lui. J'ai eu le mandat très clair de l'augmenter [le nombre de femmes] lors des prochaines élections », dit-elle.
Prière et chant religieux
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Je me demande ce que cette femme faisait a l'ADQ.
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.anthurium. a écritJe me demande ce que cette femme faisait a l'ADQ.
Peut-être qu'elle pensait pouvoir faire quelque chose, et que finalement, elle s'est rendue compte qu'il n'y a rien à faire que de rentrer dans le moule et de suivre ''les idées du partie''?
Ce n'est pas la première qui parle d'anti-démocratie à l'ADQ...
Peut-être qu'elle pensait pouvoir faire quelque chose, et que finalement, elle s'est rendue compte qu'il n'y a rien à faire que de rentrer dans le moule et de suivre ''les idées du partie''?
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Nikki. a écrit
Peut-être qu'elle pensait pouvoir faire quelque chose, et que finalement, elle s'est rendue compte qu'il n'y a rien à faire que de rentrer dans le moule et de suivre ''les idées du partie''?
Ce n'est pas la première qui parle d'anti-démocratie à l'ADQ...
Dans ce cas là je vais aller chez Québec solidaire pour les diriger vers la droite.
Peut-être qu'elle pensait pouvoir faire quelque chose, et que finalement, elle s'est rendue compte qu'il n'y a rien à faire que de rentrer dans le moule et de suivre ''les idées du partie''?
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Dans ce cas là je vais aller chez Québec solidaire pour les diriger vers la droite.
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.anthurium. a écritDépart de l'ADQ
Dumont en prévoit d'autres
Le chef de l'ADQ, Mario Dumont, a nié, mardi après-midi, qu'il y ait une culture antidémocratique au sein de son parti, comme l'a laissé entendre son ex-vice-présidente, Sylvie Tremblay, qui a claqué la porte en affirmant que la direction empêchait certains membres de s'exprimer et contrôlait le vote lors des assemblées.
En point de presse, il a déclaré qu'il avait l'intention de conserver sa prérogative de déterminer qui portera les couleurs de l'Action démocratique aux prochaines élections.
Selon la Presse canadienne, Mario Dumont a dit que si Sylvie Tremblay n'était pas du lot, c'est parce qu'il n'avait pas voulu d'elle dans son équipe.
Il a ajouté qu'il pourrait bien y avoir d'autres adéquistes laissés de côté. « On est dans ce processus de construire l'avenir, de bâtir l'avenir, l'institutionnalisation de notre parti. Il n'est pas dit qu'il n'y en aura pas d'autres [départs] non plus, c'est loin d'être impossible », a-t-il dit.
Départ fracassant de Sylvie Tremblay
Élue en septembre dernier au sein du conseil exécutif de l'Action démocratique du Québec (ADQ), Sylvie Tremblay a démissionné du parti avec fracas.
Sylvie Tremblay
Dans sa lettre de démission publiée dans le quotidien de Québec Le Soleil, lundi, Mme Tremblay affirme que l'ADQ n'est pas ce qu'il prétend être, qu'il préconise des idées rétrogrades pour les droits des femmes et qu'il menace la démocratie.
Au lendemain de son élection à la vice-présidence du parti, elle raconte qu'elle a reçu un appel d'un ancien membre de l'exécutif réélu, lui demandant de « de me fermer la gueule, de les laisser aller, et d'appuyer tout ce qu'ils présentaient peu importe mon avis ». Elle ajoute que des pressions ont été exercées pour qu'elle ne soit pas candidate dans Verdun et l'île des Soeurs.
Elle pense aussi que le parti de Mario Dumont a des politiques rétrogrades envers les femmes en leur proposant 100 $ par semaine si elles restent à la maison pour garder les enfants et faire le ménage, plutôt que pour aider les familles et les parents. « Est-ce que M. Dumont désire retourner 50 ans en arrière? Veut-il aussi enlever le droit de vote aux femmes tant qu'à y être? ».
Enfin, Mme Tremblay dit craindre la dictature du parti et affirme qu'elle ne votera pas pour l'ADQ.
Le président du parti nie les allégations
Tom Pentefountas, président de l'ADQ
Le président du parti et deux députés ont nié, lundi, les allégations de Mme Tremblay.
Selon le président de l'ADQ, Tom Pentefountas, il n'y a aucun fondement à ce que dit Mme Tremblay. Il affirme qu'il n'y a pas d'intimidation à l'ADQ.
« Je peux vous dire que la question dont elle parle de 100 $ par semaine, ce dont elle n'est pas d'accord, elle ne m'a jamais fait part de cette difficulté qu'elle avait avec notre plateforme. Offrir 100 $, c'est le contraire, c'est offrir la chance aux familles québécoises de choisir comment dépenser cet argent. Il y a la moitié des enfants d'âge scolaire qui ont pas d'espace dans les garderies à 7 $ », a déclaré M. Pentefountas à RDI, lundi après-midi.
Le député de Shefford, François Bonnardel, croit lui qu'il y a un peu de frustration de la part de Sylvie Tremblay. « Aujourd'hui, Mme Tremblay est déçue de la situation avec laquelle elle a pu travailler. Non, il n'y a pas de dictature dans notre parti. Elle est aigrie, déçue. Il faut accepter la façon dont elle a voulu partir », dit-il.
La députée Lucie Leblanc
Sa collègue de la circonscrïption de Deux-Montagnes, la députée Lucie Leblanc, n'est pas d'accord non plus avec Mme Tremblay qui affirme indirectement qu'il y a du sexisme dans le parti. « Je ne suis pas du tout en accord avec l'opinion qu'elle donne de M. Dumont, pour avoir eu plusieurs rencontres avec lui. (...) J'ai eu plusieurs entretiens avec M. Dumont concernant la place des femmes. C'est devenu très important pour lui. J'ai eu le mandat très clair de l'augmenter [le nombre de femmes] lors des prochaines élections », dit-elle.
Je suis contente qu'elle quitte l'ADQ car elle n'a rien compris de la job de maman à la maison, ni du pourquoi elles le font.
Je trouve sa façon de voir méprisante et très réductrice. --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-04-22 22:27:22--
Dumont en prévoit d'autres
Le chef de l'ADQ, Mario Dumont, a nié, mardi après-midi, qu'il y ait une culture antidémocratique au sein de son parti, comme l'a laissé entendre son ex-vice-présidente, Sylvie Tremblay, qui a claqué la porte en affirmant que la direction empêchait certains membres de s'exprimer et contrôlait le vote lors des assemblées.
En point de presse, il a déclaré qu'il avait l'intention de conserver sa prérogative de déterminer qui portera les couleurs de l'Action démocratique aux prochaines élections.
Selon la Presse canadienne, Mario Dumont a dit que si Sylvie Tremblay n'était pas du lot, c'est parce qu'il n'avait pas voulu d'elle dans son équipe.
Il a ajouté qu'il pourrait bien y avoir d'autres adéquistes laissés de côté. « On est dans ce processus de construire l'avenir, de bâtir l'avenir, l'institutionnalisation de notre parti. Il n'est pas dit qu'il n'y en aura pas d'autres [départs] non plus, c'est loin d'être impossible », a-t-il dit.
Départ fracassant de Sylvie Tremblay
Élue en septembre dernier au sein du conseil exécutif de l'Action démocratique du Québec (ADQ), Sylvie Tremblay a démissionné du parti avec fracas.
Sylvie Tremblay
Dans sa lettre de démission publiée dans le quotidien de Québec Le Soleil, lundi, Mme Tremblay affirme que l'ADQ n'est pas ce qu'il prétend être, qu'il préconise des idées rétrogrades pour les droits des femmes et qu'il menace la démocratie.
Au lendemain de son élection à la vice-présidence du parti, elle raconte qu'elle a reçu un appel d'un ancien membre de l'exécutif réélu, lui demandant de « de me fermer la gueule, de les laisser aller, et d'appuyer tout ce qu'ils présentaient peu importe mon avis ». Elle ajoute que des pressions ont été exercées pour qu'elle ne soit pas candidate dans Verdun et l'île des Soeurs.
Elle pense aussi que le parti de Mario Dumont a des politiques rétrogrades envers les femmes en leur proposant 100 $ par semaine si elles restent à la maison pour garder les enfants et faire le ménage, plutôt que pour aider les familles et les parents. « Est-ce que M. Dumont désire retourner 50 ans en arrière? Veut-il aussi enlever le droit de vote aux femmes tant qu'à y être? ».
Enfin, Mme Tremblay dit craindre la dictature du parti et affirme qu'elle ne votera pas pour l'ADQ.
Le président du parti nie les allégations
Tom Pentefountas, président de l'ADQ
Le président du parti et deux députés ont nié, lundi, les allégations de Mme Tremblay.
Selon le président de l'ADQ, Tom Pentefountas, il n'y a aucun fondement à ce que dit Mme Tremblay. Il affirme qu'il n'y a pas d'intimidation à l'ADQ.
« Je peux vous dire que la question dont elle parle de 100 $ par semaine, ce dont elle n'est pas d'accord, elle ne m'a jamais fait part de cette difficulté qu'elle avait avec notre plateforme. Offrir 100 $, c'est le contraire, c'est offrir la chance aux familles québécoises de choisir comment dépenser cet argent. Il y a la moitié des enfants d'âge scolaire qui ont pas d'espace dans les garderies à 7 $ », a déclaré M. Pentefountas à RDI, lundi après-midi.
Le député de Shefford, François Bonnardel, croit lui qu'il y a un peu de frustration de la part de Sylvie Tremblay. « Aujourd'hui, Mme Tremblay est déçue de la situation avec laquelle elle a pu travailler. Non, il n'y a pas de dictature dans notre parti. Elle est aigrie, déçue. Il faut accepter la façon dont elle a voulu partir », dit-il.
La députée Lucie Leblanc
Sa collègue de la circonscrïption de Deux-Montagnes, la députée Lucie Leblanc, n'est pas d'accord non plus avec Mme Tremblay qui affirme indirectement qu'il y a du sexisme dans le parti. « Je ne suis pas du tout en accord avec l'opinion qu'elle donne de M. Dumont, pour avoir eu plusieurs rencontres avec lui. (...) J'ai eu plusieurs entretiens avec M. Dumont concernant la place des femmes. C'est devenu très important pour lui. J'ai eu le mandat très clair de l'augmenter [le nombre de femmes] lors des prochaines élections », dit-elle.
Je suis contente qu'elle quitte l'ADQ car elle n'a rien compris de la job de maman à la maison, ni du pourquoi elles le font.
Je trouve sa façon de voir méprisante et très réductrice. --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-04-22 22:27:22--
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Nikki. a écrit
Peut-être qu'elle pensait pouvoir faire quelque chose, et que finalement, elle s'est rendue compte qu'il n'y a rien à faire que de rentrer dans le moule et de suivre ''les idées du partie''?
Ce n'est pas la première qui parle d'anti-démocratie à l'ADQ...
ni la dernière ou le dernier j'ai bien l'impression....
en tout cas, il gagne pas à être trop connu ce Dumont. Tout ce qu'on découvre sur lui est l'image de son rire, d'ailleurs très bien imité à l'émission Gérard D. Laflaque ...
hors-propos: Nikki ta photo d'avatar est superbe, ce sont tes chats? ton chat a-t-il subi son opération ça s'est bien passé?? fin de l'hors-propos
Peut-être qu'elle pensait pouvoir faire quelque chose, et que finalement, elle s'est rendue compte qu'il n'y a rien à faire que de rentrer dans le moule et de suivre ''les idées du partie''?
Ce n'est pas la première qui parle d'anti-démocratie à l'ADQ...
ni la dernière ou le dernier j'ai bien l'impression....
en tout cas, il gagne pas à être trop connu ce Dumont. Tout ce qu'on découvre sur lui est l'image de son rire, d'ailleurs très bien imité à l'émission Gérard D. Laflaque ...
hors-propos: Nikki ta photo d'avatar est superbe, ce sont tes chats? ton chat a-t-il subi son opération ça s'est bien passé?? fin de l'hors-propos
Bambi_Smiley a écrit
Je suis contente qu'elle quitte l'ADQ car elle n'a rien compris de la job de maman à la maison, ni du pourquoi elles le font.
Je trouve sa façon de voir méprisante et très réductrice.
exactement ce que je pense. c'est quoi qui la chicotte dans le fait que des femmes restent à la maison? si une femme décide de mettre sa carrière ou de tout simplement ne pas avoir de carrière et d'être à la maison et éduqué ses enfants.
Je suis contente qu'elle quitte l'ADQ car elle n'a rien compris de la job de maman à la maison, ni du pourquoi elles le font.
Je trouve sa façon de voir méprisante et très réductrice.
exactement ce que je pense. c'est quoi qui la chicotte dans le fait que des femmes restent à la maison? si une femme décide de mettre sa carrière ou de tout simplement ne pas avoir de carrière et d'être à la maison et éduqué ses enfants.
le problème cette idée adéquiste n'offre pas une aide parentale mais juste aux femmes.
la conciliation travail famille, ça concerne les pères aussi.
....Ça concerne les parents.
extrait de :
Ian Bussières
Le Soleil
Québec
Une proposition de l’ADQ sur la conciliation travail-famille orientée uniquement vers les femmes et ne faisant aucune mention des pères a fait bondir les gens intéressés par le statut de la femme au Québec.
Dans le préambule de sa proposition, qui sera débattue à son congrès s’amorçant aujourd’hui à Laval, l’ADQ souligne «qu’afin de concilier travail et famille, les femmes ont besoin de temps».
Ainsi, le parti propose de mettre en place des incitatifs financiers pour les entreprises qui signeront avec leurs employées qui ont des enfants de moins de 16 ans des ententes de flexibilité concernant la durée du travail et d’encourager les femmes qui ont des enfants de moins de cinq ans à poursuivre des études en offrant une bourse d’études à la mère.
«Une honte»
«Ça n’a aucun sens! C’est une honte! La question de la conciliation travail-famille n’est pas juste une affaire de femmes, d’employées et de mères, c’est une question de société! Une telle proposition nous ramène loin en arrière», a commenté Diane-Gabrielle Tremblay, professeure en économie et gestion à la Télé-Université et spécialiste des dossiers de conciliation travail-famille.
«Les pères veulent de plus en plus être présents dans leur famille et ce sont eux qui ont le plus de difficulté à obtenir des mesures de conciliation», poursuit-elle en citant une analyse statistique démontrant que les femmes bénéficiaient de plus de soutien de leurs collègues et supérieurs quand elles font une demande de conciliation.
«S’il y a des incitatifs à apporter, c’est beaucoup plus du côté des hommes, car les femmes ont trouvé des façons de s’organiser, dans certains cas en faisant du temps partiel, et parfois au prix de leur carrière!» ajoute Mme Tremblay.
Nataliste
Louise Langevin, titulaire de la chaire d’étude Claire-Bonenfant de l’Université Laval sur la condition des femmes, n’était pour sa part pas surprise de la proposition de l’ADQ.
«Il ne faut pas oublier que ce parti a un discours nataliste. Ça rejoint la proposition du 100 $ par semaine par enfant qui ramenait les femmes à la maison et rendait plus difficile leur retour sur le marché du travail», explique-t-elle.
«Où sont les pères dans tout ça? Je reproche à la proposition de l’ADQ de s’adresser encore uniquement aux femmes, qui paient déjà largement le prix de la conciliation travail-famille», poursuit Mme Langevin.
Considérations financières
Du côté de l’ADQ, Diane Bellemare, conseillère principale sur les questions économiques, a souligné que des considérations financières avaient amené son parti à rédiger la proposition de cette façon.
«On ne sait pas encore ce qu’il en coûterait pour implanter de telles mesures, mais on en débattra en atelier. Il est très possible que la proposition soit amendée pour inclure les deux parents ou pour réduire l’âge maximal des enfants», explique-t-elle.
Se défendant de vouloir exclure les pères de la conciliation travail-famille, elle persiste toutefois à déclarer que les femmes ont besoin de davantage de temps à ce niveau.
«Beaucoup d’hommes sont des employés syndiqués qui bénéficient déjà de mesures de flexibilité, comme à Hydro-Québec. Les femmes ont plus de difficultés.»
Quant aux bourses d’études proposées, Mme Bellemare maintient qu’elles seraient réservées aux mères. «Ce sont surtout les femmes qui restent à la maison quand elles ont des enfants en bas âge et qu’elles ne les envoient pas à la garderie», conclut-elle.
+++++
donc mme Tremblay reproche le fait que le montant proposé ne s'adresse pas aux familles et aux parents mais juste aux femmes. Elle a raison car toutes les mesures de concilliation travail-famille sont orientées vers la famille (comme le dit si bien la formulation: travail-FAMILLE) et non juste les femmes.
citation de : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Po ... blay.shtml: Elle pense aussi que le parti de Mario Dumont a des politiques rétrogrades envers les femmes en leur proposant 100 $ par semaine si elles restent à la maison pour garder les enfants et faire le ménage, plutôt que pour aider les familles et les parents. « Est-ce que M. Dumont désire retourner 50 ans en arrière? Veut-il aussi enlever le droit de vote aux femmes tant qu'à y être?
la conciliation travail famille, ça concerne les pères aussi.
....Ça concerne les parents.
extrait de :
Ian Bussières
Le Soleil
Québec
Une proposition de l’ADQ sur la conciliation travail-famille orientée uniquement vers les femmes et ne faisant aucune mention des pères a fait bondir les gens intéressés par le statut de la femme au Québec.
Dans le préambule de sa proposition, qui sera débattue à son congrès s’amorçant aujourd’hui à Laval, l’ADQ souligne «qu’afin de concilier travail et famille, les femmes ont besoin de temps».
Ainsi, le parti propose de mettre en place des incitatifs financiers pour les entreprises qui signeront avec leurs employées qui ont des enfants de moins de 16 ans des ententes de flexibilité concernant la durée du travail et d’encourager les femmes qui ont des enfants de moins de cinq ans à poursuivre des études en offrant une bourse d’études à la mère.
«Une honte»
«Ça n’a aucun sens! C’est une honte! La question de la conciliation travail-famille n’est pas juste une affaire de femmes, d’employées et de mères, c’est une question de société! Une telle proposition nous ramène loin en arrière», a commenté Diane-Gabrielle Tremblay, professeure en économie et gestion à la Télé-Université et spécialiste des dossiers de conciliation travail-famille.
«Les pères veulent de plus en plus être présents dans leur famille et ce sont eux qui ont le plus de difficulté à obtenir des mesures de conciliation», poursuit-elle en citant une analyse statistique démontrant que les femmes bénéficiaient de plus de soutien de leurs collègues et supérieurs quand elles font une demande de conciliation.
«S’il y a des incitatifs à apporter, c’est beaucoup plus du côté des hommes, car les femmes ont trouvé des façons de s’organiser, dans certains cas en faisant du temps partiel, et parfois au prix de leur carrière!» ajoute Mme Tremblay.
Nataliste
Louise Langevin, titulaire de la chaire d’étude Claire-Bonenfant de l’Université Laval sur la condition des femmes, n’était pour sa part pas surprise de la proposition de l’ADQ.
«Il ne faut pas oublier que ce parti a un discours nataliste. Ça rejoint la proposition du 100 $ par semaine par enfant qui ramenait les femmes à la maison et rendait plus difficile leur retour sur le marché du travail», explique-t-elle.
«Où sont les pères dans tout ça? Je reproche à la proposition de l’ADQ de s’adresser encore uniquement aux femmes, qui paient déjà largement le prix de la conciliation travail-famille», poursuit Mme Langevin.
Considérations financières
Du côté de l’ADQ, Diane Bellemare, conseillère principale sur les questions économiques, a souligné que des considérations financières avaient amené son parti à rédiger la proposition de cette façon.
«On ne sait pas encore ce qu’il en coûterait pour implanter de telles mesures, mais on en débattra en atelier. Il est très possible que la proposition soit amendée pour inclure les deux parents ou pour réduire l’âge maximal des enfants», explique-t-elle.
Se défendant de vouloir exclure les pères de la conciliation travail-famille, elle persiste toutefois à déclarer que les femmes ont besoin de davantage de temps à ce niveau.
«Beaucoup d’hommes sont des employés syndiqués qui bénéficient déjà de mesures de flexibilité, comme à Hydro-Québec. Les femmes ont plus de difficultés.»
Quant aux bourses d’études proposées, Mme Bellemare maintient qu’elles seraient réservées aux mères. «Ce sont surtout les femmes qui restent à la maison quand elles ont des enfants en bas âge et qu’elles ne les envoient pas à la garderie», conclut-elle.
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donc mme Tremblay reproche le fait que le montant proposé ne s'adresse pas aux familles et aux parents mais juste aux femmes. Elle a raison car toutes les mesures de concilliation travail-famille sont orientées vers la famille (comme le dit si bien la formulation: travail-FAMILLE) et non juste les femmes.
citation de : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Po ... blay.shtml: Elle pense aussi que le parti de Mario Dumont a des politiques rétrogrades envers les femmes en leur proposant 100 $ par semaine si elles restent à la maison pour garder les enfants et faire le ménage, plutôt que pour aider les familles et les parents. « Est-ce que M. Dumont désire retourner 50 ans en arrière? Veut-il aussi enlever le droit de vote aux femmes tant qu'à y être?
Ganesha a écritle problème cette idée adéquiste n'offre pas une aide parentale mais juste aux femmes.
la conciliation travail famille, ça concerne les pères aussi.
....Ça concerne les parents.
extrait de :
Ian Bussières
Le Soleil
Québec
Une proposition de l’ADQ sur la conciliation travail-famille orientée uniquement vers les femmes et ne faisant aucune mention des pères a fait bondir les gens intéressés par le statut de la femme au Québec.
Dans le préambule de sa proposition, qui sera débattue à son congrès s’amorçant aujourd’hui à Laval, l’ADQ souligne «qu’afin de concilier travail et famille, les femmes ont besoin de temps».
Ainsi, le parti propose de mettre en place des incitatifs financiers pour les entreprises qui signeront avec leurs employées qui ont des enfants de moins de 16 ans des ententes de flexibilité concernant la durée du travail et d’encourager les femmes qui ont des enfants de moins de cinq ans à poursuivre des études en offrant une bourse d’études à la mère.
«Une honte»
«Ça n’a aucun sens! C’est une honte! La question de la conciliation travail-famille n’est pas juste une affaire de femmes, d’employées et de mères, c’est une question de société! Une telle proposition nous ramène loin en arrière», a commenté Diane-Gabrielle Tremblay, professeure en économie et gestion à la Télé-Université et spécialiste des dossiers de conciliation travail-famille.
«Les pères veulent de plus en plus être présents dans leur famille et ce sont eux qui ont le plus de difficulté à obtenir des mesures de conciliation», poursuit-elle en citant une analyse statistique démontrant que les femmes bénéficiaient de plus de soutien de leurs collègues et supérieurs quand elles font une demande de conciliation.
«S’il y a des incitatifs à apporter, c’est beaucoup plus du côté des hommes, car les femmes ont trouvé des façons de s’organiser, dans certains cas en faisant du temps partiel, et parfois au prix de leur carrière!» ajoute Mme Tremblay.
Nataliste
Louise Langevin, titulaire de la chaire d’étude Claire-Bonenfant de l’Université Laval sur la condition des femmes, n’était pour sa part pas surprise de la proposition de l’ADQ.
«Il ne faut pas oublier que ce parti a un discours nataliste. Ça rejoint la proposition du 100 $ par semaine par enfant qui ramenait les femmes à la maison et rendait plus difficile leur retour sur le marché du travail», explique-t-elle.
«Où sont les pères dans tout ça? Je reproche à la proposition de l’ADQ de s’adresser encore uniquement aux femmes, qui paient déjà largement le prix de la conciliation travail-famille», poursuit Mme Langevin.
Considérations financières
Du côté de l’ADQ, Diane Bellemare, conseillère principale sur les questions économiques, a souligné que des considérations financières avaient amené son parti à rédiger la proposition de cette façon.
«On ne sait pas encore ce qu’il en coûterait pour implanter de telles mesures, mais on en débattra en atelier. Il est très possible que la proposition soit amendée pour inclure les deux parents ou pour réduire l’âge maximal des enfants», explique-t-elle.
Se défendant de vouloir exclure les pères de la conciliation travail-famille, elle persiste toutefois à déclarer que les femmes ont besoin de davantage de temps à ce niveau.
«Beaucoup d’hommes sont des employés syndiqués qui bénéficient déjà de mesures de flexibilité, comme à Hydro-Québec. Les femmes ont plus de difficultés.»
Quant aux bourses d’études proposées, Mme Bellemare maintient qu’elles seraient réservées aux mères. «Ce sont surtout les femmes qui restent à la maison quand elles ont des enfants en bas âge et qu’elles ne les envoient pas à la garderie», conclut-elle.
+++++
donc mme Tremblay reproche le fait que le montant proposé ne s'adresse pas aux familles et aux parents mais juste aux femmes. Elle a raison car toutes les mesures de concilliation travail-famille sont orientées vers la famille (comme le dit si bien la formulation: travail-FAMILLE) et non juste les femmes.
citation de : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Po ... blay.shtml: Elle pense aussi que le parti de Mario Dumont a des politiques rétrogrades envers les femmes en leur proposant 100 $ par semaine si elles restent à la maison pour garder les enfants et faire le ménage, plutôt que pour aider les familles et les parents. « Est-ce que M. Dumont désire retourner 50 ans en arrière? Veut-il aussi enlever le droit de vote aux femmes tant qu'à y être?
Je ne peux croire que l'ADQ se bornerait à donner ce montant uniquement aux maman.
Je crois que l'idée est de donner 100$ par semaine aux familles dont l'enfant ne va pas en garderie.
la conciliation travail famille, ça concerne les pères aussi.
....Ça concerne les parents.
extrait de :
Ian Bussières
Le Soleil
Québec
Une proposition de l’ADQ sur la conciliation travail-famille orientée uniquement vers les femmes et ne faisant aucune mention des pères a fait bondir les gens intéressés par le statut de la femme au Québec.
Dans le préambule de sa proposition, qui sera débattue à son congrès s’amorçant aujourd’hui à Laval, l’ADQ souligne «qu’afin de concilier travail et famille, les femmes ont besoin de temps».
Ainsi, le parti propose de mettre en place des incitatifs financiers pour les entreprises qui signeront avec leurs employées qui ont des enfants de moins de 16 ans des ententes de flexibilité concernant la durée du travail et d’encourager les femmes qui ont des enfants de moins de cinq ans à poursuivre des études en offrant une bourse d’études à la mère.
«Une honte»
«Ça n’a aucun sens! C’est une honte! La question de la conciliation travail-famille n’est pas juste une affaire de femmes, d’employées et de mères, c’est une question de société! Une telle proposition nous ramène loin en arrière», a commenté Diane-Gabrielle Tremblay, professeure en économie et gestion à la Télé-Université et spécialiste des dossiers de conciliation travail-famille.
«Les pères veulent de plus en plus être présents dans leur famille et ce sont eux qui ont le plus de difficulté à obtenir des mesures de conciliation», poursuit-elle en citant une analyse statistique démontrant que les femmes bénéficiaient de plus de soutien de leurs collègues et supérieurs quand elles font une demande de conciliation.
«S’il y a des incitatifs à apporter, c’est beaucoup plus du côté des hommes, car les femmes ont trouvé des façons de s’organiser, dans certains cas en faisant du temps partiel, et parfois au prix de leur carrière!» ajoute Mme Tremblay.
Nataliste
Louise Langevin, titulaire de la chaire d’étude Claire-Bonenfant de l’Université Laval sur la condition des femmes, n’était pour sa part pas surprise de la proposition de l’ADQ.
«Il ne faut pas oublier que ce parti a un discours nataliste. Ça rejoint la proposition du 100 $ par semaine par enfant qui ramenait les femmes à la maison et rendait plus difficile leur retour sur le marché du travail», explique-t-elle.
«Où sont les pères dans tout ça? Je reproche à la proposition de l’ADQ de s’adresser encore uniquement aux femmes, qui paient déjà largement le prix de la conciliation travail-famille», poursuit Mme Langevin.
Considérations financières
Du côté de l’ADQ, Diane Bellemare, conseillère principale sur les questions économiques, a souligné que des considérations financières avaient amené son parti à rédiger la proposition de cette façon.
«On ne sait pas encore ce qu’il en coûterait pour implanter de telles mesures, mais on en débattra en atelier. Il est très possible que la proposition soit amendée pour inclure les deux parents ou pour réduire l’âge maximal des enfants», explique-t-elle.
Se défendant de vouloir exclure les pères de la conciliation travail-famille, elle persiste toutefois à déclarer que les femmes ont besoin de davantage de temps à ce niveau.
«Beaucoup d’hommes sont des employés syndiqués qui bénéficient déjà de mesures de flexibilité, comme à Hydro-Québec. Les femmes ont plus de difficultés.»
Quant aux bourses d’études proposées, Mme Bellemare maintient qu’elles seraient réservées aux mères. «Ce sont surtout les femmes qui restent à la maison quand elles ont des enfants en bas âge et qu’elles ne les envoient pas à la garderie», conclut-elle.
+++++
donc mme Tremblay reproche le fait que le montant proposé ne s'adresse pas aux familles et aux parents mais juste aux femmes. Elle a raison car toutes les mesures de concilliation travail-famille sont orientées vers la famille (comme le dit si bien la formulation: travail-FAMILLE) et non juste les femmes.
citation de : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Po ... blay.shtml: Elle pense aussi que le parti de Mario Dumont a des politiques rétrogrades envers les femmes en leur proposant 100 $ par semaine si elles restent à la maison pour garder les enfants et faire le ménage, plutôt que pour aider les familles et les parents. « Est-ce que M. Dumont désire retourner 50 ans en arrière? Veut-il aussi enlever le droit de vote aux femmes tant qu'à y être?
Je ne peux croire que l'ADQ se bornerait à donner ce montant uniquement aux maman.
Je crois que l'idée est de donner 100$ par semaine aux familles dont l'enfant ne va pas en garderie.
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
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- Seigneur de la Causerie
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Le jeudi 24 avril 2008
Dumont promet des changements
Martin Ouellet
La Presse Canadienne
Québec
En chute libre dans les sondages, Mario Dumont promet une «une série de changements» au sein de son parti afin de mieux «faire passer» le message de l'Action démocratique (ADQ).
«Certains de nos messages passent, d'autres moins. Mais c'est une bataille de longue haleine la politique», a dit le chef adéquiste, interrogé par des journalistes au terme d'une allocution jeudi devant les membres de l'Union des municipalités du Québec (UMQ).
«Un an après l'élection, c'est un bon moment pour évaluer les bons et les moins bons coups et voir les changements qui peuvent être faits», a précisé M. Dumont.
Pour l'heure, le parti libéral du Québec (PLQ) au pouvoir trône en tête des intentions de vote par une marge que lui permet d'espérer former un gouvernement majoritaire.
«Le gouvernement de cohabitation fonctionne bien. J'y vois une belle réussite», a commenté le premier ministre Jean Charest.
D'après un sondage Léger Marketing-Le Devoir publié jeudi, le Parti libéral du Québec (PLQ) aurait obtenu 37% d'appui si des élections avaient eu lieu la semaine dernière, contre 33% pour le Parti québécois (PQ) et 18 pour cent pour l'ADQ.
Grisés par cette popularité nouvelle, les libéraux n'hésitent pas à s'épandre sur les malheurs de leurs rivaux de la dernière élection.
Pour la vice-première ministre et ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, il apparaît clair que la population n'aime pas ce qu'elle voit et entend de l'ADQ.
«Au-delà des sondages, les Québécois apprennent de plus en plus au fil du temps à connaître la vraie nature de Mario Dumont. Ils apprennent ce qu'est l'ADQ et la philosophie qui l'anime. Les Québécois sont déçus», a commenté Mme Normandeau, dans un corridor de l'Assemblée nationale.
Les allégations d'intolérance, de totalitarisme et d'hostilité envers les femmes véhiculées ces dernières semaines par d'anciens militants et candidats adéquistes déçus font la joie des adversaires politiques de Mario Dumont. Le PLQ et le PQ ne se gênent pas pour exploiter la situation à leur avantage.
Le député péquiste François Legault estime que le leader de l'ADQ n'a pas été à la hauteur des attentes de ceux qui voyaient en lui un porteur du changement.
«Il a perdu beaucoup de crédibilité», a-t-il analysé. Les difficultés de l'ADQ, notamment dans la banlieue montréalaise, laissent présager des gains péquistes faciles dans au moins cinq ou six comtés, a prédit M. Legault.
Avec 18 pour cent des intentions de vote - une chute de neuf points depuis l'automne - l'ADQ retrouve un niveau d'appui similaire à celui qu'il avait obtenu lors du scrutin de 2003. Les résultats avaient alors été catastrophiques. Au total, cinq adéquistes seulement avaient été élus à l'Assemblée nationale, incluant le chef.
Étant donné les circonstances, les députés de l'ADQ ont opté pour la discrétion jeudi, préférant longer les murs plutôt que de commenter un nouveau sondage dévastateur.
Simon-Pierre Diamond, le plus jeune député de la cohorte adéquiste de 2007, a toutefois laissé tomber quelques mots.
«L'ADQ a été tuée une dizaine de fois et on est toujours là. Je ne m'inquiète pas du tout», a-t-il lancé en passant en coup de vent devant les reporters.
Dumont promet des changements
Martin Ouellet
La Presse Canadienne
Québec
En chute libre dans les sondages, Mario Dumont promet une «une série de changements» au sein de son parti afin de mieux «faire passer» le message de l'Action démocratique (ADQ).
«Certains de nos messages passent, d'autres moins. Mais c'est une bataille de longue haleine la politique», a dit le chef adéquiste, interrogé par des journalistes au terme d'une allocution jeudi devant les membres de l'Union des municipalités du Québec (UMQ).
«Un an après l'élection, c'est un bon moment pour évaluer les bons et les moins bons coups et voir les changements qui peuvent être faits», a précisé M. Dumont.
Pour l'heure, le parti libéral du Québec (PLQ) au pouvoir trône en tête des intentions de vote par une marge que lui permet d'espérer former un gouvernement majoritaire.
«Le gouvernement de cohabitation fonctionne bien. J'y vois une belle réussite», a commenté le premier ministre Jean Charest.
D'après un sondage Léger Marketing-Le Devoir publié jeudi, le Parti libéral du Québec (PLQ) aurait obtenu 37% d'appui si des élections avaient eu lieu la semaine dernière, contre 33% pour le Parti québécois (PQ) et 18 pour cent pour l'ADQ.
Grisés par cette popularité nouvelle, les libéraux n'hésitent pas à s'épandre sur les malheurs de leurs rivaux de la dernière élection.
Pour la vice-première ministre et ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, il apparaît clair que la population n'aime pas ce qu'elle voit et entend de l'ADQ.
«Au-delà des sondages, les Québécois apprennent de plus en plus au fil du temps à connaître la vraie nature de Mario Dumont. Ils apprennent ce qu'est l'ADQ et la philosophie qui l'anime. Les Québécois sont déçus», a commenté Mme Normandeau, dans un corridor de l'Assemblée nationale.
Les allégations d'intolérance, de totalitarisme et d'hostilité envers les femmes véhiculées ces dernières semaines par d'anciens militants et candidats adéquistes déçus font la joie des adversaires politiques de Mario Dumont. Le PLQ et le PQ ne se gênent pas pour exploiter la situation à leur avantage.
Le député péquiste François Legault estime que le leader de l'ADQ n'a pas été à la hauteur des attentes de ceux qui voyaient en lui un porteur du changement.
«Il a perdu beaucoup de crédibilité», a-t-il analysé. Les difficultés de l'ADQ, notamment dans la banlieue montréalaise, laissent présager des gains péquistes faciles dans au moins cinq ou six comtés, a prédit M. Legault.
Avec 18 pour cent des intentions de vote - une chute de neuf points depuis l'automne - l'ADQ retrouve un niveau d'appui similaire à celui qu'il avait obtenu lors du scrutin de 2003. Les résultats avaient alors été catastrophiques. Au total, cinq adéquistes seulement avaient été élus à l'Assemblée nationale, incluant le chef.
Étant donné les circonstances, les députés de l'ADQ ont opté pour la discrétion jeudi, préférant longer les murs plutôt que de commenter un nouveau sondage dévastateur.
Simon-Pierre Diamond, le plus jeune député de la cohorte adéquiste de 2007, a toutefois laissé tomber quelques mots.
«L'ADQ a été tuée une dizaine de fois et on est toujours là. Je ne m'inquiète pas du tout», a-t-il lancé en passant en coup de vent devant les reporters.
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
-
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
.anthurium. a écritLe jeudi 24 avril 2008
Dumont promet des changements
Martin Ouellet
La Presse Canadienne
Québec
Simon-Pierre Diamond, le plus jeune député de la cohorte adéquiste de 2007, a toutefois laissé tomber quelques mots.
«L'ADQ a été tuée une dizaine de fois et on est toujours là. Je ne m'inquiète pas du tout», a-t-il lancé en passant en coup de vent devant les reporters.
Le parti créditiste aussi a été tué une dizaine de fois....et il a fini par disparaître pour vrai. ;)
Dumont promet des changements
Martin Ouellet
La Presse Canadienne
Québec
Simon-Pierre Diamond, le plus jeune député de la cohorte adéquiste de 2007, a toutefois laissé tomber quelques mots.
«L'ADQ a été tuée une dizaine de fois et on est toujours là. Je ne m'inquiète pas du tout», a-t-il lancé en passant en coup de vent devant les reporters.
Le parti créditiste aussi a été tué une dizaine de fois....et il a fini par disparaître pour vrai. ;)
Red Ketchup a écrit
Le parti créditiste aussi a été tué une dizaine de fois....et il a fini par disparaître pour vrai. ;)
Elle est pas drôle, mais je la ris pareil tellement la comparaison est... Bon ça y est, encore un fou rire qui me pogne
Signé Bambi crampée ben raide
Le parti créditiste aussi a été tué une dizaine de fois....et il a fini par disparaître pour vrai. ;)
Elle est pas drôle, mais je la ris pareil tellement la comparaison est... Bon ça y est, encore un fou rire qui me pogne
Signé Bambi crampée ben raide
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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