LE DOMAINE BLEU

Grain de sel a écrit : [...]


Je me suis peut-être mal exprimé, certains ici semble dire que Marc Bellemare savait avoir l'agenda et qu'il l'avait conservé en sa possession pour la remettre comme preuve plus tard.

A mon avis, on ne devrait pas l'applaudir d'avoir fait une telle chose car si tel est le cas, quand on l'a interrogé et qu'il a dit ne pas avoir d'agenda il se serait parjuré.

C'est une commission pas une court ou procès de personne donc ils peuvent bien dire ce qu'ils veulent personne ne sera accusé de parjure ou fde qwuoi que ce soit mais peuvent perdre leur crédibilité en mentant. Faut pas oublier que c'est pas son agenda donc il n'a pas menti.. c'est un agenda ministériel.....

Charest doit réfléchir à son avenir selon Marois
Nouvelles générales - Politique provinciale
Écrit par Yves Chartrand
Mardi, 28 septembre 2010 18:32
Mise à jour le Mardi, 28 septembre 2010 18:57

QUÉBEC – Après son leader parlementaire Stéphane Bédard la semaine dernière qui a invité Jean Charest à aller «faire une longue promenade dans les feuilles» pour penser à son avenir, la chef du Parti Québécois a demandé mardi à son tour au chef libéral de «prendre un certain temps de réflexion».

Forte de sondages qui placent son parti très loin en avant dans les intentions de votes des Québécois, et surtout qui demandent le départ immédiat ou rapide de Jean Charest comme premier ministre, Pauline Marois a poursuivi mardi son travail de martèlement pour provoquer le départ de Jean Charest ou même des élections générales anticipées.

Lors d’une conférence de presse dans le hall de l’Assemblée nationale mardi midi, où elle était entourée de ses députés, du député de Québec solidaire, Amir Khadir, et de représentants de la Coalition opposé au projet de loi 103 sur la Charte de la langue française, la chef péquiste est d’avis que le premier ministre «a matière à réfléchir».

Pauline Marois a directement associé l’article-choc du magazine Maclean’s – qui a coiffé le Québec du titre de la province la plus corrompue au Canada – aux présumés scandales associés au gouvernement de Jean Charest depuis un an.

La collusion dans la construction, les allégations de corruption, l’octroi de places dans les garderies relié au financement du PLQ sont autant d’événements qui ternissent la réputation du Québec. «On peut comprendre que de tels événements suscitent la réaction qu’on a vue dans Maclean’s», dit Pauline Marois.

Elle ne s’est pas gênée en outre pour dire que la commission Bastarache sur le processus de nomination des juges «est devenue une véritable comédie». Au lieu de cela, il aurait été 100 fois mieux de créer la commission d’enquête indépendante réclamée depuis plus d’un an par les partis d’opposition et les Québécois en général.

Malgré l’insistance des journalistes qui la questionnaient, Pauline Marois a refusé de demander la démission du premier ministre libéral. «Vous croyez qu’il va répondre oui?» a-t-elle répliqué.

«Je lui demande au moins de réfléchir à son avenir et aux gestes qu’il ne pose pas actuellement et qui nuisent profondément à l’image du Québec», dit la chef du Parti québécois.
Le député de Québec solidaire, de plus en plus en symbiose avec le PQ, a ajouté sa tartine de fiel sur le dos du premier ministre.

«Jean Charest, dit Amir Khadir, est arrivé à un moment de sa carrière où il n’est plus capable d’exercer ses fonctions de chef d’État». Le premier ministre doit donc «prendre un certain temps de réflexion» pour utiliser «un espace pour corriger le tir».

Il a dénoncé «l’inaptitude» de Jean Charest à exercer «un leadership politique» pour défendre des questions «qui touchent aux intérêts supérieurs du Québec».

Par ailleurs, selon Pauline Marois, avec le projet de loi 103 qui permettra aux mieux nantis d’acheter une éducation en langue anglaise dans le système public québécois, le gouvernement de Jean Charest se plie «aux diktats de la Cour suprême, un tribunal contrôlé exclusivement par une autre nation» et qui favorisera l’assimilation des Québécois à l’anglais.

«La langue française est menacée, en particulier dans l’île de Montréal», juge Pauline Marois qui demande toujours que les écoles privées non subventionnées du Québec soient assujetties à la Charte de la langue française, et exige du gouvernement de se prévaloir de la clause nonobstant s’il le faut.

La commission parlementaire chargée d’étudier le projet de loi 103 prend fin ce soir. Quelque 43 mémoires ont été déposés. Selon le décompte de Pierre Curzi du PQ, plus de 36 d’entre eux demandent au gouvernement l’application intégrale de la loi 101 aux écoles privées non subventionnées.

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Beppo a écrit : [...]


Si le rendez-vous a été pris par la secrétaire, il n'en demeure pas moins qu'il devait y avoir rencontre, non? La secrétaire a inscrit ce rendez-vous à l'agenda pour quelle raison alors? Et c'est Charest qui a dit lors de son témoignage qu'à partir de 19h30 ce soir-là (le 2 septembre) qu'il était à son bureau à lire des documents suite à une réunion préparatoire au conseil des ministres du lendemain.

C'est exact que cette rencontre devait avoir lieu puisqu'elle l'avait inscrite. Elle n'a certainement pas deviné que 7 ans plus tard, ça pourrait être utile. Que Jean Charest n'ait pas cette rencontre à son agenda est un oubli probablement. Celui qui a témoigné vendredi matin Stéphane Bertrand a avoué que ça pouvait être possible même si c'est très rare.

Beppo a écrit : [...]


Et sur la même disquette, si j'ai bien compris, il y a également au moins deux rendez-vous avec Fava. Pourtant, lui aussi a nié avoir rencontré Bellemarre. Il ne l'a jamais rencontré en privé a-t-il dit.

Tu as bien compris, c'est ce qu'on a dit qu'il y avait 2 rencontres avec Fava notées dans l'agenda en question. Lui aussi, comme le chef, a tout nié en bloc. Faut le faire!

À bien y penser, c'est M. Rondeau qui semble avoir été le plus honnête dans son témoignage. Il n'a pas caché ses nombreuses visites à Chantal Landry ni d'avoir recommandé certaines personnes, entr'autre le juge Simard.

Grain de sel a écrit : [...]


Je me suis peut-être mal exprimé, certains ici semble dire que Marc Bellemare savait avoir l'agenda et qu'il l'avait conservé en sa possession pour la remettre comme preuve plus tard.

A mon avis, on ne devrait pas l'applaudir d'avoir fait une telle chose car si tel est le cas, quand on l'a interrogé et qu'il a dit ne pas avoir d'agenda il se serait parjuré.

Bah en ce qui me concerne c'est un pratiquement de la légitime défense puis franchement c'est un pieu mensonge en comparaison de tous les autres qui ont menti effrontément devant cette commission.

Grain de sel a écrit : [...]


Si Marc Bellemare avait déjà cette diskette en sa possession quand on lui a posé la question à savoir s'il avait un agenda et qu'il a répondu non, celà voudrait dire qu'il s'est parjuré, il n'y a rien là pour l'applaudir.

PS: S'il connaissait l'existence de cette diskette et qu'il ait dit ne pas avoir d'agenda.

Bien tu vois, je l'applaudis car tant qu'à moi, cette commission est un tissu de mensonge depuis le début et tout le monde se parjure, nous sommes dans la ligne national des hauts dirigeants et tous les coups sont permis à date. Pourquoi , Bellemarre serait plus jugé qu'un autre ?

Si Bellemarre a eut l'intelligence de mettre la gang dans le coin avec leur parjure, je lui lève mon chapeau car il a été très stratégique, enfin nous allons peut-être voir des têtes tomber. Je m'en fou qu'il a menti pour être stratégique car je pense qu'il n'avait pas le choix pour prouver ses dires face à toute cette machine de manipulation.

Cela dit, c'est peut-être vrai aussi que sa femme trouvé cette disquette à la dernière minute mais disons que je n'y crois pas trop.

Malike a écrit : [...]


Bah en ce qui me concerne c'est un pratiquement de la légitime défense puis franchement c'est un pieu mensonge en comparaison de tous les autres qui ont menti effrontément devant cette commission.

Charest s'il veut se recycler à sa retraite, je le verrais vendeur de balayeuse électrolux porte-à-porte.

Quand il parle, il a tellement l'air sincère, qu'on a le goût de brailler. Il cogne, il glisse une couple de phrases et les tite-madames partent à pleurer pis signent.
En tout cas, ma mère quand elle m'a annoncé l'année dernière qu'elle le trouvait sympathique, les deux bras m'ont tombé.

Personnellement quand il ouvre la bouche, c'est le comble de la menterie. J'aimerais tellement que quelqu'un lui fasse alonger le nez. Si Bellemare réussit, je l'applaudis. Charest pour avoir réussi à se mettre là où il est, c'est le joueur étoile de la ligne nationale du jouage de violon.

Malike a écrit : [...]


Bah en ce qui me concerne c'est un pratiquement de la légitime défense puis franchement c'est un pieu mensonge en comparaison de tous les autres qui ont menti effrontément devant cette commission.

Exactement.......

On a déjà vu Charest la main sur le coeur jurer en chambre qu'il n'y avait pas de déficit à la caisse de dépôt en pleine campagne électorale....

Alors qu'il savait que c'était faux et que tout a sorti juste après les élections....

Désolée mais moi, les airs sincères de Charest, je n'y crois pas...Ce rendez-vous a simplement été effacé de son agenda dès qu'il a pris connaissance des allégations de M Bellemarre. M Charest est un spécialiste du mensonge à l'air sincère....Il n'en est pas à sa première mettons....

Commission Bastarache
Marc Bellemare nie avoir aidé Nelson Gagner
Mise à jour : 29/09/2010 08h05

Marc Bellemare nie avoir déjà offert un poste de juge à l'avocat Nelson Gagné ou même être intervenu auprès du ministre fédéral de la Justice, Irwin Cotler, en 2004, pour qu'il y accède.

M. Bellemare, qui admet connaître Nelson Gagné pour avoir travaillé avec lui dans le passé, jure que ce dernier ne lui a jamais parlé d'un poste de juge qu'il aurait convoité. «Je ne savais même pas qu'il avait demandé à être juge», a-t-il confié au Journal de Québec.

Une version contredite catégoriquement par Marc Bellemare : «Non, ce n'est pas vrai.» Selon lui, Nelson Gagné, qui se qualifie lui-même de «libéral de souche», essaie ni plus ni moins d'aider ses amis du parti.

«C'est drôle, ça me fait penser à Jean-Paul Boily», a-t-il ironisé. Me Boily est un autre avocat de Québec qui a fait des sorties publiques pour contredire les déclarations et le témoignage de l'ex-ministre.

Il a notamment soutenu que le parti municipal de M. Bellemare, Vision Québec, a sollicité l'aide financière des collecteurs de fonds libéraux Charles Rondeau et Franco Fava, en 2005, c'est-à-dire plus d'un an après qu'il eu quitté le gouvernement du Québec.

M. Boily a également affirmé qu'il était normal qu'un ministre de la Justice subisse des pressions de toutes parts, entre autres de grands argentiers du parti.

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Publié le 29 septembre 2010 à 00h00 | Mis à jour à 00h00
Merci, pas d'autre question

Yves Boisvert
La Presse

Peu importe ce qu'on trouvera dans les entrailles de la disquette de Marc Bellemare, l'essentiel est déjà sur la table: la nomination des juges est loin d'être imperméable au favoritisme politique.

Car en bout de piste, que le commissaire Bastarache croie Marc Bellemare, sa disquette, ses deux stylos et les Post-it providentiels de son sous-ministre, ou Jean Charest, son agenda et ses organisateurs, ça ne changera pas grand-chose.

C'est-à-dire que ça changera plein de choses pour ces deux-là. Mais sur le fond cosmique de l'affaire, on est déjà pas mal fixé.

***

Il était déjà de commune renommée que le parrainage politique joue un rôle dans la nomination des juges. On a maintenant le film.

Résumons-nous. Deux ministres croient utile de sensibiliser leur collègue de la Justice à la candidature de quelqu'un. Un financier fait la même chose pour un ancien collègue de classe. La responsable des nominations au bureau du premier ministre, Chantal Landry, militante libérale de longue date, reçoit du ministre de la Justice la liste des candidats sélectionnés, avec son choix. Elle montre ça au premier ministre, C.V. à l'appui. Il lui renvoie le tout avec sa suggestion.

Mme Landry nous dit aussi que, dans deux cas, le ministre de la Justice n'ayant pas fait de choix, elle a consulté l'ancien titulaire, Jacques Dupuis, qui connaît bien le milieu.

Et puis, quand elle avait l'information, elle écrivait à l'intention du premier ministre une note sur l'allégeance politique du candidat.

Pourquoi noter l'allégeance politique, Mme Landry? C'est comme ça.

Voilà, décrit très simplement, le mécanisme de l'influence politique dans la nomination des juges.

Il n'y a pas d'enveloppes brunes. Il n'y a pas de sombre complot. Les candidats retenus par le comité de sélection sont tous compétents.

Mais s'ils n'ont pas un quelconque appui politique, ces gens tous compétents resteront probablement cela: un nom sur une liste.

Des gens ont trouvé Mme Landry bien oublieuse. Je ne vois pas ce qu'il y a d'étonnant dans le fait qu'elle ne se souvienne pas de la vaste majorité des 800 personnes nommées sous sa supervision chaque année. Je l'ai trouvée bien transparente. Elle nous a très simplement expliqué comment un réseau informel libéral se communique de l'information.

À la fin, il y a parfois une note sur le dossier du premier ministre: «Libéral.»

***

Que voulez-vous de plus? Une cagoule, une armoire à double fond, un compte de banque en Suisse?

Voilà, dans la vie, comment on devient juge. On vous sélectionne si vous êtes apte et, après, quelqu'un dit un bon mot pour vous. Pas toujours. Et pas nécessairement parce que vous êtes libéral depuis trois générations - ou péquiste, car ce système, sauf ses détails, n'est pas nouveau.

Il arrive au ministre, au premier ministre, de s'enthousiasmer pour un candidat qui n'a jamais fait de politique. Eh oui, juste parce qu'il est excellent de commune renommée. On a même vu Jean Chrétien nommer des péquistes - pas des masses, rassurez-vous.

Si vous rencontrez tous ces gens et leur dites qu'il faut réformer le système, ils vous regardent avec le plus grand étonnement. Comment? Les juges? Voilà bien quelque chose de sacré. Au moins, ça, le gouvernement le fait bien! Oui, bon, à candidat égal... Il arrive, certains jours creux, à Baie-Comeau... Mais ce n'est pas un crime d'être libéral, ou le cousin d'un libéral, n'est-ce pas? Faut pas tomber dans le purisme et l'angélisme!

La meilleure preuve de cet état d'esprit est la création même de cette commission d'enquête. Pensez-vous que Jean Charest l'aurait déclenchée s'il avait craint qu'on y découvre de terribles vérités sur la nomination des juges?

Pour lui, tout va bien, il veut sûrement d'excellents candidats, beaucoup de femmes, de la diversité, etc. Amenez-en, des questions, tout va bien. Il est fier. Y en a pas, de problème!

Et pourtant, oui, il y en a. Pas dans les histoires de Marc Bellemare (qui répète d'ailleurs que le système est excellent sauf les trois incidents qu'il soulève). Le problème est dans le très banal mécanisme de favoritisme politique.

En ce qui me concerne, il est amplement prouvé, établi. Merci, monsieur le commissaire, je n'ai plus de questions.

Ce gouvernement aura-t-il le courage de le réformer? Il s'agit ici de l'indépendance de la magistrature et de la confiance du public.

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Annouk a écrit : On a déjà vu Charest la main sur le coeur jurer en chambre qu'il n'y avait pas de déficit à la caisse de dépôt en pleine campagne électorale....

Alors qu'il savait que c'était faux et que tout a sorti juste après les élections....

Désolée mais moi, les airs sincères de Charest, je n'y crois pas...Ce rendez-vous a simplement été effacé de son agenda dès qu'il a pris connaissance des allégations de M Bellemarre. M Charest est un spécialiste du mensonge à l'air sincère....Il n'en est pas à sa première mettons....

C'est effectivement un excellent politicien

En plus qu'il maîtrise l'art de détourner les questions et de "boucher" ses interlocuteurs... Son talent oratoire m'énerve au plus haut point, c'est un fin manipulateur, c'est un adversaire coriace...

kolem a écrit : [...]

C'est effectivement un excellent politicien

En plus qu'il maîtrise l'art de détourner les questions et de "boucher" ses interlocuteurs... Son talent oratoire m'énerve au plus haut point, c'est un fin manipulateur, c'est un adversaire coriace...

Et que tu as raison. Il excelle dans l'art oratoire, autant au niveau du vocabulaire que dans le ton et le débit qu'il réussi très souvent à endormir le monde avec le contenu, quand contenu il y a.

Me Bellemare va être à Tout le monde en parle dimanche.

Pas sûre que c'est une bonne idée. Mais bon... on verra bien.

Capuchino a écrit : Me Bellemare va être à Tout le monde en parle dimanche.

Pas sûre que c'est une bonne idée. Mais bon... on verra bien.

Moi non plus je ne crois pas que cela soit une riche idée......il ne pourra pas parler de rien vu que la commission siège toujours et ses procès contre Charest...

Capuchino a écrit : Me Bellemare va être à Tout le monde en parle dimanche.

Pas sûre que c'est une bonne idée. Mais bon... on verra bien.

Je ne trouvais pas que c'était une bonne idée pour la femme de Charest, mais ça s'est bien passé... donc, j'imagine qu'ils ne plongeront pas dans le sujet comme ils l'ont fait..... sinon, je suis en accord avec toi, je ne trouve pas que c'est une bonne idée.....

tuberale a écrit : [...]



Moi non plus je ne crois pas que cela soit une riche idée......il ne pourra pas parler de rien vu que la commission siège toujours et ses procès contre Charest...

Ha, j'avais compris que c'était sa femme..... ouin, si c'est lui... c'est vraiment pas une bonne idée....

Je me demande ce qu'il y a de difficile à comprendre dans "ne parlez pas aux médias avant la fin de la commission"

Placeress a écrit : [...]



Ha, j'avais compris que c'était sa femme..... ouin, si c'est lui... c'est vraiment pas une bonne idée....

Je me demande ce qu'il y a de difficile à comprendre dans "ne parlez pas aux médias avant la fin de la commission"

Ah je le pensais aussi il y a 2 minutes mais je viens de lire l,article suivant et cela dit que cela se terminerait vendredi la commission mais bon l'émission est enregistrée le jeudi donc techniquement elle siégerait toujours. ....reste aussi le procès contre Charest.....

http://www.cyberpresse.ca/actualites/do ... cueil_POS4" onclick="window.open(this.href);return false;

tuberale a écrit : [...]



Ah je le pensais aussi il y a 2 minutes mais je viens de lire l,article suivant et cela dit que cela se terminerait vendredi la commission mais bon l'émission est enregistrée le jeudi donc techniquement elle siégerait toujours. ....reste aussi le procès contre Charest.....

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Exactement..... bref, on verra à TLMP...... généralement ils font en sorte que la personne ne se plante pas sur des sujets chauds.... mais bon, reste à voir......