Bellemare vide son sac - Corruption au PLQ

[Placeress]

ca l, air que le cirque est terminé

J'avais crut comprendre que le ministre de la justice du PQ avant le mandat de Bellemare viendrait témoigner jeudi. Je ne sais pas si c'est encore de mise.

[lorraine48]

enfin que cela finisse ,on est pas des valises et malgré le verdict rien ne va vraiment changer, ils feront plus attention c est tout et aux prochaines élections les libéraux seront réélus, car il n y aura aucun concurrent ou parti politique qui se démarquera on est pas un peuple qui aime prendre des chances avec des gens qui n ont pas d expérience et qui par leur inexpérience nous mettrait encore plus dans le trou que celui ou on est

[Frasie]

enfin que cela finisse ,on est pas des valises et malgré le verdict rien ne va vraiment changer, ils feront plus attention c est tout et aux prochaines élections les libéraux seront réélus, car il n y aura aucun concurrent ou parti politique qui se démarquera on est pas un peuple qui aime prendre des chances avec des gens qui n ont pas d expérience et qui par leur inexpérience nous mettrait encore plus dans le trou que celui ou on est

C'est impossible d'être plus dans le trou, aussi bien changer

[fleurs]

ont est meme au fond du trou

[Placeress]

enfin que cela finisse ,on est pas des valises et malgré le verdict rien ne va vraiment changer, ils feront plus attention c est tout et aux prochaines élections les libéraux seront réélus, car il n y aura aucun concurrent ou parti politique qui se démarquera on est pas un peuple qui aime prendre des chances avec des gens qui n ont pas d expérience et qui par leur inexpérience nous mettrait encore plus dans le trou que celui ou on est

Aux dernières élections, le PQ a eu 51 sièges et le parti libéral 66....... me suprendrait bcp que les libéraux reviennent aux prochaines.....

Anyways, si les sondages sont en défaveurs du PQ, ils vont changer de chef... toujours comme ça....

[Anya]

Publié le 03 octobre 2010 à 22h00 | Mis à jour à 22h00
Bellemare maintient qu'il a rencontré Charest, après une réunion de militants



Alexandre Robillard
La Presse Canadienne
Québec

Marc Bellemare maintient qu'il a rencontré le premier ministre Jean Charest, le 2 septembre 2003, malgré le fait que les libéraux aient produit des documents montrant qu'il a participé à une réunion de militants au même moment.

L'ex-ministre de la Justice a reconnu, dans une émission de télévision diffusée dimanche, qu'une réunion de militants avait eu lieu quelques minutes avant qu'il se rende à l'édifice où se trouve le cabinet de M. Charest.

Mais M. Bellemare a affirmé qu'elle s'était justement tenue à quelques kilomètres seulement de distance, de manière à ce qu'il puisse quitter rapidement après avoir salué les militants pour aller rencontrer le premier ministre.

«J'ai salué les gens de l'exécutif, qui étaient en réunion, ils étaient 13 cette journée là et j'ai quitté pour aller à la réunion avec M. Charest, a-t-il dit. D'ailleurs, volontairement la réunion de l'exécutif s'est tenue à quelques kilomètres du parlement, pour faciliter mon déplacement.»

M. Bellemare a admis que des copies de procès-verbaux de cette réunion de l'exécutif de l'association libérale de la circonscription de Vanier ne font aucune mention de son départ hâtif, le 2 septembre 2003, alors qu'une mention à cet effet a été consignée dans les minutes d'une réunion qui a suivi ce même automne, il y a sept ans.

Mais l'ex-ministre de la Justice n'a pas été en mesure de dire pourquoi son départ n'a pas été pris en note dans le procès-verbal de la fameuse soirée.

«Avec tout le respect que j'ai pour l'exécutif de Vanier, quand t'as une rencontre avec le premier ministre, tu y vas», a-t-il dit.

Cette rencontre du 2 septembre 2003 est au coeur des allégations de trafic d'influence de M. Bellemare, puisqu'il soutient avoir informé sans succès M. Charest des pressions qu'il subissait de deux collecteurs de fonds libéraux dans la nomination des juges.

De passage à l'émission Tout le monde en parle, diffusée à Radio-Canada, M. Bellemare a ainsi réagi aux nombreux rebondissements qui ont marqué cette semaine la commission Bastarache, qui a examine ses allégations.

M. Bellemare a affirmé dimanche que son agenda, déposé en preuve la semaine dernière, indique que la réunion avec les militants a commencé à 19h et qu'elle était suivie, à 19h30, d'une rencontre avec le premier ministre.

Lors de son témoignage devant la commission, M. Charest a nié formellement que cette rencontre a eu lieu. Pour prouver ses affirmations, il a produit son agenda, où le dernier engagement se terminait à 19h30.

Dans l'entrevue diffusée dimanche, M. Bellemare a accusé M. Charest de l'avoir présenté comme «un débile mental», lorsqu'il a témoigné devant la commission Bastarache, de façon à la discréditer.

L'ex-ministre de la Justice, qui a démissionné en avril 2004 après un an au gouvernement, a soutenu que le premier ministre avait apprécié son travail, jusqu'à ce qu'il dévoile, au printemps dernier, les pressions dont il a été l'objet.

«À partir du moment où j'ai commencé à parler contre la famille, la gang, le Parti libéral, je suis devenu taré», a-t-il dit.

http://www.cyberpresse.ca/actualites/do ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;

[tuberale]

Publié le 03 octobre 2010 à 22h00 | Mis à jour à 22h00
Bellemare maintient qu'il a rencontré Charest, après une réunion de militants



Alexandre Robillard
La Presse Canadienne
Québec

Marc Bellemare maintient qu'il a rencontré le premier ministre Jean Charest, le 2 septembre 2003, malgré le fait que les libéraux aient produit des documents montrant qu'il a participé à une réunion de militants au même moment.

L'ex-ministre de la Justice a reconnu, dans une émission de télévision diffusée dimanche, qu'une réunion de militants avait eu lieu quelques minutes avant qu'il se rende à l'édifice où se trouve le cabinet de M. Charest.

Mais M. Bellemare a affirmé qu'elle s'était justement tenue à quelques kilomètres seulement de distance, de manière à ce qu'il puisse quitter rapidement après avoir salué les militants pour aller rencontrer le premier ministre.

«J'ai salué les gens de l'exécutif, qui étaient en réunion, ils étaient 13 cette journée là et j'ai quitté pour aller à la réunion avec M. Charest, a-t-il dit. D'ailleurs, volontairement la réunion de l'exécutif s'est tenue à quelques kilomètres du parlement, pour faciliter mon déplacement.»

M. Bellemare a admis que des copies de procès-verbaux de cette réunion de l'exécutif de l'association libérale de la circonscription de Vanier ne font aucune mention de son départ hâtif, le 2 septembre 2003, alors qu'une mention à cet effet a été consignée dans les minutes d'une réunion qui a suivi ce même automne, il y a sept ans.

Mais l'ex-ministre de la Justice n'a pas été en mesure de dire pourquoi son départ n'a pas été pris en note dans le procès-verbal de la fameuse soirée.

«Avec tout le respect que j'ai pour l'exécutif de Vanier, quand t'as une rencontre avec le premier ministre, tu y vas», a-t-il dit.

Cette rencontre du 2 septembre 2003 est au coeur des allégations de trafic d'influence de M. Bellemare, puisqu'il soutient avoir informé sans succès M. Charest des pressions qu'il subissait de deux collecteurs de fonds libéraux dans la nomination des juges.

De passage à l'émission Tout le monde en parle, diffusée à Radio-Canada, M. Bellemare a ainsi réagi aux nombreux rebondissements qui ont marqué cette semaine la commission Bastarache, qui a examine ses allégations.

M. Bellemare a affirmé dimanche que son agenda, déposé en preuve la semaine dernière, indique que la réunion avec les militants a commencé à 19h et qu'elle était suivie, à 19h30, d'une rencontre avec le premier ministre.

Lors de son témoignage devant la commission, M. Charest a nié formellement que cette rencontre a eu lieu. Pour prouver ses affirmations, il a produit son agenda, où le dernier engagement se terminait à 19h30.

Dans l'entrevue diffusée dimanche, M. Bellemare a accusé M. Charest de l'avoir présenté comme «un débile mental», lorsqu'il a témoigné devant la commission Bastarache, de façon à la discréditer.

L'ex-ministre de la Justice, qui a démissionné en avril 2004 après un an au gouvernement, a soutenu que le premier ministre avait apprécié son travail, jusqu'à ce qu'il dévoile, au printemps dernier, les pressions dont il a été l'objet.

«À partir du moment où j'ai commencé à parler contre la famille, la gang, le Parti libéral, je suis devenu taré», a-t-il dit.

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Je l'ai trouvé crédible à l'émission. Le truc c'est qu'il me semble qu'il a ouvert la porte à de nombreuses poursuites de la part de gens qu'il a nommé pendant son interview. Ils vont tous lui faire un procès pour ses propos, non ? Ce n'est même plus une question de dire ou non la vérité, j'ignore comment juridiquement parlant tu peux dire de quoi sur les gens ainsi en public ?.....

[liz]

[...]



Je l'ai trouvé crédible à l'émission. Le truc c'est qu'il me semble qu'il a ouvert la porte à de nombreuses poursuites de la part de gens qu'il a nommé pendant son interview. Ils vont tous lui faire un procès pour ses propos, non ? Ce n'est même plus une question de dire ou non la vérité, j'ignore comment juridiquement parlant tu peux dire de quoi sur les gens ainsi en public ?.....

Je sais pas trop si tu fais allusion aux 2-3 personnes qu'il a presque accusées d'avoir menti sous serment ... (entre autre son ancien chef de cabinet je crois)

Pour ma part, jme dis que si LUI, il sait qu'il leur en a parlé et qu'ils ont nié sous serment, j'les vois mal le trainer en cour pour ca ... surtout que ces 2-3 là devront alors prouver que Bellemarre les a faussement accusés ...

Et quand on sait que meme la commission Charest Bellemarre nage dans le néant, y a pas grand tribunal qui fera le jour là dessus non plus .. a mon avis en tk ...

[joanna]

[...]



Je l'ai trouvé crédible à l'émission. Le truc c'est qu'il me semble qu'il a ouvert la porte à de nombreuses poursuites de la part de gens qu'il a nommé pendant son interview. Ils vont tous lui faire un procès pour ses propos, non ? Ce n'est même plus une question de dire ou non la vérité, j'ignore comment juridiquement parlant tu peux dire de quoi sur les gens ainsi en public ?.....

Il me semble que c'est Guy A qui a nommé Tétrault et Gagnon, je me trompe peut-être...je réécouterai sur ma cassette si j'y pense demain. Il a simplement dit qu'il s'attendait à du support (genre) de leur part et ne comprend pas pourquoi ils ont témoigné contre lui.

Ça m'étonnerait bien gros qu'on essaie de le poursuivre pour les propos qu'il a tenus à l'émission. Je trouve qu'il a été prudent lors de ses réponses pour ne pas en dire trop mais juste assez pour confirmer de nouveau à ce qu'il avait dit lors de son témoignage à la Commission en août.

En tout cas, pour ma part, je crois qu'il dit la vérité depuis le début de même que je crois M.Lalande.

Édit: Grosse faute...

[Anya]

Le blogue de Richard Therrien
Le Dimanche 3 octobre 2010 | Mise en ligne à 23h08
Si Bellemare ment, il ment bien

Même si la commission Bastarache suit son cours, Marc Bellemare ne s’est pas gêné hier pour écorcher tous ceux qui le contredisent. Invité à Tout le monde en parle, l’ancien ministre de la Justice a persisté dans ses accusations de trafic d’influence.

Parfaitement détendu et sûr de lui, Marc Bellemare s’est montré cinglant à la suite du témoignage de Jean Charest, qui l’a notamment qualifié de personnage instable et frustré par ses nombreux échecs. «Il m’a quasiment décrit comme un débile mental en quelque part. C’est bizarre qu’un débile mental (…) soit nommé ministre de la Justice, soit en poste pendant un an (…) et que le premier ministre refuse sa démission.»

M. Charest et son ancien homme de confiance se sont parlés pour la dernière fois il y a quatre ans. M. Bellemare lui avait alors conseillé de ne pas fermer le zoo de Québec et de procéder à une consultation publique. «Jusqu’au mois de mars de cette année, j’avais été un excellent ministre» aux dires de Jean Charest, plaide Marc Bellemare.

Pour l’avocat, Jean Charest est «un gars qui tient à sa chaise pas mal, accroché au pouvoir et qui va tout faire pour le garder.»

«C’est pas un ami, c’est sûr», ajoute-t-il.

Répétant qu’une commission parlementaire aurait suffi à éclaircir le sujet, M. Bellemare a rappelé que la commission Bastarache nous coûtera entre 6 et 10 millions $. Pour lui, cette commission n’est qu’une façon pour le premier ministre de lui faire «une job de bras».

Il maintient avoir bel et bien rencontré M. Charest le 2 septembre 2003, contrairement à ce qu’affirment ses anciens collaborateurs, et assure ne pas rêver à la chute du premier ministre. «Je ne vois pas quel intérêt j’aurais à vouloir mettre fin à sa carrière. (…) Si j’avais voulu me venger, je l’aurais fait pendant qu’il était minoritaire, ça lui aurait probablement fait perdre ses élections.»

Il a aussi parlé de ses désillusions par rapport à son ancienne formation politique. «J’ai réalisé que j’avais été naïf de penser que le Parti libéral se préoccupait des petites gens.»

«M. Fava essaie par tous les moyens de s’accrocher à quelque chose pour donner l’impression que j’ai joué à son jeu», dit-il à propos de l’argentier du PLQ, ajoutant qu’il souhaite que le commissaire Bastarache propose «des solutions de type “éliminons tout l’arbitraire politique dans la nomination des juges et le copinage potentiel”.»

Marc Bellemare a certainement amélioré son capital de sympathie, n’hésitant jamais dans ses réponses. S’il ment, il ment bien.

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[Anya]

Publié le 04 octobre 2010 à 07h51 | Mis à jour à 07h51

Marc Bellemare se défend à Tout le monde en parle
Daphné Cameron
La Presse

Marc Bellemare affirme que deux de ses plus proches collaborateurs au moment où il était ministre de la Justice «n'ont pas dit la vérité» devant la commission Bastarache sur le processus de nomination des juges.

Lors de son passage à l'émission Tout le monde en parle hier, l'ex-politicien a rétorqué aux propos de son ancien chef de cabinet, Michel Gagnon, et de son ancien attaché de presse, Jacques Tétrault. Dans leurs témoignages devant la Commission il y a deux semaines, ces derniers avaient catégoriquement nié avoir entendu parler des pressions indues de collecteurs de fonds libéraux pour obtenir la nomination de certains juges.

«Je pense qu'ils n'ont pas dit la vérité, évidemment, a déclaré M. Bellemare. Mon ancien chef de cabinet est devenu sous-ministre depuis ce temps-là et président-directeur général d'une grosse entreprise gouvernementale. Tétrault a travaillé quatre ans au cabinet du premier ministre. Je pensais malgré tout qu'ils allaient livrer un témoignage intègre. Je suis déçu, mais c'est comme cela que ça fonctionne.»

L'ex-ministre Bellemare est également revenu sur le témoignage de son ancien patron, le premier ministre du Québec. «Jean Charest, au fond, m'a quasiment décrit comme un débile mental, a-t-il laissé tomber. Mais c'est bizarre qu'un débile mental soit présenté comme candidat vedette du Parti libéral aux élections de 2003, que le même débile mental soit nommé ministre de la Justice, qu'il soit en poste pendant un an et qu'il reçoive régulièrement les éloges du premier ministre...»

«À partir du moment où j'ai commencé à parler contre la famille, la gang, le Parti libéral, ben là, je suis devenu taré. Alors la population est en mesure de juger ce genre de changement de cap», a-t-il ajouté.

Par ailleurs, Marc Bellemare maintient qu'il a rencontré le premier ministre Jean Charest, le 2 septembre 2003, malgré le fait que les libéraux aient produit des documents montrant qu'il a participé à une réunion de militants au même moment. Il a reconnu qu'une réunion de militants avait eu lieu quelques minutes avant qu'il se rende à l'édifice où se trouve le cabinet de M. Charest. Mais M. Bellemare a affirmé qu'elle s'était justement tenue à quelques kilomètres seulement de distance, de manière à ce qu'il puisse quitter rapidement après avoir salué les militants pour aller rencontrer le premier ministre.

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[tuberale]

[...]


Il me semble que c'est Guy A qui a nommé Tétrault et Gagnon, je me trompe peut-être...je réécouterai sur ma cassette si j'y pense demain. Il a simplement dit qu'il s'attendait à du support (genre) de leur part et ne comprend pas pourquoi ils ont témoigné contre lui.

Ça m'étonnerait bien gros qu'on essaie de le poursuivre pour les propos qu'il a tenus à l'émission. Je trouve qu'il a été prudent lors de ses réponses pour ne pas en dire trop mais juste assez pour confirmer de nouveau à ce qu'il avait dit lors de son témoignage à la Commission en août.

En tout cas, pour ma part, je crois qu'il dit la vérité depuis le début de même que je crois M.Lalande.

Édit: Grosse faute...

Ben il s'est trouvé à dire qu'ils sont tous des menteurs, que ce qu'ils ont dit à la commission était des mensonges, qu'Ils ont donc fait de faux serments et des faux témoignages, que dans le fond. Charest avait fait la commission pour se donner du matériel pour sa poursuite au privé contre Bellemare. Moi je le crois et je sais bien que cette commission n'est qu'une triste parodie de la vérité mais juridiquement parlant, vu que la commission est terminé, ces gens peuvent l,attaquer en justice pour ses propos non? Ben c'est peut-être ce qu'il veut ou encore ils vont préférer faire le mort et laisser courir, faudra voir.

[Anya]

Entrevue de Marc Bellemare à Tout le monde en parle...

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Ra21MoyZ ... r_embedded[/youtube]


[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=8e11j3_X ... r_embedded[/youtube]

[Anya]

Publié le 04 octobre 2010 à 12h13 | Mis à jour à 12h13

La commission Bastarache a coûté 3 millions
La Presse Canadienne
Québec

Les dépenses de la commission Bastarache sur le processus de nomination des juges s'élèvent à trois millions de dollars, indique un communiqué publié lundi.

Ce résultat a été compilé en date du 30 septembre et inclut l'ensemble des factures traitées.

La commission, présidée par Michel Bastarache, estime que ses coûts s'élèveront à six millions lorsqu'elle aura terminé ses travaux et remis son rapport.

Cette estimation tient compte de la prolongation au-delà de la date initiale de dépôt du rapport, qui avait d'abord été fixée au 15 octobre.

Fin septembre, le conseil des ministres a adopté un décret afin de prolonger le mandat de la commission jusqu'au 31 janvier prochain.

Le 1er août dernier, avant cette modification, la commission situait ses dépenses entre cinq et six millions de dollars.

La partie publique de ses travaux sera terminée le 22 octobre. Les dépenses qui seront engagées par la suite serviront à la rédaction et la production du rapport du commissaire.

Une seule journée d'audience est prévue cette semaine.

L'ex-ministre péquiste de la Justice, Linda Goupil, est attendue jeudi à la barre des témoins.

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[Anya]

Caricature de Bado (Le Droit)

[Frasie]

Caricature de Bado (Le Droit)

Le fils doit être un futur Charest, c'est un p'tit vite

[Anya]

Commission Bastarache
Christian Jobin à la barre?
Mise à jour : 05/10/2010 20h44

Même si la Commission Bastarache semble fermer la porte à de nouveaux témoignages, André Dugas, avocat du Parti libéral du Québec, tente d’emmener Christian Jobin, président de l’association libérale de Vanier, à la barre.

Un long appel-conférence a réuni mardi après-midi les avocats des différents participants à la Commission d’enquête sur le processus de nomination des juges. Les discussions, qui ont parfois pris des allures de négociations, ont été longues et fastidieuses, selon une source bien informée.

Au lieu de se contenter d’un affidavit ou d’une lettre d’admission, M. Dugas aurait demandé à entendre M. Jobin. Les avocats de Marc Bellemare ne seraient pas d’accord. Si le commissaire Bastarache devait accepter ce témoignage, le contre-interrogatoire mené par les avocats de Me Bellemare serait fort musclé.

Christian Jobin viendrait confirmer que M. Bellemare a bel et bien assisté à la majeure partie de la réunion de l’exécutif libéral, le 2 septembre 2003. «Il dira que Marc Bellemare y était dès 19h et qu’il y est resté au moins jusqu’à 20h45», a-t-on dit.

Marc Bellemare affirme pourtant avoir rencontré le premier ministre ce soir-là pour évoquer les «pressions colossales» qui pesaient sur lui pour faire nommer des juges. Jean Charest a juré que ce tête-à-tête n’a jamais eu lieu.

La demande de comparution de M. Jobin serait déposée jeudi. Son témoignage pourrait avoir lieu au même moment. Les procureurs de la commission n’ont pas encore décidé s’ils acceptaient ou non la probable demande de Me Dugas. Le dernier mot reviendra, dans tous les cas, au commissaire Michel Bastarache.

La semaine dernière, Guy Versailles, porte-parole de la Commission, a répondu ainsi à la question de savoir si la liste de témoins était ou non fermée: «s’il subsiste une ouverture, elle est très, très, très petite. Il faudrait vraiment qu’il y ait des faits totalement nouveaux qui soient portés à notre attention».

Tout le monde en parle

Des avocats auraient également demandé à obtenir la transcription du passage de M. Bellemare à l’émission Tout le monde en parle de Radio-Canada. Certains croient avoir décelé des «contradictions» avec les propos que l’ancien ministre a tenus sous serment au moment de son témoignage devant la commission.

Les avocats seraient d’accord sur l’inutilité de demander à Me Lu Chan Khuong, la conjointe de Marc Bellemare, de témoigner. Le dimanche 26 septembre, elle avait retrouvé dans une boîte la disquette contenant l’agenda 2003-2004 de son époux. Cette soudaine découverte est venue renforcer la thèse défendue par l’ancien ministre.

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/national/ ... 04438.html" onclick="window.open(this.href);return false;

[joanna]

Me André Dugas, mon préféré de la Commission...

[Capuchino]

Commission Bastarache
Christian Jobin à la barre?
Mise à jour : 05/10/2010 20h44

Même si la Commission Bastarache semble fermer la porte à de nouveaux témoignages, André Dugas, avocat du Parti libéral du Québec, tente d’emmener Christian Jobin, président de l’association libérale de Vanier, à la barre.

Un long appel-conférence a réuni mardi après-midi les avocats des différents participants à la Commission d’enquête sur le processus de nomination des juges. Les discussions, qui ont parfois pris des allures de négociations, ont été longues et fastidieuses, selon une source bien informée.

Au lieu de se contenter d’un affidavit ou d’une lettre d’admission, M. Dugas aurait demandé à entendre M. Jobin. Les avocats de Marc Bellemare ne seraient pas d’accord. Si le commissaire Bastarache devait accepter ce témoignage, le contre-interrogatoire mené par les avocats de Me Bellemare serait fort musclé.

Christian Jobin viendrait confirmer que M. Bellemare a bel et bien assisté à la majeure partie de la réunion de l’exécutif libéral, le 2 septembre 2003. «Il dira que Marc Bellemare y était dès 19h et qu’il y est resté au moins jusqu’à 20h45», a-t-on dit.

Marc Bellemare affirme pourtant avoir rencontré le premier ministre ce soir-là pour évoquer les «pressions colossales» qui pesaient sur lui pour faire nommer des juges. Jean Charest a juré que ce tête-à-tête n’a jamais eu lieu.

La demande de comparution de M. Jobin serait déposée jeudi. Son témoignage pourrait avoir lieu au même moment. Les procureurs de la commission n’ont pas encore décidé s’ils acceptaient ou non la probable demande de Me Dugas. Le dernier mot reviendra, dans tous les cas, au commissaire Michel Bastarache.

La semaine dernière, Guy Versailles, porte-parole de la Commission, a répondu ainsi à la question de savoir si la liste de témoins était ou non fermée: «s’il subsiste une ouverture, elle est très, très, très petite. Il faudrait vraiment qu’il y ait des faits totalement nouveaux qui soient portés à notre attention».

Tout le monde en parle

Des avocats auraient également demandé à obtenir la transcription du passage de M. Bellemare à l’émission Tout le monde en parle de Radio-Canada. Certains croient avoir décelé des «contradictions» avec les propos que l’ancien ministre a tenus sous serment au moment de son témoignage devant la commission.

Les avocats seraient d’accord sur l’inutilité de demander à Me Lu Chan Khuong, la conjointe de Marc Bellemare, de témoigner. Le dimanche 26 septembre, elle avait retrouvé dans une boîte la disquette contenant l’agenda 2003-2004 de son époux. Cette soudaine découverte est venue renforcer la thèse défendue par l’ancien ministre.

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Pis ça va changer quoi ce témoin-là?

[Beppo]

Pourquoi on est si certain que Bellemarre ment et si sûr que Charest dit la vérité dans le cas de cette rencontre?