Tout lire >>Le cantinier de la série Ruptures, déclaré mort, est dans un état critique 
Contrairement à ce qu'a annoncé l'Alliance québécoise des techniciens de l'image et du son (AQTIS), l'assistant cantinier Carl Shunamon, qui travaillait pour la série Ruptures, n'est pas mort des suites d'un accident de voiture. Il repose toujours dans un état critique à l'Hôpital général de Montréal, a confirmé sa famille.
L'AQTIS a publié un communiqué ce matin faisant état de la « mort tragique » du technicien Carl Shunamon. La maison de production de Fabienne Larouche, Aetios, a réagi en se disant attristée d'apprendre la mort d'un de ses travailleurs, et en offrant même ses condoléances aux proches.
La famille de Carl Shunamon a contacté Radio-Canada, en début de soirée, pour rectifier les faits.

Contrairement à ce qu'a annoncé l'Alliance québécoise des techniciens de l'image et du son (AQTIS), l'assistant cantinier Carl Shunamon, qui travaillait pour la série Ruptures, n'est pas mort des suites d'un accident de voiture. Il repose toujours dans un état critique à l'Hôpital général de Montréal, a confirmé sa famille.
L'AQTIS a publié un communiqué ce matin faisant état de la « mort tragique » du technicien Carl Shunamon. La maison de production de Fabienne Larouche, Aetios, a réagi en se disant attristée d'apprendre la mort d'un de ses travailleurs, et en offrant même ses condoléances aux proches.
La famille de Carl Shunamon a contacté Radio-Canada, en début de soirée, pour rectifier les faits.

 
 



 Ce n'est pas juste une petite erreur, moi si j'étais un membre de la famille de ce jeune homme là je serais en beau maudit qu'on utilise mon proche pour se faire du capital de sympathie pour leur cause.  Il ne fallait pas qu'ils le connaissent suffisamment pour se prononcer sur son état de santé réel (pour le déclarer mort alors que ce n'était pas le cas
   Ce n'est pas juste une petite erreur, moi si j'étais un membre de la famille de ce jeune homme là je serais en beau maudit qu'on utilise mon proche pour se faire du capital de sympathie pour leur cause.  Il ne fallait pas qu'ils le connaissent suffisamment pour se prononcer sur son état de santé réel (pour le déclarer mort alors que ce n'était pas le cas  



