Publié : dim. juin 15, 2008 5:27 am
Le Québec doit encourager le développement d'une industrie du véhicule électrique, selon la chef du Parti québécois, Pauline Marois.
Profitant de son passage au Salon national de l'environnement, samedi, à Montréal, Mme Marois a présenté les engagements de son parti en la matière.
Elle propose que le gouvernement du Québec devienne un partenaire majeur de cette industrie du véhicule électrique.
«Nous avons tout ce qu'il faut pour que le Québec roule vert avec des véhicules électriques. Nous avons l'expertise, les connaissances, le savoir-faire et le génie hydroélectrique. Il ne manque que la volonté et les moyens», a soutenu Mme Marois.
Elle suggère la création d'un fonds d'investissement - dont la mission première serait de développer un plan d'affaires pour commercialiser des véhicules électriques construits au Québec - et l'électrification des flottes publiques et commerciales.
La chef du Parti québécois propose également que soit renforcé l'appui au pôle d'excellence du transport terrestre avancé, actuellement reconnu à la région des Laurentides dans le cadre du projet ACCORD.
Selon la chef du Parti québécois, la réduction de la dépendance au pétrole passe nécessairement par l'électrification des moyens de transport.
«La hausse vertigineuse des prix de l'essence creuse le déficit commercial du Québec et mine le budget des familles du Québec. La pollution automobile et la hausse des émissions de gaz à effet de serre principalement dues aux transports, ont un impact sur la santé des individus, ce qui entraîne des coûts pour le réseau de santé», a fait valoir Mme Marois.
Selon ce qu'a indiqué Mme Marois, le fonds d'investissement aurait besoin de 250 à 300 millions $ de capitaux par année sur une période de dix ans, pour des dépenses à terme de près de 3 milliards $.
Le PQ estime pouvoir électrifier en dix ans 20 pour cent des flottes publiques et commerciales, soit environ 100 000 véhicules.
Le gouvernement Charest met les bouchées doubles pour faire une annonce en début de semaine prochaine sur une série de projets-pilotes d'autos électriques, selon ce que rapportait le quotidien Le Devoir, vendredi. Les véhicules à basse vitesse, comme la Zenn (Zero emission no noise), assemblée à Saint-Jérôme, et le Nemo, petit camion assemblé à Sainte-Thérèse, seraient autorisés à rouler dans certaines municipalités partenaires, dont celle de Blainville.
source: Cyberpresse.ca --Message edité par Autumn le 2008-06-15 11:27:30--
Profitant de son passage au Salon national de l'environnement, samedi, à Montréal, Mme Marois a présenté les engagements de son parti en la matière.
Elle propose que le gouvernement du Québec devienne un partenaire majeur de cette industrie du véhicule électrique.
«Nous avons tout ce qu'il faut pour que le Québec roule vert avec des véhicules électriques. Nous avons l'expertise, les connaissances, le savoir-faire et le génie hydroélectrique. Il ne manque que la volonté et les moyens», a soutenu Mme Marois.
Elle suggère la création d'un fonds d'investissement - dont la mission première serait de développer un plan d'affaires pour commercialiser des véhicules électriques construits au Québec - et l'électrification des flottes publiques et commerciales.
La chef du Parti québécois propose également que soit renforcé l'appui au pôle d'excellence du transport terrestre avancé, actuellement reconnu à la région des Laurentides dans le cadre du projet ACCORD.
Selon la chef du Parti québécois, la réduction de la dépendance au pétrole passe nécessairement par l'électrification des moyens de transport.
«La hausse vertigineuse des prix de l'essence creuse le déficit commercial du Québec et mine le budget des familles du Québec. La pollution automobile et la hausse des émissions de gaz à effet de serre principalement dues aux transports, ont un impact sur la santé des individus, ce qui entraîne des coûts pour le réseau de santé», a fait valoir Mme Marois.
Selon ce qu'a indiqué Mme Marois, le fonds d'investissement aurait besoin de 250 à 300 millions $ de capitaux par année sur une période de dix ans, pour des dépenses à terme de près de 3 milliards $.
Le PQ estime pouvoir électrifier en dix ans 20 pour cent des flottes publiques et commerciales, soit environ 100 000 véhicules.
Le gouvernement Charest met les bouchées doubles pour faire une annonce en début de semaine prochaine sur une série de projets-pilotes d'autos électriques, selon ce que rapportait le quotidien Le Devoir, vendredi. Les véhicules à basse vitesse, comme la Zenn (Zero emission no noise), assemblée à Saint-Jérôme, et le Nemo, petit camion assemblé à Sainte-Thérèse, seraient autorisés à rouler dans certaines municipalités partenaires, dont celle de Blainville.
source: Cyberpresse.ca --Message edité par Autumn le 2008-06-15 11:27:30--