Avez-vous peur de Jean
oui car c'est un opportunniste qui vise le pouvoir avant le bien de la populace.
Et c'est pourquoi j'aimerais pouvoir voter plus souvent qu'aux quatre ans : lui donner une leçon comme quoi faut pas rire du monde durant quatre ans une fois élu.
Aussi, faudrait une loi comme quoi tu peux pas diriger plus que deux mandats.
FINI LES NIAISERIES !
(scusez, me suis choquée, ça m'arrive pas souvent, scusez-moi) --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-03-19 01:39:20--
Et c'est pourquoi j'aimerais pouvoir voter plus souvent qu'aux quatre ans : lui donner une leçon comme quoi faut pas rire du monde durant quatre ans une fois élu.
Aussi, faudrait une loi comme quoi tu peux pas diriger plus que deux mandats.
FINI LES NIAISERIES !
(scusez, me suis choquée, ça m'arrive pas souvent, scusez-moi) --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-03-19 01:39:20--
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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- Seigneur de la Causerie
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Red Ketchup, je ne vois aucun empêchement au fait de voter aux deux ans, à part le fait que ça fait plus de 140 ans qu'on aux quatre ans.
Moi aussi j'ai longtemps pensé à la stabilité comme argument...
Mais regarde, on a des gouvernement minoritaires au fédéral et au provincial.
Ça veut dire de quoi ça.
Et c'est pas stable pantoute.
Faut qu'on vote aux deux ans Je souhaite à mes enfants de vivre ça
(que leur génération réalise que 4 ans est désormais une éternité comparativement à entre 1900 et 1904).
Tu penses pas Red Ketchup ? --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-03-19 02:37:42--
Moi aussi j'ai longtemps pensé à la stabilité comme argument...
Mais regarde, on a des gouvernement minoritaires au fédéral et au provincial.
Ça veut dire de quoi ça.
Et c'est pas stable pantoute.
Faut qu'on vote aux deux ans Je souhaite à mes enfants de vivre ça
(que leur génération réalise que 4 ans est désormais une éternité comparativement à entre 1900 et 1904).
Tu penses pas Red Ketchup ? --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-03-19 02:37:42--
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Moi je pense que c'est trop cher pour que ça revienne si souvent... pour ne pas changer grand chose finalement! Peu importe le parti élu, il y aura toujours des insatisfaits, des progressions et des regressions sur différents points. Les élections aux deux ans ne donneraient pas plus de stabilité. Par contre le parti élu devrait se dépêcher à mettre en oeuvre la réalisation de ses promesses, ce qui n'est pas nécéssairement une bonne chose, selon les promesses en questions.
Et comme on est somme toute conservateur (pas en politique, mais en général) le Québec réélit (doute sur l'orthographe) souvent le parti sortant. Ce serait jeter des millions de dollars pour revenir au même point.
L'idéal, je crois, c'est le modèle actuel, soit un parti minoritaire au pouvoir. Sa minorité l'empêche de faire de trop gros changements à contre-courant populaire puisque les autres partis ont réellement un pouvoir décisif dans ce type de gouvernement. Le parti élu doit donc mettre réellement une majorité de son bord et réunir les partis dans une même idée. La diversité de la population est ainsi mieux représentée.
Et comme on est somme toute conservateur (pas en politique, mais en général) le Québec réélit (doute sur l'orthographe) souvent le parti sortant. Ce serait jeter des millions de dollars pour revenir au même point.
L'idéal, je crois, c'est le modèle actuel, soit un parti minoritaire au pouvoir. Sa minorité l'empêche de faire de trop gros changements à contre-courant populaire puisque les autres partis ont réellement un pouvoir décisif dans ce type de gouvernement. Le parti élu doit donc mettre réellement une majorité de son bord et réunir les partis dans une même idée. La diversité de la population est ainsi mieux représentée.
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- Seigneur de la Causerie
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Mon lien n'avait rien à voir avec les élections aux 2 ou 4 ans, c'est un rapport du vérificateur général qui ne fait pas de compliment aux libéraux mettons.
Pour les élections, je ne pense pas que l'on doive demander aux citoyens de voter encore plus souvent. Déjà que la participation est faible, les gens ne sont pas si intéressés que ça à voter.
Et en plus, une bonne partie de la population vote sans même être vraiment informés des enjeux, c'est souvent un vote émotif et très peu rationnel. C'est ben beau les émotions mais, ça n'aide pas à la stabilité d'un pays.
Pour les élections, je ne pense pas que l'on doive demander aux citoyens de voter encore plus souvent. Déjà que la participation est faible, les gens ne sont pas si intéressés que ça à voter.
Et en plus, une bonne partie de la population vote sans même être vraiment informés des enjeux, c'est souvent un vote émotif et très peu rationnel. C'est ben beau les émotions mais, ça n'aide pas à la stabilité d'un pays.
Moi j'ai peur de Jean car on ne l'a plus vu du temps de André Boisclair, ni plus précédemment au cours du grand changement annoncé en avril 2003.
Il parle beaucoup, mais agit peu.
C'est ce qui me CHOQUE des élections aux 4 ans : le politicien en poste peut décider de ne pas remplir ses promesses, pis on est pris 4 ans avec ça.
Un gouvernement minoritaire c'est bien pire : rien ne va de l'avant (comme dans les consultations publiques où on écoute tout le monde, mais rien avance) Des fois faut savoir mettre son pied à terre, ne pas écouter et avancer.
L'Alberta est un bon exemple d'une province qui avance grâce à la vision de ses politiciens qui n'ont pas perdu de temps à consulter pour plaire à tous et à chacun à la fois.
Ceci dit de la part de Mme tout le monde
Il parle beaucoup, mais agit peu.
C'est ce qui me CHOQUE des élections aux 4 ans : le politicien en poste peut décider de ne pas remplir ses promesses, pis on est pris 4 ans avec ça.
Un gouvernement minoritaire c'est bien pire : rien ne va de l'avant (comme dans les consultations publiques où on écoute tout le monde, mais rien avance) Des fois faut savoir mettre son pied à terre, ne pas écouter et avancer.
L'Alberta est un bon exemple d'une province qui avance grâce à la vision de ses politiciens qui n'ont pas perdu de temps à consulter pour plaire à tous et à chacun à la fois.
Ceci dit de la part de Mme tout le monde
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Omi a écritJean Charest est un mou à la tête d'un parti mou. Il n'aime même pas le Québec, ni les Québecois. Il est là parce qu'on lui a offert le poste sur un plateau d'argent. Sa mission: le status quo.
pourquoi tu dis qu'il n'aime pas les québécois?
faut-il être péquiste pour aimer les québécois et être québécois?
le PQ pour qui il existe deux catégories de citoyens... les pures laines péquistes et les autres (les non péquistes ,les *ethniques*...)
Alors ..Qui n'aime pas les québécois, tous les québécois???
en parlant de poste offert sur un plateau d'argent: Lucien Bouchard,ancien conservateur, ensuite au Bloc et qui a été placé à la tête du PQ ... on connait le reste et les impacts des ses décisions que toute la population subit encore ...
pourquoi tu dis qu'il n'aime pas les québécois?
faut-il être péquiste pour aimer les québécois et être québécois?
le PQ pour qui il existe deux catégories de citoyens... les pures laines péquistes et les autres (les non péquistes ,les *ethniques*...)
Alors ..Qui n'aime pas les québécois, tous les québécois???
en parlant de poste offert sur un plateau d'argent: Lucien Bouchard,ancien conservateur, ensuite au Bloc et qui a été placé à la tête du PQ ... on connait le reste et les impacts des ses décisions que toute la population subit encore ...
Ganesha a écrit
pourquoi tu dis qu'il n'aime pas les québécois?
faut-il être péquiste pour aimer les québécois et être québécois?
le PQ pour qui il existe deux catégories de citoyens... les pures laines péquistes et les autres (les non péquistes ,les *ethniques*...)
Alors ..Qui n'aime pas les québécois, tous les québécois???
en parlant de poste offert sur un plateau d'argent: Lucien Bouchard,ancien conservateur, ensuite au Bloc et qui a été placé à la tête du PQ ... on connait le reste et les impacts des ses décisions que toute la population subit encore ...
Quelles décisions?
Quant à son poste, lui a-t-on offert des avantages pour le remplir? Maison, salaire, etc...
pourquoi tu dis qu'il n'aime pas les québécois?
faut-il être péquiste pour aimer les québécois et être québécois?
le PQ pour qui il existe deux catégories de citoyens... les pures laines péquistes et les autres (les non péquistes ,les *ethniques*...)
Alors ..Qui n'aime pas les québécois, tous les québécois???
en parlant de poste offert sur un plateau d'argent: Lucien Bouchard,ancien conservateur, ensuite au Bloc et qui a été placé à la tête du PQ ... on connait le reste et les impacts des ses décisions que toute la population subit encore ...
Quelles décisions?
Quant à son poste, lui a-t-on offert des avantages pour le remplir? Maison, salaire, etc...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Quelles décisions?
Quant à son poste, lui a-t-on offert des avantages pour le remplir? Maison, salaire, etc...
citation de Marc Laviolette, Président SPQ libre.. lien http://www.ledevoir.com/2006/05/10/108759.html
M. Bouchard a préféré centrer l'attention du Québec sur l'objectif du déficit zéro, cédant piteusement aux pressions de Wall Street, comme il le reconnaît dans un article du journal Les Affaires du 5 novembre 2005. Les résultats sont connus. La marche forcée vers le déficit zéro a complètement déstructuré le réseau de la santé avec des milliers de départs prématurés à la retraite.
fin de la citation
politiques controversée? coupes dans le budget des domaines de la Santé et de l'Éducation du Québec ainsi que la fusion de plusieurs municipalités québécoises
Les citoyens paient encore très cher ses décisions...je pourrais t'en donner plus mais c'est connu et a même été admis par le PQ alors ...
Quelles décisions?
Quant à son poste, lui a-t-on offert des avantages pour le remplir? Maison, salaire, etc...
citation de Marc Laviolette, Président SPQ libre.. lien http://www.ledevoir.com/2006/05/10/108759.html
M. Bouchard a préféré centrer l'attention du Québec sur l'objectif du déficit zéro, cédant piteusement aux pressions de Wall Street, comme il le reconnaît dans un article du journal Les Affaires du 5 novembre 2005. Les résultats sont connus. La marche forcée vers le déficit zéro a complètement déstructuré le réseau de la santé avec des milliers de départs prématurés à la retraite.
fin de la citation
politiques controversée? coupes dans le budget des domaines de la Santé et de l'Éducation du Québec ainsi que la fusion de plusieurs municipalités québécoises
Les citoyens paient encore très cher ses décisions...je pourrais t'en donner plus mais c'est connu et a même été admis par le PQ alors ...
Ganesha a écrit
citation de Marc Laviolette, Président SPQ libre.. lien http://www.ledevoir.com/2006/05/10/108759.html
M. Bouchard a préféré centrer l'attention du Québec sur l'objectif du déficit zéro, cédant piteusement aux pressions de Wall Street, comme il le reconnaît dans un article du journal Les Affaires du 5 novembre 2005. Les résultats sont connus. La marche forcée vers le déficit zéro a complètement déstructuré le réseau de la santé avec des milliers de départs prématurés à la retraite. fin de la citation
politiques controversée? coupes dans le budget des domaines de la Santé et de l'Éducation du Québec ainsi que la fusion de plusieurs municipalités québécoises
Les citoyens paient encore très cher ses décisions...je pourrais t'en donner plus mais c'est connu et a même été admis par le PQ alors ...
Et pourtant c'est à la demande expresse des associations de médecins (notamment) et d'infirmières si ce programme a été offert. Les médecins préféraient de loin les mises à la retraite à la baisse de leurs honoraires.
Et suite au départ massif opéré en 1997, comment se fait-il que nous ayons pu corriger la situation. Il n'y a peu eu de collation des grades depuis?
citation de Marc Laviolette, Président SPQ libre.. lien http://www.ledevoir.com/2006/05/10/108759.html
M. Bouchard a préféré centrer l'attention du Québec sur l'objectif du déficit zéro, cédant piteusement aux pressions de Wall Street, comme il le reconnaît dans un article du journal Les Affaires du 5 novembre 2005. Les résultats sont connus. La marche forcée vers le déficit zéro a complètement déstructuré le réseau de la santé avec des milliers de départs prématurés à la retraite. fin de la citation
politiques controversée? coupes dans le budget des domaines de la Santé et de l'Éducation du Québec ainsi que la fusion de plusieurs municipalités québécoises
Les citoyens paient encore très cher ses décisions...je pourrais t'en donner plus mais c'est connu et a même été admis par le PQ alors ...
Et pourtant c'est à la demande expresse des associations de médecins (notamment) et d'infirmières si ce programme a été offert. Les médecins préféraient de loin les mises à la retraite à la baisse de leurs honoraires.
Et suite au départ massif opéré en 1997, comment se fait-il que nous ayons pu corriger la situation. Il n'y a peu eu de collation des grades depuis?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Et pourtant c'est à la demande expresse des associations de médecins (notamment) et d'infirmières si ce programme a été offert. Les médecins préféraient de loin les mises à la retraite à la baisse de leurs honoraires.
Et suite au départ massif opéré en 1997, comment se fait-il que nous ayons pu corriger la situation. Il n'y a peu eu de collation des grades depuis?
même si ce que tu dis était vrai que ça été demandé par les médecins, il leur appartenait, au PQ, de mettre des critères pour s'assurer de garder le nombre nécessaire de personnel dans le réseau de la santé et de prévoir les besoins futurs dans un société vieillissante. Bouchard a été un très mauvais gestionnaire avec une vision à très court terme pour pouvoir se péter les bretelles avec le déficit zéro... on le paie encore et pas juste financièrement..
Puis ton PQ a , en même temps, diminué le nombre d'admission des étudiants en médecine. C'est le parti au pouvoir actuellemement qui a remonté le nombre d'admission . sais -tu combien d'année ça prend former un médecin et un médecin spécialiste?
.. tsé même le PQ a admis ses torts dans ce dossier.. et les syndicalistes sont pas reconnus pour être libéraux et ont dénoncé ces décisions du PQ
Et pourtant c'est à la demande expresse des associations de médecins (notamment) et d'infirmières si ce programme a été offert. Les médecins préféraient de loin les mises à la retraite à la baisse de leurs honoraires.
Et suite au départ massif opéré en 1997, comment se fait-il que nous ayons pu corriger la situation. Il n'y a peu eu de collation des grades depuis?
même si ce que tu dis était vrai que ça été demandé par les médecins, il leur appartenait, au PQ, de mettre des critères pour s'assurer de garder le nombre nécessaire de personnel dans le réseau de la santé et de prévoir les besoins futurs dans un société vieillissante. Bouchard a été un très mauvais gestionnaire avec une vision à très court terme pour pouvoir se péter les bretelles avec le déficit zéro... on le paie encore et pas juste financièrement..
Puis ton PQ a , en même temps, diminué le nombre d'admission des étudiants en médecine. C'est le parti au pouvoir actuellemement qui a remonté le nombre d'admission . sais -tu combien d'année ça prend former un médecin et un médecin spécialiste?
.. tsé même le PQ a admis ses torts dans ce dossier.. et les syndicalistes sont pas reconnus pour être libéraux et ont dénoncé ces décisions du PQ
Ganesha a écrit
même si ce que tu dis était vrai que ça été demandé par les médecins, il leur appartenait, au PQ, de mettre des critères pour s'assurer de garder le nombre nécessaire de personnel dans le réseau de la santé et de prévoir les besoins futurs dans un société vieillissante. Bouchard a été un très mauvais gestionnaire avec une vision à très court terme pour pouvoir se péter les bretelles avec le déficit zéro... on le paie encore et pas juste financièrement..
Puis ton PQ a , en même temps, diminué le nombre d'admission des étudiants en médecine. C'est le parti au pouvoir actuellemement qui a remonté le nombre d'admission . sais -tu combien d'année ça prend former un médecin et un médecin spécialiste?
.. tsé même le PQ a admis ses torts dans ce dossier.. et les syndicalistes sont pas reconnus pour être libéraux et ont dénoncé ces décisions du PQ
Dans le premier élément mis en évidence ton « si » est de trop. Ce que est écrit là tu le retrouveras dans toute bonne analyse de la situation de l'époque.
Deuzio, la diminution des admissions en médecine avait été amorcé par le gouvernement précédent (donc les libéraux). Au début des années '90, au Québec, comme ailleurs su Canada, on s'inquiétait non de la pénurie, mais du surplus de médecins. Les gouvernements provinciaux réagirent tous de la même manière : en diminuant le nombre d'étudiants. Quant aux infirmières, c'est leur corporation professionnelle qui, prévoyant un « surplus unique dans son ampleur », suggéra à Mme Marois en 1996 d'imposer un moratoire sur la formation collégiale.
Ce n'est donc pas MON PQ qui est à l'origine de... mais bien ton « je ne sais plus quoi »...
mdr --Message edité par Beppo le 2008-03-24 07:49:00--
même si ce que tu dis était vrai que ça été demandé par les médecins, il leur appartenait, au PQ, de mettre des critères pour s'assurer de garder le nombre nécessaire de personnel dans le réseau de la santé et de prévoir les besoins futurs dans un société vieillissante. Bouchard a été un très mauvais gestionnaire avec une vision à très court terme pour pouvoir se péter les bretelles avec le déficit zéro... on le paie encore et pas juste financièrement..
Puis ton PQ a , en même temps, diminué le nombre d'admission des étudiants en médecine. C'est le parti au pouvoir actuellemement qui a remonté le nombre d'admission . sais -tu combien d'année ça prend former un médecin et un médecin spécialiste?
.. tsé même le PQ a admis ses torts dans ce dossier.. et les syndicalistes sont pas reconnus pour être libéraux et ont dénoncé ces décisions du PQ
Dans le premier élément mis en évidence ton « si » est de trop. Ce que est écrit là tu le retrouveras dans toute bonne analyse de la situation de l'époque.
Deuzio, la diminution des admissions en médecine avait été amorcé par le gouvernement précédent (donc les libéraux). Au début des années '90, au Québec, comme ailleurs su Canada, on s'inquiétait non de la pénurie, mais du surplus de médecins. Les gouvernements provinciaux réagirent tous de la même manière : en diminuant le nombre d'étudiants. Quant aux infirmières, c'est leur corporation professionnelle qui, prévoyant un « surplus unique dans son ampleur », suggéra à Mme Marois en 1996 d'imposer un moratoire sur la formation collégiale.
Ce n'est donc pas MON PQ qui est à l'origine de... mais bien ton « je ne sais plus quoi »...
mdr --Message edité par Beppo le 2008-03-24 07:49:00--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Dans le premier élément mis en évidence ton « si » est de trop. Ce que est écrit là tu le retrouveras dans toute bonne analyse de la situation de l'époque.
Deuzio, la diminution des admissions en médecine avait été amorcé par le gouvernement précédent (donc les libéraux). Au début des années '90, au Québec, comme ailleurs su Canada, on s'inquiétait non de la pénurie, mais du surplus de médecins. Les gouvernements provinciaux réagirent tous de la même manière : en diminuant le nombre d'étudiants. Quant aux infirmières, c'est leur corporation professionnelle qui, prévoyant un « surplus unique dans son ampleur », suggéra à Mme Marois en 1996 d'imposer un moratoire sur la formation collégiale.
Ce n'est donc pas MON PQ qui est à l'origine de... mais bien ton « je ne sais plus quoi »...
mdr
oui si ce que tu dis est vrai, il n'empêche que le PQ n'a pas bien géré ( n'a pas géré du tout serait plus juste) ces départs massifs à la retraite des médecins, infirmières et EN Meme temps, il a diminué les inscrïptions dans ces formations . Et ce dans une société vieillissante.
C'est mentionné dans toutes les bonnes analyses de l"époque et actuelles car on vit encore le problème et les conséquences.. je me demande pourquoi tu n'admets pas ça? Même le PQ l'a admis.. ALors oui c'est le PQ qui est responsable de problèmes que l'on vit en santé , la pénurie de médecins etc..
MOn je ne sais plus quoi MDRRRR ..est bonne
comment est-ce que ça peut être à cause de mon *je sais plus quoi* car tu sais même pas qui est mon *je ne sais plus quoi*! ??
mais on tourne en rond sur ce débat, j'ai plus rien à dire sur cet aspect du débat
Dans le premier élément mis en évidence ton « si » est de trop. Ce que est écrit là tu le retrouveras dans toute bonne analyse de la situation de l'époque.
Deuzio, la diminution des admissions en médecine avait été amorcé par le gouvernement précédent (donc les libéraux). Au début des années '90, au Québec, comme ailleurs su Canada, on s'inquiétait non de la pénurie, mais du surplus de médecins. Les gouvernements provinciaux réagirent tous de la même manière : en diminuant le nombre d'étudiants. Quant aux infirmières, c'est leur corporation professionnelle qui, prévoyant un « surplus unique dans son ampleur », suggéra à Mme Marois en 1996 d'imposer un moratoire sur la formation collégiale.
Ce n'est donc pas MON PQ qui est à l'origine de... mais bien ton « je ne sais plus quoi »...
mdr
oui si ce que tu dis est vrai, il n'empêche que le PQ n'a pas bien géré ( n'a pas géré du tout serait plus juste) ces départs massifs à la retraite des médecins, infirmières et EN Meme temps, il a diminué les inscrïptions dans ces formations . Et ce dans une société vieillissante.
C'est mentionné dans toutes les bonnes analyses de l"époque et actuelles car on vit encore le problème et les conséquences.. je me demande pourquoi tu n'admets pas ça? Même le PQ l'a admis.. ALors oui c'est le PQ qui est responsable de problèmes que l'on vit en santé , la pénurie de médecins etc..
MOn je ne sais plus quoi MDRRRR ..est bonne
comment est-ce que ça peut être à cause de mon *je sais plus quoi* car tu sais même pas qui est mon *je ne sais plus quoi*! ??
mais on tourne en rond sur ce débat, j'ai plus rien à dire sur cet aspect du débat
Ganesha a écrit
oui si ce que tu dis est vrai, il n'empêche que le PQ n'a pas bien géré ( n'a pas géré du tout serait plus juste) ces départs massifs à la retraite des médecins, infirmières et EN Meme temps, il a diminué les inscrïptions dans ces formations . Et ce dans une société vieillissante.
C'est mentionné dans toutes les bonnes analyses de l"époque et actuelles car on vit encore le problème et les conséquences.. je me demande pourquoi tu n'admets pas ça? Même le PQ l'a admis.. ALors oui c'est le PQ qui est responsable de problèmes que l'on vit en santé , la pénurie de médecins etc..
MOn je ne sais plus quoi MDRRRR ..est bonne
comment est-ce que ça peut être à cause de mon *je sais plus quoi* car tu sais même pas qui est mon *je ne sais plus quoi*! ??
mais on tourne en rond sur ce débat, j'ai plus rien à dire sur cet aspect du débat
Il n'est pas exact d'écrire que le PQ a diminué les inscrïptions car le tout a été amorcé par le gouvernement précédent. Pourquoi vouloir le rendre responsable d'un geste posé par une autre formation politique? Toute bonne analyse, commme tu le mentionnes, te relèvera cette réalité. Que nous soyons encore en déficit après toutes ces années demeure la faute du PQ alors que tu as au pouvoir un gouvernement libéral qui gère la province depuis les 5 ou 6 dernières années.
Et faudrait voir si le présent problème est dû au manque de ressources ou au fait que nous ne voulions plus accorder de permanence aux employés de l'état... C'est une toute autre histoire ça...
oui si ce que tu dis est vrai, il n'empêche que le PQ n'a pas bien géré ( n'a pas géré du tout serait plus juste) ces départs massifs à la retraite des médecins, infirmières et EN Meme temps, il a diminué les inscrïptions dans ces formations . Et ce dans une société vieillissante.
C'est mentionné dans toutes les bonnes analyses de l"époque et actuelles car on vit encore le problème et les conséquences.. je me demande pourquoi tu n'admets pas ça? Même le PQ l'a admis.. ALors oui c'est le PQ qui est responsable de problèmes que l'on vit en santé , la pénurie de médecins etc..
MOn je ne sais plus quoi MDRRRR ..est bonne
comment est-ce que ça peut être à cause de mon *je sais plus quoi* car tu sais même pas qui est mon *je ne sais plus quoi*! ??
mais on tourne en rond sur ce débat, j'ai plus rien à dire sur cet aspect du débat
Il n'est pas exact d'écrire que le PQ a diminué les inscrïptions car le tout a été amorcé par le gouvernement précédent. Pourquoi vouloir le rendre responsable d'un geste posé par une autre formation politique? Toute bonne analyse, commme tu le mentionnes, te relèvera cette réalité. Que nous soyons encore en déficit après toutes ces années demeure la faute du PQ alors que tu as au pouvoir un gouvernement libéral qui gère la province depuis les 5 ou 6 dernières années.
Et faudrait voir si le présent problème est dû au manque de ressources ou au fait que nous ne voulions plus accorder de permanence aux employés de l'état... C'est une toute autre histoire ça...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Il n'est pas exact d'écrire que le PQ a diminué les inscrïptions car le tout a été amorcé par le gouvernement précédent. Pourquoi vouloir le rendre responsable d'un geste posé par une autre formation politique? Toute bonne analyse, commme tu le mentionnes, te relèvera cette réalité. Que nous soyons encore en déficit après toutes ces années demeure la faute du PQ alors que tu as au pouvoir un gouvernement libéral qui gère la province depuis les 5 ou 6 dernières années.
Et faudrait voir si le présent problème est dû au manque de ressources ou au fait que nous ne voulions plus accorder de permanence aux employés de l'état... C'est une toute autre histoire ça...
c'est faux ce que tu dis.
tu as le droit de le penser mais tout le monde même le PQ s'accorde pour dire que c'est le PQ avec les diminutions des inscrïptions ET des départs massifs à la retraite qui est responsable
Voici quelqu'un qui doit savoir de quoi il parle:
http://64.233.167.104/search?q=cache:F6 ... cd=8&gl=fr
Le dimanche 09 décembre 2007
Ronald Dutil: gains et dures contestations
«Le Québec (...) a facilement tendance à adopter des lois ou des décrets, pour régler les problèmes du système de santé» — Renald Dutil
Photothèque Le Soleil, Patrice Laroche
Claudette Samson
Le Soleil
Québec
Après 12 ans de travail, Renald Dutil quittera la semaine prochaine la présidence de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ). Sa plus grande fierté est d’avoir su amener le gouvernement vers une entente accordant la priorité au suivi des patients les plus vulnérables par un médecin de famille.
Le mandat du Dr Dutil (ou ses mandats, puisque ceux-ci ne sont que d’un an et ont été renouvelés tout ce temps) n’aura pas été de tout repos. Sa première mission, en 1995, a été d’appliquer la réduction de 2 % de l’enveloppe réservée aux médecins omnipraticiens. C’était le début d’une ère de coupes généralisées, de déficit zéro, de diminution majeure des admissions en médecine, de mises à la retraite anticipées, qui allait conduire à la pénurie actuelle des médecins et à la grogne de ceux qui restaient, insatisfaits de leurs conditions.
«Malgré tout, on a réussi à faire quelque chose à cette époque», souligne-t-il dans une longue entrevue téléphonique. Ce quelque chose fut la création des départements régionaux de médecine générale. Ne cherchez pas ces départements dans votre environnement, ils n’existent pas physiquement, puisqu’ils ne dispensent aucun service. Il s’agit en quelque sorte de tables de consultation sur l’organisation des soins de première ligne. Ce sont des lieux où les médecins exercent une «influence» certaine auprès des agences de santé et dont plus personne ne voudrait se passer, souligne le président sortant.
Cinq ministres de la santé
Il y a eu au cours de ces années «des contestations très dures», se remémore celui qui a vu défiler cinq ministres de la Santé. C’est la Fédération qui a proposé, devant la commission Clair, la création des Groupes de médecine familiale (GMF), qui en furent l’une des principales recommandations. C’est dans cette foulée qu’est intervenue l’entente avec Québec pour accorder les budgets en priorité au suivi des clientèles vulnérables, personnes âgées et malades chroniques, notamment.
La même période a été entrecoupée de graves crises dans les urgences, et les médecins n’ont jamais prisé la Loi sur les urgences qui, en 2002, autorisait les huissiers à aller les quérir à la maison pour les emmener à l’urgence.La Fédération prenait la situation très au sérieux, dit son président, et faisait de grands efforts pour trouver des solutions, mais aurait bien aimé que Québec choisisse une autre voie que la coercition.
«Le Québec se distingue des autres provinces canadiennes sur ce point et a facilement tendance à adopter des lois ou des décrets, pour régler les problèmes du système de santé.»
À maintes reprises, la FMOQ a accepté de négocier l’application de diverses mesures avec lesquelles elle n’était pas en accord, plutôt que de se voir tout imposer. «Ça nous déplaisait, mais c’était un mal nécessaire.»
À tout le moins M. Dutil a-t-il la satisfaction de partir en laissant la table mieux garnie qu’à son arrivée. La récente entente sur l’amélioration de la rémunération des médecins omnipraticiens, assortie d’une série de mesures visant à accroître l’accès aux services de santé, laissera 30 % de plus dans leurs poches au cours des prochaines années. Quant aux mesures d’accès, elles sont dans la suite logique de ce qui a été convenu pour les clientèles vulnérables, afin d’en arriver un jour à inclure toute la population.
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Débat clos. --Message edité par Ganesha le 2008-03-24 19:20:18--
Il n'est pas exact d'écrire que le PQ a diminué les inscrïptions car le tout a été amorcé par le gouvernement précédent. Pourquoi vouloir le rendre responsable d'un geste posé par une autre formation politique? Toute bonne analyse, commme tu le mentionnes, te relèvera cette réalité. Que nous soyons encore en déficit après toutes ces années demeure la faute du PQ alors que tu as au pouvoir un gouvernement libéral qui gère la province depuis les 5 ou 6 dernières années.
Et faudrait voir si le présent problème est dû au manque de ressources ou au fait que nous ne voulions plus accorder de permanence aux employés de l'état... C'est une toute autre histoire ça...
c'est faux ce que tu dis.
tu as le droit de le penser mais tout le monde même le PQ s'accorde pour dire que c'est le PQ avec les diminutions des inscrïptions ET des départs massifs à la retraite qui est responsable
Voici quelqu'un qui doit savoir de quoi il parle:
http://64.233.167.104/search?q=cache:F6 ... cd=8&gl=fr
Le dimanche 09 décembre 2007
Ronald Dutil: gains et dures contestations
«Le Québec (...) a facilement tendance à adopter des lois ou des décrets, pour régler les problèmes du système de santé» — Renald Dutil
Photothèque Le Soleil, Patrice Laroche
Claudette Samson
Le Soleil
Québec
Après 12 ans de travail, Renald Dutil quittera la semaine prochaine la présidence de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ). Sa plus grande fierté est d’avoir su amener le gouvernement vers une entente accordant la priorité au suivi des patients les plus vulnérables par un médecin de famille.
Le mandat du Dr Dutil (ou ses mandats, puisque ceux-ci ne sont que d’un an et ont été renouvelés tout ce temps) n’aura pas été de tout repos. Sa première mission, en 1995, a été d’appliquer la réduction de 2 % de l’enveloppe réservée aux médecins omnipraticiens. C’était le début d’une ère de coupes généralisées, de déficit zéro, de diminution majeure des admissions en médecine, de mises à la retraite anticipées, qui allait conduire à la pénurie actuelle des médecins et à la grogne de ceux qui restaient, insatisfaits de leurs conditions.
«Malgré tout, on a réussi à faire quelque chose à cette époque», souligne-t-il dans une longue entrevue téléphonique. Ce quelque chose fut la création des départements régionaux de médecine générale. Ne cherchez pas ces départements dans votre environnement, ils n’existent pas physiquement, puisqu’ils ne dispensent aucun service. Il s’agit en quelque sorte de tables de consultation sur l’organisation des soins de première ligne. Ce sont des lieux où les médecins exercent une «influence» certaine auprès des agences de santé et dont plus personne ne voudrait se passer, souligne le président sortant.
Cinq ministres de la santé
Il y a eu au cours de ces années «des contestations très dures», se remémore celui qui a vu défiler cinq ministres de la Santé. C’est la Fédération qui a proposé, devant la commission Clair, la création des Groupes de médecine familiale (GMF), qui en furent l’une des principales recommandations. C’est dans cette foulée qu’est intervenue l’entente avec Québec pour accorder les budgets en priorité au suivi des clientèles vulnérables, personnes âgées et malades chroniques, notamment.
La même période a été entrecoupée de graves crises dans les urgences, et les médecins n’ont jamais prisé la Loi sur les urgences qui, en 2002, autorisait les huissiers à aller les quérir à la maison pour les emmener à l’urgence.La Fédération prenait la situation très au sérieux, dit son président, et faisait de grands efforts pour trouver des solutions, mais aurait bien aimé que Québec choisisse une autre voie que la coercition.
«Le Québec se distingue des autres provinces canadiennes sur ce point et a facilement tendance à adopter des lois ou des décrets, pour régler les problèmes du système de santé.»
À maintes reprises, la FMOQ a accepté de négocier l’application de diverses mesures avec lesquelles elle n’était pas en accord, plutôt que de se voir tout imposer. «Ça nous déplaisait, mais c’était un mal nécessaire.»
À tout le moins M. Dutil a-t-il la satisfaction de partir en laissant la table mieux garnie qu’à son arrivée. La récente entente sur l’amélioration de la rémunération des médecins omnipraticiens, assortie d’une série de mesures visant à accroître l’accès aux services de santé, laissera 30 % de plus dans leurs poches au cours des prochaines années. Quant aux mesures d’accès, elles sont dans la suite logique de ce qui a été convenu pour les clientèles vulnérables, afin d’en arriver un jour à inclure toute la population.
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Débat clos. --Message edité par Ganesha le 2008-03-24 19:20:18--
Ganesha a écrit
c'est faux ce que tu dis.
tu as le droit de le penser mais tout le monde même le PQ s'accorde pour dire que c'est le PQ avec les diminutions des inscrïptions ET des départs massifs à la retraite qui est responsable
Voici quelqu'un qui doit savoir de quoi il parle:
http://64.233.167.104/search?q=cache:F6 ... cd=8&gl=fr
Le dimanche 09 décembre 2007
Ronald Dutil: gains et dures contestations
«Le Québec (...) a facilement tendance à adopter des lois ou des décrets, pour régler les problèmes du système de santé» — Renald Dutil
Photothèque Le Soleil, Patrice Laroche
Claudette Samson
Le Soleil
Québec
Après 12 ans de travail, Renald Dutil quittera la semaine prochaine la présidence de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ). Sa plus grande fierté est d’avoir su amener le gouvernement vers une entente accordant la priorité au suivi des patients les plus vulnérables par un médecin de famille.
Le mandat du Dr Dutil (ou ses mandats, puisque ceux-ci ne sont que d’un an et ont été renouvelés tout ce temps) n’aura pas été de tout repos. Sa première mission, en 1995, a été d’appliquer la réduction de 2 % de l’enveloppe réservée aux médecins omnipraticiens. C’était le début d’une ère de coupes généralisées, de déficit zéro, de diminution majeure des admissions en médecine, de mises à la retraite anticipées, qui allait conduire à la pénurie actuelle des médecins et à la grogne de ceux qui restaient, insatisfaits de leurs conditions.
«Malgré tout, on a réussi à faire quelque chose à cette époque», souligne-t-il dans une longue entrevue téléphonique. Ce quelque chose fut la création des départements régionaux de médecine générale. Ne cherchez pas ces départements dans votre environnement, ils n’existent pas physiquement, puisqu’ils ne dispensent aucun service. Il s’agit en quelque sorte de tables de consultation sur l’organisation des soins de première ligne. Ce sont des lieux où les médecins exercent une «influence» certaine auprès des agences de santé et dont plus personne ne voudrait se passer, souligne le président sortant.
Cinq ministres de la santé
Il y a eu au cours de ces années «des contestations très dures», se remémore celui qui a vu défiler cinq ministres de la Santé. C’est la Fédération qui a proposé, devant la commission Clair, la création des Groupes de médecine familiale (GMF), qui en furent l’une des principales recommandations. C’est dans cette foulée qu’est intervenue l’entente avec Québec pour accorder les budgets en priorité au suivi des clientèles vulnérables, personnes âgées et malades chroniques, notamment.
La même période a été entrecoupée de graves crises dans les urgences, et les médecins n’ont jamais prisé la Loi sur les urgences qui, en 2002, autorisait les huissiers à aller les quérir à la maison pour les emmener à l’urgence.La Fédération prenait la situation très au sérieux, dit son président, et faisait de grands efforts pour trouver des solutions, mais aurait bien aimé que Québec choisisse une autre voie que la coercition.
«Le Québec se distingue des autres provinces canadiennes sur ce point et a facilement tendance à adopter des lois ou des décrets, pour régler les problèmes du système de santé.»
À maintes reprises, la FMOQ a accepté de négocier l’application de diverses mesures avec lesquelles elle n’était pas en accord, plutôt que de se voir tout imposer. «Ça nous déplaisait, mais c’était un mal nécessaire.»
À tout le moins M. Dutil a-t-il la satisfaction de partir en laissant la table mieux garnie qu’à son arrivée. La récente entente sur l’amélioration de la rémunération des médecins omnipraticiens, assortie d’une série de mesures visant à accroître l’accès aux services de santé, laissera 30 % de plus dans leurs poches au cours des prochaines années. Quant aux mesures d’accès, elles sont dans la suite logique de ce qui a été convenu pour les clientèles vulnérables, afin d’en arriver un jour à inclure toute la population.
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Débat clos.
Tout ce que j'écris sur le contingentement des étudiants amorcé par le PLQ est on ne peut plus vrai. Faudrait savoir de quoi discuter et non pas sauter du coq à l'âne. Le contingentement est une chose et les retraites massives en sont une autre.
Tu peux clore le débat si tu le souhaites mais il n'en demeure pas moins que la réalité est là. Cé çâ kié çâ!
c'est faux ce que tu dis.
tu as le droit de le penser mais tout le monde même le PQ s'accorde pour dire que c'est le PQ avec les diminutions des inscrïptions ET des départs massifs à la retraite qui est responsable
Voici quelqu'un qui doit savoir de quoi il parle:
http://64.233.167.104/search?q=cache:F6 ... cd=8&gl=fr
Le dimanche 09 décembre 2007
Ronald Dutil: gains et dures contestations
«Le Québec (...) a facilement tendance à adopter des lois ou des décrets, pour régler les problèmes du système de santé» — Renald Dutil
Photothèque Le Soleil, Patrice Laroche
Claudette Samson
Le Soleil
Québec
Après 12 ans de travail, Renald Dutil quittera la semaine prochaine la présidence de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ). Sa plus grande fierté est d’avoir su amener le gouvernement vers une entente accordant la priorité au suivi des patients les plus vulnérables par un médecin de famille.
Le mandat du Dr Dutil (ou ses mandats, puisque ceux-ci ne sont que d’un an et ont été renouvelés tout ce temps) n’aura pas été de tout repos. Sa première mission, en 1995, a été d’appliquer la réduction de 2 % de l’enveloppe réservée aux médecins omnipraticiens. C’était le début d’une ère de coupes généralisées, de déficit zéro, de diminution majeure des admissions en médecine, de mises à la retraite anticipées, qui allait conduire à la pénurie actuelle des médecins et à la grogne de ceux qui restaient, insatisfaits de leurs conditions.
«Malgré tout, on a réussi à faire quelque chose à cette époque», souligne-t-il dans une longue entrevue téléphonique. Ce quelque chose fut la création des départements régionaux de médecine générale. Ne cherchez pas ces départements dans votre environnement, ils n’existent pas physiquement, puisqu’ils ne dispensent aucun service. Il s’agit en quelque sorte de tables de consultation sur l’organisation des soins de première ligne. Ce sont des lieux où les médecins exercent une «influence» certaine auprès des agences de santé et dont plus personne ne voudrait se passer, souligne le président sortant.
Cinq ministres de la santé
Il y a eu au cours de ces années «des contestations très dures», se remémore celui qui a vu défiler cinq ministres de la Santé. C’est la Fédération qui a proposé, devant la commission Clair, la création des Groupes de médecine familiale (GMF), qui en furent l’une des principales recommandations. C’est dans cette foulée qu’est intervenue l’entente avec Québec pour accorder les budgets en priorité au suivi des clientèles vulnérables, personnes âgées et malades chroniques, notamment.
La même période a été entrecoupée de graves crises dans les urgences, et les médecins n’ont jamais prisé la Loi sur les urgences qui, en 2002, autorisait les huissiers à aller les quérir à la maison pour les emmener à l’urgence.La Fédération prenait la situation très au sérieux, dit son président, et faisait de grands efforts pour trouver des solutions, mais aurait bien aimé que Québec choisisse une autre voie que la coercition.
«Le Québec se distingue des autres provinces canadiennes sur ce point et a facilement tendance à adopter des lois ou des décrets, pour régler les problèmes du système de santé.»
À maintes reprises, la FMOQ a accepté de négocier l’application de diverses mesures avec lesquelles elle n’était pas en accord, plutôt que de se voir tout imposer. «Ça nous déplaisait, mais c’était un mal nécessaire.»
À tout le moins M. Dutil a-t-il la satisfaction de partir en laissant la table mieux garnie qu’à son arrivée. La récente entente sur l’amélioration de la rémunération des médecins omnipraticiens, assortie d’une série de mesures visant à accroître l’accès aux services de santé, laissera 30 % de plus dans leurs poches au cours des prochaines années. Quant aux mesures d’accès, elles sont dans la suite logique de ce qui a été convenu pour les clientèles vulnérables, afin d’en arriver un jour à inclure toute la population.
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Débat clos.
Tout ce que j'écris sur le contingentement des étudiants amorcé par le PLQ est on ne peut plus vrai. Faudrait savoir de quoi discuter et non pas sauter du coq à l'âne. Le contingentement est une chose et les retraites massives en sont une autre.
Tu peux clore le débat si tu le souhaites mais il n'en demeure pas moins que la réalité est là. Cé çâ kié çâ!
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»