Article de ce matin:
http://cf.news.yahoo.com/s/afp/080219/m ... _politique
Je ne veux pas faire de politique, cependant je souhaite que le peuple ne subisse pas de mauavsie répercussion.Malgré tout Fidel à apporter beaucoup de bonne chose à son peuple, je souhaite qu'ils aient une plus grande ouverture sur le monde
Fidel Castro laisse son pouvoir...
Voici du nouveau:
Mise à jour : 24/02/2008 07:23
Succession de Fidel Castro
Son frère Raul élu président
(D’après AP) - Nouvelle étape de l'après-Fidel aujourd’hui à Cuba. Après 49 ans de règne du Lider Maximo, qui a tiré sa révérence mardi dernier, le Parlement cubain a, sans surprise, élu son frère Raul, 76 ans à la présidence du Conseil d'État, l'instance dirigeante de Cuba.
Un poste qu'il occupe de fait depuis juillet 2006 en raison des problèmes de santé de son frère, 81 ans, qui a renoncé à briguer un nouveau mandat.
Dans un nouvel éditorial désormais signé du «camarade Fidel», le vieux dirigeant a rejeté, hier, l'idée d'un véritable changement de politique après l'élection de son successeur.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/a ... 72347.html
Mise à jour : 24/02/2008 07:23
Succession de Fidel Castro
Son frère Raul élu président
(D’après AP) - Nouvelle étape de l'après-Fidel aujourd’hui à Cuba. Après 49 ans de règne du Lider Maximo, qui a tiré sa révérence mardi dernier, le Parlement cubain a, sans surprise, élu son frère Raul, 76 ans à la présidence du Conseil d'État, l'instance dirigeante de Cuba.
Un poste qu'il occupe de fait depuis juillet 2006 en raison des problèmes de santé de son frère, 81 ans, qui a renoncé à briguer un nouveau mandat.
Dans un nouvel éditorial désormais signé du «camarade Fidel», le vieux dirigeant a rejeté, hier, l'idée d'un véritable changement de politique après l'élection de son successeur.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/a ... 72347.html
Lison de Gatineau
Sans surprise, l'Assemblée nationale populaire confirme Raul Castro dans ses nouvelles fonctions de président du Conseil d'État. C'est le premier changement à la tête du pays en près d'un demi-siècle.
C'est maintenant officiel. Raul Castro a été confirmé dimanche par l'Assemblée nationale cubaine dans ses nouvelles fonctions de président du Conseil d'État. Il succède ainsi à son frère Fidel.
La nouvelle Assemblée cubaine, élue le mois dernier et constituée de 614 membres, l'avait désigné sans surprise comme seul candidat pour diriger l'île communiste.
Raul Castro, 76 ans, est ministre de la Défense depuis 1959. Il n'avait pas vraiment d'opposant sérieux. Le seul autre candidat crédible était Carlos Lage, un médecin âgé de 56 ans.
Le mandat de Raul Castro est d'une durée de cinq ans.
Autre fait peu étonnant, c'est le président du Venezuela, Hugo Chavez, grand allié de Fidel Castro, qui a été le premier chef d'État à féliciter le nouveau président cubain.
Si la nomination de Raul Castro à la présidence était attendue, l'Assemblée nationale a cependant réservé une surprise pour le poste de premier vice-président du Conseil d'État. Il sera occupé par José Ramon Machado Ventura, 77 ans, idéologue communiste considéré comme une autre figure appartenant à la « vieille garde ».
Le président de l'Assemblée nationale Ricardo Alarcon, seul candidat en lice, a de son côté été reconduit dans ses fonctions à l'unanimité par les députés. Raul Castro a également nommé son successeur au poste de ministre des Forces armées de Cuba, le général Julio Casas Regueiro, 72 ans.
C'est mardi dernier que le Lider maximo a annoncé qu'il tirait sa révérence, après 49 ans au pouvoir. Fidel Castro a renoncé à briguer un nouveau mandat en raison de problèmes de santé.
Il avait d'ailleurs déjà cédé les rênes du pouvoir à son frère Raul il y a 19 mois, après une hémorragie intestinale et plusieurs interventions chirurgicales.
Dans un texte publié samedi, Fidel Castro a rejeté l'idée que son retrait et l'élection de son successeur puissent entraîner d'importants changements politiques.
Fidèle à Fidel
Lors de son premier discours devant le Parlement, Raul Castro a dit qu'il « assumerait la responsabilité » qui lui était confiée de remplacer son frère, mais qu'il continuerait à le « consulter pour les décisions majeures ».
Il a notamment mentionné que le régime étudie présentement les moyens de réévaluer sa monnaie, le peso, selon les idées de Fidel.
Raul Castro a également profité de sa première allocution officielle pour lancer quelques flèches aux États-Unis. Il a ainsi qualifié « d'injurieuses » et « ouvertement interventionnistes » les dernières déclarations de l'administration américaine sur Cuba.
Dimanche, la secrétaire d'État américaine, Condoleezza Rice, a exhorté le régime communiste cubain à « entamer un processus de changement démocratique pacifique ».
Perçu comme étant un homme de la continuité, Raul Castro se voit aussi comme l'homme de l'étapisme ou des « petits pas ». Il veut répondre ainsi à l'imposante liste des problèmes légués par la gestion de son frère, qui alimentent l'impatience croissante des Cubains.
« Indubitablement, il est le camarade qui a la plus grande autorité après moi et la meilleure expérience. Aussi possède-t-il toutes les qualités pour me succéder », disait de lui Fidel Castro, dès 2001.
Rappelons finalement que 7 Cubains sur 10 n'ont connu que Fidel Castro comme président.
http://nouvelles.sympatico.msn.radio-ca ... date=False
C'est maintenant officiel. Raul Castro a été confirmé dimanche par l'Assemblée nationale cubaine dans ses nouvelles fonctions de président du Conseil d'État. Il succède ainsi à son frère Fidel.
La nouvelle Assemblée cubaine, élue le mois dernier et constituée de 614 membres, l'avait désigné sans surprise comme seul candidat pour diriger l'île communiste.
Raul Castro, 76 ans, est ministre de la Défense depuis 1959. Il n'avait pas vraiment d'opposant sérieux. Le seul autre candidat crédible était Carlos Lage, un médecin âgé de 56 ans.
Le mandat de Raul Castro est d'une durée de cinq ans.
Autre fait peu étonnant, c'est le président du Venezuela, Hugo Chavez, grand allié de Fidel Castro, qui a été le premier chef d'État à féliciter le nouveau président cubain.
Si la nomination de Raul Castro à la présidence était attendue, l'Assemblée nationale a cependant réservé une surprise pour le poste de premier vice-président du Conseil d'État. Il sera occupé par José Ramon Machado Ventura, 77 ans, idéologue communiste considéré comme une autre figure appartenant à la « vieille garde ».
Le président de l'Assemblée nationale Ricardo Alarcon, seul candidat en lice, a de son côté été reconduit dans ses fonctions à l'unanimité par les députés. Raul Castro a également nommé son successeur au poste de ministre des Forces armées de Cuba, le général Julio Casas Regueiro, 72 ans.
C'est mardi dernier que le Lider maximo a annoncé qu'il tirait sa révérence, après 49 ans au pouvoir. Fidel Castro a renoncé à briguer un nouveau mandat en raison de problèmes de santé.
Il avait d'ailleurs déjà cédé les rênes du pouvoir à son frère Raul il y a 19 mois, après une hémorragie intestinale et plusieurs interventions chirurgicales.
Dans un texte publié samedi, Fidel Castro a rejeté l'idée que son retrait et l'élection de son successeur puissent entraîner d'importants changements politiques.
Fidèle à Fidel
Lors de son premier discours devant le Parlement, Raul Castro a dit qu'il « assumerait la responsabilité » qui lui était confiée de remplacer son frère, mais qu'il continuerait à le « consulter pour les décisions majeures ».
Il a notamment mentionné que le régime étudie présentement les moyens de réévaluer sa monnaie, le peso, selon les idées de Fidel.
Raul Castro a également profité de sa première allocution officielle pour lancer quelques flèches aux États-Unis. Il a ainsi qualifié « d'injurieuses » et « ouvertement interventionnistes » les dernières déclarations de l'administration américaine sur Cuba.
Dimanche, la secrétaire d'État américaine, Condoleezza Rice, a exhorté le régime communiste cubain à « entamer un processus de changement démocratique pacifique ».
Perçu comme étant un homme de la continuité, Raul Castro se voit aussi comme l'homme de l'étapisme ou des « petits pas ». Il veut répondre ainsi à l'imposante liste des problèmes légués par la gestion de son frère, qui alimentent l'impatience croissante des Cubains.
« Indubitablement, il est le camarade qui a la plus grande autorité après moi et la meilleure expérience. Aussi possède-t-il toutes les qualités pour me succéder », disait de lui Fidel Castro, dès 2001.
Rappelons finalement que 7 Cubains sur 10 n'ont connu que Fidel Castro comme président.
http://nouvelles.sympatico.msn.radio-ca ... date=False
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Red Ketchup
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