Les Présidentielles 2008
Le mardi 08 janvier 2008
Victoire attendue pour Obama dans le New Hampshire
Barack Obama, en pleine ascension dans les sondages, se préparait mardi à une nouvelle victoire dans le New Hampshire, face à une Hillary Clinton qui a promis de ne pas désarmer dans la course à l'investiture démocrate pour la présidentielle de novembre.
Côté républicain, c'est le sénateur vétéran John McCain, 71 ans, héros de la guerre du Vietnam, qui devait l'emporter, toujours à en croire les sondages. Le vainqueur de l'Iowa, Mike Huckabee, qui représente la frange conservatrice et chrétienne de l'électorat, n'espérait au mieux qu'une troisième place.
Les bureaux de vote ont ouvert à 6h00 dans le New Hampshire, habitué à jouer les premiers rôles dans les primaires américaines et devaient fermer à 20h00.
Fort de sa victoire le 3 janvier dans les caucus (assemblées d'électeurs) de l'Iowa, le sénateur démocrate Barack Obama, 46 ans, a spectaculairement réduit l'écart qui le séparait de l'ex-Première dame dans les sondages, non seulement dans le New Hampshire mais aussi au niveau national.
Devant une salle survoltée, celui qui aspire à devenir le premier président noir des États-Unis avait exhorté lundi les électeurs à «se battre et tout risquer pour une chose qui n'existait pas avant».
«C'est l'orateur le plus éloquent qu'on ait jamais vu dans notre histoire», assurait mardi, Ben, 45 ans, en sortant de l'isoloir.
Hillary Clinton, qui avait paru au bord des larmes lundi, a promis qu'elle combattrait jusqu'au bout. Elle a sillonné mardi dans son bus bleu de campagne les abords de plusieurs bureaux de vote, dont une école à Nashua, où plusieurs partisans, émus, l'ont enlacée.
Mme Clinton est aussi apparue dans la quasi totalité des émissions télévisées matinales, répétant son intention de rester en campagne quelle que soit l'issue de la soirée. Elle a assuré sur ABC se sentir «très bien».
«Je considère que le moment décisif arrivera à minuit sur la côte ouest le 5 février, parce qu'il va falloir attendre jusque-là pour vraiment voir comment tout ça va tourner», a-t-elle déclaré sur NBC, en référence à la date du «méga-mardi» qui verra une vingtaine d'États se prononcer.
Signe de l'engouement suscité par ce scrutin, les responsables des élections dans le New Hampshire ont indiqué qu'il y avait une quasi pénurie sur les bulletins démocrates et qu'ils avaient du réapprovisionner certains bureaux de vote. Le secrétaire d'État du New Hampshire chargé des élections, Bill Gardner, a qualifié la participation de «très importante».
La sénatrice de New York a deux semaines pour redresser la barre avant les prochains tests électoraux qui l'attendent dans le Nevada et en Caroline du Sud, suivis du crucial «méga-mardi».
La victoire attendue du républicain John McCain infligerait une deuxième défaite consécutive à l'ex-gouverneur du Massachusetts Mitt Romney, richissime homme d'affaires mormon qui a énormément investi en temps et en argent dans cette campagne.
Quant à l'ancien maire de New York Rudy Giuliani, il a pris le risque de laisser filer la victoire en faisant peu campagne dans l'Iowa et le New Hampshire, réservant ses forces pour des États plus peuplés comme la Floride.
Il n'est jamais arrivé que l'investiture échappe à un candidat ayant remporté à la fois les assemblées d'électeurs de l'Iowa et les primaires du New Hampshire, État qui a notamment servi de point de départ pour la conquête de la Maison-Blanche par Bill Clinton en 1992.
Victoire attendue pour Obama dans le New Hampshire
Barack Obama, en pleine ascension dans les sondages, se préparait mardi à une nouvelle victoire dans le New Hampshire, face à une Hillary Clinton qui a promis de ne pas désarmer dans la course à l'investiture démocrate pour la présidentielle de novembre.
Côté républicain, c'est le sénateur vétéran John McCain, 71 ans, héros de la guerre du Vietnam, qui devait l'emporter, toujours à en croire les sondages. Le vainqueur de l'Iowa, Mike Huckabee, qui représente la frange conservatrice et chrétienne de l'électorat, n'espérait au mieux qu'une troisième place.
Les bureaux de vote ont ouvert à 6h00 dans le New Hampshire, habitué à jouer les premiers rôles dans les primaires américaines et devaient fermer à 20h00.
Fort de sa victoire le 3 janvier dans les caucus (assemblées d'électeurs) de l'Iowa, le sénateur démocrate Barack Obama, 46 ans, a spectaculairement réduit l'écart qui le séparait de l'ex-Première dame dans les sondages, non seulement dans le New Hampshire mais aussi au niveau national.
Devant une salle survoltée, celui qui aspire à devenir le premier président noir des États-Unis avait exhorté lundi les électeurs à «se battre et tout risquer pour une chose qui n'existait pas avant».
«C'est l'orateur le plus éloquent qu'on ait jamais vu dans notre histoire», assurait mardi, Ben, 45 ans, en sortant de l'isoloir.
Hillary Clinton, qui avait paru au bord des larmes lundi, a promis qu'elle combattrait jusqu'au bout. Elle a sillonné mardi dans son bus bleu de campagne les abords de plusieurs bureaux de vote, dont une école à Nashua, où plusieurs partisans, émus, l'ont enlacée.
Mme Clinton est aussi apparue dans la quasi totalité des émissions télévisées matinales, répétant son intention de rester en campagne quelle que soit l'issue de la soirée. Elle a assuré sur ABC se sentir «très bien».
«Je considère que le moment décisif arrivera à minuit sur la côte ouest le 5 février, parce qu'il va falloir attendre jusque-là pour vraiment voir comment tout ça va tourner», a-t-elle déclaré sur NBC, en référence à la date du «méga-mardi» qui verra une vingtaine d'États se prononcer.
Signe de l'engouement suscité par ce scrutin, les responsables des élections dans le New Hampshire ont indiqué qu'il y avait une quasi pénurie sur les bulletins démocrates et qu'ils avaient du réapprovisionner certains bureaux de vote. Le secrétaire d'État du New Hampshire chargé des élections, Bill Gardner, a qualifié la participation de «très importante».
La sénatrice de New York a deux semaines pour redresser la barre avant les prochains tests électoraux qui l'attendent dans le Nevada et en Caroline du Sud, suivis du crucial «méga-mardi».
La victoire attendue du républicain John McCain infligerait une deuxième défaite consécutive à l'ex-gouverneur du Massachusetts Mitt Romney, richissime homme d'affaires mormon qui a énormément investi en temps et en argent dans cette campagne.
Quant à l'ancien maire de New York Rudy Giuliani, il a pris le risque de laisser filer la victoire en faisant peu campagne dans l'Iowa et le New Hampshire, réservant ses forces pour des États plus peuplés comme la Floride.
Il n'est jamais arrivé que l'investiture échappe à un candidat ayant remporté à la fois les assemblées d'électeurs de l'Iowa et les primaires du New Hampshire, État qui a notamment servi de point de départ pour la conquête de la Maison-Blanche par Bill Clinton en 1992.
Hillary Rodham Clinton a remporté ce mardi la primaire démocrate du New Hampshire, devançant son rival Barack Obama, pourtant donné favori par les sondages avant le scrutin.
L'ancienne First Lady a obtenu 39% des suffrages, contre 37% à Obama, 17% à l'ancien sénateur de Caroline du Nord John Edwards, et moins de 5% au gouverneur du Nouveau-Mexique Bill Richardson.
«Je suis toujours 'chaud' et prêt à continuer», a réagi Barack Obama, alors que ce revers présage d'une campagne beaucoup plus serrée qu'envisagée il y a encore quelques heures.
Troisième des caucus de l'Iowa, Hillary Rodham Clinton a, contre toute attente, inversé la tendance face au sénateur de l'Illinois et réussi à relancer sa candidature à la Maison Blanche grâce à cette victoire dans le New Hampshire. C'est déjà dans cet Etat que son mari Bill Clinton avait relancé sa campagne avant son élection en 1992, malgré une deuxième place lors de la primaire.
Après la défaite de l'Iowa et les mauvais sondages, l'entourage de la sénatrice de New York semblait déjà avoir accepté un nouvel échec dans le New Hampshire, qui aurait considérablement compromis ses chances de victoire dans le camp démocrate.
Mais la candidate semble avoir récolté les fruits dans l'importante campagne de terrain menée par son camp, et les entretiens réalisés auprès d'électeurs à la sortie des bureaux de vote ont montré que l'électorat féminin -qui lui avait fait défaut dans l'Iowa- lui a apporté son soutien, tout comme les militants démocrates.
A l'inverse, Obama a pâti d'un manque de mobilisation des jeunes votants qui l'avaient plébiscité la semaine dernière, même s'il devance toujours sa rivale parmi les indépendants.
Le sénateur de l'Arizona John McCain a quant à lui remporté la primaire républicaine, devançant l'ancien gouverneur du Massachusetts Mitt Romney.
John McCain a profité du vote des électeurs indépendants pour devancer Mitt Romney, qui espérait se relancer dans la course à l'investiture après sa deuxième place dans les caucus de l'Iowa. L'ancien gouverneur de l'Arkansas Mike Huckabee, vainqueur dans l'Iowa, a terminé en troisième position.
Chez les républicains, après décompte de 26% des suffrages John McCain obtenait 37% des votes, contre 28% à Romney et 12% à Huckabee. Venaient ensuite l'ancien maire de New York Rudolph Giuliani (9%) et le représentant du Texas Ron Paul (8%). Le sénateur de l'Arizona obtenait au moins six délégués, contre au moins trois délégués à Mitt Romney, avec trois délégués encore à pourvoir.
«Nous avons montré à la population de ce pays à quoi ressemble un véritable come-back», a déclaré à l'Associated Press le sénateur de l'Arizona, dont la candidature avait semblé finie cet été après l'implosion de son équipe de campagne. «Nous allons continuer au Michigan et en Caroline du Sud (prochaines primaires, NDLR) et remporter la nomination», a-t-il ajouté.
Par tradition, la première primaire imprime une tendance dans la course aux investitures et place en bonne position ses vainqueurs.
L'ancienne First Lady a obtenu 39% des suffrages, contre 37% à Obama, 17% à l'ancien sénateur de Caroline du Nord John Edwards, et moins de 5% au gouverneur du Nouveau-Mexique Bill Richardson.
«Je suis toujours 'chaud' et prêt à continuer», a réagi Barack Obama, alors que ce revers présage d'une campagne beaucoup plus serrée qu'envisagée il y a encore quelques heures.
Troisième des caucus de l'Iowa, Hillary Rodham Clinton a, contre toute attente, inversé la tendance face au sénateur de l'Illinois et réussi à relancer sa candidature à la Maison Blanche grâce à cette victoire dans le New Hampshire. C'est déjà dans cet Etat que son mari Bill Clinton avait relancé sa campagne avant son élection en 1992, malgré une deuxième place lors de la primaire.
Après la défaite de l'Iowa et les mauvais sondages, l'entourage de la sénatrice de New York semblait déjà avoir accepté un nouvel échec dans le New Hampshire, qui aurait considérablement compromis ses chances de victoire dans le camp démocrate.
Mais la candidate semble avoir récolté les fruits dans l'importante campagne de terrain menée par son camp, et les entretiens réalisés auprès d'électeurs à la sortie des bureaux de vote ont montré que l'électorat féminin -qui lui avait fait défaut dans l'Iowa- lui a apporté son soutien, tout comme les militants démocrates.
A l'inverse, Obama a pâti d'un manque de mobilisation des jeunes votants qui l'avaient plébiscité la semaine dernière, même s'il devance toujours sa rivale parmi les indépendants.
Le sénateur de l'Arizona John McCain a quant à lui remporté la primaire républicaine, devançant l'ancien gouverneur du Massachusetts Mitt Romney.
John McCain a profité du vote des électeurs indépendants pour devancer Mitt Romney, qui espérait se relancer dans la course à l'investiture après sa deuxième place dans les caucus de l'Iowa. L'ancien gouverneur de l'Arkansas Mike Huckabee, vainqueur dans l'Iowa, a terminé en troisième position.
Chez les républicains, après décompte de 26% des suffrages John McCain obtenait 37% des votes, contre 28% à Romney et 12% à Huckabee. Venaient ensuite l'ancien maire de New York Rudolph Giuliani (9%) et le représentant du Texas Ron Paul (8%). Le sénateur de l'Arizona obtenait au moins six délégués, contre au moins trois délégués à Mitt Romney, avec trois délégués encore à pourvoir.
«Nous avons montré à la population de ce pays à quoi ressemble un véritable come-back», a déclaré à l'Associated Press le sénateur de l'Arizona, dont la candidature avait semblé finie cet été après l'implosion de son équipe de campagne. «Nous allons continuer au Michigan et en Caroline du Sud (prochaines primaires, NDLR) et remporter la nomination», a-t-il ajouté.
Par tradition, la première primaire imprime une tendance dans la course aux investitures et place en bonne position ses vainqueurs.
Ben oui toi, j'étais assez surprise! Sauf que, comme disait les nalystes hier, ça augure pas super bien pour Clinton quand même, puisque le New Hampshire est presque majoritairement blanc, de classe moyenne-aisée. En plein les électeurs-cibles de Clinton. Ça aurait été supposé être elle qui l'emporte, et facilement en plus. Que Obama la chauffe autant dans un comté aussi peu "noir" c'est signe que les électeurs sont divisés en tit!
Mais bon, la bonne nouvelle c'est que les démocrates semblent le parti le plus en vogue en ce moment...Ouf!
Mais bon, la bonne nouvelle c'est que les démocrates semblent le parti le plus en vogue en ce moment...Ouf!
C'est vrai que c'est pas super évident de bien suivre les Présidentielles américaines...Pour faire ça court en ce moment, on est dans le processus des élections primaires. Ce qui veut dire que les candidats ayant amassé le plus de soutien (financier surtout) se livrent bataille dans les différents états afin de devenir le représentant démocrate ou républicain aux Présidentielles. Dans le fond, c,est une genre de course à la chefferie. À la fin des élections primaires, les candidats de chaques partis qui auront obtenus le moins de vote s'auto-élimeront.
Betta a écrit
Moi aussi... mais pourtant ça m'interesse..
Connaissez-vous un site où je pourrais m'informer sur le fonctionnement sans que ce soit trop compliqué?
Clic ici
Tu trouveras même un petit lexique sous l'onglet "ABC de la politique américaine" et un résumé intéressant sous "LES PRIMAIRES ET LES CAUCUS".
Assez résumé pour ête court, assez clair pour s'y retrouver facilement...
Moi aussi... mais pourtant ça m'interesse..
Connaissez-vous un site où je pourrais m'informer sur le fonctionnement sans que ce soit trop compliqué?
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Tu trouveras même un petit lexique sous l'onglet "ABC de la politique américaine" et un résumé intéressant sous "LES PRIMAIRES ET LES CAUCUS".
Assez résumé pour ête court, assez clair pour s'y retrouver facilement...
Bon merci pour votre aide. Ca commence a rentrer dans mon ti
cerveau...
Je trouve que le monde semble bien enerve pour etre juste a la
recherche d'un chef... On est loin de la Maison blanche me semble...
Tout le processus prend un an! Ouf!!
cerveau...
Je trouve que le monde semble bien enerve pour etre juste a la
recherche d'un chef... On est loin de la Maison blanche me semble...
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[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
Pico82 a écritBon merci pour votre aide. Ca commence a rentrer dans mon ti
cerveau...
Je trouve que le monde semble bien enerve pour etre juste a la
recherche d'un chef... On est loin de la Maison blanche me semble...
Tout le processus prend un an! Ouf!!
Il n'y a que 2 partis aux États-Unis Pico. Une fois le représentant démocrate ou républicain choisi, c'est les Présidentielles en novembre...Je trouve pas ça si loin moi Si tu ne réussis pas à prendre le lead ton ambition d'être président prend le bord.
cerveau...
Je trouve que le monde semble bien enerve pour etre juste a la
recherche d'un chef... On est loin de la Maison blanche me semble...
Tout le processus prend un an! Ouf!!
Il n'y a que 2 partis aux États-Unis Pico. Une fois le représentant démocrate ou républicain choisi, c'est les Présidentielles en novembre...Je trouve pas ça si loin moi Si tu ne réussis pas à prendre le lead ton ambition d'être président prend le bord.
lolilou a écritmais là c'est qui qui vote? les gens?
Oui, les gens mais pas de la même façon partout. Chaque État a ses lois électorales.
Les principales façon de voter au primaire sont:
Fermé:
chaque citoyen doit s'inscrire sur la liste électorale et y inscrire qu'il est démocrate, républicain ou indépendant. Le jour du vote, il n'a le droit de voter que pour un candidat du parti à lequel il s'est désigné et les indépendant ne peuvent voter.
Ouverte:
chaque citoyen doit s'inscrire sur la liste électorale et désigné son parti ou s'inscrire indépendant. Le jour du vote, il doit décider à quel parti il votera. Un Républicain peut voter pour un Démocrate mais il perdra son droit de participer au vote de son parti. Bref peu importe l'allégeance du voteur, Démocrate, Républicain ou indépendant, il peut participer à l'élection de son choix mais à pas plus d'une.
Cette dernière méthode est celle du New-Hamshire.
Caucus:
Le candidat est chosi par les membres des partis respectifs par des délégués nommé dans chaque comté. C'est la méthode que nous connaissons au Canada sauf pour le Parti Québecois.
C'est la méthode de l'Iowa.
Pour faire encore plus simple, il y a la méthode primaire ou ouverte modifiée.
Les électeurs inscrit a un parti ont l'obligation de voter pour le candidat de son parti mais les indépendants peuvent voter pour l'un ou l'autre.
Pour faire encore plus simple, je crois qu'il y a des États avec un de ces trois types de votation mais avec quelques variantes.
Mais toutes cette énergie est pour en fait désigner les délégués de la grande convention qui élira, enfin, le représentant de chacun des partis. Au mois d'aôut pour les Démocrates et début septembre pour les Républicains. Ces délégués qui proviennent de chacun des États, sont désignés en fonction des résultat de ces États. Par exemple pour l'Iowa il y aura 57 délégués sur 4 051 pour l'ensemble des États-Unis à la convention démocrate d'août.
C'es-tu assez compliqué à votre goût. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.
Oui, les gens mais pas de la même façon partout. Chaque État a ses lois électorales.
Les principales façon de voter au primaire sont:
Fermé:
chaque citoyen doit s'inscrire sur la liste électorale et y inscrire qu'il est démocrate, républicain ou indépendant. Le jour du vote, il n'a le droit de voter que pour un candidat du parti à lequel il s'est désigné et les indépendant ne peuvent voter.
Ouverte:
chaque citoyen doit s'inscrire sur la liste électorale et désigné son parti ou s'inscrire indépendant. Le jour du vote, il doit décider à quel parti il votera. Un Républicain peut voter pour un Démocrate mais il perdra son droit de participer au vote de son parti. Bref peu importe l'allégeance du voteur, Démocrate, Républicain ou indépendant, il peut participer à l'élection de son choix mais à pas plus d'une.
Cette dernière méthode est celle du New-Hamshire.
Caucus:
Le candidat est chosi par les membres des partis respectifs par des délégués nommé dans chaque comté. C'est la méthode que nous connaissons au Canada sauf pour le Parti Québecois.
C'est la méthode de l'Iowa.
Pour faire encore plus simple, il y a la méthode primaire ou ouverte modifiée.
Les électeurs inscrit a un parti ont l'obligation de voter pour le candidat de son parti mais les indépendants peuvent voter pour l'un ou l'autre.
Pour faire encore plus simple, je crois qu'il y a des États avec un de ces trois types de votation mais avec quelques variantes.
Mais toutes cette énergie est pour en fait désigner les délégués de la grande convention qui élira, enfin, le représentant de chacun des partis. Au mois d'aôut pour les Démocrates et début septembre pour les Républicains. Ces délégués qui proviennent de chacun des États, sont désignés en fonction des résultat de ces États. Par exemple pour l'Iowa il y aura 57 délégués sur 4 051 pour l'ensemble des États-Unis à la convention démocrate d'août.
C'es-tu assez compliqué à votre goût. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.
Il y a le site du journal Le Monde qui explique très bien le processus avec en prime des graphiques.
http://www.lemonde.fr/web/infog/0,47-0@ ... 781,0.html
http://www.lemonde.fr/web/infog/0,47-0@ ... 781,0.html