Source SRC.ca
Mont-Orford
Le gouvernement fait marche arrière
Dernières nouvelles
Le gouvernement libéral recule dans le dossier du mont Orford. La ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, Line Beauchamp, a annoncé lundi que la vente d'une partie du parc national du Mont-Orford est annulée.
Le gouvernement du Québec met fin à l'appel d'offres en cours et assure que les terres du parc national demeureront une propriété publique.
Line Beauchamp affirme que le gouvernement est également prêt à mettre fin au bail qui le lie à l'entreprise Mont-Orford inc., qui gère les activités de la station de ski du club de golf. Elle donne le mandat à la MRC Memphrémagog de trouver une solution pour assurer le maintien des activités à la montagne. La MRC a deux ans pour soumettre une proposition au gouvernement. --Message edité par ZZ_Doc le 2007-05-07 12:48:35--
Mont-Orford - Le gouvernement fait marche arrière
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.anthurium.
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Québec renonce à la vente d'une partie du parc du Mont Orford
Le 7 mai 2007 - 17:45 | Presse Canadienne
Mont Orford
À la veille de la rentrée parlementaire, le gouvernement minoritaire de Jean Charest y est allé d'un premier recul de taille: il renonce à son plan de privatisation des terrains du parc national du Mont-Orford.
Le virage à 180 degrés, annoncé lundi par la ministre du Développement durable Line Beauchamp, a été applaudi par l'Action démocratique du Québec (ADQ) mais a été accueilli avec prudence et scepticisme par le Parti québécois et le coalition SOS Parc Orford.
La loi 23, adoptée sous le bâillon l'an dernier pour mettre en branle le mécanisme de privatisation, demeure en effet en vigueur. Cela signifie, aux yeux de l'opposition péquiste et de SOS Parc Orford, qu'un nouveau processus de vente pourra éventuellement être enclenché dans l'avenir.
Néanmoins, le député adéquiste Claude Roy a qualifié la volte-face du gouvernement de "moment historique".
"C'est une grande victoire au nom de la population de la province de Québec pour conserver et préserver l'intégrité des parcs nationaux au Québec", a lancé le porte-parole de l'opposition officielle en matière de faune et parcs nationaux.
M. Roy n'hésite pas à attribuer aux pressions de l'ADQ le recul du gouvernement. Le parti de Mario Dumont avait menacé de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires, une motion exigeant la suspension de l'appel d'offres.
À une semaine de la fin de la période d'appel d'offres, la ministre Beauchamp a finalement décidé de tirer un trait sur l'une des décisions les plus controversées du gouvernement Charest depuis 2003.
Il faut dire que l'opération de privatisation telle que concoctée par le gouvernement Charest au terme d'un débat long et passionné s'est soldée par un échec total. En date de lundi, aucun soumissionnaire n'avait répondu à l'appel d'offres lancé à la mi-décembre 2006.
Le gouvernement Charest avait fixé à 2 millions $ le prix minimum de vente du domaine skiable et du golf du parc. À cette mise minimale, s'ajoutait l'obligation, pour l'acquéreur, de verser 12,6 millions $ au gestionnaire, Mont-Orford inc., pour les équipements du centre de ski et du club de golf.
En vertu de la loi 23, l'acquéreur devait construire 750 "unités d'hébergement", principalement des condominiums, au pied de la montagne.
Mais l'érection de centaines de condos en plein coeur d'un parc, un projet défendu sans relâche par l'ancien ministre du Développement durable Claude Béchard, n'a jamais obtenu l'assentiment de la population.
Dans le but de corriger le tir, la ministre Beauchamp a confié à la MRC de Memphrémagog le soin de forger un consensus, d'ici deux ans, autour d'un projet récréotouristique régional.
Tout nouveau projet d'exploitation du centre de ski et du golf devra respecter "la teneur publique" des terrains du parc, a fait valoir Mme Beauchamp en conférence de presse à Orford.
Québec entend aussi résilier dans les plus brefs délais le bail avec Mont Orford inc., faisant appel à un arbitre pour déterminer le coût du bris du contrat.
S'il suscite l'enthousiasme triomphant de l'ADQ, la volte-face du gouvernement sur la vente du mont Orford soulève des commentaires plus pondérés de la part des représentants de SOS Parc Orford et du Parti québécois.
"Une chance que nous avons un gouvernement minoritaire pour le forcer à écouter la population", s'est réjoui le porte-parole de la coalition SOS Parc Orford, Claude Dallaire.
Mais tant qu'elle ne sera pas abrogée, la loi 23 continuera de faire peser la menace d'une nouvelle tentative de privatisation des terres protégées, a-t-il ajouté.
M. Dallaire se méfie aussi de la MRC Memphrémagog, qui aura la tâche de préparer "la relance" de la station récréotouristique. Selon lui, rien n'assure que les élus locaux ne se feront pas à leur tour les héraults de la construction de condos.
Pour sa part, le député péquiste Stéphane Bergeron craint que le recul du gouvernement soit avant tout une mesure dilatoire.
Avec la loi 23, le gouvernement libéral peut toujours espérer "revenir majoritaire dans deux ans et aller de l'avant avec son projet", a-t-il dit.
Le 7 mai 2007 - 17:45 | Presse Canadienne
Mont Orford
À la veille de la rentrée parlementaire, le gouvernement minoritaire de Jean Charest y est allé d'un premier recul de taille: il renonce à son plan de privatisation des terrains du parc national du Mont-Orford.
Le virage à 180 degrés, annoncé lundi par la ministre du Développement durable Line Beauchamp, a été applaudi par l'Action démocratique du Québec (ADQ) mais a été accueilli avec prudence et scepticisme par le Parti québécois et le coalition SOS Parc Orford.
La loi 23, adoptée sous le bâillon l'an dernier pour mettre en branle le mécanisme de privatisation, demeure en effet en vigueur. Cela signifie, aux yeux de l'opposition péquiste et de SOS Parc Orford, qu'un nouveau processus de vente pourra éventuellement être enclenché dans l'avenir.
Néanmoins, le député adéquiste Claude Roy a qualifié la volte-face du gouvernement de "moment historique".
"C'est une grande victoire au nom de la population de la province de Québec pour conserver et préserver l'intégrité des parcs nationaux au Québec", a lancé le porte-parole de l'opposition officielle en matière de faune et parcs nationaux.
M. Roy n'hésite pas à attribuer aux pressions de l'ADQ le recul du gouvernement. Le parti de Mario Dumont avait menacé de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires, une motion exigeant la suspension de l'appel d'offres.
À une semaine de la fin de la période d'appel d'offres, la ministre Beauchamp a finalement décidé de tirer un trait sur l'une des décisions les plus controversées du gouvernement Charest depuis 2003.
Il faut dire que l'opération de privatisation telle que concoctée par le gouvernement Charest au terme d'un débat long et passionné s'est soldée par un échec total. En date de lundi, aucun soumissionnaire n'avait répondu à l'appel d'offres lancé à la mi-décembre 2006.
Le gouvernement Charest avait fixé à 2 millions $ le prix minimum de vente du domaine skiable et du golf du parc. À cette mise minimale, s'ajoutait l'obligation, pour l'acquéreur, de verser 12,6 millions $ au gestionnaire, Mont-Orford inc., pour les équipements du centre de ski et du club de golf.
En vertu de la loi 23, l'acquéreur devait construire 750 "unités d'hébergement", principalement des condominiums, au pied de la montagne.
Mais l'érection de centaines de condos en plein coeur d'un parc, un projet défendu sans relâche par l'ancien ministre du Développement durable Claude Béchard, n'a jamais obtenu l'assentiment de la population.
Dans le but de corriger le tir, la ministre Beauchamp a confié à la MRC de Memphrémagog le soin de forger un consensus, d'ici deux ans, autour d'un projet récréotouristique régional.
Tout nouveau projet d'exploitation du centre de ski et du golf devra respecter "la teneur publique" des terrains du parc, a fait valoir Mme Beauchamp en conférence de presse à Orford.
Québec entend aussi résilier dans les plus brefs délais le bail avec Mont Orford inc., faisant appel à un arbitre pour déterminer le coût du bris du contrat.
S'il suscite l'enthousiasme triomphant de l'ADQ, la volte-face du gouvernement sur la vente du mont Orford soulève des commentaires plus pondérés de la part des représentants de SOS Parc Orford et du Parti québécois.
"Une chance que nous avons un gouvernement minoritaire pour le forcer à écouter la population", s'est réjoui le porte-parole de la coalition SOS Parc Orford, Claude Dallaire.
Mais tant qu'elle ne sera pas abrogée, la loi 23 continuera de faire peser la menace d'une nouvelle tentative de privatisation des terres protégées, a-t-il ajouté.
M. Dallaire se méfie aussi de la MRC Memphrémagog, qui aura la tâche de préparer "la relance" de la station récréotouristique. Selon lui, rien n'assure que les élus locaux ne se feront pas à leur tour les héraults de la construction de condos.
Pour sa part, le député péquiste Stéphane Bergeron craint que le recul du gouvernement soit avant tout une mesure dilatoire.
Avec la loi 23, le gouvernement libéral peut toujours espérer "revenir majoritaire dans deux ans et aller de l'avant avec son projet", a-t-il dit.
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citation:
Néanmoins, le député adéquiste Claude Roy a qualifié la volte-face du gouvernement de "moment historique".
"C'est une grande victoire au nom de la population de la province de Québec pour conserver et préserver l'intégrité des parcs nationaux au Québec", a lancé le porte-parole de l'opposition officielle en matière de faune et parcs nationaux.
M. Roy n'hésite pas à attribuer aux pressions de l'ADQ le recul du gouvernement. Le parti de Mario Dumont avait menacé de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires, une motion exigeant la suspension de l'appel d'offres. fin de la citation.
Je ne comprend pas l'ADQ dans ca. Les gens du coin ont voté pour un libéral la preuve qu'ils avaient tourné la page dans cette histoire la.
Néanmoins, le député adéquiste Claude Roy a qualifié la volte-face du gouvernement de "moment historique".
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M. Roy n'hésite pas à attribuer aux pressions de l'ADQ le recul du gouvernement. Le parti de Mario Dumont avait menacé de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires, une motion exigeant la suspension de l'appel d'offres. fin de la citation.
Je ne comprend pas l'ADQ dans ca. Les gens du coin ont voté pour un libéral la preuve qu'ils avaient tourné la page dans cette histoire la.
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.anthurium. a écritcitation:
Néanmoins, le député adéquiste Claude Roy a qualifié la volte-face du gouvernement de "moment historique".
"C'est une grande victoire au nom de la population de la province de Québec pour conserver et préserver l'intégrité des parcs nationaux au Québec", a lancé le porte-parole de l'opposition officielle en matière de faune et parcs nationaux.
M. Roy n'hésite pas à attribuer aux pressions de l'ADQ le recul du gouvernement. Le parti de Mario Dumont avait menacé de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires, une motion exigeant la suspension de l'appel d'offres. fin de la citation.
Je ne comprend pas l'ADQ dans ca. Les gens du coin ont voté pour un libéral la preuve qu'ils avaient tourné la page dans cette histoire la.
Il vient d'arriver et il s'en attribue le succès alors que des pressions locales menées par Robert Benoit (ancien député libéral), Clémence Desrochers, Richard Séguin et plusieurs autres ont fait changer le gouvernement. Et pas plus tard qu'en fin de semaine, le maire de Magog a aussi fait volte-face. Des pressions de l'ADQ mon oeil... Ce ti-coune n'a fait qu'une visite en région la semaine dernière pour prendre connaissance du dossier. Sbin pour dire hein!
mdr --Message edité par Beppo le 2007-05-07 20:32:55--
Néanmoins, le député adéquiste Claude Roy a qualifié la volte-face du gouvernement de "moment historique".
"C'est une grande victoire au nom de la population de la province de Québec pour conserver et préserver l'intégrité des parcs nationaux au Québec", a lancé le porte-parole de l'opposition officielle en matière de faune et parcs nationaux.
M. Roy n'hésite pas à attribuer aux pressions de l'ADQ le recul du gouvernement. Le parti de Mario Dumont avait menacé de déposer, dès la reprise des travaux parlementaires, une motion exigeant la suspension de l'appel d'offres. fin de la citation.
Je ne comprend pas l'ADQ dans ca. Les gens du coin ont voté pour un libéral la preuve qu'ils avaient tourné la page dans cette histoire la.
Il vient d'arriver et il s'en attribue le succès alors que des pressions locales menées par Robert Benoit (ancien député libéral), Clémence Desrochers, Richard Séguin et plusieurs autres ont fait changer le gouvernement. Et pas plus tard qu'en fin de semaine, le maire de Magog a aussi fait volte-face. Des pressions de l'ADQ mon oeil... Ce ti-coune n'a fait qu'une visite en région la semaine dernière pour prendre connaissance du dossier. Sbin pour dire hein!
mdr --Message edité par Beppo le 2007-05-07 20:32:55--
Au plaisir!
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Beppo a écrit
Il vient d'arriver et il s'en attribue le succès alors que des pressions locales menées par Robert Benoit (ancien député libéral), Clémence Desrochers, Richard Séguin et plusieurs autres ont fait changer le gouvernement. Et pas plus tard qu'en fin de semaine, le maire de Magog a aussi fait volte-face. Des pressions de l'ADQ mon oeil... Ce ti-coune n'a fait qu'une visite en région la semaine dernière pour prendre connaissance du dossier. Sbin pour dire hein!
mdr
Il vient d'arriver et il s'en attribue le succès alors que des pressions locales menées par Robert Benoit (ancien député libéral), Clémence Desrochers, Richard Séguin et plusieurs autres ont fait changer le gouvernement. Et pas plus tard qu'en fin de semaine, le maire de Magog a aussi fait volte-face. Des pressions de l'ADQ mon oeil... Ce ti-coune n'a fait qu'une visite en région la semaine dernière pour prendre connaissance du dossier. Sbin pour dire hein!
mdr
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Je comprends pas. Il y avait pourtant déjà un consensus avec la mrc. Un consensus qui englobait un gvt élu ainsi qu'une majorité de maires élus. Ce sont des représentants élus de citoyens ca. Et en plus le gvt n'avait plus besoin de revenir à l'assemblée nationale avec la suite du projet (à moins qu'il y ait un détail qui m'échappe). Alors pourquoi reculer sur cette loi.
ça me fait suer d'entendre SOS Parc Orford dire que charest a enfin écouté la population. Comme si la coallition SOS Parc Orford représentait la population de quelque façon que ce soit. Il représente leurs intérêts avant tout comme les hommes d'affaires de la région représentent leurs intérêts. On vote justement pour que les politiciens fassent la part des choses entre ces intérets divers et décident pour le bien de la majorité. Et Charest avait fini par finir par décider.
Si nos gouvernements ne finissent pas de reculer à chaque fois qu'il y a un désaccord, on se dirige vers une drôle de démocratie où c'est le plus gueulard et le groupe de pression qui monopolisent le plus les médias qui l'emportent. Si les gvts ne font plus leurs jobs, aussi bien remplacer l'assemblée nationale par internet où les citoyens vont voter pour chaque projet de loi. Et comme les citoyens ont très peu temps à accorder à la politique et ont tendance à réfléchir par clips, ce système irait dans tous les sens. On a besoin de gens qui puissent étudier un dossier en profondeur. Non, moi je prèfère encore des politiciens qui décident et qui assument même si je ne suis pas d'accord avec eux.
ça me fait suer d'entendre SOS Parc Orford dire que charest a enfin écouté la population. Comme si la coallition SOS Parc Orford représentait la population de quelque façon que ce soit. Il représente leurs intérêts avant tout comme les hommes d'affaires de la région représentent leurs intérêts. On vote justement pour que les politiciens fassent la part des choses entre ces intérets divers et décident pour le bien de la majorité. Et Charest avait fini par finir par décider.
Si nos gouvernements ne finissent pas de reculer à chaque fois qu'il y a un désaccord, on se dirige vers une drôle de démocratie où c'est le plus gueulard et le groupe de pression qui monopolisent le plus les médias qui l'emportent. Si les gvts ne font plus leurs jobs, aussi bien remplacer l'assemblée nationale par internet où les citoyens vont voter pour chaque projet de loi. Et comme les citoyens ont très peu temps à accorder à la politique et ont tendance à réfléchir par clips, ce système irait dans tous les sens. On a besoin de gens qui puissent étudier un dossier en profondeur. Non, moi je prèfère encore des politiciens qui décident et qui assument même si je ne suis pas d'accord avec eux.
InFoManII a écritMerde, moi qui voulait un beau condo au pied de la montagne... lol...
Ils n'ont pas retiré leur **** de loi, par exemple.... il est toujours possible de "charcuter" nos beaux Parcs du Québec...
Une piste de ski, ça "charcute" pas mal plus en belle montagne. Et c'est charcuté pour longtemps.
Moi ce qui m'énerve, c'est que le gvt et tous les citoyens se retrouvent encore pogner avec cette maudite piste de ski. Dans 10 ans, il va y avoir de la neige que pour un ou deux mois par année, on va tous perdre de l'argent à essayer de rentabiliser ça. Alors qu'avec la loi on remettait la piste de ski dans le secteur privé et laisser le privé se demerder avec ce problème. Merde, là on fait un pas... en arrière et nous revoilà encore pogner avec la charcuterie pour un maudit bouttte.
Ils n'ont pas retiré leur **** de loi, par exemple.... il est toujours possible de "charcuter" nos beaux Parcs du Québec...
Une piste de ski, ça "charcute" pas mal plus en belle montagne. Et c'est charcuté pour longtemps.
Moi ce qui m'énerve, c'est que le gvt et tous les citoyens se retrouvent encore pogner avec cette maudite piste de ski. Dans 10 ans, il va y avoir de la neige que pour un ou deux mois par année, on va tous perdre de l'argent à essayer de rentabiliser ça. Alors qu'avec la loi on remettait la piste de ski dans le secteur privé et laisser le privé se demerder avec ce problème. Merde, là on fait un pas... en arrière et nous revoilà encore pogner avec la charcuterie pour un maudit bouttte.
Escapade a écrit
Une piste de ski, ça "charcute" pas mal plus en belle montagne. Et c'est charcuté pour longtemps.
Moi ce qui m'énerve, c'est que le gvt et tous les citoyens se retrouvent encore pogner avec cette maudite piste de ski. Dans 10 ans, il va y avoir de la neige que pour un ou deux mois par année, on va tous perdre de l'argent à essayer de rentabiliser ça. Alors qu'avec la loi on remettait la piste de ski dans le secteur privé et laisser le privé se demerder avec ce problème. Merde, là on fait un pas... en arrière et nous revoilà encore pogner avec la charcuterie pour un maudit bouttte.
La Ministre de l'Environnement a dit que ce n'était pas au gouvernement à gérer une piste de ski et un golf, alors ...
Je pense qu'ils comptent toujours sur un gentil promoteur privé qui va investir à leur place là dedans... une station vouée à mourrir à moyen terme comme toutes les stations au Sud du Saint-Laurent (faute de neige).
Sinon, le Parc reprendra ses droits sur la station de ski.... plus de station, plus de golf... la forêt reprendra son droit. --Message edité par infomanII le 2007-05-08 10:12:54--
Une piste de ski, ça "charcute" pas mal plus en belle montagne. Et c'est charcuté pour longtemps.
Moi ce qui m'énerve, c'est que le gvt et tous les citoyens se retrouvent encore pogner avec cette maudite piste de ski. Dans 10 ans, il va y avoir de la neige que pour un ou deux mois par année, on va tous perdre de l'argent à essayer de rentabiliser ça. Alors qu'avec la loi on remettait la piste de ski dans le secteur privé et laisser le privé se demerder avec ce problème. Merde, là on fait un pas... en arrière et nous revoilà encore pogner avec la charcuterie pour un maudit bouttte.
La Ministre de l'Environnement a dit que ce n'était pas au gouvernement à gérer une piste de ski et un golf, alors ...
Je pense qu'ils comptent toujours sur un gentil promoteur privé qui va investir à leur place là dedans... une station vouée à mourrir à moyen terme comme toutes les stations au Sud du Saint-Laurent (faute de neige).
Sinon, le Parc reprendra ses droits sur la station de ski.... plus de station, plus de golf... la forêt reprendra son droit. --Message edité par infomanII le 2007-05-08 10:12:54--
InFoManII a écrit
La Ministre de l'Environnement a dit que ce n'était pas au gouvernement à gérer une piste de ski et un golf, alors ...
Je pense qu'ils comptent toujours sur un gentil promoteur privé qui va investir à leur place là dedans... une station vouée à mourrir à moyen terme comme toutes les stations au Sud du Saint-Laurent (faute de neige).
Sinon, le Parc reprendra ses droits sur la station de ski.... plus de station, plus de golf... la forêt reprendra son droit.
Bon c'est bien que la ministre le souligne. Mais ceci dit, si toi et moi on est assez perspicaces pour savoir que le centre de ski sera diffcilement rentable avec le temps, les promoteurs doivent bien s'en douter eux aussi.
Alors il faut que, d'une facon ou d'une autre, le gvt leur donne les moyens (genre vente de condos) de rentabliser leurs coûts sinon ça marchera pas. (et même si on se fie au fait qu'il n'y avait encore aucune soumission des promoteurs, p-e que même la vente des condos n'étaient pas encore suffisantes pour les intéresser ou p-e ont-ils été appeurés par le bruit)
Ce qui était bien avec le projet des libéraux, c'est que tout le monde en profitait. On augmentait la superficie de la partie vierge du parc pour satisfaire les "vrais" écolos, on rentablisait la partie charcutée du parc pour satisfaire l'économie du coin, on permettait aux promoteurs de faire des profits avec les condos pour rentabliser le reste, le centre de ski et ses emplois survivaient, les gvts empochaient les profits de la vente au privé et les taxes diverses à venir. En fait, les seuls perdants étaient ceux attachés à des principes.
Mais p-e que dans deux ans, on se retrouvera avec un projet très similaire qui passera en douce.
Ou bedon comme tu dis on laisse la foret reprendre ses droits, si elle en est encore capable.
La Ministre de l'Environnement a dit que ce n'était pas au gouvernement à gérer une piste de ski et un golf, alors ...
Je pense qu'ils comptent toujours sur un gentil promoteur privé qui va investir à leur place là dedans... une station vouée à mourrir à moyen terme comme toutes les stations au Sud du Saint-Laurent (faute de neige).
Sinon, le Parc reprendra ses droits sur la station de ski.... plus de station, plus de golf... la forêt reprendra son droit.
Bon c'est bien que la ministre le souligne. Mais ceci dit, si toi et moi on est assez perspicaces pour savoir que le centre de ski sera diffcilement rentable avec le temps, les promoteurs doivent bien s'en douter eux aussi.
Alors il faut que, d'une facon ou d'une autre, le gvt leur donne les moyens (genre vente de condos) de rentabliser leurs coûts sinon ça marchera pas. (et même si on se fie au fait qu'il n'y avait encore aucune soumission des promoteurs, p-e que même la vente des condos n'étaient pas encore suffisantes pour les intéresser ou p-e ont-ils été appeurés par le bruit)
Ce qui était bien avec le projet des libéraux, c'est que tout le monde en profitait. On augmentait la superficie de la partie vierge du parc pour satisfaire les "vrais" écolos, on rentablisait la partie charcutée du parc pour satisfaire l'économie du coin, on permettait aux promoteurs de faire des profits avec les condos pour rentabliser le reste, le centre de ski et ses emplois survivaient, les gvts empochaient les profits de la vente au privé et les taxes diverses à venir. En fait, les seuls perdants étaient ceux attachés à des principes.
Mais p-e que dans deux ans, on se retrouvera avec un projet très similaire qui passera en douce.
Ou bedon comme tu dis on laisse la foret reprendre ses droits, si elle en est encore capable.