Le CRTC annonce une nouvelle tarification pour les téléphones publics
Le 30 avril 2007 - 18:28 | Presse Canadienne
Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes a approuvé une demande pour augmenter les tarifs des téléphones publics, dans le cadre d'une série de nouvelles mesures établissant la tarification des entreprises de télécommunications.
Les nouveaux paramètres, qui entreront en vigueur le 1er juin, permettront aux clients des zones urbaines profitant d'un service résidentiel d'éviter une hausse des tarifs du service téléphonique local de base.
Toutefois, le CRTC permettra aux compagnies de téléphone les plus importantes d'augmenter les tarifs du service résidentiel dans les zones rurales où, à cause de la plus faible densité de la population, il en coûte plus cher pour fournir des services à chaque client.
Le CRTC a approuvé une demande en vue d'augmenter les tarifs applicables aux téléphones payants jusqu'à concurrence de 0,50 $ pour les appels payés en espèces et jusqu'à 1 $ pour les appels payés autrement. C'est la première fois depuis 2002 que l'agence fédérale revoit sa politique de plafonnement des prix.
Les nouvelles règles s'appliquent à Bell Canada et sa filiale Bell Aliant, ainsi qu'à Telus, Manitoba Telecom Services et SaskTel, qui appartient à la province de la Saskatchewan.
Nouvelles du 30 avril
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Prière et chant religieux
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Jean Charest prépare ses troupes à la rentrée parlementaire
Le 30 avril 2007 - 16:19 | Karine Chateauneuf [AgenceNews]
Le premier ministre Jean Charest confirme que le budget de son gouvernement contiendra les baisses d'impôt promises à la classe moyenne. Mais il avertit l'Action démocratique de ne pas se comporter de façon "arrogante".
Ainsi, les impôts des contribuables devraient être réduits de 950 millions $ lors du budget qui sera présenté à la mi-mai devant l'Assemblée nationale.
"La classe moyenne mérite une réduction de son fardeau fiscal et rien ne m'a amené à vouloir changer d'idée", a déclaré lundi le premier ministre Charest, à l'issue d'une réunion de deux jours de son groupe parlementaire.
En campagne électorale, M. Charest s'était engagé à réduire l'impôt des Québécois de 700 millions $, suite au versement au Québec d'une somme de cette nature par le gouvernement fédéral pour réduire le déséquilibre fiscal.
Cette somme s'ajoutait aux baisses de 250 millions $ annoncées dans le budget du 20 février dernier présenté par l'ex-ministre Michel Audet.
M. Charest a souligné un avantage d'une telle baisse: l'argent est réinvesti dans l'économie et cela contribue à la croissance économique. Il a naturellement émis la réserve qu'il faut attendre pour cela de connaître la nature du budget que livrera à l'Assemblée nationale la ministre des Finances, Mme Monique Jérôme-Forget.
Mais à la reprise des travaux parlementaires, le 8 mai prochain, M. Charest a tenu à servir une mise en garde au parti de l'Action démocratique, qui forme l'opposition officielle à l'Assemblée nationale depuis le dernier scrutin.
"Avec un gouvernement minoritaire, on n'est pas les seuls à décider. L'opposition ne peut pas seulement critiquer. Ce serait de l'arrogance. L'Opposition ne peut pas seulement dire: Je m'oppose parce que je suis l'opposition. Les Québécois nous ont demandé de travailler ensemble et nous devons le faire", a soutenu M. Charest.
Il a cité deux cas récents de l'attitude adéquiste qui lui a déplu: une déclaration du chef adéquiste Mario Dumont qui entendait s'opposer au prochain budget du gouvernement avant même de l'avoir vu, et des critiques du porte-parole adéquiste dans le dossier de la santé, Eric Caire, député de La Peltrie, qui a vitupéré le ministre Philippe Couillard. "M. Caire a une responsabilité importante qui dépasse la partisanerie", a-t-il dit.
M. Charest a convenu que son gouvernement minoritaire pourrait perdre des votes à l'Assemblée nationale. "On va perdre des votes, il faut s'habituer à cela. On se fait à l'idée", croit le premier ministre. Mais si cela se produisait sur des questions fondamentales, cela provoquerait le déclenchement de nouvelles élections.
Le premier ministre a notamment rappelé que la population espère qu'on "évitera les attaques personnelles" en Chambre. De plus, comme opposition personnelle, le parti de M. Dumont aura à proposer des alternatives et dire ce qu'il ferait à la place du gouvernement.
Entretemps, le Parti libéral et le Parti québécois ont convenu d'appuyer, comme président de l'Assemblée nationale, l'élection du député de Jeanne-Mance-Viger, le libéral Michel Bissonnet.
L'Action démocratique n'a pas encore décidé si elle allait appuyer la nomination de M. Bissonnet, mais le vote conjugué des libéraux et des péquistes devrait assurer pour le moment la nomination du député Bissonnet, qui occupe déjà le fauteuil de la présidence depuis 2003.
Mon commentaire:
Il a raison M Charest dans ce qui suit:
L'opposition ne peut pas seulement critiquer. Ce serait de l'arrogance. L'Opposition ne peut pas seulement dire: Je m'oppose parce que je suis l'opposition. Les Québécois nous ont demandé de travailler ensemble et nous devons le faire", a soutenu M. Charest.
mon commentaire:
Je me fout du parti. Ce que je veux c'est un Québec plus fort et la philosophie adéquiste me rejoint le mieux mais il faut absolument qu'il la conserve.
On peut se demander en quoi cet attitude est déplacé quand il dit ce qui suit:
et des critiques du porte-parole adéquiste dans le dossier de la santé, Eric Caire, député de La Peltrie, qui a vitupéré le ministre Philippe Couillard. "M. Caire a une responsabilité importante qui dépasse la partisanerie", a-t-il dit.
mon commentaire:
Il a dit (M. Caire) qu'il faudrait mettre fin a la culture de camouflage ou se se sont les médias qui nous ont informés des cas d'éclosions de C difficile de l'Histoire de st-Charles Borromée, Ste Justine, des personnes agées maltraité dans la beauce. ces propos ont été appuyé par deux personne du protecteur des citoyen. Je pense que le gars il a fait sa job comme critique en santé.
Le 30 avril 2007 - 16:19 | Karine Chateauneuf [AgenceNews]
Le premier ministre Jean Charest confirme que le budget de son gouvernement contiendra les baisses d'impôt promises à la classe moyenne. Mais il avertit l'Action démocratique de ne pas se comporter de façon "arrogante".
Ainsi, les impôts des contribuables devraient être réduits de 950 millions $ lors du budget qui sera présenté à la mi-mai devant l'Assemblée nationale.
"La classe moyenne mérite une réduction de son fardeau fiscal et rien ne m'a amené à vouloir changer d'idée", a déclaré lundi le premier ministre Charest, à l'issue d'une réunion de deux jours de son groupe parlementaire.
En campagne électorale, M. Charest s'était engagé à réduire l'impôt des Québécois de 700 millions $, suite au versement au Québec d'une somme de cette nature par le gouvernement fédéral pour réduire le déséquilibre fiscal.
Cette somme s'ajoutait aux baisses de 250 millions $ annoncées dans le budget du 20 février dernier présenté par l'ex-ministre Michel Audet.
M. Charest a souligné un avantage d'une telle baisse: l'argent est réinvesti dans l'économie et cela contribue à la croissance économique. Il a naturellement émis la réserve qu'il faut attendre pour cela de connaître la nature du budget que livrera à l'Assemblée nationale la ministre des Finances, Mme Monique Jérôme-Forget.
Mais à la reprise des travaux parlementaires, le 8 mai prochain, M. Charest a tenu à servir une mise en garde au parti de l'Action démocratique, qui forme l'opposition officielle à l'Assemblée nationale depuis le dernier scrutin.
"Avec un gouvernement minoritaire, on n'est pas les seuls à décider. L'opposition ne peut pas seulement critiquer. Ce serait de l'arrogance. L'Opposition ne peut pas seulement dire: Je m'oppose parce que je suis l'opposition. Les Québécois nous ont demandé de travailler ensemble et nous devons le faire", a soutenu M. Charest.
Il a cité deux cas récents de l'attitude adéquiste qui lui a déplu: une déclaration du chef adéquiste Mario Dumont qui entendait s'opposer au prochain budget du gouvernement avant même de l'avoir vu, et des critiques du porte-parole adéquiste dans le dossier de la santé, Eric Caire, député de La Peltrie, qui a vitupéré le ministre Philippe Couillard. "M. Caire a une responsabilité importante qui dépasse la partisanerie", a-t-il dit.
M. Charest a convenu que son gouvernement minoritaire pourrait perdre des votes à l'Assemblée nationale. "On va perdre des votes, il faut s'habituer à cela. On se fait à l'idée", croit le premier ministre. Mais si cela se produisait sur des questions fondamentales, cela provoquerait le déclenchement de nouvelles élections.
Le premier ministre a notamment rappelé que la population espère qu'on "évitera les attaques personnelles" en Chambre. De plus, comme opposition personnelle, le parti de M. Dumont aura à proposer des alternatives et dire ce qu'il ferait à la place du gouvernement.
Entretemps, le Parti libéral et le Parti québécois ont convenu d'appuyer, comme président de l'Assemblée nationale, l'élection du député de Jeanne-Mance-Viger, le libéral Michel Bissonnet.
L'Action démocratique n'a pas encore décidé si elle allait appuyer la nomination de M. Bissonnet, mais le vote conjugué des libéraux et des péquistes devrait assurer pour le moment la nomination du député Bissonnet, qui occupe déjà le fauteuil de la présidence depuis 2003.
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Le 30 avril 2007 - 17:34 | Presse Canadienne
Le chef du Bloc québécois Gilles Duceppe a rejeté catégoriquement lundi l'idée d'une alliance entre son parti et l'Action démocratique du Québec, qui a récemment obtenu le statut d'opposition officielle à l'Assemblée nationale.
L'idée origine d'un rapport commandé par la députée bloquiste de responsable de la région de Québec, Christiane Gagnon. Ce document dévoilé la semaine dernière recommande entre autres au BQ "d'accompagner" l'ADQ dans sa démarche autonomiste.
A la sortie de la période des questions, M. Duceppe a rappelé que sa formation était d'abord souverainiste et que son allié naturel était le Parti québécois.
Il a indiqué que le rapport était une initiative personnelle de Mme Gagnon et qu'il ne reflétait en rien l'orientation du Bloc. Selon lui, le parti n'a pas payé pour le rapport préparé par l'un des dirigeants de la firme de relations publiques National, Jean Baillargeon.
Le moins qu'on puisse dire, c'est que ses conclusions ne font pas l'unanimité. Le rapport qui devait demeurer confidentiel a été décrié par plusieurs militants péquistes réunis en congrès au cours de la fin de semaine.
Ouf! J'ai eu chaud!
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Un nouveau rapport recommande au gouvernement fédéral de s'opposer aux militants pour les droits des animaux et au mécontentement des Européens contre la chasse annuelle aux phoques sur les glaces de la côte Est du Canada.
Dans son rapport endossé par des députés de tous les partis, le Comité permanent des pêches et des océans des Communes fait 18 recommandations et demande notamment à Ottawa de faire une promotion plus active de la valeur de la chasse aux phoques à l'étranger.
Selon le comité, la chasse aux phoques est une activité viable et non cruelle qui joue un rôle crucial dans le maintien de l'équilibre écologique avec les autres espèces marines.
Le président du comité, le conservateur Gerald Keddy, estime que la chasse aux phoques est "un élément important du tissu économique, culturel et social des populations de la côte Atlantique et du nord du Canada" et ajoute qu'elle représente pour des milliers de personnes une importante source de revenus.
Le comité estime aussi que les campagnes antichasse sont "caractérisées par la désinformation et l'émotivité, par l'utilisation d'images-chocs et de langage provocateur".
Dans ses recommandations, le comité fait valoir qu'Ottawa devrait inviter les législateurs européens à étudier la chasse aux phoques canadienne. Il conseille aussi de mettre sur pied des délégations de chasseurs inuits pour faire la promotion de la chasse à l'étranger et d'augmenter les distances minimales imposées à ceux qui veulent observer la chasse
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Le plus grand poisson des eaux canadiennes est menacé de disparition
Le 30 avril 2007 - 19:15 | Presse Canadienne
Le plus grand poisson des eaux canadiennes est menacé de disparition sur la côte du Pacifique, à cause d'un programme d'éradication institué par le gouvernement fédéral et resté en vigueur jusqu'en 1970, dont l'objectif était de protéger les filets utilisés dans la pêche commerciale au saumon.
La population du requin pèlerin, un poisson inoffensif qui peut atteindre la taille d'un autobus, a presque certainement décliné de plus de 90 pour cent, a fait savoir Jeffrey Hutchings, le président du Comité sur la situation des espèces en péril au Canada, en entrevue, lundi.
M. Hutchings a expliqué que la perte d'un gros prédateur entraîne des perturbations complexes de l'écosystème.
Le requin pèlerin est l'animal le plus remarquable à figurer sur la liste que le COSEPAC, instance nommée par le gouvernement, entend soumettre au ministre de l'Environnement pour demander que certaines espèces soient déclarées en péril et protégées.
Selon Peter Ewins, directeur de la conservation des espèces pour le Fonds mondial pour la nature, le gouvernement fédéral ne fait que commencer à se pencher sur la situation des espèces marines, et la liste des poissons en déclin va probablement s'allonger. Il croit que le requin pèlerin est tout aussi rare sur la côte Atlantique, mais il n'a pas été possible d'étudier l'espèce sur les deux côtes.
Le Comité sur la situation des espèces en péril s'inquiète aussi de la disparition de plusieurs espèces d'oiseaux insectivores. L'Engoulevent d'Amérique et le Martinet ramoneur font partie de ces espèces dites menacées. La cause du déclin mondial de ces oiseaux et d'autres espèces apparentées est inconnue, ce qui préoccupe le COSEPAC. Et le Bécasseau maubèche enregistre une chute marquée de sa population, amenant le COSEPAC à désigner une population nord-américaine de l'espèce "en voie de disparition".
Le comité a cependant de meilleures nouvelles concernant le Faucon pèlerin et la loutre de mer. Ces deux espèces, qui avaient été jugées menacées de disparition il y a quelques années, vont beaucoup mieux.
Le 30 avril 2007 - 19:15 | Presse Canadienne
Le plus grand poisson des eaux canadiennes est menacé de disparition sur la côte du Pacifique, à cause d'un programme d'éradication institué par le gouvernement fédéral et resté en vigueur jusqu'en 1970, dont l'objectif était de protéger les filets utilisés dans la pêche commerciale au saumon.
La population du requin pèlerin, un poisson inoffensif qui peut atteindre la taille d'un autobus, a presque certainement décliné de plus de 90 pour cent, a fait savoir Jeffrey Hutchings, le président du Comité sur la situation des espèces en péril au Canada, en entrevue, lundi.
M. Hutchings a expliqué que la perte d'un gros prédateur entraîne des perturbations complexes de l'écosystème.
Le requin pèlerin est l'animal le plus remarquable à figurer sur la liste que le COSEPAC, instance nommée par le gouvernement, entend soumettre au ministre de l'Environnement pour demander que certaines espèces soient déclarées en péril et protégées.
Selon Peter Ewins, directeur de la conservation des espèces pour le Fonds mondial pour la nature, le gouvernement fédéral ne fait que commencer à se pencher sur la situation des espèces marines, et la liste des poissons en déclin va probablement s'allonger. Il croit que le requin pèlerin est tout aussi rare sur la côte Atlantique, mais il n'a pas été possible d'étudier l'espèce sur les deux côtes.
Le Comité sur la situation des espèces en péril s'inquiète aussi de la disparition de plusieurs espèces d'oiseaux insectivores. L'Engoulevent d'Amérique et le Martinet ramoneur font partie de ces espèces dites menacées. La cause du déclin mondial de ces oiseaux et d'autres espèces apparentées est inconnue, ce qui préoccupe le COSEPAC. Et le Bécasseau maubèche enregistre une chute marquée de sa population, amenant le COSEPAC à désigner une population nord-américaine de l'espèce "en voie de disparition".
Le comité a cependant de meilleures nouvelles concernant le Faucon pèlerin et la loutre de mer. Ces deux espèces, qui avaient été jugées menacées de disparition il y a quelques années, vont beaucoup mieux.
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La grève est déclenchée au plus important hôpital pour enfants des Maritimes
Le 30 avril 2007 - 19:04 | Presse Canadienne
Une grève déclenchée par les employés du plus gros hôpital pour enfants des provinces de l'Atlantique a mené à l'annulation de centaines de rendez-vous et de plusieurs dizaines de chirurgies, lundi.
Pendant la journée, des travailleurs sociaux, des techniciens de laboratoire et de radioscopie ainsi que des employés dans 57 autres secteurs ont fait du piquetage à l'extérieur du Centre de soins de santé IWK.
Le syndicat, qui représente plus de 600 employés en grève, a affirmé que la décision de faire du piquetage de manière festive avait pour but d'éviter d'inquiéter les enfants qui pourraient regarder par les fenêtres de l'hôpital.
Le centre de soins de santé continuait de procéder à des accouchements et de fournir d'autres services médicaux essentiels.
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Une grève déclenchée par les employés du plus gros hôpital pour enfants des provinces de l'Atlantique a mené à l'annulation de centaines de rendez-vous et de plusieurs dizaines de chirurgies, lundi.
Pendant la journée, des travailleurs sociaux, des techniciens de laboratoire et de radioscopie ainsi que des employés dans 57 autres secteurs ont fait du piquetage à l'extérieur du Centre de soins de santé IWK.
Le syndicat, qui représente plus de 600 employés en grève, a affirmé que la décision de faire du piquetage de manière festive avait pour but d'éviter d'inquiéter les enfants qui pourraient regarder par les fenêtres de l'hôpital.
Le centre de soins de santé continuait de procéder à des accouchements et de fournir d'autres services médicaux essentiels.
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Les enterrements exercent un impact négatif sur l'environnement
Le 29 avril 2007 - 16:59 | Presse Canadienne
Ils vont au travail en vélo, ils utilisent des ampoules et des appareils électroménagers écoénergique, ils mangent des aliments biologiques _ les Canadiens tentent de plus en plus d'être des consommateurs respectueux de l'environnement.
Mais quel héritage laisseront-ils au moment de mourir?
Lorsque les gens songent à la mort, ils ne pensent habituellement pas à l'impact écologique de leur enterrement. Toutefois, plusieurs entreprises et organismes canadiens espèrent que ce sera bientôt le cas.
Caley Ferguson, vice-président de Northern Casket, affirme que peu de personnes réalisent l'impact négatif sur l'environnement qu'exercent les enterrements traditionnels, et même les incinérations.
Lors du salon Green Living, ce week-end, à Toronto, l'entreprise exposait une gamme de cercueils écologiques.
Les cercueils traditionnels comportent des charnières et des ornements métalliques, plusieurs couches de vernis et de laque, de même que divers tissus à l'intérieur _ éléments qui se retrouvent dans le sol et dans les eaux souterraines une fois le bois et le corps décomposés.
Je ne serais pas contre le fait de me faire enterrer sans cercuiel. On me dépose comme ca dans la terre ou dans un sac biodégradable.
Le 29 avril 2007 - 16:59 | Presse Canadienne
Ils vont au travail en vélo, ils utilisent des ampoules et des appareils électroménagers écoénergique, ils mangent des aliments biologiques _ les Canadiens tentent de plus en plus d'être des consommateurs respectueux de l'environnement.
Mais quel héritage laisseront-ils au moment de mourir?
Lorsque les gens songent à la mort, ils ne pensent habituellement pas à l'impact écologique de leur enterrement. Toutefois, plusieurs entreprises et organismes canadiens espèrent que ce sera bientôt le cas.
Caley Ferguson, vice-président de Northern Casket, affirme que peu de personnes réalisent l'impact négatif sur l'environnement qu'exercent les enterrements traditionnels, et même les incinérations.
Lors du salon Green Living, ce week-end, à Toronto, l'entreprise exposait une gamme de cercueils écologiques.
Les cercueils traditionnels comportent des charnières et des ornements métalliques, plusieurs couches de vernis et de laque, de même que divers tissus à l'intérieur _ éléments qui se retrouvent dans le sol et dans les eaux souterraines une fois le bois et le corps décomposés.
Je ne serais pas contre le fait de me faire enterrer sans cercuiel. On me dépose comme ca dans la terre ou dans un sac biodégradable.
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Les nouveaux immigrants heureux au Canada
Agence France-Presse
Ottawa
Difficultés à trouver un bon emploi, barrière linguistique, climat rude: les immigrants récents font face à de nombreux obstacles à leur arrivée au Canada, mais ne regrettent pas d'avoir quitté leur pays d'origine, révèle une vaste étude publiée lundi.
«De 84% à 92% des immigrants ont déclaré que leur qualité de vie était meilleure au Canada qu'elle ne l'était avant qu'ils ne viennent ici», indique une enquête de l'institut canadien de la statistique fondée sur des interviews réalisées auprès de 7 700 immigrants, arrivés au Canada d'avril 2001 à mars 2002.
Le repli du secteur des technologies et les attentats du 11 septembre 2001 «ont pu avoir des conséquences particulières pour les immigrants» arrivés à cette période, prévient toutefois l'institut officiel de la statistique.
Le Canada a accueilli plus de 157.000 immigrants pendant cette période, dont des réfugiés d'Afghanistan, du Pakistan, du Sri Lanka et des immigrants économiques (venus investir ou travailler dans un secteur de pointe) de la Chine, de l'Inde et des États-Unis.
Les immigrants sondés ont été séduits par les valeurs de «liberté et de démocratie» et les «possibilités» offertes à leurs familles.
Mais ils sont aussi confrontés à de nombreuses difficultés, montre l'étude de Statistique Canada qui examine «le point de vue des immigrants eux-mêmes» plutôt que de compiler des données sur leurs conditions de vie objectives. Quatre ans après leur arrivée au Canada, quelque 46% des immigrants sondés affirment que «trouver un emploi approprié» constitue la plus grande difficulté à leur intégration, en raison de l'absence de reconnaissance de leur formation dans leur pays d'origine et du manque d'expérience de travail en sol canadien.
La «barrière linguistique» dans un pays bilingue anglais/français se hisse en deuxième position au palmarès des difficultés des immigrants, une situation accentuée chez les réfugiés politiques comparativement aux immigrants économiques.
Si certains immigrants ont été séduits par l'hiver clément et la magnifique nature de la côte pacifique canadienne, 16% des nouveaux immigrants ont exprimé de la difficulté à «s'habituer au climat», une proportion qui augmente chez ceux résidant à Toronto et Montréal.
Malgrés ces griefs, une vaste majorité (84%) des immigrants ne regrette pas le choix d'avoir immigrer au Canada, conclut l'institut national de la statistique qui a interrogé les sondés à trois reprises de 2001-2002 à 2005.
Agence France-Presse
Ottawa
Difficultés à trouver un bon emploi, barrière linguistique, climat rude: les immigrants récents font face à de nombreux obstacles à leur arrivée au Canada, mais ne regrettent pas d'avoir quitté leur pays d'origine, révèle une vaste étude publiée lundi.
«De 84% à 92% des immigrants ont déclaré que leur qualité de vie était meilleure au Canada qu'elle ne l'était avant qu'ils ne viennent ici», indique une enquête de l'institut canadien de la statistique fondée sur des interviews réalisées auprès de 7 700 immigrants, arrivés au Canada d'avril 2001 à mars 2002.
Le repli du secteur des technologies et les attentats du 11 septembre 2001 «ont pu avoir des conséquences particulières pour les immigrants» arrivés à cette période, prévient toutefois l'institut officiel de la statistique.
Le Canada a accueilli plus de 157.000 immigrants pendant cette période, dont des réfugiés d'Afghanistan, du Pakistan, du Sri Lanka et des immigrants économiques (venus investir ou travailler dans un secteur de pointe) de la Chine, de l'Inde et des États-Unis.
Les immigrants sondés ont été séduits par les valeurs de «liberté et de démocratie» et les «possibilités» offertes à leurs familles.
Mais ils sont aussi confrontés à de nombreuses difficultés, montre l'étude de Statistique Canada qui examine «le point de vue des immigrants eux-mêmes» plutôt que de compiler des données sur leurs conditions de vie objectives. Quatre ans après leur arrivée au Canada, quelque 46% des immigrants sondés affirment que «trouver un emploi approprié» constitue la plus grande difficulté à leur intégration, en raison de l'absence de reconnaissance de leur formation dans leur pays d'origine et du manque d'expérience de travail en sol canadien.
La «barrière linguistique» dans un pays bilingue anglais/français se hisse en deuxième position au palmarès des difficultés des immigrants, une situation accentuée chez les réfugiés politiques comparativement aux immigrants économiques.
Si certains immigrants ont été séduits par l'hiver clément et la magnifique nature de la côte pacifique canadienne, 16% des nouveaux immigrants ont exprimé de la difficulté à «s'habituer au climat», une proportion qui augmente chez ceux résidant à Toronto et Montréal.
Malgrés ces griefs, une vaste majorité (84%) des immigrants ne regrette pas le choix d'avoir immigrer au Canada, conclut l'institut national de la statistique qui a interrogé les sondés à trois reprises de 2001-2002 à 2005.
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L'économie canadienne croît plus vite que prévu
30 avril 2007 - 09h46
Presse Canadienne
L'économie canadienne, mesurée par le produit intérieur brut, a crû de 0,4% en février dernier par rapport au mois précédent.
Les analystes prévoyaient une croissance de 0,2%.
Cela s'est produit à la suite du retour à un niveau plus normal de la production énergétique, et de 2,1% par rapport à février 2006, rapporte Statistique Canada lundi.
En janvier, l'économie avait crû de 0,1%, sur une base mensuelle.
Des hausses ont été observées aussi dans le secteur des biens que dans celui des services. Le commerce de gros, le secteur de la fabrication et les services financiers ont gagné du terrain.
Ces hausses, toutefois, a souligné l'agence fédérale, ont été partiellement contrebalancées par le repli de la construction, du commerce de détail, du transport ferroviaire et du secteur de l'hébergement et des services de restauration.
La production d'électricité de même que la production de pétrole et de gaz naturel ont, pour leur part, fortement augmenté, avec des augmentations respectives de 3,4 et de 3,6%.
Abstraction faite de l'extraction de pétrole et de gaz naturel ainsi que des services publics, la croissance économique s'est établie à 0,2% en février.
30 avril 2007 - 09h46
Presse Canadienne
L'économie canadienne, mesurée par le produit intérieur brut, a crû de 0,4% en février dernier par rapport au mois précédent.
Les analystes prévoyaient une croissance de 0,2%.
Cela s'est produit à la suite du retour à un niveau plus normal de la production énergétique, et de 2,1% par rapport à février 2006, rapporte Statistique Canada lundi.
En janvier, l'économie avait crû de 0,1%, sur une base mensuelle.
Des hausses ont été observées aussi dans le secteur des biens que dans celui des services. Le commerce de gros, le secteur de la fabrication et les services financiers ont gagné du terrain.
Ces hausses, toutefois, a souligné l'agence fédérale, ont été partiellement contrebalancées par le repli de la construction, du commerce de détail, du transport ferroviaire et du secteur de l'hébergement et des services de restauration.
La production d'électricité de même que la production de pétrole et de gaz naturel ont, pour leur part, fortement augmenté, avec des augmentations respectives de 3,4 et de 3,6%.
Abstraction faite de l'extraction de pétrole et de gaz naturel ainsi que des services publics, la croissance économique s'est établie à 0,2% en février.
Prière et chant religieux
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Des pertes réversibles
Les pertes de mémoire causées par les maladies dégénératives du cerveau, comme l'Alzheimer, seraient réversibles.
Des travaux menés à l'Institut de technologie du Massachusetts (MIT) montrent que la stimulation mentale et le recours à des médicaments aideraient les souris atteintes de ces maladies à retrouver la mémoire.
Les chercheurs ont montré que des rongeurs qui souffraient de troubles similaires à l'Alzheimer ont été capables de se souvenir d'actions apprises avant l'apparition des pertes de mémoire.
L'étude
Les chercheurs ont eu recours à des souris auxquelles ils avaient génétiquement implanté une protéine associée aux troubles dégénératifs du cerveau.
Ils avaient précédemment appris aux rongeurs comment éviter une décharge électrique et comment atteindre de la nourriture dans un labyrinthe.
Six semaines après avoir contracté la maladie, les souris n'étaient plus capables de se rappeler leur apprentissage.
Quelques-unes ont ensuite été placées dans un environnement stimulant, avec des jouets et d'autres souris, alors que d'autres ont été placés dans un endroit neutre.
Celles qui vivaient dans un environnement stimulant ont été capables de se souvenir du choc beaucoup mieux que les autres. Elles étaient également plus aptes à apprendre de nouvelles choses.
Les chercheurs ont aussi testé l'effet des inhibiteurs des histone-désacétylases (HDAC) sur la mémoire.
Les résultats sont comparables à ceux obtenus à l'aide de la stimulation environnementale.
Le neurologue Li-Huei Tsai affirme que ces résultats sont porteurs d'espoir pour les personnes atteintes de maladies comme l'Alzheimer.
Nous avons apporté les premières preuves que, même dans un cerveau touché par la dégénérescence, il est possible d'améliorer les capacités d'apprentissage et de retrouver, jusqu'à un certain point, la mémoire à long terme. — Li-Huei Tsai
Selon le Dr Tsai, la mémoire des personnes atteintes de problèmes neurodégénératifs n'est pas effacée du cerveau, mais n'est simplement pas accessible.
Les résultats complets sont publiés dans le magazine Nature.
Les pertes de mémoire causées par les maladies dégénératives du cerveau, comme l'Alzheimer, seraient réversibles.
Des travaux menés à l'Institut de technologie du Massachusetts (MIT) montrent que la stimulation mentale et le recours à des médicaments aideraient les souris atteintes de ces maladies à retrouver la mémoire.
Les chercheurs ont montré que des rongeurs qui souffraient de troubles similaires à l'Alzheimer ont été capables de se souvenir d'actions apprises avant l'apparition des pertes de mémoire.
L'étude
Les chercheurs ont eu recours à des souris auxquelles ils avaient génétiquement implanté une protéine associée aux troubles dégénératifs du cerveau.
Ils avaient précédemment appris aux rongeurs comment éviter une décharge électrique et comment atteindre de la nourriture dans un labyrinthe.
Six semaines après avoir contracté la maladie, les souris n'étaient plus capables de se rappeler leur apprentissage.
Quelques-unes ont ensuite été placées dans un environnement stimulant, avec des jouets et d'autres souris, alors que d'autres ont été placés dans un endroit neutre.
Celles qui vivaient dans un environnement stimulant ont été capables de se souvenir du choc beaucoup mieux que les autres. Elles étaient également plus aptes à apprendre de nouvelles choses.
Les chercheurs ont aussi testé l'effet des inhibiteurs des histone-désacétylases (HDAC) sur la mémoire.
Les résultats sont comparables à ceux obtenus à l'aide de la stimulation environnementale.
Le neurologue Li-Huei Tsai affirme que ces résultats sont porteurs d'espoir pour les personnes atteintes de maladies comme l'Alzheimer.
Nous avons apporté les premières preuves que, même dans un cerveau touché par la dégénérescence, il est possible d'améliorer les capacités d'apprentissage et de retrouver, jusqu'à un certain point, la mémoire à long terme. — Li-Huei Tsai
Selon le Dr Tsai, la mémoire des personnes atteintes de problèmes neurodégénératifs n'est pas effacée du cerveau, mais n'est simplement pas accessible.
Les résultats complets sont publiés dans le magazine Nature.
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Percée québécoise
Remplacer le cartilage sans prothèse
Le remplacement d'un genou est une expérience difficile à bien des égards. Au-delà de la douleur physique qui l'accompagne, la période d'adaptation est souvent longue et pénible.
Des chercheurs de l'École Polytechnique de Montréal pourraient bien avoir trouvé le moyen de contourner cette procédure médicale contraignante. Ils ont créé le CarGel, un produit gélatineux qui permet au cartilage de se régénérer.
Lorsqu'il est appliqué sur une zone endommagée, ce gel crée un environnement particulier, favorable à la régénération du tissu conjonctif cartilagineux. Ses créateurs parlent d'une révolution orthopédique.
Le produit fait actuellement l'objet d'un essai clinique auprès de 80 patients au Canada. Si cet essai est concluant, Santé Canada pourrait autoriser le procédé d'ici la fin de 2009.
On passe d'un domaine où on met du métal et du plastique pour aider le patient en remplaçant une articulation, à un domaine où on stimule nos propres cellules à nous guérir nous-mêmes. On est dans Star Wars. — Nicolas Duval, chirurgien orthopédiste
Photo: Radio-Canada
Dr Nicolas Duval
CarGel contient des substances bioactives, qui incitent le cartilage à se réparer. La recette comprend, entre autres, des extraits de carapace de crustacés.
Les médecins ajoutent également du sang du patient dans le cartilage endommagé. Le CarGel forme une structure adhésive où les cellules se régénèrent
On implante un bio matériau qui stimule le cartilage du patient pour se régénérer comme un bio réacteur qui agit comme une usine. — Michael Buschmann, professeur et chercheur
Jusqu'à maintenant, une trentaine de personnes marchent déjà avec un genou refait à neuf grâce au procédé.
Photo: Radio-Canada
Le produit a été testé dans le genou de Serge Savard, l'ancien défenseur du Canadien. Une intervention menée avec une permission spéciale de Santé Canada, il y a environ 3 ans.
Les chercheurs, tout comme ceux qui sont prêts à commercialiser le procédé, rêvent au jour où on procédera de la même manière les os, les ménisques ou même la peau.
Promouvoir la recherche dans le domaine
L'École Polytechnique de Montréal a créé une chaire sur les technologies régénératrices afin de bien se situer dans la course internationale à l'invention de matériaux permettant de réparer le cartilage des articulations.
C'est le Pr Michael Buschmann qui sera titulaire de cette nouvelle chaire. Il est l'une des sommités dans le domaine de la recherche sur le cartilage.
Selon le Registre canadien des remplacements articulaires, les chirurgies au genou et à la hanche connaissent une hausse considérable depuis quelques années. Rien que pour la période de cinq ans se terminant en 2002-2003, elles ont augmenté de 30 %.
Saviez-vous que?
La douleur articulaire et la perte de mobilité causées par des lésions au cartilage handicapent des millions de personnes dans le monde. Ces problèmes se produisent souvent après un traumatisme, une blessure ou à la suite d'une activité physique excessive, ou d'arthrose secondaire.
Remplacer le cartilage sans prothèse
Le remplacement d'un genou est une expérience difficile à bien des égards. Au-delà de la douleur physique qui l'accompagne, la période d'adaptation est souvent longue et pénible.
Des chercheurs de l'École Polytechnique de Montréal pourraient bien avoir trouvé le moyen de contourner cette procédure médicale contraignante. Ils ont créé le CarGel, un produit gélatineux qui permet au cartilage de se régénérer.
Lorsqu'il est appliqué sur une zone endommagée, ce gel crée un environnement particulier, favorable à la régénération du tissu conjonctif cartilagineux. Ses créateurs parlent d'une révolution orthopédique.
Le produit fait actuellement l'objet d'un essai clinique auprès de 80 patients au Canada. Si cet essai est concluant, Santé Canada pourrait autoriser le procédé d'ici la fin de 2009.
On passe d'un domaine où on met du métal et du plastique pour aider le patient en remplaçant une articulation, à un domaine où on stimule nos propres cellules à nous guérir nous-mêmes. On est dans Star Wars. — Nicolas Duval, chirurgien orthopédiste
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Dr Nicolas Duval
CarGel contient des substances bioactives, qui incitent le cartilage à se réparer. La recette comprend, entre autres, des extraits de carapace de crustacés.
Les médecins ajoutent également du sang du patient dans le cartilage endommagé. Le CarGel forme une structure adhésive où les cellules se régénèrent
On implante un bio matériau qui stimule le cartilage du patient pour se régénérer comme un bio réacteur qui agit comme une usine. — Michael Buschmann, professeur et chercheur
Jusqu'à maintenant, une trentaine de personnes marchent déjà avec un genou refait à neuf grâce au procédé.
Photo: Radio-Canada
Le produit a été testé dans le genou de Serge Savard, l'ancien défenseur du Canadien. Une intervention menée avec une permission spéciale de Santé Canada, il y a environ 3 ans.
Les chercheurs, tout comme ceux qui sont prêts à commercialiser le procédé, rêvent au jour où on procédera de la même manière les os, les ménisques ou même la peau.
Promouvoir la recherche dans le domaine
L'École Polytechnique de Montréal a créé une chaire sur les technologies régénératrices afin de bien se situer dans la course internationale à l'invention de matériaux permettant de réparer le cartilage des articulations.
C'est le Pr Michael Buschmann qui sera titulaire de cette nouvelle chaire. Il est l'une des sommités dans le domaine de la recherche sur le cartilage.
Selon le Registre canadien des remplacements articulaires, les chirurgies au genou et à la hanche connaissent une hausse considérable depuis quelques années. Rien que pour la période de cinq ans se terminant en 2002-2003, elles ont augmenté de 30 %.
Saviez-vous que?
La douleur articulaire et la perte de mobilité causées par des lésions au cartilage handicapent des millions de personnes dans le monde. Ces problèmes se produisent souvent après un traumatisme, une blessure ou à la suite d'une activité physique excessive, ou d'arthrose secondaire.
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Le fils de Pierre Elliott Trudeau est choisi candidat dans Papineau
Après le père, aura-t-on droit au fils? Chose certaine, Justin Trudeau a réussi son premier test politique hier en remportant l'investiture libérale dans la circonscrïption fédérale montréalaise de Papineau, et ce, dès le premier tour. Le fils aîné de l'ancien premier ministre Pierre Elliott Trudeau a reçu l'appui de 690 membres du parti (54 % des suffrages), contre 350 pour la conseillère municipale Mary Deros et 220 voix pour l'éditeur d'un journal en langue italienne, Basilio Giordano.
La victoire de M. Trudeau au premier tour en a surpris plusieurs, puisque ses deux adversaires sont bien connus des résidants et très actifs dans la circonscrïption de Papineau. M. Giordano, par exemple, milite pour les libéraux depuis plus de 40 ans.
Preuve que cette investiture revêtait une grande importance pour les militants libéraux de Papineau, 1266 des 3444 membres en règle se sont exprimés hier. Le gymnase du collège André Grasset était aussi bondé, les uns brandissant avec enthousiasme des affiches «Trudeau», les autres agitant leurs banderoles «Giordano». La presse nationale était également au rendez-vous. La mère de Justin Trudeau, Margaret, son frère Sacha, tout comme les anciens ministres libéraux Pierre Pettigrew et Jean Lapierre étaient eux aussi présents.
Quelques minutes après l'annonce de sa victoire, Justin Trudeau a aussi reçu, par téléphone, les félicitations de son chef, Stéphane Dion. Malgré les rumeurs persistantes voulant que M. Dion ne soit pas réjoui par son arrivée en politique active, M. Trudeau a dit avoir eu «une très bonne conversation» avec le chef libéral. Stéphane Dion lui aurait même assuré avoir hâte de travailler avec lui «pour faire avancer la cause libérale au Canada».
Ce serait toutefois Stéphane Dion qui l'aurait amené à se présenter dans la circonscrïption de Papineau, en lui barrant la route des sièges pour ainsi dire acquis d'Outremont et de LaSalle-Émard. Hier, Justin Trudeau a plutôt soutenu que Papineau constituait son «vrai choix». Il a dit souhaiter «représenter des gens qui représentent bien le Canada et les défis auxquels on va faire face dans les prochaines décennies. C'est là où je voulais commencer et faire ma carrière en politique».
Il devra batailler fort pour reconquérir Papineau, qui est passée aux mains de la bloquiste Vivian Barbot par une mince majorité aux dernières élections fédérales. Elle avait alors délogé Pierre Pettigrew, mettant ainsi fin à près de 90 ans de domination libérale fédérale. La circonscrïption de Papineau, qui compte plus de 100 000 habitants, englobe une partie du quartier Saint-Michel, ainsi que les quartiers Villeray et Parc-Extension.
Justin Trudeau a dit avoir bon espoir de recevoir un accueil favorable auprès de l'électorat de sa circonscrïption. «Je me sens extrêmement bien accueilli chez les libéraux de ce comté. Pour moi, c'était un premier défi, et j'ai eu la confiance des gens dans ce comté.» Et il est tout aussi certain d'être bien accueilli dans l'ensemble de la province. «Le Québec, c'est une prochaine étape, mais ça s'annonce bien», a-t-il assuré.
Fier d'être un «Trudeau»
Fils d'un ancien premier ministre à la fois célèbre et contesté, il s'est d'ailleurs dit à l'aise avec le fait de porter le nom de Trudeau. «Je porte le nom "Trudeau". Je porte aussi mon propre nom», a-t-il laissé tomber, lors d'un bref point de presse après sa victoire. «Je ne suis pas seulement un nom de famille, je suis quelqu'un qui a un prénom», a-t-il ajouté en anglais, sans plus de précisions.
Hier après-midi, dans son premier grand discours politique à Montréal, au collège André Grasset, Justin Trudeau a néanmoins déclaré vouloir suivre les traces de son père. Sur les ondes de TVA, il s'est aussi dit très fier de l'héritage politique légué par son père, notamment la Charte canadienne des droits et libertés. Et selon lui, si le Canada de demain sera un pays «multiculturel» et «urbain», «l'héritage de mon père et des grands libéraux qui nous ont précédés y est pour quelque chose».
Questionné à maintes reprises sur le poids que pourrait représenter son nom de famille au Québec, il a assuré que le nom de «Trudeau» n'était «pas automatiquement mauvais». «C'est un peu une mythologie qu'on s'est créée parce que ça nous convient de jouer contre les Trudeau, les Chrétien, des gens qui ont voulu défendre cette culture extraordinaire qu'on a ici, mais de leur façon», a-t-il soutenu à l'émission Larocque/Lapierre.
Rebâtir le parti
L'homme de 35 ans a par ailleurs insisté pour dire qu'il souhaitait «rebâtir la confiance des électeurs québécois envers le Parti libéral», après le scandale des commandites. «Nous allons travailler comme un parti, ensemble», a-t-il dit, afin de défendre les «vraies valeurs libérales». «Pour rétablir la confiance, je veux écouter les gens. Je veux faire de la politique au niveau local», a dit Justin Trudeau en substance après sa victoire.
«Je veux être un rassembleur», avait-il répété un peu plus tôt sur les ondes de TVA, précisant qu'il souhaitait «parler de ce qui nous rassemble» et non «de ce qui nous divise». Or, «quand les politiciens passent leur temps à se dire les uns aux autres qu'ils sont des menteurs, qu'ils sont des voleurs, les gens finissent par peindre tous les politiciens du même pinceau», a-t-il alors déploré.
Et selon lui, il est temps de mettre la question nationale de côté. «Autonome, séparatiste, fédéraliste, tout ça c'est des questions du passé. Il faut commencer à regarder un peu plus vers les vrais enjeux. Le problème, c'est qu'au Québec, on a passé tellement de temps à essayer de se définir, de trouver la voie pour résoudre nos problèmes de façon magique, en se séparant, en renouvelant ceci, qu'on ne s'est pas occupé assez des vrais enjeux», a-t-il affirmé à Larocque/Lapierre.
Après le père, aura-t-on droit au fils? Chose certaine, Justin Trudeau a réussi son premier test politique hier en remportant l'investiture libérale dans la circonscrïption fédérale montréalaise de Papineau, et ce, dès le premier tour. Le fils aîné de l'ancien premier ministre Pierre Elliott Trudeau a reçu l'appui de 690 membres du parti (54 % des suffrages), contre 350 pour la conseillère municipale Mary Deros et 220 voix pour l'éditeur d'un journal en langue italienne, Basilio Giordano.
La victoire de M. Trudeau au premier tour en a surpris plusieurs, puisque ses deux adversaires sont bien connus des résidants et très actifs dans la circonscrïption de Papineau. M. Giordano, par exemple, milite pour les libéraux depuis plus de 40 ans.
Preuve que cette investiture revêtait une grande importance pour les militants libéraux de Papineau, 1266 des 3444 membres en règle se sont exprimés hier. Le gymnase du collège André Grasset était aussi bondé, les uns brandissant avec enthousiasme des affiches «Trudeau», les autres agitant leurs banderoles «Giordano». La presse nationale était également au rendez-vous. La mère de Justin Trudeau, Margaret, son frère Sacha, tout comme les anciens ministres libéraux Pierre Pettigrew et Jean Lapierre étaient eux aussi présents.
Quelques minutes après l'annonce de sa victoire, Justin Trudeau a aussi reçu, par téléphone, les félicitations de son chef, Stéphane Dion. Malgré les rumeurs persistantes voulant que M. Dion ne soit pas réjoui par son arrivée en politique active, M. Trudeau a dit avoir eu «une très bonne conversation» avec le chef libéral. Stéphane Dion lui aurait même assuré avoir hâte de travailler avec lui «pour faire avancer la cause libérale au Canada».
Ce serait toutefois Stéphane Dion qui l'aurait amené à se présenter dans la circonscrïption de Papineau, en lui barrant la route des sièges pour ainsi dire acquis d'Outremont et de LaSalle-Émard. Hier, Justin Trudeau a plutôt soutenu que Papineau constituait son «vrai choix». Il a dit souhaiter «représenter des gens qui représentent bien le Canada et les défis auxquels on va faire face dans les prochaines décennies. C'est là où je voulais commencer et faire ma carrière en politique».
Il devra batailler fort pour reconquérir Papineau, qui est passée aux mains de la bloquiste Vivian Barbot par une mince majorité aux dernières élections fédérales. Elle avait alors délogé Pierre Pettigrew, mettant ainsi fin à près de 90 ans de domination libérale fédérale. La circonscrïption de Papineau, qui compte plus de 100 000 habitants, englobe une partie du quartier Saint-Michel, ainsi que les quartiers Villeray et Parc-Extension.
Justin Trudeau a dit avoir bon espoir de recevoir un accueil favorable auprès de l'électorat de sa circonscrïption. «Je me sens extrêmement bien accueilli chez les libéraux de ce comté. Pour moi, c'était un premier défi, et j'ai eu la confiance des gens dans ce comté.» Et il est tout aussi certain d'être bien accueilli dans l'ensemble de la province. «Le Québec, c'est une prochaine étape, mais ça s'annonce bien», a-t-il assuré.
Fier d'être un «Trudeau»
Fils d'un ancien premier ministre à la fois célèbre et contesté, il s'est d'ailleurs dit à l'aise avec le fait de porter le nom de Trudeau. «Je porte le nom "Trudeau". Je porte aussi mon propre nom», a-t-il laissé tomber, lors d'un bref point de presse après sa victoire. «Je ne suis pas seulement un nom de famille, je suis quelqu'un qui a un prénom», a-t-il ajouté en anglais, sans plus de précisions.
Hier après-midi, dans son premier grand discours politique à Montréal, au collège André Grasset, Justin Trudeau a néanmoins déclaré vouloir suivre les traces de son père. Sur les ondes de TVA, il s'est aussi dit très fier de l'héritage politique légué par son père, notamment la Charte canadienne des droits et libertés. Et selon lui, si le Canada de demain sera un pays «multiculturel» et «urbain», «l'héritage de mon père et des grands libéraux qui nous ont précédés y est pour quelque chose».
Questionné à maintes reprises sur le poids que pourrait représenter son nom de famille au Québec, il a assuré que le nom de «Trudeau» n'était «pas automatiquement mauvais». «C'est un peu une mythologie qu'on s'est créée parce que ça nous convient de jouer contre les Trudeau, les Chrétien, des gens qui ont voulu défendre cette culture extraordinaire qu'on a ici, mais de leur façon», a-t-il soutenu à l'émission Larocque/Lapierre.
Rebâtir le parti
L'homme de 35 ans a par ailleurs insisté pour dire qu'il souhaitait «rebâtir la confiance des électeurs québécois envers le Parti libéral», après le scandale des commandites. «Nous allons travailler comme un parti, ensemble», a-t-il dit, afin de défendre les «vraies valeurs libérales». «Pour rétablir la confiance, je veux écouter les gens. Je veux faire de la politique au niveau local», a dit Justin Trudeau en substance après sa victoire.
«Je veux être un rassembleur», avait-il répété un peu plus tôt sur les ondes de TVA, précisant qu'il souhaitait «parler de ce qui nous rassemble» et non «de ce qui nous divise». Or, «quand les politiciens passent leur temps à se dire les uns aux autres qu'ils sont des menteurs, qu'ils sont des voleurs, les gens finissent par peindre tous les politiciens du même pinceau», a-t-il alors déploré.
Et selon lui, il est temps de mettre la question nationale de côté. «Autonome, séparatiste, fédéraliste, tout ça c'est des questions du passé. Il faut commencer à regarder un peu plus vers les vrais enjeux. Le problème, c'est qu'au Québec, on a passé tellement de temps à essayer de se définir, de trouver la voie pour résoudre nos problèmes de façon magique, en se séparant, en renouvelant ceci, qu'on ne s'est pas occupé assez des vrais enjeux», a-t-il affirmé à Larocque/Lapierre.
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Têtes à claques
Des excuses exigées
Il arrive au 10e rang des vidéos humoristiques les plus populaires du site web. Le 30 avril à midi, plus de 163 000 fans avaient fait du Cannibale leur clip préféré. C'est presque moitié moins que le numéro un, Le Willi Waller.
On y voit deux Blancs, mijotant dans une marmite, au beau milieu de la jungle africaine. À l'évidence, ils sont sur le point d'être dégustés par un cannibale noir, qui salive, tout près.
« Toi vilaine bonne femme pas cracher dans mon ragoût », lui lance le cannibale, à l'accent prononcé.
Des poursuites envisagées
Québec Pluriel exige des excuses publiques à la communauté noire. L'organisme juge insultants, diffamatoires, irrespectueux et racistes les propos et la représentation qui y sont véhiculés.
Le 18 avril dernier, Québec Pluriel a sommé Salambo Productions, la maison des Têtes à claques, ainsi que Bell Canada d'arrêter toute diffusion de ce clip sur support média, Internet et autres.
L'organisation envisage actuellement d'intenter des poursuites pour réclamer des dommages moraux et punitifs.
Dans son site web, Québec Pluriel précise qu'il souhaite « mettre sur pied un cadre unitaire dans lequel se reconnaîtrait l'ensemble des Québécois de toutes origines vivant au Québec. »
Des excuses exigées
Il arrive au 10e rang des vidéos humoristiques les plus populaires du site web. Le 30 avril à midi, plus de 163 000 fans avaient fait du Cannibale leur clip préféré. C'est presque moitié moins que le numéro un, Le Willi Waller.
On y voit deux Blancs, mijotant dans une marmite, au beau milieu de la jungle africaine. À l'évidence, ils sont sur le point d'être dégustés par un cannibale noir, qui salive, tout près.
« Toi vilaine bonne femme pas cracher dans mon ragoût », lui lance le cannibale, à l'accent prononcé.
Des poursuites envisagées
Québec Pluriel exige des excuses publiques à la communauté noire. L'organisme juge insultants, diffamatoires, irrespectueux et racistes les propos et la représentation qui y sont véhiculés.
Le 18 avril dernier, Québec Pluriel a sommé Salambo Productions, la maison des Têtes à claques, ainsi que Bell Canada d'arrêter toute diffusion de ce clip sur support média, Internet et autres.
L'organisation envisage actuellement d'intenter des poursuites pour réclamer des dommages moraux et punitifs.
Dans son site web, Québec Pluriel précise qu'il souhaite « mettre sur pied un cadre unitaire dans lequel se reconnaîtrait l'ensemble des Québécois de toutes origines vivant au Québec. »
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.anthurium. a écritTêtes à claques
Des excuses exigées
Il arrive au 10e rang des vidéos humoristiques les plus populaires du site web. Le 30 avril à midi, plus de 163 000 fans avaient fait du Cannibale leur clip préféré. C'est presque moitié moins que le numéro un, Le Willi Waller.
On y voit deux Blancs, mijotant dans une marmite, au beau milieu de la jungle africaine. À l'évidence, ils sont sur le point d'être dégustés par un cannibale noir, qui salive, tout près.
« Toi vilaine bonne femme pas cracher dans mon ragoût », lui lance le cannibale, à l'accent prononcé.
Des poursuites envisagées
Québec Pluriel exige des excuses publiques à la communauté noire. L'organisme juge insultants, diffamatoires, irrespectueux et racistes les propos et la représentation qui y sont véhiculés.
Le 18 avril dernier, Québec Pluriel a sommé Salambo Productions, la maison des Têtes à claques, ainsi que Bell Canada d'arrêter toute diffusion de ce clip sur support média, Internet et autres.
L'organisation envisage actuellement d'intenter des poursuites pour réclamer des dommages moraux et punitifs.
Dans son site web, Québec Pluriel précise qu'il souhaite « mettre sur pied un cadre unitaire dans lequel se reconnaîtrait l'ensemble des Québécois de toutes origines vivant au Québec. »
Sacrament... bientôt on ne pourra plus faire aucune blague... Ah oui, on devrait se mettre à poursuivre tous ceux qui utilisent des indiens en faisant référence à nous... En commençant par Hergé tiens! Qu'il enlève l'indien du livre Tintin en Amérique!
Des excuses exigées
Il arrive au 10e rang des vidéos humoristiques les plus populaires du site web. Le 30 avril à midi, plus de 163 000 fans avaient fait du Cannibale leur clip préféré. C'est presque moitié moins que le numéro un, Le Willi Waller.
On y voit deux Blancs, mijotant dans une marmite, au beau milieu de la jungle africaine. À l'évidence, ils sont sur le point d'être dégustés par un cannibale noir, qui salive, tout près.
« Toi vilaine bonne femme pas cracher dans mon ragoût », lui lance le cannibale, à l'accent prononcé.
Des poursuites envisagées
Québec Pluriel exige des excuses publiques à la communauté noire. L'organisme juge insultants, diffamatoires, irrespectueux et racistes les propos et la représentation qui y sont véhiculés.
Le 18 avril dernier, Québec Pluriel a sommé Salambo Productions, la maison des Têtes à claques, ainsi que Bell Canada d'arrêter toute diffusion de ce clip sur support média, Internet et autres.
L'organisation envisage actuellement d'intenter des poursuites pour réclamer des dommages moraux et punitifs.
Dans son site web, Québec Pluriel précise qu'il souhaite « mettre sur pied un cadre unitaire dans lequel se reconnaîtrait l'ensemble des Québécois de toutes origines vivant au Québec. »
Sacrament... bientôt on ne pourra plus faire aucune blague... Ah oui, on devrait se mettre à poursuivre tous ceux qui utilisent des indiens en faisant référence à nous... En commençant par Hergé tiens! Qu'il enlève l'indien du livre Tintin en Amérique!
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.anthurium.
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NetRoll a écrit
Sacrament... bientôt on ne pourra plus faire aucune blague... Ah oui, on devrait se mettre à poursuivre tous ceux qui utilisent des indiens en faisant référence à nous... En commençant par Hergé tiens! Qu'il enlève l'indien du livre Tintin en Amérique!
C'est un bon exemple pour ton topic des empêcheurs de tourner en rond.
Derniêrement l'affaire de Sophie Chiasson contre Genex et Fillion a fait jurisprudence. Dorénavent plus personne ne pourra plus rien dire ni faire.
Sacrament... bientôt on ne pourra plus faire aucune blague... Ah oui, on devrait se mettre à poursuivre tous ceux qui utilisent des indiens en faisant référence à nous... En commençant par Hergé tiens! Qu'il enlève l'indien du livre Tintin en Amérique!
C'est un bon exemple pour ton topic des empêcheurs de tourner en rond.
Derniêrement l'affaire de Sophie Chiasson contre Genex et Fillion a fait jurisprudence. Dorénavent plus personne ne pourra plus rien dire ni faire.
Prière et chant religieux
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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.anthurium. a écrit
C'est un bon exemple pour ton topic des empêcheurs de tourner en rond.
Derniêrement l'affaire de Sophie Chiasson contre Genex et Fillion a fait jurisprudence. Dorénavent plus personne ne pourra plus rien dire ni faire.
Je vois quand même toute une différence entre une personne qui s'attaque personnellement à un autre à répétition, et quelqu'un qui fait une blague sur des gens fictifs.
C'est un bon exemple pour ton topic des empêcheurs de tourner en rond.
Derniêrement l'affaire de Sophie Chiasson contre Genex et Fillion a fait jurisprudence. Dorénavent plus personne ne pourra plus rien dire ni faire.
Je vois quand même toute une différence entre une personne qui s'attaque personnellement à un autre à répétition, et quelqu'un qui fait une blague sur des gens fictifs.
