Accommodements / Cabanes à sucre
Le propriétaire d'une cabane à sucre de Mont-Saint-Grégoire, en Montérégie, a mis fin au party d'un groupe de clients pour permettre à des musulmans de faire leur prière sur la piste de danse.
Le chanteur country Sylvain Boily, alias Danny Boy, a passé une très mauvaise journée le dimanche 11 mars dernier à l'Érablière au Sous-Bois.
Réuni avec une vingtaine d'amis et parents, il prétend avoir été invité à sortir de la salle de danse de la cabane à sucre lorsqu'un groupe d'une cinquantaine de musulmans s'y est installé pour prier.
Dehors
«On nous a demandé de quitter la salle et d'arrêter de jouer de la musique. Le groupe de musulmans s'est mis à genoux et a commencé à prier», soutient M. Boily.
Lui et sa famille venaient à peine d'entrer dans la salle de danse pour faire la fête. «Ma tante jouait de l'accordéon. Quelqu'un lui a demandé d'arrêter», indique le chanteur.
Offusqué, il a décidé de quitter l'érablière avec ses proches au lieu d'attendre que la prière musulmane prenne fin, vingt minutes plus tard.
«Ça faisait des années que je n'étais pas allé à la cabane à sucre. Mon intention était de rester jusqu'en soirée. Je n'ai même pas eu le temps de donner tous les cadeaux à mes proches», raconte-t-il.
Loi du nombre
Selon le propriétaire de l'Érablière au Sous-Bois, Sylvain Boily se plaint pour rien. «C'est notre décision d'arrêter la musique dans la salle de danse pour permettre aux musulmans de prier», explique Roch Gladu. Il a agi ainsi parce que le groupe de musulmans était plus nombreux que la famille de M. Boily. Ils étaient 260 et le quart a manifesté le désir de prier.
«Il n'y avait pas d'autres personnes à part M. Boily et sa famille dans la salle. C'est la loi du nombre», dit M. Gladu.
«Je n'ai jamais vu une salle se vider aussi vite, affirme plutôt Sylvain Boily. C'est une cabane à sucre québécoise. Les gens y viennent pour avoir du fun. Ma famille n'est pas raciste. Mais ils se sont crus tout permis.»
Entente avec le proprio
Astrolabe, un organisme qui planifie des activités culturelles et sportives pour des musulmans, affirme ne pas s'être rendu compte qu'un client était froissé par leur prière.
«Je surveillais les enfants pendant la prière, je n'ai vu personne se fâcher», raconte Adel Larabi, président d'Astrolabe.
Pour lui, une visite à la cabane à sucre est une belle façon de faire connaître cette activité et ces mets typiquement québécois aux membres du groupe.
Ce dernier s'était entendu avec le propriétaire de la cabane à sucre afin d'avoir un espace privé pour la prière après le dîner.
«La salle à dîner était trop achalandée, M. Gladu nous a proposé la salle de danse. Il a arrêté la musique le temps de la prière, qui a duré à peine dix minutes», dit-il.
Le groupe avait aussi demandé des changements au menu afin qu'il n'y ait pas de porc. Toutefois, seuls les plats servis à ce groupe précis ont été modifiés.
source LCN
non mais ont s'en vas ou avec sa ....j'apelle plus sa de la tolerance mais c'est de l'abus pur et simple.
C'est envahir notre culture meme!
La cabane a sucre fait partie de notre culture depuis toujours ont doit pas y changer quoi que ce soit pour faire plaisir a une minorité qui abuse chez nous grrrrrr!! j'enrage
PS.je viens de pogner sa aux nouvelles en réveillant.
Le chanteur country Sylvain Boily, alias Danny Boy, a passé une très mauvaise journée le dimanche 11 mars dernier à l'Érablière au Sous-Bois.
Réuni avec une vingtaine d'amis et parents, il prétend avoir été invité à sortir de la salle de danse de la cabane à sucre lorsqu'un groupe d'une cinquantaine de musulmans s'y est installé pour prier.
Dehors
«On nous a demandé de quitter la salle et d'arrêter de jouer de la musique. Le groupe de musulmans s'est mis à genoux et a commencé à prier», soutient M. Boily.
Lui et sa famille venaient à peine d'entrer dans la salle de danse pour faire la fête. «Ma tante jouait de l'accordéon. Quelqu'un lui a demandé d'arrêter», indique le chanteur.
Offusqué, il a décidé de quitter l'érablière avec ses proches au lieu d'attendre que la prière musulmane prenne fin, vingt minutes plus tard.
«Ça faisait des années que je n'étais pas allé à la cabane à sucre. Mon intention était de rester jusqu'en soirée. Je n'ai même pas eu le temps de donner tous les cadeaux à mes proches», raconte-t-il.
Loi du nombre
Selon le propriétaire de l'Érablière au Sous-Bois, Sylvain Boily se plaint pour rien. «C'est notre décision d'arrêter la musique dans la salle de danse pour permettre aux musulmans de prier», explique Roch Gladu. Il a agi ainsi parce que le groupe de musulmans était plus nombreux que la famille de M. Boily. Ils étaient 260 et le quart a manifesté le désir de prier.
«Il n'y avait pas d'autres personnes à part M. Boily et sa famille dans la salle. C'est la loi du nombre», dit M. Gladu.
«Je n'ai jamais vu une salle se vider aussi vite, affirme plutôt Sylvain Boily. C'est une cabane à sucre québécoise. Les gens y viennent pour avoir du fun. Ma famille n'est pas raciste. Mais ils se sont crus tout permis.»
Entente avec le proprio
Astrolabe, un organisme qui planifie des activités culturelles et sportives pour des musulmans, affirme ne pas s'être rendu compte qu'un client était froissé par leur prière.
«Je surveillais les enfants pendant la prière, je n'ai vu personne se fâcher», raconte Adel Larabi, président d'Astrolabe.
Pour lui, une visite à la cabane à sucre est une belle façon de faire connaître cette activité et ces mets typiquement québécois aux membres du groupe.
Ce dernier s'était entendu avec le propriétaire de la cabane à sucre afin d'avoir un espace privé pour la prière après le dîner.
«La salle à dîner était trop achalandée, M. Gladu nous a proposé la salle de danse. Il a arrêté la musique le temps de la prière, qui a duré à peine dix minutes», dit-il.
Le groupe avait aussi demandé des changements au menu afin qu'il n'y ait pas de porc. Toutefois, seuls les plats servis à ce groupe précis ont été modifiés.
source LCN
non mais ont s'en vas ou avec sa ....j'apelle plus sa de la tolerance mais c'est de l'abus pur et simple.
C'est envahir notre culture meme!
La cabane a sucre fait partie de notre culture depuis toujours ont doit pas y changer quoi que ce soit pour faire plaisir a une minorité qui abuse chez nous grrrrrr!! j'enrage
PS.je viens de pogner sa aux nouvelles en réveillant.
Voyons donc... pas d'allure cette histoire...
ils mangaient quoi les musulmans... du jambon, des oreilles de christ, du bacon, de la soupe aux pois fait avec du lard.....
C'est proche de chez moi.... je connais pas personnellement le monsieur mais je vais tenter de me renseigner..
j'y crois pas pantoute...
ils mangaient quoi les musulmans... du jambon, des oreilles de christ, du bacon, de la soupe aux pois fait avec du lard.....
C'est proche de chez moi.... je connais pas personnellement le monsieur mais je vais tenter de me renseigner..
j'y crois pas pantoute...
lucide a écritVoyons donc... pas d'allure cette histoire...
ils mangaient quoi les musulmans... du jambon, des oreilles de christ, du bacon, de la soupe aux pois fait avec du lard.....
C'est proche de chez moi.... je connais pas personnellement le monsieur mais je vais tenter de me renseigner..
j'y crois pas pantoute...
Ben oui........ils ont mangé quoi ? Il reste des omelettes.....
ils mangaient quoi les musulmans... du jambon, des oreilles de christ, du bacon, de la soupe aux pois fait avec du lard.....
C'est proche de chez moi.... je connais pas personnellement le monsieur mais je vais tenter de me renseigner..
j'y crois pas pantoute...
Ben oui........ils ont mangé quoi ? Il reste des omelettes.....
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Le propriétaire de la cabane a sucre a donné une entrevue a Paul Arcand....
Alors ils ont fait un menu adapté.....Pas de jambon , de la soupe aux pois pas de lard , pas d'oreilles de christ , des fèves aux lard pas de lard....remplacé par des saussisses sans porc naturellement
Le groupe de musulman était plus gros que l'autre groupe....donc , il a accomoder le groupe le plus *payant* ....
AHH!! l'argent passe au dessus de ben des principes.....
Alors ils ont fait un menu adapté.....Pas de jambon , de la soupe aux pois pas de lard , pas d'oreilles de christ , des fèves aux lard pas de lard....remplacé par des saussisses sans porc naturellement
Le groupe de musulman était plus gros que l'autre groupe....donc , il a accomoder le groupe le plus *payant* ....
AHH!! l'argent passe au dessus de ben des principes.....
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Ben simple , moi y aurait fallu quil appelle la police pour me sortir de la salle de danse et pour me faire arreter la musique.
Juste spécifier , que quand je dis appeller la police , c'est pas parce que je me serais mise a gueuler ou a brasser de la merde , mais juste parce que je serais resté là a continuer de m'amuser.En fait j'aurais pas parler a personne. --Message edité par leelou le 2007-03-19 07:20:51--
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
pompon__3 a écrit
ouais ben je suis moi meme offusquer yé grand temp que sa change le gouvernement metteras t il ses culottes un jour ??????
Le gouvernement n'a rien a avoir dans cette situation.!
Le propriétaire voulait plaire a ceux qui leurs rapportaient plus de cash et c'est ce qu'il a fait. Les musulmans on demandé s'il pouvait et le propriétaire a accepté en passant a l'argent.
Le propriétaire aurait fais la meme affaire pour une gang de vieux qui aurait voulu jouer au bingo dans cette salle ou autre.
Dans ce cas-ci c'Est pas un accomodement raisonnable, C'est de la gestion d'un simple propriétaire qui veut plaire a ceux qui sont plus nombrux pour avoir du cash.
ouais ben je suis moi meme offusquer yé grand temp que sa change le gouvernement metteras t il ses culottes un jour ??????
Le gouvernement n'a rien a avoir dans cette situation.!
Le propriétaire voulait plaire a ceux qui leurs rapportaient plus de cash et c'est ce qu'il a fait. Les musulmans on demandé s'il pouvait et le propriétaire a accepté en passant a l'argent.
Le propriétaire aurait fais la meme affaire pour une gang de vieux qui aurait voulu jouer au bingo dans cette salle ou autre.
Dans ce cas-ci c'Est pas un accomodement raisonnable, C'est de la gestion d'un simple propriétaire qui veut plaire a ceux qui sont plus nombrux pour avoir du cash.
Le proprietaire n'a pas ete correct non pas envers les musulmans mais envers les autres
1- Un groupe de musulmans reservent la place ,en demandant la salle de danse pour leur priere
2- L'autre groupe a reserve à la meme heure
Le proprietaire n'avait qu'à refuser le groupe de monsieur
Dans une cabane à sucre tout le monde a droit à s'amuser meme les musulmans
Le proprietaire voulait de la pub gratuite avec cette histoire
1- Un groupe de musulmans reservent la place ,en demandant la salle de danse pour leur priere
2- L'autre groupe a reserve à la meme heure
Le proprietaire n'avait qu'à refuser le groupe de monsieur
Dans une cabane à sucre tout le monde a droit à s'amuser meme les musulmans
Le proprietaire voulait de la pub gratuite avec cette histoire
Accommodements / Cabanes à sucre
Pas de chicane dans ma cabane
Caroline Roy
Le Journal de Montréal
19/03/2007 05h30
Le propriétaire d'une cabane à sucre de Mont-Saint-Grégoire, en Montérégie, a mis fin au party d'un groupe de clients pour permettre à des musulmans de faire leur prière sur la piste de danse.
Le chanteur country Sylvain Boily, alias Danny Boy, a passé une très mauvaise journée le dimanche 11 mars dernier à l'Érablière au Sous-Bois.
Réuni avec une vingtaine d'amis et parents, il prétend avoir été invité à sortir de la salle de danse de la cabane à sucre lorsqu'un groupe d'une cinquantaine de musulmans s'y est installé pour prier.
Dehors
«On nous a demandé de quitter la salle et d'arrêter de jouer de la musique. Le groupe de musulmans s'est mis à genoux et a commencé à prier», soutient M. Boily.
Lui et sa famille venaient à peine d'entrer dans la salle de danse pour faire la fête. «Ma tante jouait de l'accordéon. Quelqu'un lui a demandé d'arrêter», indique le chanteur.
Offusqué, il a décidé de quitter l'érablière avec ses proches au lieu d'attendre que la prière musulmane prenne fin, vingt minutes plus tard.
«Ça faisait des années que je n'étais pas allé à la cabane à sucre. Mon intention était de rester jusqu'en soirée. Je n'ai même pas eu le temps de donner tous les cadeaux à mes proches», raconte-t-il.
Loi du nombre
Selon le propriétaire de l'Érablière au Sous-Bois, Sylvain Boily se plaint pour rien. «C'est notre décision d'arrêter la musique dans la salle de danse pour permettre aux musulmans de prier», explique Roch Gladu. Il a agi ainsi parce que le groupe de musulmans était plus nombreux que la famille de M. Boily. Ils étaient 260 et le quart a manifesté le désir de prier.
«Il n'y avait pas d'autres personnes à part M. Boily et sa famille dans la salle. C'est la loi du nombre», dit M. Gladu.
«Je n'ai jamais vu une salle se vider aussi vite, affirme plutôt Sylvain Boily. C'est une cabane à sucre québécoise. Les gens y viennent pour avoir du fun. Ma famille n'est pas raciste. Mais ils se sont crus tout permis.»
Entente avec le proprio
Astrolabe, un organisme qui planifie des activités culturelles et sportives pour des musulmans, affirme ne pas s'être rendu compte qu'un client était froissé par leur prière.
«Je surveillais les enfants pendant la prière, je n'ai vu personne se fâcher», raconte Adel Larabi, président d'Astrolabe.
Pour lui, une visite à la cabane à sucre est une belle façon de faire connaître cette activité et ces mets typiquement québécois aux membres du groupe.
Ce dernier s'était entendu avec le propriétaire de la cabane à sucre afin d'avoir un espace privé pour la prière après le dîner.
«La salle à dîner était trop achalandée, M. Gladu nous a proposé la salle de danse. Il a arrêté la musique le temps de la prière, qui a duré à peine dix minutes», dit-il.
Le groupe avait aussi demandé des changements au menu afin qu'il n'y ait pas de porc. Toutefois, seuls les plats servis à ce groupe précis ont été modifiés.
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 53000.html
Pas de chicane dans ma cabane
Caroline Roy
Le Journal de Montréal
19/03/2007 05h30
Le propriétaire d'une cabane à sucre de Mont-Saint-Grégoire, en Montérégie, a mis fin au party d'un groupe de clients pour permettre à des musulmans de faire leur prière sur la piste de danse.
Le chanteur country Sylvain Boily, alias Danny Boy, a passé une très mauvaise journée le dimanche 11 mars dernier à l'Érablière au Sous-Bois.
Réuni avec une vingtaine d'amis et parents, il prétend avoir été invité à sortir de la salle de danse de la cabane à sucre lorsqu'un groupe d'une cinquantaine de musulmans s'y est installé pour prier.
Dehors
«On nous a demandé de quitter la salle et d'arrêter de jouer de la musique. Le groupe de musulmans s'est mis à genoux et a commencé à prier», soutient M. Boily.
Lui et sa famille venaient à peine d'entrer dans la salle de danse pour faire la fête. «Ma tante jouait de l'accordéon. Quelqu'un lui a demandé d'arrêter», indique le chanteur.
Offusqué, il a décidé de quitter l'érablière avec ses proches au lieu d'attendre que la prière musulmane prenne fin, vingt minutes plus tard.
«Ça faisait des années que je n'étais pas allé à la cabane à sucre. Mon intention était de rester jusqu'en soirée. Je n'ai même pas eu le temps de donner tous les cadeaux à mes proches», raconte-t-il.
Loi du nombre
Selon le propriétaire de l'Érablière au Sous-Bois, Sylvain Boily se plaint pour rien. «C'est notre décision d'arrêter la musique dans la salle de danse pour permettre aux musulmans de prier», explique Roch Gladu. Il a agi ainsi parce que le groupe de musulmans était plus nombreux que la famille de M. Boily. Ils étaient 260 et le quart a manifesté le désir de prier.
«Il n'y avait pas d'autres personnes à part M. Boily et sa famille dans la salle. C'est la loi du nombre», dit M. Gladu.
«Je n'ai jamais vu une salle se vider aussi vite, affirme plutôt Sylvain Boily. C'est une cabane à sucre québécoise. Les gens y viennent pour avoir du fun. Ma famille n'est pas raciste. Mais ils se sont crus tout permis.»
Entente avec le proprio
Astrolabe, un organisme qui planifie des activités culturelles et sportives pour des musulmans, affirme ne pas s'être rendu compte qu'un client était froissé par leur prière.
«Je surveillais les enfants pendant la prière, je n'ai vu personne se fâcher», raconte Adel Larabi, président d'Astrolabe.
Pour lui, une visite à la cabane à sucre est une belle façon de faire connaître cette activité et ces mets typiquement québécois aux membres du groupe.
Ce dernier s'était entendu avec le propriétaire de la cabane à sucre afin d'avoir un espace privé pour la prière après le dîner.
«La salle à dîner était trop achalandée, M. Gladu nous a proposé la salle de danse. Il a arrêté la musique le temps de la prière, qui a duré à peine dix minutes», dit-il.
Le groupe avait aussi demandé des changements au menu afin qu'il n'y ait pas de porc. Toutefois, seuls les plats servis à ce groupe précis ont été modifiés.
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 53000.html
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
oh que oui!! C'est juste tellement absurde!!! Y a t'il qqc de plus Québecois que la cabane à sucre???? Pfff!! Pis là, au nom du cash, faut changer NOS traditions??? Déjà que je trouve que certains sont mous face à des situations générales, dans la société de tout les jours, là, c'est charié pas à peu près!!
Bonhomme!!!! Tu n'es pas maitre dans ta maison, car nous y sommes-heuuuu!
Bonhomme!!!! Tu n'es pas maitre dans ta maison, car nous y sommes-heuuuu!
https://album.aufeminin.com/album/notremariage785
Qui est fautif les musulmans de l'avoir demandé ou le quebécois qui a accepté pour faire plus d'argent. Et crois moi c'est loin d'ëtre une petite cabane à sucre et le messieur pouvait facilment payer ses comptes sans ce groupe.
Pour ma part je condamne beaucoup plus le propriétaire et ce qui me reste à faire pour donner mon mécontentement est comme NetRoll boycotter cette cabane à sucre.
Pour ma part je condamne beaucoup plus le propriétaire et ce qui me reste à faire pour donner mon mécontentement est comme NetRoll boycotter cette cabane à sucre.
Accommodements / Cabanes à sucre
De la soupe aux pois sans jambon
Jessica Nadeau
Le Journal de Montréal
19/03/2007 08h17
Des accommodements raisonnables, on en retrouve partout. Ils ont même gagné les cabanes à sucre, symbole même des traditions québécoises: l'une d'elles a retiré le jambon de la légendaire soupe aux pois afin d'accommoder les musulmans, à qui il est interdit de manger du porc.
Jambon dans le sirop, oreilles de Christ, fèves au lard... Le porc fait partie intégrale du menu traditionnel de la cabane à sucre.
Mais voilà qu'en raison de demandes croissantes de groupes musulmans, on adapte le menu pour accommoder les pratiquants qui ne peuvent manger de porc.
À l'érablière Le pain de sucre à Saint-Jean-sur-Richelieu, on a par exemple enlevé le jambon dans la classique soupe aux pois afin d'offrir un menu plus complet aux nombreux musulmans qui viennent se tremper le bec dans le sirop.
«Oui, nous avons beaucoup de musulmans, des familles, qui veulent découvrir la cabane et qui se rendent compte devant le menu qu'ils ne peuvent rien manger, ou des enfants qui viennent avec les écoles. Alors j'ai enlevé le jambon dans la soupe pour les accommoder», confirme le chef Constantino.
Selon lui, le fait d'enlever le jambon dans la soupe aux pois ne prive en rien les Québécois, qui eux pourraient manger du porc.
Goût inchangé
«Ça ne change rien au goût de la soupe, alors ça ne change rien pour nous et ça leur permet d'avoir un menu un peu plus complet», ajoute-t-il.
On enlève le jambon dans la soupe pour tout le monde, mais pour le reste, le menu est adapté seulement pour les groupes qui le demandent, en remplaçant notamment le jambon par des pépites de poulet, assure la directrice de la cabane à sucre, Johanne Cadieux.
Pour Sébastien et sa petite famille, clients du Pain de sucre, l'expérience «traditionnelle» de la cabane à sucre a été grandement modifiée ce mois-ci lorsqu'on leur a annoncé qu'il n'y avait plus de lard dans les fèves au lard.
«La serveuse nous a dit ça de même, disant que c'était une histoire d'accommodements raisonnables et que ça coûtait trop cher de faire deux batches de fèves», raconte le résidant de Saint-Jean.
«Franchement, j'ai trouvé ça un peu insultant d'entendre ça à la cabane à sucre, une place typiquement québécoise.»
Le chef Constantino, lui, jure qu'il fait toujours deux chaudrons, un grand avec du lard et un plus petit sans lard.
«Ça m'étonnerait beaucoup qu'on ait servi des fèves sans lard à des clients qui ne sont pas musulmans. Si ça s'appelle des fèves au lard, c'est sûr qu'on met du lard dedans!»
http://www2.canoe.com/infos/societe/arc ... 81702.html
De la soupe aux pois sans jambon
Jessica Nadeau
Le Journal de Montréal
19/03/2007 08h17
Des accommodements raisonnables, on en retrouve partout. Ils ont même gagné les cabanes à sucre, symbole même des traditions québécoises: l'une d'elles a retiré le jambon de la légendaire soupe aux pois afin d'accommoder les musulmans, à qui il est interdit de manger du porc.
Jambon dans le sirop, oreilles de Christ, fèves au lard... Le porc fait partie intégrale du menu traditionnel de la cabane à sucre.
Mais voilà qu'en raison de demandes croissantes de groupes musulmans, on adapte le menu pour accommoder les pratiquants qui ne peuvent manger de porc.
À l'érablière Le pain de sucre à Saint-Jean-sur-Richelieu, on a par exemple enlevé le jambon dans la classique soupe aux pois afin d'offrir un menu plus complet aux nombreux musulmans qui viennent se tremper le bec dans le sirop.
«Oui, nous avons beaucoup de musulmans, des familles, qui veulent découvrir la cabane et qui se rendent compte devant le menu qu'ils ne peuvent rien manger, ou des enfants qui viennent avec les écoles. Alors j'ai enlevé le jambon dans la soupe pour les accommoder», confirme le chef Constantino.
Selon lui, le fait d'enlever le jambon dans la soupe aux pois ne prive en rien les Québécois, qui eux pourraient manger du porc.
Goût inchangé
«Ça ne change rien au goût de la soupe, alors ça ne change rien pour nous et ça leur permet d'avoir un menu un peu plus complet», ajoute-t-il.
On enlève le jambon dans la soupe pour tout le monde, mais pour le reste, le menu est adapté seulement pour les groupes qui le demandent, en remplaçant notamment le jambon par des pépites de poulet, assure la directrice de la cabane à sucre, Johanne Cadieux.
Pour Sébastien et sa petite famille, clients du Pain de sucre, l'expérience «traditionnelle» de la cabane à sucre a été grandement modifiée ce mois-ci lorsqu'on leur a annoncé qu'il n'y avait plus de lard dans les fèves au lard.
«La serveuse nous a dit ça de même, disant que c'était une histoire d'accommodements raisonnables et que ça coûtait trop cher de faire deux batches de fèves», raconte le résidant de Saint-Jean.
«Franchement, j'ai trouvé ça un peu insultant d'entendre ça à la cabane à sucre, une place typiquement québécoise.»
Le chef Constantino, lui, jure qu'il fait toujours deux chaudrons, un grand avec du lard et un plus petit sans lard.
«Ça m'étonnerait beaucoup qu'on ait servi des fèves sans lard à des clients qui ne sont pas musulmans. Si ça s'appelle des fèves au lard, c'est sûr qu'on met du lard dedans!»
http://www2.canoe.com/infos/societe/arc ... 81702.html
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»