Extrait de LCN
Robert Pickton a plaidé non coupable aux six chefs d'accusation retenus contre lui pour meurtre au premier degré hier.
Il est demeuré debout en cour et a très faiblement prononcé les mots «non coupable» lorsque le juge a donné les noms des présumées victimes.
Pickton est accusé de six meurtres pour lesquels il sera jugé en janvier. D'autre part, la sélection des 12 jurés a commencé.
Robert Pickton est soupçonné d'avoir assassiné 26 femmes de la région de Vancouver.
Il sera jugé sur les autres meurtres après ce premier procès. --Message edité par infomanII le 2007-01-22 15:44:17--
Procès du tueur en série Robert Pickton
Je remonte ce topic.... le procès débute en ce moment... il aurait reconnu plus de 40 meutres !
Pickton possède une ferme et un abattoir... des restes humains ont été trouvés chez lui dont des têtes tranchées en deux verticalement.
ça me rappelle étrangement un film que j'ai vu cette fin de semaine
--Message edité par infomanII le 2007-01-22 15:42:36--
Pickton possède une ferme et un abattoir... des restes humains ont été trouvés chez lui dont des têtes tranchées en deux verticalement.
ça me rappelle étrangement un film que j'ai vu cette fin de semaine
--Message edité par infomanII le 2007-01-22 15:42:36--
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sleepy-girl
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Pickton affirme ne pas être le seul tueur
Deborah Jones
Agence France-Presse
New Westminster
Robert Pickton, un ancien éleveur de porcs canadien accusé de 26 meurtres, a affirmé ne pas être le seul responsable et a dit à la police qu'elle faisait de lui un meurtrier pire qu'il ne l'était en réalité, dans un enregistrement diffusé jeudi.
Dans ce qui peut apparaître comme une sorte d'aveu, Pickton déclare «je ne suis pas le seul» aux policiers lui demandant s'il est responsable de la disparition de plusieurs dizaines de femmes, en majorité des prostituées, sur une vingtaine d'années dans le quartier Downtown Eastside de Vancouver.
«Vous me faites passer pour un tueur en série pire que je ne suis», ajoute-t-il.
Deborah Jones
Agence France-Presse
New Westminster
Robert Pickton, un ancien éleveur de porcs canadien accusé de 26 meurtres, a affirmé ne pas être le seul responsable et a dit à la police qu'elle faisait de lui un meurtrier pire qu'il ne l'était en réalité, dans un enregistrement diffusé jeudi.
Dans ce qui peut apparaître comme une sorte d'aveu, Pickton déclare «je ne suis pas le seul» aux policiers lui demandant s'il est responsable de la disparition de plusieurs dizaines de femmes, en majorité des prostituées, sur une vingtaine d'années dans le quartier Downtown Eastside de Vancouver.
«Vous me faites passer pour un tueur en série pire que je ne suis», ajoute-t-il.
"Vous me faites passer pour un tueur en série pire que je suis" ???
C'est pire de tuer 49 femmes que 25? :/ Dans ma définition, un tueur en série est toujours un monstre, peu importe le nombre de meurtres commis. Belle défense en tout cas... Je vois l'avocat de la défense: "Mesdames et Messieurs les jurés, yé pas si pire au fond, y'en a juste tué une vingtaine"
J'ai bien hâte de voir comment ça va finir ce procès là...
C'est pire de tuer 49 femmes que 25? :/ Dans ma définition, un tueur en série est toujours un monstre, peu importe le nombre de meurtres commis. Belle défense en tout cas... Je vois l'avocat de la défense: "Mesdames et Messieurs les jurés, yé pas si pire au fond, y'en a juste tué une vingtaine"
J'ai bien hâte de voir comment ça va finir ce procès là...
Robert Pickton
Le travail des policiers sous la loupe
Agence QMI
11/10/2011 11h43
VANCOUVER – Les audiences de la commission d'enquête sur le travail des policiers dans l'affaire du meurtrier en série Robert Pickton débutent mardi, à Vancouver, sous un épais nuage de controverses.
Vingt des 21 organisations qui s'étaient vues donner droit de parole aux audiences ont retiré leur nom de la liste de la commission, furieuses contre une décision de la province de payer les frais d'avocats des policiers et des membres de la famille de Pickton qui sont appelés à témoigner.
Des groupes de défense des droits des femmes, des autochtones et des travailleuses du sexe n'ont pas droit au même traitement de la part de la province.
Jeudi dernier, Amnistie internationale et l'Association des libertés civiles de la Colombie-Britannique ont d'ailleurs annoncé qu'elles ne témoigneraient pas aux audiences.
La commission doit tenter de comprendre comment Robert Pickton est parvenu à tuer des femmes qui fréquentaient le quartier Downtown Eastside à Vancouver alors qu'il était déjà dans la mire des policiers comme le suspect principal de plusieurs cas de disparitions et de meurtres.
Plusieurs femmes de ce quartier mal famé de Vancouver, principalement des travailleuses du sexe, ont disparu de la fin des années 1990 jusqu'au début des années 2000. Pickton était soupçonné par les enquêteurs, mais les femmes continuaient à disparaître.
Selon un rapport de 2005 de la police de Vancouver, les policiers savaient depuis août 1998 que Pickton, ce fermier de Port Coquitlam, en Colombie-Britannique, «était le présumé tueur, et toutes les informations ont été refilées à la GRC de Coquitlam».
Pickton a été arrêté trois années plus tard. Il a été condamné en 2007 pour les homicides involontaires de six femmes. Vingt autres accusations ont été abandonnées.
Les restes de 33 femmes ont été retrouvés sur la ferme de Pickton. Toutefois, en 2002, Pickton s'est plaint à un informateur en prison qu'il avait manqué de peu le plateau des 50 meurtres.
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archiv ... 14300.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Le travail des policiers sous la loupe
Agence QMI
11/10/2011 11h43
VANCOUVER – Les audiences de la commission d'enquête sur le travail des policiers dans l'affaire du meurtrier en série Robert Pickton débutent mardi, à Vancouver, sous un épais nuage de controverses.
Vingt des 21 organisations qui s'étaient vues donner droit de parole aux audiences ont retiré leur nom de la liste de la commission, furieuses contre une décision de la province de payer les frais d'avocats des policiers et des membres de la famille de Pickton qui sont appelés à témoigner.
Des groupes de défense des droits des femmes, des autochtones et des travailleuses du sexe n'ont pas droit au même traitement de la part de la province.
Jeudi dernier, Amnistie internationale et l'Association des libertés civiles de la Colombie-Britannique ont d'ailleurs annoncé qu'elles ne témoigneraient pas aux audiences.
La commission doit tenter de comprendre comment Robert Pickton est parvenu à tuer des femmes qui fréquentaient le quartier Downtown Eastside à Vancouver alors qu'il était déjà dans la mire des policiers comme le suspect principal de plusieurs cas de disparitions et de meurtres.
Plusieurs femmes de ce quartier mal famé de Vancouver, principalement des travailleuses du sexe, ont disparu de la fin des années 1990 jusqu'au début des années 2000. Pickton était soupçonné par les enquêteurs, mais les femmes continuaient à disparaître.
Selon un rapport de 2005 de la police de Vancouver, les policiers savaient depuis août 1998 que Pickton, ce fermier de Port Coquitlam, en Colombie-Britannique, «était le présumé tueur, et toutes les informations ont été refilées à la GRC de Coquitlam».
Pickton a été arrêté trois années plus tard. Il a été condamné en 2007 pour les homicides involontaires de six femmes. Vingt autres accusations ont été abandonnées.
Les restes de 33 femmes ont été retrouvés sur la ferme de Pickton. Toutefois, en 2002, Pickton s'est plaint à un informateur en prison qu'il avait manqué de peu le plateau des 50 meurtres.
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