Cuba
Castro sur le point de mourir?
Le leader cubain Fidel Castro est très malade et proche de la mort.
C'est ce qu'a affirmé le directeur du renseignement national américain, John Negroponte, au Washington Post.
Selon lui, il ne reste plus que quelques jours ou quelques mois à vivre au leader maximo, et non pas des années.
Fidel Castro, 80 ans, a cédé le pouvoir à son frère Raul le 31 juillet après avoir été opéré 4 jours plus tôt pour une hémorragie intestinale d'origine inconnue.
Il est depuis soigné dans un lieu secret et n'a plus été vu en public depuis le 26 juillet.
source canoe
fidel castro
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sleepy-girl
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Cuba
Des nouvelles de Fidel
Célébrations de son 80e anniversaire : Fidel Castro fait faux bond
C'est la première fois depuis 1959 que le budget annuel est voté par le Parlement cubain en l'absence de Fidel Castro. Son frère Raul, chef d'État par intérim, s'est toutefois voulu rassurant en mentionnant, samedi, que « la convalescence du dirigeant cubain Fidel Castro est en progrès ».
Depuis trois mois, le peuple cubain a peu de nouvelles de son dirigeant Fidel, malade depuis près de cinq mois. Seul autre son de cloche récent: le président du Venezuela Hugo Chavez affirmait, la semaine dernière, après une conversation téléphonique avec son homologue cubain et ami, que celui-ci menait « une grande bataille contre une maladie grave ».
Fidel Castro avait paru très affaibli par la maladie lors de sa dernière apparition à la télévision, le 28 octobre. Il a subi une opération en juillet dernier après une hémorragie intestinale.
Le frère de Fidel, Raul, est celui qui a dirigé la session parlementaire du 22 décembre menant à l'adoption du budget cubain pour l'année 2007. Et bien que Fidel ait été le seul personnage à mener publiquement la vie politique cubaine depuis près d'un demi-siècle, le général Raul Castro, 75 ans, semble n'avoir eu aucune difficulté à faire adopter ses vues par les 522 députés de l'Assemblée.
Raul Castro a de nouveau montré du doigt les États-Unis, appelant les citoyens cubains « à ne pas craindre les divergences » entre les régimes. Lors d'un discours, le 2 décembre dernier, le jour du 80e anniversaire de son frère Fidel, Raul Castro avait invité Washington « à la table de négociations pour résoudre le long contentieux entre les États-Unis et Cuba ».
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/In ... lles.shtml
Des nouvelles de Fidel
Célébrations de son 80e anniversaire : Fidel Castro fait faux bond
C'est la première fois depuis 1959 que le budget annuel est voté par le Parlement cubain en l'absence de Fidel Castro. Son frère Raul, chef d'État par intérim, s'est toutefois voulu rassurant en mentionnant, samedi, que « la convalescence du dirigeant cubain Fidel Castro est en progrès ».
Depuis trois mois, le peuple cubain a peu de nouvelles de son dirigeant Fidel, malade depuis près de cinq mois. Seul autre son de cloche récent: le président du Venezuela Hugo Chavez affirmait, la semaine dernière, après une conversation téléphonique avec son homologue cubain et ami, que celui-ci menait « une grande bataille contre une maladie grave ».
Fidel Castro avait paru très affaibli par la maladie lors de sa dernière apparition à la télévision, le 28 octobre. Il a subi une opération en juillet dernier après une hémorragie intestinale.
Le frère de Fidel, Raul, est celui qui a dirigé la session parlementaire du 22 décembre menant à l'adoption du budget cubain pour l'année 2007. Et bien que Fidel ait été le seul personnage à mener publiquement la vie politique cubaine depuis près d'un demi-siècle, le général Raul Castro, 75 ans, semble n'avoir eu aucune difficulté à faire adopter ses vues par les 522 députés de l'Assemblée.
Raul Castro a de nouveau montré du doigt les États-Unis, appelant les citoyens cubains « à ne pas craindre les divergences » entre les régimes. Lors d'un discours, le 2 décembre dernier, le jour du 80e anniversaire de son frère Fidel, Raul Castro avait invité Washington « à la table de négociations pour résoudre le long contentieux entre les États-Unis et Cuba ».
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/In ... lles.shtml
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peppermintpatty
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Il y a quelques jours j'ai vu un vidéo de Fidel Castro qui nous le montre marchant. Ses mouvements n'étaient pas du tout naturel mais c'est surtout en voyant son regard que j'ai sursauté et dit: Il a la maladie de Parkinson cet homme.
Par curiosité j'ai fait une petite recherche et mon opinion est confirmée par plusieurs rumeurs. Cette maladie expliquerait sa chute lorsqu'il s'est fracturé le bras. Sa dernière opération peut avoir empiré sa maladie. Il n'est peut-être pas près de la mort mais physiquement incapable de s'exprimer clairement. Un peu comme le cinéaste Gilles Carles.
Ce doit être tout un casse-tête pour le gouvernement de Cuba. Il est là de corps mais de moins en moins capable et cela peut durer un bout....
Par curiosité j'ai fait une petite recherche et mon opinion est confirmée par plusieurs rumeurs. Cette maladie expliquerait sa chute lorsqu'il s'est fracturé le bras. Sa dernière opération peut avoir empiré sa maladie. Il n'est peut-être pas près de la mort mais physiquement incapable de s'exprimer clairement. Un peu comme le cinéaste Gilles Carles.
Ce doit être tout un casse-tête pour le gouvernement de Cuba. Il est là de corps mais de moins en moins capable et cela peut durer un bout....
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sleepy-girl
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Un petit aperçu de la belle vie à Cuba (tiens bizarre Léo-Paul Lauzon en parle pas ça ):
http://hrw.org/english/docs/2006/01/18/cuba12207.htm
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sleepy-girl
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Red Ketchup
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Des bébittes, on peut en trouver aussi très facilement chez nos voisins.
http://hrw.org/french/docs/2006/09/30/usint14286.htm
http://hrw.org/doc/?t=french_usa
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http://hrw.org/doc/?t=french_usa
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Red Ketchup
- Seigneur de la Causerie
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Traduction du lien de chico.
... Le Cuba
Le Cuba reste une anomalie latino-américaine : un gouvernement antidémocratique qui réprime presque toutes les formes de dissidence politique. Le Président Fidel Castro, maintenant en sa quarante-septième année dans la puissance, ne montre aucune bonne volonté de considérer de même réformes mineures. Au lieu de cela, son gouvernement continue à imposer la conformité politique en utilisant des poursuites criminelles, longtemps et des détentions à court terme, harcèlement de foule, des avertissements de police, surveillance, des arrestations de maison, des restrictions de voyage, et des renvois politique-motivés d'emploi. Le résultat de fin est que des Cubains sont systématiquement niés des droits fondamentaux de libérer l'expression, l'association, l'ensemble, l'intimité, le mouvement, et le processus dû de la loi.
Failings légaux et institutionnels
Les structures légales et institutionnelles de Cuba.s sont à la racine des violations de droites. Bien que dans la théorie les différentes branches du gouvernement aient des secteurs séparés et définis d'autorité, dans la pratique le directeur garde la main claire au-dessus de tous les leviers de puissance. Les cours, qui manquent de l'indépendance, minent la droite à l'épreuve juste en limitant sévèrement la droite à une défense.
Le code criminel de Cuba.s fournit la base juridique pour la répression de la dissidence. Des lois criminalisant la propagande ennemie, la propagation des nouvelles d'unauthorized. et l'insulte aux symboles patriotiques sont employées pour limiter la liberté de la parole sous l'apparence de la sécurité protectrice d'état. Le gouvernement également emprisonne ou commande la surveillance des individus qui n'ont commis aucun acte illégal, comptant sur les dispositions qui pénalisent le dangerousness. (peligroso d'estado) et tiennent compte de l'avertissement d'official (advertencia oficial).
Emprisonnement Politique
En début juillet 2005 la Commission cubaine pour des droits de l'homme et la réconciliation nationale, des droits de l'homme locaux respectés groupent, publié une liste de 306 prisonniers qu'elle a indiqués ont été incarcérées pour des raisons politiques. La liste a inclus les noms de treize dissidents paisibles qui avaient été arrêtés et détenus dans le premier semestre dont de 2005, onze étaient tenus sur des frais de dangerousness..
De soixante-quinze dissidents politiques, de journalistes indépendants, et d'avocats de droits de l'homme qui ont été sommairement jugés en avril 2003, le sixty-one restent emprisonné. Les phrases de portion qui font la moyenne de presque vingt ans, les dissidents incarcérés supportent des conditions faibles et le traitement punitif en prison. Bien que plusieurs d'elles souffrent des problèmes de santé sérieux, le gouvernement cubain n'a eu, en date de novembre 2005, accordé aucun d'entre eux le dégagement humanitaire de la prison.
Juillet 13, 2005, protestateurs a commémoré les 1994 descente mortelle d'un remorqueur qui a été emballé avec des personnes cherchant à se sauver le Cuba. Les protestateurs ont marché au Malec ? le long du littoral de Havana.s, et a jeté des fleurs dans la mer. Plus de deux douzaine personnes ont été arrêtées. Moins que deux semaines plus tard, pendant juillet 22, encore trente personnes ont été arrêté pendant un rassemblement devant l'ambassade française à La Havane. Tandis que la majorité de ceux arrêtées pendant les deux démonstrations ont été depuis libérées, au moins dizaines d'entre elles demeurent incarcérées à cette écriture.
Restrictions de voyage et séparations de famille
Le gouvernement cubain interdit les citoyens de country.s de partir ou de retourner au Cuba sans la première permission officielle d'obtention, qui est souvent niée. Le voyage non autorisé peut avoir comme conséquence la poursuite criminelle. Le gouvernement empêche également fréquemment des citoyens occupés dans le voyage autorisé de prendre leurs enfants avec eux outre-mer, essentiellement tenant l'otage d'enfants pour garantir le retour de parents. Etant donné la crainte répandue de la séparation obligatoire de famille, ces restrictions de voyage fournissent au gouvernement cubain un outil puissant pour punir des déserteurs et amortir des critiques.
Liberté d'Assemblée
La liberté d'assemblée est sévèrement limitée au Cuba, et des dissidents politiques sont généralement interdits de se réunir dans de grands groupes. En mai 2005, cependant, presque deux cents dissidents ont assisté à une réunion de masse rare à La Havane. Ses organisateurs ont considéré la réunion un succès, quoique quelques dissidents en avant aient refusé de participer à lui en raison des désaccords au-dessus de stratégie et de positions. Tout en empêchant quelques observateurs étrangers d'être présent, la police a permis à l'événement de deux jours d'avoir lieu sans obstacle principal. Les participants ont passé une résolution réclamant le dégagement immédiat et sans conditions de tous les prisonniers politiques.
États De Prison
Des prisonniers sont généralement maintenus dans des conditions faibles et abusives, souvent en cellules surchargées. Ils perdent typiquement le poids pendant l'incarcération, et certains reçoivent le soin médical insatisfaisant. Certains supportent également l'abus physique et sexuel, typiquement par d'autres détenus avec le consentement des gardes.
Des prisonniers politiques qui dénoncent des états faibles d'emprisonnement ou qui autrement n'observent pas des règles de prison sont fréquemment punis par de longues périodes en cellules punitives d'isolement, restrictions aux visites, ou démenti de traitement médical. Quelques prisonniers politiques ont effectué de longues grèves de faim pour protester des conditions et le mauvais traitement abusifs par des gardes.
Pénalité De Mort
En vertu de la loi cubaine la pénalité de mort existe pour une large gamme des crimes. Puisque le Cuba ne libère pas l'information concernant son utilisation de la pénalité, il est difficile de s'assurer la fréquence avec laquelle il est utilisé. Jusque est connu, cependant, aucune exécution n'a été effectuée depuis avril 2003.
Défenseurs De Droits de l'homme
Refusant d'identifier des droits de l'homme surveillant comme activité légitime, le gouvernement refuse le statut juridique aux groupes locaux de droits de l'homme. Les individus qui appartiennent à ces groupes font face au harcèlement systématique, avec le gouvernement mettant vers le haut des obstacles de les empêcher de documenter des conditions de droits de l'homme. En outre, des groupes internationaux de droits de l'homme tels que la montre de droits de l'homme et international d'amnistie sont empêchés d'envoyer des missions exploratoires au Cuba. Il reste l'un des quelques pays dans le monde pour nier le Comité international de l'accès de croix rouge à ses prisons.
Acteurs Internationaux Principaux
À sa soixante-première session en avril, la Commission d'U.N. sur des droits de l'homme a voté vingt et un à dix-sept (avec quinze abstentions) pour adopter une résolution doux-exprimée concernant la situation des droits de l'homme au Cuba. La résolution, proposée par les Etats-Unis et Co-commanditée par l'union européenne, a simplement prolongé pendant une autre année le mandat de l'expert en matière d'U.N. en le Cuba. Le gouvernement cubain continue à empêcher l'expert en matière d'U.N. de visiter le pays, quoique son rapport 2005 sur des conditions de droits de l'homme de Cuba.s ait été inexplicablement et unjustifiably doux.
L'embargo économique des ETATS-UNIS sur le Cuba, en effet pendant plus de quatre décennies, continue à imposer des difficultés aveugles aux cubains et à bloquer le voyage à l'île. Une exception à l'embargo qui permet des ventes de nourriture vers le Cuba sur une base d'argent comptant-seulement, cependant, a mené au commerce de partie essentielle entre les deux pays. En effet, en novembre 2005, la tête de la nourriture de Cuba.s important l'agence a confirmé que les ETATS-UNIS étaient le plus grand fournisseur de nourriture de Cuba.s. Que le même mois l'Assemblée générale d'U.N. a voté pour inviter les ETATS-UNIS à finir l'embargo.
Dans un effort de priver le gouvernement cubain du placement, le gouvernement des ETATS-UNIS a décrété de nouvelles restrictions au voyage famille-connexe au Cuba en juin 2004. Selon ces règles, on permet à des des individus de rendre visite à des parents au Cuba seulement une fois que tous les trois ans, et seulement si les parents adaptent la définition étroite de government.s de la définition de family.a qui exclut des tantes, des oncles, des cousins, et d'autres prochain-de-parents qui sont souvent les membres intégraux des familles cubaines. Justifié en tant que des moyens de favoriser la liberté au Cuba, les nouvelles politiques de voyage minent la libre circulation des centaines de milliers de Cubains et d'Américains cubains, et infligent le mal profond sur les familles cubaines.
Les pays dans l'E.U. continuent à être en désaccord concernant la meilleure approche vers le Cuba. En janvier 2005, l'E.U. a décidé temporairement de suspendre les sanctions diplomatiques qu'il avait adoptées à la suite du resserrement 2003 du Cubain government.s contre des dissidents, et en juin il a prolongé la suspension de sanctions pendant une autre année. Les dissidents ont critiqué la position révisée par E.U..s, à que l'Espagne avait préconisée, et à la laquelle la République Tchèque, le plus notamment, avait résistée.
Les dames dans le blanc (Damas de Blanco), un groupe d'épouses et les mères des dissidents emprisonnés, étaient parmi trois gagnants du prix prestigieux de Sakharov pour la liberté de pensée pour 2005. Le Parlement européen dans l'identification d'un travail de recipient.s en protégeant des droits de l'homme, en encourageant la démocratie et la coopération internationale, et en confirmant accorde annuellement le prix la règle de la loi. En date de cette écriture, il n'était pas clair si le gouvernement cubain permettrait à des représentants des dames dans le blanc de voyager en France en décembre 2005 pour recevoir le prix.
Des relations entre le Cuba et la République Tchèque continuent à être tendues. En mai 2005, le Cuba a sommairement expulsé le sénateur tchèque Karel Schwarzenberg, qui visitait La Havane pour assister à la réunion de deux jours de dissidents. Octobre 28, sur le quatre-vingts-septième anniversaire de l'établissement de la Tchécoslovaquie indépendante, les autorités cubaines ont interdit une réception que l'ambassade tchèque projetait se tenir à La Havane, l'appelle une action counter-révolutionnaire. Les Cubains ont été censément irrités par la décision d'embassy.s inviter des représentants des dames dans le blanc à assister à la fonction.
Le Venezuela reste l'allié le plus étroit de Cuba.s en Amérique latine. Président Castro et Président vénézuélien Hugo Chavez apprécient des relations chaudes, et le Venezuela fournit au Cuba des subventions d'huile et d'autres formes d'aide.
... Le Cuba
Le Cuba reste une anomalie latino-américaine : un gouvernement antidémocratique qui réprime presque toutes les formes de dissidence politique. Le Président Fidel Castro, maintenant en sa quarante-septième année dans la puissance, ne montre aucune bonne volonté de considérer de même réformes mineures. Au lieu de cela, son gouvernement continue à imposer la conformité politique en utilisant des poursuites criminelles, longtemps et des détentions à court terme, harcèlement de foule, des avertissements de police, surveillance, des arrestations de maison, des restrictions de voyage, et des renvois politique-motivés d'emploi. Le résultat de fin est que des Cubains sont systématiquement niés des droits fondamentaux de libérer l'expression, l'association, l'ensemble, l'intimité, le mouvement, et le processus dû de la loi.
Failings légaux et institutionnels
Les structures légales et institutionnelles de Cuba.s sont à la racine des violations de droites. Bien que dans la théorie les différentes branches du gouvernement aient des secteurs séparés et définis d'autorité, dans la pratique le directeur garde la main claire au-dessus de tous les leviers de puissance. Les cours, qui manquent de l'indépendance, minent la droite à l'épreuve juste en limitant sévèrement la droite à une défense.
Le code criminel de Cuba.s fournit la base juridique pour la répression de la dissidence. Des lois criminalisant la propagande ennemie, la propagation des nouvelles d'unauthorized. et l'insulte aux symboles patriotiques sont employées pour limiter la liberté de la parole sous l'apparence de la sécurité protectrice d'état. Le gouvernement également emprisonne ou commande la surveillance des individus qui n'ont commis aucun acte illégal, comptant sur les dispositions qui pénalisent le dangerousness. (peligroso d'estado) et tiennent compte de l'avertissement d'official (advertencia oficial).
Emprisonnement Politique
En début juillet 2005 la Commission cubaine pour des droits de l'homme et la réconciliation nationale, des droits de l'homme locaux respectés groupent, publié une liste de 306 prisonniers qu'elle a indiqués ont été incarcérées pour des raisons politiques. La liste a inclus les noms de treize dissidents paisibles qui avaient été arrêtés et détenus dans le premier semestre dont de 2005, onze étaient tenus sur des frais de dangerousness..
De soixante-quinze dissidents politiques, de journalistes indépendants, et d'avocats de droits de l'homme qui ont été sommairement jugés en avril 2003, le sixty-one restent emprisonné. Les phrases de portion qui font la moyenne de presque vingt ans, les dissidents incarcérés supportent des conditions faibles et le traitement punitif en prison. Bien que plusieurs d'elles souffrent des problèmes de santé sérieux, le gouvernement cubain n'a eu, en date de novembre 2005, accordé aucun d'entre eux le dégagement humanitaire de la prison.
Juillet 13, 2005, protestateurs a commémoré les 1994 descente mortelle d'un remorqueur qui a été emballé avec des personnes cherchant à se sauver le Cuba. Les protestateurs ont marché au Malec ? le long du littoral de Havana.s, et a jeté des fleurs dans la mer. Plus de deux douzaine personnes ont été arrêtées. Moins que deux semaines plus tard, pendant juillet 22, encore trente personnes ont été arrêté pendant un rassemblement devant l'ambassade française à La Havane. Tandis que la majorité de ceux arrêtées pendant les deux démonstrations ont été depuis libérées, au moins dizaines d'entre elles demeurent incarcérées à cette écriture.
Restrictions de voyage et séparations de famille
Le gouvernement cubain interdit les citoyens de country.s de partir ou de retourner au Cuba sans la première permission officielle d'obtention, qui est souvent niée. Le voyage non autorisé peut avoir comme conséquence la poursuite criminelle. Le gouvernement empêche également fréquemment des citoyens occupés dans le voyage autorisé de prendre leurs enfants avec eux outre-mer, essentiellement tenant l'otage d'enfants pour garantir le retour de parents. Etant donné la crainte répandue de la séparation obligatoire de famille, ces restrictions de voyage fournissent au gouvernement cubain un outil puissant pour punir des déserteurs et amortir des critiques.
Liberté d'Assemblée
La liberté d'assemblée est sévèrement limitée au Cuba, et des dissidents politiques sont généralement interdits de se réunir dans de grands groupes. En mai 2005, cependant, presque deux cents dissidents ont assisté à une réunion de masse rare à La Havane. Ses organisateurs ont considéré la réunion un succès, quoique quelques dissidents en avant aient refusé de participer à lui en raison des désaccords au-dessus de stratégie et de positions. Tout en empêchant quelques observateurs étrangers d'être présent, la police a permis à l'événement de deux jours d'avoir lieu sans obstacle principal. Les participants ont passé une résolution réclamant le dégagement immédiat et sans conditions de tous les prisonniers politiques.
États De Prison
Des prisonniers sont généralement maintenus dans des conditions faibles et abusives, souvent en cellules surchargées. Ils perdent typiquement le poids pendant l'incarcération, et certains reçoivent le soin médical insatisfaisant. Certains supportent également l'abus physique et sexuel, typiquement par d'autres détenus avec le consentement des gardes.
Des prisonniers politiques qui dénoncent des états faibles d'emprisonnement ou qui autrement n'observent pas des règles de prison sont fréquemment punis par de longues périodes en cellules punitives d'isolement, restrictions aux visites, ou démenti de traitement médical. Quelques prisonniers politiques ont effectué de longues grèves de faim pour protester des conditions et le mauvais traitement abusifs par des gardes.
Pénalité De Mort
En vertu de la loi cubaine la pénalité de mort existe pour une large gamme des crimes. Puisque le Cuba ne libère pas l'information concernant son utilisation de la pénalité, il est difficile de s'assurer la fréquence avec laquelle il est utilisé. Jusque est connu, cependant, aucune exécution n'a été effectuée depuis avril 2003.
Défenseurs De Droits de l'homme
Refusant d'identifier des droits de l'homme surveillant comme activité légitime, le gouvernement refuse le statut juridique aux groupes locaux de droits de l'homme. Les individus qui appartiennent à ces groupes font face au harcèlement systématique, avec le gouvernement mettant vers le haut des obstacles de les empêcher de documenter des conditions de droits de l'homme. En outre, des groupes internationaux de droits de l'homme tels que la montre de droits de l'homme et international d'amnistie sont empêchés d'envoyer des missions exploratoires au Cuba. Il reste l'un des quelques pays dans le monde pour nier le Comité international de l'accès de croix rouge à ses prisons.
Acteurs Internationaux Principaux
À sa soixante-première session en avril, la Commission d'U.N. sur des droits de l'homme a voté vingt et un à dix-sept (avec quinze abstentions) pour adopter une résolution doux-exprimée concernant la situation des droits de l'homme au Cuba. La résolution, proposée par les Etats-Unis et Co-commanditée par l'union européenne, a simplement prolongé pendant une autre année le mandat de l'expert en matière d'U.N. en le Cuba. Le gouvernement cubain continue à empêcher l'expert en matière d'U.N. de visiter le pays, quoique son rapport 2005 sur des conditions de droits de l'homme de Cuba.s ait été inexplicablement et unjustifiably doux.
L'embargo économique des ETATS-UNIS sur le Cuba, en effet pendant plus de quatre décennies, continue à imposer des difficultés aveugles aux cubains et à bloquer le voyage à l'île. Une exception à l'embargo qui permet des ventes de nourriture vers le Cuba sur une base d'argent comptant-seulement, cependant, a mené au commerce de partie essentielle entre les deux pays. En effet, en novembre 2005, la tête de la nourriture de Cuba.s important l'agence a confirmé que les ETATS-UNIS étaient le plus grand fournisseur de nourriture de Cuba.s. Que le même mois l'Assemblée générale d'U.N. a voté pour inviter les ETATS-UNIS à finir l'embargo.
Dans un effort de priver le gouvernement cubain du placement, le gouvernement des ETATS-UNIS a décrété de nouvelles restrictions au voyage famille-connexe au Cuba en juin 2004. Selon ces règles, on permet à des des individus de rendre visite à des parents au Cuba seulement une fois que tous les trois ans, et seulement si les parents adaptent la définition étroite de government.s de la définition de family.a qui exclut des tantes, des oncles, des cousins, et d'autres prochain-de-parents qui sont souvent les membres intégraux des familles cubaines. Justifié en tant que des moyens de favoriser la liberté au Cuba, les nouvelles politiques de voyage minent la libre circulation des centaines de milliers de Cubains et d'Américains cubains, et infligent le mal profond sur les familles cubaines.
Les pays dans l'E.U. continuent à être en désaccord concernant la meilleure approche vers le Cuba. En janvier 2005, l'E.U. a décidé temporairement de suspendre les sanctions diplomatiques qu'il avait adoptées à la suite du resserrement 2003 du Cubain government.s contre des dissidents, et en juin il a prolongé la suspension de sanctions pendant une autre année. Les dissidents ont critiqué la position révisée par E.U..s, à que l'Espagne avait préconisée, et à la laquelle la République Tchèque, le plus notamment, avait résistée.
Les dames dans le blanc (Damas de Blanco), un groupe d'épouses et les mères des dissidents emprisonnés, étaient parmi trois gagnants du prix prestigieux de Sakharov pour la liberté de pensée pour 2005. Le Parlement européen dans l'identification d'un travail de recipient.s en protégeant des droits de l'homme, en encourageant la démocratie et la coopération internationale, et en confirmant accorde annuellement le prix la règle de la loi. En date de cette écriture, il n'était pas clair si le gouvernement cubain permettrait à des représentants des dames dans le blanc de voyager en France en décembre 2005 pour recevoir le prix.
Des relations entre le Cuba et la République Tchèque continuent à être tendues. En mai 2005, le Cuba a sommairement expulsé le sénateur tchèque Karel Schwarzenberg, qui visitait La Havane pour assister à la réunion de deux jours de dissidents. Octobre 28, sur le quatre-vingts-septième anniversaire de l'établissement de la Tchécoslovaquie indépendante, les autorités cubaines ont interdit une réception que l'ambassade tchèque projetait se tenir à La Havane, l'appelle une action counter-révolutionnaire. Les Cubains ont été censément irrités par la décision d'embassy.s inviter des représentants des dames dans le blanc à assister à la fonction.
Le Venezuela reste l'allié le plus étroit de Cuba.s en Amérique latine. Président Castro et Président vénézuélien Hugo Chavez apprécient des relations chaudes, et le Venezuela fournit au Cuba des subventions d'huile et d'autres formes d'aide.
Red Ketchup a écritDes bébittes, on peut en trouver aussi très facilement chez nos voisins.
http://hrw.org/french/docs/2006/09/30/usint14286.htm
http://hrw.org/doc/?t=french_usa
Sauf que justement j'ai jamais entendu de québécois défendre Bush sur Guantanamo ou l'écoute électronique.
http://hrw.org/french/docs/2006/09/30/usint14286.htm
http://hrw.org/doc/?t=french_usa
Sauf que justement j'ai jamais entendu de québécois défendre Bush sur Guantanamo ou l'écoute électronique.