Gros problème
Josée Boileau
Édition du jeudi 15 juin 2006
La lutte contre le surpoids a longtemps été une quête individuelle; elle est maintenant une préoccupation de santé publique, d'autant plus importante que l'augmentation du nombre d'obèses ne se dément pas, comme vient encore de le démontrer l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de Statistique Canada. Qu'attend-on pour mettre en oeuvre des politiques conséquentes?
L'enquête bisannuelle de Statistique Canada sur la santé regorge de données, mais ce sont les perspectives qu'elle ouvre sur demain qui sont les plus révélatrices. Ainsi, on y constate que les jeunes écrasent : ce n'est plus à la mode de fumer (du tabac, du moins... ) parce que ça pue, ça fait jaunir les dents, c'est mauvais pour la santé, etc. L'intérêt de cette «tendance», c'est qu'elle aura des effets durables puisque 80 % des adultes qui fument ont commencé très tôt. Traverser l'adolescence sans avoir touché à une cigarette -- ce qui est maintenant le cas de 82 % des jeunes --, c'est être inoculé à vie contre un produit nocif. C'est la meilleure politique antitabac qui soit.
Par contre, nos jeunes aux poumons roses s'arrondissent : en deux ans, c'est même chez les adolescents qu'on a enregistré la plus forte hausse de l'obésité au pays. En 2003, 13 % des jeunes de 12 à 17 ans pouvaient être qualifiés d'obèses; en 2005, c'est le cas de 18 % d'entre eux. Cette donnée devient encore plus inquiétante quand on prend en compte le contexte dans lequel elle s'inscrit.
Au Canada, on comptait 14 % d'obèses en 1978, selon des mesures prises sur la balance par des enquêteurs de Statistique Canada. En 2005, toujours à partir de mesures réelles, ce pourcentage atteint les 24 %. En fait, jamais les populations, collectivement, n'ont pesé aussi lourd : le phénomène, d'abord associé à l'Amérique du Nord, a rejoint l'Europe et commence à s'étendre au monde entier. Les experts se chicanent sur les différents aspects du phénomène, mais un fait est avéré : il suit la route d'implantation des McDo !
En riposte se multiplient donc les démonstrations en ce qui a trait à l'importance de bouger, de bien s'alimenter, et aux risques, sérieux, du surpoids pour la santé. Cette stratégie a eu un impact dans la lutte contre le tabagisme; en matière d'alimentation, c'est un échec total. Plus que jamais auparavant, les gens ont une «alimentation de congélateur», consommant à satiété des produits transformés, quitte à les compléter de carottes bio de temps à autre. Et rien n'indique qu'un renversement de tendance poindrait à l'horizon. Au contraire ! Il est d'ailleurs remarquable, dans l'enquête de Statistique Canada, de voir que depuis 2003, la consommation quotidienne de fruits et légumes n'a presque pas bougé : 41 % des Canadiens disent en manger au moins cinq fois par jour, contre
39 % deux ans plus tôt. Quant à l'activité physique, on en est au même point : 51 % des répondants se disaient actifs en 2005; ils étaient 50,3 % à répondre de même en 2003 !
Dès lors, les solutions ne sont pas si nombreuses. Le prêchi-prêcha, on le constate, n'a pas d'effet, et stigmatiser les gros est tout aussi inefficace, comme l'illustre à merveille l'industrie de la mode. Depuis les années 60, celle-ci porte aux nues les filiformes et les quasi-anorexiques en méprisant toute autre silhouette. Résultat : la cliente ne maigrit pas, elle déprime !
Il reste donc à agir sur l'environnement. Au sens propre d'abord : il devient de plus en plus inconcevable que l'aménagement de nos villes, et surtout des banlieues, soit toujours conçu en fonction de la voiture. Alors qu'il faudrait remettre la population en marche, nos élus ouvrent les bras à Wal-Mart, où on ne se rend pas à pied, sous-financent les transports en commun, investissent dans un pont vers Laval et laissent bâtir des champs de condos plutôt que de favoriser la conception de quartiers qui ont une vie.
De façon plus générale, une foule de politiques pourraient être imposées à l'industrie alimentaire et de la restauration. Ainsi, une enquête menée par des chercheurs danois, dont Le Devoir faisait état en avril, a démontré qu'à travers le monde comme au sein d'un même pays, le taux de gras trans des frites varient -- fortement ! -- d'un McDo à l'autre. Voilà la preuve, en dépit des objections de l'industrie, que la chose se contrôle ! Mais à la condition de forcer la main aux entreprises qui -- une autre enquête, britannique celle-là, l'a aussi démontré récemment -- ne bougeront pas autrement.
Justement, on attend ces jours-ci le rapport d'un groupe de travail fédéral sur les gras trans. Que recommandera-t-on au gouvernement : d'oser imiter le Danemark et de carrément les interdire au pays ? Parions que ce sera trop demander à un gouvernement de droite. C'est pourtant la voie qui s'impose. Hélas, en ces matières -- on l'a vu à Québec, qui n'a même pas su trancher sur la malbouffe dans les écoles --, nos élus sont vraiment en retard d'une taille ou deux.
jboileau@ledevoir.ca
La lutte contre le surpoids : préoccupation de santé publique
Pour ceux qui croit encore que le gouvernement ne se préoccuppe pas du problème de la santé des Québécois en focussant seulement sur un autre problème:
Voic un beau projet mis en application cette années dans plusieurs écoles du Québec: Bien dans sa tête, bien dans sa peau !
http://www.biendanssapeau.ca/
Qu’est-ce que Bien dans sa tête, bien dans sa peau?
En se penchant sur les questions de la préoccupation excessive à l’égard du poids, de l’obsession de la minceur, du culte du corps et de problèmes d’image corporelle, le programme Bien dans sa tête, bien dans sa peau (BTBP) présente une nouvelle façon d’aborder, de manière préventive, deux problèmes à la hausse dans notre société, soit l’OBÉSITÉ et les TROUBLES ALIMENTAIRES.
En ciblant les adolescents de niveau secondaire, le programme Bien dans sa tête, bien dans sa peau propose une démarche de réflexion sur le culte de l’apparence physique, de la minceur ou de la « supermusculature » en vogue dans la société d’aujourd’hui. Il cherche aussi à aider à reconnaître l’influence des modèles de beauté sur l’image corporelle, sur l’estime de soi et sur le rapport au corps, à l’alimentation et à l’activité physique. D’une façon amusante et interactive, chacun est invité à prendre conscience du regard qu’il porte sur lui-même et sur les autres, contribuant ainsi à transformer les mentalités, les croyances et les préjugés qui le détournent du sentiment d’être bien dans sa tête et dans sa peau.
« Pour que les gens t'aiment et t'apprécient tel que tu es, tu dois commencer par t'aimer toi-même...
On est tous beau à notre façon. ».
Véronique, sec. V, école Le Prélude.
Tiré d’un texte réalisé dans une classe de français intégrant le programme BTBP.
Au cours de cette démarche, les jeunes et les adultes les côtoyant sont appelés à nourrir leur capacité à prendre soin de leur bien-être et de leur santé, ainsi qu’à transformer leur environnement.
La prochaine section vous permettra de mieux connaître :
Les buts et les objectifs du programme
La philosophie
Les thèmes et activités
Les retombées
L’auteur du programme et ses partenaires
L’historique du programme
Pour en savoir davantage…
Consultez notre brochure d’information détaillée qui s’adresse à tous ceux qui désirent en savoir plus sur le programme Bien dans sa tête, bien dans sa peau. On y retrouve entre autres,une descrïption du programme, ses principaux atouts et retombées.
****************************
deuxième programme actif :
VAS-Y FAIT LE POUR TOI !
http://www.vasy.gouv.qc.ca/fr/zone/index.html
Le programme Vasy
Dans le cadre du plan d’action « Briller parmi les meilleurs », un programme portant sur la promotion des saines habitudes de vie a été lancé en 2004. Ce programme vise des progrès au chapitre de la santé publique sur le plan de la prévention des maladies. Sa principale force est de conjuguer la promotion médiatique et la mobilisation des partenaires municipaux, scolaires, associatifs et privés, le tout en accord avec les recommandations du 4e avis du comité scientifique de Kino-Québec.
La santé des Québécoises et des Québécois est une préoccupation de premier plan pour le gouvernement du Québec. L’adoption de saines habitudes de vie, en particulier la pratique régulière d’activités physiques et une bonne alimentation, est un facteur déterminant pour la santé. C’est donc dans une optique de prévention que le gouvernement du Québec a lancé son vaste Programme de promotion des saines habitudes de vie, échelonné sur trois ans. Ce programme s’adresse majoritairement aux personnes de 24 à 54 ans et vise particulièrement les jeunes familles.
La campagne de promotion des saines habitudes de vie s’inscrit également dans les objectifs du Programme national de santé publique 2004-2012 du ministère de la Santé et des Services sociaux. Elle est l’une des composantes des actions que mène le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport en matière de santé, d’activités physiques et de saines habitudes de vie, notamment avec le programme « Écoles en forme et en santé », l’approche « École en santé » et le programme « Québec en forme », auxquels il contribue financièrement.
À l’automne 2004, une campagne médiatique a lancé l’intervention gouvernementale en matière de promotion de l’activité physique et de saines habitudes alimentaires. Le message général de la campagne a suscité des interventions dans les milieux de vie qui ont été élaborées avec un ensemble de partenaires régionaux et locaux, dont les conseillers Kino-Québec, conseillers présents dans toutes les régions du Québec.
En plus du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, on trouve comme porteurs de la campagne sur les saines habitudes de vie, le ministère de la Santé et des Services sociaux, le ministère des Affaires municipales et des Régions, le ministère de la Famille, des Aînés et de la Condition féminine et le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.
IL y ades ateliers, des visites animés, des dépliants, un site conseil, etc, comme ceci
Trucs
et conseils »
Cette section vous permet de découvrir des façons de faire simples et rapides pour bien vous alimenter et faire de l’exercice.
-Un petit peu de tout et beaucoup de fruits et légumes!
-Après un copieux repas des fêtes, mettez tout le monde dehors!
-Un petit peu de tout et beaucoup de fruits et légumes!
-Entre les deux, mon cœur balance…
-Faire de l’exercice, une corvée?
-J’aimerais jouer au hockey, mais…
-Une panne d’ascenseur, c’est possible… une panne d’escalier, c’est du jamais-vu!
-Des fruits et des légumes chaque jour, partout…
-Bouger, ça ravigote!
-L’heure de pointe, c’est dur pour les nerfs!
-Voyager en autobus ou en voiture n’empêche pas de faire de l’exercice
-Les somnambules du matin
-Rock vadrouille
-Feuilles d’automne : plaisirs à la tonne
etc etc etc
Voic un beau projet mis en application cette années dans plusieurs écoles du Québec: Bien dans sa tête, bien dans sa peau !
http://www.biendanssapeau.ca/
Qu’est-ce que Bien dans sa tête, bien dans sa peau?
En se penchant sur les questions de la préoccupation excessive à l’égard du poids, de l’obsession de la minceur, du culte du corps et de problèmes d’image corporelle, le programme Bien dans sa tête, bien dans sa peau (BTBP) présente une nouvelle façon d’aborder, de manière préventive, deux problèmes à la hausse dans notre société, soit l’OBÉSITÉ et les TROUBLES ALIMENTAIRES.
En ciblant les adolescents de niveau secondaire, le programme Bien dans sa tête, bien dans sa peau propose une démarche de réflexion sur le culte de l’apparence physique, de la minceur ou de la « supermusculature » en vogue dans la société d’aujourd’hui. Il cherche aussi à aider à reconnaître l’influence des modèles de beauté sur l’image corporelle, sur l’estime de soi et sur le rapport au corps, à l’alimentation et à l’activité physique. D’une façon amusante et interactive, chacun est invité à prendre conscience du regard qu’il porte sur lui-même et sur les autres, contribuant ainsi à transformer les mentalités, les croyances et les préjugés qui le détournent du sentiment d’être bien dans sa tête et dans sa peau.
« Pour que les gens t'aiment et t'apprécient tel que tu es, tu dois commencer par t'aimer toi-même...
On est tous beau à notre façon. ».
Véronique, sec. V, école Le Prélude.
Tiré d’un texte réalisé dans une classe de français intégrant le programme BTBP.
Au cours de cette démarche, les jeunes et les adultes les côtoyant sont appelés à nourrir leur capacité à prendre soin de leur bien-être et de leur santé, ainsi qu’à transformer leur environnement.
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deuxième programme actif :
VAS-Y FAIT LE POUR TOI !
http://www.vasy.gouv.qc.ca/fr/zone/index.html
Le programme Vasy
Dans le cadre du plan d’action « Briller parmi les meilleurs », un programme portant sur la promotion des saines habitudes de vie a été lancé en 2004. Ce programme vise des progrès au chapitre de la santé publique sur le plan de la prévention des maladies. Sa principale force est de conjuguer la promotion médiatique et la mobilisation des partenaires municipaux, scolaires, associatifs et privés, le tout en accord avec les recommandations du 4e avis du comité scientifique de Kino-Québec.
La santé des Québécoises et des Québécois est une préoccupation de premier plan pour le gouvernement du Québec. L’adoption de saines habitudes de vie, en particulier la pratique régulière d’activités physiques et une bonne alimentation, est un facteur déterminant pour la santé. C’est donc dans une optique de prévention que le gouvernement du Québec a lancé son vaste Programme de promotion des saines habitudes de vie, échelonné sur trois ans. Ce programme s’adresse majoritairement aux personnes de 24 à 54 ans et vise particulièrement les jeunes familles.
La campagne de promotion des saines habitudes de vie s’inscrit également dans les objectifs du Programme national de santé publique 2004-2012 du ministère de la Santé et des Services sociaux. Elle est l’une des composantes des actions que mène le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport en matière de santé, d’activités physiques et de saines habitudes de vie, notamment avec le programme « Écoles en forme et en santé », l’approche « École en santé » et le programme « Québec en forme », auxquels il contribue financièrement.
À l’automne 2004, une campagne médiatique a lancé l’intervention gouvernementale en matière de promotion de l’activité physique et de saines habitudes alimentaires. Le message général de la campagne a suscité des interventions dans les milieux de vie qui ont été élaborées avec un ensemble de partenaires régionaux et locaux, dont les conseillers Kino-Québec, conseillers présents dans toutes les régions du Québec.
En plus du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, on trouve comme porteurs de la campagne sur les saines habitudes de vie, le ministère de la Santé et des Services sociaux, le ministère des Affaires municipales et des Régions, le ministère de la Famille, des Aînés et de la Condition féminine et le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.
IL y ades ateliers, des visites animés, des dépliants, un site conseil, etc, comme ceci
Trucs
et conseils »
Cette section vous permet de découvrir des façons de faire simples et rapides pour bien vous alimenter et faire de l’exercice.
-Un petit peu de tout et beaucoup de fruits et légumes!
-Après un copieux repas des fêtes, mettez tout le monde dehors!
-Un petit peu de tout et beaucoup de fruits et légumes!
-Entre les deux, mon cœur balance…
-Faire de l’exercice, une corvée?
-J’aimerais jouer au hockey, mais…
-Une panne d’ascenseur, c’est possible… une panne d’escalier, c’est du jamais-vu!
-Des fruits et des légumes chaque jour, partout…
-Bouger, ça ravigote!
-L’heure de pointe, c’est dur pour les nerfs!
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etc etc etc
Une autre bonne cause de contrôle... J'ai hâte de constater si on va s'acharner autant sur tous les produits impropres à notre poids santé : la poutine, la crème à glace, les bonbons, etc... Tsé tout ce qui ne vient pas direct du champ.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Difficile de plaire à tout le monde et à son père comme dit le proverbe... dans le topic sur la cigarette, plusieurs s'exclamaient que le gouvernement avait bien d'autres chats à fouetter que le plaisir du fumeur de bar, comme la malnutrition et l'obésité, et maintenant que le gouvernement s'y intéresse et que l'on démontre qu'il existait déjà depuis 1 ans des programmes sympathiques et efficaces en la matière pour les jeunes, on se fait dire que c'est de l'ingérence du gouvernement. C'est dur à contenter le monde...
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Fleur de Jasmin
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Beppo a écritUne autre bonne cause de contrôle... J'ai hâte de constater si on va s'acharner autant sur tous les produits impropres à notre poids santé : la poutine, la crème à glace, les bonbons, etc... Tsé tout ce qui ne vient pas direct du champ.
Quel champ ! Celui du cultivateur qui ne fume pas, ne boit pas, n'a pas d'auto, mange bien ect, mais qui arrose avec plein de pesticides.
Quel champ ! Celui du cultivateur qui ne fume pas, ne boit pas, n'a pas d'auto, mange bien ect, mais qui arrose avec plein de pesticides.
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) 
La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
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Mimichouette
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Elianne45 a écritLe surpoids , les jeunes fille commence à prendre la pilule à 12 ans , et elle sont pas former encore à 15 ans elle on l'air a des fille de 18 ans , a 20 ans elle pèse 150 lbs ,
à 25 ans les problèmes de cholestérol.
Moi je sais plus quoi penser !
mes tu sais que 150 lbs à 5'5" c'est un poids santé?
oups pardon j'édite c'est pas 5'5" mais 5'6"
pour être plus précise le poids santé d'une femme de 5'6" se situe entre 115 et 154 livres
pour une femme de 5'5" sa arrête à 149 lbs le poids santé --Message edité par mimichouette le 2006-06-18 17:41:46--
à 25 ans les problèmes de cholestérol.
Moi je sais plus quoi penser !
mes tu sais que 150 lbs à 5'5" c'est un poids santé?
oups pardon j'édite c'est pas 5'5" mais 5'6"
pour être plus précise le poids santé d'une femme de 5'6" se situe entre 115 et 154 livres
pour une femme de 5'5" sa arrête à 149 lbs le poids santé --Message edité par mimichouette le 2006-06-18 17:41:46--
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Fleur de Jasmin
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LeeLou a écrit
est bonne celle la
Elle est bonne, mais il n'en reste pas moins que les agriculteurs ont un permis légal pour faire ca.
est bonne celle la
Elle est bonne, mais il n'en reste pas moins que les agriculteurs ont un permis légal pour faire ca.
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
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Fleur de Jasmin
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LeeLou a écrit
Je ne savais pas ..... plus rien ne m'étonne d'ailleurs
Bien oui tu sais LeeLou
Tous ces produits de ces beaux jardins que l'on achètent et consomment, sont approuvés par santé Canada.
Je ne savais pas ..... plus rien ne m'étonne d'ailleurs
Bien oui tu sais LeeLou
Tous ces produits de ces beaux jardins que l'on achètent et consomment, sont approuvés par santé Canada.
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
Fleur de Jasmin a écrit
Bien oui tu sais LeeLou
Tous ces produits de ces beaux jardins que l'on achètent et consomment, sont approuvés par santé Canada.
Oui mais je savais pas pour les pesticides et autres cochonneries ... faut croire que je ne me préoccupe pas assez de ce que je mange et que je change de poste quand il parle de ces choses la ....
Bien oui tu sais LeeLou
Tous ces produits de ces beaux jardins que l'on achètent et consomment, sont approuvés par santé Canada.
Oui mais je savais pas pour les pesticides et autres cochonneries ... faut croire que je ne me préoccupe pas assez de ce que je mange et que je change de poste quand il parle de ces choses la ....
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
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Fleur de Jasmin
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LeeLou a écrit
Oui mais je savais pas pour les pesticides et autres cochonneries ... faut croire que je ne me préoccupe pas assez de ce que je mange et que je change de poste quand il parle de ces choses la ....
J'aurais plutôt mieux fais de parler, d'engrais chimique. ;)
Mais bon, reste que ce que nous avons parfois dans nos assiettes n'est pas tjrs aussi santé que l'on pense.
De toute façon, y a de quoi virer fous, car il n'y a presque plus rien de bon pour la santé.
Oui mais je savais pas pour les pesticides et autres cochonneries ... faut croire que je ne me préoccupe pas assez de ce que je mange et que je change de poste quand il parle de ces choses la ....
J'aurais plutôt mieux fais de parler, d'engrais chimique. ;)
Mais bon, reste que ce que nous avons parfois dans nos assiettes n'est pas tjrs aussi santé que l'on pense.
De toute façon, y a de quoi virer fous, car il n'y a presque plus rien de bon pour la santé.
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
Fleur de Jasmin a écrit
J'aurais plutôt mieux fais de parler, d'engrais chimique. ;)
Mais bon, reste que ce que nous avons parfois dans nos assiettes n'est pas tjrs aussi santé que l'on pense.
De toute façon, y a de quoi virer fous, car il n'y a presque plus rien de bon pour la santé.
t a bien raison ....
J'aurais plutôt mieux fais de parler, d'engrais chimique. ;)
Mais bon, reste que ce que nous avons parfois dans nos assiettes n'est pas tjrs aussi santé que l'on pense.
De toute façon, y a de quoi virer fous, car il n'y a presque plus rien de bon pour la santé.
t a bien raison ....
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
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Fleur de Jasmin
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Ti-radis a écritVous pouvez toujours manger bio si ça vous chante
Sont beaux ces légumes là hein !
Cultivés dans des champs propres à part ca ! Pas de bibittes, ni de petits rongeurs. Je me demande bien ce qu'ils utilisent pour les éloigner
Sont beaux ces légumes là hein !
Cultivés dans des champs propres à part ca ! Pas de bibittes, ni de petits rongeurs. Je me demande bien ce qu'ils utilisent pour les éloigner
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
Ti-radis a écritVous pouvez toujours manger bio si ça vous chante
c est un fait , mais payer 3$ de plus pour une carotte ..... et la je ne parle que de la carotte Ca meme pas de sens que l'on doive payer plus cher pour des légumes sans cochonneries dedans .... Comme si bien mangé était un luxe :/
c est un fait , mais payer 3$ de plus pour une carotte ..... et la je ne parle que de la carotte Ca meme pas de sens que l'on doive payer plus cher pour des légumes sans cochonneries dedans .... Comme si bien mangé était un luxe :/
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Mimichouette
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Elianne45 a écrit5/5 pour 150 lbs cé gros pour une fille de 20 ans à 40 ans elle va en peser 200 et + selon les nutritionistes.
Moi à 20 ans je pesais 120 pour 5/5 ossature moyenne et à 46 ans je pèse 155 lbs et mon docteur mà dit que j'ai 20 lbs à perdre et il a raison .
Pas selon Santé Canada
http://www.hc-sc.gc.ca/fn-an/nutrition/ ... ava_f.html
Moi à 20 ans je pesais 120 pour 5/5 ossature moyenne et à 46 ans je pèse 155 lbs et mon docteur mà dit que j'ai 20 lbs à perdre et il a raison .
Pas selon Santé Canada
http://www.hc-sc.gc.ca/fn-an/nutrition/ ... ava_f.html